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MID MORNING SHOW [ Top santé ] Thème : La peur des opérations de la colonne vertébrale Pamela Patten reçoit Dr Khooshund Ramlugon, Spine Surgeon, ce mercredi 13 novembre à partir de 10 heures 📞Vos appels au 213 77 77 🔴Emission live à suivre également sur notre application TOPFM LIVE TV et sur Parabole chaine 36 📲Comment faire: Téléchargez notre application "Top FM Mauritius" sur l'App Store ou le Google Play Store, puis sélectionnez TOPFM LIVE TV.
Transcription
00:00Merci de nous rejoindre en live à Zodi dans Top Santé, on a le plaisir de recevoir le
00:17Docteur Kushan Ramlogan, Spine Surgeon.
00:20Docteur, bonjour!
00:21Bonjour!
00:22Bonjour tout le monde!
00:23Alors, nous mettons l'accent à Zodi, parce qu'il y a des faits d'antibiotiques bien
00:27expliqués, colonne vétérale surtout, qui se fonctionnent, qui arrivaient si ça n'avait
00:31pas marché bien.
00:32Nous mettons l'accent sur l'opération concernant la colonne vétérale.
00:36Alors, quand est-ce qu'on est capable de dire qu'on a besoin de causer l'opération,
00:39ça peut-être qu'on l'écoute.
00:40Bon, pour qu'on comprenne qui est le patient candidat pour l'opération, et qu'on comprenne
00:47les premières affaires, comment nous définir une patient qui a besoin de faire l'opération?
00:52Alors, c'est bien facile si nous mettons un créole simple, c'est-à-dire maladie colonne
00:58vétérale, si nous prenons maladie dégénération, ça veut dire veillissement de la colonne
01:01vétérale.
01:02Nous disons qu'il s'est écrasé, c'est ça qui fait que nous avons une colonne écrasée,
01:08c'est ça l'écrasement.
01:09Tout cela, il y a une étape, tout ça fait un commencement, un milieu, une finition.
01:14Maladie colonne vétérale, c'est plus facile de classer en quatre étapes.
01:18Première, seconde, troisième, quatrième.
01:21Troisième étape, nous diviser en deux, nous mettons les éclats.
01:24Première, deuxième étape, c'est facile, tout le monde est patient qui est en première,
01:28seconde étape, nous traiterons conservativement.
01:30Ça veut dire, je comprends bien, traiter conservativement, parce que ça veut dire prendre
01:33médecine.
01:34Médicaments n'ont pas existé, la médecine est là pour nous guérir de la maladie colonne
01:40vétérale.
01:41De toute façon, la maladie colonne vétérale, c'est une maladie de veillissement, d'usure.
01:45Si nous prenons la médecine, on peut se vieillir, on peut s'usurer, arriver.
01:50Nous traiterons l'inflammation, qui peut donner de la maladie, de l'inflammation, de la douleur,
01:55on peut souffrir de mouvements.
01:57Ce qui nous permet de donner des médicaments.
01:59Mais conservateur, c'est-à-dire, c'est toute une complexité de plusieurs choses en même
02:04temps.
02:05Nous avons la physiothérapie, nous avons l'exercice, nous avons la vitamine, nous avons le mode
02:09de vie, le sens, le style de vie.
02:11Nous traiterons des affaires qui sont routines, qui, on va dire, si quelqu'un peut trop assiser,
02:16trop débute vers ses ressorts, ses zones, tout cela, tout ça fait un excès, ce qu'on
02:22organise, ce n'est pas bon.
02:23Et là, le premier, le deuxième, c'est le conservateur.
02:26Si un patient est au troisième stage, late, au quatrième stage, il est 100% chirurgical.
02:32Il n'est pas capable de passer pour quatre semaines, il est chirurgical.
02:35Si il est au troisième stage, early, là, le patient-là, il est à 50%, il ne peut pas
02:41essayer de ces conservateurs, mais il comprend bien une maladie, ne pas arrêter, nous ralentissons
02:48progression.
02:49Ça veut dire, si il est sorti à un stage, au deuxième stage, nous mettons effectivement
02:54un an, il a fallu prendre 4-5 bananes, c'est tout.
02:56Mais la maladie-là, il peut sortir à un stage, il peut venir au deuxième, il peut venir au
02:59troisième, il peut venir au quatrième.
03:00Ça veut dire, si quelqu'un commence à avoir une maladie colon-vétébrale à un certain
03:04âge, pour arriver à un certain âge, il peut venir chirurgical, puis il va sortir de là.
03:09Mais nous ne pouvons pas le faire venir beaucoup plus tard.
03:12Si on commence à avoir une maladie colon-vétébrale à 60 ans, mais s'il n'est pas fait dans
03:1760, 63 ans, il ne peut pas venir chirurgical.
03:20Tandis que si on l'a attaqué à la base, au début, nous ralentissons la progression,
03:25il peut arriver à 79, 80 ans, il ne peut pas venir chirurgical.
03:28Tout dépend de la façon de vivre qu'on peut faire.
03:32Alors, quand on est chirurgien, c'est ça, stage 3, 8 ou 4.
03:38Oui.
03:39Alors, quand on nous dit chirurgie, on nous connaît, il y a une phobie, parfois, une
03:46peur, tout quelque chose qui nous tend à une certaine tension, si tu es opérate, ou
03:52bien placé, pour dire ça.
03:54Toute colonne vétébrale, tu es capable de te paralyser, tu n'es plus capable de débuter,
04:00tout ça.
04:01Oui.
04:02Pour ça, il est bien important qu'on comprenne que la médecine ne reste pas en place.
04:07La médecine, tous les jours, elle bouge, elle est modernisée, elle a toutes les qualités
04:12d'instrumentation, toutes les qualités techniques d'opération pour opérer la colonne vétébrale.
04:17Moi, personnellement, j'ai à peu près une trentaine d'opérations différentes qu'ils
04:21nous font, qu'ils m'offrent.
04:22Autant d'opérations ?
04:23Oui, il y a différents types d'opérations qu'ils nous font.
04:26Alors, laquelle est la plus commune à Maurice ?
04:28Bon, la plus commune à Maurice dans le monde entier, c'est l'opération qui nous
04:32concerne la dégénération de la colonne vétébrale.
04:34C'est ça, le process aging.
04:36Mais le problème de l'aging, quand nous causons l'aging, c'est le vieillissement.
