The Midday bilingual News of June 5, 2023

  • l’année dernière
Le JT Bilingue de Midi du 05 Juin 2023

Category

🗞
News
Transcription
00:00 de la France.
00:03 Monday, june
00:13 Welcome to the midday news.
00:18 Dans l'actualité construire une
00:20 économie africaine autonome,
00:22 résiliente et prospère.
00:24 Mille-huit cent chefs
00:25 d'entreprise et de gouvernement
00:26 engage la réflexion à Abidjan.
00:28 Le premier ministre Joseph
00:30 John Guthier représente le
00:32 chef de l'État Paul Biass et
00:34 travaille aux premiers échos
00:36 avec nos envoyés spéciaux.
00:38 Silence les candidats au BEPC
00:40 bilingue et au CAPCOG depuis
00:42 ce lundi matin.
00:44 Il sont plus de 260.000 à
00:46 affronter les épreuves écrites
00:48 et orales à travers le pays.
00:50 Ambiance à vivre dans certains
00:52 centres d'examens de Yaoundé.
00:54 Environnement alerte à la
00:56 présence de poisons et tout face
00:58 aux déchets plastiques. La sonnette
01:00 d'alarme est tirée en cette journée
01:02 mondiale de l'environnement. Que
01:04 pouvons-nous faire à la présence
01:06 très envahissante de ces poisons
01:08 pour notre planète? Divine
01:10 Tiocam, expert des questions
01:12 environnementales sera dans le
01:14 fauteuil de l'invité. Madame,
01:16 monsieur, merci de choisir la CRTV
01:18 pour étancher votre soif d'informations
01:20 et en ouverture de cette session
01:22 d'information, Sally, nous mettons
01:24 en place un groupe de
01:26 députés de l'Assemblée des
01:28 CEOs qui s'est déroulé dans
01:30 l'avarian Abidjan. Les
01:32 chefs de business, les CEOs et
01:34 les policiers du monde africain
01:36 échangent des idées sur la façon
01:38 d'augmenter le nombre de
01:40 conglomérats sur le continent.
01:42 Le président Paul Biya est
01:44 représenté lors des délibérations
01:46 du premier ministre, le chef
01:48 de gouvernement Joseph Django.
01:50 Nous allons nous retrouver avec
01:52 le chef de l'Assemblée des
01:54 CEOs du monde africain.
01:56 Bonjour et bienvenue à Abidjan,
01:58 Côte d'Ivoire. Vous avez raison.
02:00 La 9e édition du
02:02 General Assembly des CEOs
02:04 africains qui se déroule ici est
02:06 une émission de public. Nous avons environ
02:08 3000 participants qui viennent
02:10 de 70 pays au monde.
02:12 42 pays en Afrique sont
02:14 représentés dans les délibérations qui se
02:16 déroulent ici. L'ouverture de la cérémonie qui se déroule
02:18 ici a été marquée par les paroles
02:20 du premier ministre de Côte d'Ivoire,
02:22 Patrick Aschie. Il a
02:24 stressé sur la nécessité de l'Afrique
02:26 de développer son potentiel, de développer
02:28 plus de entreprises qui ont
02:30 un revenu annuel d'au moins 1 billion
02:32 de dollars. Il y a actuellement seulement
02:34 300 d'entre elles en Afrique
02:36 et il dit qu'il y a une nécessité
02:38 pour l'Afrique d'avoir au moins 3000
02:40 d'entre elles qui ont un revenu annuel
02:42 d'au moins 1 billion de dollars
02:44 pour que le continent soit
02:46 résilient et pour garder
02:48 la paix avec les autres continents.
