7 sur 7: 17 01 2025
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00:00:00Bonsoir à toutes et à tous et bienvenue dans notre émission 7 sur 7, votre émission
00:00:14cotant 60 minutes nous pour décrypter l'actualité de la semaine.
00:00:18Cet après-midi, nous vous plongeons dans un sujet brûlant qui font écho de notre
00:00:23quotidien, l'archipel d'Echagos, un dossier de longue date qui continue de diviser.
00:00:28On nous propose aussi de plusieurs récentes nominations à Kifinéna au sein d'Air Mauritius
00:00:34et la situation à Gaza.
00:00:37Donc cette semaine, nous prenons comme invité l'avocat Niel Kandelou.
00:00:41Niel Kandelou, bonsoir et bienvenue.
00:00:42Bonsoir mon ami, bonsoir la République.
00:00:45Donc, vous êtes capables de nous suivre également sur Facebook, sur YouTube et sur
00:00:51la chaîne 10 de Parabol Maurice, sans oublier notre application Top FM Live TV.
00:00:57Donc, Niel Kandelou, depuis l'entrée en fonction du premier ministre Naveen Ramoulam
00:01:02en novembre 2024, le gouvernement mauricien a intensifié les négociations avec le Royaume-Uni
00:01:09concernant la souveraineté de l'archipel d'Echagos.
00:01:12Là, la tournée générale Gavin Glover qui peut jouer un grand rôle central dans cette
00:01:17discussion-là.
00:01:18Donc, le 29 novembre 2024, lors de cette prestation de serment, Gavin Glover en tant
00:01:23qu'avocat tournée générale, il s'est indiqué qu'il pouvait solliciter un expert
00:01:27juridique pour examiner le prétendu accord et là, il finit d'envoler vers le Royaume-Uni
00:01:32pour justement causer le dossier d'Echagos.
00:01:35Que pensez-vous que l'annuité nous peut situer pour régler la souveraineté?
00:01:41Avec la prestation serment imminente de Donald Trump comme président de l'Amérique,
00:01:49la situation est un peu complexe.
00:01:51Je ne vais pas prendre la parole du gouvernement, je suis un citoyen de la République qui peut
00:01:55poser des questions et je base beaucoup sur mon article de presse et aussi sur beaucoup
00:02:01d'informations qu'il y a et que nous faisons en ce moment et nous trouvons, premièrement,
00:02:07nous faisons féliciter la partie mauricienne, la République de l'île Maurice, sa Chagos
00:02:14Special Cell qui, dès qu'ils ont fini de prendre le pouvoir, le nouveau gouvernement
00:02:20les a attaqués à une échelle très très importante, au niveau international.
00:02:26Et il y a un grand jeu géopolitique là-dedans et quand nous avons la situation, nous avons
00:02:32compris que nous avons l'Amérique qui est un grand frère, après nous avons un deuxième
00:02:38frère qui est l'Angleterre, après nous avons nous troisième, nous sommes troisième,
00:02:44troisième enfants.
00:02:46Les enfants de l'Amérique, deuxième l'Angleterre, troisième l'île Maurice.
00:02:50Vous causez en termes de puissance plutôt?
00:02:52Je cause en termes de deuxième frère, je cause avec troisième frère.
00:02:58Sous supervision du premier frère.
00:03:00Vous trouvez qu'il y a une fin de négociation qui a commencé par l'ancien gouvernement
00:03:06en ce qui concerne sa, sa issue qui nous fait causer là.
00:03:10Bataille qui a été déclenchée par le docteur Amgoulam, lui-même en personne quand il
00:03:16a eu le pouvoir auparavant.
00:03:18Il y a eu une contestation concernant les échelles de la Chagos aussi.
00:03:22Il y a eu le Marine Waters.
00:03:24Il y a eu beaucoup d'évolutions.
00:03:26C'est un dossier qui n'est pas un reste d'hommes.
00:03:28C'est un dossier qui contient à lui-même.
00:03:30Il y a eu beaucoup de lobby.
00:03:32Vous pouvez trouver que la partie mauricienne fait la tâche facile.
00:03:36Dans le sens qu'elle est compliquée avec l'arrivée de Donald Trump.
00:03:40Je trouve qu'il y a un mot à dire.
00:03:48Parce que Diego Garcia a une place stratégique.
00:03:52Il a une base militaire.
00:03:54Il a une jolie loi, une jolie place.
00:03:56Il a aussi dans les futurs un rôle très très important.
00:04:01Nous devons gagner la souveraineté.
00:04:03Oui, d'accord, correct.
00:04:05Mais la négociation doit être faite.
00:04:07Il y a beaucoup de pression quand il y a un article de presse au niveau de l'Angleterre.
00:04:13Beaucoup de gens ne sont pas d'accord.
00:04:15Justement, que pensez-vous de la position actuelle du Royaume-Uni concernant ce sujet?
00:04:21C'est clair que le premier ministre Stormer
00:04:27peut faire face à beaucoup de contestations.
00:04:31Je peux dire qu'il ne peut pas gagner l'intérêt national anglais.
00:04:35Il peut gagner plutôt les droits humains.
00:04:37Il ne peut pas oublier que Stormer est un avocat.
00:04:45C'est un QC.
00:04:47Il comprend, il négocie, il fait beaucoup de négociations.
00:04:49Il est un docteur à Moulins.
00:04:51Avant que le docteur à Moulins ne soit au pouvoir.
00:04:53Dans les années 2005 à 2014.
00:04:55Il y a eu une relation très étroite.
00:04:59Une collaboration très étroite avec Stormer.
00:05:01Et aussi, il y a eu des négociateurs.
00:05:05Il y a eu des négociateurs.
00:05:07Il y a eu des négociateurs.
00:05:09Et aussi, il y a eu des négociateurs.
00:05:11Il y a eu des négociateurs avant.
00:05:13Dans l'époque.
00:05:15Après 2005.
00:05:17Sous le PFI.
00:05:19Et aussi, là, actuellement.
00:05:21Il ne faut pas dire.
00:05:24Mais seulement
00:05:26La situation que nous étions,
00:05:28la situation géopolitique
00:05:30L'idée
00:05:32Il paraît qu'il y a un certain député anglais
00:05:34Et un certain politicien américain
00:05:36Je pense que
00:05:38Je ne suis pas capable de faire ça
00:05:40Parce qu'il n'y a pas autant
00:05:42Et je me trouve
00:05:44Je commence à penser que ce n'est pas correct
00:05:46Diplomatiquement
00:05:48Je dirais que Maurice a un intérêt
00:05:50Très incliné envers la Chine
00:05:52Alors, il n'est pas capable
00:05:54Mais la souveraineté, il n'est pas question de ça
00:05:56Maurice a une inclination
00:05:58Il a une relation diplomatique
00:06:00à travers le monde, dans tout le pays
00:06:02Et il n'est pas capable de dire à cause
00:06:04qu'il n'a pas d'intérêt avec l'Inde
00:06:06ou qu'il n'a pas d'intérêt avec la Chine
00:06:08Donc, ça n'empêche pas
00:06:10nous
00:06:12ou bien, disons, empêche nous
00:06:14de regagner la souveraineté
00:06:16parce qu'il y avait quoi?
00:06:18Si le gouvernement mauricien a gagné
00:06:20et qu'il a réussi
00:06:22alors que la Chine peut en profiter
00:06:24Non, ce n'est pas ça
00:06:26Là, il y a une souveraineté, il n'y a pas autant
00:06:28Il y a un retour vers
00:06:30l'Inde-Maurice
00:06:32Il y a une gestion
00:06:34Et aussi, je trouve que
00:06:36l'ancien gouvernement
00:06:38a galopé en termes électoraux
00:06:40pour trouver un accord
00:06:42et le nouveau gouvernement est venu ici
00:06:44Il a trouvé que l'accord n'a pas bien fissé
00:06:46et surtout, il a fait une petite élection
00:06:49Donc, obligatoirement
00:06:51il a fait une négociation
00:06:53avec ce nouveau gouvernement
00:06:55Donc, là qu'on est arrivé
00:06:57Premièrement, je veux dire
00:06:59un chapeau à l'équipe mauricienne
00:07:01qui n'est pas facile
00:07:03de faire une négociation pareille
00:07:05surtout quand vous avez l'opposition anglaise
00:07:07conservatrice
00:07:09qui peut attaquer
00:07:11qui peut dire non
00:07:13que l'intérêt anglais est plus important
00:07:15que l'intérêt humain
00:07:17ou bien l'intérêt de la souveraineté
00:07:19Mais je ne crois pas que vous avez raison
00:07:21Je pense qu'il y a un problème
00:07:23Le problème c'est
00:07:25qu'il n'est pas capable
00:07:27Il y a une négociation qui est en cours
00:07:29Après, il y a les autres affaires
00:07:31qui peuvent prendre place
00:07:33Je pense que la partie mauricienne comprend ça très bien
00:07:35Je sais ce qu'elle peut faire
00:07:37Je félicite la partie mauricienne
00:07:39pour la teneur des négociations
00:07:41et la façon d'une Inde-Maurice
00:07:43d'une république
00:07:45et la façon dont le gouvernement anglais
00:07:47et bien sûr le gouvernement américain
00:07:49pour que vous compreniez
00:07:51Je ne peux pas dire que le gouvernement américain
00:07:53n'est pas là
00:07:55ou bien qu'il n'est pas là
00:07:57Mais quand il y a un peu
00:07:59de débalance dans la situation
00:08:01je pense que
00:08:03il faut toujours une négociation diplomatique
00:08:05et une négociation diplomatique de classe
00:08:07Quand vous avez lancé
00:08:09un premier ministre
00:08:11à un certain moment
00:08:14il n'y a pas de chance
00:08:16qu'il commence à jouer dans l'anglais
00:08:18il n'y a pas de plateforme
00:08:20ça rend la situation un peu difficile
00:08:22et surtout
00:08:24qu'il y a une opposition dans l'Angleterre
00:08:26qui adamait
00:08:28qu'ils pensaient que
00:08:30Diégo n'allait pas retourner à l'Inde-Maurice
00:08:32qu'ils pensaient qu'il allait
00:08:34bétrayer la nation
00:08:36pas bétrayer la nation
00:08:38Au contraire, ici, là, là
00:08:40c'est un bétrayal envers nous, les peuples mauriciens
00:08:42c'est un bétrayal envers la république
00:08:44c'est un bétrayal envers les peuples sagauchiens
00:08:46c'est arrivé que la négociation
00:08:48reste perplexe, la négociation
00:08:50reste dans le passerelle et pas trop de solutions
00:08:52Moi, je pense que
