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"RUNNING - La PETITE SainteLyon à Villars"
Le week-end précédent la doyenne des raids nocturnes, le club running de Villars a organisé une course de 12 ou 17 km. Avec un départ à 18h, les participants ont pu s'immerger dans l'ambiance tout en peaufinant leurs réglages. Entre chemins techniques et bonne humeur, cet événement prometteur ne demande qu'à grandir.

"DEMO - Badminton à l'ASPTT Villars : 20 ans de passion et de plaisir"
Découvrez le badminton, un sport à la fois familial et de haut niveau, proposé par la section de l'ASPTT Villars, active depuis plus de 20 ans. Merci au club pour son accueil chaleureux qui m'a permis de tester ce sport olympique, alliant intensité cardio et technicité, et terriblement addictif.

"PARLONS CLUB - Saint-Étienne Handball : 50 ans d'histoire et de passion"
Fondé en 1970 par un groupe d'amis, le Saint-Étienne Handball a rapidement atteint le niveau national. Après un passage par Andrézieux-Bouthéon, le club s'est installé au gymnase Pierre Maisonnial dans les années 2000. Riche en événements et anecdotes, il compte aujourd'hui plus de 200 licenciés, tous motivés à retrouver la Nationale 1.

"DANS LES YEUX DU COACH : la Princesse du Ring et son duo père-fille indéfectible"
Lyndsey Thomas, alias la Princesse du Ring, partage dans un échange intimiste son parcours de championne et sa relation unique avec son père-coach. Entre sacrifices, triomphes et amour familial, découvrez comment ce duo a équilibré exigence et complicité.

"FOOTBALL - De joueur pro à pilier de la formation féminine de l'ASSE"
Jean-Charles Cirilli, ancien joueur professionnel, a notamment évolué à l'OGC Nice et à l'AC Arles-Avignon. Après sa carrière, il a entraîné les U19 féminines de l'AS Saint-Étienne pendant huit ans, jouant un rôle clé dans la formation des jeunes joueuses

"10ᵉ tournoi du Dojo Olympique de Firminy avec Shirine Boukli championne Olympique"
Le Dojo Olympique de Firminy a célébré son 10ᵉ tournoi régional avec une édition exceptionnelle marquée par la présence de Shirine Boukli, championne olympique en judo. L'événement s'est tenu au Firmament les 23 et 24 novembre 2024, réunissant de nombreux judokas, notamment des jeunes venus de divers clubs, qui ont pu bénéficier des conseils de la championne lors d'un stage ludique et enrichissant. Shirine Boukli, marraine de l'événement, a inspiré les participants par son parcours et son engagement, renforçant l'esprit familial et la passion qui caractérisent ce club emblématique de Firminy.

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00:00Bonsoir à toutes et à tous, ravis de vous retrouver sur le plateau de Spor7, Spor7
00:2042 minutes du pur produit nigérien de sport, voilà, je vous demanderai de faire un tonnerre
00:26d'applaudissements pour la thème d'aujourd'hui, Udovic Gydra, alors on va parler de quoi avec vous Udovic ?
00:33Du travail de Villars et puis de la Sainte-Élion, bien évidemment, et puis on finira par le Saint-Estirenne.
00:38Voilà, il est là, c'était son derby ce week-end, et il fait nuit des murs !
00:42Bonsoir Julien, bonsoir à tous, en effet, il y avait un beau spectacle de basket du côté de l'aréna Saint-Etienne-Métropole ce week-end.
00:50Le portrait footballistique de la semaine avec vous, Udovic Gydra !
00:55On va parler d'un joueur de foot atypique avec qui j'ai joué en plus, qui m'a fait plaisir au pion de l'air, on va parler de Jean-Charles Cyrilli,
01:01qui a une carrière un peu comme la mienne, qui est un amateur et qui a fini professionnel.
01:06C'est juste une présentation, je te coupe, et après, voilà, là c'est le lancement.
01:09T'es pas habitué, mais tu t'habitueras.
01:11Voilà, je suis habitué avec FMD.
01:12C'est le portrait justement d'Adrien Ponsart, on aura aussi la prise de direct du côté de Villars,
01:18encore avec Damien qui va s'essayer au badminton, et on aura les yeux du coach,
01:23vous allez voir une histoire de famille.
01:25Notre invité, on reste dans les arts martiaux, on l'applaudit bien fort, c'est Ali Antarène !
01:32Vous êtes président du Dojo Olympique et Sportif.
01:35Oui, c'est ça.
01:36Et qu'est-ce qui s'est passé ce week-end du côté du firmament ?
01:39Alors ce week-end, on a organisé la dixième édition du challenge du Dojo Olympique et Sportif.
01:44Déjà dixième, onzième ?
01:46Dixième, onzième, oui.
01:47On explique pourquoi ?
01:48On explique, Ali.
01:50En fait, c'est la onzième édition, mais celle qui nous a fait les affiches…
01:54Elle a mal compté.
01:55Voilà, elle a mal compté.
01:57Quand je lui ai envoyé l'affiche de l'année dernière comme exemple…
02:00Elle a recopié !
02:01Elle a recopié, voilà.
02:02Chaque année, ça change, mais du coup, vous gardez.
02:05Donc c'était bien la onzième édition.
02:07C'était la onzième édition, oui.
02:08Comment est né, si on fait un peu la genèse de cet événement, vous avez débuté où ?
02:12Alors, au début, on a débuté au JM4 à Ferminivère.
02:16C'était un interclub comme tout club qui peut proposer.
02:22Et puis, nous, on a vite pris de l'envergure parce qu'on a essayé de se démarquer de ce qui se faisait habituellement
02:30en essayant de promouvoir les enfants par des coupes au lieu de des médailles.
02:36Des plaques, des coupes…
02:37Voilà, c'est ça.
02:38Adrien, vos filles, on fait du judo ?
02:39On fait du judo, oui.
02:40Chez lui ?
02:41Oui, on fait du changon feu-jeu avec…
02:43Je ne me souviens plus de son nom de famille.
02:45Karim ?
02:46Karim Boubecker.
02:47Ils ont participé à cet événement ou pas du tout ?
02:48Oui, ils y étaient.
02:49Enfin, ce week-end, ils y étaient.
02:51Après, je ne sais pas à l'époque où t'es fié qu'ils en faisaient, mais ce week-end, Karim était là.
02:55Et nous, l'année dernière, on y a été parce que maintenant, il y a un guest qui vient sur ces deux jours.
03:00Oui, et l'année dernière, on a…
03:02Deux guests, on était heureux déjà l'année dernière.
03:04L'année dernière, on avait Priscille Agneto, donc championne d'Europe,
03:07troisième au championnat du monde et puis plusieurs médaillés européens.
03:11Et cette année, on l'a fait venir Charine Bouclier.
03:14On a voulu passer une étape supérieure.
03:16Charine, on va mettre les images.
03:17Moi, je l'ai suivi.
03:18Médaille olympique quand même.
03:20On a vu ses deux médailles.
03:21Une d'or, forcément, en équipe.
03:23En équipe, exactement.
03:24Elle a moins de 48.
03:25Moins de 48, c'est ça, oui.
03:26Voilà.
03:27Et on va voir son combat.
03:29Voilà.
03:30Il pond direct.
03:31Voilà.
03:32C'est ça.
03:33Pas mal quand même.
03:34Pour tels athlètes, c'est quoi ? C'est le relationnel ?
03:35C'est le charisme d'Ali.
03:36Regarde ça.
03:37On ne peut pas lui dire non.
03:38Quand tu vois Ali, tu ne peux pas lui dire non.
03:40Quoi qu'il te demande.
03:41Vas-y, dis un truc à lui, à Ludo.
03:43Donne-moi ton écharpe.
03:44Et tu donnes.
03:46Effectivement, il y a le relationnel parce que c'est vrai qu'il faut avoir les bonnes
03:50coordonnées et puis les bonnes personnes.
03:52Mais après, il y a aussi le fait que…
03:56Il y a une petite enveloppe.
03:57Il s'y apprenne un peu quand même.
03:58C'est ça.
03:59Il y a une enveloppe.
04:00Mais pour moi, ce qui est normal, mais ce que je veux dire, même par exemple, il y
04:04aurait d'autres organisateurs, même avec l'enveloppe, ils n'iraient pas.
04:08Ça fait un moment qu'on se connaît et que je suis tous les événements que vous
04:14mettez en place avec votre club.
04:16Même s'il n'y avait pas ces guests, ce genre de manifestation, même avant les
04:21guests, ça a toujours marché.
04:22Exactement.
04:23Vous me disiez tout à l'heure que c'était un inter-club.
04:27Mais la formule, c'est de faire rencontrer d'autres combattants, d'autres pratiquants
04:32et de partager un moment.
04:34Il n'y a pas forcément…
04:35Alors, il y a des coupes, il y a des médailles, mais c'est aussi le plaisir de se retrouver
04:38et de partager.
04:39On est bien d'accord ?
04:40Bien sûr, bien sûr.
04:41Effectivement.
04:42Ça, c'est important de dire parce qu'on est souvent sur des compétitions.
04:43Quand on voit les enfants, je me permets, je me lève.
04:46Bonsoir.
04:47Comment ça va ?
04:48Pouvez-vous vous retourner, s'il vous plaît ?
04:50Regardez.
04:51Eh, regarde-moi ça, la dédicace.
04:53Ça fait plaisir quand même.
04:54Tu avais suivi son combat ou pas du tout ?
04:56Dis la vérité vraie.
04:57En vrai, si.
04:58En vrai, si.
