• l’année dernière
Avec Marc Touati, économiste et président du cabinet ACDEFI, auteur "Reset II"

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##LE_FAIT_DU_JOUR-2023-04-14##

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News
Transcription
00:00 Sud Radio Bercov dans tous ses états, midi 34 heures.
00:05 Sud Radio Bercov dans tous ses états, le fait du jour.
00:10 France n'attend qu'une seule chose aujourd'hui, que va dire le Conseil Constitutionnel ?
00:14 Vous vous rappelez d'ailleurs que c'est McKinsey d'ailleurs qui a organisé, géré toute la campagne de la retraite.
00:22 McKinsey est aujourd'hui... Non, non, alors des mauvais esprits m'ont dit,
00:27 faut que tu dises, faut que tu dises que Victor Fabius est un des patrons de McKinsey France
00:36 et que son père Victor Fabius, à son père Laurent Fabius dirige le Conseil Constitutionnel.
00:43 Non, je ne dirais pas ça, parce que c'est mauvais esprit, esprit grincheux,
00:49 c'est pas comme ça qu'on se met en famille, non, non.
00:51 Mais alors, ce qui s'est passé, c'est qu'il y a quelqu'un qu'on n'entendait plus depuis très longtemps,
00:56 Dominique Strauss-Kahn.
00:58 Et bien Dominique Strauss-Kahn, il a sorti sa galâche Nikov et il a tiré.
01:02 Honnêtement, très fort.
01:04 Écoutez, on va en parler tout de suite avec Marc Twaty.
01:07 Alors, qu'est-ce qui s'est passé ? Bonjour Marc Twaty.
01:14 - Bonjour André, vous allez bien ?
01:16 - Très bien, très bien, toujours heureux de vous avoir avec nous sur Sud Radio.
01:22 Alors, effectivement, c'est intéressant, donc tout le monde sait aujourd'hui, 17h30,
01:27 la décision du Conseil Constitutionnel, et là, ils disent le droit.
01:31 En principe, ils doivent dire le droit.
01:33 Mais en attendant, en attendant, on a eu quand même ce texte de 4 pages sur les réseaux sociaux
01:39 de Dominique Strauss-Kahn, je rappelle, ancien patron du FMI,
01:43 ancien ministre de l'économie de Lionel Jospin, et on peut tout dire de DSK,
01:47 sauf qu'il ne s'y connaît pas en économie.
01:50 Et il a 5 erreurs, il a parlé de 5 erreurs, carrément.
01:54 Alors, quelles sont ces 5 erreurs qu'il a sorties ?
01:57 Alors, très très très très fortement, effectivement.
02:00 Alors, il a commencé par, effectivement, la contrainte budgétaire du système,
02:04 il a commencé à sortir la vision globale qui fait défaut,
02:11 il dit, attention, il y a 100 milliards d'euros de réserve en 2030,
02:17 c'était ce qu'avait décidé Lionel Jospin,
02:20 DSK a ajouté que le président de la République, Nicolas Sarkozy,
02:22 avait siphoné ce fonds à la fin de l'année 2010 pour alléger sa contrainte nucléaire,
02:27 mais quand même, il n'y a pas de vision globale, dit DSK,
02:31 et il dit, ce n'est pas l'âge de la retraite qu'il faut changer,
02:33 mais à la conception même du système.
02:35 Et il ajoute, nous devons sortir d'un système qui repose sur l'âge de départ à la retraite
02:40 pour construire un système fondé sur la durée de cotisation.
02:44 Et puis, il continue, et il dit, erreur stratégique,
02:47 la France n'est pas un pays dans lequel on peut mener une réforme sociale d'envergure
02:51 en se référant uniquement à un rapport de force politique
02:54 et en négligeant le rapport de force sociale.
02:57 Et puis, il dit, le timing est totalement mal choisi,
03:01 il y a tellement de problèmes sociaux en France,
03:03 de problèmes de dette, de problèmes d'économie, etc.
03:06 Est-ce que c'était le moment de faire cette réforme et de la passer en force ?
03:10 En force comme ça, non.
03:12 Et il ajoute, attention,
03:14 il pointe le manque de courage, effectivement, de la méthode Macron,
03:19 l'audace politique, dit encore DSK,
03:21 aurait voulu que le pouvoir accepte d'aller au vote, quitte à perdre.
03:25 Et il ajoute, ce n'aurait certes pas été glorieux,
03:28 mais la tension serait retombée,
03:30 et l'espoir de reprendre le sujet dans les prochaines années
03:32 serait passé autrement.