02:50 L'ouverture de la cérémonie est marquée par la présence
02:52 du président de Côte d'Ivoire,
02:54 Alassane Ouattara. Il faut noter que le premier ministre
02:56 du gouvernement, Joseph Djangouteh,
02:58 représente le président Paul Béat
03:00 à la cérémonie et est le chef
03:02 d'une importante délégation caméronienne
03:04 qui est composée de plus de 20
03:06 entreprises. Après
03:08 l'ouverture de la cérémonie, les cérémonies vont
03:10 continuer dans différents workshops
03:12 durant lesquels les thèmes principaux
03:14 du Forum de l'Afrique pour l'année 2023
03:16 vont être développés et
03:18 ils incluent l'accès à l'énergie,
03:20 l'implication des femmes
03:22 dans le développement
03:24 ainsi que
03:26 la transformation des produits
03:28 forestiers et agricoles.
03:30 Nous vous apporterons plus
03:32 à l'ouverture de l'événement.
03:34 Rapportant de la Côte d'Ivoire,
03:36 c'est Christian Tchéhatam pour CRTV.
03:38 Fédérer les acteurs
03:40 qui façonnent une économie
03:42 africaine souveraine et compétitive
03:44 à même de transformer les crises
03:46 en opportunités, c'est l'une des priorités
03:48 du Forum des dirigeants africains
03:50 qui se tient à Abidjan.
03:52 Sous la conduite du Premier ministre,
03:54 chef du gouvernement Joseph Djangouteh,
03:56 plus de 20 entreprises publiques,
03:58 parapubliques et privées,
04:00 prennent part aux assises.
04:02 Pour plus de détails, retrouvons Laurentine Beconno
04:04 en voix spéciale dans la capitale économique
04:06 de l'Afrique.
04:08 Nous avons avec nous le directeur général
04:10 de l'Afrique pour nous expliquer
04:12 la présence des entreprises
04:14 camerounaises ici à ce Forum.
04:16 Bonjour Madame le directeur général.
04:18 Bonjour Madame.
04:20 Alors, qu'est-ce que le Cameroun
04:22 gagne de sa présence
04:24 ici à Abidjan?
04:26 Vous avez suivi tout à l'heure
04:28 dans le discours
04:30 du Premier ministre
04:32 ivoirien qui a 2000 participants,
04:34 70 pays donc,
04:36 46 pays africains.
04:38 C'est très important pour nous.
04:40 Il faut être de la partie.
04:42 Il faut qu'on vende au Cameroun.
04:44 Donc demain,
04:46 nous avons
04:48 une journée
04:50 "Investir au Cameroun"
04:52 qui est dédiée aux entreprises camerounaises
04:54 qui vont rencontrer d'autres entreprises.
04:56 Ça va se passer de 14h à 16h
04:58 et nous avons justement
05:00 à notre tête, monsieur le Premier ministre,
05:02 une nouvelle entreprise
05:04 qui nous accompagne.
05:06 Alors, au regard du thème
05:08 de CE Forum,
05:10 comment accroître
05:12 nos champions africains?
05:14 Justement, il va falloir
05:16 revoir évidemment
05:18 les textes au niveau national
05:20 pour pouvoir permettre justement
05:22 ce passage de 300
05:24 à 3000 entreprises.
05:26 Ce n'est pas une affaire
05:28 uniquement du secteur privé
05:30 mais il faut que l'État s'implique
05:32 pour pouvoir
05:34 prévoir une part importante
05:36 du budget
05:38 justement pour accompagner
05:40 ces entreprises à recruter
05:42 les jeunes, ces entreprises
05:44 à former maintenant de nouveaux champions.
05:46 Alors, Cameroun,
05:48 terre d'opportunités,
05:50 terre d'attractivité,
05:52 ça se sent et
05:54 nul doute, ici à Bijang,
05:56 d'où je signe Laurentine Bokono,
05:58 envoyée spéciale, CRTV.
06:00 Et sur place au pays,
06:02 la session des examens officiels
06:04 écrit ses pages depuis ce lundi.
06:06 Plus de 260 000 candidats
06:08 au BEPC bilingue et au CIP
06:10 affrontent les épreuves
06:12 écrites et orales.
06:14 Au lycée bilingue de Coletton,
06:16 la centaine de candidats au brevet d'études du premier cycle
06:18 bilingue et face contre copie,
06:20 Nancy Nden Nden les a vus cogiter.
