1-100% féminin - Le Roller Derby Stéphanois à l'Honneur
Patti Smite, du club stéphanois, revient sur l'histoire et l'essor local du roller derby, un sport de contact sur rollers où stratégie et intensité règnent sur la piste ovale.
2-Démo - Le Korfball, un Sport Atypique à Découvrir
David, entraîneur du club FJEP, ouvre les portes du gymnase de Bonson pour faire découvrir le korfball, un sport méconnu mais en plein essor. Sans dunk, il mise sur les déplacements, les passes et l'adresse pour marquer dans un panier à 3,5 m de hauteur.
3- 4 Équipages pour une Asso sur le Twing Raid
Huit Ligériens de l'association Silentblock affrontent les dunes marocaines lors du Twing Raid. À bord de leurs Twingo, ils parcourent 4 000 km en 10 jours pour livrer fournitures scolaires et aide humanitaire.
4-Dans le Coin du Coach - Aux Origines du Maître
Rencontre avec Sakho Daouda, figure emblématique de la Loire et mentor de toujours, pour explorer son parcours, ses valeurs et l'impact de la relation maître-élève dans les arts martiaux.
5-Basket - Une Année de Fête
Le BC Savigneux célèbre ses 30 ans avec une journée exceptionnelle, affirmant son dynamisme malgré la proximité de Montbrison. Un club où basket rime avec passion et convivialité, en féminin comme en m
Patti Smite, du club stéphanois, revient sur l'histoire et l'essor local du roller derby, un sport de contact sur rollers où stratégie et intensité règnent sur la piste ovale.
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3- 4 Équipages pour une Asso sur le Twing Raid
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00:00Bonsoir, bonsoir à toutes et à tous, ravis de vous retrouver après ces vacances de février
00:23sur le plateau de Sports 7.
00:25Sports 7, ça fait quand même 20 ans que Sports 7 est présent sur ATL7 et vous allez
00:29voir on va vous préparer pas mal de petites choses mais pour leur place à la compo d'équipe
00:34cette semaine qu'on l'a connue bien fort, Igor Barthes !
00:38Bonsoir à tous, on va partir un peu au Maroc pour faire le Twingred, vous savez ces équipages
00:44qui ont pris une Twingo première génération pour partir au Maroc et pour les bonnes oeuvres,
00:49pour la solidarité.
00:50Voilà, ils sont tout juste revenus hier, ils viennent juste de rentrer, c'est vraiment
00:56le lac d'Issines, le bol chaud russe, enfin on n'a plus le droit de dire ça en ce moment,
01:02on est russes mais voilà, Fiona Légonnet !
01:04Bonsoir à tous, bonsoir à toutes, alors aujourd'hui je vous emmène du côté de l'ETRA
01:09pour le roller derby stéphanois et vous verrez un sport d'inclusion, un sport spectaculaire.
01:15Et des prénoms de dingue, j'ai pas tout retenu.
01:18On a Patty Smythe, on a Tony, c'est votre public c'est ça ?
01:25En face de vous, celui qui adore le ballon orange, c'est Fini Demir.
01:30Bonsoir Julien, bonsoir à tous, oui on va à l'orange forcément et on va parler d'un club
01:37du côté de Montbrison, alors c'est pas Montbrison, c'est le club de Savigneux
01:41qui va fêter un événement cette année, les printemps, et on aura tout à l'heure
01:45le président, M. Pierre Verviers qui sera avec nous.
01:47Celui qui incarne la douceur, la joie et si vous avez un problème dedans
01:51il vous l'arrache en 15 secondes, Sylvain Thomas !
01:54Alors nous, bonjour, on va parler de mon maître Sako Daouda,
01:59une personne emblématique dans la Loire, il en a formé beaucoup.
02:03Il n'était pas que videur.
02:04Il n'était pas que videur, et on va parler de son parcours et de l'évolution
02:07de la discipline au travers un petit peu de son regard.
02:10Très bien, voilà, c'est le programme de Sportset, pendant ce temps
02:13Sylvain vous allez prendre des rollers et faire un peu de roller derby.
02:16Pas besoin de casque, vous allez presque le même.
02:18Voilà, dans quelques instants après la vergule, on reçoit votre amitié
02:22qui s'appelle Patty Smythe.
02:32Je croise le lien pour la petite anecdote que juste avant que j'arrive
02:35à Sportset il y a X années, juste l'émission d'avant ou quelques émissions avant
02:42le roller derby était venu.
02:43Oui, on connaît, mais il ne faut pas se prier de publicité.
02:47Il y a votre email qui a coulé, non ?
02:50Comment ça va ?
02:51On reçoit donc Patty Smythe qui est notre représentante
02:54du club de roller derby stéphanois.
02:56Déjà, pour tous ceux qui ne connaissent pas du tout la discipline.
03:00Oui, c'est important.
03:01Au moins, je veux bien qu'on remette les bases.
03:03On resitue.
03:04Alors, le roller derby, c'est un sport de contact sur patins à roulettes.
03:08Donc, c'est des équipes sur le track.
03:11Donc, c'est la piste sur laquelle on joue.
03:13C'est une piste ovale.
03:15Donc, il y a cinq joueuses heureuses des deux équipes simultanées.
03:18Alors, on va voir.
03:19C'est ça.
03:20Vous êtes à l'étivalier.
03:21Ah non, pas du tout.
03:22Ce n'est pas l'étivalier.
03:23On est à l'étre.
03:24Et donc, l'objectif, finalement, c'est, comme vous disiez,
03:28c'est un sport de contact.
03:29Il n'y a pas une histoire de balle, de camp, de choses comme ça.
03:32Je pensais que vous se balansiez.
03:33Rien ?
03:34Non, il n'y a pas de ballon.
03:35En fait, si je peux dire, le ballon, c'est une des joueuses
03:38qui peut marquer des points en dépassant les adversaires.
03:42Il ne faut pas se faire doubler ou bloquer.
03:44En fait, il y a quatre personnes de l'équipe adverse
03:46qui est là pour bloquer la cinquième personne de l'équipe adverse
03:50qui peut marquer des points.
03:51C'est la personne qui a une étoile sur son casque.
03:54C'est la femme ou l'homme à battre ?
03:58C'est mixte ou c'est pas mixte ?
03:59Oui, ça dépend.
04:01Il y a des matchs mixtes ou il y a des matchs féminines plus.
04:06Donc, c'est femmes et minorités de genre.
04:09Là, le club, il est vieux.
04:11Vous faites des compètes, vous avez un gros club ?
04:14On est 40 adhérents, adhérentes.
04:18C'est déjà pas mal.
04:19C'est de sport qui n'est pas très connu.
04:23Parce que ça vient des U.S. ?
04:24Si, dans les films, on en voit dans les films.
04:26Si vous voulez, je peux vous faire un peu l'historique.
04:28J'aime bien, allez-y.
04:29Très bien, on a du temps.
04:30En fait, ça a été inventé par un homme dans les années 30 aux États-Unis.
04:35Mais de base, c'était vraiment un spectacle et pas du tout un sport.
04:39C'était presque du catch.
04:40C'est tombé en désuétude quand les gens ont vu que c'était plus du spectacle que du sport.
04:46Et dans les années 2000, il y a un groupe de femmes qui s'est saisi de cette idée
04:52et qui a développé le sport qu'on connaît aujourd'hui.
04:55Le sport d'aujourd'hui.
04:56Je regarde, c'est un sport de contact.
04:58Mais quand on regarde, vous n'avez pas vraiment beaucoup de protection.
05:01Oui, en fait.
05:03Vous êtes habillés comme ça quand vous en faites ?
05:05Ça, c'est l'équipement officiel.