03:34 Et puis, il dit, attention, attention, attention,
03:37 la cinquième, la cinquième, la cinquième, c'est que,
03:41 attention, si on ne fait pas, si on ne reprend pas le dialogue social,
03:46 si on n'apaise pas les choses,
03:48 et bien ça ira très mal, et attention,
03:50 dit-il, il ne faut pas qu'Emmanuel Macron,
03:52 dit toujours DSK, commette cette cinquième erreur
03:55 de ne pas chercher, aujourd'hui, à tout prix, l'apaisement.
03:59 Marc Twaty, vous en pensez quoi de cette sortie de l'ancien patron du FMI ?
04:05 Il y a plusieurs choses.
04:07 Déjà, effectivement, je pense que, bon, c'est vrai que DSK,
04:09 vous avez longtemps pas vu, j'ai du mal à comprendre
04:11 pourquoi il revient aujourd'hui, dans la mesure, encore une fois,
04:14 bon, il veut faire parler de lui, c'est sûr,
04:16 mais vous savez, le problème, c'est qu'on le présente comme un grand économiste,
04:18 ce n'est pas du tout un grand économiste,
04:20 on le sait, le problème, c'est qu'en France,
04:22 on n'a pas de culture économique, au royaume qui les aveugle,
04:24 les bornes sont rois.
04:25 On a l'impression que ce qui a fort, de très fort en économie,
04:27 c'est la cloré, c'est-à-dire que, je vous rappelle,
04:30 il a créé un fonds d'investissement,
04:32 il y a 100 millions de dollars qui ont complètement disparu,
04:34 l'un des dirigeants s'est même suicidé, etc.
04:36 Donc c'est lui le père des 35 heures, il ne faut pas l'oublier,
04:39 ce n'est pas Thibault Brie qui l'a mis en place,
04:41 c'est lui qui l'avait théorisé.
04:43 Donc, je veux dire, il y a des choses vraies, bien entendu,
04:46 on va en parler.
04:47 Vous voulez dire, Marc, ce n'est pas vraiment un Mozart de l'économie ?
04:51 Ce n'est pas un Mozart de l'économie, quoi.
04:53 Sachant que, encore une fois, c'est l'hôpital qui se moque de la charité,
04:56 vu, encore une fois, il a pas mal de casseroles, également,
04:58 donc je pense que ce n'est pas forcément un problème de l'économie.
05:00 Par contre, ce qui est sûr, c'est que c'est vrai qu'on a un problème,
05:03 effectivement, de timing, et un problème, clairement, aujourd'hui,
05:06 je dirais, de cohésion sociale et sociétale.
05:09 Et là, encore une fois, on l'a dit depuis le début, avec vous, par exemple,
05:13 et dans d'autres médias également, je l'ai dit, ou dans mes livres ailleurs,
05:16 c'est qu'effectivement, aujourd'hui, on a un risque sociétal en France,
05:21 et c'est vrai que le problème, numéro un des Français,
05:23 ce n'est pas tellement la retraite, c'est l'inflation.
05:26 On voit bien qu'aujourd'hui, nous avons une baisse du pouvoir d'achat,
05:30 beaucoup de Français, malheureusement, ne peuvent pas faire tout leur repas par jour,
05:33 parfois, certains sont mieux d'assurer leur repas par jour.
05:35 - Oui, on le sait.
05:36 - Il y a des fois, dans les départements...
05:38 - Excusez-moi, vous m'entendez, Lamarck ? Vous m'entendez ?
05:40 - Oui, je m'entends.
05:41 - Simplement, on l'a dit, d'ailleurs, avant-hier, ici, à l'émission,
05:45 et tout le monde l'a dit, vous avez vu que plusieurs Français au SMIC,
05:48 et même au RSA, se privent d'un repas par jour, aujourd'hui.
05:52 - C'est ça, le drame.
05:54 Il y a malheureusement des vols qui augmentent, effectivement, dans les supermarchés,
05:58 pour voler de la viande ou du poisson.
06:00 On a des antivols, maintenant, sur la viande et le poisson.
06:03 C'est pas la France, ça, quand même.
06:05 Attendez, la France, même si, effectivement, on s'est dégradé,
06:08 on reste la 7e puissance mondiale,
06:10 on a un problème, aujourd'hui, social et sociétal.
06:13 Alors, le drame, c'est que la France est aussi le pays
06:15 où il y a le plus de dépenses publiques au monde.
06:18 C'est presque 60 % de notre PIB.
06:21 Vous comprenez ? En deux ans, la dette publique française a augmenté de 583 milliards d'euros.
06:26 Et personne n'en parlait.
06:28 Et finalement, on ne voit pas où est cet argent.
06:31 C'est plein de problèmes.
06:32 - Où va l'argent ?
06:33 600 milliards d'euros, vous dites, en dépenses publiques, c'est incroyable.
06:38 - Les dépenses publiques, c'est 60 % de notre PIB.
06:41 Et en 2020-2022, la dette publique a augmenté de 583 milliards d'euros.
