Inside the Presidency_of April 18, 2023 on CRTV

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00:00:46 *Musique*
00:01:13 Bonjour, le Parlement de Cameroun a pris sa troisième coupe, c'est à dire qu'il a commencé la troisième période législative.
00:01:24 Qu'est-ce que nous allons voir dans cette institution stratégique dans la présidentie de l'Assemblée nationale ?
00:01:30 Je vais recevoir comme invité un sénateur français, un rôleur traditionnel, Ekoko Mukete IV, le rôleur paramount du Bafo en Kumba.
00:01:41 Mesdames et Messieurs, c'est l'inspecteur de la présidence et je suis votre humble servant, Ashu Nyenti Nyaunde.
00:01:50 Prenez un verre d'eau, détendez-vous, détendez-vous et je reviendrai tout de suite.
00:01:55 *Musique*
00:02:05 Avant de présenter notre invité, regardons dans cette édition la nature rationnelle et stratégique de la main d'un partenariat que le président Paul Biya a étendu à la République de Turquie en suivant une catastrophe dévastatrice qui a affaibli ce pays récemment.
00:02:23 *Musique*
00:02:34 Le président de ce pays a envoyé son ministre de l'administration territoriale, Paul Atanganji, à Ankara, en République de Turquie, pour aider à éliminer les morts de la population de ce pays.
00:02:46 Cette initiative salutaire suit une catastrophe dévastatrice, six semaines plus tôt, qui a affaibli la Turquie, causant la perte de vie et le dégât matériel extensif.
00:02:57 Pour soutenir les efforts de reconstruction, Paul Biya a offert de l'aide financière, en forme de chèque, pour le remboursement de 1 million de dollars, l'équivalent de environ 602 millions de francs.
00:03:11 Ce geste a envoyé des entrepreneurs de conspiration et de polémique à l'étranger, en se demandant pourquoi le Cameroun, qu'ils considèrent comme un pays pauvre, devrait extendre une telle main d'un partenariat à la Turquie.
00:03:25 Vraiment? Qu'est-ce qui peut être plus honnête que d'aider un autre pays dans son temps de besoin?
00:03:31 Le Cameroun ne peut pas avoir les ressources financières de la Turquie, mais ce geste est au cœur de l'existence humaine.
00:03:39 Il ne faut pas avoir de l'exercice avant de pouvoir aider quelqu'un. C'est une leçon qu'il faut apprendre, même à nos enfants.
00:03:45 Depuis le désastre de la gorge de la Nios en 1986, et de similaires catastrophes qui ont affaibli le Cameroun, ce pays a bénéficié des largesurs de ses amis sur la scène internationale.
00:03:57 En mai 2020, le gouvernement de la Turquie a été utile, avec des ressources médicales massives, lorsque le Cameroun a été frappé par la pandémie de la COVID-19.
00:04:08 C'est le couteau d'une bonne tournée qui mérite une autre.
00:04:12 La générosité n'est pas un trafic unilatéral. Même les riches parfois ont besoin d'aide des pauvres, même s'ils ne peuvent pas demander.
00:04:20 Un ancien homme étudiant a dit que la politique n'est pas une politique de "tu me frappes mon dos, je te frappe le mien".
00:04:27 Cette philosophie peut aussi être exténdue à l'international.
00:04:31 Même le livre de Dieu dit que c'est plus glorieux de donner que de recevoir.
00:04:35 Ce n'est pas la première fois que le Cameroun a montré une telle gentillesse en Afrique.
00:04:40 En 2010, le gouvernement du Cameroun a aidé la Haïti, lorsque ce pays a été frappé par une catastrophe similaire à la pandémie.
00:04:49 Le Cameroun n'a pas de pauvres et on l'apologie pour le fait qu'il y a un ami qui a souvent été là quand le Cameroun a besoin de lui le plus.
00:04:56 Sur cette mission pour la Turquie, le ministre Paul Atanganji a présenté les condoléances du chef d'État
00:05:01 et a exprimé la compassion des gens camerooniens vers la Turquie.
00:05:05 C'est un testament à la amitié et la solidarité entre les deux pays.
00:05:10 Il démontre l'importance de la solidarité internationale face aux catastrophes naturelles.
00:05:16 Sur cette action, le président Paul Biya a fait son discours.
00:05:20 Le 9 janvier 2015, il a fait le cas pour la solidarité internationale, pour se tenir à la menace globale.
00:05:28 A la fois en décembre dernier, lors d'une visite aux États-Unis,
00:05:33 Paul Biya a encore été le vanguard de la solidarité internationale pour aider l'Afrique.
00:05:39 Si le monde doit se tenir en solidarité avec l'Afrique, pourquoi ne pas l'Afrique être une partie de cette chaîne de solidarité
00:05:45 qui apporte des sourires au monde, en donnant une main à la Turquie,
00:05:50 c'est ce que Paul Biya et Cameroon ont fait.
00:05:55 Le 4 juin 2015, le président de la Turquie a été le vanguard de la solidarité internationale.
00:06:02 Merci beaucoup, votre Majesté,
00:06:06 le 4ème éco-coop, le parlementaire de la Bafour,
00:06:12 et bien sûr, le nouveau sénateur.
00:06:16 C'est un plaisir de vous avoir au programme aujourd'hui.
00:06:18 Merci, Docteur Nensi.
00:06:20 Je vous vois dans tous vos paraphernalia ou accoutrements de sénateurs.
00:06:25 Il devrait être agréable dans cet attirement.
00:06:27 C'est agréable d'en avoir.
00:06:30 C'est difficile de décrire le sentiment, mais je vous assure que c'est agréable.
00:06:35 Comment a-t-il l'air, le samedi, quand vous avez tout ceci sur vous ?
00:06:42 Un peu de normalité, car vous savez que c'est en train de se passer,
00:06:49 mais quand ça se passe, vous vous sentez normal.
00:06:52 Et puis, tout d'un coup, vous vous sentez en charge.
00:06:59 Vous avez toute cette responsabilité.
00:07:02 Et puis, la façon dont les gens commencent à réagir à vous.
00:07:05 Chaque fois que vous rencontrez quelqu'un et que vous réagissez,
00:07:08 vous réalisez que c'est un nouveau jour, essentiellement.
00:07:11 Imaginez que vous avez conduit avec votre voiture,
00:07:15 et que vous avez vu une autre dimension des attaques de pouvoir.
00:07:19 C'est vraiment merveilleux.
00:07:22 J'espère pouvoir le gérer très bien.
00:07:26 J'essaie de me dire que je suis humble,
00:07:32 et que je garde les liens.
00:07:37 Mais c'est agréable d'avoir la voiture de couture devant votre voiture,
00:07:40 et que personne ne l'arrête.
00:07:43 C'est un sentiment merveilleux.
00:07:45 C'était juste un coup de poing pour faire bouger la balle.
00:07:48 C'est un coup de poing pour nous permettre de prendre notre première pause dans le programme.
00:07:51 Pour voir comment ces nouveaux sénateurs,
00:07:54 le samedi, bien sûr, ont été envoyés à la paraphénée de leur nouveau bureau.
00:08:02 Qu'en pensent-ils de leur nouvel rôle ?
00:08:06 Vous avez suivi certains d'entre eux.
00:08:08 La femme-servante, Sidonie Jopmanthie.
00:08:12 Le sénateur de la division de l'Ouest du Nord,
00:08:14 professeure Nnebando Siri Bridget,
00:08:16 a annoncé qu'elle allait ajouter des impetus
00:08:18 à la promotion de l'empowerment des femmes.
00:08:21 Dieu m'a donné une autre opportunité
00:08:24 grâce au président de notre grande parlementaire nationale,
00:08:28 le président de l'Université d'Ottawa,
00:08:30 qui m'a donné l'opportunité de faire partie de son équipe.
00:08:33 Je suis heureuse de pouvoir faire partie de cette équipe.
00:08:36 J'ai eu l'occasion, grâce au président de notre grande parlementaire nationale,
00:08:42 son excellence la présidente Paul Beah,
00:08:45 de servir la nation cameroonienne.
00:08:47 Je viens du ministère des femmes, de l'empowerment et de la famille.
00:08:50 Je suis vraiment excitée et j'attends de me mettre les mains là-dessus
00:08:55 avec ces autorités régionales ou locales,
00:08:57 pour voir si le mainstream du genre
00:09:01 est considéré dans leurs programmes et stratégies.