04:59Et ça fait plaisir de la voir.
05:00Oui, ça fait plaisir.
05:01Elle t'a appris des choses, des prises, ou elle a gardé ses secrets pour elle ?
05:05Non, elle nous a appris quelques prises de sortie…
05:09Au sol ?
05:10Oui, au sol.
05:11Et quelques prises debout.
05:13Et quelques prises debout.
05:14Tu vas les appliquer prochainement ou pas ?
05:16Tu vas l'appliquer au club ?
05:18Oui.
05:19Oui, un peu sûr.
05:20Et toi, t'as aimé ou pas ?
05:22Oui.
05:23Et tu le garderas à vie, ce kimono, alors ?
05:25Oui.
05:26Ah ben oui, il est trop beau.
05:27On peut les applaudir quand même.
05:28Merci.
05:30Moi, j'aime bien.
05:31Moi, à mon époque, si c'était David Douillet, j'aurais aimé rencontrer David Douillet.
05:36Il se déplaçait que pour les pièces jaunes.
05:38C'est pas cher, le gars.
05:40Non, mais c'est incroyable.
05:41Et puis surtout pour notre département, c'est valorisant aussi d'accueillir des championnes
05:45olympiques sur des événements comme ça.
05:47Et au firmament maintenant, c'est notre envergure.
05:50Combien de combattants en tout ?
05:52Parce que le matin, on ne l'a pas dit, mais c'était pour les petits.
05:55Le matin, c'était pour les petits.
05:56Alors, la compétition, on s'arrête.
05:58Le dimanche.
05:59On est sur samedi.
06:00Le matin, c'était pour les petits.
06:01On avait à peu près entre 300 et 400 stagiaires.
06:04Et l'après-midi...
06:05600 m2 de tatamis ?
06:07Ouais, c'est ça.
06:08Normal.
06:09Après, tout ça, il faut l'installer.
06:10Et l'après-midi, un peu moins.
06:14On était à 250, 300.
06:16Et c'était pour les seniors ?
06:17C'était pour les cadets, juniors, seniors, vétérans.
06:19C'est super.
06:20Alors, l'installation des tatamis, parce que l'organisation, c'est bien.
06:23De faire venir une guest, c'est très bien.
06:25Mais pour chapeauter tout ça, il vous faut une équipe de bénévoles, tu penses ?
06:28Oui, bien sûr.
06:29On a tourné ce week-end à une centaine de bénévoles.
06:31100 bénévoles sur le week-end ?
06:33Les papas, les mamans...
06:34Et les tatamis, c'est pas...
06:35C'est plusieurs clubs qui amènent les tatamis ?
06:36Non, non.
06:37C'est la ville de Firmini.
06:38Elle participe, la ville de Firmini, quand même.
06:40On a la chance d'avoir beaucoup de dojos à Firmini.
06:42On a trois dojos.
06:43Il n'y avait plus de tatamis.
06:44Sur des grandes surfaces.
06:45Donc, on ramène tout ça au Firmin.
06:48C'est une logistique.
06:49Oui, complètement.
06:50Dans quelques instants, on va y revenir sur la 11e, 12e édition.
06:55Vous allez me dire ce que vous avez déjà en tête.
06:58Mais pour l'heure, Damien, il est du côté...
07:00Bonjour, Babinton, un petit peu ?
07:01Ou ça vous énerve un peu, ce truc-là ?
07:02Non, non, j'aime bien.
07:03Vous aimez bien ?
07:04Du côté de Villars, c'est ça, Damien ?
07:06Vous êtes là ?
07:09Oui.
07:10Bonjour Julien, bonjour à tous.
07:11On se retrouve aujourd'hui dans la salle de la SPTT de Villars
07:14pour parler Babinton avec Pascal,
07:16qui est finalement le président de la section Babinton de Villars.
07:19Merci de nous recevoir ici.
07:20Avec plaisir.
07:21Alors, comment ça se passe aujourd'hui ?
07:22Est-ce que vous avez un effet J.O. au club ?
07:24On a un effet J.O. très net,
07:26puisque malheureusement, j'étais obligé de refuser du monde.
07:29Mais voilà, on a une trentaine d'adhérents sur la section BAD.
07:34Et on voit que c'est un sport qui est mixte,
07:36parce qu'on voit aussi bien des hommes que des femmes.
07:39Un des grands avantages de ce sport, c'est que c'est mixte.
07:43On peut jouer facilement en double homme-femme,
07:45et c'est très bien pour ça.
07:48Du coup, on parlait aussi un petit peu matériel.
07:50On a vu qu'il y avait différents matériels.
07:52Déjà, est-ce que le volant, c'est toujours le même ?
07:54Ou est-ce qu'il y a plusieurs types de volants ?
07:55Non, il y a plusieurs types de volants.
07:56Il y a des volants en nylon, il y a des volants en plume.
07:59Et puis, il y a des volants qui permettent de jouer,
08:01on va dire débutant, moyen et un peu plus pro.
08:04D'accord.
08:05Plusieurs types de volants.
08:06Et plusieurs types de raquettes, j'imagine aussi ?
08:08Oui.
08:09Les raquettes, c'est un petit peu comme au tennis.
08:10Vous avez un éventail de raquettes assez important.
08:13La raquette de débutant, c'est une raquette de « pro ».
08:18Et du coup, quelle est finalement la spécificité de ce sport ?
08:22Qu'est-ce qu'il faut pour progresser ?
08:24Il faut être concentré, il faut être assidu.
08:27Ça se fait comme tous les sports.
08:28Oui, je pensais.
08:29Et puis, beaucoup de concentration, de la mobilité.
08:32La technicité et l'explosivité.
08:35L'explosivité, oui, tout à fait.
08:36D'accord.
08:37Et du coup, qu'est-ce que vous m'avez prévu, Pascal, pour la démo ?
08:41On va aller sur un cours qui est là-bas.
08:44Il y a deux personnes, on va se joindre à eux.
08:46Et comme ça, on fera quelques échanges.
08:48Bon, écoutez, je vous propose tout simplement d'aller m'équiper et de partir en double.
08:51À tout à l'heure.
08:53Bisous.
08:54Damien, méfiez-vous, quand c'est de la lumière jaune, on ne voit pas très bien le volant.
08:57C'est de l'expérience qui parle.
08:59C'est vrai.
09:00Ali, pour finir, dans votre tête, vous êtes déjà projeté sur cette 12e édition ?
09:05On s'est déjà projeté sur la 12e édition.
09:07Le plus dur pour nous, c'est de trouver un nom qui est encore meilleur que les deux précédents.
09:11J'en ai un, mais je crois que c'est plus des pièces jaunes.
09:15Oui, lui que vous pensez, on y a déjà pensé.
09:18Je parlais de moi.
09:20Si tu veux.
09:21Non, mais c'est compliqué, Ali, c'est vrai.
09:23Un Teddy Rainer, c'est vraiment inaccessible.
09:25Un Teddy Rainer, non.
09:26Pour avoir eu des contacts directs.
09:30Et les chiffres, ça fait peur.
09:31150 000 euros.
09:32Combien ?
09:33150 000 euros pour son déplacement ?
09:35Oui.
09:36Waouh !
09:37Il vaut mieux aller le voir là-bas à Paris.
09:38Après, oui.
09:39C'est incroyable.
09:40Il n'habite plus en France.
09:43Il est au Maroc.
09:45Pour une intervention comme Angers, c'est 150 000 euros.
09:52On prendra des filles.
09:53Les filles sont plus abordables.
09:55Ça sera une fille, sans doute.
09:56Après, on se réfléchit sur est-ce qu'encore une française ?
10:00Et surtout, ce que vous me disiez, c'est que le calendrier cette année,
10:03vous calendriez des compétitions.
10:05On vous a fait une petite blagounette.
10:07Une mauvaise blagounette.
10:08L'année prochaine, ça sera un peu mieux ?
10:10Ça sera plus une compétition interrégionale ?
10:13Déjà, là, c'était le cas.
10:14Non, je voulais dire…
10:16Ce qu'on voudrait, c'est retrouver notre tournoi national.
10:20Ah, national.
10:21Parce qu'à savoir, sur une édition…
10:24C'est pour ça que c'est ce que je voulais dire.
10:26Notre meilleure édition, on n'avait pas de guesses.
10:28Quand on a réussi à faire de l'international,
10:30on avait une équipe turque, une équipe belge, une équipe…
10:34C'est le petit plus, le guess.
10:35C'est exactement.
10:36C'est surtout pour faire plaisir aux enfants.
10:38Ils sont forts.
10:39Faut faire attention.
10:40On est forts comme un turc.
10:41C'est ce qu'on dit.
10:42Même les microbes ne passent pas par un turc.
10:44N'est-ce pas, Fendi ?
10:45Et beaucoup de sponsors.
10:46Juste une dernière question, Julien.
10:47Vous avez quand même des sponsors qui vous accompagnent ?
10:49Ah oui.
10:50C'est important.
10:51C'est que privé.
10:52C'est que privé.
10:53C'est que privé.
10:54La mairie, et puis je les remercie, nous aide beaucoup sur la logistique.
10:58Mais après, sur tout ce qui est financement,
11:00c'est que du sponsor du financement privé.
11:02On va voir.
11:03Monsieur le maire va bien te trouver un petit billet.
11:05Pour tes délinéres, il va bien te trouver un petit billet.
11:07J'aimerais vous faire profiter juste.
11:09Parce qu'on a commencé quand même l'organisation.
11:11Parce que cette organisation, vous vous doutez que ça se fait sur plusieurs mois.
