SP:"Pompier, L’édition 2023 de la FINAT se déroulera à St-Etienne.

  • l’année dernière
Félix Forissier au sommet en Cross-Triathlon.
Ancien handballeur, c'est à 14 ans que Félix Forissier suit les traces de son frère et se met au triathlon.
Des débuts compliqués en natation, mais rapidement des podiums et de bons résultats, jusqu'au top des podium avec le titre de champion du monde.

Les chevaux, ces nouveaux thérapeutes pour nos seniors.
Le programme Equiaction est un fonds de dotation de la FFE. Il a pour but de soutenir l'excellence équestre Française, avec pour objectif, les jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. C'est grâce à ce fonds qu'une partie des séances d'équithérapie a pu être prise en charge financièrement au centre équestre d'Equit'Astrée, en partenariat avec l'Ehpad de Boën sur Lignon, afin d'accompagner des seniors à des séances de médiation équine.


BASKET, une première pour ST-JUST-ST-RAMBERT.
La montée historique en nationale 3 féminine de ST-JUST-ST-RAMBERT


L'édition 2023 de la FINAT se déroulera à St-Etienne.
Les sapeurs-pompiers de la Loire organiseront un événement sportif national le samedi 1er juillet 2023 à Saint-Étienne.

Jamais cela ne s'est produit sur le territoire ligérien.
Transcript
00:00 Bonsoir à toutes et à tous, ravis de vous retrouver sur le plateau de Sportsnet et comme
00:25 d'habitude en public, un public de folie, c'est la Pontoise c'est ça ? On applaudit la Pontoise,
00:31 on en parlera un peu plus tard sur le plateau de Sportsnet, ça va les chroniqueurs ?
00:36 Ça va très bien.
00:37 On voit que c'est caliente sur le plateau, il fait chaud.
00:41 Il fait très chaud.
00:42 Il fait chaud au public alors c'est pour ça.
00:44 C'est pour ça, t'as tant peu plus toi.
00:45 Ouais j'en peux plus ouais.
00:46 Mais il y a une très belle actualité basket c'est pour ça.
00:49 Exactement, alors sans plus tarder on va vite rentrer dans le sujet, on va faire un petit
00:53 teaser ? Un petit teaser oui.
00:54 On va aller chercher les téléspectateurs.
00:56 Exactement, on peut applaudir si vous voulez bien.
00:58 Thomas Krasinski référent au sport du 10 de la Loire-Carreux.
01:02 Pourquoi vous êtes là ce soir ?
01:04 Pour parler de la première finale nationale des sapeurs ponky organisée à Saint-Etienne
01:08 et dans la Loire.
01:09 C'est une première exactement et dans la Loire.
01:11 À côté de vous, je vous présente Lilian Bard, porte-fois de ponky.
01:14 Bonsoir à tous, le portrait de la semaine c'est Félix Faurissier.
01:17 On avait eu la chance d'avoir le portrait de son grand frère il y a quelques temps et
01:20 Félix Faurissier est actuellement en train d'aller chercher tous les podiums.
01:24 Donc forcément on est allé à sa rencontre.
01:26 Voilà en face de vous notre référente et qui t'assure, Maria Charles.
01:30 On est allé du côté de Saint-Etienne-le-Molard au centre Ecastequi-Astray.
01:36 Les chevaux, c'est nouveau thérapeute pour nos seigneurs Julien.
01:39 Il faudra en amener un aussi même pour moi.
01:41 Ah mais oui mais on m'a dit pas sur la moquette.
01:43 Pas sur la moquette.
01:44 Et à côté de vous l'excellentissime Ephémide Mir.
01:48 Bonsoir Julien, bonsoir à toutes.
01:50 C'est sérieux, on a la chance d'avoir le club de la Pontoise dans le public avec les
01:57 U11, les U17 et des mamans.
01:59 Et un papa aussi.
02:00 Il y a un papa qui est venu.
02:02 Et surtout on va parler dans la Nationale 3 féminine, la future équipe Nationale 3
02:06 féminine, des U17, des U11 et surtout de la GP League.
02:10 Et vous m'avez demandé de passer en dernier.
02:13 Oui.
02:14 On va dire la vérité pourquoi Thomas ? Vous savez pourquoi ?
02:16 Non.
02:17 Parce qu'on aura plus d'états.
02:20 On aura débordé.
02:22 Voilà.
02:23 Thomas, la Finate, elle s'appelle comme ça, pourquoi la Finate ?
02:27 Parce que c'est une finale nationale des épreuves athlétiques et du parcours sportif
02:32 des sapeurs-ponçages.
02:33 Ça existe depuis combien de temps ?
02:34 Ça a été créé en 1949.
02:37 La première édition était en 1949.
02:38 Et jamais, au grand jamais, c'est venu dans la loi ?
02:41 Non, jamais.
02:42 Et la dernière édition régionale était à Grenoble en 1998.
02:47 C'est le plus proche quoi.
02:48 Oui.
02:49 D'autant on a des complexes sportifs adaptés pour ça, non ?
02:52 Ah bah oui.
02:53 On a des complexes sportifs adaptés mais ça tourne sur toutes les régions et tous les
02:56 départements de France.
02:57 Il y a une analyse, c'était en Guadeloupe si je ne me trompe pas, ou Martinique.
02:58 Tout à fait, c'était en Guadeloupe.
02:59 Les plats, c'était cher.
03:00 Justement, il y avait plus d'engouement.
03:03 Les gens se sont entraînés.
03:05 Il y a de l'engouement pour ça, Tétienne ?
03:06 Il y a de l'engouement.
03:07 Alors, une finette, Fendi, Mariel, Lignanbart, vous avez oublié votre gel aujourd'hui ?
03:13 Ah ouais, moi ça fait...
03:14 Il est naturel.
03:15 Bon, je parle d'écologie dans d'autres chroniques et donc je me suis dit qu'il faut arrêter
03:20 de se mettre des trucs dans la gomme.
03:21 Ça fait deux mois que j'ai arrêté.
03:22 Justement, pour celui qui sort de sa douche, qu'est-ce que c'est justement qu'un parcours
03:27 sportif typique pompier ? On a quelques images, mais vous pouvez nous expliquer ?
03:30 Alors, un parcours sportif, ça peut être pompier, c'est un enchaînement d'épreuves
03:34 dans laquelle le sapeur-pompier va courir, tirer un dévidoir, comme on le voit à l'image.
03:39 Alors un dévidoir, attention, on ne peut pas dire des gros mots tout de suite.
03:42 Des grosses roues.
03:43 Il y a des grosses roues, il y a une barre de traction et ça pèse 100 kilos pour des
03:47 seniors.
03:48 Ah ouais ?
03:49 Parce que là, il est avide.
03:50 Là, il est avide, c'était pour les jeunes, mais au quotidien, dans le métier de sapeur-pompier,
03:54 ça nous sert à enrouler des tuyaux et à dérouler ensuite les tuyaux sur intervention
03:58 pour amener l'eau au plus près de l'incendie.
04:00 Alors, il faut courir avec ce dévidoir ?
04:02 Effectivement, il faut faire 100 mètres avec le dévidoir.
04:07 Ensuite, il faut lancer des commandes dans une cible.