04:42Mais à cause d'une traîne de vie, d'une mode de vie, c'est un problème d'usure,
04:47de vieillissement de l'organisme.
04:49Ça veut dire que si on a des affaires comme ça, madame, normalement, vous avez un problème
04:56de colonne vétébrale, de joint, d'arthrose, de tout ce genre d'affaires-là.
04:59Après la ménopause, maintenant, monsieur, c'est après la soixantaine, tout ça là,
05:04maintenant, nous pouvons trouver des gens de quarante ans, de trente ans, des gens plus
05:08âgés, qui font des gens de l'âge de travail à cause de la vie professionnelle.
05:13Assiser beaucoup pendant plusieurs temps.
05:15Des bouts de computer sédentaires, souffrir beaucoup.
05:21Là, beaucoup de temps, il y a eu la police, tout ça là, qui a gagné.
05:25La police, surtout les motards, les policiers, la police, les pompiers.
05:31Beaucoup de gens qui travaillent sur les vibrations.
05:34Des travailleurs qui créent, qui distribuent tout ça là.
05:39Il y a eu une construction professionnelle.
05:42Pas nécessairement une construction, mais quand il y a des vibrations,
05:46pilier, pile dans le trou, roule dans le trou, roule de deux pas bons, roule de quatre-quatre,
05:50ou quand il y a un trou, pile-pilier, rouler en zone, position assisée.
05:57Quand on est assisé, nous servons nos muscles.
05:59Moi, mon richard, j'ai les reins, l'ombéa.
06:01Nous servons ça beaucoup.
06:03C'est pour ça que nous disons à nos enfants qu'en fait, il ne faut pas mettre son enfant là assisé.
06:07Parce qu'il y a ce muscle, il faut le développer.
06:09Ce muscle les reins, ce muscle l'ombéa.
06:11Alors, comment nous connaître si nous avons des problèmes au niveau de nos colonnes vétébrales?
06:14Comment nous vous connaître?
06:15Il y a un symptôme qui nous amène dans la direction.
06:20Le symptôme le plus commun, qui n'est pas nécessairement un symptôme important, c'est la douleur.
06:27La douleur, c'est un symptôme qui diminue l'épaule du docteur.
06:32Quand est-ce que la douleur est placée?
06:34Ça dépend. Dans nos colonnes vétébrales, quand nous causons une colonne vétébrale,
06:37nous causons trois zones les plus importantes.
06:39C'est le cervical, les coudes, le thoracique, les deux, et le lombaire, qui appellent les reins dans le morice.
06:45C'est ces trois zones-là.
06:46Dans ces trois zones-là, 80% du mouvement, c'est le cervical et le lombaire qui donnent.
06:51Ça veut dire que toute maladie qui nous gagne, 80% des maladies, se trouvent dans ces zones-là.
06:56Parce que ce qui se fait, c'est qu'il n'y a plus beaucoup de mouvements.
06:59Alors qu'il n'y a plus beaucoup de mouvements, il n'y a plus beaucoup de risques de dégénération, d'usure, etc.
07:05Alors, les maladies de dégénération, c'est un petit gros pourcentage qui nous gagne.
07:09Ils se trouvent dans ces zones-là.
07:11Si nous avons de la douleur, ce n'est pas parce que nous causons les coudes,
07:14c'est parce qu'il y a de la douleur dans les coudes.
07:16Il y a de la douleur dans les épaules, dans les épaules, dans l'armée.
07:19Les gens ne comprennent moins la relation avec les colonnes vétébrales.
07:25C'est de la douleur à la tête, vertige, blé, blé, difficulté à se concentrer,
07:31qu'il n'y a pas de problème de vue, un côté léger, qu'il n'y a pas de problème de son, son dans l'oreille, qu'il n'y a pas de problème.
07:38Il y en a beaucoup qui ont un problème.
07:40Ils peuvent avoir les dents qui font mal, ils rassentent les dents, ils tuent les nerfs.
07:43Tout ça peut faire mal.
07:44C'est ça, c'est les colonnes vétébrales qui font partie des coudes.
07:47Maintenant, les coudes sont responsables, ces 4 à 6,
07:51les coudes sont responsables pour un nerf qui contrôle le diaphragme.
07:55Le diaphragme, c'est le muscle qui contrôle le pouce léger, le risque léger dans le poumon.
07:59Si le diaphragme ne travaille pas bien, nous ne pouvons pas pousser le pouce léger,
08:02ça veut dire qu'il n'y a pas de pouce léger pour accumuler dans le poumon les carcasses d'infections.
08:07Si le pouce léger ne respire pas bien, ça veut dire qu'il faut travailler plus pour pomper la même quantité d'oxygène.
08:13Nous pouvons avoir des tensions, des problèmes.
08:16Il y a un enchaînement, un problème à éliminer.
08:20S'il y a des causes lombaires, on peut avoir des douleurs dans les reins, en bas, en bas du dos,
08:24les douleurs dans les fessiers, les douleurs dans la jambe, les douleurs des seins, les carotides.
08:29Mais les douleurs, c'est ce qui fait que les patients viennent d'abord au docteur.
08:32Mais les douleurs sont bonnes pour les patients qui viennent au docteur.
08:36Mais s'il y a des types de nerfs, il y a un nerf qui prend des sensations,
08:41tout ça nous a fait ça, moi je connais ça.
08:43Tout ce nerf-là prend des informations, traverse dans le cerveau,
08:48le cerveau dit ça, il voit l'information sur les seins,
08:51et l'autre nerf qui vient connecter à un muscle contracté nous tient à la main.
08:54Il y a deux types de nerfs, un de sensation, un de mouvement.
08:57Mais s'il y a une sensation qui s'écrase, on a des douleurs.
09:00On profite des douleurs.
09:02Mais s'il n'y a pas d'écrase, il n'y a pas de sensation, il n'y a pas d'écrase, il n'y a pas de mouvement, on ne peut pas avoir des douleurs.
09:06C'est ce qui est dangereux.
09:10Les patients, quand il y a des douleurs, les pieds commencent à abiter,
09:13les pieds commencent à exploiter, les pieds commencent à devenir petits,
09:16ils commencent à perdre cette fonction mouvement qui est responsable.
09:20Mais ce patient-là, il est plus dangereux qu'un patient qui n'a pas de douleurs.