00:08:54notre premier ministre anglais qui est dévoué
00:08:56qui comprend
00:08:58notre premier ministre mauricien qui est dévoué
00:09:00qui comprend, notre legal team
00:09:02chevronné
00:09:04et j'espère, je sais qu'il est un peu difficile
00:09:06je sais qu'il est un peu compliqué
00:09:08mais j'espère que
00:09:10de la négociation
00:09:12et qui va de l'avantage économique et stratégique
00:09:14pour Maurice, ça représenter
00:09:16mais, mais, une question, allez
00:09:18le gouvernement britannique
00:09:20j'allais retourner la souveraineté
00:09:22des chagosses à l'île Maurice
00:09:24mais l'île la donne finie
00:09:26comme ça on peut le relier
00:09:28avec les Etats-Unis mais
00:09:30la souveraineté
00:09:32c'est moi qui parle
00:09:34c'est moi qui parle
00:09:36mais
00:09:39Demain, on reste dans la chambre
00:09:41le quartier continue à rester là-dedans
00:09:43on reste dans la chambre
00:09:45on paye tout, l'enregistrement paye tout
00:09:47mais c'est moi
00:09:49le quartier continue à rester là-dedans
00:09:51et le quartier nous dit qu'on peut payer
00:09:53une rente
00:09:55mais vous savez, la situation
00:09:57instable qu'il y a dans
00:09:59le pays, dans les environs
00:10:01il y a une situation instable
00:10:03dans l'Afrique
00:10:05il y a une situation très instable dans le Midi-Ouest
00:10:07il y a une situation instable
00:10:09au niveau de la guerre entre l'Ukraine et la Russie
00:10:11il y a une situation instable
00:10:13entre le Pakistan et l'Inde
00:10:15il y a un
00:10:17Paris qui est sorti, il y a un pirate
00:10:19il y a beaucoup
00:10:21d'aménagements
00:10:23pour les chagosses
00:10:25il y a un investissement massif
00:10:27de l'Angleterre et de l'Amérique
00:10:29c'est à dire que
00:10:31il y a des propriétaires de la maison
00:10:33il y a des locataires
00:10:35ils investissent beaucoup dans la maison
00:10:37ils font beaucoup d'encastrement
00:10:39ils font un système de surveillance
00:10:41ils passent un mandifle
00:10:43ils font la maison
00:10:45une génération 5G
00:10:47et ils pensent
00:10:49que c'est pour aller, mais qu'il faut extraper
00:10:51donc, nous on a la logique des choses là
00:10:53moi je pense
00:10:55depuis avant, depuis dans les années
00:10:572000-2005
00:10:59j'ai déjà dit
00:11:01qu'il y a une bataille
00:11:04il y a une bataille
00:11:06mais plutôt, nous on veut
00:11:08qu'il y ait une rente
00:11:10qu'il soit profitable
00:11:12parce qu'au moins on paye moins de rente
00:11:14et je pense que c'est ça la négociation
00:11:16qui va se dérouler
00:11:18une éventuelle négociation
00:11:20pour diminuer la duration du bail
00:11:22ça aussi
00:11:24des bails 99-99
00:11:26je comprends comme ça
00:11:28qui fait
00:11:30qu'en premier 99 là
00:11:32c'est ce qui est présent actuellement
00:11:34except the fuse
00:11:36il y a un deuxième set de 99
00:11:38et que
00:11:40vous trouvez, comment dire
00:11:42nous, c'est des gens qui peuvent prendre des décisions
00:11:44ils peuvent prendre des décisions à long terme
00:11:46à long terme
00:11:48dans l'instabilité qu'il y a
00:11:50au niveau mondial
00:11:52alors, vous avez un contrôle
00:11:54il y a des bases militaires
00:11:56il y a des bases militaires au Mans
00:11:58il y a des bases militaires un peu partout
00:12:00il y a des bases militaires un peu partout dans le pays
00:12:02où tout le monde peut commencer à s'intégrer
00:12:04il y a des parades qui se font
00:12:06au niveau territorial waters
00:12:08il y a des batailles
00:12:10dans l'Iran
00:12:12il y a des batailles sur les waters
00:12:14il y a des intrusions
00:12:16sur les waters
00:12:18donc c'est une région très sensible
00:12:20et quand l'UK
00:12:22quand l'Angleterre s'échauffe
00:12:24ils veulent avoir l'indépendance
00:12:26ils veulent développer, ils veulent trouver
00:12:29il y a beaucoup d'issues
00:12:31il y a une base là
00:12:33avec Pablier
00:12:35l'ancien président de la république
00:12:37il se déploie
00:12:39le fait qu'à la fin de la guerre
00:12:41les bombardiers
00:12:43finissent par démarrer
00:12:45depuis la base de Gorgia
00:12:47donc, nous ne pouvons pas
00:12:49nous trouver une voie dans l'issue de la guerre
00:12:51quand il y a une souveraineté
00:12:53enfin, je trouve cela
00:12:55très complexe
00:12:57c'est impossible
00:12:59comment dire
00:13:01la partie mauricienne
00:13:03les anglais ne peuvent pas
00:13:05prendre la partie mauricienne
00:13:07pour leurs incontents
00:13:09avec l'expérience qu'ils ont
00:13:11pour les négociations
00:13:13et quand vous trouvez
00:13:15quelle qualité de détermination
00:13:17le gouvernement mauricien
00:13:19doit mettre là-dedans
00:13:21il doit être présent
00:13:23il doit y avoir un touch personnel
00:13:25qui, bien
00:13:27l'américain qui a appris ce qu'il faut
00:13:29derrière les deux
00:13:31mais je ne peux pas vous en dire plus
00:13:33parce qu'il y a quelqu'un qui
00:13:35pour moi personnellement, l'américain
00:13:37n'est pas trop prudent
00:13:39pour entrer dans la souveraineté
00:13:41ou dans les droits humains
00:13:43mais nous devons négocier
00:13:45nous devons amener à la raison
00:13:47c'est la négociation
00:13:49la négociation avec Donald Trump
00:13:51c'est quelque chose de facile
00:13:54Donald Trump n'a pas compris son pouvoir
00:13:56dans la campagne américaine
00:13:58il a dit qu'il voulait trouver la paix
00:14:00en Palestine et en Israël
00:14:02et je pense que c'est une bonne réalité
00:14:04il n'a pas compris son pouvoir
00:14:06il a envoyé son envoyé spécial
00:14:08ça veut dire qu'il y a quelqu'un qui comprend la situation
00:14:10qui connait qu'il y a des délais
00:14:12il y a quelqu'un qui veut arrêter
00:14:14sa guerre avec l'Irak
00:14:16et je pense que oui, il a parlé de Poutine
00:14:18il a fait que Poutine comprenne
00:14:20donc il y a quelqu'un qui raisonne, qui comprend
00:14:22donc là
00:14:24c'est arrivé pour que Bizin
00:14:26s'involte aussi dans la négociation
00:14:28prend le gouvernement américain
00:14:30amener par le gouvernement américain
00:14:32comme un grand frère, le plus grand
00:14:34il y en a quinze
00:14:36il y en a dix-huit frères en bas
00:14:38il y en a huit ans, l'autre il en a cinq ans
00:14:40l'idée maintenant c'est
00:14:42la guerre, la guerre toujours, c'est moi qui vais décider
00:14:44ce que je veux en vivre, moi qui vais décider
00:14:46de gagner l'Irak, qui veut un bonbon
00:14:48qui veut une justice, qui veut un KitKat
00:14:50Bizin n'est pas
00:14:52pas très officiel pour dire hier
00:14:54on peut dire ça au niveau mondial
00:14:56pour un diplomate, non mais c'est moi
00:14:58et je prie
00:15:00que Donald Trump vienne à la raison
00:15:02en ce qui concerne
00:15:04souveraineté, en ce qui concerne bail
00:15:06en ce qui concerne négociation
00:15:08l'Ikléa est née
00:15:10qui, sa base d'Igoula
00:15:12nous prend, moi pour moi
00:15:14moi pour finir quitte sa la terre là, moi pour aller
00:15:16mes enfants pour là, puis on a l'autre enfant
00:15:18on a l'autre, nous, l'américain
00:15:20et l'anglais pour un coup qui base
00:15:22d'Igou Gorsha
00:15:24pas courir nous là, l'Ikléa qui
00:15:26se pourrisse là-bas, pas courir
00:15:28nous là, et elle demande
00:15:30qu'est-ce qu'elle va faire d'autre
00:15:32qu'est-ce qu'il y a de gouvernement pour
00:15:34d'Igou Gorsha
00:15:36pour dire américain et anglais
00:15:38allez non, il n'est pas
00:15:40possible, donc mon pensée
00:15:42moi, tout seul, je connais
00:15:44une situation, un lacroix à l'armée, mais beaucoup
00:15:47mais le plus profitable pour Maurice
00:15:49oui, on peut squattre ma base
00:15:51mais allez, nous trouvons un lacroix au niveau industriel
00:15:53nous trouvons un lacroix au niveau exploitation
00:15:55au niveau importation
00:15:57et moi, j'ai besoin de développer mon pays pour qu'il y ait un autre
00:15:59pour qu'il y ait un casse
00:16:01avec le gouvernement, qu'est-ce qu'il faut faire ça
00:16:03c'est pour développer mon pays, il faut développer ma république
00:16:05donc, mon pensée
00:16:07qui, là, trop bonheur
00:16:09pour dire qu'il peut arriver, nous dans un contexte très difficile
00:16:11la partie
00:16:13mauricienne très déterminée, chapeau à Jacques
00:16:15la partie américaine
00:16:17peut veiller, peut guetter
00:16:19comme on voit dedans, avec l'anglais
00:16:21peut négocier, mais c'est moi
00:16:23qui peux négocier, je peux dire, je peux dire qu'un hot potato
00:16:25je ne sais pas trop
00:16:27est-ce qu'il y a des Américains qui sont contents
00:16:29de la négociation là, ou bien les Américains
00:16:31ne sont pas contents, nous faisons
00:16:33non, statu quo
00:16:35attendons un petit moment, donc
00:16:37il n'y a pas d'issue, et il y en a
00:16:39frayé aussi, du côté
00:16:41de l'américain et l'anglais, et que je pense
00:16:43c'est moi qui, gouvernement
00:16:45Maurice, avec sa spécialité
00:16:47qui nous est là, nous avons un docteur
00:16:49Amgoulam, nous avons un honorable Béranger, nous avons
00:16:51un ministre
00:16:53externe à l'affaire, nous avons
00:16:55un attendant général, et que nous avons
00:16:57un amitié urbain avec
00:16:59Direnne Devy, je ne peux pas penser que
00:17:01je pourrais tout brider.