06:22 Il est 6h
06:24 et le premier coup de sifflet
06:26 retentit pour alerter les candidats
06:28 à la traîne.
06:30 La responsable
06:32 procède automatiquement à la fouille
06:34 et au contrôle systématique des candidats
06:36 devant faire face à la seule
06:38 épreuve de la journée,
06:40 l'épreuve de communication orale.
06:42 Nous avons, comme vous l'avez constaté,
06:44 bien commencé,
06:46 parce que tous les candidats sont en salle,
06:48 les jurys sont sur place
06:50 et puis nous avons fait
06:52 vérifier l'étanchéité des enveloppes
06:54 et tout est bon,
06:56 pour cette épreuve.
06:58 Nous avons deux établissements présents ici,
07:00 dont le lycée bilingue de Coletton
07:02 et le collège adventiste.
07:04 Nous avons actuellement ici
07:06 au lycée bilingue de Coletton,
07:08 trois examens qui se passent au même moment,
07:10 à savoir le DC Ordinary Level,
07:12 le DC Advanced Level
07:14 et CBPC bilingue.
07:16 Nous avons bien pris en main
07:18 les candidats le matin, nous n'avons pas été
07:20 embrouillés, donc tout s'est
07:22 très bien passé, nous avons bien dirigé
07:24 chaque candidat vers son lieu
07:26 de composition.
07:28 Dans les salles d'examen, les sujets sont
07:30 dans une enveloppe scellée.
07:32 Les candidats devront alors choisir au hasard
07:34 un sujet qu'ils devront défendre
07:36 pendant 30 minutes
07:38 devant le jury.
07:40 La suite des épreuves, ce sera demain.
07:42 Et leurs aînés du probatoire commercial
07:44 en sciences et technologies du tertiaire
07:46 sont eux aussi dans les salles
07:48 d'examen depuis ce matin,
07:50 au sous-centre du lycée technique industriel
07:52 et commercial bilingue de Yaoundé.
07:54 Les registres de présence au pointent,
07:56 977 candidats.
07:58 On a tout de même une absence.
08:00 Ambiance d'examen dans ce reportage
08:02 de Christelle Fouda.
08:04 Tous les moyens étaient bons ce premier
08:06 jour d'examen pour allier le lycée
08:08 technique industriel et commercial bilingue
08:10 de Yaoundé. Et pas moins de
08:12 977 candidats ont afflué
08:14 au portail du sous-centre d'examen
08:16 pour braver le probatoire commercial
08:18 en sciences et technologies du tertiaire.
08:20 Passer les contrôles d'usage,
08:22 c'est plus ou moins serein que les candidats
08:24 se dirigent vers les classes.
08:26 Monsieur Canda, il est bien confiant,
08:28 ça va bien se passer.
08:30 Je me sens quiossé, mais ça va aller.
08:32 Je me suis bien préparé pour ça, je suis sûr.
08:34 Monsieur Serain, au cours de l'année,
08:36 je me suis très très bien préparé.
08:38 Donc je pense que cette année, je vais assurer.
08:40 8 heures passées de quelques minutes,
08:42 c'est le calme et la concentration dans le campus
08:44 et les salles d'examen, classe
08:46 à l'épreuve de français.
08:48 L'épreuve de français a commencé
08:50 à 8 heures.
08:52 Et jusqu'à présent, on n'a
08:54 reçu aucun dysfonctionnement.
08:56 Donc tout se passe bien.
08:58 On a 5 filières,
09:00 OSF,
09:02 CG, ACA,
09:04 CES,
09:06 Tourisme. On a pris toutes les mesures
09:08 pour que tous les candidats doivent être
09:10 en bon santé à cause
09:12 de la pandémie choléra.
09:14 Et bien sûr,
09:16 on est sûr que les élèves
09:18 ou bien le candidat doit porter
09:20 le cachet.
09:22 Le commercial en sciences et technologies du tertiaire
09:24 qui a débuté ce lundi
09:26 par les épreuves écrites va se poursuivre
09:28 la semaine prochaine avec les épreuves
09:30 pratiques pour une durée totale
09:32 de deux semaines.