09:23Parce qu'il n'est pas réalisé que ce problème-là est irréversible.
09:28Il arrive à un point où il n'est pas capable de glisser.
09:31Vous comprenez ?
09:33Ce qui est important pour les patients qui n'ont pas de douleurs, c'est qu'ils n'ont pas de douleurs,
09:36ils ont un bouquet de symptômes.
09:38Angoûtissement, coup de courant, les pieds deviennent trop petits,
09:41la force diminue, ils se sentent sous la matière de coton,
09:45ils ne peuvent plus s'attraper, l'âme devient lourde,
09:48ils commencent à sentir les doigts lavés, ils sentent les bris,
09:51tous les symptômes de différenciation.
09:54Mais comment vous faites le diagnostic ?
09:57Le Golden Standard, nous faisons un MRI.
10:00Ça, c'est le Golden Standard.
10:02Nous ne l'avons pas extrait, nous ne l'avons pas trouvé.
10:05Quand nous faisons un MRI, nous comprenons trois choses.
10:08C'est un malade qui est staging,
10:11qui est malade là, qui est staging là,
10:14et quel type de traitement nous devons lui donner.
10:17Et qu'est-ce qu'il nous faut éviter ? Trois choses qui sont très importantes.
10:20Quand nous faisons un MRI, nous trouvons qu'un nerf peut écraser,
10:23il n'y a pas un nerf, il n'y a pas deux nerfs, il n'y a plus qu'un nerf.
10:26Or, qui peut l'écraser ? Il peut l'écraser au disque,
10:29qui sort, qui s'éclate.
10:32Ce contenu de disque, c'est un largument millier qui sort.
10:35Quand il sort de l'eau, il écrase le nerf.
10:38Quand il sort de l'eau, nous appelons ça un lien.
10:41C'est un lien. Il ne faut pas s'inquiéter.
10:44Il peut écraser avec le contenu du disque.
10:47Il peut écraser parce qu'il n'y a pas d'invertébrale, il n'y a pas de joint derrière.
10:50Quand le disque est apaisé, le joint commence à appuyer derrière.
10:53Quand il appuie, il frotte, frotte, il gonfle.
10:56Quand il gonfle, il ferme l'espace où le nerf est passé.
10:59Ça, c'est les oeufs qui ont gonflé.
11:02Les nerfs écrasent les oeufs. Ils écrasent tous les deux.
11:05Deuxièmement, il n'y a pas d'invertébrale.
11:08Troisièmement, il n'y a pas d'invertébrale.
11:1110% d'invertébrale, 20, 30, 40, 50, 100%.
11:14Là, nous pouvons déterminer qu'il y a trois facteurs très importants.
11:17Le MRI.
11:20Là, nous pouvons déterminer quel stage de l'opération.
11:23N, D, 3L, 3L, 4L.
11:26Là, nous proposons l'option le best-choix.
11:29C'est pas stage 3, stage 4.
11:32Quel type de surgérie? C'est tailor-made.
11:35Un patient, ce n'est pas un sac pomme d'été.
11:38Tout nous fait identique.
11:41Chaque patient, il a un design d'opération.
11:44Il a tout un plan qu'il nous planifie.
11:47Nous faisons un MRI. Nous coupons des images.
11:50Nous faisons un tailor-made, détaillé, taillé.
11:5310% de patient sur l'opération.
11:56Chaque patient sur l'opération est différent. Il n'est pas pareil.
11:59Est-ce qu'il y a beaucoup d'opérations?
12:02Il y a beaucoup de patients qui ont des indications pour l'opération.
12:05Mais le problème, c'est ce que tu m'as expliqué,
12:08c'est qu'il y a le frayeur.
12:11La frayeur, la phobie pour l'opération.
12:14Parce qu'ils ne nous donnent pas l'information.
12:17Ils ne nous conseillent pas.
12:20Ils nous disent qu'on ne peut pas l'opérer.
12:23On peut le paralyser. On peut l'opérer 50-50.
12:26Ça m'engage à ne pas dire patient.
12:29Parce qu'on peut mettre un patient sur la vie,
12:32sur la qualité de vie.
12:35On peut le condamner.
12:38Parce que s'il n'est pas opéré, comprends bien,
12:41nous devons nous limper pour le morser.
12:44Après, nous limper.
12:47Nous faisons le pipi.
12:50Si vous ne l'opérez pas,
12:53vous perdez sa fonction.
12:56Quand je sors, je regarde la toilette souvent.
12:59Je perds pour sortir.
13:02Quand je sors, j'observe l'assisesseur.
13:055 minutes, j'observe l'assisesseur.
13:08Mes pieds finissent de faire mal.
13:11Les patients finissent d'être handicapés.
13:14Ils ne peuvent pas sortir.
13:17Il y a un trauma psychologique.
13:20Les patients finissent de faire mal.
13:23Ils ne peuvent pas opérer 100% pour le paralyser.
13:26L'opération, nous le disons,
13:29contient des risques.
13:32Mais avec la modernisation,
13:35si vous avez un spécialiste qui fait ce travail,
13:38par exemple si vous avez un problème des dents,
13:41si vous avez un dentiste ou un opticien,
13:44vous devez avoir un spécialiste pour faire le propre traitement.
13:47C'est ça qu'il faut canaliser.
13:50Malheureusement, il y a beaucoup de patients qui n'opèrent pas.
13:53Mais il y en a beaucoup qui n'opèrent pas.
13:56Parce que je perds la frayeur.
13:59Je terminais par complication.
14:02Je terminais par invalidité.
14:05Je n'avais pas les bouts.
14:08Je n'avais pas l'assise.
14:11Je n'avais pas l'urine.
14:14C'est très grand.
14:17Alors, la fourchette d'âge?
14:20Les fourchettes d'âge sont très diversifiées.
14:23Elles sont bien larges.
14:26Tu disais que tu es à l'âge jeune.
14:29Si on prend 100%, 60%, 70%,
14:32ça veut dire 60, 70, 80 ans.
14:35Il y a beaucoup de gens...
14:38Moi, mon patient le plus vieux qui m'a opéré, c'est 92 ans.
14:41Je l'ai laissé pour l'opérer.
14:44Monsieur, un ex-ministre.
14:47Un ex-ministre.
14:50Il m'a challengé à l'opérer.
14:53Il est venu en chaise roulante.
14:56Maintenant, j'ai besoin d'un bazar.