11:14Ça ne se fait pas à l'arrache.
11:15C'est du boulot.
11:16On a commencé l'organisation.
11:17L'élu au sport, c'était Nabil Mazari.
11:19Oui.
11:20Il nous a tout le temps été d'un grand soutien.
11:22Là, il a changé de délégation.
11:24Enfin, il en avait deux.
11:25Il n'en a plus gardé qu'une.
11:26Du coup, il a lâché sa délégation adjoint au sport.
11:29Et c'est Lécy Drevet qui a repris la suite.
11:31Donc, on remercie tous les deux qui nous ont soutenus
11:33durant toute l'organisation de ce tournoi.
11:36Et on a hâte de voir cette douzième édition.
11:38Dans quelques instants, on va parler de La Petite Saint-Élion.
11:47La Petite Saint-Élion, c'est quoi ?
11:49C'est le petit parcours ?
11:50C'est quoi La Petite Saint-Élion ?
11:51Simplement, c'est Villard qui s'est dit
11:54comment développer mon événement.
11:56Ils se sont dit qu'on était 15 jours ou une semaine,
11:58ça dépend des années, avant Saint-Élion.
12:00On va faire un parcours de nuit.
12:02Donc, ils ont proposé…
12:03Là, c'était une semaine avant.
12:04Là, c'était une semaine avant.
12:05Peut-être un peu court.
12:06Un 15 jours, ce serait mieux, mais bon.
12:08Donc, ils proposent deux parcours de 12 et 17 kilomètres.
12:11Et vraiment, des moments où on a l'impression de se retrouver.
12:14On va voir les images, justement.
12:16Effectivement, quand on voit ça…
12:18On a l'impression de se retrouver vraiment à Saint-Élion.
12:20On a vraiment l'impression que…
12:23J'ai le départ de nuit,
12:24mais quand on est dans les chemins…
12:25On m'a dit que ça ne faisait pas longtemps qu'ils faisaient la nocturne.
12:28C'était la deuxième année.
12:29C'est une bonne idée.
12:30C'est vrai qu'ils ont également augmenté de 25 %
12:34le nombre de participants.
12:36C'est un petit événement,
12:38mais un petit événement qui commence à prendre de l'ampleur
12:40et qui est très bien organisé.
12:42Beaucoup de bénévoles.
12:43Regardez ça, c'est magnifique.
12:44Beaucoup de bénévoles.
12:45Pourquoi c'est une bonne idée de faire de nuit, Julien ?
12:47C'est ça que je ne comprends pas.
12:48Pourquoi c'est bien ?
12:49C'est vrai, je comprends.
12:50Après, ça se discute.
12:51Il n'y a pas la même façon de courir.
12:52Après, ça se discute.
12:53Il y a beaucoup d'événements
12:54qui ont tenté d'être de nuit
12:55et qui ont perdu les participants.
12:56Là, ils sont 15 jours avant.
12:58Après, c'est compliqué.
13:00Ça vient de nuit, un jour de nuit, un jour de nuit.
13:02On ne peut pas forcément avoir de base.
13:06Il a raison, Ludo.
13:07C'est une petite Saint-Élion.
13:08Ça fait plaisir.
13:09Les conditions,
13:10elles étaient presque comme la Saint-Élion de cette année.
13:12C'était très sec.
13:13Un peu de boue, mais sec.
13:14Oui, et puis surtout,
13:15c'est qu'on est à côté d'Auchan.
13:17On se dit, on va où ?
13:20Finalement, le club de vélo running,
13:22qui est quand même un gros club
13:23parce qu'au nombre de bénévoles qui sont sur le parcours,
13:25on nous fait traverser plein de propriétés,
13:28dans des petits champs.
13:30Ils ont tracé un petit tunnel,
13:31on va voir dans les images.
13:32Ils sont vraiment beaucoup investis.
13:34Il a raison.
13:35Je veux remercier Olivier
13:36qui nous a donné deux dossards pour cette course
13:38que je ne connaissais pas.
13:39Effectivement, on court à côté de ce centre commercial
13:42et c'est une exploitation.
13:43À l'école, à un moment,
13:44on a vu, on passe sous un tunnel.
13:46Ils ont mis un petit pont,
13:48une passerelle pour passer dessous.
13:50Moi, quand je pars,
13:51je pense que je pars sur du roulant
13:52parce qu'on ne démarre pas.
13:53Après, dès qu'on a passé le centre commercial,
13:55on part que sur du petit chemin.
13:57Il y a de la côte quand même, Ludo.
13:58Il y a de la côte, même sur le dos.
13:59Il y a un peu de côte, il y a plein de choses.
14:01Non, non, il est très, très ludique,
14:03très, très ludique, très, très sympa.
14:04Il n'y a qu'à grandir.
14:06Je pense que la préparation d'une course de nuit
14:08et d'une course de jour n'est pas la même non plus.
14:10Tu perds un peu, forcément.
14:12C'est pour ça qu'une semaine avant,
14:13c'est pour tester frontal, matériel, etc.
14:16C'est ça.
14:17Après, c'est vrai qu'il y a 20 et quelques milles à Saint-Élion.
14:20Là, il y avait 250.
14:21Forcément, ils ne sont pas tous venus tester.
14:23Mais c'est toujours une belle expérience, en tout cas.
14:25Est-ce que vous avez reconnu qu'on fait Villard
14:28qui était sur la Saint-Élion ?
14:29D'ailleurs, on ouvre la page Saint-Élion,
14:3170e édition.
14:32Incroyable.
14:33Je n'en ai pas forcément connu.
14:34Non, je ne l'ai pas forcément connu.
14:36Après, je suis arrivé loin.
14:37Il était peut-être déjà parti quand je suis arrivé.
14:40En tout cas, pour rebondir sur Saint-Élion,
14:4270e édition, une édition qui était froide,
14:46qui était sèche.
14:4782 kilomètres.
14:4882 kilomètres.
14:49Deux très grands champions.
14:50On les attendait.
14:51On les attendait.
14:52C'est vrai que Thomas Cardin…
14:54Il y avait des records, sans doute, comme c'était sec.
14:55Thomas Cardin, voilà, 82 kilomètres, 5h52,
14:59je crois un peu moins de 6h.
15:00C'est des records incroyables.
15:01Il nous expliquait qu'à l'arrivée sur les plages,
15:03il ne savait pas où était le deuxième.
15:04Il était à plus de 17 km heure.
15:06Normal.
15:07Plus de 17 km heure.
15:08Depuis 82 kilomètres.
15:09Il avait 80 km dans les jambes.
15:10C'était incroyable.
15:11C'était une très, très belle Saint-Élion.
15:12Mais une très, très belle également
15:14parce qu'on avait nos Ligériens qui étaient là.
15:16Alors, oui.
15:17Ligériens, 42.
15:18Adeline Roche, deuxième.
15:19Pas mal.
15:20En fille, c'est quand même vachement bien.
15:21Au milieu des garçons, on a Corentin Pley.
15:23Corentin qui a gagné le Saint-Étienne-Urbain,
15:25qui finit neuvième, je crois.
15:26Quand on nous rapprochait de moi,
15:27Corentin, c'est le nom en ce moment qui…
15:29On ne va pas dire à la mode, mais hyper fort.
15:31C'est marrant parce qu'il y avait les images à la télé
15:33et personne ne le connaissait.
15:34Personne ne le connaissait.
15:35Un nouveau, Corentin Pley, on ne le connaît pas.
15:37C'était marrant.
15:38On ne le connaissait forcément, le Saint-Étienne.
15:40Il avait gagné la dernière, le Saint-Express.
15:42Il avait peut-être gagné le Saint-Express, en tout cas.
15:44Cette année, il a gagné le Saint-Étienne-Urbain.
15:46Il a gagné une cour, le 40 des Templiers.
15:48Donc, il n'est quand même pas inconnu.
15:50Et puis, petite également pour Baptiste Chassagne,
15:54qui est une entreprise, qui est chef d'entreprise,
15:57qui ne s'entraîne pas comme il veut
15:58et qui fait quand même 11e.
15:59Et puis, nos deux Ligériens qui ont fait l'aller-retour,
16:02donc eux qui ont fait Lyon-Saint-Etienne et Saint-Étienne-Lyon.
16:05Donc, voilà, ça fait 160 et quelques kilomètres
16:07et qui termine 4e Execo.
16:09Ils vont faire combien de temps, ça ? 4 jours ?
16:11Avec un deuxième Lyon-Saint-Etienne,
16:15un deuxième Saint-Etienne-Lyon, plutôt,
16:17en 8h20 pour Sébastien Dos Santos.
16:19Oui, normal.
16:20Donc, c'est quand même vraiment des très, très belles...
16:22Voilà, un très, très beau Saint-Etienne-Lyon,
16:24très, très belle 70e édition.
16:26On va parler du City,
16:27parce que maintenant, on se projette un petit peu vers l'avenir.
16:29C'est la prochaine course.
16:30Exactement.
16:31Donc là, ça part un petit peu en folie.
16:34C'est ce qui est chouette.
16:35En tout cas, c'est ce qui me plaît.
16:36Combien de personnes déjà inscrites ?
16:37Parce que vous allez bientôt arrêter.
16:38Pas loin des 4000, là.
16:39Ah !
16:40Donc là, on est plutôt bien.
16:41C'était la Rocco jeudi.
16:42Je n'ai pas pu la faire.
16:43Je suis triste.
16:44Exactement.
16:45Donc jeudi, on était 180 inscrits, 160 le jour J.
16:49C'était une très, très belle soirée.
