« Les écrits de Benoit Hamon sur « la rage » supposée des partisans de Ségolène Royal et « la division qu'ils ont dans le sang » sont insolites dans la bouche ou sous la plume d'un porte parole du PS.
Chacun se souvient que lors du Congres de Reims notre motion arrivée en tête a été marginalisée, contrairement à l'usage politique. Nous nous sommes pourtant inclinés au nom de l'unité.
Lors de l'élection au premier secrétariat le départage s'est fait au profit de la majorité du conseil national, dans l'évitement du vote indéchiffrable des militants. Nous nous sommes encore inclinés, toujours au nom de l'unité.
Nous participons au bureau national et, comme jamais, à toutes les instances fédérales du parti.
Que faut-il faire de plus pour être unitaires aux yeux du porte parole? Se taire ou disparaître ? Elégante alternative.
Alors soit Benoit Hamon n'est pas informé de notre grande patience. Soit il veut l'éprouver plus encore en soufflant sur les braises. Soit il souhaite que le parti change insidieusement de nature et goute aux charmes d'une internationale à laquelle il n'a jamais appartenu. Soit Benoit Hamon utilise enfin le classique procédé du repoussoir en guise d'une unité qui se chercherait au sein de la direction.
Nombre de responsables du PS, de toutes sensibilités, ne se retrouveront pas dans cette stratégie de la tension à laquelle nous répondons par une demande toujours plus forte de rassemblement alors que les effets de la crise économique mondiale s'annoncent sans précédent ».
Jean Louis Bianco député Ps membre du Conseil national, Jean Pierre Mignard membre du Conseil national.
Chacun se souvient que lors du Congres de Reims notre motion arrivée en tête a été marginalisée, contrairement à l'usage politique. Nous nous sommes pourtant inclinés au nom de l'unité.
Lors de l'élection au premier secrétariat le départage s'est fait au profit de la majorité du conseil national, dans l'évitement du vote indéchiffrable des militants. Nous nous sommes encore inclinés, toujours au nom de l'unité.
Nous participons au bureau national et, comme jamais, à toutes les instances fédérales du parti.
Que faut-il faire de plus pour être unitaires aux yeux du porte parole? Se taire ou disparaître ? Elégante alternative.
Alors soit Benoit Hamon n'est pas informé de notre grande patience. Soit il veut l'éprouver plus encore en soufflant sur les braises. Soit il souhaite que le parti change insidieusement de nature et goute aux charmes d'une internationale à laquelle il n'a jamais appartenu. Soit Benoit Hamon utilise enfin le classique procédé du repoussoir en guise d'une unité qui se chercherait au sein de la direction.
Nombre de responsables du PS, de toutes sensibilités, ne se retrouveront pas dans cette stratégie de la tension à laquelle nous répondons par une demande toujours plus forte de rassemblement alors que les effets de la crise économique mondiale s'annoncent sans précédent ».
Jean Louis Bianco député Ps membre du Conseil national, Jean Pierre Mignard membre du Conseil national.
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😹
Amusant