04:12 Alors, des commandes, c'est des cordes qui sont enroulées, qui pèsent 1,6 kg et qu'il
04:18 faut lancer dans une cible qui est située à 8 mètres et en hauteur.
04:21 Ensuite, il faut passer dans une chicane à quatre pattes et revenir avec un tuyau dans
04:27 les mains, comme on le voit à l'image, aussi en sauté par-dessus une haie.
04:31 Et ensuite, porter un sac pour les seniors qui pèsent 30 kg, le poser à mi-distance
04:37 et finir en sprint.
04:38 Donc, c'est une épreuve qui dure environ une minute trente pour les meilleurs.
04:41 Ah ouais, c'est solide.
04:44 C'est solide.
04:45 Là, on voit l'image Stéphane Michaud.
04:48 Alors Stéphane Michaud, on en reparlera, mais c'est celui qui a le record.
04:50 Il a eu le record.
04:51 Stéphane Michaud a effectivement le record de France en vétéran à une minute 25 et
04:56 des poussières.
04:57 Il enfume des tiges jeunes encore.
04:59 Il n'y a pas grand monde qui est capable d'aller plus vite.
05:02 Il ne digère rien.
05:03 Il ne digère rien.
05:04 Il est sur le roi-nez.
05:05 Et c'est que pour les pompiers professionnels ou c'est aussi pour...
05:08 Alors, toutes les épreuves sont ouvertes aux sapeurs-pompiers professionnels, aux sapeurs-pompiers
05:12 volontaires, qu'ils soient pompiers ou du service de santé.
05:17 Alors, ce qu'il faut savoir, c'est ça qui est bien.
05:20 Enfin, si je ne me trompe pas, un cabot ou une première classe peut être en compétition
05:27 avec un commandant ou autre.
05:30 Oui, effectivement, on retrouve du sapeur au colonel.
05:33 On peut le fumer sans qu'il y ait...
05:37 Avec des médecins, avec des infirmiers.
05:40 Ça sert à quoi ?
05:41 Oh là là, tout de suite.
05:42 Ça sert à quoi ?
05:43 Qu'est-ce qu'on gagne ?
05:44 Ça sert à quoi de pouvoir passer sur T-shirt ?
05:46 Est-ce que ça permet de monter en grade ?
05:48 De choisir, je ne sais pas, de choisir la caserne où on veut aller ?
05:53 Est-ce que la finalité, c'est juste monter sur scène ?
05:57 Et est-ce qu'on gagne de l'argent ?
05:58 Il y a quelque chose à gagner ?
05:59 Le podium ?
06:00 Non, il n'y a rien de plus à gagner qu'une médaille ou un trophée collectif par équipe.
06:03 Il n'y a aucun avancement de grade.
06:05 C'est simplement une compétition sportive.
06:07 Comme on était sur du professionnel aussi.
06:09 Désolé Thomas, ils sont très piqueniers.
06:11 Eh ben, il faut arrêter quelque chose.
06:13 Alors, nous, on parle de sportif.
06:14 Il faut comprendre que ça, c'est la partie la plus visuelle.
06:17 Ça va se passer à l'étivalière.
06:19 Vous allez nous abîmer la pelouse ?
06:20 Non, non.
06:21 Le divideur qui part un peu en drift comme ça ?
06:25 Non, on organise ces compétitions, qu'elles soient départementales ou régionales, déjà
06:29 depuis un certain nombre de mois.
06:30 Donc la pelouse va bien.
06:31 Une année peut-être à Geoffray-Guichard, on y a pensé ou pas ?
06:34 Ça aurait pu être beau à Geoffray-Guichard.
06:35 Ça aurait pu être sympa, mais il nous fallait une piste d'athlétisme autour pour la partie
06:39 épreuve athlétique.
06:40 C'est ce qui m'inquiète.
06:41 Roro, c'est le temps de nous faire un peu de boudon.
06:42 Concrètement, vous attendez combien de personnes à peu près sur cet événement ?
06:43 En public ou en pompier ?
06:44 En public ou en pompier aussi.
06:46 Alors il y a 985 athlètes qui sont inscrits, qui viennent de France et de l'étropolitaine
06:52 et d'outre-mer, puisqu'on a effectivement les départements d'outre-mer.
06:56 Ah oui, la Guadeloupe vient un peu chez nous quand même.
06:58 C'est des délégations qui sont régionales, à l'exception de la Loire, en tant que département
07:03 organisateur, on avait la possibilité d'avoir une équipe départementale et ce sera le
07:06 cas.
07:07 On a le parcours sportif, mais ça ne s'arrête pas là.
07:10 Il y a d'autres épreuves.
07:12 Vous avez parlé de la piste d'athlétisme, il va se passer des choses sur cette piste.
07:15 Effectivement.
07:16 Il y aura d'autres épreuves.
07:17 Une deuxième épreuve, typiquement en Sapeurs-Pompiers, qui est le grimpé de cordes.
07:19 Une corde d'une hauteur de 5 mètres.
07:21 Alors à quoi ça sert déjà un grimpé de cordes ?
07:23 Mais non, moi je voulais dire...
07:24 C'est pour monter un grain.
07:25 La finalité.
07:26 Non, voilà.
07:27 Un grimpé de cordes ?
07:28 Un grimpé de cordes.
07:29 En combien de temps ?
07:30 Les meilleurs mettent moins de 3 secondes pour monter une corde de 5 mètres, déparassis.
07:35 3 secondes, c'est pourquoi ? Pour se préparer ?
07:38 Autant de temps, 3 secondes ?
07:40 5 mètres ?
07:41 Même en 3 secondes, je ne vais pas en haut des 5 mètres.
07:44 Il ne faut pas louper le départ.
07:46 Tout est au départ.
07:47 Il ne faut pas louper le départ.
07:48 Et après ?
07:49 Et après, il y a des épreuves athlétiques qui sont plus conventionnelles, avec du saut en hauteur,
07:53 du lancé de poids et des courses, que ce soit du demi-fond avec le 1000 mètres,
07:57 pour les seniors et les vétérans, ou des épreuves de sprint, 80 ou 100 mètres en fonction des catégories.
08:03 Ton résultat à vous, c'est quoi ?
08:05 Alors moi, je n'ai jamais eu la capacité de me qualifier sur une finale nationale.
08:10 Le niveau est haut.
08:12 Oui, la corde, on la fait régulièrement.
08:14 Il l'a fait à l'entrée pour être lieutenant.
08:18 Obligé.
08:19 Quel épreuve vous prendrez, Ifendi ?
08:23 L'épreuve.
08:24 Tu préfères le lancé de poids ?
08:25 Non, je vais tirer le truc, 100 kilos, c'est bien ça.
08:28 Le parcours sportif ?
08:30 Parcours sportif.
08:31 Je ne monte pas la corde, c'est compliqué.
08:34 C'est la poudre qui vient de toi.
08:36 Exactement.
08:37 Marielle ?
08:38 Moi, sprint.
08:39 Sprint ?
08:40 Oui.
08:41 Moi, je cours de sprint.
08:42 Lyon ?
08:43 Je vais lancer le petit objet d'un kilo six dans la cible.
08:46 C'est cumulé, par contre.