00:17:03Donc, situation très complexe
00:17:05pour ce dossier, nous voulons
00:17:07comprendre, donc un compromis, un accord
00:17:09pour mieux
00:17:11Maurice, en tout cas
00:17:13donc, nous pouvons aborder le sujet
00:17:15mais juste avant, nous pouvons
00:17:17prendre
00:17:19Raja Ramnagal, avant aborder ce sujet,
00:17:21je voudrais vous poser un peu, brièvement, pendant
00:17:23quelques minutes, qu'il y en a, avant le temps pour rien,
00:17:25la situation à Gaza
00:17:27l'accord de cesser
00:17:29le feu, nous le connaissons le 15 janvier
00:17:31entre Israël et le Hamas, finit
00:17:33l'accord de
00:17:35cesser le feu, ou en tant
00:17:37un avocat, comment vous évaluez,
00:17:39l'appréciation de la situation, est-ce que vous pensez,
00:17:41Sarpoutini, avant
00:17:43qu'il n'y commence, bien sûr. Pour commencer,
00:17:45c'était une guerre inutile,
00:17:47ils ont perdu beaucoup de leur vie pour venir,
00:17:49pas de ceux qui sont arrivés,
00:17:51ils sont arrivés, malheureusement,
00:17:53ils finissent beaucoup
00:17:55de la haine qu'ils ont développé
00:17:57au fur et à mesure
00:17:59et comme je vous l'ai dit,
00:18:01c'est la volonté américaine
00:18:03pour qu'ils arrêtent cette affaire-là.
00:18:05J'espère qu'il y a une réalité
00:18:07parce que n'importe
00:18:09quel pays n'était pas capable
00:18:11d'avoir
00:18:13tous les jours comme ça. Hier,
00:18:1576, ils ont perdu leur vie
00:18:17pour venir, nous dans l'accord de cesser
00:18:19le feu, il n'est pas possible,
00:18:21il n'est pas juste là-bas, là,
00:18:23nous rappelons qu'il y a une solution,
00:18:25et nous rappelons qu'il s'agit d'un arrêté.
00:18:27Solution sur papier. Sur papier, mais vous arrêtez
00:18:29une fois pour toutes,
00:18:31nous pouvons éliminer nous-mêmes, après,
00:18:33entre nous-mêmes, nous faisons la vie difficile
00:18:35pour qui raison, base de quoi?
00:18:37Ça n'a aucun sens.
00:18:39Ils n'arrivaient pas à arrêter que ça.
00:18:41Et vous pensez, moi,
00:18:43je vous le dis, je ne vais pas
00:18:45engager le gouvernement,
00:18:47m'engage-moi personnellement,
00:18:49vous pensez, moi, depuis
00:18:51l'époque de Kofi Annan,
00:18:53depuis l'United Nations,
00:18:55là-bas, on commence à faire du travail,
00:18:57il y a beaucoup de secrétaires de l'United Nations,
00:18:59mais seulement, de petits voisins,
00:19:01il y en a, même Sten qui est Kofi Annan,
00:19:03Kofi Annan qui a envie
00:19:05d'arrêter de se battre en Irak
00:19:07quand Tchibouine a invasion
00:19:09en Irak, et
00:19:11des fois, il visite Saddam Hussein
00:19:13parce qu'il concerne
00:19:15euh, euh,
00:19:17ben, ben, comment on appelle ça?
00:19:19Ben, des hommes
00:19:21destructifs, qu'ils soient disant
00:19:23en Irak, Tchéna. Il va visiter
00:19:25Saddam Hussein, Tchibouine, en plus,
00:19:27il va enquêter à l'United Nations,
00:19:29dans ce pays, après, il nous a concédé,
00:19:31c'est-à-dire que
00:19:33pour arrêter tout ça,
00:19:35mais l'United Nations,
00:19:37il nous a engagé, je pense, un peu plus
00:19:39dans un conflit
00:19:41qu'il y a dans notre pays,
00:19:43il nous a engagé plus, et il n'est pas
00:19:45dans les sanctions économiques,
00:19:47il n'est pas dans les sanctions au niveau
00:19:49de la diplomatie, mais l'engagement
00:19:51personnel de secrétaire
00:19:53de l'Union Nationale,
00:19:55nous ne l'avons pas,
00:19:57moi, l'engagement personnel,
00:19:59c'est-à-dire qu'il y a un secrétaire
00:20:01de l'Union Nationale,
00:20:03un officiel d'Union Nationale
00:20:05qui, vraiment, il a la calibre
00:20:07de ce pays pour arrêter toute la guerre.
00:20:09Il n'arrivait pas à arrêter ça.
00:20:11Et là, nous nous apprenons qu'il y a un otage français
00:20:13où le président français
00:20:15Emmanuel Macron, il nous dit qu'il y a
00:20:17deux franco-israéliens qui figurent
00:20:19parmi la liste de l'otage, donc finalement,
00:20:21la liste de l'otage
00:20:23qui pourrait être libérée,
00:20:25donc, c'est déjà un bon début.
00:20:27C'est un bon début, oui, mais on réalise qu'en 2025,
00:20:29on ne peut pas être humain
00:20:31en otage.
00:20:33Quelle est ta mortalité, ça?
00:20:35Quelle est ta légitimation, ça?
00:20:37Mais, je te dis,
00:20:39il n'y a aucune règle aux droits humains
00:20:41de dire qu'on ne vient pas
00:20:43de bouclier pour rien.
00:20:45Tout le monde,
00:20:47il a besoin de comprendre qu'on vient de l'autre côté
00:20:49pour
00:20:51nous donner l'illusion.
00:20:53Nous, on vient de l'autre côté pour nous donner l'illusion.
00:20:55Nous, on vient de l'autre côté pour nous donner l'illusion.
00:20:57Après, nous, on ne quitte tout pour aller
00:20:59pour la guerre terrain, pour la guerre territoire.
00:21:01Mais, je me demande,
00:21:03c'est qui continue la guerre territoire?
00:21:05Ça veut dire, une génération
00:21:07avant, deuxième génération, troisième génération,
00:21:09nous parlons de la deuxième génération,
00:21:11nous, on continue la guerre territoire
00:21:13et personne ne peut prendre le territoire en se poilant.
00:21:15Vous savez, il y a,
00:21:17c'est comme on dit, beaucoup d'organisations
00:21:19internationales, vous êtes envolés, vous faites connaître,
00:21:21et tout ça. Le monde a besoin de paix maintenant.
00:21:23Le monde a besoin de paix,
00:21:25nous ne pouvons pas continuer,
00:21:27et je pense, moi,
00:21:29personnellement, les Nations Unies
00:21:31ont un rôle très, très faible.
00:21:33Les Nations Unies n'ont pas engagé
00:21:35assez pour trouver des solutions.
00:21:37Nous trouvons qu'il y a
00:21:39des grands forums
00:21:41internationaux pour débattre,
00:21:43mais c'est ici qu'ils viennent, qu'ils viennent causer,
00:21:45qu'ils viennent faire des causes,
00:21:47mais en ce moment, il n'y a pas d'action concrète.
00:21:49Donc, nous, les leaders du monde,
00:21:51nous sommes un petit peu plus kickings,
00:21:53nous sommes plus involvés, nous sommes plus réalisés
00:21:55que quand une famille peut détruire,
00:21:57quand une époque peut détruire,
00:21:59quand une génération peut détruire,
00:22:01mais il n'y a pas de quoi aller là.
00:22:03Et quand au bureau de contrôle,
00:22:05on veut gagner le terrain, on veut gagner du bien,
00:22:07il y a des humours, il y a des tensions,
00:22:09mais il y a une bataille.
00:22:11Et selon vous, donc, enfin,
00:22:13pas selon vous, mais le cathole,
00:22:15le médiateur, tout le temps,
00:22:17personne ne parle fin de rémédiation,
00:22:19est-ce que c'est le rôle du cathole
00:22:21qui finit par permettre la médiation
00:22:23premièrement, et à cet accord,
00:22:25et en compagnie de l'Egypte également?
00:22:27Bien sûr, parce que dans les environs,
00:22:29vous êtes obligés, nous, vous êtes là-dedans.
00:22:31Vous êtes obligatoirement.
00:22:33Le cathole, c'est un pays tranquille,
00:22:35le cathole est un pays qui peut performer,
00:22:37le cathole est un pays qui, quelques temps,
00:22:39la moitié des décennies, a participé
00:22:41au niveau de développement
00:22:43que ce pays-là a pu faire. L'Egypte aussi,
00:22:45elle a fait beaucoup de révolutions.
00:22:47L'Egypte, elle n'a pas fait beaucoup de révolutions,
00:22:49imaginez-vous, il y a un politicien,
00:22:51un président,
00:22:53il est emprisonné,
00:22:55il est assassiné
00:22:57en plein public performance.
00:22:59Donc, moi, je m'adapte à ça,
00:23:01mais je pense
00:23:03qu'il est obligé d'être impliqué.
00:23:05L'Egypte est impliquée,
00:23:07le cathole est impliqué.
00:23:09S'ils ne laissent pas aller,
00:23:11ça n'a qu'à faire que les autres vont ici.
00:23:13Et moi, je dirais...
00:23:15Il est obligé d'être impliqué dans le territoire.
00:23:17Il est obligé d'être impliqué dans le territoire,
00:23:19c'est un pays qui peut se développer,
00:23:21c'est un pays qui peut être méga riche,
00:23:23c'est un pays qui peut faire du monde.