00:09:07 Fon Mukete Ekoko est une élite politique de la division Meme,
00:09:12 chef traditionnel de Kumba et rôleur paramon de la tribu Bafor,
00:09:17 qui a aussi des positions d'entreprise extérieures en Cameroun.
00:09:21 Elle est l'une des nouvelles faces du Sénat pour cette troisième législature.
00:09:26 Elle est aussi l'une des nouvelles électées au Sénat du CPDM.
00:09:30 Hilda Fontama Aluma est la portée d'un diplôme de bachelor
00:09:34 en sciences d'éducation depuis 2020.
00:09:37 Apportée en tant que directrice du Centre d'empowerment des femmes à Belo,
00:09:41 dans la division Boyo en 2017,
00:09:44 la native de la région nord-ouest vient au Sénat
00:09:48 avec beaucoup de compétence dans son domaine.
00:09:50 Je suis reconnue par le gouvernement comme une sénatrice,
00:09:54 donc je suis vraiment heureuse, étonnée et reconnaissante de Dieu
00:09:58 pour m'avoir donné l'opportunité de participer au Nation Building.
00:10:01 Je vais travailler avec le Conseil régional,
00:10:04 je vais travailler avec mes maires
00:10:07 pour que l'éducation des filles et enfants soit améliorée,
00:10:11 l'éducation des enfants soit améliorée,
00:10:14 la santé soit améliorée pour le développement de ma communauté.
00:10:18 Un docteur en ingénie électronique,
00:10:21 il est l'un des plus jeunes membres du Sénat.
00:10:24 Le Dr Kubenge Sekedi, qui a étudié pendant 12 ans au China,
00:10:29 a comme priorité les jeunes de son quartier.
00:10:33 Je trouve ce nouveau rôle dans ma vie très excitant,
00:10:39 mais en même temps je sais que c'est très délicat.
00:10:43 Mon emphasis va être sur les jeunes,
00:10:45 et je sais que les jeunes ont beaucoup de passion,
00:10:48 beaucoup de désirs, beaucoup d'idées qui peuvent vraiment aider le pays.
00:10:52 Travailler avec les conseils, les conseils municipaux et les conseils régionals,
00:10:56 pour représenter l'intérêt des jeunes.
00:10:59 Parce que si les jeunes sont bien soignés,
00:11:02 le pays va vraiment prospérer.
00:11:04 Et j'espère vraiment que mes liens et mes connaissances avec les Chinois
00:11:09 seront vraiment utiles,
00:11:11 pour le Sénat et pour la communauté de Cameroun.
00:11:15 Ex-MP, expert en défense stratégique,
00:11:18 honorable Francis Nguyen Abbe,
00:11:21 natif de la subdivision Woudicombe,
00:11:24 le Sénat électoral pour Momo
00:11:26 se prépare à de nouveaux défis.
00:11:29 Je suis privilégié d'avoir été choisi par le leader de notre parti,
00:11:34 son Excellency le Président Paul Bia,
00:11:36 pour venir ici travailler,
00:11:38 surtout avec les structures décentralisées.
00:11:42 Les conseils régionales et les conseils locaux,
00:11:46 pour leur développement,
00:11:48 c'est une des choses principales que j'aime,
00:11:50 que je m'admire,
00:11:51 et je pense que j'ai beaucoup d'expérience dans cela.
00:11:53 Je vais essayer de l'impliquer dans ma propre division d'origine,
00:12:01 en travaillant avec les maires,
00:12:04 pour identifier les projets,
00:12:05 que je connais déjà,
00:12:06 car je connais toute ma division,
00:12:07 je sais ce qui est nécessaire de toute façon,
00:12:09 mais je vais travailler avec les maires,
00:12:11 pour voir comment nous pouvons construire des projets
00:12:13 qui correspondent à ce qu'ils sont supposés être.
00:12:15 Ils sont tous de nouveaux faces du Sénat,
00:12:18 qui ont hâte de mettre en place de nouvelles expériences
00:12:21 pendant la période de législation du Sénat,
00:12:23 à l'Assemblée nationale du Parlement.
00:12:26 Mme Sneto, vous êtes l'un des 30,
00:12:40 je l'ai appelé sur le site,
00:12:44 les 30 Glorieux,
00:12:46 vous êtes l'un d'entre eux,
00:12:48 qui a été appris par le Président.
00:12:50 Comment avez-vous...
00:12:52 Comment a-t-il l'impression d'être appris par le Président de la Sénat?
00:12:57 Oh, c'est...
00:12:59 Quelle gratitude!
00:13:00 Vous savez, j'ai toujours dit...
00:13:03 Ce n'est pas comme si vous saviez que vous l'aviez.
00:13:07 C'est confidentiel,
00:13:09 vous ne connaissez pas les critères complètement.
00:13:11 Vous n'êtes pas consulté?
00:13:13 Non, vous n'êtes pas consulté.
00:13:15 Donc, vous avez l'air comme tout le monde d'autre.
00:13:17 Il s'annonce et...
00:13:19 Wow!
00:13:20 C'est arrivé.
00:13:21 Et c'est...
00:13:23 Bien sûr, je suis un homme de foi,
00:13:25 et je dis toujours,
00:13:27 évidemment,
00:13:28 le Dieu de Dieu doit avoir touché
00:13:30 la tête et le cœur du Président
00:13:32 pour choisir...
00:13:34 Le commandement!
00:13:35 Oui, et c'était le pensée,
00:13:37 et puis la rationalisation de cela,
00:13:39 et...
00:13:41 30 des milliers de gens éligibles,
00:13:45 vous pouvez imaginer
00:13:47 combien c'est difficile.
00:13:48 C'est presque comme...
00:13:50 Tu sais,
00:13:51 tu te mets un ballon dans un stade de football,
00:13:53 et le ballon vient à toi.
00:13:55 C'est comme...
00:13:56 Vous savez, c'est juste...
00:13:58 un favoris et un honneur,
00:14:00 ce qui, franchement,
00:14:01 doit être vraiment apprécié
00:14:04 par le Président de l'État pour cela.
00:14:06 Et bien sûr,
00:14:07 être totalement fidèle à lui
00:14:09 pour ce cadeau.
00:14:10 Je suis venu, vous savez,
00:14:12 à la santé de mon père pendant assez longtemps,
00:14:14 et j'ai eu cette sensation de loyauté,
00:14:16 et ainsi de suite.
00:14:17 Et ça, ça vient à moi,
00:14:19 cette continuation,
00:14:20 dans ce sens.
00:14:21 Je suis tellement heureux
00:14:23 pour le Président de l'État
00:14:25 pour ce grand honneur.
00:14:26 Et je pense que mes gens, aussi,
00:14:28 au Kumba et dans la tribu de Bafo,
00:14:30 sont vraiment fiers de ce cadeau.
00:14:32 C'est une merveilleuse,
00:14:34 merveilleuse distinction.
00:14:36 Vous ne le considérez pas
00:14:38 comme un honneur?
00:14:39 Non, certainement pas.
00:14:41 Certainement pas.
00:14:42 Comme je l'ai dit, il y a d'autres gens,
00:14:44 en fait, dans d'autres zones,
00:14:46 qui sont les chefs de parlement.
00:14:48 Beaucoup sont choses,
00:14:49 peu sont choisies.
00:14:50 Absolument, absolument, absolument.
00:14:52 Et c'est juste,
00:14:54 je dirais, c'est de la grâce.
00:14:56 C'est juste de la grâce,
00:14:57 la grâce de Dieu
00:14:58 que le Président, vous savez,
00:15:00 a décidé de me donner
00:15:02 ce grand honneur.
00:15:04 Et je,
00:15:05 c'est une petite raison pour laquelle
00:15:07 je ne devrais jamais prendre ça pour gratuité.
00:15:09 Ce n'est pas seulement
00:15:10 pour le remercier,
00:15:11 c'est pour faire le travail
00:15:12 pour lequel il vous a appris.
00:15:14 Absolument.
00:15:15 C'est une performance.
00:15:16 Et c'est quelque chose
00:15:18 que je pense tout le temps,
00:15:20 en termes de valeur,
00:15:22 en termes de fonctionnement
00:15:24 pour la nation.