05:08Protège-dents ?
05:09Oui, il y a un protège-dents.
05:10C'était pénible pour parler.
05:11Il y a quoi ? Des poudrières, des genouillères ?
05:14En fait, c'est un sport de contact.
05:16Mais contrairement à la boxe où on va se mettre des poings.
05:19Fais gaffe, il y a 6-20 ans.
05:21Ne dis pas n'importe quoi, ça va l'énerver.
05:23En fait, on peut impacter avec le tronc et impacter sur le tronc des personnes.
05:30Qui sont justement là pour visiter.
05:33Moi, aux États-Unis, quand je regardais, c'était juste incurvé ou c'est pas du tout ça ?
05:37Historiquement, c'était incurvé l'histoire du catch.
05:41Je suis très fan des années 30.
05:43Est-ce que vous avez chacun un rôle à poste ?
05:46En fonction du gabarit, en fonction de la force, en fonction de l'agilité ?
05:50Laissez votre tête pour voir, il n'y a pas d'étoile.
05:51En fait, l'étoile, c'est un cover.
05:54C'est le bonnet du casque.
05:56Là, je n'ai pas d'étoile, mais ça m'arrive souvent de faire la pose de jammeureuse.
06:02À ce poste-là, c'est la personne qui peut marquer des points.
06:06Après, les quatre autres personnes qui sont sur la piste, c'est les bloqueureuses.
06:10Donc, c'est les personnes qui bloquent la jammeureuse.
06:12Qui bloquent celle d'en face.
06:14Ce qui est bien, parce qu'on pousse le vis, on ne voit pas très bien,
06:17mais vous avez des petits prénoms.
06:19C'est très identitaire comme sport, en fait, où chacun choisit.
06:22Alors, comment vous choisissez ces noms-là ?
06:26Il y a un sac, vous faites un peu de corne dans le gymnase.
06:30Non, mais en fait, c'est un peu des alter-égos.
06:34C'est empouvoirant.
06:37Donc, chacun choisit son nom selon ses inspirations.
06:40C'est une sorte de jeu de rôle.
06:41Et vous le changez au fur et à mesure des années, des saisons ?
06:44Ou est-ce que c'est quelque chose qu'on garde ?
06:46Non, on garde les noms.
06:47Moi, Patti Smythe, c'est pour Patti Smith.
06:50Et Smythe, ça veut dire...
06:51En anglais, c'est Cogné avec une force divine.
06:54Ah oui, bien que ça, quoi.
06:57Je peux faire un petit tour pour avoir les prénoms ?
06:59Ah ben oui, bonne idée.
07:00Vous voulez bien ?
07:01Et ça vous intéresse ? Ils servent des adhérents.
07:04C'est quoi, vos petits prénoms ?
07:05Moi, c'est Tony, truante.
07:08Ça, il faut le dire.
07:10Ah oui, et vous ?
07:11Moi, c'est Baselgueuse.
07:13Baselgirls.
07:14C'est une vraie barbe ou c'est une fausse barbe ?
07:15C'est une vraie barbe.
07:16Je ne peux pas tirer dessus, alors ?
07:17Non.
07:18Moi, c'est Tétaro par rapport à mon passé de sportif de plongeur.
07:21Ah !
07:22Dès que je suis arrivé aussi dans le club...
07:23T'es un petit étard.
07:24Exactement.
07:25Voilà.
07:26Et vous ?
07:27Moi, c'est Brasero et mon derbinet me fait référence
07:29au fait que je ne porte pas de soutif et également
07:31aux morceaux de punk Brasero du groupe Krav Boka.
07:34Moi, j'étais pas du tout ça.
07:35Moi, j'étais sur le barbecue.
07:36Eh oui.
07:37Vous n'étiez pas du tout sur le Brasero.
07:39Et...
07:40Ah, vous !
07:41Vous avez de belles chaussettes, vous, à côté.
07:43Moi, c'est Lancasteré.
07:44Lancaster ?
07:45Lancasteré.
07:46Lancasteré, pourquoi ?
07:47Parce que je m'appelle Astré.
07:48Ah oui.
07:49Je suis bloc.
07:50Mais t'es un bloc, toi.
07:51Bah oui, j'ai vu tout de suite.
07:52Et vous ?
07:53Moi, c'est Steppenwolf.
07:54Steppenwolf.
07:55Steppenwolf.
07:56Steppenwolf.
07:57Oui, parce que...
07:59Je me demandais aussi à Apathy, c'est est-ce qu'aujourd'hui,
08:02il y a des championnats qui sont organisés ?
08:04Ou est-ce que, comme plusieurs années en arrière,
08:06vous êtes obligés d'organiser en fonction des clubs
08:08vos propres championnats de compétition ?
08:10Aujourd'hui, il y a des championnats nationaux qui existent.
08:13Donc, il y a trois étapes.
08:16Elite qui est tout en haut.
08:18Par exemple, Tetaro joue en Elite.
08:20Oh !
08:21Petit Tetaro !
08:22Vice-champion de France avec son équipe.
08:26Après, il y a National 1 et National 2.
08:28Et vous, vous êtes ?
08:29Nous, pour le moment, on n'est pas inscrits
08:31sur des championnats nationaux.
08:33Ça arrivera sûrement dans le futur.
08:35On fait des matchs amicaux ou des tournois régionaux.
08:38Chaque année, on fait le tournoi régional.
08:40Et dans la Loire, il n'y a que vous ?
08:42Ou dans d'autres clubs ?
08:43Il y a combien de clubs ?
08:44Il y a Rouen aussi dans la Loire.
08:45Ah, c'est pas mal !
08:46Mais après, dans la région, il y a plein de...
08:49C'est vous ou Rouen ?
08:50C'est vous.
08:51On a des styles différents.
08:54Qu'est-ce que vous pourriez dire à des téléspectateurs
08:57qui vous regardent et qui pourraient avoir envie
08:59de s'engager, de s'inscrire, de venir découvrir ?
09:02Qu'est-ce que vous pourriez dire ?
09:04Nous, on a plein d'engagements.
09:06Déjà, nos licenciés, ils ont tous les âges.
09:09On a de 20 ans à 50 ans, à peu près.
09:12C'est surtout des femmes et des minorités de genre.
09:15Mais on est un club mixte.
09:17On a deux équipes.
09:19Nos équipes, elles s'appellent les Vertueuses.
09:21Ah oui, je regardais !
09:24Voilà.
09:25On a une équipe plutôt débutante
09:28et une équipe un peu plus expérimentée.
09:31Et en fait, on s'engage vraiment pour l'accès au sport
09:35parce qu'il y a beaucoup de personnes
09:37qui trouvent leur place dans notre club.
09:39Parce que c'est cardio, on n'en a pas parlé.
09:41Oui, mais je pense que ça touche un peu tout.
09:43C'est-à-dire qu'il y a un côté très physique,
09:45un côté très technique et un côté très inclusif
09:48où on trouve aussi une sorte d'identité de groupe
09:51dans ce type de club et de sport.
09:53Alors, on peut se mettre tous les deux debout ?
09:55Je vous explique, parce qu'elle va me tanner
09:57pendant 20 ans encore.
09:58Elle s'est fait mal, elle ne peut rien faire.
10:00On va en parler de sa blessure.
10:01Vous n'avez plus besoin de vos fiches.
10:03Vous laissez vos textes par cœur.
10:04On les balance comme ça.
10:05Tenez, prenez la sucette,
10:07juste pour comprendre.
10:09Ce n'est pas du roller.
10:11On s'approche un petit peu, s'il vous plaît.
10:12C'est des rollers quads.
10:13Oui, voilà.