16:52On a passé un très, très bon moment.
16:54Je remercie encore notre partenaire Keepcool
16:56qui nous accueille depuis 10 ans.
16:58Le marathon de la bière qui nous a mis une ambiance...
17:01D'ailleurs, ça tombe bien que vous parliez de Keepcool.
17:03Il y a les calendriers des pompiers.
17:04Je connais le gars qui passe dans le secteur.
17:05Ce serait bien de préparer la petite pièce.
17:07Ou billet.
17:08Vous êtes ?
17:09C'est mon secteur.
17:10Non, mais est-ce que vous êtes un calendrier ?
17:12Non, je ne suis pas un calendrier.
17:14Mathieu, prépare ta petite pièce.
17:16C'était vraiment génial.
17:17Et sinon, l'événement, c'est vraiment parti.
17:20Les inscriptions arrivent très fort.
17:23Et puis, l'événement, comme on les aime,
17:27il est revenu comme on l'aime,
17:28comme on l'a vécu il y a 4-5 ans,
17:30avec toujours une course enfant qui va être plutôt très riche,
17:34sachant que c'est une course enfant
17:35qui est totalement dans le centre de Saint-Étienne,
17:38dans le quartier Saint-Jacques.
17:39Donc, c'est une course unique qu'on n'a pas ailleurs.
17:41Il y a également une Zumba, la Zumba géante,
17:43qui est avec les filles de Fit & Dance.
17:46Qui vous suit depuis le début.
17:48Tout.
17:49Le Saint-Étienne, c'est vraiment...
17:50Pas de Père Noël cette année.
17:51Une vraie famille.
17:52Pas de Père Noël.
17:53Une vraie famille.
17:54Et vraiment, une très belle édition dans 10 jours.
17:56Merci à vous, Ludovic Gidron.
17:58Merci à vous, Annie.
17:59On vous retrouve l'année prochaine.
18:01Vous allez céder la place à notre chroniqueur.
18:04On viendra vous voir à Jungle Food.
18:05On viendra participer même.
18:07On viendra participer même.
18:09Dans quelques instants, c'est Adrien Ponçart.
18:17Ça va, Sylvain ?
18:18Impeccable.
18:19Vous êtes prêt ?
18:20Dans les yeux du coach, on aura qui dans quelques instants ?
18:23Alors, on aura Lince Thomas, la princesse du rivier.
18:25Lince Thomas, ça me dit quelque chose.
18:26Ma fille.
18:28Qui viendra justement nous parler de cette dualité perfide...
18:32Il va passer l'interview ?
18:33...dans le domaine du sport.
18:34Oui, oui, oui.
18:35On verra.
18:36On jugera.
18:37On jugera.
18:39Mais pour l'heure, notre invité est en place.
18:41On peut l'applaudir bien fort.
18:42On nous reçoit au pied.
18:43Adrien Ponçart.
18:44Jean-Charles Félix.
18:46On reçoit Jean-Charles Félix, notre footballeur.
18:48Footballeur dans l'âme,
18:49qui a commencé à cabiner dans le football depuis tout petit,
18:52depuis 1997.
18:53Ses parents étaient gardiens du stade à Geoffroy-Guichard.
18:55Gardiens de but ?
18:56Non.
18:57Gardiens du stade ?
18:58Gardiens du stade.
18:59Il y avait un gardien ?
19:00Il y avait un gardien, à l'époque.
19:01Ah mais oui, c'est vrai que...
19:02Armand et Florine, que j'ai eu le plaisir de connaître en 1998.
19:06C'est des personnes qui se sont occupées du stade,
19:09qui nous ouvraient le stade quand on arrivait.
19:10Votre maison était dans le plus beau jardin de Saint-Etienne.
19:13Un des plus beaux jardins de France, même.
19:16Dans le chaudron.
19:17Et forcément, on baigne dedans, quoi.
19:19Oui, depuis tout petit, j'y suis dedans.
19:21Racontez-nous, à l'époque, on pouvait aller jouer...
19:23Tu pouvais être en feu et jouer comme ça, ou pas du tout ?
19:25J'ai fait quelques matchs.
19:28C'est trop bien.
19:29De nuit.
19:30On a fait quelques matchs dessus, oui.
19:32Et puis surtout, les terrains qu'il y avait autour.
19:34Et est-ce que le jour de match de derby, vous étiez quoi ?
19:38Tu pouvais avoir des places ou tu étais coincé à la maison
19:41et tu entendais vibrer les murs ?
19:42Non, on avait des places.
19:44On avait forcément un pass pour pouvoir bouger,
19:47parce que sinon, oui, on était cloîtrés à la maison.
19:50Mais on pouvait...
19:51Enfin, voilà, mon père avait les clés de partout,
19:53donc on pouvait se faufiler de partout.
19:54C'est super, ça.
19:55Ça, c'était énorme, parce que tu avais tous les accès du stade,
19:59que ce soit vestiaire, salle de kiné, salle de...
20:02C'était vraiment énorme.
20:03Après, Jean-Charles, il a été formé à l'ISS.
20:05C'est bizarre.
20:07Quand tu tombes dedans tout petit, après, voilà, tu es...
20:09Et on a eu la chance de jouer en 2000...
20:13Vous avez joué ensemble ?
20:14On a joué ensemble, on a joué ensemble au Puy-en-Velay.
20:16Enfin, anciennement, l'USF Le Puy.
20:18Oui, parce que maintenant, ça s'appelle ?
20:20Maintenant, c'est Le Puy Foot.
20:21Le Puy Foot, c'est ça.
20:22Ah, vous avez joué ensemble ?
20:23On a joué ensemble, oui.
20:24Il était bien, il était agressif, quand même.
20:26Une petite peine sur le terrain, dis la vérité.
20:27Non, ça va, ça va.
20:28Non, ça va.
20:29Tout le monde me dit que c'était une peine.
20:30Ouais, c'était un R2.
20:31Ouais, c'était un R2.
20:32Un petit peu, mais bon.
20:34Comme tout joueur de foot, tout joueur de basket,
20:35on est toujours un petit peu sanguin, mais bon.
20:37Non, c'est vrai qu'on a passé des moments exceptionnels,
20:39et puis Charlie a eu un petit peu un cursus comme le mien,
20:42puisqu'il est parti du Puy-en-Velay pour son OGC Nice.
20:44Alors là, on était un peu trop vite,
20:45parce qu'on vous voit en traîneur des féminines,
20:47mais vous aviez une carrière pro.
20:49Exactement.
20:50Et un but, celui-là ?
20:51Un seul.
20:53Mais quel but ?
20:54Regardez, on voit, j'ai remis plusieurs fois.
20:55C'était quoi ?
20:56C'était un centre tir ?
20:57C'était quoi ?
20:58Ouais, alors dans l'idée, c'était de tirer,
21:00pas forcément de la mettre à cet endroit-là, mais…
21:02Pas mal.
21:03Et passeur aussi ?
21:04Ouais, passeur de temps en temps, pas de problème.
21:05Alors, pro où ça ?
21:06Alors, pro, il a fait pro à l'OGC Nice.
21:09Il a fait dix matchs à l'OGC Nice, il me semble.
21:11C'est en pro, en Ligue 1 ?
21:13Ouais, j'ai fait quelques matchs en Ligue 2,
21:15et ensuite en Ligue 1.
21:16Et en tout, sur sa carrière,
21:17donc il y a eu l'OGC Nice, le Nîmes Olympique,
21:19club que j'ai fait aussi, j'ai eu la chance de faire,
21:21il y a eu l'Ice Cannes, Arles-Avignon,
21:23où Arles-Avignon, il signe en CFA,
21:25et de CFA, il monte jusqu'en Ligue 1.
21:27Donc, il y a quand même trois montées derrière,
21:29et en totalité, c'est 230 de matchs en professionnel.
21:32C'est pas mal, vous en gardez quoi ?
21:33Ouais, une belle carrière.
21:34Pas de très bons souvenirs, forcément.
21:37Là où je suis le plus fier,
21:39c'est d'avoir participé à toutes ces montées,
21:42parce que dans une carrière,
21:43c'est pour tous ceux qui ont connu le haut niveau
21:45et un championnat, c'est très long,
21:48et de vivre une montée, c'est exceptionnel.
21:51Expliquez un peu aux spectateurs
21:53qui n'arrêtent pas de critiquer les joueurs,
21:55c'est pas si facile que ça.
21:57Non, c'est pas évident,
21:58parce qu'on voit forcément les bons côtés,
22:00mais il y a aussi des mauvais côtés,
22:03et puis c'est dur, c'est de la concurrence,
22:07et puis c'est se remettre en question tous les jours.
22:09C'est ça.
22:10Il y avait autant de critiques à l'époque.
22:12Ça s'entendait moins, il y avait moins de réseaux.
22:14C'est ça, il y avait moins de réseaux,
22:16donc forcément il y avait moins de critiques.
22:18Aujourd'hui, c'est très facile de critiquer un joueur.
22:20On peut se le permettre sur les réseaux.
22:22C'est le bonheur.
22:23Pour ceux qui critiquent,
22:25pas pour ceux qui le reçoivent.
22:27Et votre carrière, vous l'arrêtez quand ?
22:29Je l'arrête en 2015.
22:32Quel âge ?
22:332015, 33 ans.
22:3533 ans ?
22:36Oui, et je reviens dans la région.
22:38Et là, dans la région, de joueur,
22:41il décide de passer coach,
22:42il a une opportunité de passer coach à l'ASS.
22:44Il a passé ses diplômes, oui, effectivement.
22:46Au niveau féminine, par contre.