00:23:25Quand on regarde l'histoire de Dubaï,
00:23:27on regarde l'histoire de Qatar,
00:23:29on regarde l'histoire de l'Iran, l'Irak,
00:23:31on ne sait pas s'il y a l'Iran, l'Irak,
00:23:33ou l'Iran, l'Irak, je ne sais pas,
00:23:35il y a beaucoup de raisons.
00:23:37Donc, il y a beaucoup d'affaires qui se passent
00:23:39sur la Terre,
00:23:41à travers l'éducation,
00:23:43je pense que les super-pouvoirs,
00:23:45ils ont aidé,
00:23:47pas piétiné dans un pays
00:23:49qui a un problème de mentalité,
00:23:51qui a un problème d'égo,
00:23:53mais ils ont aidé à se développer.
00:23:55Et ces affaires-là, ils n'arrivent pas à arrêter.
00:23:57Les affaires de l'Ukraine,
00:23:59les affaires de la Russie,
00:24:01les affaires palestiniennes,
00:24:03les affaires israéliennes,
00:24:05ça, ils n'arrivent pas à arrêter.
00:24:07Aussi, les coups d'État,
00:24:09il y a des coups d'État qui se déroulent
00:24:11et les militaires prennent le pouvoir
00:24:13et autour des militaires,
00:24:15ils font plus bien que les dirigeants qui sont là.
00:24:17Ce n'est pas un pays que je veux qu'ils fassent.
00:24:19Mais ils vont mettre l'autre dans le pays.
00:24:21Ils vont éliminer la corruption.
00:24:23Enfin, pour le moment.
00:24:25Pour le moment.
00:24:27Mais je pense...
00:24:29Il y a même une réglementation pour l'instant.
00:24:31À un certain moment, je pense qu'ils retournent
00:24:33vers la démocratie. Par exemple,
00:24:35la cascade qui a été avant avec le président,
00:24:37ils retournent vers la démocratie,
00:24:39c'est-à-dire qu'il y a des élections qui sont souhaitables.
00:24:41Pays d'Afrique.
00:24:43Parce que nous, on est venus ici,
00:24:45dans l'United States of America.
00:24:47On a rencontré un magasin, on a acheté plusieurs t-shirts,
00:24:49puis un magasin, je peux même te montrer ce nom,
00:24:51un magasin,
00:24:53un ancien t-shirt,
00:24:55United States of Africa.
00:24:57Nous, on est en Afrique,
00:24:59on est à Madagascar,
00:25:01on est dans le petit l'île Maurice.
00:25:03Mais vous connaissez comment c'est joli ça?
00:25:05Vous connaissez l'United States of Africa,
00:25:07c'est un petit l'île Maurice qui
00:25:09performe avec nous,
00:25:11et nous, nous développons
00:25:13les ressources humaines, nous développons
00:25:15les ressources naturelles.
00:25:17Donc, voilà.
00:25:19Enfin, merci pour ces
00:25:21jolis mots pour l'unité
00:25:23africaine. Donc, déjà dix-huit heures
00:25:25sur Top FM. Nous manquons une pause et nous
00:25:27retrouvons dans quelques instants pour la suite.
00:25:37Chargez notre application
00:25:39Top FM Radio sur App Store,
00:25:41Play Store et sur aussi
00:25:43Huawei App Gallery.
00:25:45Top FM Live TV, une grande
00:25:47première. Vivez en temps réel.
00:25:49La première radio
00:25:51TV de Maurice.
00:25:53Découvrez notre studio,
00:25:55nos animateurs,
00:25:57vos hits musiques préférés
00:25:59en clip et l'info
00:26:01complète, factuelle
00:26:03et crédible.
00:26:07Grande soirée
00:26:09de gala. Disque de l'année
00:26:112025. Organisé par
00:26:13Top FM au Souffrane Hotel
00:26:15et Marina, samedi 25 janvier
00:26:17pour tiers 19h.
00:26:19Une soirée exceptionnelle que Top FM
00:26:21peut célébrer et récompense
00:26:23d'un artiste gagnant du disque
00:26:25de l'année et le social hit.
00:26:27Vous avez besoin d'une occasion pour un artiste ?
00:26:29Ici, nous avons
00:26:31Raquel.
00:26:37Et surtout,
00:26:39grande soirée Ziggity Sensation.
00:26:41Comme un DJ,
00:26:43Spikey V, Nielke,
00:26:45mettrons le feu au dancefloor.
00:26:47Une soirée à ne pas rater.
00:26:49Samedi 25 janvier
00:26:51au Souffrane Hotel et Marina
00:26:53à portière de 19h.
00:26:55Billet très limité à 350 rupees seulement.
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00:28:41Top FM Live TV.
00:28:43Sept sur sept,
00:28:45l'actualité et les événements de la
00:28:47semaine décortiquée.
00:28:51De retour sur le plateau de
00:28:53sept sur sept, décryptage
00:28:55de l'actualité en soixante
00:28:57minutes. Là, nous parlons vers l'autre
00:28:59volet, nous parlons vers le volet
00:29:01émotion, ce qui finit là, pas moins de
00:29:03quatorze nominations sur ce board de
00:29:05directeur. Nous finirons là l'intervention
00:29:07un peu plus tôt de
00:29:09Raj Ramlagon. Justement, nous parlons
00:29:11de son petit entretien.
00:29:13Donc,
00:29:15Raj Ramlagon, merci
00:29:17d'être présent, enfin,
00:29:19par téléphone avec nous ce soir.
00:29:21Donc, par rapport à la situation des
00:29:23Mauritius, nous finirons là, plusieurs nominations
00:29:25qui finiront là après l'avènement du
00:29:27nouveau gouvernement. Quelle est l'appréciation
00:29:29de ça et quelle est l'attente
00:29:31de ce nouveau board-là?
00:29:33Oui, d'abord,
00:29:35je trouve que c'est une appréhension concernant
00:29:37l'enjeu que nous avons choisi.
00:29:39Bien sûr, il faut comprendre dans
00:29:41quel contexte ces Mauritius étaient
00:29:43aujourd'hui, après l'administration
00:29:45volontaire, après le passage sous EHL
00:29:47et encore une fois, nous ne connaissons pas
00:29:49EHL, encore on existe ici-là,
00:29:51avec le scandale qui finit là avant,
00:29:53l'abus. Dans tout ça,
00:29:55le gouvernement
00:29:57qui est en place aujourd'hui,
00:29:59ce n'est pas pour l'ironie,
00:30:01je le dis très carrément, il est venu avec
00:30:03une volonté du peuple qui a envie de trouver un vrai
00:30:05changement. Alors,
00:30:07toute l'action que le gouvernement prend
00:30:09sous le leadership du Premier
00:30:11Ministre, il pourrait s'allier
00:30:13à la crédibilité
00:30:15du gouvernement.
00:30:17C'est-à-dire, si
00:30:19le vrai changement est fait avec
00:30:21des gens qui n'ont pas
00:30:23une crédibilité ou un track record
00:30:25clair et net, surtout
00:30:27dans le domaine de l'économie, ils pourraient
00:30:29s'allier au Premier Ministre et au gouvernement
00:30:31également, et là, ce slogan,
00:30:33là, ce pledge de vrai changement
00:30:35qui nous tient là, est-ce qu'il pouvait
00:30:37avoir ça au-delà de lui-même ?
00:30:39On est dans un contexte très difficile d'abord aujourd'hui,
00:30:41quand des gens me disent « tu peux critiquer ça,
00:30:43tu peux critiquer ça » ou ça,
00:30:45qui sont ces gens-là ?
00:30:47Voilà quand on est arrivé dans ce pays-là aujourd'hui.
00:30:49Il y a des gens qui ont un grand bordel de diplômes,
00:30:51de professionnel status,
00:30:53mais après, quand on regarde dans le domaine
00:30:55qu'ils ont, c'est parce
00:30:57qu'ils, sous différents régimes,
00:30:59ne peuvent pas créer de la succession planning
00:31:01à l'intérieur de leurs compagnies, et même dans le pays,
00:31:03pour assurer une relève.
00:31:05Quand on prend le pouvoir politique, c'est une chose,
00:31:07mais avec 60 candidats,
00:31:09pour centaines de pays,
00:31:11on doit aussi avoir des gens qui ont la capacité,
00:31:13qui ont l'intégrité, qui ont l'amour,
00:31:15mais qui compagnent le pays
00:31:17sur l'intérêt avant tout.
00:31:19Qu'est-ce que ces gens-là ont aujourd'hui ?
00:31:21C'est à mon recherche que je me dis aujourd'hui « rabat »
00:31:23à ces anciens gens-là, qui avaient, comme on peut le dire partout,
00:31:25je dis là, quand il y a eu un scandale
00:31:27en 2008, en 2001,
00:31:29et là, je dis là, aujourd'hui, nous pouvons rêver
00:31:31à l'avenir, est-ce que c'est parce qu'ils ne peuvent pas
00:31:33favoriser l'loyauté
00:31:37au détriment de l'intérêt supérieur du pays
00:31:39et de sa compagnie ? Là, je te le dis aujourd'hui,
00:31:41il y a des gens qui sont là,
00:31:43pas seulement pour émettre business
00:31:45en morse, mais également
00:31:47pour qu'ils s'accompagnent de l'intérieur, une fois pour toutes,
00:31:49nous arrêter avec sa politique
00:31:51clandestine, avec son syndicalisme
00:31:53mergénaire, qui est là,
00:31:55qui n'accompagne pas le CEO,
00:31:57pas le CEO pour être sauvage. Est-ce que
00:31:59le Premier ministre, moi, je lui ai
00:32:01une correspondance avec l'ancien, avec le Président,
00:32:03m'a donné confiance
00:32:05sur une réserve, mais chaque personne
00:32:07qu'ils ont nommée, il y a une indication
00:32:09et Morocco sera le test
00:32:11dans quelle direction
00:32:13le vrai changement peut aller,
00:32:15soit dans le cynique,
00:32:17ou dans les gens qui, comme on dit,
00:32:19ont échoué, créé l'eau froide,
00:32:21est-ce qu'ils pourraient nous retourner
00:32:23dans le même système, seulement
00:32:25avec un changement de l'acteur
00:32:27à la scène. Donc, en Morocco, ce n'est pas seulement
00:32:29avec un acteur, c'est même des gens
00:32:31avec un différent causé. Tout ça, il y a
00:32:33des questions pour qu'ils aient une direction politique
00:32:35là, et même, autre,
00:32:37écoutez,
00:32:39parce que moi, je ne suis pas un
00:32:41M. Kounetou d'en Morocco, mais je suis capable
00:32:43de connaître chaque personne
00:32:45qui veut, en termes de contribution,
00:32:47de l'intégrité, et que je place
00:32:49l'intérêt de la compagnie. Voilà.