09:34 (Vidéo)
10:02 (Vidéo)
10:28 (Vidéo)
10:48 (Vidéo)
11:12 (Vidéo)
11:14 (Vidéo)
11:16 se cherchant à produire des Camerooniens qui peuvent s'exprimer de manière confortable dans les deux langues officielles, sans compter leur background.
11:25 La partie de l'examination du Probateur commercial a aussi été un défi pour tous les pays.
11:31 Dans l'université de Yéoundé, des 978 candidats sont actuellement en train de lire un document en français.
11:39 Le document est en français, comme le rapporte le journaliste N'anji Heiyanbe.
11:46 À 7h du matin ce matin, les candidats pour le phase de récitation du Probateur commercial à l'université de Yéoundé
11:56 ont déjà fait les vérifications nécessaires à l'entrée de l'université.
12:01 Nous avons commencé ce matin en s'assurant que les candidats ne viennent pas avec de matériel étranger dans notre centre.
12:09 Les candidats ont été recherchés à l'entrée de l'entrée de l'université.
12:13 Barely a peu de minutes après les exams, qui ont commencé à exactement 8h du matin, certains candidats étaient déjà en mood.
12:20 Je suis 100% préparé pour ça. J'ai préparé les études, j'ai préparé les droits des enfants.
12:26 Toutes les notes et les revisions que j'ai fait depuis le premier jour sont très bonnes.
12:30 Donc je suis préparé. Je pense que je vais bien réussir.
12:32 C'est le moment de commencer l'examination officielle. L'atmosphère est sereine, car toutes les dispositions nécessaires sont prises.
12:41 Nous devons s'assurer que les droits des enfants, avec l'arrivée de la choléra que nous connaissons,
12:46 nous voulons s'assurer que les enfants ne soient pas contaminés dans notre centre.
12:51 Nous les assurons donc de respecter toutes les mesures de la santé.
12:54 Pour les deux prochaines semaines, les candidats sont expectés de tester leur connaissance en comptabilité, économie, marketing,
13:02 responsabilités secrétaires, économie de maison et tourisme.
13:06 Les exams s'arrêtent le 17 juin 2023.
13:11 Passons maintenant aux officiers de la Baccalauréat du Nord, qui ont exprimé satisfaction avec la solide conduite des exams.
13:21 Les examinations de la Baccalauréat ont commencé.
13:25 Nous avons parlé avec Henri Tatu-Ekambi.
13:29 Au centre de l'examination de la Baccalauréat de la GBA, où les examinations de la Baccalauréat ont terminé,
13:39 le chef du centre Jean-Robert Gablon a dit que tout allait bien avec sept candidats qui n'ont pas répondu à la question de la 541 qui avaient été initialement enregistrées.
13:50 La mission a ensuite été transfertée au centre de l'examination de la GBA, où 647 candidats ont participé en sérénité.
14:00 Les exams ont commencé sans problème, en voyant que tous les commodités ont été donnés à nous par l'hierarchie.
14:09 Les officiers de la Baccalauréat ont ensuite tourné le visage vers la GBA, où ils ont été assurés que tout allait bien.
14:17 En réponse aux officiers de la Baccalauréat, plus de 11 000 candidats ont écrit la Baccalauréat Générale Examination dans 47 centres dans la région, avec une participation de 99,4 %.
14:32 Dans la suite de ce journal, le projet pérenne, entendez, poursuit des engagements pour la résilience à l'extrême nord et prorogée de 30 mois.
14:42 L'annonce vient d'être faite à Yaoundé. Ce projet, financé par l'Union européenne, a contribué à changer le quotidien de 135 000 personnes dans certaines communes de cette région.
14:53 Laetitia Onana.
14:55 À Tokombere, Mokolo, Gazawa ou Dukula, les populations vivant dans l'extrême pauvreté sont devenues plus autonomes grâce au projet pérenne.