06:48 Nous sommes complètement folles, si vous voulez.
06:50 Et donc, le problème, c'est que cet argent n'a pas été là où il fallait.
06:53 Et d'ailleurs, si on vient sur DSK, c'était l'un des premiers, avec toute sa clique,
06:57 jusqu'à Mitterrand, il ne faut pas l'oublier,
06:59 à ouvrir la boîte de Pandore de la dette publique.
07:02 On disait "non mais ce n'est pas grave, tout va bien".
07:04 C'est vrai qu'en deux années 80, 90, on avait entre 20 et 40 % de dépenses publiques
07:09 et de dette publique.
07:10 Maintenant, on est à 120, 115 à 120 % de dette publique par rapport au PIB.
07:16 - Vous vous rappelez, Marc Twaty ?
07:18 - C'est extrêmement dangereux.
07:19 - Oui, Hollande disait "c'est pas cher, c'est l'État qui paye".
07:22 - Alors oui, mais c'est scandaleux de dire ça, parce que l'État c'est qui ?
07:25 L'État c'est nous, parce qu'encore une fois, pour avoir un tel niveau de dépenses publiques,
07:29 nous sommes aussi numéro 1 mondial en termes de dépenses,
07:33 en termes de pression fiscale, en termes d'imposition.
07:36 Les chiffres sont sortis il n'y a pas longtemps, l'année dernière,
07:39 les impôts prélevés par l'État français ont augmenté de plus de 7 %, vous vous rendez compte ?
07:44 Donc c'est ça le problème que nous avons aujourd'hui, c'est que la classe moyenne est ponctionnée,
07:49 on paie énormément d'impôts, et malheureusement, une partie de la classe moyenne est en train de s'appauvrir,
07:53 avec ce qu'on évoquait tout à l'heure, des personnes qui malheureusement n'ont pas de quoi terminer les fins de mois,
07:58 et c'est ça qui est extrêmement dangereux.
08:00 Et encore je dis ça, parce que moi je suis un enfant des cités HLM d'Orly,
08:04 donc c'est pas comme tous ces énarques ou autres qui ne savent pas ce que c'est les cités HLM,
08:08 ou autres qui font des grandes théories, ou comme DSK et d'autres.
08:11 - DSK aussi il était un enfant de... pas de grand bourgeois, enfin bon, je sais que vous ne l'aimez pas,
08:17 mais vous ne l'aimez pas. - Il est un peu impasseur, mais peu importe.
08:20 Le problème c'est qu'on a encore une fois, malheureusement, et c'est ça qui ne colle pas aujourd'hui en France,
08:25 c'est qu'on a une partie des dirigeants, pas tous, c'est une grande partie, malheureusement,
08:30 qui méprisent effectivement les Français, et c'est ça qui ne colle pas, au-delà de la réforme de la retraite.
08:35 Voyez donc aujourd'hui, c'est sûr qu'il faut essayer de recréer du lien social, du lien, et donc encore une fois,
08:41 j'ai évoqué tout à l'heure, on a laissé la situation "s'envenimer",
08:45 parce que c'est vrai que ce n'était pas forcément le moment de faire maintenant la réforme de la retraite,
08:49 surtout une réformette, parce qu'on est très très loin d'une réforme, et là je suis d'accord avec DSK,
08:55 on est très loin d'une réforme globale des retraites. Dans 5 ans vous verrez, on fera une nouvelle réforme des retraites,
09:00 parce qu'elle n'est pas financée cette réforme des retraites.
09:03 Donc c'est ça le drame, c'est que finalement on arrive à cette situation dramatique d'un point de vue social et sociétal,
09:09 alors que la question des retraites n'est toujours pas résolue.
09:12 C'est ça qui est extrêmement coûteux, extrêmement douloureux.
09:15 Donc il faut repenser complètement notre modèle, mais c'est vrai que nos dirigeants doivent prendre la main,
09:20 on doit recréer du lien social, parce qu'aujourd'hui qu'est-ce qui se passe ?
09:23 On le voit bien, ça fait le lit effectivement de LFI, etc., toutes ces parties-là qui ont aucun contrôle.
09:30 Le lit des extrêmes, absolument.
09:33 Bien sûr, le problème est que LFI, Mélenchon, tout ça, n'ont aucun programme économique.
09:38 Enfin, si, ils en ont un, mais on l'a déjà testé, ça s'appelait l'URSS, vous vous souvenez ?
09:43 On a vu que ça n'a pas marché.
09:45 Pas vraiment.
09:47 Donc c'est ça qui est le problème, c'est qu'à cause de cette situation,
09:51 on est en train de liguer les Français les uns contre les autres,
09:55 et c'est extrêmement dangereux.