14:59L'âge est un chiffre.
15:02L'âge n'est pas l'indication pour l'opérer.
15:05Le problème pour l'opérer, ce n'est pas l'âge.
15:08C'est l'organisme.
15:11S'il y a une maladie, accompagne-la.
15:14S'il y a une maladie sévère, qui est le problème asthmatique,
15:17qui empêche-t-il, parce que le plus gros facteur de risque
15:20pour l'opérer, ce n'est pas l'opérer lui-même.
15:23C'est l'anesthésie générale.
15:26Quand on est endommé, la plus grande responsabilité, c'est l'anesthésie.
15:29C'est le plus grand respect qu'on doit avoir envers l'anesthésie.
15:32L'anesthésie, c'est l'âme qui est endommée.
15:35L'âme qui est endommée, l'âme qui lève, l'âme qui garde le patient
15:38dans un état stable.
15:41Sans l'âme, on ne peut rien faire.
15:44Si l'âme dit oui, on peut l'opérer. Si l'âme dit non, on ne peut pas l'opérer.
15:47Tu disais que l'opération n'est pas seulement dans le monde.
15:50Comment ça se passe? Est-ce qu'il y a une longue opération?
15:53Avant, c'était long.
15:56Maintenant, c'est plus court.
15:59L'opération de One Level, par exemple, c'est une cause indice,
16:02si l'on fait l'opération comme il faut.
16:05Maintenant, il y a d'autres types d'opérations
16:08qui sont encore plus faciles.
16:11C'est l'endoscopique laser.
16:14C'est une misconception de Maurice.
16:17Tout le monde sait que le vertebral a plusieurs diagnoses.
16:20Il peut arriver qu'on n'ait pas une seule affaire.
16:23Il faut comprendre qu'on peut faire l'endoscopique laser
16:26pour que le vertebral ait une indication bien limitée.
16:29Il n'y a qu'un seul type de patient et de diagnoses.
16:32On ne peut pas faire ça pour tous les patients.
16:35Il y a des patients qui disent qu'ils n'ont pas envie de le faire.
16:38C'est parce qu'il y a une seule...
16:41Si on a un lien frais, on ne peut pas faire l'endoscopique.
16:44Mais ça, ce n'est pas une solution.
16:47Parce que, disons,
16:50quand on déchire, c'est un laport ouvert.
16:53Le contenu du disque, c'est un laport ouvert.
16:56Quand on peut faire l'endoscopique laser,
16:59on peut acheter ce contenu qui est ouvert.
17:02Mais le laport est ouvert. Les carottes sont ouvertes.
17:05Les patients doivent comprendre que les carottes
17:08font l'endoscopique laser, mais après 2-3 mois,
17:11ils n'ont plus le même problème.
17:14Justement, les filles qui font l'opération,
17:17il y a un post-opératoire, un suivi
17:20qui va en précaution des imprints.
17:23Pour les patients, l'éducation est très importante.
17:26Il faut que les patients comprennent eux-mêmes.
17:29C'est seulement la moitié qui finit gagnant.
17:32L'opération, c'est 50% du traitement.
17:35Il faut comprendre qu'il y a un patient.
17:38Il y a tous les patients qui viennent avec nous.
17:41Il y a des patients qui viennent,
17:44qui n'ont pas encore eu de dommages,
17:47qui n'ont pas fini de coucher, qui n'ont pas bu,
17:50qui n'ont pas eu d'urine.
17:53C'est une étape bien avancée pour les patients.
17:56Quand j'ai terminé l'opération,
17:59les patients ont besoin d'aide additionnelle,
18:02de soins spécifiques, de physiothérapie,
18:05de réhabilitation.
18:08Il faut réhabiliter les patients
18:11pour qu'ils puissent retourner à la vie sociale.
18:14C'est beaucoup de travail.
18:17Quand on a terminé l'opération,
18:20il y a des symptômes.
18:23Il y a un petit symptôme qu'il faut arrêter,
18:26un engoudissement qu'il faut arrêter.
18:29Ça, il faut un entraînement.
18:32Là, le patient n'est pas qu'un patient.
18:35Après la surgérie, c'est tout le reste qui est resté là.
18:38Comment guider sa patiente sur la vie?
18:41Comment les patients vivent de nouveau?
18:44Sans ce façon, par exemple,
18:47même un individu qui n'a pas fait de surgérie,
18:50même s'il est en bonne santé,
18:53il ne faut pas aller à l'IVAC.
18:56Il y a beaucoup d'efforts.
18:59Quelqu'un ne peut pas faire en général.
19:02Toutes ces activités-là ont un dommage.
19:05Bien souvent, on dit qu'il y a une personne
19:08qui est plus à risque.
19:11Il y a des gens qui ont débuté à longueur de journée,
19:14qui ont assisté pareil.
19:17Il n'est pas capable de prévenir.
19:20Qui est-il capable de faire dans ce cas-là?
19:23De toute façon, après mes affaires,
19:26si une patiente a un problème de colonne vétérale,
19:29quelque part sur le cervical ou sur le lombaire,
19:32je lui donne un papier officiel.
19:35Je lui donne ce travail qui explique
19:38qu'il a besoin d'un ergonomique chair.
19:41Il y en a ça?
19:44Oui, bien sûr.
19:47Un ergonomique chair prend la forme S
19:50de la colonne vétérale.
19:53Quand on les rentre un petit peu dedans,
19:56c'est une forme S.
19:59Il y en a 16 qui épousent cette forme-là.
20:02Les conseillers pour faire un taxi?
20:05C'est très important.
20:08Deuxième chose, la table sur OTR.
20:11Quand on est assis sur la table,
20:14on doit avoir à peu près 30 à 50 cm de distance
20:17entre nos légers.
20:20Pour nous, c'est un OTR normal.
20:23Mais il n'y en a pas pour moi.
20:26Je suis assis plus bas sur la table.
20:29Tu as des enfants à l'école?
20:32Non, parce que c'est ce qu'ils font.
20:35Ils finissent par étudier.
20:38C'est comme un étudiant.
20:41Mais parfois, quand tu fais des vols à la case,
20:44c'est la tendance.
20:47Oui, ça va bien.
20:50On continue la conversation.
20:53On fait une pause.
20:56Message WhatsApp 52 55 06 06
21:03Téléchargez notre application Top FM Radio
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21:15une grande première.