00:15:25 Et bien sûr, chaque chef veut
00:15:27 que les gens servent la nation,
00:15:31 le flaque d'abord,
00:15:32 et ensuite,
00:15:33 pour s'assurer que vous vous fassiez
00:15:35 en de telle manière
00:15:36 que le cabriolet
00:15:38 puisse obtenir le meilleur
00:15:40 de ce qui est disponible.
00:15:42 On va voir comment vous serez utile
00:15:44 sur ce point.
00:15:45 Mais vous êtes un rôleur traditionnel.
00:15:47 Que représente votre existence
00:15:49 comme un sénateur
00:15:51 pour l'institution traditionnelle,
00:15:53 de votre point de vue,
00:15:54 pour les gens de Kumba,
00:15:55 à large ?
00:15:56 Je pense que ça donne...
00:15:58 Il y a une certaine sensation
00:16:00 qu'il y a eu un vacuum.
00:16:02 Depuis que mon père est parti
00:16:04 au Parlement rural,
00:16:06 il m'a envoyé un dossier
00:16:08 et il m'a envoyé le dossier.
00:16:10 Il avait tous ces offices politiques
00:16:12 et l'accueil,
00:16:13 qui sont liés à ça.
00:16:14 Donc, j'ai trouvé moi-même
00:16:16 en me passant dans le chemin
00:16:18 un véhicule énorme à conduire,
00:16:20 mais sans toutes les roues,
00:16:22 les leviers,
00:16:23 et tout ça.
00:16:24 C'était presque comme voler un avion,
00:16:26 avec juste le moteur,
00:16:28 sans avoir les flèches
00:16:30 pour vous guider.
00:16:31 Oui, c'était agréable d'avoir ça,
00:16:33 d'avoir l'autorité traditionnelle,
00:16:35 et le nom.
00:16:36 Mais avoir ce pouvoir
00:16:38 d'un sénateur a donné à moi
00:16:40 une certaine capacité,
00:16:42 et aussi un certain
00:16:44 léverage politique,
00:16:46 en termes de me rendre
00:16:48 au travail.
00:16:50 C'est un domaine
00:16:52 assez compliqué,
00:16:54 assez vaste,
00:16:56 assez compliqué,
00:16:58 en plusieurs façons.
00:17:00 Et ça demande
00:17:02 une paire de mains sèches,
00:17:04 une paire de mains sèches
00:17:06 d'autorité traditionnelle,
00:17:08 et tout ça,
00:17:10 pour servir les gens
00:17:12 de la meilleure façon,
00:17:14 à mon avis.
00:17:16 Vous êtes un tajnarola,
00:17:18 et maintenant,
00:17:20 vous avez ajouté un cap politique.
00:17:22 C'est compliqué, n'est-ce pas?
00:17:24 C'est compliqué, mais dans un contexte africain,
00:17:26 c'est bien.
00:17:28 Vous naviguez par les eaux
00:17:30 de la politique et de la tradition?
00:17:32 Nous sommes un peu des gens fidèles.
00:17:34 Ils sont complémentaires?
00:17:36 À mon avis, ils sont complémentaires.
00:17:38 Les gens veulent être guéris,
00:17:40 les gens veulent sentir
00:17:42 que celui qui les guide
00:17:44 a de l'autorité.
00:17:46 Et si cette autorité
00:17:48 est... vous pensez à la séparation
00:17:50 du passé, en termes
00:17:52 démocratiques standard,
00:17:54 mais dans un contexte africain,
00:17:56 il faut être réel.
00:17:58 Les gens me disent,
00:18:00 si vous êtes un parti,
00:18:02 ça ne vous rend pas indépendant
00:18:04 de tout le reste.
00:18:06 Mais dans un contexte africain,
00:18:08 je pense plus aux gens,
00:18:10 à la développement de Kumba
00:18:12 et de leur environnement.
00:18:14 Je me demande ce qui est le mieux
00:18:16 pour mes gens.
00:18:18 Ce qui est le mieux pour mes gens,
00:18:20 c'est d'être dans une situation
00:18:22 d'autorité, où vos recommandations
00:18:24 peuvent être acceptées par le gouvernement
00:18:26 et les partis en leur place.
00:18:28 Si vous êtes dans un contexte africain,
00:18:30 vos gens sont gardés dans le fringois.
00:18:32 Si vous êtes gardés dans le fringois,
00:18:34 votre ville est gardée dans le fringois.
00:18:36 C'est la réalité.
00:18:38 C'est tout à fait pour donner aux gens
00:18:40 le meilleur, pour avoir plus de voies,
00:18:42 de facilités, de soins de santé.
00:18:44 Finalement, nous voulons tous
00:18:46 avoir un meilleur style de vie
00:18:48 et un leader qui fait tout ce qui est possible
00:18:50 pour offrir un environnement
00:18:52 qui nous permet de vivre un meilleur style de vie.
00:18:54 Nous nous y ajoutons,
00:18:56 pour que les gens puissent avoir le meilleur.
00:18:58 Nous allons prendre un autre passage.
00:19:00 Je vais prendre un de vos documents.
00:19:02 Cela s'est cassé.
00:19:04 Juste pour dire que
00:19:06 le Sénat est une institution
00:19:08 qui a été mise en place
00:19:10 dans la Constitution de 18 janvier 1996.
00:19:12 Maintenant,
00:19:14 en 2013,
00:19:16 le président Paul Beale
00:19:18 a implementé
00:19:20 cette portion de la Constitution.
00:19:22 Le Sénat est donc devenu.
00:19:24 Quelle était l'idée?
00:19:26 Quel genre de Sénat a-t-il
00:19:28 en tête le président Paul Beale
00:19:30 quand il a mis en place
00:19:32 le Sénat en 2013?
00:19:34 Je pose cette question à vous,
00:19:36 le personnel de l'équipe, Charles Ebuné.
00:19:38 Une construction de ces pays
00:19:52 mutant l'état institutionnel
00:19:54 pour une démocratie
00:19:56 solidifiée et enregistrée.
00:19:58 Le Sénat est une matérialisation
00:20:00 de ce genre d'aspiration.
00:20:02 Le Sénat est une institution
00:20:04 qui a été mis en place
00:20:06 par la Constitution
00:20:08 du 18 janvier 1996.
00:20:10 La troisième partie de la Constitution
00:20:12 permet que le Sénat représente
00:20:14 les autorités régionales et locales.
00:20:16 Depuis 2014,
00:20:18 le Sénat a travaillé
00:20:20 pour atteindre ce but.
00:20:22 L'idée de la construction du Sénat
00:20:24 a été d'abord de construire
00:20:26 un établissement de loi
00:20:28 sans émotions
00:20:30 dans un monde plein d'affinités.
00:20:32 L'intention du président
00:20:34 n'est pas seulement de se conformer
00:20:36 à la Constitution du pays,
00:20:38 notre loi commune,
00:20:40 mais également d'accompagner
00:20:42 la maturation des lois
00:20:44 en Cameroun.
00:20:46 Le rôle du Sénat
00:20:48 est de prévenir les lois irresponsables
00:20:50 de se passer.
00:20:52 Cela explique pourquoi,
00:20:54 malgré le fait que le Sénat
00:20:56 a été dominé par le Parti en Pouvoir,
00:20:58 le mouvement démocratique des Cameroun,
00:21:00 et malgré le fait
00:21:02 qu'il a déjà été passé
00:21:04 à l'Assemblée nationale,
00:21:06 le Sénat a rejeté le bilan
00:21:08 de l'autorisation parlementaire
00:21:10 pour les membres du cabinet
00:21:12 en 2016.
00:21:14 Le Sénat a un rôle stratégique.
00:21:16 Ils sont bien sûr un arme très puissante
00:21:18 de la législature.
00:21:20 Ils font des vérifications
00:21:22 et des balances
00:21:24 vers la Chambre des communes
00:21:26 dans le cas du Royaume-Uni,
00:21:28 mais ici,
00:21:30 le Parlement national
00:21:32 doit être celui
00:21:34 qui scrutinise.
00:21:36 Comme je l'ai mentionné,
00:21:38 il faut s'assurer
00:21:40 que toutes les lois
00:21:42 qui viennent du Parlement
00:21:44 ont la légitimité
00:21:46 des citoyens.
00:21:48 Ces lois ont fait
00:21:50 de l'avance aux pays.