22:47Ah !
22:48Ça a changé.
22:49Alors féminine, tiens, vous avez un point commun.
22:51Oui.
22:52C'est un choix ?
22:53Alors au départ, je suis revenu dans la région
22:56et j'ai proposé mes services en tant que coach.
23:00Je venais de passer mes diplômes
23:02et il me fallait une équipe pour valider les diplômes.
23:06Et par le biais de connaissances,
23:08j'ai eu l'opportunité d'intégrer l'ASS féminine.
23:11Au départ, venant du foot masculin,
23:16après 15 ans de carrière...
23:18C'est pas évident.
23:19C'est pas évident, mais...
23:20Fendi, c'est carré, en fait.
23:24Je comprends que c'est pas évident.
23:26Non, mais c'est surtout qu'à l'époque,
23:27il y a tout à faire,
23:28dans le championnat, même encore aujourd'hui.
23:30Tu es féminine.
23:31Oui, mais c'était un challenge
23:33et c'était quelque chose, justement,
23:34que je ne connaissais pas, le foot féminin.
23:37Et je ne demandais qu'à apprendre.
23:39Donc, étant nouvel éducateur,
23:42j'ai foncé.
23:44Quel meilleur souvenir vous gardez ?
23:45C'est dur, mais un souvenir.
23:47En tant qu'éducateur ?
23:48Oui.
23:49Il y en a eu plusieurs,
23:50mais c'est vrai qu'on a...
23:52Récemment, on a été champion du monde du futsal.
23:56C'est pas mal, ça.
23:57On les avait reçus, les dernières.
23:59C'est vrai que c'était dans le cadre
24:00d'une compétition scolaire,
24:02mais en partenariat avec TESNA
24:04et en partenariat avec la Saint-Étienne.
24:07Donc, comme c'était mes joueuses,
24:08je les ai accompagnés.
24:09Puis, on a été champion du monde.
24:12Donc, c'était un très, très bon souvenir.
24:14Et là encore, c'était incroyable.
24:15Elles sont championnes du monde.
24:16Quand j'en parlais autour de moi,
24:18très peu de communication encore.
24:20C'est ça.
24:21C'est ça, c'est ce qui manque
24:22autour du foot féminin
24:23et du sport féminin en général.
24:26C'est le manque de visibilité.
24:28Adrien, Jean-Charles fait quoi aujourd'hui ?
24:30Aujourd'hui, Jean-Charles,
24:31il a arrêté un petit peu sa carrière
24:32puisqu'il se prépare à une autre carrière.
24:34La carrière d'aide-papa.
24:35D'aide-papa.
24:36Donc, c'est un bel événement
24:37qu'il se prépare.
24:38Et puis bon,
24:39il va trouver sûrement
24:40où rebondir la saison prochaine.
24:42Un rôle de papa est si important.
24:45J'ai vu la maman,
24:46elle m'a dit que c'était un petit bleu.
24:48C'est ça ?
24:49C'est ça, un petit garçon.
24:50Un petit footballeur peut-être ?
24:51On ne sait pas encore.
24:52On verra bien.
24:53Du coup, vos services,
24:54vous allez rester dans le coin,
24:55forcément, peut-être ?
24:56Oui, je reste ici dans la région.
24:58La maman est bien ancrée dans la région.
24:59Région ou département ?
25:00Département.
25:01Département.
25:02Département, oui.
25:03Et puis après,
25:04je suis ouvert à toute proposition.
25:06Regardez la caméra.
25:07Regardez Paul Emploi qui est là.
25:09Non, mais voilà,
25:10je suis là pour aider les jeunes.
25:12J'ai cet esprit de formateur.
25:15Donc, si je peux aider un club,
25:17aider des jeunes,
25:18ça sera avec plaisir.
25:19Il a toutes les qualités requises
25:20en plus pour ça.
25:21Moi, j'ai eu la chance
25:22de le connaître en tant que joueur,
25:23mais je l'ai vu aussi
25:24en tant qu'éducateur.
25:25C'est vraiment quelqu'un
25:26qui peut apprendre
25:27que ce soit aux garçons ou aux filles.
25:29Il peut vraiment apporter
25:30beaucoup de choses à ces jeunes.
25:31Oui, ça, j'en doute pas.
25:32Messieurs, c'est Montpellier.
25:33Tu parles de quoi ?
25:35Montpellier.
25:36Le Puy, c'est Montpellier.
25:37Montpellier.
25:38Ah, Coupe de France.
25:39Coupe de France.
25:40Saint-Étienne.
25:41Marseille.
25:42On a eu la foule tout à l'heure.
25:43Belle affiche.
25:44Ça a dû repasser,
25:45mais bon, on ne sait jamais.
25:46C'est un malentendu.
25:47On va les jouer deux fois en décembre.
25:48Merci à vous, Jean-Charles.
25:50Dans quelques instants,
25:51c'est les En bref.
25:57En bref, je vais ouvrir un petit peu.
25:59Vous aimez bien la natation.
26:00J'en suis sûr.
26:01Oui, la natation, j'aime bien.
26:02C'était la deuxième journée
26:03du final four.
26:04On va voir tout de suite ces images
26:06et l'affiche.
26:07C'est une compétition qualificative
26:09pour le championnat de France.
26:11Et surtout, c'est 300 nageurs
26:13qui étaient présents ici,
26:14même dans la loi piscine Raymond-Sommet
26:17pour en découdre avec le chrono.
26:20C'est le CIM qui organisait
26:21ce magnifique événement.
26:23Et de bien beaux résultats,
26:25de bien belles images.
26:26C'est partout, en plus.
26:27Ah oui.
26:28C'est pas mal, ça.
26:29On va parler rugby avec vous,
26:30Sylvain Thomas.
26:31Vous aimez bien ça.
26:32J'adore le rugby.
26:33Le charisme.
26:34Ouais !
26:35Violent.
26:36Environ 2000 personnes
26:38ont participé à la grande mêlée
26:40au stade Le Corbusier à Firminy
26:43dans le cadre du Téléthon.
26:45Ils visaient 3637 personnes.
26:49Pourquoi ?
26:503637.
26:513637, c'est le numéro vert
26:53pour les promesses de dons
26:54pour le Téléthon.
26:55Je crois qu'ils sont quand même
26:57dans le Guinness Book.
26:58Je crois que c'est l'une des plus
26:59grandes mêlées de France.
27:01C'est ça.
27:02C'est devant les caméras
27:04de France Télévisions.
27:06C'est pas grave.
27:07Il y avait une autre photo
27:08d'elle, celle-ci.
27:09Il y en a aussi.
27:10On était là.
27:12On va parler aussi,
27:13pour finir, d'une marche.
27:15C'est bien la marche,
27:16mais pas n'importe quelle marche.
27:17C'est une marche à Eleven.
27:19Exactement.
27:20C'est pour ça que je tenais
27:21à en parler.
27:22C'est une jeune fille
27:23qui a un petit grain de folie,
27:24un petit peu,
27:25comme quelqu'un qui la connaît bien.
27:27Et je tenais à en parler
27:28parce que vraiment,
27:29ça vaut le coup d'y aller.
27:30C'est à Monistrel.
27:31C'est vendredi soir.
27:32Il faut s'inscrire dès ce soir
27:34parce que je pense que demain,
27:35il n'y aura peut-être plus
27:36encore beaucoup de places.
27:37Mais voilà, c'est une marche.
27:38C'est les bronzés qui font de la marche.
27:40Ils ne font pas du ski,
27:41ils font de la marche.
27:42Ils font de la marche
27:43avec plein de choses,
27:44avec 15 animations
27:45tout au long du parcours
27:46pour les enfants,
27:47pour les adultes.
27:48Il y a une boîte de nuit
27:49gonflable.
27:50C'est la première.
27:51C'est la deuxième.
27:52L'année passée,
27:53il y avait 1500 Pères Noël
27:54dans la ville.
27:55Là, cette année,
27:56il va y avoir...
27:57Ils sont là, les Pères Noël.
27:58Il va y avoir 1500 skieurs
28:01Il n'y a rien à manger.
28:02Il n'y a rien à boire,
28:03il n'y a rien à manger.
28:04Et ce n'est que 8 euros.
28:05Ce n'est que 8 euros.
28:06Donc, il faut s'inscrire.
28:07Marche, festives et gourmands.
28:08Il y a la bouteille avec le trapo.
28:09Facebook, Instagram.
28:10Il y a la bouteille avec le trapo.
28:11Tu l'amènes.
28:12Facebook, Instagram,
28:13il ne faut pas hésiter à y aller.
28:14Il reste encore quelques places
28:15et c'est à Monistrol
28:16le vendredi soir
28:17et c'est une grosse, grosse fête.
28:18On dirait un papa qui parle.
28:19C'est incroyable.
28:20Presque, presque.
28:21Un papa
28:22pour encrocher un autre.
28:23Forcément,
28:32Ma fille,
28:33une interview toute particulière
28:34qui me tient à cœur.
28:35Des réponses exclusives
28:37autant pour vous
28:38que pour moi
28:39et bien sûr,
28:40on revient sur son parcours
28:41explosif.
28:48Lince et Thomas,
28:49j'ai 24 ans,
28:50je suis originaire de Saint-Chamond
28:51et je pratique les arts martiaux
28:52depuis l'âge de 4 ans.
28:54J'ai commencé la compétition
28:56dans différentes disciplines
28:57à l'âge de 8 ans.