15:07 La poursuite des engagements pour la résilience de l'extrême nord, financée par l'Union européenne depuis 2021, a en effet, selon le ministère de la décentralisation et celui de l'agriculture, formé des producteurs agricoles et apporté divers appuis à plus de 135 000 personnes.
15:25 C'est un projet qui a permis non seulement de construire des biefs, de former les populations dans la production de semences améliorées, d'encadrer les populations pour la production des engrais organiques et des biopesticides.
15:42 Et aussi, c'est un projet qui a permis de structurer les organisations paysannes et la mise en place des caisses rurales pour soutenir.
15:52 C'est donc avec joie que les bénéficiaires et dont le gouvernement camournet accueillent la bonne nouvelle de la prorogation du projet.
16:01 L'expérience pérenne est très importante. Nous voulons capitaliser dessus pour étendre cette expérience. Ça répond aux besoins de la population.
16:10 30 mois de mise en œuvre pour davantage outiller les élus locaux aux pratiques de bonne gouvernance et parfaire, pourquoi pas, les deux plans nationaux de réponse à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au Cameroun, fruit eux aussi du projet pérenne.
16:28 Le monde se réchauffe sous l'effet des gaz à effet de serre générés par l'activité humaine.
16:34 Piques de chaleur par-ci, fortes pluviométries par-là avec à la clé des inondations comme c'est le cas en ce moment dans le sud-ouest au Cameroun,
16:42 Bouya, quand la nature se dérègle, un reportage de Linda Ngali.
16:49 L'industrialisation est selon plusieurs environnementalistes la cause principale du changement climatique qui engendre des énormes conséquences socio-économiques.
16:59 Il y a beaucoup de maladies à Bouya. Ce qu'on voit dans l'eau comme ça quand il y a beaucoup de pollution.
17:05 Les changements climatiques ont augmenté les températures et aujourd'hui dans le sud-ouest, tout le monde a oublié d'acheter les ventilateurs et les tortues de la consommation électrique ont augmenté.
17:15 Dans le secteur de l'agriculture par exemple, la banane plantée en maïs et cacao sont les plus touchés, ce qui impacte aussi le panier de la ménagère.
17:24 Les bananes plantées n'arrivent pas à maturité quand c'est la saison sèche. Nous avons perdu plus de 12 milliards de francs CFA dans la région du sud-ouest
17:33 parce que des gens qui ont défiché des vastes étendues de forêts n'ont pas pu obtenir le résultat d'un banane plantée observée.
17:41 L'abondance de pluie a augmenté la dépense des planteurs de cacao. L'année passée par exemple, la saison séchée venait plus tôt quand le maïs n'était pas prêt.
17:51 Les gens qui ont planté après septembre n'ont pas pu récorter de grands épis.
17:55 Pour mieux gérer l'avenir et être à l'abri de ses conséquences, les ESPER proposent une régularisation dans l'usage de l'électricité,
18:05 le recyclage massif des plastiques non biodégradables et l'interdiction des feux de brousse.
18:13 La communauté mondiale est aujourd'hui en train de se réveiller des problèmes face à l'environnement,
18:18 comme la pollution de l'air, l'exploitation inégale et insustainable des ressources naturelles, entre autres.
18:25 C'est l'occasion de la Journée de l'Environnement mondial, qui a été célébrée aujourd'hui.
18:30 Cette année marque le 50e anniversaire de la Journée de l'Environnement mondial,
18:34 avec un focus sur les solutions à la pollution plastique, avec le hashtag #BeatPlasticPollution.
18:40 Avec nous, pour en parler, c'est Tiocam Divine.
18:44 Bonjour et bienvenue.
18:46 Merci beaucoup.
18:47 Vous êtes un expert en protection environnementale.
18:50 Dites-nous, quelles sont les pratiques qui sont harmées à l'environnement ?
18:54 Dans le monde global, il y a, d'abord, un changement de mentalité.
18:58 Lorsque nous regardons le SZG12, il parle de production et de consommation sustainables.
19:03 Nous devons donc nous assurer que tous les déchets plastiques que nous utilisons soient recyclés à la maison,
19:11 en différenciant les plastiques, les papiers et les bouteilles.