00:21:52 Selon le président,
00:21:54 le Sénat doit donner
00:21:56 de la réalité
00:21:58 aux besoins
00:22:00 d'autorités régionales
00:22:02 et d'autres
00:22:04 membres décentralisés
00:22:06 pour vraiment faire
00:22:08 Cameroun un pays
00:22:10 unitaire décentralisé.
00:22:12 Il faut être
00:22:14 un pays
00:22:16 avec des individus
00:22:18 très expérimentés
00:22:20 et vibrants
00:22:22 qui font l'avance
00:22:24 au pays.
00:22:26 Mais le plus important,
00:22:28 c'est que les Sénats
00:22:30 doivent être neutres.
00:22:32 Le patriotisme
00:22:34 pour le bien du pays
00:22:36 doit être au top
00:22:38 de leur agenda.
00:22:40 Quand on parle du Sénat,
00:22:42 on parle du progrès.
00:22:44 Le Sénat cameroonien,
00:22:46 dans le sens de Paul Beer,
00:22:48 doit être une réflexion
00:22:50 des traditions et les traditions
00:22:52 du Cameroun d'hier,
00:22:54 aujourd'hui et demain,
00:22:56 pas une photocopie
00:22:58 d'expériences étrangères.
00:23:00 La histoire du Cameroun
00:23:02 est complexe.
00:23:04 Comme dans de nombreux pays africains,
00:23:06 on voit la présence
00:23:08 des autorités traditionnelles
00:23:10 et modernes.
00:23:12 Les institutions comme le Sénat
00:23:14 donnent un interplay
00:23:16 subtil entre les relations
00:23:18 entre les institutions traditionnelles
00:23:20 et les institutions formelles.
00:23:22 Ce n'est pas parce que le Sénat
00:23:24 est proposé
00:23:26 comme une partie d'une ou d'autre,
00:23:28 mais parce que le profil
00:23:30 des sénateurs
00:23:32 offre plus de place
00:23:34 pour certaines discussions
00:23:36 qui peuvent être incorporées
00:23:38 dans les aspects culturels
00:23:40 et historiques
00:23:42 que les citoyens anciens
00:23:44 sont les gardiens.
00:23:46 Composé de 100 membres,
00:23:48 70 électés
00:23:50 et 30 apportés,
00:23:52 chaque pays a 10 régions
00:23:54 et 10 sénateurs.
00:23:56 Le Parlement supérieur
00:23:58 est une entité légale
00:24:00 capable de construire une société de valeurs,
00:24:02 surtout pour le développement
00:24:04 des autorités décentralisées,
00:24:06 qui est le sœur
00:24:08 de leur existence.
00:24:10 Le Parlement supérieur
00:24:12 a un mandat très spécifique.
00:24:14 Comme je l'ai mentionné,
00:24:16 ce mandat est pour
00:24:18 assurer la scrutinisation
00:24:20 des lois
00:24:22 qui viennent du Parlement.
00:24:24 C'est leur rôle principal.
00:24:26 Ils doivent pouvoir
00:24:28 overseer les activités
00:24:30 de la législature.
00:24:32 Le rôle principal du Sénat
00:24:34 est de s'assurer que ces lois
00:24:36 qui viennent sont bien écoutées.
00:24:38 Ce qui est intéressant
00:24:40 est la diversité des membres
00:24:42 que le Sénat a.
00:24:44 La multiplicité de la diversité
00:24:46 de la composition sénatoriale
00:24:48 en termes de gendre,
00:24:50 de la participation des partis politiques,
00:24:52 des backgrounds divers
00:24:54 pour les hommes dans le corps
00:24:56 s'applique à la qualité du travail
00:24:58 que fait le Sénat.
00:25:00 C'est là où le Sénat,
00:25:02 dans une deuxième réunion,
00:25:04 dans une situation plus épuisée,
00:25:06 peut regarder les lois
00:25:08 qui sont passées par le Parlement
00:25:10 de la Loi sur la maturité
00:25:12 et évaluer les possibilités
00:25:14 de ces lois
00:25:16 et voir les implications
00:25:18 pour les autorités
00:25:20 locales et régionales.
00:25:22 Le Sénat est endowé
00:25:24 avec la responsabilité
00:25:26 de représenter
00:25:28 les autorités locales et régionales
00:25:30 alors que la Réunion nationale
00:25:32 est en charge de représenter
00:25:34 les citoyens du pays en général.
00:25:36 Comme pour toute structure caméronienne,
00:25:38 la principale défaite du Sénat
00:25:40 est la coûte aux payants
00:25:42 qui ne voient pas la valeur
00:25:44 qu'elle a, la valeur.
00:25:46 Les rôles qu'ils jouent dans les communautés,
00:25:48 le grand savoir qu'ils apportent,
00:25:50 c'est un type de mécanisme
00:25:52 de filtration
00:25:54 ou de structure
00:25:56 du gouvernement en termes de loi.
00:25:58 Ils sont là pour s'assurer
00:26:00 que tout ce qui est fait,
00:26:02 qui est fait dans les lois
00:26:04 de la maison inférieure,
00:26:06 est fait dans la maison supérieure.
00:26:08 Personne ne devrait avoir
00:26:10 l'absolue puissance de faire des lois
00:26:12 sans avoir des règles
00:26:14 et des balances pour les gens
00:26:16 qui peuvent faire ces règles et ces balances.
00:26:18 C'est le rôle le plus important
00:26:20 que les caméroniens,
00:26:22 que le président attendent
00:26:24 pour le Sénat,
00:26:26 et qu'il leur demande
00:26:28 de le faire en fonction
00:26:30 de la situation.
00:26:32 La partie qui doit jouer
00:26:34 dans l'architecture démocratique
00:26:36 est de balancer les intérêts
00:26:38 des individus contre les intérêts
00:26:40 des communautés et des autorités
00:26:42 locales, des autorités régionales,
00:26:44 qui sont comprises
00:26:46 comme des entités
00:26:48 dans l'architecture démocratique.
00:26:50 Donc, la Constitution
00:26:52 et les lois du pays considèrent
00:26:54 que les autorités régionales
00:26:56 et les corps sont un peu comme les individus
00:26:58 qui doivent être représentés.
00:27:00 Cela signifie que les intérêts des citoyens
00:27:02 caméroniens doivent être balancés
00:27:04 contre les intérêts des individus
00:27:06 dans les yeux
00:27:08 de l'architecture politique.
00:27:10 C'est là que le Sénat
00:27:12 est particulièrement utile.
00:27:14 Dix ans plus tard,
00:27:16 le Sénat reste clairement
00:27:18 dans le débat public pour les caméroniens.
00:27:20 Démocratiquement,
00:27:22 c'est assez.
00:27:24 [Musique]
00:27:26 [Musique]
00:27:28 [Musique]
00:27:30 [Musique]
00:27:32 [Musique]
00:27:34 Vous avez mentionné votre père plusieurs fois depuis le début de cette conversation. Avez-vous été à la portée de votre père, ou est-ce qu'il est resté à son mérite?
00:27:47 C'est un double-fingé, en un sens. Je crois que je suis arrivé à mon mérit, mais encore une fois, l'office que je garde comme paramount, comme le paramount de la Bafour et le chef de la Cumba, le chef de première classe, signifie beaucoup,
00:28:12 pour donner la raison pour laquelle j'ai été choisi. Et aussi, je dirais, un bon nom, un bon héritage, est si important. C'est beaucoup plus important que l'argent.
00:28:23 Et les gens doivent comprendre cela. L'un des plus grands héritages que vous pouvez recevoir est un bon nom. Et je pense que ce que mon père a laissé derrière ce héritage a un impact possible et me donne une plateforme sur laquelle arriver.
00:28:41 Je peux le détruire ou le construire pour le rendre plus grand. Et je crois que ce que j'espère faire, et j'espère que la perception, c'est que j'ai ajouté à ce value, et que j'ai pris la décision et que je le garde dans un plus positif.
00:28:58 Mais, bien sûr, je ne suis pas lui. Je suis différent. Dans un sens, j'ai mes propres façons de faire certaines choses. Et c'est mon propre caractère, mon propre moyen de le faire et mon propre portefeuille.
00:29:10 Vous savez bien sûr d'où je viens en termes de business, en termes de mon background, en termes de tous les vêtements que je porte. Cela compte en termes de la diversité que j'ai.