10:14Des bâtards à roulettes.
10:15Les techniques, à savoir, c'est quoi la technique ?
10:18Moi, je n'en ai pas.
10:19Les techniques, bon, après, on est sur de la moquette.
10:22Oui, mais regardez-moi.
10:24Pour la prise de vitesse, on fait des départs
10:27où on court sur les stoppers
10:29pour se lancer sur les patins.
10:31Ça, tu aurais pu le faire.
10:33Après, il y a toutes les techniques de demi-tour
10:38pour aller dans la direction que je veux.
10:40On patine en marche arrière souvent.
10:42Ah ouais ?
10:43Oui.
10:44Pour faire quoi ?
10:45Pour avoir le visuel sur la jam heureuse qui arrive.
10:48Ta petite étoile ?
10:49Ah oui, d'accord.
10:50Tous lesateurs de derby, practitioners,
10:52peuvent se mettre debout et juste faire un petit tour.
10:55On va mettre une étoile.
10:56On va vous trouver une étoile.
10:58Je vais vous faire une étoile sur une fiche.
11:01Pour justement nous montrer un peu ce que ça donne.
11:04C'est de la moquette, je suis bien d'accord.
11:06Je ne fais pas très bien les étoiles.
11:08Tiens, tu seras ma petite étoile.
11:10Je le mets comme ça.
11:11On le voit bien.
11:12Vous voyez bien que c'est mon étoile ?
11:14Tu as une grosse cigarette sur la tête.
11:17Comment ça se présente ?
11:18Expliquez-nous.
11:19Commentez un peu.
11:20Prouvez le autour de la table.
11:22Si Tétaros est l'étoile, nous, avec Brasero,
11:25on va venir bloquer.
11:26Ça, c'est une position de bloc.
11:28On est très ancré dans le sol,
11:30mais en même temps très mobile
11:32parce que les jam heureuses sont des personnes
11:34qui savent très bien patiner
11:36et qui, soit vont passer…
11:38Ah oui, vont essayer de trouver des subterfuges pour pouvoir…
11:41En fait, c'est un mélange entre de la force de pousser et d'impact.
11:44Et de la technique.
11:45Et de l'agilité pour venir se frayer un chemin
11:48et passer sur les bords du track,
11:50donc de la piste.
11:51C'est pour ça qu'il faut prendre le plus petit, non ?
11:53Comme ça, ça passe entre les jambes.
11:55En fait, c'est une bonne remarque.
11:58Tous les gabarits sont…
11:59Il est passé !
12:00Il est passé !
12:01Il a marqué cette étoile !
12:02Tous les gabarits sont intéressants au derby
12:05parce que chacun a ses avantages et ses inconvénients.
12:09Quelqu'un de petit va pouvoir se faufiler,
12:11va pouvoir être très rapide,
12:13courir sur les stoppers, faire des feintes.
12:16Et quelqu'un de très fort va pouvoir pousser
12:19et faire des charges comparables au derby.
12:22En chican, c'est quand même un peu dangereux.
12:23Je dis ça.
12:24Oh, l'autre !
12:25Pas du tout.
12:26Elle a plein d'oeufs.
12:28Si on veut en faire, on vous retrouve où et comment ça se passe ?
12:31C'est au gymnase de l'Etra qui nous soutient.
12:34Depuis quoi ? Ça fait 2-3 ans que vous êtes là-bas ?
12:36Non, ça fait plus d'années.
12:38Avant, je n'étais pas là,
12:39mais je pense que ça fait au moins 4-5 ans
12:41qu'on s'entraîne à l'Etra.
12:44Merci à vous.
12:45On les applaudit bien fort.
12:46Merci.
12:47Dans quelques instants.
12:48Il me dit, mets-moi ici, je suis prêt.
12:51Restez avec nous un peu.
12:52Vous connaissez le corf-ball ?
12:54Non.
12:55Moi non plus.
12:56C'est du côté de Bonson, c'est ça ?
12:57Je connais bien, moi.
12:58Où, Damien, c'est d'où ?
12:59Vous êtes, on va dire, à l'origine,
13:02là où est né le corf-ball.
13:03La naissance du corf.
13:04La naissance du corf.
13:06Bonjour, Julien.
13:07Bonjour à tous.
13:08On se retrouve aujourd'hui au gymnase du Pré-Salvo,
13:11à Bonson.
13:12Et nous sommes en compagnie de David.
13:14David qui est le coach du corf-ball.
13:17Parce que finalement,
13:18on est dans le berceau national du corf.
13:21C'est ça ?
13:22Effectivement.
13:23Le club existe depuis une quarantaine d'années,
13:25à l'origine du corf en France.
13:27Et le plus titré en France.
13:29Donc vraiment,
13:30le club,
13:31l'un des clubs les plus importants de France.
13:33Et du coup, justement,
13:34vous parlez de titre.
13:35J'ai cru comprendre que ça faisait 15 ans
13:38que vous gagnez nécessairement le championnat français.
13:41Comment se porte le club aujourd'hui ?
13:43Le club est dans un renouvellement.
13:45On a eu un petit changement d'effectif
13:48de par l'âge et la compétition des joueurs
13:52depuis pas mal de temps.
13:53Et là,
13:54l'objectif,
13:55c'est de reconquérir le titre.
13:59Mais en tout cas,
14:00bien se développer,
14:02former des jeunes.
14:03Et dans le futur,
14:05revenir tout en haut de l'affiche.
14:07Et du coup,
14:08finalement,
14:09on a commencé par parler du club,
14:10bien évidemment.
14:11Mais c'est quoi le corf en fait ?
14:12Le corf,
14:13c'est le seul sport collectif mixte,
14:15égalitaire et paritaire.
14:16D'accord.
14:17On est autant de filles que de mecs
14:20et avec les mêmes rôles,
14:22les mêmes objectifs.
14:23Et quelles sont les règles rapidement ?
14:25Alors,
14:26les règles principales,
14:27c'est marquer des paniers.
14:29OK,
14:30mais le panier,
14:31il est quand même vraiment plus haut
14:32qu'au basket,
14:33non ?
14:34Il est à 3,50 m.
14:35Donc,
14:3645 cm plus haut qu'au basket.
14:37Il n'y a pas de planche.
14:38Ça,
14:39ça n'a pas l'effet de vie,
14:40par exemple.
14:41Comme spécificité,
14:42on n'a pas le droit
14:43de dribbler ou de marcher
14:44avec le ballon.
14:45C'est que du démarquage
14:46et on doit être démarqué
14:47pour shooter.
14:48Donc,
14:49du placement,
14:50de la remise,
14:51c'est ça ?
14:52Exactement,
14:53du déplacement
14:54pour se démarquer.
14:55Et du coup,
14:56qu'est-ce que tu m'as prévu
14:57pour l'essai ?
14:58On va te faire jouer
14:59avec l'équipe
15:00qui est en train de s'enchaîner
15:01dans cinq minutes.
15:02Tu es sur le terrain avec nous.
15:03Nickel.
15:04Bon,
15:05écoutez,
15:06je vais finir de m'équiper
15:07et puis je vous retrouve
15:08en fin d'émission.
15:09À tout à l'heure.
15:10C'est pas lui
15:11qui,
15:12quand on a fait l'année dernière
15:13le basket,
15:14il n'a pas été bon au basket.
15:15Je ne sais pas s'il va être bon.
15:16Je ne sais pas s'il va être bon.
15:17Mais non,
15:18mais si,
15:19parce que comme il mettait
15:20tout à côté,
15:21peut-être qu'il a plus de chance.
15:22C'est plus difficile que le basket.
15:23Bien sûr.