08:47 C'est cumulé, vous n'avez pas compris, c'est tout cumulé.
08:49 On a dit qu'elle faisait le délidoir.
08:51 On peut le faire à deux.
08:53 On fait une équipe.
08:55 Parce que quand le délidoir pèse plus que moi, du coup...
08:58 Tu laisses tes bras.
08:59 Il pèse plus que la plupart des athlètes, évidemment.
09:02 Un peu plus tard avec vous, Thomas, on va parler quand même de ces magnifiques ambassadeurs,
09:07 nos chances de médaille, quand même, et aussi que c'est ouvert au public.
09:10 Bien sûr.
09:11 Il ne faut pas oublier.
09:12 Mais pour l'heure, est-ce que vous savez ce qui s'est passé ce week-end ?
09:14 Un petit peu sur toute la loi, sauf sur Eurosport.
09:16 Ce week-end, un peu de cyclisme.
09:20 Oui, un peu de vélo, mais on ne l'a pas mis.
09:22 Nous, on ne l'a pas mis.
09:24 Vous verrez, c'est un peu brûlé de jauge, mais si vous tapez Eurosport, vous allez trouver l'excès.
09:28 Alors, sans plus tarder, qu'est-ce qui s'est passé ce week-end ?
09:30 Regardez cette image.
09:31 En bref, c'est toute l'actualité sportive de votre département en deux minutes.
09:35 En bref, on démarre avec notre princesse du ring, Lince Thomas,
09:38 qui est montée à Paris pour affronter Inès Piluti en finale des Championnats de France de kickboxing.
09:43 Après quatre rounds de trois minutes, c'est une victoire par décision arbitrale pour le clan né pour combattre de Saint-Chamond
09:49 et donc une belle ceinture à rajouter au palmarès du club.
09:52 En bref, du côté de Savigny, il y avait une belle rencontre sportive à l'occasion de l'inauguration du nouveau terrain de rugby au stade Clodus-du-Port.
09:59 En effet, pour que ce soit une belle fête autour du sport, les amoureux de rugby ont pu assister à un match professionnel féminin
10:04 qui opposait la SM au Loup, suivi d'un vrai moment de partage avec les enfants, photos, autographes et festivités en tout genre.
10:11 Un moment réussi pour le club et la grande famille rugby.
10:14 En bref, la Stéphanoise, la course 100% féminine a réuni plus de 800 ladies et sans compter les enfants qui étaient nombreux au parc de l'Europe.
10:20 Marion, est-ce que tu peux nous remettre un peu dans le contexte de la course s'il te plaît ?
10:24 Alors, c'est une course 100% féminine qui est là pour deux associations, Cœur de Cèd et la Ligue contre le cancer.
10:30 Deux euros sont reversés à chaque dossard.
10:32 C'est une course qui permettait de faire un moment convivial, sans compétition, sans chronomètre.
10:38 C'était juste l'histoire de partager un moment entre femmes.
10:40 Merci Marion. Et donc pour info, même si le chronomètre ne compte pas, la victoire revient à notre Stéphanoise, Jeanne Colombe.
10:46 En bref, on clôture avec la finale de la Coupe de la Loire qui se jouait sur terrain neutre à l'Étras devant plus de 2000 supporters
10:52 venus encourager Saint-Galmier-Chambeuf et la S-Chavannay.
10:55 Victoire 4-2 en faveur des baldomériens qui remportent leur première Coupe de la Loire
10:59 grâce à un collectif irréprochable et à un match de grande classe de MCIA.
11:03 Allez gros bisous les sportifs !
11:05 - Ben voilà, ça papote hein ? - C'était pas mal, ça papote.
11:17 Sans plus tarder, on va parler équitation. Avec vous Marielle Charroix.
11:21 - Et vous voulez finir l'année en beauté. - Oui, en beauté.
11:24 C'est pour ça que j'aime mes chroniques, parce que j'aime aller à la rencontre des gens qui œuvrent pour les autres.
11:28 - Donc l'année prochaine c'est bon, on vous verra. - Oui, oui.
11:32 On a souvent été à la rencontre d'enfants, et jamais auprès de nos seniors.
11:36 Et je sais pas si vous vous rappelez Julien, il y a 15 jours, on avait reçu Thierry Grange,
11:40 qui est le président du comité départemental de la Loire.
11:44 Quand il était venu sur le plateau, il nous avait parlé d'une commission qui lui tenait tout particulièrement à cœur,
11:48 qui était Cheval et Diversité.
11:50 Moi je me suis dit, ben d'en parler c'est bien, mais comment ça se passe sur le terrain ?
11:54 Donc je suis allée voir en action au centre équestre équitastré à Saint-Etienne-le-Molard,
11:59 où j'ai été reçue par Elisabeth Tréhian, qui est la présidente du centre équestre depuis plus de 30 ans,
12:04 qui est également vice-présidente du CDTE 42,
12:08 et qui a mis en place avec les pattes de Boin-sur-Lignon une activité d'équithérapie
12:12 pour un peu plus d'une douzaine de personnes âgées, dont certaines sont atteintes de la maladie d'Alzheimer,
12:17 et des séances de médiation animale équine avec Sophie Luquet, qui est une intervenante extérieure.
12:23 Donc je vous propose tout de suite de regarder un reportage rempli d'humilité.
12:27 Alors, équitastré, c'est un centre équestre associatif situé à Saint-Etienne-le-Molard,
12:35 dont je suis la présidente depuis maintenant une trentaine d'années.
12:39 On a une soixantaine de chevaux épodés.
12:41 Alors, on pratique le CSO, le Hunter, le dressage et les kiffen.
12:48 Donc la commission Cheval et Diversité de la Fédération Française d'Équitation,
12:52 c'est une commission qui a pour objectif de mettre en relation les enseignants d'équitation avec les soignants,
13:00 et qui propose également une formation de médiation avec les équités.
13:06 Donc c'est tout ce qui concerne le handicap, le soin et l'inclusion.
13:11 Oui, donc moi je suis intervenante indépendante.
13:15 Donc j'interviens dans différents centres équestres de la région,
13:19 comme aujourd'hui équitastré, mais dans d'autres également,
13:22 où je propose des activités autour du cheval,
13:26 que ce soit pour monter dessus ou pour mener des activités à côté,
13:30 comme s'occuper du cheval, le brosser, lui donner à manger, le promener.
13:37 Voilà, on adapte les activités selon les capacités des personnes.
13:40 Alors aujourd'hui, on a la chance de participer à un programme qui s'appelle Équiaction,
13:45 qui a été mis en place par la Fédération Française d'équitation et Paris 2024,
13:50 qui nous a permis de financer en partie ces séances,
13:54 ces douze séances avec les personnes âgées, grâce aux mécènes du Crédit Agricole.
13:59 Et donc aujourd'hui, nous avions ciblé des activités sur la motricité fine,
14:04 avec le brossage, la réalisation de tresses sur les poneys.
14:08 Alors on voit des personnes qui sont maintenant beaucoup plus à l'aise,
14:11 que ce soit avec nous, avec leur environnement, avec les chevaux.