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21:27nos animateurs,
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21:34et l'info complète, factuelle et crédible.
22:00Détoxer, maintenant facilement.
22:03Juste déposer et sipper.
22:06Pas de doute, ils disent.
22:09Guernard, mon thé, mon temps.
22:30...
22:33...
22:36...
22:39...
22:42...
22:45...
22:48...
22:51...
22:54...
22:57...
23:27Pour la suite, en 2023, j'ai fait un accident en moi-même, ok, quand je suis arrivé à l'hôpital,
23:34j'ai parlé à mon docteur, c'est qu'il m'a amené dans la salle et il m'a dit qu'on n'avait pas la même personne, ok.
23:41J'ai eu une barre d'eau de drapeau de fume extrait. Après deux mois et demi, j'ai fait un MRI,
23:48mon MRI a découvert que j'avais une fracture au niveau de mes ventibules et au niveau de mon bassin.
23:54Là actuellement, j'ai une mauvaise complication au niveau des pieds, c'est les deux.
24:00Et pour me tuer des pieds, je n'arrive pas à...
24:03Un jour, je me suis senti extra-âgé, j'avais 45 ans.
24:08Et je me suis senti extra-âgé, je n'arrivais pas à travailler, je n'avais qu'un an de médecine actuellement.
24:12Est-ce qu'on fait l'opération ?
24:14Non, je ne fais pas l'opération.
24:16Après deux mois et demi de mon accident, j'ai découvert que j'avais une fracture.
24:23Un vendredi, ce samedi matin, à 8h15, j'ai prévu des spécialistes avec moi.
24:30Ils m'ont montré le problème.
24:32Et ils m'ont signé un bon papier.
24:34Lundi, ils m'ont envoyé à l'hôpital Spine Unit.
24:38Spine Unit, c'est un hôpital où il y a des médecins pour faire une seconde opinion.
24:42Le papier, la première option, c'est 50-50.
24:46Décédé lorable, soit infection lorable.
24:50Ils m'ont envoyé à Spine Unit.
24:52Spine Unit, c'est un hôpital spécialisé pour faire une seconde opinion.
24:56La réponse qu'ils m'ont donnée, c'est qu'ils m'ont montré que j'étais mort ou que j'étais paralysé.
25:03Est-ce que vous pensez qu'on peut maintenant faire une opération ?
25:08C'est ça que j'aimerais dire.
25:10C'est qu'il y a des gens qui ont des pénalités sur leur vie future.
25:17Il y a vraiment un problème. Il y a une mauvaise douleur dans vos pieds ?
25:20Non, ce qui m'inquiète, c'est qu'il y a une sortie de là.
25:30Mais tout ça, c'est un temps frais, un laps de temps.
25:34Parce qu'il faut comprendre qu'il n'y a rien qui n'est pas régénéré, qui n'est pas réparé.
25:39S'ils l'ont endommagé, ils sont morts.
25:43Parce que même si on attend trop, on n'est pas capable d'alloper ça.
25:47Oui, on se dresse bien, mais on finit par l'endommager trop beaucoup.
25:50On ne peut pas le récupérer à 100%.
25:52Mais si on a le sens de le récupérer, on doit l'investiguer.
25:58On doit faire un nouveau MRI.
25:59Si vous avez un MRI plus vieux que 6 mois, vous devez faire un nouveau MRI.
26:02Vous devez faire un CT scan.
26:04Parce qu'on comprend bien.
26:06Le problème n'est pas de finir là.
26:08Vous allez plus en pire avec l'âge.
26:09Je vais déjà aller en pire.
26:11Ceux qui peuvent vivre là, ils n'ont rien du tout.
26:14Ils sont complètement incapables de faire quelque chose.
26:18Et moralement, ils sont fatigués physiquement aussi.
26:20Oui, ils sont traumatisés psychologiquement.
26:22Moralement, de tout.
26:24Quand vous l'avez payé à ce moment-là, vous n'êtes pas affecté.
26:27Ce qui m'inquiète, c'est qu'il faut avoir confiance au docteur.
26:31Il faut avoir confiance au docteur.
26:33Je vais vous raconter ce qui s'est passé avec le docteur.
26:36Lorsque je suis allé à l'hôpital, c'est un docteur qui m'a suivi.
26:40Il m'a fait suivre le traitement.
26:42Je suis allé avec un docteur de l'hôpital.
26:46Et on a continué le traitement avec lui.
26:49Mais la personne que j'ai rencontrée après mon accident,
26:52c'est un docteur qui m'a suivi avec lui.
26:55Il y a eu une petite crise là-bas.
26:58Après mon accident, chaque semaine, j'ai besoin de mon âme.
27:02J'ai besoin de son travail.
27:04Je ne peux pas m'embrasser.
27:06Le docteur m'a dit que ça coûte des vignes.
27:09Il m'a dit qu'il fallait que je fasse une pension.
27:11Comme ça, le docteur m'a dit qu'il fallait que je fasse une pension.
27:14Je n'ai pas de pension.
27:16Je n'ai pas de travail.
27:18Je n'ai pas de vie.
27:20Ma femme ne peut plus travailler.
27:22Elle a trois enfants.
27:25Une fois qu'elle a découvert sa mort,
27:28elle a vite quitté l'hôpital.
27:30Elle a vite quitté l'hôpital.
27:31Elle a vite quitté l'hôpital.
27:33Je n'avais rien à voir avec le docteur.
27:35Mais là, je me suis dit qu'il fallait que j'y aille.
27:38Je n'ai pas de négligence.
27:41Je n'ai pas de négligence médicale.
27:44Je n'ai pas de négligence médicale.
27:47Moi, j'ai pensé, monsieur, là, dans l'immédiat,
27:50comment un docteur peut dire non.
27:52Bien sûr, bien sûr.
27:54Je n'ai pas de pension.
27:56Je n'ai pas de finance.
27:58Je n'ai pas de casque.
28:00Je n'ai pas de casque.
28:02Parce qu'il y a une génuine case.
28:04Il y a des affaires qui sont génuines.
28:05Je n'ai pas d'aide.
28:06Il y a une jeune personne.
28:07Moi, je suis là pour l'aider.
28:09Je n'ai pas de casque.
28:12Pas de pension.
28:13Non.
28:14Il y a un problème.
28:16Nous allons aller dans ce problème.
28:17C'est ce qui est important.
