Sous-officier des forces spéciales américaines bardé de décorations, Edward Gallagher est accusé de meurtre avec préméditation, tentative de meurtre sur deux civils à l'aide de son fusil de précision et obstruction à la justice. Le militaire, qui risque la prison à vie s'il est reconnu coupable, dément toutes les accusations portées contre lui.
Le procès d'Edward Gallagher, sous-officier des forces spéciales américaines bardé de décorations, s'est ouvert lundi devant un tribunal militaire de San Diego (Californie): il doit répondre de plusieurs crimes de guerre, dont le meurtre à coups de couteau d'un prisonnier adolescent, lors de missions en Irak en 2017.
Edward Gallagher, 40 ans, est notamment accusé de meurtre avec préméditation, tentative de meurtre sur deux civils à l'aide de son fusil de précision et obstruction à la justice. Ce sont des hommes placés sous ses ordres dans une unité des célèbres « Navy SEALs », commandos d'élite de la marine américaine, se disant horrifiés par les actes de leur supérieur, qui ont donné l'alerte.
Les faits qui lui sont reprochés auraient été commis en 2017 à Mossoul, en Irak, où des troupes américaines avaient été déployées aux côtés des forces irakiennes pour reprendre des quartiers de la ville aux mains des combattants du groupe Etat Islamique (EI).
Le procès d'Edward Gallagher, sous-officier des forces spéciales américaines bardé de décorations, s'est ouvert lundi devant un tribunal militaire de San Diego (Californie): il doit répondre de plusieurs crimes de guerre, dont le meurtre à coups de couteau d'un prisonnier adolescent, lors de missions en Irak en 2017.
Edward Gallagher, 40 ans, est notamment accusé de meurtre avec préméditation, tentative de meurtre sur deux civils à l'aide de son fusil de précision et obstruction à la justice. Ce sont des hommes placés sous ses ordres dans une unité des célèbres « Navy SEALs », commandos d'élite de la marine américaine, se disant horrifiés par les actes de leur supérieur, qui ont donné l'alerte.
Les faits qui lui sont reprochés auraient été commis en 2017 à Mossoul, en Irak, où des troupes américaines avaient été déployées aux côtés des forces irakiennes pour reprendre des quartiers de la ville aux mains des combattants du groupe Etat Islamique (EI).
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