28:58J'ai fait 10 fois championne de France
29:00et ensuite,
29:01quand je suis passée pro,
29:02du coup,
29:03j'ai eu un titre de championne de France,
29:04j'ai un titre de championne du monde WACO
29:07et un titre de championne d'Europe pro WACO.
29:10Qu'est-ce que t'as pensé
29:11de la dualité père-coach ?
29:13Quand j'étais plus petite,
29:14peut-être que j'arrivais moins
29:16à faire la différence
29:17entre le papa et le coach.
29:20Certaines choses
29:21que tu me disais
29:23pour que ce soit des axes d'amélioration
29:24et j'avais plus de mal du coup
29:26à les entendre.
29:29Quand tu pars en équipe de France,
29:30tout le monde sait
29:31que je ne suis pas là.
29:32Tu as un autre coach dans ton coin.
29:33Du moins, je ne suis pas là.
29:35Je ne suis pas dans ton coin.
29:38Est-ce que tu trouves un plus ?
29:41Je trouve que c'est hyper différent
29:43parce que c'est une autre méthode
29:44de coacher.
29:45C'est vraiment différent,
29:46ça me sort de ma zone de confort.
29:48C'est enrichissant aussi pour moi
29:50dans ce sens-là.
29:51Et après, je sais
29:52que tu n'es jamais très loin.
29:53Ça te rassure ?
29:54Ça me rassure.
29:55Petite anecdote
29:56sur notre parcours ?
29:58Oui.
29:59Facile.
30:01Un de mes premiers combats
30:02où je me fais blesser,
30:04c'était en plein contact.
30:05Je me fais casser le nez
30:07sur un coup de genou.
30:08Je reviens dans le coin vers toi
30:10et en fait,
30:11tu me remets le nez correctement
30:13sans rien me dire.
30:15Et je pense que là,
30:17le papa a dû peut-être
30:18prendre le relais
30:19pour ne pas que j'ai le nez ici.
30:21Je ne voulais pas te voir quasi-modo.
30:24Voilà.
30:25Là, tu as deux options.
30:27C'est soit ta spéciale,
30:29soit une info,
30:30mais par contre,
30:31on va être les premiers à la connaître.
30:33Je vais choisir l'exclu.
30:34La grosse, grosse exclu,
30:36c'est un championnat d'Europe WKN
30:38contre une bonne adversaire
30:40le 11 janvier.
30:42Tu nous balances le blaze
30:43de l'adversaire ?
30:44Yes.
30:45Ça sera du coup
30:46Sonia Deen
30:47versus Lucie Thomas.
30:49Sonia Deen,
30:50une bonne combattante.
30:51Oui.
30:52Tu as demandé à ton coach
30:53qu'il analyse un peu sa boxe ?
30:55Oui, bien sûr.
30:56Je pense que c'est déjà fait.
30:59Si tu veux,
31:00je peux te casser la gueule maintenant.
31:01À moi ?
31:02En plus de l'exclu.
31:03Vas-y.
31:04Je suis ton homme.
31:13Mais je ne savais pas
31:14que vous étiez auto-rino.
31:16Tu ne me toucheras jamais,
31:17je te le dis.
31:18Tu ne me toucheras pas.
31:19Elle ne s'en est pas rendue compte.
31:20Très beau.
31:21Tu avais envie de petits nœuds en fait.
31:22C'est pas mal.
31:23Propre.
31:24C'est très beau.
31:25C'est émouvant,
31:26c'est très beau
31:27et une très belle histoire.
31:28Alors,
31:29le sujet s'est un peu lancé
31:30assez rapidement.
31:31Moi,
31:32je me souviens,
31:33l'INSEE,
31:34on l'a suivie
31:35depuis toute petite,
31:36petite crevette.
31:37Quelle progression aujourd'hui.
31:38Elle est championne du monde.
31:39Carrément.
31:40Du coup,
31:41c'est vrai que c'était compliqué
31:42pour moi
31:43de faire une chronique sur elle.
31:45Vous ne vouliez pas trop au début.
31:46J'étais un peu obligé.
31:48Je vous ai obligé.
31:49Sinon,
31:50j'allais appuyer.
31:5110 fois championne
31:52de France amateurs.
31:53Après,
31:54championne de France pro.
31:55Elle a fait son cursus
31:56championne de France pro.
31:57Championne d'Europe pro.
31:58Elle a gagné la ceinture WACO.
32:00Derrière,
32:01elle fait les championnats du monde.
32:02Elle gagne les championnats du monde.
32:04Et là,
32:05comme elle vient de le dire,
32:06elle va boxer
32:07pour la ceinture WKN.
32:09Donc,
32:10une autre grosse fédé.
32:11Dans une autre catégorie,
32:12en moins de 55.
32:13Tout à fait.
32:14En fait,
32:15elle a deux parcours.
32:16Mais c'est mieux pour les fêtes.
32:18Elle est en moins de 52.
32:20Du coup,
32:21avec l'équipe de France
32:22sur sa dernière sortie.
32:23Et elle prépare sa ceinture
32:25en moins de 55.
32:26Ça lui laisse un petit peu
32:27de marge.
32:28Alors,
32:29vous en avez parlé
32:30dans le sujet,
32:31elle,
32:32sa relation.
32:33Et vous,
32:34votre relation de votre côté ?
32:35Alors,
32:36je ne mets pas les lunettes
32:37avec la caméra.
32:38Mais c'est vrai,
32:39vous,
32:40comment vous l'avez ressorti ?
32:41C'est dur.
32:42C'est difficile.
32:43Moi,
32:44je ne sais pas si j'arriverais
32:45à coacher mes petits hauts.
32:46Moi,
32:47je suis un peu comme Fendi.
32:48On est pareil.
32:49C'est vrai.
32:50C'est difficile.
32:51Après,
32:52j'ai 14 ans.
32:53Donc,
32:54la boxe,
32:55c'est notre terrain de jeu.
32:56Les coups,
32:57on connaît les risques.
32:58D'après l'anecdote,
32:59c'est vrai que
33:00ce n'est pas évident.
33:01Mais à un moment donné,
33:02je suis obligé de…
33:03Comme le milieu soignant,
33:04je suis infirmier.
33:05Il y a des moments
33:06où il y a des choses
33:07qu'on accepte…
33:08Vous n'êtes pas platré et peintre.
33:09Je n'ai rien.
33:10Mais ça vient remettre les trucs.
33:11Il y a des choses
33:12qu'on accepte
33:13comme les coupures.
33:14Les coupures,
33:15on va les colmater à la vaseline.
33:16C'est quelque chose
33:17qu'on ne fait pas
33:18dans le médical.
33:20Mais à un moment donné,
33:21il y a l'enjeu sportif.
33:22L'enjeu sportif,
33:23c'est on boxe
33:24pour une ceinture.
33:25Mais elle a cette mentalité-là,
33:26surtout au lycée.
33:27Aussi.
33:28Et tout est en corrélation.
33:30Il y a des choses
33:31que je vais faire
33:32avec certains boxeurs
33:33parce qu'ils ont la mentalité
33:34et certains
33:35qui ne pourront pas
33:36passer le cap.
33:37Il est comment
33:38le Sylvain Thomas,
33:39en coach ?
33:40On ne vous a jamais posé
33:41cette question
33:42et je ne vous ai pas vu.
33:43Il est comment ?
33:44Il est méchant ?
33:45Non, il est très dur,
33:46psychorigide.
33:47Mais c'est pour ça
33:48qu'on s'entend bien
33:49parce qu'elle est
33:50exactement pareil.
33:51Est-ce qu'elle l'a pris
33:52de l'éducation
33:53ou est-ce que
33:54je lui l'ai imposé ?
33:55Parce que là,
33:56elle est très bien
33:57en interview.
33:58D'habitude,
33:59elle ne mouffetait pas.
34:00Il y a un changement.
34:01Il y a un changement.
34:02Peut-être que,
34:03bon,
34:04là, c'était
34:05le chroniqueur
34:06en face d'elle.
34:07Peut-être que maintenant,
34:08elle arrive
34:09à mettre
34:10des statues
34:11différentes.
34:12Messieurs,
34:13pour finir ?
34:14Moi,
34:15je suis impressionné
34:16par la mentalité
34:17et par la maturité
34:18aussi de Vincent.
34:19C'est vrai que très jeune,
34:20comme dit Julien,
34:21on l'a suivi très jeune,
34:22cette maturité qu'il a.
34:23Moi,
34:24j'ai une pensée
34:25pour sa maman.
34:26Honnêtement,
34:27quand on fait
34:28ces sports de combat,
34:29je dis ça
34:30parce que mon frère,
34:31quand il jouait au basket,
34:32dès qu'il tombait
34:33sur un match,
34:34ma mère,
34:35derrière l'écran,
34:36elle se levait carrément
34:37vers l'écran
34:38en disant
34:39qu'il s'était fait mal.
34:40Là,
34:41vivre ça en direct,
34:42prendre des coups,
34:43ça ne doit pas être évident
34:44quand même pour les parents.
34:45Alors,
34:46c'est une dame
34:47qui lui pose
34:48la question.
34:49Elle lui dit
34:50en tant que maman,
34:51qu'est-ce que ça fait
34:52d'être derrière l'écran
34:53où même maintenant,
34:54elle vient aussi
34:55dans le coin du coach
34:56parce qu'elle a passé
34:57la formation de cutman
34:58et elle lui répond
34:59en fait,
35:00ce n'est pas pour elle
35:01que j'ai peur,
35:02c'est pour son adversaire.
35:03C'est bien répondu.
35:04Elle est conditionnée
35:05aujourd'hui.
35:06C'est vrai.