00:29:25 Et bien sûr, c'est une opinion diverse, mais je veux croire que le président de l'État a pensé que je pouvais utiliser cela.
00:29:32 - Vous avez mentionné que vous venez du monde du business. En fait, vous êtes un individu multifacété. Qu'est-ce que vous apportez au Sénat ?
00:29:43 - Bien, comme vous pouvez le voir...
00:29:47 - Qu'est-ce que vous pouvez offrir au Sénat de Cameroun ?
00:29:49 - Je pense qu'il y a beaucoup de pensées latérales. Bien sûr, j'ai un background... Je suis le président d'une banque panafricaine ici à Cameroun.
00:30:08 J'ai été président de l'UBA pendant 13 ans. Et quand j'ai retiré de la banque, après un an, je suis apporté à l'UBA en Congo.
00:30:22 Donc, être président d'une banque dans un autre pays, il doit y avoir un certain valeur.
00:30:28 Je suis le vice-président de l'UBA à Sainte-Croft. C'est une position électorale, que j'ai portée depuis plus de 15 ans.
00:30:39 J'ai presque 4 mandats.
00:30:43 - Vous pensez que tout cela sera utile pour le Sénat de Cameroun ?
00:30:46 - Absolument. Si vous comprenez que l'UBA est en fait le moyen de construire un consensus pour le secteur privé de Cameroun,
00:30:55 et que moi, étant le premier vice-président, étant le plus électoral, je peux faire partie de ce consensus,
00:31:04 cela signifie que je peux apporter la sensation, l'impulse du secteur privé,
00:31:11 quand certains sujets concernant le secteur privé sont en train de se débattre.
00:31:16 Bien sûr, il y a beaucoup de businessmen, mais le visage général, le point de vue holistique,
00:31:24 peut être très utile pour le Sénat, pour comprendre comment la communauté de business
00:31:31 se sentait sur certains sujets, et aussi en termes de politique,
00:31:35 pour s'assurer que les politiques qui sont éventuellement écrites sont bien pensées,
00:31:42 et sont faites dans un environnement plus informatif.
00:31:46 Je pense que c'est aussi, en termes de... Il y a l'autre côté de l'honneur de être conseiller,
00:31:52 je ne suis pas un diplôme de carrière, contrairement à ce que les gens pensaient avant,
00:31:56 mais je suis un conseiller honnête, et j'ai accès à un autre pays,
00:32:01 qui est un pays très important, la République de la Turquie,
00:32:04 et cela me donne accès à pouvoir vendre un cas,
00:32:10 et aussi amener des investissements et le soutien que nous aurons besoin dans de nombreux domaines,
00:32:19 surtout dans nos communautés, dans une structure centralisée,
00:32:24 amener des investissements dans des domaines de développement.
00:32:28 Nous allons regarder ces aspects très bientôt dans le programme,
00:32:31 mais cela me permet de vous poser une question, car vous avez dit quelque chose.
00:32:34 Vous avez tous ces camps, différents backgrounds, vous avez dit.
00:32:39 Est-ce qu'il n'y avait pas une question d'incompatibilité entre tout cela,
00:32:43 et vous avez parlé de vous être un conseiller honnête pour la République de la Turquie,
00:32:49 et vous avez peut-être pensé avoir un passeport étranger, ou quelque chose comme ça.
00:32:54 Pouvez-vous nous en dire plus?
00:32:55 Oui, je suis heureux de le faire, car je garde un passeport caméronien.
00:33:00 Je suis 100% caméron national.
00:33:05 Je suis apparu par la République de la Turquie pour être un conseiller honnête en Cameroun,
00:33:11 et je vis à Douala.
00:33:13 Je ne suis pas payé par le gouvernement de Cameroun,
00:33:16 je suis apparu par le gouvernement de la Turquie,
00:33:19 et je ne suis pas payé par le gouvernement de la Turquie.
00:33:22 C'est un travail honnête, je ne suis pas un diplomate de carrière,
00:33:26 et il n'y a pas de conflit, il n'y en a vraiment pas.
00:33:30 Vous savez que beaucoup de travail honnête a été fait pour être apparu par le gouvernement de Cameroun.
00:33:37 Il faut comprendre que constitutionnellement, il n'y a pas de conflit d'intérêt.
00:33:45 Vous êtes aussi le vice-président de la Chambre des Commerces.
00:33:49 Certaines personnes me demandent, est-ce que c'est une incompatibilité avec la position du sénateur en Cameroun?
00:33:56 Non, parce que c'est seulement le président de la Chambre des Commerces qui est apparu par le président.
00:34:03 Je suis le premier vice-président, je garde la position la plus élective de la Chambre des Commerces,
00:34:09 et donc je ne suis pas élu à cette position, je ne suis pas payé le salaire par sans-défaut.
00:34:17 La personne qui est en fait sous le direct de la gouvernement de Cameroun,
00:34:24 c'est le président de la Chambre des Commerces qui est apparu, pas moi.
00:34:29 Donc il n'y a pas de conflit.
00:34:31 Vous avez certainement regardé le Sénat des Communes de loin.
00:34:34 Comment avez-vous trouvé cet institut, la deuxième Chambre des Commerces du Parlement?
00:34:42 Comment l'avez-vous trouvé?
00:34:44 Bien sûr, je n'ai pas été dans une situation typique.
00:34:50 Votre père vous aurait dit une chose ou deux.
00:34:52 Oui, bien sûr.
00:34:54 Quand il est allé nous voir pour la première fois, il y a eu beaucoup de finitions,
00:34:58 comme il s'est passé.
00:35:00 Il a fait deux mandats là-bas avant de nous quitter.
00:35:04 Mais en un sens, c'est un corps qui a finit son propre travail,
00:35:12 de la mise en place.
00:35:13 Je veux dire, à présent, le Sénat n'a pas encore son propre bâtiment,
00:35:17 vous pouvez l'imaginer, donc il se déplace.
00:35:21 Mais à présent, je crois que pendant ce mandat, c'est ma prière,
00:35:27 que pendant ce mandat, un Sénat, un bâtiment exclusif du Sénat des Communes,
00:35:33 soit construit.
00:35:34 C'est ma prière.
00:35:35 Et je pense, encore une fois, que cela signifie quelque chose qui sera souvenu
00:35:40 de ce troisième mandat.
00:35:42 Qu'ils soient en mesure de...
00:35:43 Le temps de la législation.
00:35:44 C'est ce qui me concerne.
00:35:45 Oui, le temps de la législation.
00:35:47 Oui, absolument.
00:35:49 En termes de son mouvement, en termes de la façon dont le Sénat s'est organisé,
00:35:55 vous pouvez voir que beaucoup de travail a été fait pour travailler
00:35:58 sous des circonstances très difficiles.
00:36:00 Je n'ai pas donné d'excuses, nous n'avons pas ça, nous n'avons pas un bâtiment,
00:36:04 nous continuons notre affaire.
00:36:06 Et je pense que c'est ce que tout le monde fait dans la vie.
00:36:09 Vous ne passez pas tout le temps à vous en douter de ce que vous n'avez pas.
00:36:13 Vous vous concentrez sur ce que vous avez et vous faites de votre mieux.
00:36:16 Et je pense que ce que le Sénat a pu faire, c'est impressionnant.
00:36:21 C'est quelque chose dont je suis très confiant,
00:36:24 que le Sénat ajoute de la valeur à la nation.
00:36:28 Il peut faire plus et il le fera.
00:36:31 C'est l'espoir de tout le monde que l'Upper House
00:36:36 fasse la règle pour laquelle il a été créé.
00:36:39 Je serai de retour.
00:36:41 Les Camarouniens comprennent-ils ce que le Sénat est?
00:36:44 Est-ce qu'il est devenu une partie de leur vocabulaire quotidien et de leurs conversations?
00:36:50 On va aller à la CRO-TV, à la région du sud,
00:36:53 et à la CRO-TV du sud, à Ebolua.
00:36:56 On va lire ce rapport de Claire Azé.
00:37:10 Beaucoup de Camarouniens du sud du Chiffre d'Aon ont des opinions politiques
00:37:15 concernant le Sénat, dont la législation a parlé la semaine dernière.
00:37:20 Le Sénat nous apporte le processus de décentralisation
00:37:26 instruit dans la Constitution du 18 janvier 1996,
00:37:32 qui empêche les autorités locales
00:37:39 d'avoir une certaine autonomie
00:37:44 dans le gouvernement des affaires publiques dans notre pays.