15:24Il n'y a pas de racket.
15:25Et pas de raquette ?
15:26Oui.
15:27D'accord,
15:28ça,
15:29c'est un gros mot.
15:30La raquette,
15:31il n'y a pas de raquette.
15:32Il n'y a pas de plaque.
15:33Il n'y a pas de panneau.
15:34Oui,
15:35la raquette.
15:36La raquette,
15:40c'est la raquette.
15:41C'est la raquette.
15:42C'est la raquette.
15:43C'est la raquette.
15:44C'est la raquette.
15:45C'est la raquette.
15:46C'est la raquette.
15:47C'est la raquette.
15:48C'est la raquette.
15:49C'est la raquette.
15:50C'est la raquette.
15:51C'est la raquette.
15:52C'est la raquette.
15:53C'est la raquette.
15:54C'est la raquette.
15:55C'est la raquette.
15:56C'est la raquette.
15:57C'est la raquette.
15:58C'est la raquette.
15:59C'est la raquette.
16:00C'est la raquette.
16:01C'est la raquette.
16:02On se fait un petit trip de 4000 km, on part de Sainte-Sébastienne donc au Pays basque
16:07espagnol et on va jusqu'à Marrakech en profitant de l'intégralité des dunes.
16:11Mais c'est le 4L ça ?
16:12Alors non, c'est pas le 4L Trophy, du coup c'est le twin grade.
16:16C'est à peu près dans le même principe non ?
16:18C'est le même principe.
16:19On est sur une démarche, un raid humanitaire, un raid solidaire, où du coup on donne donc
16:26des cours aux écoles du Maroc et également on participe au resto du coeur.
16:32Donc on a suivi, enfin on a suivi.
16:34Non mais ce qui change aussi un petit peu c'est que 4L c'est que pour les étudiants.
16:38Exactement.
16:39Vous ne l'avez pas fait vous ?
16:40Moi non.
16:41Non ? Ta première voiture c'était quoi d'ailleurs ?
16:42Moi c'était une Super 5.
16:44Ah ouais, moi rouge mais il y avait plusieurs rouges, t'es pas un rouge uniforme.
16:47Non j'ai pas eu de 4L mais je rentrerai pas dans une 4L, c'est avec 205 GTI moi.
16:53Ah ouais ?
16:54La première.
16:55Fiona, elle était jaune ?
16:56Moi elle était jaune, c'était une 107.
16:57Et c'était très drôle parce que quand vous la croisez en ville, t'as l'impression
17:01qu'il n'y avait personne qui conduisait parce qu'elle était sur la plage arrière.
17:03Mais je veux dire, je suis comme une Fendi quand je rentre dans la gare de ville.
17:07Moi une 206.
17:08Ne me demandez pas.
17:09Alors c'est des Twingo première génération.
17:13Ah oui, c'est important ça.
17:14Au sein de la même association, donc c'est Silent Block, cette association qui a été
17:19créée pour l'événement, ils ont monté 4 équipages au sein de la même association.
17:22Donc on a 4 équipages ligériens, donc 8 ligériens sur 250 équipages au total.
17:28C'est quand même assez, je trouve, qu'est-ce qu'il y a de plus fort.
17:30En plus, pour le coup, je n'ai pas fait ma petite recherche, mais peut-être qu'on
17:34avait d'autres ligériens, là je parle de 4 équipages sur la même asso.
17:37Oui, d'accord.
17:38Mais peut-être qu'on avait d'avantage de ligériens.
17:39Il n'y a qu'à se faire connaître, c'est arrivé un moment, parce que nous sommes
17:42allés…
17:43En tout cas, on les a suivis ceci, c'est Bako qui nous a fait des belles petites vidéos
17:48là qu'on voit et également des interviews directement dans le désert et puis aussi
17:54dans la voiture.
17:55Il va nous parler un peu aussi de cette fameuse préparation de la Twingo parce qu'il faut
17:59les équiper pour pouvoir…
18:00Pour pouvoir assumer un petit peu les dunes, les chocs, etc.
18:04On l'écoute.
18:05En gros, on a eu l'idée de faire la Twingred parce qu'on était trop vieux tout simplement
18:09pour faire le 4L Trophy et on s'est dit en Twingo, ça va être plus dynamique, il
18:14y aura un peu plus de vitesse, plus de passages un peu chauds et pas manquer.
18:20Et en gros, ils avaient sorti ça pour les 30 ans de la Twingo, donc l'année dernière,
18:23nous on a fait la deuxième édition cette année et en fait, de là, on a acheté toutes
18:28nos Twingos.
18:29Et après, on avait la chance aussi dans notre groupe de potes d'avoir des mécanos, donc
18:34du garage à sa photo.
18:35Du coup, pour préparer les voitures, c'était quand même… on avait quand même cette
18:38chance-là.
18:39On s'est mis tous les mercredis soirs à y bosser dessus depuis un an.
18:43Entre l'aréos, les plaques de tol dessous, il a fallu tomber le moteur pour le refaire.
18:48Mettre pas mal de pièces neuves, ça prenait pas mal de temps.
18:52Il a fallu qu'on monte une assaut pour pouvoir récolter les fonds des sponsors parce que
18:57c'est un sacré budget, faut pas se mentir.
18:59Et de là, après, on a fait marcher nos connaissances, on a démarché pas mal de personnes et on
19:05s'en est plutôt bien sorti.
19:07T'as raison Sylvain, on est bien loin de la citadine.
19:09Ouais, carrément.
19:10On voit l'allure à laquelle elle va sur le départ.
19:14Je ne sais pas si on arrive à voir cette illustration où on voit le départ qui est
19:20donné et là, la vitesse, on est en train de la voir là.
19:23Et puis, c'est assez incroyable la passion de ces personnes-là parce qu'au-delà de
19:27préparer la voiture, il faut aller chercher des sponsors, il faut vraiment se donner pour...
19:31C'est un vrai job qui dure un an, un an et même bien plus.
19:34Juste sur la prépa de la voiture, ils parlent d'un an.
19:36Donc du coup, je pense que...
19:37Ils ont mis pas mal de pièces neuves, c'est sûr que si tu pars avec une Twingo d'origine,
19:41t'es pas sûr de revenir.
19:42Ce qui est intéressant dans ce genre d'événement, il y a forcément le côté sportif bien sûr
19:46parce que c'est 4000 kilomètres à parcourir, mais c'est la finalité, la bonne cause,
19:52aller dans des pays, dans des quartiers un peu en voie de développement.
19:56Moi qui ai fait pas mal d'humanitaires et je trouve ça super sympa de faire ce genre d'action.
20:01Et qu'on revient jamais le même en fait, après ça.
20:03Je pense que ça doit changer.
20:04Et puis, l'aventure de conduite où chaque jour et le soir, on arrive au bivouac, comment
20:10ça se passe ? On rencontre du monde, etc.
20:12Oui, comment ça se passe ?
20:13Bah justement !
20:14C'est dingue, c'est dingue, on n'a pas fait de réunion avant, non.
20:19C'est justement la deuxième partie.
20:21Comment se passent les journées et comment se passe le bivouac ?
20:26Alors, les journées pistes, c'est environ 150-200 kilomètres par jour.
20:32Donc, de la caillasse, des chemins, beaucoup de sable, énormément de sable, on bouffe
20:38du sable.
20:39Et après, on a pas mal d'étapes de liaison, surtout les premiers jours quand on a fait
20:44le départ à San Sebastián en Espagne, où il a fallu tout traverser l'Espagne.
20:49Après, on a pris le bateau.
20:51Alors, le bivouac est excellent, on a tout ce qu'il faut.