19:15 C'est la première chose pour la base de maison.
19:18 Et quand nous sortons de la maison, ce que nous achetons des magasins,
19:21 nous devons pouvoir acheter beaucoup plus de matériel biodegradable
19:24 que de l'environnement. Je pense que c'est très important.
19:31 Quelle est la pollution environnementale au Cameroun ?
19:34 C'est vraiment terrible.
19:37 Pas terrible, mais terrible dans le sens négatif, drastique.
19:40 Parce que quand il pleut, vous voyez la ville, le centre-poste-central,
19:44 tout est effondré, parce que les bouteilles sont accumulées dans les différents rangs.
19:50 Je pense qu'il faut mettre en place des tanks de prévention pour mettre les bouteilles en place quand elles seront utilisées.
19:57 Alors face à ce constat alarmant, que pouvons-nous individuellement et collectivement pour protéger notre environnement ?
20:03 Déjà il y a le changement de mentalité. Il faudrait que chaque Camerounais comprenne l'impact.
20:09 Parce que vous voyez, le plastique, ça prend moins de temps pour se dégrader.
20:12 Donc ça veut dire que nous devons savoir comment utiliser ces emballages
20:17 que nous achetons au marché pour emballer nos choses.
20:20 Et puis aussi les bouteilles, les tankers, tout ça.
20:23 Donc il faudrait qu'on essaie d'installer les différents réservoirs pour les mettre là, pour mettre les déchets,
20:28 pour que ça ne pollue pas l'environnement.
20:30 Est-ce que c'est assez de mettre les bouteilles pour dire aux gens,
20:34 "Hey, quand vous utilisez votre bouteille, mettez-la dans le...".
20:37 Ça ne semble pas être assez, parce que c'est quelque chose que les partenaires ont été sensibilisés à dire aux gens de faire au cours des années,
20:43 mais ça ne change pas. Peut-être est-ce que c'est le moment de passer à la hauteur des mesures.
20:47 Oui, je pense que l'une des autres activités importantes que nous avons en fait pour s'assurer
20:52 que l'environnement soit de quelque sorte sustainable.
20:54 Parce que je dis toujours que sans un environnement sustainable, il n'y a pas de développement sustainable.
20:58 Donc nous avons les activités de plantation des arbres, parce que bien sûr, nous savons que les arbres absorbent les chaleurs carboneuses.
21:04 Et c'est très important, plus il y a d'arbres à planter, plus il y a d'oxygène.
21:08 Et puis, nous avons également le projet du gouvernement appelé le projet Green School,
21:12 où nous avons pu entraîner les jeunes, d'abord les élèves et même les jeunes de l'université,
21:16 à planter des arbres et des arbres sustainables, pour s'assurer qu'ils aient une pratique symbolique.
21:21 Maintenant, à part les arbres à planter, quelles autres pratiques ou stratégies et actions sont les meilleures pour Cameroun pour se battre contre la pollution plastique?
21:30 Il y a un point de vue politique, parce que quelques jours auparavant, il y avait une déclaration sur le plastique,
21:36 comment s'assurer que ces politiques soient mises en place.
21:40 Ce n'est pas seulement atteindre les réunions de la COP et tout ça, mais comment nous assurer
21:44 que nous transformons concrètement les mots en actions concrètes.
21:47 Et puis, les ministres de l'environnement et d'autres institutions sont là pour s'assurer
21:53 que toutes ces activités soient mises en place pour soutenir ces partenaires.
21:58 Vous avez le sentiment aujourd'hui que nos politiques ne font pas assez pour protéger notre environnement?
22:03 Je ne vais pas dire non, mais il n'y a pas assez de volonté.
22:08 Je pense que nous devons d'abord, en tant qu'individus, changer de mentalité, prendre les actions clés.
22:14 Comme je l'ai dit, essayons de cultiver l'esprit et de ne plus jeter les ordues en route,
22:19 parce que beaucoup disent que non, on ne peut pas exactement le faire.