14:15 Et beaucoup plus de prise d'initiative,
14:21 même si c'est des personnes qui ont un petit peu perdu la mémoire,
14:24 voire beaucoup perdu la mémoire, les gestes reviennent,
14:27 les envies de faire, l'élan de vie, pour beaucoup de personnes,
14:32 elles sont arrivées ici un petit peu éteintes.
14:34 Et là, aujourd'hui, on les voit pleines d'élan, d'envie,
14:39 le sourire, voilà, jusqu'aux oreilles.
14:42 Et des gens qui étaient plus en retrait, maintenant, sont dans l'élan de vie.
14:46 La relation avec le cheval et les animaux peut faire du bien à tout le monde
14:50 et permettre d'évoluer suivant la difficulté à laquelle on est confronté.
15:06 - Ah oui, Maria, le public se trompe pas !
15:08 Plein d'émotion, plein d'humilité.
15:10 - Magnifique.
15:13 Très très beau reportage, je crois que vous êtes avec Claudine,
15:16 qui est psychomotricienne et donc qui a participé à l'une des séances...
15:19 - Oui, qui travaillait à l'EHPAD, c'est ça ? - À l'EHPAD de Bois.
15:21 - C'était la première fois ? - C'était la première fois, oui.
15:24 - Et alors ? Vous avez l'habitude de les voir, ces pensionnaires ?
15:27 - Oui, c'est extraordinaire.
15:28 - Mais dans quel sens ? Les chevaux sont extraordinaires,
15:30 la mèche, elle est bien faite, hein, les chevaux.
15:32 Mais extraordinaire pour quoi ?
15:33 - Le lien avec l'animal, ils redécouvrent quelque chose
15:36 qu'ils n'ont pas eu depuis extrêmement longtemps.
15:40 Et c'est tout plein d'amour, de bienveillance et de beauté, quoi.
15:45 - Et pourquoi on ne le fait pas avant, ça ?
15:47 - Parce que c'est cher, c'est très très cher.
15:49 - Ah, toujours le problème. Et c'est financé, Maria, par ?
15:51 - Alors justement, je pense qu'il est important de dire
15:53 que c'est financé par EquiAction.
15:55 Donc EquiAction, c'est un fonds de dotation
15:57 de la Fédération Française d'Equitation
15:59 qui a pour but de promouvoir, en fait,
16:01 l'excellence équestre à la française
16:03 avec pour objectif, vous en douterez, les Jeux Olympiques
16:05 et Paris 2024.
16:07 - Et vous ne voulez pas, Claude, adopter un poney ?
16:10 - On voulait bien essayer de...
16:11 - Un bois sanignon, comme ça ?
16:12 - Oui, on voulait le laisser à l'EHPAD,
16:13 mais ils ont voulu le reprendre, ils ne nous l'ont pas laissé.
16:16 - Ah bah oui, c'est sûr.
16:17 Est-ce que vous pensez que prochainement,
16:19 il y aura d'autres actions ou pas ?
16:20 - On espère, on espère, on espère.
16:22 On espère avec Madame Treyan du centre équestre,
16:25 avec certains financeurs, et puis on peut faire des appels
16:28 à des donneurs anonymes.
16:30 - Exactement.
16:31 Et ils en parlent encore, les pensionnaires ?
16:33 - Oui, bien sûr, bien sûr.
16:34 - Donc le cheval s'appelait Ponchon ?
16:35 - Non.
16:36 - Étoile.
16:37 - Ah, ça va, ça va.
16:38 - Il y avait plusieurs poneys.
16:39 On a pu aussi approcher des chevaux plus grands,
16:42 mais c'est vrai qu'au niveau du lien,
16:43 c'est parfois plus simple avec des petites tailles,
16:46 parce qu'on a des personnes en fauteuil roulant,
16:49 on a des personnes qui ont besoin de la même hauteur.
16:54 - Ah oui, exactement.
16:55 Mais Fendi aime bien aussi les petits poneys.
16:57 Merci à vous.
16:58 - Ce qui est très juste, et là où je voudrais rebondir
17:01 sur les propos de Claudine, c'est qu'il y a de plus en plus
17:03 aujourd'hui d'EHPAD qui font appel à la médiation animale
17:06 et notamment Ekin, mais il y a un cruel manque
17:09 de moyens financiers.
17:10 Donc j'espère que les mœurs vont changer.
17:11 - On ne va pas dire n'importe quoi, mais en général,
17:13 par animation, on est à 16 euros.
17:15 - Oui, par personne.
17:17 - Par résident et par...
17:19 - Voilà, donc c'est une moyenne qui est bien maigre.
17:22 Et il y a une phrase qui m'a beaucoup marquée
17:24 que je voulais partager avec vous pour expliquer, en fait,
17:26 les bienfaits qui sont quand même fondés et évalués.
17:29 On ne sort pas ça d'un chapeau.
17:31 C'est "à cheval, il n'y a pas d'âge ni de handicap".
17:34 - Oh, c'est bon.
17:35 - Voilà, et ça permet de valoriser les personnes,
17:37 de gagner en estime de soi, en confiance en soi,
17:39 et puis ne se retrouve pas dans cette position où,
17:41 eh bien, c'est eux, finalement, qui apportent quelque chose
17:43 à l'autre, et là, en l'occurrence, à l'animal et au cheval.
17:46 Donc j'espère vraiment que les mœurs vont changer
17:48 et qu'on va pouvoir développer.
17:49 - Cette année, là, Marielle, entre 2022 et 2023,
17:51 vous nous avez présenté trois sujets,
17:53 soit avec des personnes âgées, soit avec le monde de handicap,
17:57 ou alors avec de l'enfance.
17:59 - Oui, des enfants.
18:00 - Donc l'équithérapie est vraiment au cœur de...
18:02 - Oui, vraiment.
18:03 Et de plus en plus, on voit de plus en plus maintenant
18:05 de chevaux qui vont dans les maisons potrêtes.
18:06 - Et même les chefs d'entreprise, hein,
18:07 pour apprendre à donner des ordres.
18:09 - À la médiation, parce qu'un cheval, ça ne ment pas.
18:13 Vous ne pouvez pas le tromper.
18:14 Donc la relation à l'animal en général, d'ailleurs,
18:17 pas qu'avec le cheval, mais voilà.
18:19 Donc j'espère vraiment que ça va évoluer,
18:20 que ça va changer.
18:21 - Merci à vous, Marielle.
18:22 Il faut savoir aussi que FNDI se prête au brossage.
18:25 Vous aimez bien vous vous faire brosser ?
18:27 - Non, franchement, moi, j'ai...
18:28 Non, mais l'équitation, c'est quelque chose d'extraordinaire.
18:30 - Vous les épatez.
18:31 - Non, non.
18:32 - Je ne le trouve pas bien, là.
18:33 - Non, mais ce qui me passionne...
18:34 - C'est une bête bête.
18:35 - Julien, sérieusement, je ne sais pas si vous avez remarqué,
18:37 quand elle fait ses sujets, Marielle,
18:39 on voit, ce n'est plus "Vis ma chronique",
18:41 c'est l'engagement total, la passion qu'elle a
18:43 à travers ses chroniques.
18:45 - Ah, mais c'est bon, elle a re-signé pour l'année prochaine.