28:18C'est ce qui est premier.
28:21Il y a de l'espoir, monsieur.
28:23Il ne faut pas vous décourager.
28:24Comment le docteur Amlagan peut dire.
28:26Ce qu'on s'est taché, on peut dire exactement.
28:31Peut-être au hôpital pour lui.
28:32C'est plus facile.
28:33Au hôpital pour lui.
28:34C'est plus facile.
28:35À la clinique pour lui.
28:39Non, non.
28:40Dans le jeudi à partir de dix heures.
28:44Demain jeudi, il faut y aller.
28:46Je n'ai pas trop de chance.
28:49De toute façon, hors antenne,
28:51on peut donner le numéro au docteur.
28:54On va faire un rendez-vous.
28:57Je ne peux pas m'attendre.
28:59Non, non, non.
29:00Là, on ne peut pas.
29:01Parce qu'on est à l'émission.
29:04D'ailleurs, au téléphone,
29:06le 213-21-21,
29:09Sandra, réceptionniste,
29:11on peut donner le numéro au docteur.
29:12D'accord?
29:13Ce qui m'intéresse, c'est le courage.
29:15Ce n'est pas facile.
29:17Un docteur n'est pas vraiment...
29:19Ce qui nous fait causer
29:21la première partie de l'émission,
29:22il y a un exemple concret.
29:25Un jeune.
29:26Une psychose dans la tête
29:28d'un patient père.
29:30Le patient a eu un trauma psychologique
29:33et n'a pas envie d'opérer.
29:34Sa vie a détérioré.
29:36Il est à l'âge de travail.
29:38L'économie du pays
29:40qu'il a perdu là.
29:42Il a perdu une personne de travail
29:45qu'il a perdue.
29:47Il a perdu sa maison.
29:49Il a eu deux problèmes.
29:51Sa femme faisait du travail.
29:52Sa femme faisait du travail pour lui.
29:54Il n'a pas réussi.
29:55Des dépenses, médicaments, douleurs.
29:57Vous savez les douleurs qu'il a eu?
29:59Là, ce n'est pas fini.
30:00Sa colonne vertébrale continue de casser.
30:02Sa partie qui est cassée là.
30:04Tout ce qui nous l'économise,
30:06c'est les oeufs.
30:07Il n'a pas gagné de nutrition.
30:08Et la colonne vertébrale,
30:09les oeufs, nous l'avons,
30:11nous l'avons cassé,
30:12nous l'avons refusé.
30:15Quand il est cassé, il est cassé.
30:17Il n'est pas récollé.
30:18Nous devons le stabiliser,
30:19nous devons mettre du ciment.
30:20Il y a beaucoup de processus
30:21qu'il nous faut faire.
30:22Mais ces oeufs-là,
30:23quand nous les avons,
30:24ils commencent à détecter qu'il est mort.
30:25Ils commencent à s'absorber.
30:26Quand ils s'absorbent,
30:27ils créent l'espace vide.
30:28Quand ils créent l'espace vide là-bas,
30:30sa colonne vertébrale là,
30:31elle commence à dire
30:32qu'elle n'a pas l'état.
30:33Elle n'a pas l'état,
30:34elle n'a pas de graines.
30:35Qu'est-ce qui peut arriver à tout ça?
30:36Qu'est-ce qui peut arriver à tout ça?
30:37Tout commence à céder là.
30:39Là, il peut y avoir une phase
30:40qui peut commencer,
30:41une dégénération
30:42pour aller pire, pire, pire.
30:44Mais il y a un groupe de médecins,
30:46des médecins avec cannes,
30:48qui sont capables de récupérer ça.
30:50Ils sont capables,
30:51ils ont ce sens fort
30:52pour retourner à la normale.
30:54Mais il ne faut pas,
30:55je dirais, perdre du temps.
30:56Je peux dire à tous les patients,
30:58je peux dire à tout le monde
30:59qui a un problème,
31:00ils disent qu'il n'y a pas de cause,
31:02l'opération de la colonne vertébrale
31:03est risquée.
31:04Il n'y a jamais de probabilité
31:06à 100 %,
31:07jamais les zéros.
31:08Mais avec un professionnel,
31:09un domaine qui est dans ce domaine,
31:11qui a l'instrumentation,
31:12par exemple,
31:13moi, j'opère en microscopie.
31:14C'est l'opération très avancée
31:16qu'il nous fait.
31:17Le risque,
31:18il ne peut pas dire les zéros,
31:19mais presque les 0,0.
31:20Mais fini,
31:22faire l'opération,
31:23il y a moins de risque
31:24de ne pas faire l'opération
31:25parce qu'à ne pas faire l'opération,
31:26il y a 100 % de probabilité
31:28qu'il pourrait être handicapé.
31:29Nous prenons maintenant une auditrice.
31:31Madame, bonjour.
31:32Allô.
31:33Allô, oui, bonjour.
31:35Bonjour.
31:36Bonjour.
31:37Oui, oui, que c'est?
31:38Oui, moi, Mme Sahira.
31:40Oui.
31:41Moi, je suis contagiée d'octet.
31:43Moi, j'ai de la douleur dans les reins.
31:45Oui.
31:46Oui.
31:47Moi, je fais le traitement
31:48dans l'hôpital,
31:49mais quand je ferme les oreilles,
31:50j'ai du mal à respirer.
31:51Oui.
31:52Mais un jour,
31:53quand j'allais,
31:54j'avais besoin d'opérer.
31:55Un jour,
31:56j'avais du mal à respirer,
31:57mais quand je ferme les oreilles,
31:58j'ai du mal à respirer.
31:59Je n'ai même pas commencé.
32:00Qui a besoin d'opérer?
32:01Qui a besoin d'opérer?
32:02Qui a besoin d'opérer?
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34:04Top FM Live TV, une grande première.
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34:22Et crédible.
34:53No wonder they say.
34:58The Mid-Morning Show, on Top FM.
35:05Alors, pour la dernière partie de l'émission, nous nous causons un peu sa phobie, justement,
35:09faire l'opération-là.
35:10Il y a plusieurs types d'opérations de la colonne vétérale.
35:13Oui, ce que je comprends est très important.
35:17Si un jeune patient vient avec moi, un patient de milieu âge, un patient âgé, ce type d'opération n'est pas pour pareil.