20:56On a le petit-déj le matin, le repas le soir, on a des douches, on a tout.
21:02Il y a même un stand pour faire la mécanique, si on casse des pièces.
21:08On casse des pièces.
21:09Voilà, si ça casse des pièces, ils ont le stand mécanique dès qu'ils arrivent sur
21:12le bivouac le soir.
21:13Et effectivement, ils disaient qu'ils ont bouffé du sable, on voit certaines images
21:16où j'ai l'impression qu'ils ont fait des pains de sable.
21:19Je pense qu'on revient, on en a dans les oreilles, on en a un peu de partout.
21:22Voilà, écoutez, ils sont rentrés dimanche, c'est fini, ils ont passé la ligne.
21:27Je pense que c'est sûr, j'ai les aigus et ils ont vraiment passé une super belle
21:33aventure, à la fois, comme tu l'as dit, humaine et sportive.
21:37Il faut les féliciter parce qu'il y a de très belles images.
21:39Et il y a de très belles images.
21:40Il y a des très bons reporters parce que j'ai voulu envoyer les liens.
21:43Moi, je serais parti, moi.
21:45Moi, j'étais chaud, mais on a loupé le départ.
21:49Il ne peut pas tout mettre dans sa veste en velours.
21:52Très belle, ma veste en velours.
21:54Le gars, il est resté sur l'émission de Catherine Garnier.
21:56Vous êtes jaloux.
21:57Non, c'est à vous.
21:58Oui, c'était l'ancienne version.
21:59Dans quelques instants, qu'est-ce que nous avons au programme ?
22:02Il y en a des choses.
22:04Il y en a des choses.
22:05Dans quelques instants, on va parler d'un anniversaire des 30 ans.
22:08Petite musique.
22:09Vas-y, mets-moi la musique, comme ça, ça fait un petit teaser.
22:11Nathan, applaudis.
22:12On a du niveau.
22:14On va parler de l'anniversaire.
22:16Avec vous, il fait du dessert vigneux.
22:18Avec le chrétien qui sera avec nous tout à l'heure, M. Verdiès.
22:21M. Verdiès sera présent.
22:22Et dans quelques instants, on le connaît tous, sans vraiment le connaître.
22:25C'est Daouda Sakho, un maître.
22:28Maître Sharon Winin.
22:29Il m'avait fait une grue une fois.
22:30Il m'avait défoncé.
22:31Mais la grue est l'animal.
22:32Ça picote.
22:33Il ne sait pas faire doucement.
22:34Il ne sait pas faire doucement.
22:35Il ne sait pas apprendre ça.
22:36Même en démonstration.
22:37Tout de suite après, la virgule, c'est les yeux du coach.
22:42Alors, qu'est-ce que c'est que les yeux du coach, mon Sylvain ?
22:48Alors, les yeux du coach, je reçois quelqu'un sur le ring.
22:53Et je le tape.
22:55Je le mets dans l'encre.
22:57Je ne me serais pas permis.
22:59Et puis je pense que c'est moi qui aurait pris cher.
23:02En fait, on rentre dans l'intimité d'un boxeur ou d'un pratiquant.
23:07Grâce à vos lunettes caméra ?
23:09Caméra.
23:10Elles sont comment ces lunettes ?
23:12Elles sont magnifiques.
23:13Et quand on les allume, ça fait un petit bluetooth.
23:19Ça va donner un côté intelligent, Effendi.
23:25En plus, on voit bien.
23:26Je vais les garder bien.
23:27Il y a une caméra, là.
23:28Oui.
23:29Ça serait bien de t'intéresser à tes caméras depuis septembre.
23:32Parce que moi, j'aime bien demander des prix.
23:34Sinon, j'ai pas un problème.
23:35Et cette semaine, dans les yeux du coach, qui vous avez eu entre les yeux, tas yeux ?
23:41J'ai reçu mon maître, Sako Daouda, qui n'a pas été que mon maître.
23:46C'est une figure emblématique des arts martiaux au niveau de la Loire et bien plus.
23:50Parce que dans son parcours, il est même arrivé sur Lyon.
23:54Donc même au niveau de la région Rhône-Alpes, il est très connu.
23:57Et il a vu passer beaucoup de champions qui sont maintenant peut-être aussi à la retraite.
24:04Une question, vous lui donnez quel âge ?
24:06Je ne lui donne pas d'âge.
24:07Il vaut mieux pas.
24:08À moi, il a 100 ans.
24:09Je sais pas.
24:1269 ans.
24:16Et surtout qu'il a eu plein de vie.
24:19Un parcours très militaire, légionnaire même.
24:22Toujours haut niveau.
24:23Il est arrivé en France, il avait 22 ans, donc il vient du Sénégal.
24:28Derrière, il s'est engagé dans l'armée, mais dans la Légion plus précisément.
24:33On connaît ses détentes en plus.
24:36Pour reprendre ses mots, je crois que l'armée, c'était trop facile.
24:40Ça ne correspondait pas.
24:41Du coup, il a fait la Légion.
24:43C'est ce qu'il a dit pendant le reportage.
24:46Du coup, il a reçu un éclat d'obus à l'œil.
24:50Du coup, il est obligé de prendre une retraite anticipée.
24:55Sur Lyon, il a commencé les arts martiaux avec le Grand Maître.
25:00Là aussi, un parcours un peu compliqué.
25:02Alors, on regarde tout de suite les yeux du coach.
25:06Dans le coin du coach, on reçoit Sako Dauda, mon maître.
25:10Il va nous parler de son parcours, mais également de l'évolution du coaching
25:14à travers les générations.
25:16Mais attention, je vous garantis, vous allez comprendre pourquoi on l'appelle
25:20les tibiards d'acier.
25:21Salut Sako, comment tu vas ?
25:23Ça fait trop plaisir.
25:24Merci.
25:25Assieds-toi.
25:26Est-ce que tu peux te présenter ? Je sais que tout Saint-Etienne te connaît.
25:30Je suis arrivé en France à 23 ans.
25:32Tu viens d'où ?
25:33Du Sénégal.
25:34Je suis rentré dans l'armée normale à Satoné-Camp.
25:38Au bout de 18 mois, je trouvais que ce n'était pas assez dur.
25:41Je me suis engagé dans la Légion étrangère.
25:43Une blessure à l'œil, je suis resté 4 mois aveugle.
25:46Du coup, retour sur Lyon.
25:48Là, tu pars dans les arts martiaux.
25:50Tu peux m'expliquer brièvement ?
25:51J'ai trouvé un club de Kung Fu.
25:53D'abord, j'ai commencé à pratiquer.
25:55J'ai même eu mon premier titre de Coupe de France avec ce club.
26:00J'ai connu le maître.
26:02Je suis parti le voir tous les mardis et les jeudis.
26:05Je viens regarder son cours.
26:07Il ne voulait pas de moi.
26:08J'ai dit, tant pis, je vais venir quand même.
26:10Un jour ou l'autre, il va finir par craquer.
26:12Et tu l'as eu ?
26:13Oui, je l'ai eu.
26:14Qu'est-ce que ça te fait aujourd'hui de savoir que tu as été justement un précurseur
26:19et que tu as donné autant la passion ?
26:22L'enseignement.
26:23L'enseignement.
26:24Un plaisir dedans.
26:26Il y a une récompense dedans.
26:28On ne peut pas comprendre si on n'est pas entraîneur.
26:31Sakho, j'ai plein de questions encore à te poser.
26:33Par contre, juste avant, tu me montres si tu as encore les mêmes barres de fer à la place des tibias.
26:40Mes tibias sont encore là.
26:42Viens me faire voir.
26:43Ils sont encore là, je pense.