18:48 - Merci, FNDI, je vais rester, du coup.
18:51 - Sans plus tarder, FNDI, dans quelques instants,
18:53 on va parler de la pontoise.
18:55 - On va parler de la pontoise et surtout de la GP League.
18:57 Vous savez c'est quoi, la GP League ?
18:59 - Non, moi, je suis semblant.
19:00 - On connaît la GP League.
19:01 - Oui, mais pas la GP League.
19:02 - La GP League, c'est quelque chose d'extraordinaire,
19:04 ça va se passer dans la Loire.
19:05 C'est ce week-end, votre finale, finate, là ?
19:07 - Non, non, non, pas encore.
19:08 - C'est bon, ce week-end, vous savez où vous allez partir.
19:10 Vous allez aller du côté de Saint-Just-à-Rembert
19:12 à la Bombonnière, vous allez voir, il y a du spectacle.
19:14 - Il est bien ce côté-là.
19:15 Mais pour l'heure, c'est Portrait de sportif,
19:16 parce que souvent, on ne connaît pas nos sportifs locaux
19:19 et c'est un peu votre rôle liant depuis le début de l'année.
19:22 - Exactement.
19:23 - C'est votre dernière.
19:24 - C'est la dernière, mais par contre,
19:26 je prévois une belle pépite pour la semaine prochaine.
19:29 - Ça y est, il commence à tiser.
19:30 - Le retour de Savas Bardé.
19:31 - Le retour de Savas Bardé.
19:32 Après plus d'un an et demi,
19:34 mais bon, vous verrez la semaine prochaine.
19:36 Je ne serai pas sur le plateau, mais en tout cas...
19:37 - Thomas Savas Bardé, parce que comme il s'appelle Bard,
19:39 on a un peu les mêmes.
19:40 - On avait galéré à trouver le nom de la famille.
19:43 - Mais pour l'heure, Portrait de sportif.
19:47 - On a le dernier Portrait de sportif de cette saison
19:50 et il a enchaîné les podiums,
19:51 il fait de très, très belles performances
19:53 et du coup, je suis allé à la rencontre de Félix Faurissier.
19:55 On avait fait la rencontre de son frère il n'y a pas très longtemps.
19:57 - Son grand frère.
19:58 - Son grand frère, c'était une affaire de famille.
20:00 Félix, c'était handballeur,
20:02 il a commencé le triathlon à l'âge de 14 ans
20:05 pour suivre les traces du frangin.
20:07 - Il savait nager, Félix.
20:08 - Et il ne savait pas nager non plus.
20:10 - Non plus.
20:11 - Comme le grand frère également,
20:12 ce n'était pas son point fort la natation.
20:14 Par contre, il excellait du côté du VTT
20:18 et actuellement, il est champion du monde de cross triathlon
20:22 et on est allé à sa rencontre du côté du Jardin des plantes
20:26 où il nous fait un très beau portrait de son histoire,
20:29 de son parcours, de ses anecdotes, de ses photos, etc.
20:33 [Musique]
20:41 - Alors le triathlon, en réalité, ça vient de mon frère.
20:50 C'est mon frère qui a commencé à faire du triathlon.
20:53 Moi, à l'époque, je faisais du hand.
20:55 Donc je m'y suis mis un petit peu pour lui faire plaisir.
20:58 J'ai aimé la course à pied, le vélo d'entrée, la natation.
21:01 Ça a été très compliqué.
21:03 Ça a été la partie vraiment la plus difficile du triathlon pour moi.
21:07 Première année où je me mets au triathlon,
21:09 donc j'avais 14 ans, j'étais en troisième.
21:12 Je réussis à me qualifier au championnat de France
21:16 de duathlon et de triathlon en minimum du coup.
21:19 Derrière, mon plus beau et mon plus récent titre,
21:22 c'est champion du monde en cross triathlon.
21:27 C'était à Ibiza et c'était cette année.
21:29 Il y a maintenant deux mois de ça.
21:31 Il y a très peu de jours où je ne fais qu'un sport.
21:33 Très souvent, je fais deux, voire trois sports,
21:35 voire quatre sports avec la musculation.
21:38 En général, deux à trois sports par jour.
21:41 C'était sur un sélectif de duathlon où, à la base, je ne devais pas courir.
21:49 Au final, j'ai quand même fini par prendre le départ.
21:53 À la fin du vélo, je fais une hippo qui me fout droit.
22:00 Je suis tombé pendant la course à pied dans un virage.
22:04 Je me suis complètement écorché.
22:06 Je n'ai aucun souvenir de cette fin de course.
22:11 C'est l'arrivée du XTR à France que je remporte l'an dernier.
22:22 À l'arrivée, je crois que je m'écroule et que je lâche quelques larmes.
22:26 C'était vraiment dur et c'était nerveux.
22:32 Je n'en pouvais plus.
22:34 Rien de tout ça.
22:40 C'est voulu parce que j'essaie de faire les choses au mieux.
22:46 Mais si jamais ça varie un peu avant les courses, ce n'est pas grave.
22:50 Je ne suis pas attaché à quelque chose en particulier.
22:52 À l'avenir, au-delà des championnats du monde de cette année,
22:58 je rêve de pas grand-chose.
23:01 Si je ne les réussis pas, ce sera les championnats du monde de l'année d'après.
23:05 On verra quel coursissier fait la différence maintenant.
23:12 Qui est le plus fort ?
23:13 On ne sait pas.
23:15 Il m'a juste dit qu'on se donne des tips, qu'on s'aide pendant la course.
23:21 On peut se dire qu'on est moins rival qu'avec d'autres.
23:26 On peut se dire qu'en VTT, il y a un creux, que ça grimpe.
23:32 On peut se donner des petits tips entre frangins.
23:34 Par contre, ça reste la compète.
23:36 On est moins énervé qu'avec d'autres parce qu'on reste frères.
23:42 Mais par contre, on a la compète.
23:44 Ils sont en équipe de France tous les deux.
23:46 Ils ont le même coach et ils s'entraînent ensemble.
23:48 Il faut savoir qu'il y a un an et demi, Félix ne gagnait pas de moins.
23:53 Il gagnait beaucoup moins.
23:55 Maintenant, on voit Félix sur les podiums.
23:57 Quand on voit physiquement, la compulsion de Félix est quand même...
24:01 Autre chose aussi qu'on voit sur le portrait, c'est que derrière lui, il y a un vélo de route.
24:07 C'est un vélo de route.
24:08 Là, on est sur du Xterra et du Cross Triathlon.
24:10 Pourquoi il fait du triathlon ?
24:12 Parce que le vélo de route apporte plus de complémentarité niveau sportif pour l'entraînement que le VTT.
24:19 Donc, en fait, ils s'entraînent en vélo de route, mais dans leur sport de tous les jours, ils font que du VTT.
24:24 C'est super chou, ça.
24:26 OK, merci à vous.
24:28 Sans transition, on peut le dire, la Finat, pour un événement aussi grandiose et national, il fallait des ambassadeurs.
24:35 Oui, tout à fait, Julien.
24:37 Deux ambassadeurs pour la Finat.
24:39 L'Ilien, exprès.
24:41 Non, non, des vrais ambassadeurs.