35:25C'est un patient qui est venu avec deuxième stage, troisième stage, quatrième stage, pour différents traitements.
35:32C'est un patient qui est venu avec un niveau qui est affecté, un autre patient qui est venu avec quatre niveaux qui sont affectés.
35:37Niveau, c'est-à-dire un disque ou plusieurs disques.
35:40Chacune opération a un volume d'opération différent.
35:43On a beaucoup de patients qui disent, moi, je ne connais pas mon voisin, ce n'est pas mon camarade, ce n'est pas ma famille.
35:47L'opération, on finit l'opération après les pains de morceaux.
35:50On fait l'opération telle place, telle place.
35:52Il faut qu'on comprenne, nous, avec nos camarades, chacun des malades, chacun des spécialistes qui ont fait l'opération.
35:59Ce n'est pas pour pareil.
36:01L'opération, comme je l'ai dit, c'est la taille de l'eau.
36:04Ce serait interrompue.
36:05Madame, le portable Anaïs du côté de Cuiapip, bonjour.
36:09Oui, bonjour docteur.
36:11Bonjour.
36:12Au fait, j'ai une question, c'est pour mon mari.
36:15Il fait un travail assez physique, il y a un menuisier.
36:18Depuis plusieurs cas, il y a presque un an, il y a eu une douleur au milieu de ses deux doigts.
36:25On va dire, au niveau de ce homoplate, on va dire vraiment au milieu du dos.
36:32C'est une douleur qui est assez récurrente.
36:35Au fait, il y en a plusieurs, l'année de ça, il y a eu un bloc.
36:40Est-ce que vous pensez que c'est cette douleur-là qui est liée à un faux mouvement de ciseaux par là?
36:47Bon, c'est une douleur qu'on appelle interscapulaire myofascial syndrome.
36:52C'est un symptôme très commun dans toute la vie de tout le monde.
36:57Il est associé avec la fatigue et le stress.
37:02Mais il y a un certain pourcentage de personnes, comme pour vous, qui finissent des morts-coups.
37:07On dirait qu'ils vivent des affaires lourdes, qu'ils se sentent craqués.
37:10Pour nous, on doit faire une enquête sur la méthode de l'exclusion,
37:15qui est une douleur qui nous casse et qui ne nous laisse pas prendre compte.
37:20C'est justement l'effet de ce mouvement, non?
37:23Oui, le thoracique contribue à environ 8 à 10% de nos mouvements.
37:28Les peines à grands mouvements thoraciques apportent que nos ribs viennent attacher là-bas, nos côtes, et nous devons respirer.
37:34C'est pour ça que cette douleur n'est pas aussi forte qu'un coup ou qu'une lombaire.
37:39Mais là-bas même, surtout quand vous trouvez que vous êtes fatigué, vous n'avez plus de douleur.
37:44Oui, oui, oui, exactement.
37:46Mais les douleurs-là viennent devant aussi, peut-être un gaz, ça ou ça.
37:52Oui, exactement.
37:54Mais quels procédures ou conseils nous devons faire?
37:58Nous devons connaître si la caisseuse n'est pas bonne là-bas, une peine cassée, une crasée, une peine crasée.
38:04Même après autant d'années?
38:05Oui, oui, il n'y a pas de différence.
38:07Nous devons faire une enquête.
38:11Nous devons commencer par un MRI.
38:13Si le MRI nous trouve un signe de casse, nous devons faire un CT scan.
38:17À partir de là, nous devons prendre une décision sur la méthode de traitement,
38:22sur l'option tactique de traitement.
38:25Là-bas, nous proposons à la patiente l'option A, B, C, D.
38:32Elle choisit.
38:33Elle choisit.
38:34Et ce traitement-là ne peut pas gagner l'hôpital.
38:38Ça n'a pas fait un MRI, ça n'a pas fait un scan normal.
38:41Moi, dans le privé, je pensais que l'hôpital faisait ça.
38:46Je ne peux pas exprimer mon avis là-bas.
38:48Monsieur le Docteur, une fois que vous êtes retourné,
38:50vous n'avez pas eu l'occasion de travailler dans le public.
38:53Oui, le secteur privé.
38:54Ah, d'accord, d'accord.
38:55Ok, Anaïs?
38:56Ok, merci beaucoup.
38:58Merci beaucoup.
38:59Peut-être un dernier appel du côté de Phénix.
39:01Samad, bonjour.
39:03Bonjour, Amina. Bonjour, Docteur.
39:05Bonjour.
39:06Bonjour, auditeurs et auditrices.
39:07Comme vous l'entendez, le Docteur fait très tourné
39:11et il peut causer quand il y a un médecin qui fait très tourné.
39:15Moi, j'ai pensé à Maurice, une des plus grandes causes
39:19des gens qui perdent pour faire l'opération.
39:23Une des plus grandes causes, c'est qu'il y a des médecins,
39:26surtout des chirurgiens.
39:28Je ne vais pas donner la peine d'assister avec un malade
39:32et sa famille aussi pour expliquer
39:35quelle diagnose ils ont fait,
39:38quelle opération ils ont fait.
39:40Et surtout, le jour de l'opération,
39:43ou pas trop tôt, je suis bien venu à l'extérieur
39:47pour nous expliquer ce qu'ils ont fait.
39:50Et je crois que c'est la plus grande cause des phobies.
39:54Et j'ai rajouté un dernier mot.
39:56J'ai mentionné qu'il y a beaucoup de monde qui a des problèmes
40:00de l'esprit, parce que quand je peux rouler,
40:03je rentre dans des trous, etc.
40:06Ça arrive moi-même.
40:08Il y a beaucoup, beaucoup de trous dans mon chemin à Maurice.
40:12Et je pense qu'on peut souffrir
40:15parce que les autorités ne font pas leur travail.
40:18Et s'il y a un problème entre les deux,
40:21c'est parce qu'on tombe dans un trou,
40:23et c'est nous qui payons les poches cassées.
40:25Alors, je vous suggère, docteur,
40:27c'est vous et vos collègues,
40:29si vous avez une étude,
40:31comment faire à l'extérieur,
40:33une étude,
40:35et faire un raise alarm,
40:38faire que l'autorité comprenne
40:40qu'il y a des gens qui payent les poches cassées
40:43d'incompétence,
40:45et qu'il y a un chemin,
40:47pas grave, mais il y a un gros, gros trou
40:49où on peut rouler,
40:51et non seulement on l'a tout abîmé,
40:53mais aussi on l'a tout abîmé.