26:45Alors, il faut savoir que Sakho a les tibias les plus violents de toute la région,
26:51mais même de France.
26:52À son âge, ils n'ont pas bougé.
26:54Regardez.
26:55Sakho, quand tu veux.
26:58Aïe.
27:01Déjà, ça chauffe.
27:02Je pense que Sakho, aujourd'hui, vous pouvez voir, il n'a plus du tout de sensibilité.
27:08Donc, ça lui permet de taper pleine puissance.
27:10Casse la jambe avant.
27:11Un.
27:12Plus d'appui.
27:13Il remonte à la tête.
27:14KO.
27:15Un.
27:16Deux.
27:17Aujourd'hui, les générations, on voit qu'elles changent.
27:19Est-ce que tu dispenses les mêmes cours qu'à l'époque ?
27:22Non.
27:23L'entraînement que je faisais, aujourd'hui, si je fais ça, il n'y aura plus personne.
27:28La jeune génération, il veut tout et tout de suite.
27:32Et sans forcer.
27:33Est-ce que tu peux me donner un dernier conseil, mais cette fois de coach à coach ?
27:37Reste fidèle.
27:38Reste à toi-même.
27:39Comme tu es.
27:40Merci Sakho.
27:41De rien.
27:45Je pleure parce qu'en fait, il a vu où ils étaient les protections ?
27:49Je voulais tellement pas être à la place de ce fuit.
27:52En fait, c'est une force de la nature.
27:54C'est intéressant ce que tu disais, Sylvain, c'est que le grand maître à Lyon, il a resté deux ans.
28:02Donc, le grand maître, il est asiatique et du coup, Sakho voulait apprendre le Kung Fu.
28:08Donc, il s'est présenté, mais le grand maître a refusé en fait.
28:12A savoir que déjà de base, le Kung Fu, c'est très fermé, notamment en Asie.
28:19Et il s'est présenté tous les jours pendant deux ans avant que le grand maître accepte de lui enseigner.
28:25Comme dans les films.
28:27Alors juste, vous, vous l'avez côtoyé et c'est vrai que c'est une force de la nature.
28:31Une fois, il vous a explosé une coquille.
28:33Pas une coquille d'huître.
28:35La protection.
28:37En fait, les démonstrations, il faut que ce soit très réaliste.
28:44Et toi, tu étais le poids lourd.
28:48Le cobaye le plus imposant.
28:51Et une fois, il vous a choupé même sous les côtes.
28:53Il m'a attrapé sous les côtes.
28:55J'ai gardé les marques.
28:57Et là, à la fin, il insiste bien quand même, je trouve, sur ce changement de génération.
29:02Cette éducation qui change, qui n'est plus la même.
29:05C'est vrai qu'il y avait une méthode.
29:07Il est militaire, donc forcément un peu à la militaire où c'était comme ça.
29:11Il s'est adapté un petit peu aujourd'hui ?
29:13Il est nostalgique de cette mentalité ou il y a un changement de mentalité ?
29:16Nostalgique et nous aussi.
29:18Nous, on aimait ce côté un peu dur qui nous renforçait aussi mentalement.
29:23Aujourd'hui, comme il l'explique, il ne peut plus le faire parce que les mentalités...
29:28Sachant que lui, il vient d'un style qui s'appelle le hungar.
29:31Le hungar qui est représenté par deux animaux, le tigre et la grue.
29:36J'ai fait connaissance à la grue.
29:40Le tigre, c'était pour la force et la détermination.
29:44Il le représentait vraiment entièrement parce que c'est une personne...
29:48C'est une crème.
29:49Il y a beaucoup de respect dans ces sports-là.
29:51Il y a vraiment une maîtrise de soi, beaucoup de respect.
29:54Malheureusement, on en parlait aussi en off,
29:56ce qui se passe au foot ou au basket quand une équipe va mal,
30:00qui prend en premier ? C'est le coach.
30:02Et là, c'est un peu pareil.
30:04Avant, ce n'était pas comme ça dans les sports de combat.
30:07Ce qu'on veut dire, c'est plus qu'aujourd'hui, on n'avait qu'un maître.
30:10Moi, au jiu-jitsu, je n'avais qu'un maître.
30:12On ne va pas pillonner, on n'est pas fidèle.
30:14Pour toi, tu as dit que c'est mon maître et ça restera mon maître.
30:16Ça restera mon maître à vie parce que c'est celui qui nous apporte la connaissance.
30:20Et aujourd'hui, on dérive un petit peu, comme les sports,
30:25comme le foot, où on perd première défaite, on va changer de coach.
30:29Encore que, si je peux me permettre, Sylvain,
30:31on est tous les deux de Saint-Chamond,
30:33il rayonne, Sylvain, en Saint-Chamond.
30:35Toi, je pense que tu as réussi à garder cette aura-là,
30:39au niveau de ce que tu as réussi à créer.
30:41C'est vrai que, dans les arts martiaux,
30:43moi, je suis un puriste des arts martiaux.
30:46Sakho, il m'a enseigné vraiment le côté traditionnel.
30:50Et c'est un chôman aussi, je ne sais pas si on l'a vu,
30:52mais il arrivait à tordre une barbe.
30:54C'est incroyable.
30:56Moi, je fais pareil, mais avec une tige en coton.
30:59Une spaghetti.
31:01Mais c'est vrai qu'il y a beaucoup de respect pour cet homme.
31:05Et aujourd'hui encore, il y a du Sakho dans tous ceux qui l'ont côtoyé, vous-même.
31:09C'est un petit peu...
31:11Alors, à échelle mondiale, on parle de Maître Hipman.
31:15Maître Hipman, c'était le maître de Bruce Lee.
31:17C'est pour ça qu'il est connu.
31:19Et on parle de génération.
31:21C'est-à-dire qu'il a eu un élève, Bruce Lee, première lignée.
31:24Moi, j'ai la fierté d'être dans la première lignée des élèves de Sakho.
31:28Mais mes élèves, on retrouve cet ADN dans mes élèves,
31:32et ils seront la deuxième lignée.
31:34Ils sont S plus 2, ils sont Sakho plus 2, les élèves.
31:37Tout à fait. En espérant que l'arbre généalogique s'étend.
31:41C'est peut-être un joli portrait que vous avez boité pendant 2-3 jours.
31:48Lignant dans quelques instants, vous allez céder votre place à l'invité Defendi Demir,
31:53qui adore les gâteaux d'anniversaire.
31:55J'espère que ce sera un gros gâteau.
31:56Et souffler beaucoup de bougies.
31:57Surtout en ce moment, il adore les gâteaux vers 18h48.
32:00C'est ça.
32:08On a du public, vous savez qu'on a du public ce soir.
32:12Oui, c'est le roller derby.
32:13Il y a le club de Savigneux, avec des U13, des U15, vous pouvez vous appeler.
32:21On a en face aussi du public, la ligue de l'enseignement,
32:24avec les jeunes de la ligue de l'enseignement 42 qui sont présents aussi.
32:32On a de plus en plus de nouveaux téléspectateurs.
32:35Donc j'ai rencontré cette semaine, du côté de Saint-Jean-Bondefonds,
32:38il nous regarde, c'est Flavio.
32:39Flavio Bonarigo, on lui souhaite un petit coucou.
32:42Il nous regarde, il est devant sa télé.
32:43Bisous Flavio.
32:44Bisous à Flavio.
32:45On a Président, Monsieur Verdier, Pierre-Yves Verdier.
32:49On a mis Pierre-Verdier, mais c'est vrai qu'il y a le Pierre-Yves Verdier.
32:52Président, comment ça se passe du côté de votre club à Savigneux ?
32:55C'est pas mal ?