24:43 Et ce n'est pas Félix, mais c'est Arthur Faurissier, un des deux ambassadeurs de la Finat.
24:48 On va les voir.
24:49 Et je connais la seconde ambassadrice, qui a marqué un peu l'année 2023 aussi.
24:54 Qui a marqué l'année 2023 et qui marque la télévision et le sport depuis quelque temps.
24:59 On va les voir en image, justement.
25:01 C'était quoi le fait d'avoir...
25:03 Seront présents le jour J, les ambassadeurs ou pas ?
25:05 Le temps qu'on remobile la cassette.
25:08 Ah oui, c'est les parrains. Excuse-nous, on appelait "ambassadeurs", c'était écrit "parrains".
25:12 On les voit. Ils se sont prêtés au jeu de la caméra.
25:16 Tout à fait, ils se sont prêtés au jeu de la caméra, pour la promotion de l'événement également.
25:21 Et ils ne pourront pas être là le jour de la finale nationale, puisque tous les deux seront en compétition, chacun de leur côté.
25:28 Donc Morane est aux États-Unis pour les internationaux de Ninja Warrior.
25:32 Normal.
25:33 Et Arthur en compète aussi.
25:35 Toujours en compète.
25:36 Mais ils ont dit que c'était quand même chaud, le parcours sportif, il faut le dire.
25:41 Pour des sportifs, dire que c'est chaud, c'est un autre exercice.
25:45 Tout à fait.
25:46 Il n'y a pas la perche, on est d'accord.
25:48 Morane s'est notamment prêté au jeu du grimpé de cordes, puisque c'est un peu son domaine de prédilection.
25:53 Elle a fait trois secondes ou pas ? Dites la vérité.
25:55 Non, on n'a pas cherché le chrono.
25:57 Je crois qu'elle était lestée en plus, avec la bouteille.
26:00 Effectivement, elle était lestée avec du matériel sapeur-pompier.
26:03 Mais elle l'a fait.
26:05 Moi, j'aimerais savoir, est-ce qu'on a des chances de médailles pour nos équipes légériennes ?
26:10 Parce qu'on joue la compétition quand même, on ne va pas revenir à Bredouille.
26:14 Et pas que chez les vétérans.
26:16 Non, pas que chez les vétérans et dans plusieurs disciplines.
26:19 On a effectivement des chances de médailles, on en parlait tout à l'heure avec Stéphane Michaud,
26:23 en vétéran sur le parcours sportif.
26:25 Toujours sur le parcours sportif, on a Thibault Escoe qui a été troisième l'an dernier, aussi à la finale nationale.
26:30 Au son à hauteur, on a chez les féminines, quelqu'un qui a été recordman de France, Dési Fabre.
26:38 Combien, vous savez ?
26:40 Non, je n'ai plus le record en tête.
26:42 On est au-delà des cinq, je crois, quatre, quatre et demi ?
26:44 Non, on est à un mètre...
26:46 Ah, mais pas à la perche, pardon.
26:48 Non, non, pas à la perche.
26:50 Pourquoi j'ai mis de la perche ? Parce que chez les pompiers, ils ont des perches.
26:52 Oui, il y a la perche de feu, mais on ne se fera pas là-dessus.
26:55 Et également sur le grimpé de cordes, chez les féminines,
26:58 on a plusieurs vraies chances de médaille.
27:01 Et même, on l'a vu dans l'interview de la Stéphanoise.
27:03 J'allais le dire aussi, sur l'interview de la Stéphanoise, on a vu Marion Pipié,
27:07 qui a été médaillée aussi par le passé.
27:10 Et qui est qualifiée avec l'équipe départementale de la Loire.
27:14 Et du coup, l'événement est ouvert au grand public, on peut venir ?
27:18 Tout à fait. C'est une compétition réservée aux sapeurs-pompiers,
27:22 par contre le public peut venir, c'est ouvert, c'est gratuit et accessible à tous.
27:27 En général, c'est une belle fête, dans les tribunes d'Orillux ?
27:30 - Oui, oui. - C'est la première fois, mais...
27:32 900 athlètes qui se déplacent avec leur staff.
27:35 On va dire quoi, c'est des staffs... Par deux, par trois, on multiplie ?
27:38 Oui, au total, c'est 1 200 personnes.
27:41 - 1 200 personnes et... - 200 accompagnateurs,
27:43 un millier d'athlètes.
27:45 Il y aura une belle ambiance, il y aura aussi un village de partenaires
27:49 où vous pourrez retrouver des produits dérivés sapeurs-pompiers.
27:52 Elle adore, Marielle, c'est vrai.
27:54 - Les miniatures, elle en achète tout le temps. - Il y a la proie de l'habitant.
27:58 Il y a une buvette, c'est ce qu'on veut savoir.
28:00 - Il y a de l'eau. - Il y en a même deux, buvettes.
28:03 - 1 200 personnes. - Il va faire chaud, c'est pour ça.
28:06 - Il fera chaud. - Chaleur.
28:08 - On espère qu'il fera chaud. - Et surtout, on n'oublie pas,
28:10 c'est une première nationale du beau monde et des champs de médailles.
28:15 Tout à fait, Julien, c'est bien résumé.
28:17 La Marseillaise... Non, mais non, on peut surtout se forcer à danser.
28:20 Mais est-ce que, justement, si on va au-delà, il nous reste encore un peu de temps,
28:23 est-ce qu'il y a, après, des sélections au niveau départemental,
28:26 sélection au niveau France, est-ce qu'il y a une grosse compétition
28:29 au niveau européenne ? Ous, on n'arrive pas à...
28:32 Non, ça n'existe plus. Il y a eu les mondiaux.
28:34 Il y a effectivement le départemental, le régional, puis le national.
28:37 Il y a quelques années de ça, des mondiaux avaient été organisés,
28:40 mais c'est vraiment une épreuve, notamment le parcours sportif,
28:42 qui est très française.
28:44 C'est vrai qu'il faut arriver à... Et qu'ils essayent un petit peu.
28:48 Oui, c'est une idée.
28:50 On rappelle, on va voir la fiche. C'était quand ?
28:52 C'est le 1er juillet à Saint-Etienne, et ça débute...
28:54 Du côté de l'Étivalière.
28:56 Du côté de l'Étivalière, effectivement, au stade Henri-Lux.
28:58 Ça commencera dès 8h du matin.
29:00 Merci à vous, Thomas.
29:02 Et pour le moment, on verra Thomas courir dans tous les sens,
29:07 parce que je pense que ça va courir.
29:11 C'est une sacrée organisation.
29:12 Vous êtes combien, pour remercier tous les organisateurs ?
29:14 Vous y participez, vous, non ?
29:16 Moi, ce jour-là, je pense que j'ai un tournage.
29:20 Vous me viendrez faire un petit coucou ?
29:22 Avec plaisir, bien sûr.
29:23 À côté de vous, on reçoit qui, effectivement ?
29:25 Geoffroy. On peut l'applaudir bien fort.
29:27 Ça compte pas, Geoffroy vient avec son public.
29:33 Il vient avec son public, ouais.
29:35 Geoffroy, donc, qui vient nous voir pour nous parler un peu.
29:39 Dans un premier temps, il a plusieurs casquettes, Geoffroy.