35:07J'ai reposé en trame,
35:08elle n'a pas de ticket,
35:09ce n'est pas grave.
35:10Ce n'est pas grave.
35:11J'ai reposé en trame,
35:12elle n'a pas de ticket,
35:13elle n'a pas de ticket,
35:14ce n'est pas grave.
35:15Ce n'est pas grave.
35:16J'ai reposé en brouillée.
35:17Elle est très gentille
35:18en plus,
35:19tu verras.
35:20Travailler père-fille,
35:21je peux vous dire
35:22que c'est vraiment très sympa
35:23et je comprends tout à fait.
35:24J'aurais dû avoir une fille,
35:25alors pas des garçons.
35:26Ça va.
35:27Dans quelques instants,
35:28c'est le club du mois.
35:37Je vous amène du côté
35:38de Saint-Etienne,
35:39un club qui existe
35:40depuis quand même
35:411970,
35:42Saint-Etienne-Andes.
35:43Saint-Etienne-Andes,
35:44je peux vous dire,
35:45atteint le haut niveau national.
35:46C'est l'une des ferveurs
35:48de la Loire
35:49et Lilian Bard s'est penché
35:51sur ce club-là.
35:53Salut à tous,
35:54bienvenue au Saint-Etienne-Andes.
35:55On est le club de la Loire
35:56qui joue au plus haut niveau.
36:03Alors toi Guillaume,
36:04tu es joueur,
36:05tu es devenu président en 2016.
36:06Écoute, raconte-nous
36:07l'histoire du club.
36:08Donc en fait,
36:09il y a trois grosses périodes
36:10dans l'histoire du club.
36:11Naissance en 1970
36:13du 15 Handball.
36:14En 2000,
36:15on fusionne avec
36:16le CSAD de Saint-Priest
36:17et le club d'Andrézieux
36:18pour former
36:19le Handball Saint-Etienne-Andrézieux.
36:20Et plus récemment,
36:21en 2015,
36:22on se sépare
36:23de la filière féminine
36:24pour devenir un club
36:25100% masculin.
36:26En 70,
36:27c'est une bande de potes
36:28qui s'inscrivent
36:29dans un championnat
36:30à six équipes
36:31dans la Loire.
36:32En 73,
36:33Jacques Brécheteau
36:34devient président,
36:35il structure le club
36:36pendant une petite
36:37vingtaine d'années
36:38et en 1979,
36:39c'est la première moitié
36:40du club en national.
36:41Bon alors,
36:42est-ce que vous avez formé
36:43des champions
36:44un peu au club ?
36:45On a eu effectivement
36:46Blandine Dansette
36:47qui a été formée
36:48à Saint-Etienne
36:49et qui a joué
36:50en équipe de France
36:51et qui a été médaillée d'argent
36:52aux Jeux Olympiques.
36:53Et on a encore
36:54en activité
36:55un frère et une sœur,
36:56Perrine et Martin Potiau
36:57qui jouent en première division
36:58chacun dans leurs clubs
36:59respectifs.
37:00Vous avez vu,
37:01les deux jouent
37:02avec le numéro 42.
37:03C'est quoi cette histoire
37:04de star
37:05qui vient à Pierre Maisonial ?
37:06En 2019,
37:07lorsque Florent Manoudou
37:08a mis entre parenthèses
37:09sa carrière de nageur,
37:10il est venu jouer ici
37:11une première fois
37:12contre notre équipe
37:13de National 2
37:14et une deuxième fois
37:15pour notre tournoi
37:16Andélite.
37:17Les deux fois,
37:18on a fait ça le comble.
37:19On ne sait pas trop
37:20si c'est pour lui
37:21ou si c'est pour nous.
37:22Quelle classe !
37:23Bon d'ailleurs,
37:24ce fameux Andélite,
37:25vous en êtes fier.
37:26Qu'est-ce que c'est ?
37:27C'est un événement
37:28qu'on organise chaque année
37:29où on a que les quatre équipes
37:30professionnelles
37:31qui viennent s'affronter
37:32sur deux soirs.
37:33C'est un plutôt bel événement.
37:34Handball, handball,
37:35c'est très bien
37:36mais derrière toi,
37:37ce qu'ils ont entre eux,
37:38c'est que quand ils gagnent
37:39le week-end,
37:40ils ont le droit
37:41à une demi-heure de foot.
37:42C'est la tradition,
37:43les mardis,
37:44après un match gagné.
37:45On ne va pas se mentir,
37:46cette salle, elle est belle.
37:47Elle transpire le sport collectif.
37:48C'est effectivement
37:49la plus grande salle
37:50de Saint-Etienne
37:51pour le sport indoor.
37:52Donc effectivement,
37:53on est chanceux
37:54d'avoir un bel outil
37:55de travail comme ça
37:56et qu'elle a vécu
37:57des beaux moments de sport.
37:58Donc oui, c'est plutôt cool.
37:59Le club est donc en national
38:00depuis les années 2000.
38:01Il était même en national 1
38:02entre 2014 et 2016.
38:03Mais bon alors,
38:05Le club aujourd'hui,
38:06c'est 220 licenciés,
38:07une trentaine de bénévoles,
38:083 salariés
38:09et une académie de handball
38:10avec pour vocation
38:11de former les jeunes
38:12du cru stéphanois
38:13et de les amener
38:14au plus haut niveau.
38:15On espère en national 1 bientôt.
38:16Très bien,
38:17on espère de nouveau
38:18la national 1,
38:19longue vie
38:20au Saint-Etienne handball.
38:21Comme le disait Sylvain,
38:22c'est énorme.
38:23C'est magnifique.
38:24De laisser son nom
38:25ça trace comme ça
38:26à 50 ans près.
38:27C'est mon rêve.
38:28Autre rêve,
38:29c'était son rêve
38:30vous,
38:31votre rêve.
38:32Son rêve,
38:33c'était son rêve
38:34voir le SCAB
38:35le remporter
38:36face à Rouen.
38:37Est-ce que ça a été le cas ?
38:38C'est sûr.
38:46C'était couché.
38:48Sokal Andrikoua,
38:49c'était ton rêve.
38:50On va être objectifs.
38:51Non,
38:52ce n'était pas mon rêve.
38:53J'aurais aimé.
38:54J'aurais aimé
38:55que le SCAB
38:56l'emporte,
38:57pas parce que j'aime pas l'aquarelle.
38:58L'aquarelle a une place
38:59très importante
39:00vis-à-vis du parcours
39:02Mais ils sont mieux en proie à eux.
39:03La chorale de Rouen,
39:04non.
39:05Et j'espère vraiment
39:06de tout cœur
39:07cette année
39:08que la chorale
39:09va remonter rapidement.
39:10On va voir quelques images.
39:11Très beau match.
39:12Déjà,
39:13les ingrédients étaient là
39:14comme on l'a dit
39:15vendredi soir.
39:16C'était
39:17une aréna
39:18grandiose.
39:19Vraiment remplie.
39:20Il y avait 4 200 personnes
39:21sachant qu'il y avait
39:22presque 500 tickets
39:23en attente.
39:24Je pensais que tu allais me dire
39:25600 parce que
39:26depuis 18 heures
39:27on augmente.
39:28Non, sérieusement.
39:29C'était
39:31impressionnant.
39:32Les supporters
39:33de la chorale
39:34il y a 80 kilomètres à peine
39:35s'étaient déplacés aussi.
39:36Une très belle fête
39:38du basket
39:39dans la Loire.
39:40Et c'est vrai que
39:41ce projet du SCAB
39:43on en a déjà parlé
39:44en début de saison
39:45c'est une valeur ajoutée.
39:47Un plus.
39:48C'est unique en France.
39:49Pour notre département
39:50c'est que du bonheur.
39:52C'était du bon jeu.
39:53Il y a eu du bon jeu.
39:54C'était
39:55vraiment
39:56ça se tenait
39:5723 partout
39:58à la fin du premier quartant.
39:5918 à 16
40:00dans le deuxième quartant.
40:01Donc du coup
40:02il n'y a que deux points
40:03qui séparent.
40:04Troisième quartant
40:05il n'y a qu'un point
40:0627-26
40:07en faveur de Rouen.
40:08Après Rouen est toujours
40:09un peu loin.
40:10Et puis le dernier quartant
40:1129 à 26
40:1297 à 91
40:146 petits points.
40:15La dernière minute
40:16le monétaire
40:17a été crucial
40:19pour les hommes
40:20de Maxime Nenaton.
40:21Alors
40:22pour parler
40:23avant d'écouter Maxime
40:24on va écouter
40:25les réactions
40:26des supporters
40:27et l'ambiance
40:28de ce derby.
40:29Je voudrais déjà dire
40:30une chose
40:31c'est que je pense
40:32que c'était un très très beau derby
40:33sur le plan
40:34du basket.
40:35On savait que c'était
40:36deux équipes très offensives.
40:37On l'a montré encore
40:38ce soir.
40:39C'est vrai que le derby
40:40on était habituel à Svell
40:41en Betlic
40:42l'année passée.
40:43On a Vichy
40:44qui est aussi
40:45un derby historique.
40:46Saint-Chamond
40:47est une équipe
40:48plus jeune
40:49dans le championnat probé.
40:50C'est la
40:51cinquième fois
40:52qu'on les rencontre
40:53en probé.
40:54On n'a pas eu l'habitude
40:55de gagner souvent
40:56donc on va essayer
40:57de l'emporter
40:58ce qui ferait
40:59du bien
41:00au moral.