22:23 Je pense que si nous cherchons les bacs en ordues et qu'on les dépose à l'intérieur,
22:27 ça va mieux aider l'État et aussi la population.
22:30 Les activités de la COP sont organisées dans les régions. Pourquoi les régions?
22:35 Les régions sont là parce que, par exemple, si je prends la région nord-ouest,
22:41 c'est là que vous trouvez beaucoup d'activités de l'incomé dans l'agriculture.
22:47 La dégradation plastique a vraiment affecté le secteur agricole.
22:51 Donc, sans cette sensibilisation et l'éducation sur l'éducation environnementale,
22:57 c'est pourquoi, récemment, j'ai apporté un nouveau programme,
23:00 nous l'avons appelé l'éducation environnementale.
23:02 Comment nous assurer que nous regardons l'environnement comme le seul domaine,
23:06 comme le seul milieu pour nous protéger de la pollution?
23:10 Une des activités que nous avons évoquées est la recherche des SDGs.
23:14 Les SDGs ne peuvent pas être réalisés. C'est pourquoi le 17ème SDG parle de partenariat.
23:18 Je suis heureux de voir que la CIP me ramène toujours ici pour partager cette pratique
23:22 et les activités que nous portons à travers le pays.
23:24 Merci beaucoup, M. Tiochem Dibay.
23:27 Merci beaucoup, Indi, pour m'avoir présenté.
23:29 Restez avec nous, Mohamed.
23:30 Ce sont les incontournables de nos desserts.
23:33 C'est la saison des fruits. Ils abondent sur nos tables.
23:36 Sont-ils toujours sains? Pas si sûrs au vu de l'utilisation des engrais et autres pesticides.
23:42 Ce qui ne va pas toujours sans conséquence sur la santé des consommateurs.
23:45 Christelle Béhinat.
23:47 Le calendrier saisonnier des fruits prend de vitesse son cycle normal.
23:54 Il débarque à profusion sur les étals pour nourrir une demande sans cesse croissante.
23:59 Prêt prisé, certains de ces aliments accessibles tout au long de l'année traversent les frontières
24:04 pour s'inviter au menu de vos repas quotidiens.
24:07 Nous avons les légumes fruits, notamment la tomate, l'aubergine.
24:12 Nous avons la pastèque, la pomme de France, également aussi les oranges.
24:16 Consommés hors saison, ces fruits font l'objet d'une culture contre-saison.
24:20 Un mode de production industrialisé qui implique ipso facto le recours aux intrants.
24:26 Un microcosme artificiel accélérant leur croissance.
24:31 L'application abusive des insecticides.
24:34 Beaucoup de fongicides sont plus appliqués sur les légumes fruits.
24:37 Aujourd'hui on voit des mini-cerfs qui sont aussi développés par des différents ingénieurs.
24:41 Un producteur qui a développé son système d'irrigation soit avec des bouteilles plastiques à petite échelle,
24:46 il peut par exemple produire sa pastèque à contre-saison.
24:50 Le prix à payer, son impact sur l'environnement et par ricochet sur la santé des consommateurs.
24:56 Ça biaise les valeurs nutritionnelles. La plupart des temps causent des maladies cardiovasculaires et des cancers.
25:02 Consommer ses fruits préférés à temps et à contre-temps, c'est possible.
25:07 Le goût amer pourrait cependant venir de la forte dose de l'arsenal d'artifices
25:12 qui intègre leur processus de germination.
25:17 Près de 30 millions de francs ont été élevés pour soutenir les sièges dans le pays.
25:22 Les fonds ont été élevés lors d'une dîner organisée par l'ordre militaire souverain de Malta
25:27 et dirigée par la première dame de Cameroun, Mme Chantal Bia.
25:31 Aïe Mbile a des rapports sur l'accès à l'événement.
25:36 20 ans après l'Aït, c'était quand la première dame est arrivée à la Yawundé Hilton.
25:43 Elle a été la dame de la dîner, la maire de la ville, le général de la Hilton et l'ambassadeur du souverain ordre de Malta, Jean-Christophe Hietzièque.
