Les chefs d’Etat et de gouvernement des 27 se sont entendus pour réduire de 90% leurs importations de pétrole russe d’ici fin 2022, avec une dérogation pour la Hongrie. Agnès Evren, députée européenne et vice-présidente des Républicains explique: « C’est une bonne nouvelle car, hier encore, on craignait que l’UE soit divisée et c’est tout l’inverse. Il y a une unité inébranlable de l’Union sur un point essentiel, c’est le soutien très fort apporté à l’Ukraine sur le plan humanitaire, militaire, politique, et économique (…) Bien sûr, ça a été un peu plus compliqué avec la Hongrie qui est dépendant du pétrole russe et donc nous avons trouvé ce compromis qui est la démonstration de l’unité, de la réactivité, européenne. »
Dans un autre registre et depuis le grand capharnaüm de samedi autour de l’organisation de la finale de la Ligue des champions au Stade de France, l’UEFA, les supporters de Liverpool, le préfet de Paris et le gouvernement se renvoient la responsabilité de la débâcle. « Il faut arrêter avec cette stratégie de l’esquive, dénonce notre invitée. Il faut arrêter de faire la politique de l’autruche et il faut que chacun des acteurs assument leurs responsabilités car l’image renvoyée au monde entier a été humiliante pour la France. Gérald Darmanin devrait reconnaître les failles du dispositif policier qui a été mis en place. »
Dans le même temps, la campagne pour les législatives est officiellement lancée… et on a l’impression que Les Républicains ne savent pas vraiment comment aborder cette échéance après l’échec de Valérie Pécresse à la présidentielle. Pour l’heure, LR met en avant sa connaissance du terrain et son implantation locale importante pour convaincre. Un argument trop défensif ? « Pas du tout, c’est simplement la réalité, estime Agnès Evren. Contrairement à beaucoup de députés LREM qui sont parfois parachutés, nous avons des élus de terrain qui ont un bilan identifié et qui sont reconnus dans leur travail. Nous sommes la première force territoriale, nous avons gagné toutes les élections intermédiaires (…) Nous voulons être, à l’Assemblée nationale, un groupe qui aiguillonne le gouvernement sur tous les angles morts du quinquennat (…) Et notre groupe ne sera pas le groupe de la Nupes, qui eux seront dans la provocation, le bruit, la confusion. »
Enfin, la vice-présidente des Républicains regrette le manque de soutien de Nicolas Sarkozy lors de l’élection présidentielle : «Très franchement, son soutien nous a évidemment manqué. C’est un ancien président de la République qui a toujours compté pour la droite. Mais n’étant pas sa porte-parole, je n’en dirais pas plus, mais bien sûr son soutien nous a fait défaut.»
Dans un autre registre et depuis le grand capharnaüm de samedi autour de l’organisation de la finale de la Ligue des champions au Stade de France, l’UEFA, les supporters de Liverpool, le préfet de Paris et le gouvernement se renvoient la responsabilité de la débâcle. « Il faut arrêter avec cette stratégie de l’esquive, dénonce notre invitée. Il faut arrêter de faire la politique de l’autruche et il faut que chacun des acteurs assument leurs responsabilités car l’image renvoyée au monde entier a été humiliante pour la France. Gérald Darmanin devrait reconnaître les failles du dispositif policier qui a été mis en place. »
Dans le même temps, la campagne pour les législatives est officiellement lancée… et on a l’impression que Les Républicains ne savent pas vraiment comment aborder cette échéance après l’échec de Valérie Pécresse à la présidentielle. Pour l’heure, LR met en avant sa connaissance du terrain et son implantation locale importante pour convaincre. Un argument trop défensif ? « Pas du tout, c’est simplement la réalité, estime Agnès Evren. Contrairement à beaucoup de députés LREM qui sont parfois parachutés, nous avons des élus de terrain qui ont un bilan identifié et qui sont reconnus dans leur travail. Nous sommes la première force territoriale, nous avons gagné toutes les élections intermédiaires (…) Nous voulons être, à l’Assemblée nationale, un groupe qui aiguillonne le gouvernement sur tous les angles morts du quinquennat (…) Et notre groupe ne sera pas le groupe de la Nupes, qui eux seront dans la provocation, le bruit, la confusion. »
Enfin, la vice-présidente des Républicains regrette le manque de soutien de Nicolas Sarkozy lors de l’élection présidentielle : «Très franchement, son soutien nous a évidemment manqué. C’est un ancien président de la République qui a toujours compté pour la droite. Mais n’étant pas sa porte-parole, je n’en dirais pas plus, mais bien sûr son soutien nous a fait défaut.»
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