32:56Ça se passe très bien.
32:57Ça se passe très bien.
32:58Une petite anecdote, Julien, attention.
32:59Président, vous reprenez il y a 8 ans de ça.
33:02Oui, tout à fait.
33:038 ans de ça, vous reprenez avec une nouvelle équipe, la Présidence.
33:05Alors on va y citer parce que c'est vrai qu'emblématiquement,
33:08depuis très longtemps, c'était la famille Falcon.
33:10Il y avait la famille Falcon du côté de Savigneux.
33:11Quand ils partent, ils partent avec beaucoup de joueurs.
33:14Vous reprenez le club avec 50 licenciés ?
33:1750 licenciés.
33:18Et 1500 euros sur le compte à peu près ?
33:20Un peu.
33:21C'est positif.
33:23Mais c'est incroyable.
33:24C'est qu'aujourd'hui, 8 ans après, rappelez-nous, combien de licenciés ?
33:27On a 197 licenciés.
33:30Et combien sur le compte ?
33:311500 euros.
33:33Non mais ça s'applaudit.
33:34Bravo.
33:35Franchement, bravo.
33:36Pourquoi ?
33:37Pourquoi Julien ?
33:38Parce que vous êtes, alors on en parlait aussi, vous êtes à 2 kilomètres
33:42de la salle de basket de Montbrison.
33:46Du BCM, oui.
33:47Du BCM, oui.
33:48Alors imaginez-vous à 2 kilomètres.
33:49On parle des derbies, on parle d'Andrézieux,
33:51Saint-Just-Arambert, mais il y a un peu plus en termes de kilomètres.
33:53Mais là, à 2 kilomètres près, vous avez un club avec 197 licenciés.
33:58C'est génial, franchement.
34:00Alors, il y a un avantage et un inconvénient là-dessus.
34:03C'est que la Loire est une terre de basket.
34:06Ça, tout le monde le sait.
34:08Le problème, c'est que pour nous, ces clubs, ces gros clubs
34:11qui sont juste à côté de nous, nous prennent quand même
34:15un peu tous nos meilleurs joueurs, souvent.
34:17Alors, c'est un problème, oui.
34:19Et je pense que, après, de mon point de vue, je pense que non d'un autre côté.
34:22Pourquoi ?
34:23Ça veut dire que vous avez aussi cette fibre formatrice.
34:26Parce que c'est vrai qu'à la base, le club de Savigneux est un club très familial.
34:29Familial.
34:30Quand on regarde, on en parlait tout à l'heure,
34:32vous avez un peu plus de 13 équipes, vous avez du micro-basket.
34:35Parce qu'il y a le BB Basket, mais il y a le micro-basket.
34:38C'est quoi, un micro ?
34:393-4 ans ?
34:40Oui, 3-4 ans, oui.
34:41À partir de 3-4 ans, c'est génial.
34:433-4 ans, de 4 ans à 5-6 ans.
34:45Ah ouais, mais ça, c'est vrai.
34:47Mais quelles sont vos ambitions ?
34:48Effectivement, il en parlait, c'est que vous voulez garder vos joueurs
34:51pour jouer la gagne.
34:52Parce qu'on a regardé, vous avez presque toutes les équipes,
34:54sauf peut-être en région.
34:55C'est ça, en régional ?
34:56Alors, on avait une équipe en région l'année dernière,
34:58on n'a pas pu la maintenir, suite à ce que je vous ai dit,
35:01donc aux gros clubs qui sont un peu à côté.
35:03Et donc, des joueurs sont partis, on n'a pas pu maintenir ces équipes,
35:05ce qui est dommage.
35:07C'est un peu difficile.
35:09Mais nous, notre ambition, elle est de faire un club familial
35:13avec un côté compétitif pour monter sur une région 3, R3, R2.
35:19On était monté jusqu'en R2, quand on avait repris le club.
35:22Il y a quelques années de ça, puis après il y a eu le Covid,
35:24ça a été un peu compliqué.
35:25Mais avant tout, c'est de faire un club familial
35:28avec des équipes juniors.
35:31Parce qu'un club, qu'est-ce qu'il peut faire ?
35:33Nourrir des équipes seniors, il faut former des joueurs.
35:36Et les joueurs qui sont formés, on travaille beaucoup là-dessus.
35:39On a beaucoup d'équipes jeunes, on a quand même 7 équipes jeunes,
35:42de plus en plus.
35:44On veut aussi travailler sur les équipes féminines,
35:46si la possibilité se présente, on essaye de travailler dessus.
35:49Au plus haut niveau, vous jouez à quel niveau, l'équipe la plus haute ?
35:54Nous, on est monté jusqu'en R2.
35:55Et actuellement, c'est en D1 ?
35:57Et actuellement, on est redescendu en DM2.
35:59Et aujourd'hui, c'est quoi votre philosophie ?
36:04Et puis, comment vous attirez, grâce à votre image,
36:08les nouveaux adhérents ?
36:10Nous, on essaie surtout d'attirer les jeunes,
36:14et puis les seniors aussi.
36:16Mais surtout d'attirer, de créer des équipes jeunes,
36:18on attire par cet esprit familial, cette convivialité,
36:22le fait qu'on s'occupe beaucoup des jeunes.
36:27On a actuellement un entraîneur principal, on va dire,
36:31qui coache un petit peu les autres,
36:33et à côté de ça, on a 14 coachs bénévoles,
36:35si on compte tout le monde.
36:37Et puis, il y a peut-être moins de pression,
36:40d'aller dans un club un peu plus familial,
36:42où on va venir se former en tant que débutant.
36:44Ça ne veut pas dire le loisir non plus, en jouant la compétition.
36:46Mais plutôt que d'arriver en tant que débutant dans un gros club,
36:49où finalement, il y a un peu cet esprit compétitif.
36:52Oui, oui, tout à fait.
36:54Il y a aussi l'esprit compétitif,
36:57parce que malgré tout, dans le sport, il faut quand même...
37:00On est là pour gagner.
37:01On joue pour gagner.
37:02On joue pour gagner, en principe.
37:04Et cet esprit compétitif, bien qu'il soit là,
37:08si on l'ajoute à cet esprit familial, ça fait venir les gens.
37:12Et on parle de cet anniversaire, quand même.
37:1430 ans, c'est beaucoup, c'est pas beaucoup ?
37:1630 ans, nous, ça fait 8 ans.
37:19Oui, c'est vrai.
37:20Vous avez fêté vos 30 ans ?
37:21On va fêter les 30 ans du club.
37:23Le samedi 24 mai.
37:25Le samedi 24 mai.
37:26Alors c'est loin, mais on est invité ?
37:28Vous invitez toute la loi ?
37:29Elle est là.
37:30Pas toute la loi, mais on peut vous inviter sans problème.
37:32Elle est ici, l'invitation.
37:33Donc on a l'invitation officielle pour le 24.
37:36Et surtout, c'est que vous avez tapé fort, président.
37:39Franchement, vous avez tapé fort.
37:41C'est pas n'importe qui invité de marque,
37:43c'est quand même les Crazy Dunkers.
37:44Voilà.
37:45On a essayé de faire une belle journée.
37:48Ça, c'est grâce aux 1500 euros qu'il y avait sur la...
37:50Non, à mon avis, c'est grâce aux 1500 euros.
37:52Je peux vous assurer, Julien.
37:54Mais bon.
37:59Parce qu'il y a eu de longues négociations,
38:01si je ne me trompe pas, pour avoir un bon prix,
38:03pour essayer d'y venir.
38:04Parce qu'honnêtement, c'est un show extraordinaire.