00:37:49 Je ne sais rien du Sénat,
00:37:52 car j'ai entendu par nom que les trois dernières législatures
00:37:57 n'ont pas eu de conséquences.
00:38:01 Mais si on veut que les gens se représentent,
00:38:05 ils sont là pour nous aider.
00:38:08 Ce que je peux dire concernant le Sénat de Camaroun et son rôle,
00:38:13 c'est qu'il joue un rôle important dans certaines décisions.
00:38:19 Avec les récentes législations,
00:38:26 je pense que les décisions que les gens prennent
00:38:31 sont pour le bien de la nation et du Sénat.
00:38:34 En plus de s'appeler le chambre supérieur du gouvernement,
00:38:38 qui est son rôle principal,
00:38:40 certains ont l'impression que le Sénat est expédié
00:38:43 pour représenter les autorités locales et régionales,
00:38:47 et que le Sénat doit faire face au processus de décentralisation.
00:38:50 Le Sénat a été constitué
00:38:53 pour accélérer le processus de décentralisation.
00:39:02 Il faut comprendre que le Sénat est là pour les gens,
00:39:07 car ils sont là pour défendre les gens
00:39:12 et pour les libérer.
00:39:16 On entend les cris des gens
00:39:19 depuis la dernière réunion du Sénat.
00:39:29 Je découvre que tout le monde a été engagé,
00:39:33 même les nouveaux apportés.
00:39:36 Il faut un seul but,
00:39:39 c'est d'améliorer le processus de décentralisation
00:39:44 pour que les gens de la ville et des régions
00:39:50 puissent ressentir l'impact du processus de décentralisation.
00:39:54 La population du sud du pays a suivi avec intérêt
00:39:58 le processus électoral,
00:40:00 de l'élection de la présidence du gouvernement
00:40:02 jusqu'à la proclamation du résultat
00:40:05 et l'appointement des 30 plus grands sénateurs.
00:40:08 Beaucoup ont hâte de voir un Sénat
00:40:10 qui a l'intérêt de la population de la région.
00:40:13 C'est une idée bienvenue
00:40:16 avec l'appointement du Sénat en Cameroun.
00:40:21 Mais la question est de fonctionner.
00:40:24 Comment fonctionne-t-elle ?
00:40:26 Est-ce qu'elle pourra répondre aux besoins
00:40:30 et aux exigences des Camerooniens ?
00:40:33 C'est la question.
00:40:36 Je veux dire que c'est une question de volonté politique,
00:40:41 car le Sénat est là pour nous poser des balances.
00:40:46 C'est-à-dire que ce transfert de pouvoirs
00:40:50 ou de compétences aux autorités locales,
00:40:53 que ce soit locales ou régionales,
00:40:55 doit être transféré
00:40:57 pour que ces communautés locales
00:41:01 puissent gérer leurs affaires.
00:41:03 Par exemple, les conseils,
00:41:05 il y a certaines compétences
00:41:08 que les maires ne peuvent pas...
00:41:11 Je pense que le Sénat doit pouvoir s'y prendre,
00:41:16 gérer les projets,
00:41:18 les projets de développement
00:41:20 dans ces localités sans attendre le gouvernement.
00:41:24 Je pense que le Sénat doit être là,
00:41:27 non seulement comme un corps
00:41:30 qui consomme les impôts des impôts,
00:41:34 mais aussi un instrument véritable
00:41:38 pour amener le développement local dans notre pays.
00:41:41 Même si certains sont sceptiques du Parlement,
00:41:44 ils expriment l'optimisme
00:41:46 pour un avenir positif pour le corps législatif.
00:41:59 - Le Sénat,
00:42:04 c'est l'institution qui représente
00:42:07 les régions et les conseils locaux
00:42:10 qui sont impliqués dans la décentralisation.
00:42:13 Vous êtes maintenant un sénateur.
00:42:15 Comment voyez-vous l'opération,
00:42:19 le conducte,
00:42:21 l'implémentation de la décentralisation,
00:42:24 surtout dans les régions nord-ouest et sud-ouest
00:42:27 qui ont des status spéciaux?
00:42:30 - Oui, nous savons tous,
00:42:33 et je pense que c'est généralement accepté,
00:42:36 que le mouvement vers la décentralisation est une bonne chose.
00:42:39 Et nous savons aussi
00:42:42 qu'il faut être prêt.
00:42:46 Ce n'est pas quelque chose
00:42:48 que vous pouvez faire d'un jour.
00:42:50 Il faut du temps.
00:42:52 Il y a eu une sorte de frustration,
00:42:55 dans le sens où les gens ont arrêté
00:42:57 et tout s'est passé d'un coup.
00:42:59 Mais ce n'est pas un erreur.
00:43:01 Je crois que l'ordre
00:43:03 est que tout doit être fait
00:43:05 systématiquement,
00:43:07 de façon graduelle.
00:43:09 Même dans le business,
00:43:11 je vous le dis,
00:43:13 si vous vouliez
00:43:15 mettre tout ensemble
00:43:17 et acheter tous les avions que vous voulez,
00:43:19 si vous étiez une entreprise d'avion ou de trottinette,
00:43:21 vous avez acheté 100 trottinettes et un jour
00:43:23 vous n'êtes plus dans ce business,
00:43:25 vous allez vous tromper.
00:43:27 Il faut venir et faire en sorte de le faire.
00:43:29 Et de pouvoir maîtriser les choses
00:43:31 en vous allant.
00:43:33 Et je pense que c'est ce qui s'est passé ici.
00:43:35 Je pense que cette année,
00:43:37 vous aurez appris que plus de pouvoirs
00:43:39 sont donnés aux régions,
00:43:41 aux conseils et aux prisons.
00:43:43 Et soudain,
00:43:45 nous devons gérer
00:43:47 des budgets beaucoup plus grands.
00:43:49 Et avec des budgets plus grands
00:43:51 vous avez plus de responsabilité.
00:43:53 Et je pense que, jusqu'ici,
00:43:55 ils ont donné des roues
00:43:57 et je pense qu'ils sont prêts
00:43:59 à prendre plus de responsabilité.
00:44:01 Et je pense que c'est ce qui va se passer pour eux.
00:44:03 Et pour le Sénat, il doit évidemment
00:44:05 jouer le rôle de soutien.
00:44:07 Et bien sûr,
00:44:09 il doit trouver un lien
00:44:11 entre les conseils régionales,
00:44:13 les communes et les maires.
00:44:15 Vous êtes dans le secteur du business,
00:44:17 le secteur de la banque,
00:44:19 le conseil de Turquie
00:44:21 en Cameroun.
00:44:23 Vous représentez le sud-ouest du Sénat.
00:44:25 Comment allez-vous utiliser
00:44:27 tous ces liens pour aider
00:44:29 les conseils locaux en termes de décentralisation,
00:44:31 de système de banque et d'autres contacts de business?
00:44:33 Comment allez-vous aider dans ce sens?
00:44:35 Je pense que c'est une des choses
00:44:37 que j'intends faire.
00:44:39 C'est vraiment, vous savez,
00:44:41 les engager.
00:44:43 Et essayer de voir comment...
00:44:45 Parce que c'était une des idées
00:44:47 que le Sénat avait probablement en tête,
00:44:49 comme nous l'avons vu dans ce rapport,
00:44:51 quand le Sénat a été mis en place,
00:44:53 pour amener des experts spécialistes
00:44:55 dans différents domaines qui pourraient
00:44:57 donner un valeur ajouté
00:44:59 à l'ingénieur relatif au Cameroun.
00:45:01 Oui, je veux dire,
00:45:03 personnellement, j'ai été
00:45:05 à ce point de battre
00:45:07 les conseils régionales
00:45:09 et les municipalités régionales,
00:45:11 et ainsi de suite,
00:45:13 en faisant des choses de telle manière
00:45:15 que ça a été possible pour les jeunes
00:45:17 de faire partie des affaires
00:45:19 de leur pays.
00:45:21 Je veux dire, vous devez m'agir
00:45:23 que le futur est dans les mains
00:45:25 des jeunes.
00:45:27 Ils vont avoir le futur.
00:45:29 Qu'est-ce qu'on veut ou pas,
00:45:31 vous devez...