00:32:51Et par rapport à ce qu'on a vu aujourd'hui,
00:32:53je trouve qu'il y a un gros problème
00:32:55dans, si tu allais me poser ma question là,
00:32:57comment est-ce qu'il est capable, en Morocco,
00:32:59d'avoir une respectation, d'abord,
00:33:01mais il n'est pas négatif qu'en Morocco, aujourd'hui, il faut
00:33:03une partie, une entité, un holding
00:33:05qui s'appelle EHL. Ce EHL-là,
00:33:07il disparaît de ça. Ce CEO, je te le dis en courant,
00:33:09est-ce que c'est un bon M. Dastomar
00:33:11ou un autre qui est venu,
00:33:13ou n'importe qui CEO, pour reporter.
00:33:15Vous avez reporté que c'est un holding, ça ?
00:33:17Est-ce que c'est M. Chican d'Orient qui a la tête
00:33:19de tout ça, de sa grande masse d'hommes qui m'ont
00:33:21et qui, au début, me disait ce monde-là ?
00:33:23Vous savez, si vous avez une clarté,
00:33:25l'ownership structure,
00:33:27c'est pour
00:33:29affecter ou
00:33:31organiser une structure,
00:33:33ou accountability aux structures,
00:33:35ou good governance,
00:33:37et même à l'intérieur de la compagnie,
00:33:39il y a un rôle de clarté qui peut être différent
00:33:41parce qu'il y a un decision-making center,
00:33:43et nous connaissons ça, ce qui est arrivé
00:33:45depuis des années, quand
00:33:47la personne ou les personnes qui sont nommées
00:33:49savent la guerre pour être le plus proche
00:33:51du premier ministre, savent quand
00:33:53lui, qui est le maître à bord,
00:33:55le calife à la place du calife. Tout ça, maintenant,
00:33:57s'il permettait, il pourrait créer
00:33:59beaucoup, beaucoup d'émotivation, et il pourrait gagner
00:34:01mauvais, mauvais, le gouvernement
00:34:03avec sa promesse de
00:34:05vrai changement, qu'il peut dire.
00:34:07Moi, Franck, je ne suis pas de la personne de l'année,
00:34:09si vous me dites où est-ce que vous êtes d'abord,
00:34:11je ne vais pas faire l'équipe,
00:34:13même si le premier ministre m'a dit,
00:34:15si je ne suis pas clair, qu'il n'y a pas la tête d'une compagnie.
00:34:17Parce que moi, je ne m'attendais pas à cette compagnie
00:34:19pour avoir un deuxième sens.
00:34:21S'ils m'avaient dit que je n'étais pas d'accord, je n'y serais pas allé.
00:34:41Vous savez, c'est facile pour me prescrire,
00:34:43ou même, je ne sais pas pourquoi dire moi,
00:34:45une chose qui est bien importante,
00:34:47c'est qu'il y a un état des lieux
00:34:49de ce qui est passé. Encore une fois,
00:34:51avec raison, M. Kishore Bigouf,
00:34:53il me dit, j'espère qu'il n'y a pas de diversion
00:34:55avec, comment dire, même le POG
00:34:57et Pulse Analytics
00:34:59pour qu'ils lancent une chose,
00:35:01et c'est qu'il me dit qu'il y a une raison.
00:35:03Je ne sais pas si c'est l'équipe ou là, ou après,
00:35:05mais il y a un état des lieux,
00:35:07une enquête, pour connaître qui fait
00:35:09les décisions qu'il prend pour l'administration,
00:35:11concernant
00:35:13les conflits, concernant le route management,
00:35:15concernant un employé qui a de longues expériences
00:35:17qui fait mes déos,
00:35:19mais après, qui est prioritaire à Mauritieuse,
00:35:21c'est qu'à Mauritieuse, dans tous les domaines,
00:35:23de l'intérieur comme de l'extérieur,
00:35:25il y a une mise en ordre
00:35:27avec des personnes compétentes
00:35:29mais aussi intègres
00:35:31et qui, comment dire, inspirent
00:35:33confiance. Le mot-clé pour le gouvernement,
00:35:35c'est que tous les gens qu'ils nomment,
00:35:37ils ajoutent à ce capital confiance.
00:35:39Comment on amène ça ?
00:35:41Par exemple, à Mauritieuse, moi, trois positions
00:35:43ou quatre positions clés, c'est que j'ai besoin
00:35:45des gens qui peuvent s'occuper
00:35:47ou qui peuvent bien, j'ai besoin d'apporter
00:35:49des contributions au management
00:35:51pour corriger les choses quand elles arrivent à temps
00:35:53et non pas juste les mettre en stock
00:35:55à temps bon après aller. Le chairman,
00:35:57c'est la clé. Je pense que
00:35:59quand j'ai choisi d'investir avec
00:36:01quelqu'un qui est un ami
00:36:03qui m'accompagne depuis longtemps, qui comprend,
00:36:05mais il n'y a pas que
00:36:07capable, il y a des gens qui sont là depuis longtemps
00:36:09qui sont là pour faire des choses
00:36:11qui sont controversées, qui sont capables de faire
00:36:13des choses parce qu'il y a beaucoup de gens qui ont
00:36:15de la connaissance dans l'aviation et surtout
00:36:17dans la politique qui est installée
00:36:19à l'intérieur, il y a beaucoup de gens qui sont des clans,
00:36:21politiques de clans, sous-tirs et ports, différents
00:36:23studios depuis 2000 surtout,
00:36:25mais on ne peut pas en mettre l'autre.
00:36:27Ça veut dire de l'extérieur, pour Bézins Gueté,
00:36:29est-ce que le business model
00:36:31qui est cadré avec la politique
00:36:33touriste
00:36:35de Lille-Maurice, Bézins Gueté qui gouverne
00:36:37ce politique d'accès à l'aérienité,
00:36:39est-ce que si nous continuons à ouvrir les îles
00:36:41parce qu'il y a Mauritius qui paie d'avions pour aller dans la pêle
00:36:43et que l'île vous compte, est-ce que
00:36:45il y a Mauritius qui va plus s'affaiblir
00:36:47ou est-ce que Bézins Gueté est capable d'évaluer tous ces paramètres-là?
00:36:49Est-ce que Bézins Gueté est capable d'évaluer aussi
00:36:51est-ce qu'il y en a suffisamment d'avions?
00:36:53Est-ce que priorité de priorité,
00:36:55je vous dis, si vous payez des mains de moi,
00:36:57le gouvernement Bézins l'a engagé
00:36:59pour récapitaliser Mauritius. Comment il fait ça?
00:37:01Est-ce que
00:37:03Bézins Gueté, je vous dis, pour récapitaliser,
00:37:05il faut qu'il y ait 10 répétitions
00:37:07avec les mêmes gens, les mêmes clans,
00:37:09les mêmes chronismes qui finissent là
00:37:11mais des points zéros qui tiennent en avant.
00:37:13Bézins Gueté est capable de récapitaliser avec l'argent public.
00:37:15Ça veut dire qu'il peut, dans la situation
00:37:17difficile qu'il a été, il peut Bézins
00:37:19faut gouverner d'autres priorités pour aider à Mauritius.
00:37:21Mais aider à Mauritius en connaissance de cause,
00:37:23ou Bézins Gueté, le Premier ministre,
00:37:25a dit qu'il avait le portefeuille des finances,
00:37:27Bézins Gueté le connaît.
00:37:29C'est là que j'ai trouvé Bézins Gueté.
00:37:31Vous savez, aujourd'hui, dans le monde
00:37:33où je suis, il n'est pas clair pour moi
00:37:35que ça ne représente pas MIC,
00:37:37que ça ne représente pas EHL, vous connaissez où ?
00:37:39Et ça décompagne les autres qui ont à 100%
00:37:41EHL,
00:37:43MIC a 49%, le gouvernement
00:37:4551%.
00:37:47Qu'est-ce que ça peut représenter
00:37:49dans ce monde-là, aujourd'hui ?
00:37:51Alors, ça c'est de l'extérieur
00:37:53où il y a de la flite, où il y a de la route,
00:37:55où il y a de la capacité énorme pour qu'on arrive
00:37:57à l'appel, où vous êtes capable de balancer ça
00:38:00et je tiens la raison, parce que je devais
00:38:02faire profit, right ? Je pouvais venir
00:38:04et je pense à moi aussi qu'à Mauritius,
00:38:06il y a des gens qui finissent de presque être payés
00:38:08partout, dans l'Europe, dans l'Asie, etc.,
00:38:10où vous trouvez encore plus d'hommes,
00:38:12ou bien capables aussi
00:38:14d'être à l'intérieur de sa compagnie
00:38:16après hedging,
00:38:18après passage surtout
00:38:20à l'administration volontaire et délaissage
00:38:22massif de manière assez
00:38:24arbitraire qu'il le fait,
00:38:26que tu vois la route du monde pour remettre sa compagnie en marche,
00:38:28moi, il y a des trois secteurs clés,
00:38:30je ne vais pas parler trop de loin,
00:38:32qu'il y a à Mauritius, il y a des gens qui
00:38:34viennent, qui écoutent le syndicat,
00:38:36qui écoutent l'employé, mais ils ont une
00:38:38compréhension de dans quelle direction,
00:38:40par rapport à avec qui ils jouent une partie,
00:38:42et ils ne vont pas les céder partout,
00:38:44ils font des compromissons pour qu'ils survivent.
00:38:46Par exemple, à l'intérieur de Mauritius,
00:38:48il y a des gens clés,
00:38:50bien importants, des gens qui mettent sur le caleçon,
00:38:52qui passent jusqu'à moi, moi, je crie,
00:38:54il y a des pays,
00:38:56que ce soit le syndicat, que ce soit une grande égauchardière
00:38:58qui lit pendant l'administration volontaire jusqu'à aujourd'hui,
00:39:00et qui dit, je ne choupe chape,
00:39:02au lieu de dire qu'un nouveau vote, je peux valider,
00:39:04je peux donner un point,
00:39:06qui s'en a, qui bon.
