Avec Olivier et Luc
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00:00— Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin. — Olivier est avec nous. Bonjour, Olivier. Olivier.
00:08— Oui, je suis là. — Oui, bonjour, Olivier. Olivier, vous avez entendu le député Ludovic Mendes qui était là il y a un instant,
00:16qui propose donc ce rapport à l'Assemblée nationale, qui propose une forme de légalisation du cannabis avec des genres de bureaux
00:27comme des bureaux de tabac, avec une licence où l'État pourrait vendre du cannabis. Enfin l'État ou du moins des propriétaires,
00:37des boutiques, propriétaires de boutiques qui, sous contrôle de l'État, évidemment, pourraient vendre du cannabis en quantité limitée.
00:44Qu'en pensez-vous ? — Alors c'est un problème complexe. Globalement, je suis contre le fait qu'on puisse légaliser des drogues
00:53quelles qu'elles soient. Maintenant, l'alcool a montré avec la prohibition américaine que quand il y avait une masse suffisamment de gens
01:01qui voulaient, on pouvait pas stopper le système. Une réflexion que je me suis faite, c'est dans ce cas, il faudrait que ce soit l'État
01:09qui commercialise, lui, pour que les milliards rentrent dans ses caisses. — C'est un peu ce qui est prévu dans ce rapport.
01:15— Non, ce qui est prévu, c'est... Moi, de ce que j'en ai compris, c'est qu'on puisse avoir une officine. Mais à votre avis,
01:21vous êtes trafiquant de drogue en ce moment. Et on vous dit « Tiens, il va y avoir une officialisation du marché ». Vous devenez
01:27un opérateur officiel. Mais l'argent part toujours au même endroit. Donc un, il faudrait que ce soit uniquement que l'État qui commercialise
01:34et que les ressources, les milliards générés aillent directement dans les caisses de l'État. Et deuxièmement, parce que ça, j'en ai ras-le-bol,
01:42tous les mecs que je vois qui fument sentiments ont toujours... Enfin je suis admiratif des réseaux de commercialisation, notamment du cannabis,
01:52parce que quand vous croisez un mec qui fume du shit, il vous dit toujours « Non, non, mais moi, c'est le fils de Macron-Georges qui en fait
01:59un peu pour lui, qui me le revend à moi ». — Oui. — Tous les mecs qui achèteraient ailleurs, ils seraient attaqués pour financement
02:06C'est pas compliqué. Il y en a ras-le-bol. Et après, quand j'entends que l'autre problème, c'est qu'il y a une excuse de... Enfin quand tu fumes ou quand tu prends
02:16quelconque drogue, tu prends pas ta bagnole. Oui, mais le problème, c'est que votre outil d'analyse est faussé par la prise de la substance.
02:23Donc il faut bien que les gens se mettent un truc dans la tête. C'est qu'on ne pourra pas gérer les accidents qui sont liés à la consommation de drogue
02:30puisque votre outil qui vous permet de gérer votre vie de façon régulière est atteint par la consommation du produit. Donc on tourne en rond.
02:39C'est un truc... Mais c'est un vrai problème de santé qu'on ne résoudra pas en deux coups de cuillère à peau. Mais si on voit ce qui s'est passé sur l'alcool,
02:47à savoir on n'a jamais pu empêcher, il y a peut-être un fond de vérité, bien que ça me fasse très très mal de le dire, sur « On n'empêchera plus maintenant
02:5730 millions de gugus » de dire que c'est cool de prendre des substances psychotropes. Mais il faut que l'argent aille direct dans les caisses de l'État.
03:05Donc on ne donne pas la possibilité à un privé de commercialiser. Surtout que... — C'est un agent de l'État, en fait. En quelque sorte, c'est un agent de l'État
03:13qui commercialise, alors, Olivier. — Il faut que tout le pognon aille dans les caisses de l'État. — Ouais, je comprends. Merci, Olivier.
03:19Merci. Pardon, je suis obligé de vous couper, Olivier, parce que je voudrais prendre Luc. J'ai pas trop de temps. Luc, sur les airbags.
03:25Bonjour, Luc. Vous êtes garagiste. — Oui, bonjour. — Bonjour. Beaucoup de véhicules concernés par ces airbags défectueux, c'est dû à la chaleur ?
03:33Ils sont défectueux, c'est dû à la chaleur ? — Ouais, principalement, oui. La majorité des airbags qui ont explosé étaient dans des départements
03:42ou des régions d'outre-mer. C'est un peu... Ouais, c'est l'effet un peu de la chaleur qui favorise un peu le truc-là.
03:51— Bon. Vous dites « attention » parce qu'il n'y a pas suffisamment d'airbags disponibles en stock pour répondre à la forte demande soudaine de changements.
03:59— Oui, oui. Pour l'instant, les constructeurs n'ont pas forcément de solutions ultra-rapides. Donc il faut prendre son mal en patience.
04:07Et puis éventuellement, certains constructeurs envoient des courriers en ce moment où ils empêchent les gens de rouler. Il y a ce qu'ils appellent...
04:15— Des Citroëns. Par exemple. Mais Luc, vous voyez beaucoup de conducteurs venir, de propriétaires de véhicules venir remplacer les airbags
04:26ou demander un remplacement ou s'interroger. — Ouais, il y en a beaucoup. Il y a beaucoup de gens qui passent, qui veulent regarder.
04:32Alors bon, moi, je suis agent Peugeot. Donc je sais pas forcément... Il y en a très peu. Il n'y a que la Yon, je crois, qui est atteinte par là.
04:39— Exact. — Par contre, il y a beaucoup de clients qui ont des Citroëns, etc., qui s'inquiètent un peu de ce sujet-là, en fait.
04:49— Oui. Il y a des marques moins touchées. Cette marque Takata qui fabriquait ses airbags défectueux, qui est une marque japonaise qui a fait faillite, d'ailleurs, Luc.
04:59Aujourd'hui, les airbags sont de meilleure qualité ? — Oui. Aujourd'hui, les airbags sont de meilleure qualité. Et c'est la raison,
05:07parce que là, les airbags qui sont touchés par ce sujet-là, c'est des airbags qui ont été montés entre – je crois – 1996 et 2017 ou 2018.
05:16Donc je pense que peut-être qu'en dessous, ils se sont aperçus un petit peu, justement, Takata.
05:24Ils ont dû s'apercevoir un petit peu de leur truc. Et c'est peut-être ce qui a causé un petit peu la fin de la carrière.
05:31— Merci, Luc, dans tous les cas. Merci. Vous êtes garagiste dans l'Essonne. Je le rappelle. Merci d'être avec nous le matin sur l'antenne de Sud Radio.
05:38C'est un plaisir de vous savoir là, vous comme tous les autres. Il est 8 h 01.