38:06Les Crazy Dunkers, pour le rappel,
38:07ils ont fait les Jeux Olympiques,
38:08ils ont fait la Coupe du Monde,
38:09ils ont fait des matchs en NBA.
38:11Enfin, c'est vraiment le graal du basket acrobatique
38:14aujourd'hui au niveau international.
38:16Et ça montre à quel point vous êtes un club
38:18ultra-dynamique et engagé.
38:21Exactement.
38:22Tout à fait.
38:23On a essayé de faire une belle journée.
38:24Donc, avec le spectacle des Crazy Dunkers,
38:27qui va durer quand même...
38:29On a négocié un petit peu sur la durée aussi,
38:31qui va durer au lieu d'une heure et demie,
38:33on va le faire durer deux heures, je pense.
38:35Il est bon en négociation.
38:37Après, on a invité, bien entendu,
38:39tous les gens qui nous aident,
38:41de la commune, du département.
38:43Attention, parce qu'il y a une initiation
38:45avec les Crazy Dunkers cet après-midi.
38:47C'est bien ça.
38:48Au départ, les gens peuvent venir s'initier
38:50au basket acrobatique.
38:51Vous vous rappelez que, Julien,
38:52on en avait fait, nous aussi.
38:53Oui, Fiona aussi, je crois.
38:54Fiona, oui, vous vous rappelez,
38:55on avait fait...
38:56Ah oui, si, si.
38:57Non, non, si, si, on avait fait
38:59une année du côté de Fleur,
39:00on avait fait une initiation.
39:01Si, si, j'avais fait, Julien.
39:03Et du coup, il y a le spectacle.
39:07Et après, le soir, c'est le gâteau
39:09et la grande fête.
39:10Le soir, après, on fait notre paella géante,
39:12notre paella géante,
39:13qu'on fait toutes les années.
39:14Et cette année, elle sera encore plus réussie.
39:16Elle aura un meilleur goût.
39:17Elle sera plus grande,
39:18il y aura plus de monde.
39:19Et ça sera vraiment la fête.
39:20On va vraiment fêter nos 30 ans.
39:22Merci à vous.
39:23Merci beaucoup, Président.
39:24On vous applaudit.
39:25Bravo.
39:26Réveillez-vous, Président,
39:27parce qu'il me dit dans l'oreille,
39:29mais moi aussi, je fais la grue depuis tout à l'heure.
39:31Ne vous inquiétez pas, Damien Sidoux,
39:33qui, du côté de Bonson,
39:34vous connaissez un peu le corbeil,
39:35on l'a déjà vu.
39:36Oui.
39:37Un peu le cousin du basket.
39:38C'est...
39:39Je crois qu'il vous a éloigné, peut-être.
39:40Non ?
39:41Voilà.
39:42Alors, Damien, ça y est, vous êtes prêt ?
39:43Vous avez une bandeau, le serre-tête ?
39:44Bon, ça y est, les amis,
39:45je suis directement avec David et mon équipe,
39:49et on va attaquer.
39:50David, donne-moi quelques conseils.
39:52Je vois qu'on n'est que finalement 8,
39:53mais ça se joue bien à 16.
39:54Ça se joue à 16.
39:55Là, on n'est que 8 pour l'entraînement.
39:56Du coup, on va faire que sur une zone.
39:58Et du coup, les premiers conseils,
40:00il faut que tu défendes, là,
40:01parce que c'est les jaunes qui vont attaquer.
40:02Du coup, tu vas marquer Eric,
40:04et moi, je m'occupe de JT.
40:05Allez, c'est parti.
40:06Allez, toujours entre le poteau et lui.
40:08Allez, c'est parti.
40:09Il refait un peu comme le basket que vous aviez fait, là,
40:11les derniers instants.
40:12Il ne fait rien.
40:13Toujours entre le poteau et lui.
40:15Il fait quoi ?
40:16Il remonte.
40:17Il bouge, Julien.
40:18C'est pas mal.
40:19Il bouge.
40:20Assis, là.
40:21Assis, regarde.
40:22Oui, c'est sympa.
40:23Faites des passes à Damien, quand même.
40:24Non, mais il ne peut pas...
40:25Tu sais que tu n'as pas le droit de dribbler, Julien.
40:26Ah oui, c'est vrai.
40:29C'est un petit espace.
40:30C'est pas mal.
40:34Il a voulu faire un allez-oup.
40:37Non, c'est comment que tu dis, FNJ ?
40:39Finalement, c'est vrai.
40:40Vous avez raison, Julien.
40:41C'est quand même bien compliqué de pouvoir marquer.
40:45C'est garçon sur garçon.
40:47Damien, on n'arrête pas tant que vous n'avez pas mis un panier.
40:50Ça va être long.
40:52Non, mais c'est pas ça.
40:54Allez, allez.
40:56C'est les joueurs qui l'ont mis ?
40:57Ah non.
40:58Non, mais c'est pas...
40:59Oui, c'est ce que...
41:00Allez, Damien.
41:02Faites une passe à Damien, voilà.
41:03Ah, il a le ballon.
41:04Allez, Damien.
41:05Il l'a touché.
41:06C'est pas grave.
41:08Non, mais il faut tirer en course.
41:10Il faut qu'il arrive...
41:11La technique, c'est aussi de tirer en course.
41:12Il n'est pas à toi pour demander des conseils.
41:14Non, il n'est pas à moi.
41:15Il a essayé de m'appeler, le joueur n'est pas décroché.
41:17C'est peut-être pour ça.
41:19Allez, Damien.
41:21Je lui ai dit qu'il allait y arriver.
41:22Damien, il va pas arrêter.
41:24Allez, allez.
41:25C'est pour toi.
41:26Voilà, il faut bouger.
41:27C'est pas mal.
41:28C'est bien.
41:29On va dire que c'est une passe déçue.
41:30Bon, je crois que c'est mal.
41:31Ah, c'était la classe.
41:33Bon, vous avez vu, c'est hyper physique, hyper ludique.
41:36Il faut venir essayer.
41:37C'est bien mieux que le basket.
41:38Allez, je vous embrasse.
41:39Des bisous.
41:43N'applaudissez pas.
41:44N'attendez pas.
41:45Ça va l'énerver.
41:46Je vais le rappeler, là.
41:47Non, mais il était bon.
41:48Il a bougé.
41:49Il a bougé.
41:50Non, mais il a bougé énormément.
41:51En tout cas, il était essoufflé à la fin.
41:52Il était essoufflé, ouais.
41:53Un peu comme moi quand j'ai monté...
41:55Non, mais c'est physique, hein.
41:56Le court-balle est très physique.
41:58C'est un sport qui est mixte.
42:00D'agilité, physique.
42:03Nous, la Loire, c'est vrai que la fédération est dans la Loire.
42:06Et d'ailleurs, on pourrait le faire en patin roulette.
42:09Le corps en patin roulette ?
42:11Le corps roulette.
42:12Avec une étoile.
42:14Merci d'avoir suivi cette émission.
42:15Vous savez, depuis tant de temps, mais si vous êtes des nouveaux spectateurs,
42:18comme le petit jeune là, comment il s'appelle ?
42:20Flavio.
42:21Flavio.
42:22On est présents sur toutes les box.
42:23Exact.
42:24Et sur Dailymotion, il y a Cyril Hanouna.
42:26Il nous reste juste à côté.
42:29On sera présents la semaine prochaine avec une toute nouvelle équipe aussi,
42:32mais tout aussi engagée et aussi beau, d'ailleurs, il faut le dire, et talentueux.
42:35Enfin, tu lui dis ça à chaque fois, Julien.
42:37C'est vrai.
42:38Allez, à la semaine prochaine.
42:39Ciao !