00:39:08Ou il y a des gens extrêmement
00:39:10compétents et solides dans HECOR,
00:39:12c'est ça, pour étudier à l'intérieur
00:39:14et à Mauritius, ils déroulent,
00:39:16en complice avec eux, ils prennent des termes
00:39:18de nomination bancale qui finissent là,
00:39:20comme je l'ai dit, parce qu'ils ont fait l'enquête,
00:39:22là aussi, ils ont fait ça.
00:39:24Il faut qu'il y ait des gens dans les opérations.
00:39:26Ce chef d'opérations officielle
00:39:28qu'ils ont nommé récemment sur Charles Courtier,
00:39:30il faut bien s'aggraver tout le respect.
00:39:32C'est là qu'on va dire qu'il y a un deuxième CEO,
00:39:34parce qu'il y a le champ de bataille.
00:39:36Là où l'action se déroule
00:39:38d'une airline, c'est dans les opérations.
00:39:40Grandes opérations,
00:39:42flight operations, cabin crew,
00:39:44tout ça, si vous ne maîtrisez pas ça,
00:39:46et tout ce qui est sur le côté
00:39:48opérationnel, administratif, service,
00:39:50training, vous pouvez
00:39:52trouver un service qui vous permet
00:39:54d'aller partout, et dans 5 ans, vous pouvez
00:39:56aller à Pékin ou à Timotée.
00:39:58Tout ça, c'est l'exemple qu'il y a à travers
00:40:00la bourgeoise. Le premier ministre ne s'est pas écouté.
00:40:02Tout ça, il a dit qu'il n'y avait pas de problème.
00:40:04Il a dit qu'il connaissait tout ce qu'il pouvait dire.
00:40:06Je connais tout ce qu'il pouvait dire.
00:40:08C'est la différence qu'il y a
00:40:10entre l'intérêt trouvé et ce qu'il ne pouvait pas trouver.
00:40:12C'est parce que l'intérêt compagnie,
00:40:14l'intérêt pays, mille fois.
00:40:16Donc,
00:40:18des questions,
00:40:20est-ce que cette nomination
00:40:22peut influencer la stratégie d'MHS
00:40:24notamment dans le cadre de ce développement
00:40:26en vue des prochaines années,
00:40:28et en quoi est-ce que
00:40:30ce board qui a été nommé
00:40:32est-il mieux équipé pour
00:40:34faire face à des défis
00:40:36qu'il n'est pas capable de reléver,
00:40:38ou qui mettent MHS dans la situation qu'il y a.
00:40:40Moi, je propose
00:40:42des vêtements.
00:40:44Le CEO, c'est la clé.
00:40:46Le board, c'est le chairman.
00:40:48C'est la clé.
00:40:50Il y a des gens qui sont solides,
00:40:52qui comprennent MHS, qui comprennent l'aviation
00:40:54d'HR, qui peuvent faire
00:40:56des compromissions, mais qui respectent
00:40:58et donnent aux gens ce qu'ils ont mérité
00:41:00et reconnaissent que ce sont des gens compétents
00:41:02et non pas des lèches-bottes, des bâtards à la colle.
00:41:04C'est pour ça qu'il y a des gens
00:41:06d'opérations.
00:41:08Un chef d'opérations, c'est un des gens
00:41:10qui sont plus solides
00:41:12que le CEO de l'aviation.
00:41:14Parce que c'est lui qui pousse le terrain dans
00:41:16l'aviation, dans le monde où l'aviation est là.
00:41:18On peut faire comme ça.
00:41:20Et après, on dit qu'un commissaire d'enquête,
00:41:22c'est assez pour les gens.
00:41:24Moi, je dis qu'une fois qu'on a tous
00:41:26cette coopération et que l'entité
00:41:28de l'État est contrôlée,
00:41:30il n'y a que moi dans l'Amérique et dans beaucoup de pays
00:41:32qui ont une commission parlementaire.
00:41:34Pas pour faire la chasse aux sorcières,
00:41:36mais pour que les gens viennent déposer.
00:41:38Pour qu'ils sachent ce qu'ils font.
00:41:40Il y a tant de problèmes qui peuvent se dérouler
00:41:42quand les faiblesses se trouvent.
00:41:44Si légalement, on n'est pas prêt à prendre action,
00:41:46où il y a 100% parlementaires,
00:41:48où il y a 60 zéros aujourd'hui,
00:41:50ou même plus, où il y a la majorité absolue,
00:41:52on prend bien l'action
00:41:54pour que les faiblesses se trouvent dans la loi.
00:41:56Parce qu'il n'y a pas qu'un CEO qui est rentré l'année dernière
00:41:58qui n'a pas pété un téléphone parce qu'il ne connaissait pas
00:42:00son contrat en béton.
00:42:02Comment est-ce que chaque parti politique qui vient,
00:42:04et qu'il y a une compagnie qui a zéro,
00:42:06qui peut survivre avec leurs contribuables,
00:42:08ils ont dit à leurs politiciens
00:42:10qu'ils n'avaient pas le temps de faire le contrat qu'ils avaient fait
00:42:12en béton.
00:42:14Ils ont parlé avec leurs parachutes dorés,
00:42:16avec leurs pauvres employés,
00:42:18avec leurs pensionnats qui ont dit
00:42:20qu'ils devaient couper une fougette de la plaine avec un acier
00:42:22pour qu'ils ne puissent pas les casser.
00:42:24Mais si c'est le gouvernement qui dit non,
00:42:26légalement on ne peut rien faire.
00:42:28Mais où il y a le Parlement, c'est le Parlement qui est le body suprême
00:42:30pour faire la loi dans le pays.
00:42:32Allez vérifier, ce n'est pas la Cour.
00:42:34Si c'est la loi pour les faiblesses qui se trouvent,
00:42:36pour protéger leurs petits copains et leurs élites,
00:42:38amendez pour qu'ils, dorénavant,
00:42:40ne soient pas en élection.
00:42:42Après, quand vous êtes allés, vous n'êtes pas en millions.
00:42:44Chaque fois, allez, venez, allez, venez.
00:42:46C'était ça.
00:42:48Là, quand je m'amène,
00:42:50je peux travailler dans ma tête en dehors,
00:42:52je peux faire des promotions,
00:42:54parce qu'illégalement, on finit de faire des promotions,
00:42:56mais je suis assisé.
00:42:58Et là, ils me suspendent depuis un an, un an et demi.
00:43:00En gros, j'ai des casquettes,
00:43:02et de toute façon, je ne peux pas retourner,
00:43:04parce que l'élection politique oblige.
00:43:06Et là, dans l'autre côté,
00:43:08franchement, qu'ils aient une tumeur,
00:43:10c'est un premier ministre,
00:43:12et qu'il y a des gens qui sont autour de lui,
00:43:14il n'y a pas de gens qui sont autour de lui.
00:43:16Mais il y a des gens qui sont venus dans les mêmes affaires
00:43:18qui sont arrivées en 2014,
00:43:20et à Mauritius, pour les retrouver,
00:43:22ce n'est pas quelqu'un qui est là,
00:43:24et que l'on leur contribue.
00:43:26Moi, je suis bien agréable.
00:43:28Là, peut-être que je me différe.
00:43:30Idéalement, je suis plus content
00:43:32qu'il n'ait pas pris une protestation stratégique.
00:43:34Mais moi, je pense qu'il doit aller à Mauritius,
00:43:36parce qu'il ne peut pas faire sa compagnie
00:43:38un peu plus comptable.
00:43:40Après, il doit y avoir une compétence,
00:43:42il doit y avoir des établissements, peut-être.
00:43:44Dans l'idéal, oui, il doit aller à Mauritius.
00:43:46Montrez-moi ça à Mauritius,
00:43:48qu'il y ait un maître social,
00:43:50qu'il y ait un bureau pour les ministres,
00:43:52c'est qu'il faut faire une compagnie.
00:43:54Moi, je peux dire aux professionnels
00:43:56que si ils me laissent travailler,
00:43:58je ne peux pas travailler,
00:44:00je dois avoir confiance,
00:44:02je dois avoir des outils,
00:44:04avec des trois journalistes qui m'accélèrent.
00:44:06Oui, oui, tout va bien chez Mauritius,
00:44:08on est dans le milieu des mondes.
00:44:10Moi, je ne vote pas pour ça.
00:44:12Je vote pour qu'il y ait un changement,
00:44:14et ça doit se faire par des personnes
00:44:16avec des structures qui nous mettent en place,
00:44:18surtout qui clarifient l'accountability,
00:44:20qui rendent les gens comptables,
00:44:22et qui aient une performance qui mèche.
00:44:24Je ne trouve pas ça tellement clair aujourd'hui
00:44:26quand on parle de composition bonne,
00:44:28etc. des gens.
00:44:30Je ne suis pas là pour leur donner
00:44:32de confiance quand je ne sais pas
00:44:34quand je suis sorti, qui j'étais,
00:44:36réellement.
00:44:38Selon vous, d'ici quand,
00:44:40comment se trouve le redressement ?
00:44:42Parce que là, nous,
00:44:44le vote fait que nous sommes depuis 2013,
00:44:46mais d'ici quand, vous pensez
00:44:48qu'il y a au moins un petit changement,
00:44:50une petite amélioration par rapport au problème qu'il y a ?
00:44:52Vous savez,
00:44:54en France, il y a beaucoup de choses,
00:44:56c'est un challenge énorme.
00:44:58Parce qu'il y a beaucoup de
00:45:00choses qui se sont déroulées,
00:45:02en termes de chiffre de performance,
00:45:04vous trouvez, en 2019,
00:45:06puis le 14 juin 2023,
00:45:08puis le 14 juin 2024,
00:45:10même vous pensez, dans le 2023,
00:45:12et à l'échelle, M. Ken Orian a annoncé
00:45:14qu'il y avait une performance extraordinaire
00:45:16avec les gens à MIC, puis le 14 juin,
00:45:18tout pour tout, puis 25% plus,
00:45:20mais tout ça, il y a des choses là.