29:41 C'est ça qui est top.
29:43 Pour nous parler dans un premier temps de la pontoise,
29:46 et des différentes équipes qu'il coache.
29:49 Il n'en coache pas une.
29:50 Donc, notamment, on va voir les images tout de suite.
29:52 C'était la semaine dernière, Geoffroy,
29:54 avec les filles en pré-régional,
29:58 le plus haut niveau en pré-national, on va dire,
30:01 qui montent en National 3.
30:02 Une première historique pour le club.
30:04 Tout à fait, tout à fait.
30:05 C'était les objectifs ou pas ?
30:06 C'était les objectifs annoncés, on ne s'est pas cachés.
30:08 En septembre 2022, vous dites, on monte.
30:12 On monte, voilà.
30:13 Dès mon rendez-vous avec le président dans le bureau,
30:15 on a avancé la couleur, on lui a dit "on y va".
30:17 Il ne t'a pas dit doucement sur le budget,
30:19 on y va doucement, on y va, mon loup.
30:20 On y va doucement, mais allons-y.
30:22 Tu venais d'arriver, c'est ça, au club ?
30:24 Tout à fait, je suis arrivé l'année dernière dans la région.
30:27 Et puis donc, cette année, c'est la première saison.
30:28 C'est quoi votre parcours ?
30:29 Parce qu'il vous balance comme ça dans l'arène.
30:31 Alors, j'ai un parcours plutôt classique,
30:33 jeune joueur de basket,
30:34 et puis j'ai été professionnel quelques années.
30:36 Et ça fait plus de huit ans que j'entraîne.
30:38 Où ça ?
30:39 Un petit peu partout en France.
30:40 C'est vrai, vous avez pour l'ingame.
30:41 Oui, c'est vrai, je suis originaire de la région parisienne.
30:44 Alors, vous venez, et Geoffroy, on va se tutoyer,
30:47 c'est vrai qu'on se connaît maintenant depuis un petit moment,
30:49 mais quand tu prends cette équipe de féminines,
30:53 c'est vrai qu'on dit "voilà, on joue l'objectif".
30:55 Par contre, il y a quand même une pression,
30:58 parce que jusqu'à présent, ça ne s'était jamais arrivé.
31:00 Exactement.
31:01 Le club a fusionné avec la Pontoise et l'ULR depuis 2017.
31:05 Le club a connu une montée en nationale 3 auparavant.
31:08 Et là, cette année, depuis que le club s'appelle Pontoise-ULR,
31:12 on n'a jamais connu le niveau national.
31:15 Et là, c'est une première pour nous,
31:17 avec un très bon bilan de 18 victoires et 4 défaites seulement.
31:20 Oui, ça ne s'est pas joué la dernière.
31:22 Pas du tout.
31:23 Non, parce qu'il y a des playoffs.
31:24 Pour accéder au niveau national 3, il y a des matchs de playoffs.
31:29 Alors, on va voir les images aussi,
31:32 parce que ce qui est bien à la Pontoise,
31:33 on le sait, à la Bombonière, c'est l'ambiance.
31:35 On sait qu'on a du public, on a des paroxysme.
31:38 Mais regardez, quand on voit ce public, c'est une petite salle.
31:41 C'est vraiment une petite salle.
31:43 On dirait même une église au niveau des vitres, comme c'est fait.
31:46 Mais par contre, ça fait du bruit.
31:48 C'est très, très compliqué à jouer.
31:50 Moi, j'ai joué devant et c'est vrai que c'est dur.
31:52 On entend.
31:53 Et puis, le public est très proche du terrain.
31:55 Donc, ça met encore…
31:56 C'est un avantage pour nous, Thomas.
31:57 Ça aide ou pas vraiment ?
31:58 Ça aide, ça aide.
31:59 Franchement, ce match-là, ça a été une belle fête.
32:01 Vous allez nous le prêter pour Thomas, pour le premier ?
32:03 On va essayer.
32:04 On va essayer.
32:05 On va essayer.
32:06 Il y avait plus de 400 personnes dans la salle.
32:08 C'était une belle fête.
32:09 Et le résultat a suivi.
32:10 Et franchement, ça a été une journée magnifique et historique pour le club.
32:13 Alors Geoffroy, vous êtes coach des filles,
32:18 mais vous n'êtes pas coach que des filles,
32:20 parce qu'on a…
32:21 Ils sont derrière nous, on peut les applaudir.
32:22 On a les U17 aussi.
32:24 Les U17.
32:26 C'est incroyable là aussi, parce qu'on se rappelle…
32:31 On en a parlé sur Sports7.
32:32 On se rappelle de la victoire de la Coral de Rouen en Coupe de France des U17.
32:38 Mais vos U17, pareil, qui ne jouent pas en championnat…
32:41 Enfin, qui ne jouent pas au même niveau, au niveau championnat national.
32:44 Et ils ont fait une 16e de finale.
32:46 16e de finale.
32:47 16e de finale de la Coupe de France.
32:48 Ils ont perdu contre ?
32:49 On a perdu contre Bourg-en-Bresse.
32:50 Vous auriez pu les avoir.
32:51 On aurait pu, on aurait pu.
32:53 Là, la marche, elle était un petit peu haute pour nous,
32:55 mais franchement, je suis fier des garçons.
32:56 16e de finale, c'est solide.
32:58 C'est solide, c'est solide.
32:59 C'est-à-dire qu'on est bien représentés en basket.
33:00 Tout à fait.
33:01 La formation, voilà, c'est-à-dire que dans la Loire,
33:03 notre formation légéraine, on est bien ancrés,
33:06 et c'est vrai que ça fait plaisir d'entendre.
33:08 Attends, juste pour leur mettre un peu de pression,
33:10 parce qu'ils portent en vacances, à la rentrée, ils montent ?
33:12 C'est quoi les objectifs, coach ?
33:14 Les objectifs, on va essayer de refaire un championnat régional encore,
33:17 au plus haut niveau si on peut.
33:18 Et puis, ce que je souhaite, c'est que chacun puisse progresser
33:21 et puis intégrer rapidement nos équipes seniors.
33:23 Ils ont même…
33:24 Alors, ce qui est intéressant, parce qu'ils ont des joueurs U17
33:27 qui sont surclassés, qui jouent en U17,
33:29 mais qui jouent en U20 aussi.
33:30 Et que je vais rencontrer ce week-end avec mon équipe.
33:32 Ah oui, parce que vous êtes en finale.
33:34 Parce qu'on joue la finale dans le début du week-end.
33:36 Il a la pression.
33:37 Non, mais il y a des très, très bons joueurs, honnêtement.
33:39 Laissez, s'il vous plaît, laissez le gagner,
33:40 parce que sinon, le lundi, il est chanfouin.
33:42 Non, non, et puis, alors, il y a U17,
33:44 et puis, il y a vraiment la formation très jeune.
33:47 On les applaudit aussi, ils sont derrière.
33:49 C'est les 11 !
33:50 Les 11 de la Pontoise, ils sont là.
33:54 Alors, là aussi, c'est incroyable.
33:56 C'est incroyable, parce qu'il y avait…
33:57 Pour des U11, le bilan, rappelle-nous le bilan, je crois.
