Avec Brigitte et Kamel
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NewsTranscription
00:00— Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin. — Merci d'appeler. Comme Brigitte. Brigitte est à Marseille. Bonjour, Brigitte.
00:08— Bonjour, M. Bourdin. — Merci. Vous êtes auditrice de Sud Radio, Brigitte ? — Oh oui. Oui, oui. Depuis longtemps et tous les matins.
00:16— Et tous les matins. Bah ça me fait plaisir, Brigitte. Ça me fait plaisir. Vous réagissez à ce que vient de dire Bruno Bonnel,
00:22il y a un instant, sur les investissements absolument indispensables, si on veut faire avancer ce pays ?
00:29— Oui, tout à fait. Oui. — Qu'est-ce que vous vouliez dire ? — Je pensais... J'ai entendu par rapport à l'investissement
00:36dans l'industrie. J'ai entendu parler d'hydrogène. Enfin je sais pas si vous vous souvenez. Il y avait eu le président Macron
00:43qui s'était déplacé sur Béziers. Donc il y a eu un investissement de 200 millions d'euros, de mémoire, pour développer
00:52l'hydrogène pour l'industrie. Et en fait, on avait normalement 500 postes prévus pour logiquement en 2025.
01:01— Oui. — Et on attend toujours, en fait. Donc je me pose la question où est le suivi. Je me pose l'investissement.
01:08Enfin c'est quand même 200 millions d'euros. — À Béziers ? C'était à Béziers, Brigitte ? — Oui, oui, oui, tout à fait.
01:15Il doit y avoir encore des articles disponibles sur Internet. — Eh ben c'est très intéressant, ce que vous me dites,
01:23parce que dès que j'ai le maire de Béziers, Robert Ménard, je vais lui poser la question, tiens. Où est-ce qu'on en est ?
01:29— OK. Bon, voilà. — Eh ben vous avez raison. Vous avez raison de nous alerter, Brigitte. C'est bien. C'est bien. Merci, Brigitte.
01:40Bon. Brigitte est partie. Je sais pas. Un petit problème de téléphone, si j'ai bien compris. Kamel. — Oui. — Ça va, Kamel ? — En forme.
01:47— Kamel, je sais que vous êtes toujours en forme. Quand vous appelez ou qu'on vous appelle, vous êtes toujours en forme.
01:55— C'est ce qu'il faut. — Vous êtes à Avignon, hein, Kamel ? — Oui. Oui, oui. — Bon. Dites-moi, vous avez entendu Nathalie Goulet tout à l'heure,
02:04la sénatrice qui a porté l'amendement supprimant les avantages des anciens présidents et des anciens premiers ministres.
02:12— Je suis tout à fait d'accord sur ça. Maintenant, je pense que ça suffit, tous ces petits trucs-là, parce que là, on nous demande de faire des efforts.
02:23À nous, on nous met dans la galère, à nous, les petits. Donc aujourd'hui, je pense qu'il faudrait faire la méthode.
02:29Vous savez, Lech Walesa. Vous avez vu quand Lech Walesa a perdu ses élections ? Il est parti retravailler. Il a fait comme tout le monde.
02:37Il est reparti dans l'industrie. Il a fini sa carrière là-dedans. Et pourtant, il était président quand même de la Pologne.
02:43Donc à un moment donné, tous ces gens-là qui se gardent sur nous, en fait, nous comptent, parce que je vois pas l'utilité de payer des gens
02:51qui ont les payes gratuitement, quoi, parce que... — Oui. Je comprends Kamel. Je voudrais préciser qu'il n'y a qu'un seul premier ministre
03:01qui, lui, a refusé tout. C'est Jean Castex. Bon, alors vous allez me dire qu'il est PDG de la RATP. Mais ça fait rien.
03:09Il a refusé absolument tout. Tous les chauffeurs, il a tout refusé. La sécurité, le... — Parce qu'il a pas su y faire, peut-être.
03:18— Non, non, c'est une volonté. C'est une volonté de sa part. — Ah bah alors c'est un bonhomme. Mais je pense qu'à partir d'aujourd'hui,
03:28ils doivent tous savoir qu'une fois qu'ils sortent de la politique, de leur système à eux, hop, ils font comme tout le monde.
03:36Ils veulent pointer au chômage. Ils veulent chercher du travail. Voilà. Ils ont des métiers, ils ont des trucs. Ils font comme tout le monde.
03:42— Alors certains disent que ça représente 2,8 millions d'euros par an. C'est... Bon, c'est un peu populiste comme mesure.
03:49— Ah pardon ? Combien ? 2 millions ? — 2,8 millions d'euros par an. — Oui, avec tous les ministres qu'on paye et qui sont coordonnés.
03:56— Non mais je parle des anciens premiers ministres et des anciens présidents de la République. Ça représente 2,8 millions d'euros par an.
04:04— Ah oui, 2 millions. Et les retraites des députés et les retraites des trucs. Moi, je dis enlevez tous les avantages.
04:10— Non mais la retraite... Attendez. Ils ont cotisé aussi, quand même. — Non, non. Mais la retraite, celle qu'on dit des ministres...
04:16Une fois qu'on a été ministre pendant un certain temps, on a la retraite à vie. On a une retraite à vie. Et donc moi, ça, non, je suis pas d'accord.
04:22Le gars, il s'est mis au service de la France. C'est pas nous qui lui avons demandé de venir se présenter et travailler pour la France.
04:28Excusez-moi. On peut faire ça aux militaires. Alors dans ces cas-là, les gars qui s'engagent pour défendre le pays, eux, ils défendent rien.
04:34Eux, ils font couvrir leur bouche. Ils font défendre le pays dans la merde. — Oui mais les militaires, ils ont une retraite à vie aussi, Kamel.
04:41— Heureusement. Heureusement, sinon, on aurait eu des soldats, là-haut. — Oui, oui. Non mais je suis d'accord.
04:46— Le gars, il aménage sa vie. L'autre, il aménage sa bouche. Regardez le nombre de députés qui perdent et qui se retrouvent au chômage.
04:52Mais c'est pareil pour tout le monde. Voilà. Vous avez fini. Vous avez un métier. Allez.
04:56— Mais vous savez qu'il y a beaucoup d'anciens députés qui ont perdu et qui ont des difficultés à retrouver du travail, hein.
05:02— Ah, ça fait plaisir. Mais ça n'a pas l'air de toucher ceux qui sont assis aujourd'hui, ceux qui ont gagné, quoi,
05:10parce que ceux qui ont gagné, ceux qui n'ont plus 20 ans dans l'hémicycle, ils n'ont pas conscience de ça, je crois.
05:15Ils voient que c'est leur intérêt. Mais s'ils se retournent un petit peu, ils voient l'état dans lequel ils se retrouvent aujourd'hui.
05:21— Je serais moins sévère que vous, Kamel. Il y a beaucoup de politiques qui pensent aussi à l'intérêt du pays.
05:26Il faut pas non plus... Je serais moins catégorique. Néanmoins, bon, il y a effectivement peut-être des dépenses à revoir.
05:33Merci, Kamel. Dans tous les cas, vous êtes à Avignon. Merci beaucoup. Il est 8 h. Il est 8 h.
05:40— La météo Sud Radio. — Et Rémi André est là à 8 h pour nous donner le temps, Rémi.