41:01Parce qu'il y a eu
41:02les matchs en Coupe de France
41:03l'année dernière
41:04le Saint-Chamond
41:05alors c'était pas encore le SCAB
41:06il y avait Saint-Chamond
41:07il y avait Saint-Chamond
41:08c'était pas encore le SCAB
41:09et l'année dernière
41:10c'est vrai que Saint-Chamond
41:11à l'époque avait remporté
41:12pour la Coupe de France
41:13donc voilà
41:14à l'aréna.
41:15C'est le money time.
41:16Alors oui
41:17le money time
41:18la dernière minute
41:19jusqu'à la dernière minute
41:20il faut dire
41:21dans le quatrième quartier
41:22il n'y avait plus cinq
41:23au moment pour le SCAB
41:24mais ça va vite au basket
41:25il y a plus cinq
41:26là on se dit peut-être
41:27que ça va
41:28le SCAB va passer un cap
41:29non
41:30pourquoi ?
41:31Parce que
41:32il y a un petit numéro 3
41:33qui était pas mal
41:34ah oui
41:35il termine avec 17 d'évaluation
41:36c'est vrai qu'il n'est pas
41:37très grand de taille
41:38mais très bif
41:39et puis surtout à droite
41:40non c'est Dylan
41:41surtout
41:42il y en a pas maux
41:43qui met ses deux derniers tiers
41:44il met deux tiers à trois points
41:45dans la dernière minute
41:46le score
41:4780
41:48il y a six points d'écart
41:49c'est vraiment
41:50ce money time
41:51qui a été
41:52vendu
41:53il y a un peu
41:54de maladresse
41:55ou de fatigue
41:56de l'autre côté
41:57ça aurait pu balancer
41:58c'est vrai que
41:59c'était un match équilibré
42:00du début jusqu'à la fin
42:01mais ça aurait pu balancer
42:02du côté
42:03mais on va écouter Maxime
42:04parce qu'il a une analyse
42:05très pertinente
42:06à la fin de la rencontre
42:07on a existé
42:08on a existé
42:09parce que
42:10offensivement
42:11on a démontré
42:12de la qualité
42:13mais on peut pas
42:14battre
42:15ce genre
42:16d'équipe
42:17de manière
42:18indisciplinée
42:19défensivement
42:20comme on a pu l'être
42:21c'est des détails
42:22mais face à ce genre
42:23de joueurs là
42:24de roster là
42:25d'équipe
42:26sur le papier
42:27la qualité des joueurs
42:28d'en face
42:29chaque erreur
42:30tu la payes cash
42:31être capable
42:32d'être dans l'anticipation
42:35être capable
42:36de l'anticipation
42:37c'est d'un déplacement
42:38c'est d'un placement
42:39d'appui
42:40c'est d'un placement
42:41défensif
42:42c'est d'une communication
42:43parce que
42:44pour pouvoir
42:45être fort
42:46défensivement
42:47faut pouvoir contester
42:48pour contester
42:49faut pouvoir anticiper
42:50pour anticiper
42:51pour anticiper
42:52faut communiquer
42:53c'est toute une échelle
42:55c'est toute une boule de neige
42:57qu'on doit avoir
42:58de manière constante
43:00parce que de l'autre côté
43:01ils en ont encaissé aussi
43:02oui
43:03dans le basket
43:04vous savez
43:05souvent les coachs
43:06vont vous dire
43:07dans le basket
43:08faut
43:09si on arrive à contenir
43:10une équipe
43:11entre 70
43:1280 maximum
43:13tu peux
43:14même 70 c'est bien
43:15on dit
43:16dans les 70 points
43:17aujourd'hui
43:18encaisser
43:19quand tu encaisses
43:20c'est une situation
43:21où ça va être
43:22mais c'est très rare
43:23c'est très rare
43:24alors il a dit
43:25quelque chose
43:26de très intéressant
43:27la réussite
43:28ça se provoque aussi
43:29et ça c'est vrai
43:30c'est qu'à un moment donné
43:31quand tu rates
43:32des lancers francs
43:33les lancers francs
43:34normalement
43:35ça doit être dans
43:36c'est une gestuelle
43:37une mécanique
43:38à avoir
43:39au quotidien
43:40je les ai vus
43:41moi quand j'ai vu le match
43:42j'ai vu Juan
43:43plus Tiger
43:44c'est quand il y avait
43:45des points
43:46il se tapait dans la main
43:47sur le papier
43:48on va pas se mentir
43:50c'est pas le même budget
43:51c'est pas le même budget
43:52ils descendent
43:53de Betlic et Ligue
43:54ils ont monté une équipe
43:55pour remonter direct
43:56alors que le SCAB
43:57attention faut pas l'oublier
43:58faut pas aller trop vite
43:59non plus
44:00parce que
44:01c'est la première année
44:02c'est la première année
44:03du SCAB
44:04en Pro B
44:05la N1 cartonne
44:06la National 1 cartonne
44:07vraiment
44:08ils ont encore gagné
44:09ce week-end
44:10en déplacement
44:11à Lune plage
44:12ils sont dans le top 2
44:13de la National 1
44:14donc le projet SCAB
44:15est en route
44:16et quand on a une salle
44:17aussi belle
44:18quand on voit une salle
44:19garnie
44:20forcément
44:21ça porte
44:22t'en parleras au gardien
44:23non il n'y a pas de gardien
44:24et puis Julien
44:25vous savez
44:26au match
44:27j'ai regardé Julien
44:28il regardait bien les danseuses
44:29il y avait les Lituaniennes
44:30qui étaient là
44:31et la mascotte
44:32et l'empreinte carbone
44:33de la Lituanie
44:34ah oui
44:35il me crie dans l'oreille
44:36oui Damien
44:37il a la villa
44:38avec sa lumière jaune
44:39à toi
44:40vas-y
44:41oui bon
44:42ça y est
44:43j'ai récupéré ma raquette
44:44on m'attend pour le double
44:45ce que je n'aurai pas dit
44:46c'est que j'en ai cassé beaucoup
44:47quand j'étais plus jeune
44:48parce que je suis hyper nul
44:49bon allez c'est parti
44:50ok Damien
44:51on y va
44:52c'est parti
44:53à nous le service
44:54ouais
44:55je l'avais
44:56je l'avais
44:57allez le service
44:58c'est parti
44:59t'inquiète
45:00Damien
45:01alors
45:02c'est compliqué ou pas
45:03allez 1-0
45:04il est concentré
45:05allez on les a
45:06on les a
45:07vas-y
45:08smash
45:09ouais
45:10c'est pas mal
45:11vas-y
45:12c'est bien
45:13il s'auto concratule
45:14tu vois
45:15allez pour toi
45:16bien joué
45:17il n'a pas vu
45:18je l'avais
45:192-0
45:20allez
45:21à vous de jouer
45:22quand il est pris dans le sport
45:23il nous écoute pas
45:24non mais en fait le problème
45:25c'est qu'il a fait la Saint-Élion
45:26et que du coup
45:27je pense qu'il n'y a plus de vue
45:28plutôt technique
45:29ouais positionnement
45:30un petit peu tu vois
45:31ouais ouais
45:32bien joué
45:33elle est bonne
45:34premier point
45:35bravo
45:36arrêtez-vous là Damien
45:37là tu dois rester au filet
45:38en horizontal
45:39et puis moi je te couvre
45:40derrière
45:41reste au filet
45:42je l'ai là
45:43vas-y viens
45:44mais on ne sert pas comme ça
45:45t'avais pris l'option
45:46au bas service
45:47et t'étais assez patient
45:4849ème que j'avais fait
45:49pour 50
45:50vas-y
45:51c'était le 50 qui
45:52non mais il était quand même
45:53alors Damien
45:54bon
45:55je crois que vous avez vu
45:56c'est quand même assez cardio
45:57assez technique
45:58je vais continuer
45:59je pense qu'on va leur mettre la pâtée
46:00finissez bien l'émission
46:01je vous embrasse
46:02bisous
46:03et on a surtout un très bon club
46:04aussi du côté d'André Zubouté
46:05exactement
46:06très très bon
46:07voilà
46:08on a fait que
46:09c'était la première partie
46:10de l'émission
46:11c'était la première partie
46:12de l'émission
46:13c'était la première partie
46:14de l'émission
46:15voilà
46:16on a fait 46 minutes
46:17ça fait long ça
46:18beaucoup d'actualité
46:19on a presque
46:20fait toute la loi
46:21c'est vrai
46:22vous aviez juste
46:23pour finir
46:24il y a Bibi
46:25qui nous a donné
46:26un écharpe
46:27on va saluer
46:28une écharpe collector
46:29de 2008
46:30alors c'est vrai
46:31qu'il nous regarde ce soir
46:32Bibi
46:33supporter de la Chorale de Rouen
46:34merci à toi Bibi
46:35qui est rentrée de Rouen
46:36très heureux
46:37très heureux
46:38c'est vrai qu'on a passé
46:39un bon moment
46:40on n'oublie pas
46:41pour Léon
46:42bref
46:43il va nous faire passer
46:44vos informations
46:45images
46:46ainsi qu'un petit résumé
46:47et comme ça
46:48on pourra en parler
46:49dans l'émission
46:50il reste encore
46:51deux émissions
46:52avant la trêve
46:53hivernale
46:54oh
46:55je les avais chauffés
46:56le public
46:57est-ce que vous avez
46:58préparé nos cadeaux
46:59de Noël Julien ?
47:00je suis en train de préparer
47:01une surprise
47:02mais vous m'en racontez
47:03je ne dis pas tout
47:04mais ça va être un peu rigolo
47:05à la semaine prochaine
47:06ciao
47:07bye bye

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