00:45:22Il faut qu'il y ait une manière
00:45:24pour qu'il y ait un progrès,
00:45:26une certaine timeline,
00:45:28ou bien qu'après, on comprenne
00:45:30qui est allé où, je ne sais pas.
00:45:32Il y a beaucoup de rapports qu'il y a des consultants qui font,
00:45:34concernant le management,
00:45:36l'optimisation des ressources.
00:45:38Il y a beaucoup d'affaires, fleet management.
00:45:40Prends tous ces rapports-là,
00:45:42et regarde la réalité aussi, mais il est important
00:45:44de connaître qui le gouvernement veut
00:45:46qu'il y ait à Mauritius.
00:45:48Est-ce que le gouvernement qui a une position clé
00:45:50dans le pays veut qu'il y ait à Mauritius ?
00:45:52Est-ce qu'il y a de l'upgrading ?
00:45:54Est-ce qu'il y a de l'accès aux salons ?
00:45:56Est-ce qu'il y a des gens qui sont dédiés à être jeunes ?
00:45:58Ou est-ce que c'est une envie qui s'accompagne là
00:46:00pour qu'il y ait une fleuron, une fierté
00:46:02pour le pays, parce qu'il y a une pouvoir,
00:46:04il y a un emploi, il y a un rôle socio-économique
00:46:06important pour ceux qui sont contents
00:46:08ou pas contents pendant la COVID,
00:46:10de ne pas se trouver quand on est national
00:46:12et à la ligne, quand les autres compagnies arrêtent de venir,
00:46:14on a une obligation
00:46:16pour les autres compagnies
00:46:18qui sont capables de faire
00:46:20le travail qu'ils veulent, les autres ne peuvent pas le faire.
00:46:22Mais s'il manque, au-delà de la COVID,
00:46:24est-ce qu'il y a des gens qui s'accompagnent là ?
00:46:26Est-ce qu'il y a des gens qui sont libres ?
00:46:28Alors, comment on peut dire ça ?
00:46:30On peut dire ça, premièrement, pour les gens
00:46:32qui se trouvent autour d'eux.
00:46:34On connait M. Bigou et M. Darceau,
00:46:36c'est de connaître les choses en commun
00:46:38pour comparer avec les autres gens.
00:46:40Mais c'est moi qui dis qu'au-delà de ça,
00:46:42il y a beaucoup de gens qui ne croient pas
00:46:44qu'ils peuvent venir.
00:46:46Si je ne peux pas aller à la radio,
00:46:48parce que je ne suis pas contacté par Kingmaker,
00:46:50si le Premier ministre ou un autre m'appelle,
00:46:52je me suis dit que c'est bien.
00:46:54Je ne peux pas dire qu'il ne faut jamais
00:46:56retourner à Mauritius.
00:46:58C'est ce que je ne peux pas dire.
00:47:00Et avec preuve,
00:47:02s'il n'est pas d'accord avec moi,
00:47:04il est le Premier ministre, il décide
00:47:06et face les conséquences du gouvernement.
00:47:08Voilà ce que je peux dire.
00:47:10Donc, merci beaucoup,
00:47:12M. Raj Ramlogan, pour cette intervention.
00:47:14Je vous en prie.
00:47:16Bonne chance à Mauritius, bonne chance au pays
00:47:18et bonne chance au gouvernement également
00:47:20parce que la situation n'est pas facilement d'accord.
00:47:22Mais nous devons nous assurer,
00:47:24comme l'a dit l'homoparle tout le temps,
00:47:26de faire les choses de la bonne façon,
00:47:28avec les bonnes personnes,
00:47:30dans le bon endroit.
00:47:34Donc, voilà, nous finissons.
00:47:36C'est l'entretien qui nous finit là
00:47:38avec le syndicaliste Raj Ramlogan.
00:47:40Donc, si vous êtes capables,
00:47:42commencez à nous appeler
00:47:44sur le numéro 213
00:47:467777.
00:47:48Nous vous faisons plaisir justement
00:47:50pour écouter vos points de vue
00:47:52sur les différentes actualités
00:47:54qui finissent là durant cette semaine.
00:47:56Vous pensez à Mauritius,
00:47:58enfin, vous connaissez à Mauritius,
00:48:00c'est un pilier clé
00:48:02de Maurice.
00:48:04Un pays n'a sa compagnie aérienne,
00:48:06c'est important.
00:48:08Une compagnie qui peut tout le temps faire la paix,
00:48:10vous pensez qu'elle est capable
00:48:12d'un redressement?
00:48:14Après ce qu'on a vu
00:48:16Monsieur Ramlogan,
00:48:18je fais un appel au bureau pour mes ministres
00:48:20pour qu'ils reçoivent vos alliés au plus vite possible.
00:48:22Je pense qu'il ne peut pas dire tout ce qu'il
00:48:24voulait dire parce qu'il est à l'antenne
00:48:26et qu'il a
00:48:28beaucoup de choses à vous dire encore
00:48:30et je pense
00:48:32que
00:48:34si nous avons
00:48:36une bonne gouvernance,
00:48:38nous avons une orientation
00:48:40prospérée
00:48:42pour les choses,
00:48:44je pense que
00:48:46le bureau pour mes ministres,
00:48:48je vous appelle Monsieur Ramlogan
00:48:50pour avoir une conversation
00:48:52franche avec lui
00:48:54parce que
00:48:56le palais
00:48:58à la fin des élections
00:49:002029,
00:49:02dans la même situation,
00:49:04il a beaucoup de choses
00:49:06à dire.
00:49:08Et
00:49:10vous savez,
00:49:12je pense que
00:49:14il n'y a pas de problème à Paris.
00:49:16Il y a la banque
00:49:18de Mauritius.
00:49:20Je vous dis
00:49:22qu'il y a une bataille extraordinaire
00:49:24entre la banque et Mauritius pour mes ministres.
00:49:26Je me dis tout le temps
00:49:28qu'il y a beaucoup de ministres
00:49:30dans la banque
00:49:32qui peuvent être salopés de orange
00:49:34et qu'on a un résultat de 70.
00:49:36Pas quelqu'un qui est salopé
00:49:38d'orange.
00:49:40On peut même
00:49:42sur mini shorts,
00:49:44mettre nos longs pantalons
00:49:46couleur rouge.
00:49:48Mais il y a des choses qu'il faut éviter.
00:49:50Il y a beaucoup de ministères
00:49:52qui ont beaucoup de renseignements
00:49:54qui ont
00:49:56beaucoup de supporters MSM
00:49:58avant les élections
00:50:00qui ont dit que c'était un rôle
00:50:02pour les supporters de l'Alliance du changement
00:50:04et que c'était piétine
00:50:06pour les vrais supporters de l'Alliance du changement
00:50:08parce que les vrais supporters de l'Alliance du changement
00:50:10ne sont pas
00:50:12dans la nature
00:50:14d'être vivants,
00:50:16d'avoir des priorités,
00:50:18d'avoir des avantages
00:50:20parce que c'est la nature
00:50:22qui tient à l'avant.
00:50:24Pour gagner, pour avancer,
00:50:26il faut vraiment venir
00:50:28et faire
00:50:30des maldonnées
00:50:32pour qu'il n'y ait pas de gens
00:50:34qui ne connaissent pas les autres.
00:50:36C'est ça.
00:50:38C'est ça.
00:50:40C'est ça.
00:50:42C'est ça.
00:50:44C'est ça.
00:50:46C'est ça.
00:50:48C'est ça.
00:50:50C'est ça.
00:50:52C'est ça.
00:50:54C'est ça.
00:50:56C'est ça.
00:50:58C'est ça.
00:51:00C'est ça.
00:51:02C'est ça.
00:51:04C'est ça.
00:51:06Pour vous reconnaître, quand on fait un appel
00:51:08après l'élection,
00:51:10le premier ministre se dit, moi je veux dire
00:51:12avec mes collègues,
00:51:14je veux dire à l'Europlateur
00:51:16qu'ils soutiennent
00:51:18l'ancien gouvernement,
00:51:20qu'ils soutiennent l'ancien gouvernement,
00:51:22qu'ils soutiennent l'ancien gouvernement,
00:51:24qu'ils soutiennent l'Alliance du changement
00:51:26et qu'ils ont un peu leur propre mot,
00:51:28d'aller y aller. Le premier ministre se dit ça.
00:51:30Mais il y a beaucoup de places
00:51:32beaucoup de monde peut dire
00:51:34je pars y aller. Et je pars pour aller
00:51:36parce que je te connais
00:51:38et si mes hôtes des hauts,
00:51:40pas d'un problème. Et le gouvernement aussi prend en considération
00:51:42de ça. Si on dit
00:51:44gouvernement, nous disons ça, hein, attends,
00:51:46nous presser, nous faire ceci
00:51:48et le gouvernement faire un, s'il faut pas,
00:51:50une mauvaise calculation. Vous connaissez comment ça
00:51:52peut coûter l'Etat? Et que me pensez-vous?
00:51:54Vous avez la courage, vous avez un contrat là
00:51:56ou vous n'êtes pas capable d'avoir
00:51:58un employeur
00:52:00ou un employé qui décide d'avoir un sauve-contract
00:52:02et il doit nous signer.
00:52:04Donc, nous prenons le premier appel,
00:52:06Robin de Triolet, Robin, bonsoir.
00:52:08Bonsoir, Nivech.
00:52:10Donc, pose-nous une question.
00:52:12Première fois que je suis là, Nivech,
00:52:14le lendemain, parce qu'il n'a pas pris le temps de regarder les autres journalistes.
00:52:16Donc, je te souhaite une bonne année
00:52:18pour 2025 et camarades
00:52:20également, bonne année
00:52:22parce que j'ai vu ça sur Facebook, j'ai vu ça
00:52:24sur TikTok, ça nous déjà camarades,
00:52:26moi j'écoute cette émission-là,
00:52:28je me dis que ce n'est pas moi,
00:52:30mais comme Nilekant peut dire
00:52:32qu'apparemment, il peut penser
00:52:34qu'il ne ratera pas tant que tout,
00:52:36le premier ministre s'il n'écoute ça, je l'appelle.