09:57 J'ai beaucoup de clients à travers le monde qui m'appellent en me disant "mais qu'est-ce qui se passe en France ?"
10:02 Ils ne comprennent pas ce qui est en train de se passer.
10:05 Et d'ailleurs, d'un point de vue économique aujourd'hui, il faut savoir que les réservations touristiques sont en train de s'effondrer,
10:10 l'activité, je pense que le PIB va baisser certainement au premier trimestre ou au deuxième trimestre,
10:14 on l'aura cette fameuse récession, donc tout ça pour ça, encore une fois.
10:18 Mais Marc, je voudrais vous poser une question.
10:22 Vous disiez "on laisse intervenir les choses, effectivement, et on se trouve dans une situation très préoccupante",
10:27 mais tout se passe comme si, je ne veux pas leur faire des procès d'intention,
10:31 mais tout se passe comme si les presses qui nous gouvernent, non seulement laissent intervenir,
10:35 mais on dirait qu'ils disent "allons jusqu'au bout du chaos", je ne sais pas, on ne comprend pas là.
10:40 Ah oui, non, mais moi je l'ai dit à certains, j'ai même dit dernièrement à Bruno Le Maire,
10:45 on a effectivement ce problème sociétal, il faut faire attention quand même,
10:49 c'est-à-dire qu'on a aujourd'hui une économie française qui, normalement, encore une fois,
10:53 nous sommes la 7e puissance mondiale, on a 32% de notre PIB de dépenses sociales,
10:58 donc on devrait être un pays justement où nous serions heureux,
11:02 où il ne devrait pas y avoir tous ces drames sociaux,
11:05 donc c'est bien qu'il y ait un problème entre les impôts que nous payons,
11:08 la dépense publique qui est énorme, et puis à la fin, un malaise social qui est énorme également.
11:13 Et c'est sûr qu'on a aussi un problème fondamental de culture économique,
11:17 c'est-à-dire qu'évidemment, comme on n'a pas de culture économique,
11:20 on a une culture de lutte des classes, donc la moindre contrariété, hop,
11:24 ça génère effectivement cette confrontation incroyable,
11:27 et c'est là où les dirigeants ne sont pas à l'aume de l'importance des dangers,
11:31 ils ne sont pas assez proches de la population.
11:34 On n'est pas dans la théorie, on n'est pas dans des équations là.
11:37 Ils devraient faire de la pédagogie, oui, pour eux-mêmes d'abord et pour nous ensuite.
11:41 La pédagogie surtout, je pense, comme on dit, du liant,
11:44 aujourd'hui, il nous faut des dirigeants affables,
11:47 qui soient proches des gens, pas des gens méprisants, comprenez ?
11:51 Et le pire, c'est que pendant le coronavirus,
11:53 on a lâché, comme je vous l'ai dit tout à l'heure, des milliards,
11:55 et on nous a enfermés, etc., abusivement, disons-le.
11:58 Aujourd'hui, on paie tout ça, on paie tout ça.
12:01 C'est ce qui fait que malheureusement, si demain, on le voit, il y a une nouvelle crise,
12:05 comment on fait pour relancer la machine ?
12:07 Parce qu'on n'a plus de cartouches, on a déjà tout dépensé, et attention...
12:11 — Donc en fait, juste, Marc Twaty, vous l'avez bien dit,
12:14 mais au fond, cette décision, quelle qu'elle soit,
12:17 cette décision du Conseil constitutionnel, en fin d'après-midi, aujourd'hui,
12:20 ne changera pas grand-chose, en fait, quelle que soit la décision du Conseil.
12:25 — Le problème, c'est que moi, la question que je me pose, c'est que maintenant,
12:28 quoi qu'il arrive, finalement, quoi qu'il en coûte, si vous voulez,
12:31 comment le président va diriger le pays encore pendant 4 ans ?
12:34 — Oui.
12:35 — Alors soit il fait un "mais à coup de pain incroyable",
12:38 et il arrive à réconcilier tout le monde par un coup de baguette magique,
12:41 peut-être il faut mettre David Copperfield comme Premier ministre, je sais pas,
12:45 il fera un coup de baguette magique, soit, effectivement,
12:48 ça va être peut-être très compliqué de recréer de la stabilité sociale...
12:52 — Et de la confiance. Et de la confiance. Eh oui. Merci beaucoup.
12:56 — ...un peu de confiance des ménages, et quasiment sur des plus bas historiques.
13:00 — Tout à fait.
13:01 — Donc on a bien un peu de problème de confiance qui est là, les Français,
13:04 pour s'inquiéter sur l'avenir.
13:06 — Merci beaucoup, Marc Twaty. Merci de vos éclaircissements.
13:09 On attend, et je ne sais pas s'il y aura grand-chose après à dire ou à faire. On le verra.

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