00:45:33 Et s'ils ne sont pas préparés,
00:45:35 s'ils ne sont pas enseignés,
00:45:37 s'ils ne sont pas mentorés
00:45:39 pour avoir tout,
00:45:41 ils ne seront pas en mesure
00:45:43 de faire face à...
00:45:45 Comment pouvez-vous utiliser votre position
00:45:47 pour faire tout cela ?
00:45:49 Je pense que ce que j'aimerais voir,
00:45:51 j'encourage beaucoup plus de coopération,
00:45:53 de l'obtenir des banques,
00:45:55 d'avoir des séminaires,
00:45:57 d'obtenir...
00:45:59 Dans l'agriculture, par exemple,
00:46:01 je peux nommer des noms,
00:46:03 mais il y a un très grand projet agricole
00:46:05 en cours, entre le gouvernement du Cameroun
00:46:07 et un autre...
00:46:09 un autre grand pays
00:46:11 appelé "Pays avancé",
00:46:13 avec des débats très avancés
00:46:15 sur comment vraiment avoir
00:46:17 une agriculture commerciale
00:46:19 qui soit portée vers les gens,
00:46:21 avec des schemes et tout,
00:46:23 qui donnent aux jeunes
00:46:25 l'opportunité d'avoir
00:46:27 leurs propres fermes
00:46:29 et de générer de la richesse.
00:46:31 Parce que nous parlons, vous savez,
00:46:33 des problèmes de sécurité,
00:46:35 nous parlons de la Suisse et du Nord-Ouest.
00:46:37 Si tous ces jeunes,
00:46:39 si tous ces jeunes,
00:46:41 s'intéressent à la société,
00:46:43 ils doivent avoir des emplois,
00:46:45 des choses à faire.
00:46:47 Mais je pense que l'idée
00:46:49 de se mettre en travail payé
00:46:51 devient plus une chose
00:46:53 du passé.
00:46:55 Il ne peut pas atteindre
00:46:57 les aspirations de la génération du futur.
00:46:59 Ils doivent se mettre en situation
00:47:01 où ils sont eux-mêmes créateurs d'emplois.
00:47:03 Ils doivent se mettre en situation
00:47:05 où ils vont faire de la ferme.
00:47:07 Mais en faisant cela,
00:47:09 ils seront donné de la dignité,
00:47:11 de la présence et de la satisfaction
00:47:13 et en même temps,
00:47:15 ils contribueront
00:47:17 aux revenus de la nation.
00:47:19 Je pense que beaucoup de gens,
00:47:21 les councils régionales,
00:47:23 les communes,
00:47:25 doivent s'intéresser
00:47:27 à ce qui est interrelatif
00:47:29 avec le secteur privé.
00:47:31 Les chiffres pourraient
00:47:33 ressembler à un désavantage
00:47:35 si une opportunité est donnée.
00:47:37 Car les ressources humaines,
00:47:39 bien préparées, bien gérées,
00:47:41 sont des assets.
00:47:43 Donc, nous ne devons pas nous plaindre
00:47:45 de ce que nous avons tous,
00:47:47 ces jeunes qui n'ont pas de travail.
00:47:49 Les jeunes qui n'ont pas de travail
00:47:51 sont en fait une opportunité
00:47:53 pour les jeunes
00:47:55 de se retrainer
00:47:57 et de leur faire devenir
00:47:59 une immense force productive.
00:48:01 Parce qu'ils sont là,
00:48:03 ils sont disponibles.
00:48:05 Nous devons être reconnaissants
00:48:07 que c'est un cadeau de Dieu.
00:48:09 Ce pays est endowé,
00:48:11 interne et extérieur,
00:48:13 par les experts du monde financier,
00:48:15 du monde bancaire,
00:48:17 et d'autres institutions
00:48:19 qui pourraient aider
00:48:21 à promouvoir le processus
00:48:23 de décentralisation.
00:48:25 Oui, ils le sont.
00:48:27 Le problème, c'est que
00:48:29 il n'y a pas de programmes disponibles.
00:48:31 Il y a eu un moment,
00:48:33 j'étais président d'une agence technologique
00:48:35 en Afrique du Sud,
00:48:37 soutenue par le Bloc National de la Démocratie,
00:48:39 en tant qu'office de la coopération
00:48:41 du Sud-Ouest.
00:48:43 C'était de l'argent japonais,
00:48:45 T-CAP,
00:48:47 qui le soutenait.
00:48:49 J'étais président depuis de nombreuses années.
00:48:51 Il y avait un milliard d'euros disponibles.
00:48:53 Et en fait, les chiffres de ce million d'euros
00:48:55 pour le secteur privé,
00:48:57 le taux d'intérêt était de moins de 1%,
00:48:59 et il y a eu un temps de 30 ans
00:49:01 avec 10 ans de vacances.
00:49:03 10 ans de grand-prix, sans paye.
00:49:05 Les Camerooniens n'ont jamais utilisé ce type d'argent.
00:49:07 En fait, l'allocation...
00:49:09 Je me demande...
00:49:11 Il y a des opportunités comme ça.
00:49:13 Pourquoi n'avons-nous pas utilisé l'argent?
00:49:15 Parce que l'information ne circule pas.
00:49:17 Parce que les gens ne circulent pas l'information.
00:49:19 Oui, je pense qu'il faut prendre la blague
00:49:21 pour ça aussi.
00:49:23 Mais aussi, même si l'information est circulée,
00:49:25 il n'y a pas de projet.
00:49:27 Vous l'avez même en termes de...
00:49:29 Si vous allez au ministère de l'Économie,
00:49:31 il y a un fonds,
00:49:33 un fonds garanti pour soutenir le secteur privé.
00:49:35 Combien de gens ont utilisé ce type d'argent?
00:49:37 Je pense que 200 millions de CFA
00:49:39 sont en train de se battre.
00:49:41 Combien de gens l'ont utilisé?
00:49:43 Beaucoup d'argent est venu,
00:49:45 pas de projet a été créé.
00:49:47 Donc, ça n'a jamais été utilisé.
00:49:49 Et ce n'est pas seulement Cameroon.
00:49:51 C'est une question...
00:49:53 Ma question, spécifiquement, avant tout,
00:49:55 c'est la question de l'intelligence.
00:49:57 Les institutions bancaires, financières,
00:49:59 nous avons des Camerooniens qui nous ont aidés
00:50:01 à faire de l'information?
00:50:03 Absolument.
00:50:05 Par exemple?
00:50:07 Vous voulez que je vous appelle?
00:50:09 Les institutions.
00:50:11 Les banques afro-exécutives sont là.
00:50:13 Les banques afro-exécutives.
00:50:15 Il y a des Camerooniens là?
00:50:17 En fait, certaines personnes disent
00:50:19 que les banques afro-exécutives sont presque Camerooniennes.
00:50:21 Je veux dire, il y a beaucoup de staff Cameroonien
00:50:23 dans les banques afro-exécutives.
00:50:25 Et regardez, la Banque afro-exécutive
00:50:27 a beaucoup de présidents Camerooniens.
00:50:29 Et le président de la Banque afro-exécutive
00:50:31 était un ancien ministre de l'agriculture en Nigérie.
00:50:35 Son passion, c'est l'agriculture.
00:50:37 Il prétend l'agriculture.
00:50:39 Il veut l'agriculture. Il veut soutenir l'agriculture.
00:50:41 La Banque afro-exécutive vraiment pense
00:50:44 que Cameroon devrait faire beaucoup plus
00:50:46 en termes d'agriculture.
00:50:48 Et ils se relient aussi.
00:50:50 Donc, les anciens conseils,
00:50:52 ils attendent le centre, ils attendent Yaoundé
00:50:54 pour faire ces interlinks.
00:50:56 Les gens devraient se faire les couilles
00:50:58 et vraiment venir avec des idées,
00:51:00 venir avec des projets.
00:51:02 Et ils seront soutenus.
00:51:04 Et je pense que nous, les sénateurs,
00:51:06 sommes là-bas pour aider aussi.
00:51:08 Je suis sûr que nous serons disponibles pour...
00:51:10 Vous parleriez de l'Assemblée régionale du Sud-Ouest?
00:51:12 Je serais.
00:51:14 Les conseils, non seulement à Kumba,
00:51:16 mais partout dans les 6 divisions?