00:52:38Mais je suis tout à fait d'accord
00:52:40avec Nilekant et je dis à Nilekant
00:52:42que moi-même, je ne l'ai pas dit
00:52:44depuis que le premier ministre
00:52:46de l'État est allé
00:52:48et que le nouveau premier ministre
00:52:50ne prend pas place, je ne l'ai pas dit,
00:52:52je ne peux pas attendre et mon convoquement,
00:52:54je finis en sollicitant un rendez-vous,
00:52:56je finis en sollicitant un rendez-vous
00:52:58avec le bureau pour pouvoir causer un petit peu
00:53:00l'autre télécom.
00:53:02Il y a des compagnons qui apparemment
00:53:04ont des affaires qu'ils peuvent causer
00:53:06avec passion et en tant que patriote
00:53:08pour qu'ils puissent faire quelque chose
00:53:10pour qui le pays a progressé,
00:53:12qui ne veut pas qu'il y ait des gens
00:53:14qui viennent faire du virus dans ce pays-là
00:53:16et qui tout gâtent.
00:53:18Je suis un ex-syndicaliste,
00:53:20je suis un ex-employé de télécom
00:53:22et il y a un ancien syndicaliste
00:53:24qui m'a fait l'éminence,
00:53:26moi je ne parle pas pour les richesses,
00:53:28je parle pour les richesses
00:53:30pour biser un stratégique partenaire,
00:53:32ça c'est sûr.
00:53:34Maintenant ce qu'il s'agit de télécom,
00:53:36il y a des gens qui m'ont donné le compte,
00:53:38ils m'ont dit qu'ils mettaient
00:53:40une petite salopette
00:53:42en maillot superman,
00:53:44une salopette couleur orange
00:53:46mais la salopette, on ne peut pas la casser,
00:53:48on peut la payer, c'est un maillot rouge,
00:53:50on ne peut pas la trouver,
00:53:52mais la salopette couleur orange,
00:53:54on ne peut pas la trouver,
00:53:56on peut la casser, c'est pareil.
00:53:58Là il y a l'FCC, il y a les dénonces
00:54:00qui viennent dans les télécoms,
00:54:02on ne peut pas biser une salopette.
00:54:04Je suis un politique, je suis un patriote,
00:54:06je suis dans ce système-là,
00:54:08il y a 30 ans,
00:54:10ils m'ont donné une petite salopette
00:54:12avec un éléphant dans la case,
00:54:14une salopette partout,
00:54:16j'avais une bague dans la tête,
00:54:18j'avais un téléphone,
00:54:20j'avais une proposition CEO,
00:54:22ça c'est pour sauver les meubles,
00:54:24il y a des gens à l'FCC,
00:54:26il y a les dénoncés,
00:54:28après il y a un principal ingénieur
00:54:30qui finit par aller,
00:54:32il y a le contré des premiers,
00:54:34il y a une espèce de bagaille
00:54:36dans beaucoup de télécoms,
00:54:38fin de l'enquête,
00:54:40ils m'ont fait une émission
00:54:42dans les télécoms,
00:54:44ils m'ont raconté la dénoncée,
00:54:46les ministres de l'intérieur,
00:54:48ils m'ont raconté tout ça,
00:54:50c'est un petit monde qui peut causer là,
00:54:52il peut causer, il peut venir,
00:54:54il va dire oui, moi je peux être seul,
00:54:56je vais créer le tsunami,
00:54:58le tsunami,
00:55:00il peut arriver dans le pays là,
00:55:02je peux espérer qu'il convoque,
00:55:04avant de prendre les 24,
00:55:06on peut trouver qu'il est arrivé dans ce pays-là,
00:55:08il y a des gens qui peuvent causer,
00:55:10c'est plus intéressant,
00:55:12il y a des gens qui font la famille Jack,
00:55:14des bons amis de la famille Jack,
00:55:16il y en a pour causer même,
00:55:18merci pour ce programme en tout cas,
00:55:20merci pour ce travail que vous faites là.
00:55:47parce que si c'est public funds,
00:55:49on n'est pas capable de prendre public funds,
00:55:51amuser, taper ça,
00:55:53amener la belle vie,
00:55:55et je pense que
00:55:57et d'ailleurs le docteur
00:55:59il dit dans plusieurs
00:56:01semaines, il dénonce,
00:56:03il explique,
00:56:05il y a des institutions
00:56:07qui font l'enquête,
00:56:09il y a des nouveaux,
00:56:11il y a beaucoup d'institutions
00:56:13qui faisaient l'enquête
00:56:15donc je pense que
00:56:17il n'y a pas de doute là,
00:56:19l'enquête pour faire,
00:56:21c'est qu'il y a envie
00:56:23de l'expliquer,
00:56:25c'est son dutti ça, comme un patriote,
00:56:27il vient dire, il n'y a pas de doute,
00:56:29naturellement quand on regarde des témoignages comme ça,
00:56:31et surtout quand ça ne finit pas en public,
00:56:33et le bureau pour vous dire ce qu'il a à dire.
00:56:35On est sur le mot de la fin,
00:56:37avant de conclure l'émission d'aujourd'hui.
00:56:39Le mot de la fin,
00:56:41vous connaissez, nous,
00:56:43on est dans une situation économique très très tense,
00:56:45nous, il y a,
00:56:47nous calculons,
00:56:49dans les 470 000
00:56:51travailleurs à Maurice,
00:56:53et que,
00:56:55vous trouvez à soi que ma pays là,
00:56:57elle dormit, que ma pays là,
00:56:59il y a beaucoup de ressources qui passent la vie,
00:57:01tout le temps finir,
00:57:03que je suis content de trouver une fonction publique
00:57:05qui travaille 8h à 12h,
00:57:0712h à 8h à soir,
00:57:09tout système travaille,
00:57:118h à 12h à 8h à soir,
00:57:13nous avons 16, nous avons, nous avons, nous avons,
00:57:1512 heures de temps de
00:57:17euh, work shift,
00:57:19qui, une partie
00:57:21soirée un matin, une partie soirée un temps tôt,
00:57:23nous rébalance, nous, l'économie,
00:57:25nous, ben, nous avons envie de travailler,
00:57:27ben, de fonctionner, hein.
00:57:29Vous, vous, vous, vous trouvez qu'il y a une,
00:57:31vous révolutionnez, hein, si,
00:57:33vous laissez fonctionner, arrêtez ce système, hein,
00:57:35si vous donnez fonction publique, mais vous ne payez pas
00:57:37notre emploi. Mais, si vous
00:57:39donnez
00:57:41le
00:57:43le
00:57:45le
00:57:47le
00:57:49le
00:57:51le
00:57:53le
00:57:55le
00:57:57le
00:57:59le
00:58:01le
00:58:03le
00:58:05le
00:58:07le
00:58:09le
00:58:11le
00:58:13le
00:58:15la
00:58:17la
00:58:19la
00:58:21la
00:58:23la
00:58:27Donc, avant de terminer, nous pouvons nous
00:58:29prendre derniers rappels de Castel range
00:58:31frappe bonsoir.
00:58:32Alors, M. Vickrand, je voudrais que vous me donnez mon numéro, M. Vickrand, parce qu'il y a des grandes compagnies
00:58:39où le ex-gouvernement a beaucoup dominé, avec des petits travailleurs.
00:58:46Il faut travailler pour faire le travail qui appartient à ce contrat, auparavant.
00:58:52Je suis content, M. Vickrand, d'aller en contact avec moi.
00:58:56Oui, c'est ça. M. Vickrand, d'aller en contact avec moi.
00:59:01Et vous donnez mon numéro.
00:59:04Je ne veux pas dire qu'il y a des grandes compagnies à l'antenne,
00:59:08mais si vous avez des problèmes avec M. Vickrand,
00:59:11allez à Radio, je vous expliquerai.
00:59:17Donc, merci Rachida, nous finirons à la fin de l'émission.
00:59:23Ça, ça a fait dominer, là.
00:59:25Ça m'a fait dominer, là.
00:59:27C'est un environnement toxique.
00:59:29Il y a beaucoup de places dans beaucoup d'institutions,
00:59:31que ce soit gouvernementales ou non-gouvernementales, ici.
00:59:33Il y a un petit malin qui, le juge de Mars, il a déjà décrit ça dans un jugement.
00:59:39C'est un petit mini-dictateur.
00:59:41C'est un petit mini-dictateur.
00:59:43Il a des fonctions, il a des contrôles, il fait de l'abus, il abuse les gens, il harasse les gens.
00:59:49Mais tout ça, là, tu peux le faire un coup, deux coups, trois coups.
00:59:52Mais je veux calmer pour te rattraper, frère.
00:59:55Arrête ta manière, là.
00:59:57Tout le monde est dans le même endroit.
00:59:58Peut-être qu'il y a des violences, là, dans le travail.
01:00:01Le harassement, là, il n'a pas arrêté.
01:00:03Tout le monde a vu le travail.
01:00:04Il n'a pas envie de travailler.
01:00:05Enfin, il connait qu'il n'a pas envie de travailler, toi, là.
01:00:07Mais ne pas le harasser.
01:00:08Et créer un environnement parfait pour tout le monde.
01:00:11Qu'est-ce qu'il fait à Singapour, là?
01:00:12Ah, il fait une belle avance.
01:00:13Mais qu'est-ce qu'il fait, là?
01:00:14Il est dans l'harmonie, il est dans la culture.
01:00:15Qu'est-ce qu'il fait aux Japonais?
01:00:16Il n'arrive pas, aujourd'hui, quand ils sont en guerre.
01:00:20Explosés par une bombe atomique.
01:00:22Ils ont dit ça vite et je le répète à vous, là.
01:00:24Parce qu'il y a une culture, il y a une façon de faire.
01:00:26Mais c'est changé.
01:00:27Les malins qui viennent, qui viennent toxiques,
01:00:30ils n'ont pas de service pour arrêter à la case.
01:00:32Donc, euh, voilà.
01:00:34Maintenant, vous nous terminez l'émission.
01:00:36Merci, Nile Kandelou, d'avoir été présent sur le plateau.
01:00:40Ce fut un plaisir.
01:00:41Et merci à tous les auditeurs et les internautes qui suivent nous
01:00:45sur nos différentes plateformes.
01:00:48Merci et restez bien manchés sur les ondes de Top FM.
01:00:51À la semaine prochaine.
01:00:547 sur 7, l'actualité et les événements de la semaine décortiqués.
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