25:56 Avec lui, organisateur de la dîner, Mme Chantal Bia a pris les dernières étapes dans la Hilton
26:02 où près de 300 invités se sont réunis pour l'événement.
26:07 Dès qu'on parle de la charité, dès qu'on parle de l'accompagnement des personnes nécessitées, on voit tout de suite Mme Chantal Bia.
26:16 Parmi eux, le sénateur François Spionnet a été honoré de soutenir la philanthropie de Mme Chantal Bia,
26:23 dont le leadership dans les actions humanitaires, elle dit, est inégal.
26:28 Une reconnaissance qui a résonné à nouveau dans le salon où la première dame a été accueillie avec les bras ouverts.
26:36 Parmi les invités, il y a eu des diplomates, des membres du cabinet, des membres du Circle des amis de Cameroun-Sérac,
26:44 des législateurs, des collaborateurs de la présidence, des autorités administratives et religieuses, des gens et des familles.
26:52 L'ambassadeur de Malta et le souverain ordre de Malta qui a eu un cadeau priceless pour la première dame,
26:58 un livre de XVIIIe siècle sur les traditions de l'autre, avec plus de 900 ans au service des pauvres et des pauvres,
27:06 a honoré et remercié la première dame pour son engagement sans cesse d'assister sur les privilèges qui, ce soir, bénéficieront à trois sites de santé.
27:15 Le Saint John de l'hôpital de Malta à Jombe, le centre de Rohan Chabot à Mokolo,
27:20 et les unités d'oncologie du Centre des Mères et des Enfants de la Fondation Chantal Bia avec des rendez-vous d'amélioration présentés pendant cette cérémonie.
27:29 Nous sommes les premiers dans la région et nous voulons rester les premiers.
27:33 C'est pourquoi nous attendons tellement ce gala pour prendre soin de tous les patients.
27:41 Nous avons besoin aussi d'entraînement car nous voulons entraîner nos professionnels en infirmière.
27:50 Des œuvres pour les mettre sous le feu de vos enchères.
27:53 Puis, le fonds a été élevé, un fonds qui a été dépassé par la vente d'une vingtaine d'objets,
27:58 une sache de café arabique de 60 kg, une peinture, des sculptures de bois et de métal, des scalabaches,
28:05 des lucas de 50 et 38 ans et d'autres, qui ont généré une somme de 30 millions de francs de Bidas,
28:14 tout galvanisé par la présence vibrante de Mme Chantal Bia.
28:19 Je tiens à remercier la première dame, parce que sans sa présence,
28:25 peut-être qu'il y aurait eu moins de motivation, d'animation et de joie à rendre service.
28:32 C'est un premier essai.
28:35 Les soirées de gala avec des mises aux enchères, c'est la première fois que ça se passe au Cameroun.
28:41 Un fin satisfaisant pour la première dame aussi,
28:44 heureuse d'avoir renforcé la chaîne d'espoir pour les patients en Cameroun
28:48 et des liens d'une décennie entre Cameroun et Malta.
28:52 Des moments éprouvés par des mélodies succèdes et dépassés par la première dame,
29:00 qui a également échangé avec des invités,
29:03 avant de partir pour le Palais Unit à quelques minutes jusqu'à midi.
29:08 Sur la page de présentation d'aujourd'hui, nous vous emmènerons danser les rythmes du danse Nganda,
29:16 du balondo, la division indienne de la région sud-ouest,
29:20 le danse traditionnel est animé par un masquerade,
29:23 connu comme Makongo, Jorat Nanji, un guide de Yambe.
29:29 Le groupe de danse Nganda est un héritage commun du peuple balondo.
29:33 Le groupe de danse Nganda est une création du clan Balondo-Bandanga.
29:37 Le Balondo-Man est né au Congo démocratique.
29:40 Nous avons eu un arrêt à Calaba, en Nigéria.
29:42 Nous avons dû traverser pour arriver dans la forêt de Ilo,
29:45 où nous sommes entrés dans un certain riveau.
29:47 dans la forêt de Ylo, où nous entrons dans un certain rivier.