00:51:18 Je peux vous dire qu'ils verront beaucoup de moi
00:51:20 et que les idées sont une chose
00:51:22 pour nous de travailler ensemble,
00:51:24 d'engager les partenaires internationaux,
00:51:26 les partenaires de dons,
00:51:28 d'engager le secteur privé pour voir
00:51:30 comment le mieux la décentralisation
00:51:32 pourrait être faite, pas seulement opérative,
00:51:34 mais la décentralisation n'est pas seulement une chose politique.
00:51:36 Elle est supposée être plus efficace,
00:51:38 elle est supposée générer plus de richesse
00:51:40 pour la nation et pour la région.
00:51:42 Donc, nous ne devons pas
00:51:44 prendre cela comme un cadeau.
00:51:46 Et je pense que c'est vraiment
00:51:48 une conversation que les sénateurs
00:51:50 auront avec les différents
00:51:52 conseils régionales pour voir comment
00:51:54 nous pouvons travailler ensemble
00:51:56 pour améliorer ce que nous avons
00:51:58 pour que cela fonctionne pour nous
00:52:00 et pour la nation de Cameroun
00:52:02 et pour la région de Cameroun.
00:52:04 C'est absolument le point
00:52:06 dans lequel nous devons nous concentrer.
00:52:08 Il reste beaucoup de travail à faire.
00:52:10 Nous allons prendre notre dernière pause
00:52:12 dans notre programme pour regarder
00:52:14 cette interaction entre les sénateurs
00:52:16 et ceux qu'ils représentent.
00:52:18 C'est-à-dire les régions et les conseils locaux.
00:52:20 Le cas de la région de l'Ouest.
00:52:22 Nous allons passer au Ciel et au Ouest
00:52:24 dans Bafoussam.
00:52:26 Nous allons rencontrer la dame
00:52:28 la chancelière Nanzer.
00:52:30 L'article 20, sub 1 du Constitution
00:52:44 de la Constitution de Cameroun,
00:52:46 avec l'amendement,
00:52:48 à travers les deux états de 2008,
00:52:50 dit que le Sénat représentera
00:52:52 les autorités régionales et locales.
00:52:54 Dans ce slide, les sénateurs électés
00:52:56 et apportés de chaque région
00:52:58 sont supposés être les "bordelettes"
00:53:00 des conseils régionales et municipaux
00:53:02 au Parlement.
00:53:04 Les conseils régionales et municipaux
00:53:06 constituent l'électorat des sénateurs.
00:53:08 Ils doivent représenter le Conseil
00:53:10 quand ils votent les lois.
00:53:12 Nous espérons qu'ils devraient être
00:53:14 des parties du Parlement
00:53:16 qui sont très proches de nous
00:53:18 pour faire en sorte
00:53:20 que dans les lois
00:53:22 où ils doivent être votés,
00:53:24 ils prennent en compte
00:53:26 notre intérêt en tant que conseils.
00:53:28 Les sénateurs présentent
00:53:40 les projets de l'autorité
00:53:42 régionale et locale au Parlement.
00:53:44 Quand les lois sont déclarées
00:53:46 devant le Parlement supérieur,
00:53:48 les sénateurs donnent
00:53:50 particulièrement l'attention
00:53:52 aux autorités régionales et locales
00:53:54 pour accélérer le processus
00:53:56 de décentralisation.
00:53:58 Le Conseil régional a été opérationnel
00:54:02 en 2021,
00:54:04 et la plupart des maires de la région
00:54:06 de l'Ouest ont été en office
00:54:08 depuis plus de trois ans.
00:54:10 Ils ont été votés quand les sénateurs
00:54:12 étaient presque à la moitié
00:54:14 de leur mandat
00:54:16 de la seconde période législative.
00:54:18 Il n'y a donc pas eu de collaboration
00:54:20 fluide entre eux et leurs représentants
00:54:22 au Parlement.
00:54:24 [Voix de l'interprète]
00:54:26 [Voix de l'interprète]
00:54:40 [Voix de l'interprète]
00:54:42 [Voix de l'interprète]
00:54:44 [Voix de l'interprète]
00:54:46 [Voix de l'interprète]
00:54:48 [Voix de l'interprète]
00:54:50 [Voix de l'interprète]
00:54:52 [Voix de l'interprète]
00:54:54 [Voix de l'interprète]
00:54:56 [Voix de l'interprète]
00:54:58 [Voix de l'interprète]
00:55:00 [Voix de l'interprète]
00:55:02 [Voix de l'interprète]
00:55:04 [Voix de l'interprète]
00:55:06 [Voix de l'interprète]
00:55:08 [Voix de l'interprète]
00:55:10 [Voix de l'interprète]
00:55:12 [Voix de l'interprète]
00:55:14 [Voix de l'interprète]
00:55:16 [Voix de l'interprète]
00:55:18 [Voix de l'interprète]
00:55:20 [Voix de l'interprète]
00:55:22 [Voix de l'interprète]
00:55:24 [Voix de l'interprète]
00:55:26 [Voix de l'interprète]
00:55:28 [Voix de l'interprète]
00:55:30 [Voix de l'interprète]
00:55:32 [Voix de l'interprète]
00:55:34 [Voix de l'interprète]
00:55:36 [Voix de l'interprète]
00:55:38 [Voix de l'interprète]
00:55:40 [Voix de l'interprète]
00:55:42 [Voix de l'interprète]
00:55:44 [Voix de l'interprète]
00:55:46 [Voix de l'interprète]
00:55:48 [Voix de l'interprète]
00:55:50 [Voix de l'interprète]
00:55:52 [Voix de l'interprète]
00:55:54 [Voix de l'interprète]
00:55:56 [Voix de l'interprète]
00:55:58 [Voix de l'interprète]
00:56:00 [Voix de l'interprète]
00:56:02 [Voix de l'interprète]
00:56:04 [Voix de l'interprète]
00:56:06 [Voix de l'interprète]
00:56:08 [Voix de l'interprète]
00:56:10 [Voix de l'interprète]
00:56:12 [Voix de l'interprète]
00:56:14 [Voix de l'interprète]
00:56:16 [Voix de l'interprète]
00:56:18 [Voix de l'interprète]
00:56:20 [Voix de l'interprète]
00:56:22 [Voix de l'interprète]
00:56:24 [Voix de l'interprète]
00:56:26 [Voix de l'interprète]
00:56:28 [Voix de l'interprète]
00:56:30 [Voix de l'interprète]
00:56:32 [Voix de l'interprète]
00:56:34 [Voix de l'interprète]
00:56:36 [Voix de l'interprète]
00:56:38 [Voix de l'interprète]
00:56:40 [Voix de l'interprète]
00:56:42 [Voix de l'interprète]
00:56:44 [Voix de l'interprète]
00:56:46 [Voix de l'interprète]
00:56:48 [Voix de l'interprète]
00:56:50 [Voix de l'interprète]
00:56:52 [Voix de l'interprète]
00:56:54 [Voix de l'interprète]
00:56:56 [Voix de l'interprète]
00:56:58 [Voix de l'interprète]
00:57:00 [Voix de l'interprète]
00:57:02 [Voix de l'interprète]
00:57:04 [Voix de l'interprète]
00:57:06 [Voix de l'interprète]
00:57:08 [Voix de l'interprète]
00:57:10 [Voix de l'interprète]
00:57:12 [Voix de l'interprète]
00:57:14 [Voix de l'interprète]
00:57:16 [Voix de l'interprète]
00:57:18 [Voix de l'interprète]
00:57:20 [Voix de l'interprète]
00:57:22 [Voix de l'interprète]
00:57:24 [Voix de l'interprète]
00:57:26 [Voix de l'interprète]
00:57:28 [Voix de l'interprète]
00:57:30 [Voix de l'interprète]
00:57:32 [Voix de l'interprète]
00:57:34 [Voix de l'interprète]
00:57:36 [Voix de l'interprète]
00:57:38 [Voix de l'interprète]
00:57:40 [Voix de l'interprète]
00:57:42 [Voix de l'interprète]
00:57:44 [Voix de l'interprète]
00:57:46 [Voix de l'interprète]
00:57:48 [Voix de l'interprète]
00:57:50 [Voix de l'interprète]
00:57:52 [Voix de l'interprète]
00:57:54 [Voix de l'interprète]
00:57:56 [Voix de l'interprète]
00:57:58 [Voix de l'interprète]
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