40:55Merci. Je vous écoute à la radio.
40:57Merci, Samani. Et vous la sentez aussi.
40:59Alors, vous-même, vous donnez des conseils.
41:01Moi, pour commenter un petit peu tout ça,
41:03je pars à nouveau, j'ai 4 ans à Maurice.
41:05Après 21 ans, je retourne à Maurice.
41:07Je travaille.
41:10Ma majorité, je travaille en Europe,
41:12comme Head of Spine Unit.
41:16L'opération, je fais assez beaucoup,
41:18à peu près 900 à 1 000 opérations annuelles
41:20que je peux faire là-bas,
41:22dans mon département.
41:24L'expérience,
41:26comme M. Lendjian l'a dit,
41:28c'est très important, Lendjian l'a dit,
41:30c'est très, très, très important,
41:32c'est l'approche du patient.
41:34J'ai un problème dans mes consultations,
41:36quand je suis consulté, je ne prends pas beaucoup de patients,
41:38dans mes consultations d'une journée,
41:40j'ai quand même 10 patients,
41:42par quantité qui est importante, c'est qualité.
41:44Un patient, si, je veux dire,
41:46tous mes patients, moi, je sais,
41:48les cas pour moi, 40 minutes, les cas pour moi,
41:50une heure de temps, les cas pour moi, une heure et demie,
41:52je n'ai pas de patient qui a témoigné.
41:54Tous les patients qui m'ont opéré jusqu'à aujourd'hui,
41:56je n'ai pas de patient qui a témoigné.
41:58C'est pour ça que je prends moins de temps que d'autres.
42:00Je prends moins de temps, je m'explique à d'autres,
42:02je m'explique à d'autres familles.
42:04Si je n'ai pas de copains, j'ai besoin de soins de moi.
42:06C'est pour ça que j'ai décidé de m'expliquer,
42:08parce que l'importance, c'est l'éducation du patient.
42:10Il est bien qu'on me redise l'importance
42:12que le patient a besoin de la confiance de ce docteur.
42:14Je m'explique à tous,
42:16je m'explique à tous les patients,
42:18je m'explique à eux, bien,
42:20j'ouvre l'opération, j'ai besoin d'un patient.
42:22Avant de l'opérer, si je suis capable d'accompagner,
42:24de m'accompagner dans la salle d'opération,
42:26les trous vont s'ouvrir.
42:28Quand je vais lever, les trous vont s'ouvrir,
42:30après mes affaires, je vais sortir
42:32avec chaque injection qui a passé,
42:34je vais faire mon opération,
42:36je vais sortir,
42:38je vais informer les relatives
42:40de mon patient,
42:42qu'est-ce qu'on peut faire quand on arrive,
42:44quand on peut terminer, quand on peut rester.
42:46Tout peut passer bien, quand on arrive,
42:48on est informé chaque année, on est informé.
42:50Quand on finit l'opération, le patient est levé,
42:52quand il est levé, nous le causons,
42:54nous faisons ce relatif, nous faisons un extrait,
42:56un travail opérationnel qui nous montre
42:58qu'on a fait un succès, tout est fini.
43:00C'est le process qui nous passe.
43:02Je pense qu'il n'y a pas que nous qui sommes là,
43:04mais moi, je pense que c'est le système européen.
43:08Nous avons un dernier appel, bonjour.
43:10Allô.
43:12Oui, bonjour.
43:14Oui, je veux te parler avec le docteur.
43:16Oui, bonjour.
43:18Oui, bonjour.
43:20Oui, vous savez, j'ai une soeur,
43:22elle a eu des problèmes de la main,
43:24elle a eu des problèmes de la main,
43:26ce n'est pas possible de la fermer.
43:28Quand on fait le traitement à l'hôpital,
43:30il y a le besoin d'opérer,
43:32on opère sur la colonne vertébrale, là-haut.
43:34Mais les problèmes, vous connaissez,
43:36il y a un handicap, il y a une médecin de couleur.
43:38Il n'est pas capable de fermer
43:40avec ce délamé.
43:42Il n'est pas capable de fermer,
43:44il n'est pas capable de fermer.
43:46Il y a du monde qui peut bien faire tout pour lui.
43:48Quel âge a-t-il, madame?
43:5061 ans.
43:52Très jeune.
43:54J'ai envie, docteur,
43:56s'il vous plaît.
43:58Est-ce qu'il est capable, vous pensez,
44:00de faire quelque chose?
44:02Oui, bien sûr.
44:04Si il n'a pas de délamé,
44:06il est capable de le coincer.
44:08S'il le coinçait, il aurait pu le décoincer,
44:10pas de problème.
44:12Mais si il n'y a pas de délamé,
44:14le traitement est compliqué.
44:16C'est ça le problème.
44:18Vous connaissez, quand vous faites l'opération,
44:20il y a un spécialiste dans ce domaine-là.
44:22C'est important.
44:24Alors, pour terminer,
44:26est-ce qu'il y a quelque chose de positif,
44:28d'espoir?
44:30Je pourrais dire à tout le monde,
44:32à tous les patients qui ont des problèmes
44:34de colonie vertebrale,
44:36à tous les patients qui passent
44:38avec un docteur pour faire une opération,
44:40je pourrais leur dire de ne pas
44:42fermer la porte de l'opération.
44:44Il y a un deuxième avis,
44:46un troisième avis, qui est très important.
44:48Mais s'il y a trois docteurs
44:50qui ont fait l'opération,
44:52choisissez l'un d'entre eux
44:54et que vous ayez confiance en lui.
44:56N'importe qui, privé, à l'hôpital,
44:58quel que soit votre envie,
45:00mais choisissez un bon docteur
45:02que vous ayez confiance en,
45:04parce que si vous n'avez pas fait l'opération,
45:06si vous n'avez pas fait l'opération,
45:08il y a une indication absolue
45:10que vous n'avez pas fait l'opération.
45:12Il y a 100% qui peuvent vous paralyser
45:14à la longue.
45:16Mais si vous avez fait l'opération,
45:18votre carrière retourne dans la vie normale.
45:20Mais il y a un spécialiste dans ce domaine-là.
45:22Merci beaucoup.
45:24J'espère que vous nous rejoignez
45:26quand il y aura le temps.
45:28Merci, au revoir.

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