34:00 On prépare la suite, donc 14 victoires et 4 défaites seulement dans l'année.
34:04 Sur l'ensemble du championnat.
34:05 Ça s'applaudit, franchement.
34:06 Bravo, les garçons, parce qu'il y a vraiment un très beau parcours là-dessus.
34:10 Et derrière moi, il y a…
34:12 On a fait le tour, c'est bon ?
34:13 On a fait le tour.
34:15 Alors, par contre, on va parler, et c'est là, la GP League.
34:18 La quoi ?
34:19 La GP League.
34:20 J'ai cru que vous me disiez la GP League.
34:22 Non, la GP League.
34:23 La GP League, un événement…
34:25 C'est une fête, c'est une fête du basket, on sait.
34:28 Mais c'est…
34:29 Moi, en tout cas, je suis très excité de pouvoir accueillir ça dans la Loire.
34:33 C'est une première.
34:34 C'est une première, donc, du Ciel.
34:35 Ah oui, dans la Loire, du côté de Saint-Just-Saint-Rembert, c'est ce week-end.
34:38 C'est le vendredi 23, samedi 24 et dimanche 25, sur trois jours.
34:41 Donc, expliquez-nous.
34:43 On a des images.
34:44 On va voir des images d'une édition qui s'est passée du côté de Paris.
34:47 Du côté de Paris, oui, tout à fait.
34:49 On a organisé, en sortie de confinement, un gros tournoi
34:52 qui représentait un petit peu toute la famille basket
34:55 avec les joueurs professionnels et amateurs.
34:57 On avait tous besoin de jouer, de se retrouver.
34:59 Et on a eu beaucoup, beaucoup de joueurs professionnels présents,
35:02 avec des joueurs NBA qui étaient là, sur le terrain.
35:04 C'est vrai ?
35:05 Gerson Diabusole, ancien joueur de la Corral d'Orwan,
35:07 qui est un joueur NBA qui joue au Real Madrid.
35:09 On a, pour citer le nom, il y a…
35:11 Jérémy Mousselet, pareil, un joueur qui jouait à Monaco cette année
35:15 qu'on a vu dans le Club de France.
35:16 Et comment ça se fait qu'ils…
35:17 Je suis content, parce que c'est vrai qu'on a l'habitude du foot,
35:20 on a du mal à les avoir.
35:21 Comment ça se fait qu'ils soient si avenants
35:23 comme ça, sur ce genre d'événement ?
35:24 C'est votre réseau ?
35:25 C'est un petit peu, voilà, le réseau.
35:27 Et nous, comme je le dis, c'est la famille basket.
35:29 On se retrouve tous ensemble, on a envie de jouer l'été.
35:32 Hors cadre fédéral, les saisons sont terminées.
35:34 C'est un play-off l'été, on est d'accord.
35:36 C'est bien ça, c'est bien ça.
35:37 Un peu un All-Star Game.
35:38 Ouais, All-Star Game.
35:39 C'est pas ça, l'Américainisme.
35:40 Voilà, quand on disait Pélique, souvent la summer league,
35:42 c'est les ligues de préparation avant la reprise du championnat NBA.
35:45 Ne regardez pas que moi, regardez Thomas aussi.
35:47 C'est pour votre papa, Julien, qui comprend pas.
35:51 Donc voilà, c'est sur trois jours.
35:53 Alors on le rappelle, c'est pas un tournoi,
35:55 c'est vraiment un championnat, il y a six équipes.
35:57 Oui, voilà, c'est un vrai championnat.
35:58 On va recevoir six équipes qui vont s'affronter
36:00 les unes contre les autres.
36:01 Sur trois jours de compétition, on va avoir huit matchs.
36:03 C'est intense quand même, hein ?
36:04 Ça va être intense, ça va être intense.
36:06 Le but, c'est vraiment de faire une belle fête basket,
36:08 emmener du rêve pour nos jeunes joueurs,
36:10 et puis tous les amoureux du basket.
36:12 On n'oublie pas forcément le basket féminin,
36:15 c'est une mixité qui est hyper importante pour nous.
36:17 Donc là-dedans, on inclut un match de gala féminin
36:20 qu'on appelle le Ladies Game,
36:22 avec des joueurs professionnels et amatrices
36:24 qui évoluent dans la région,
36:26 qui vont jouer contre une sélection de joueuses.
36:28 Ah oui, il y a des noms pour donner,
36:29 il y a des noms pour balancer.
36:30 Ah, on voulait garder quelques surprises.
36:32 On va avoir Lisa Milave, qui est la capitaine du RBF,
36:36 ici en National 1, qui sera présente.
36:39 Hermance Martin, une joueuse qui joue en Ligue 2 féminine.
36:42 Et Louise Pavrette, qui est une jeune de la région,
36:45 en Néa Saint-Etienne, qui joue à Villeneuve-D'Ascq,
36:48 et des jeunes champions de France avec Lazer.
36:50 Ils viennent comme ça, là, pour toi.
36:52 Ils seront présents.
36:53 On a le programme un petit peu.
36:55 On a le programme.
36:56 Alors, ça commence, pour récapituler un petit peu,
36:59 Geoffroy, ça commence le vendredi soir.
37:01 Oui, je ne l'ai pas mis dans le long,
37:02 je fais ce que je veux, c'est mon démission.
37:04 C'est mon anniversaire, dimanche, donc.
37:07 Le vendredi soir, ça commence avec l'ouverture.
37:10 Il y a du basket, il y a un show,
37:12 parce qu'il y a vraiment des artistes aussi.
37:14 Vous avez des grands noms aussi qui vont venir.
37:16 C'est en musique, c'est une fête.
37:17 Tout à fait, c'est une fête.
37:18 Il faut des matchs de basket,
37:19 et bien sûr, il faut tout ce qu'il y a autour.
37:21 Ne mettez pas trop de pression, quand même, aux 10 42, quand même.
37:23 Pas trop de pression.
37:24 Essayez d'être un peu humble.
37:26 On essaye toujours.
37:28 Il y a un DJ, Thomas ?
37:30 Oui, après, il y a une soirée.
37:32 Ah, c'est une soirée en pompier, on les connaît.
37:35 Je vais voir ce qui va se passer,
37:36 après, je vais vous prendre un exemple, vous allez voir.
37:38 On va vous inviter.
37:40 Il y a Maro, artiste parisien, qui sera présent.
37:44 C'est toujours dans vos connaissances,
37:45 parce que pour faire venir ces artistes-là,
37:47 il va y avoir un réseau.
37:48 Un sacré réseau, oui.
37:49 Il va y avoir des pom-pom girls.
37:51 Des pom-pom girls, des shows acrobatiques au niveau du basket,
37:53 avec le dingue Brooklyn.
37:55 On va essayer, dans la salle, attention,
37:57 jeux de lumière.
37:59 Des jeux de lumière.
38:00 Mais ils sont tout le temps, les jeux de lumière.
38:02 Ah non, pas du tout.
38:04 Là, on a mis les moyens, on essaie de mettre les moyens.
38:07 Le dimanche, on le rappelle,
38:09 il y a les finales, le dimanche,
38:11 mais surtout, il y a concours de 3 points.
38:13 Concours de 3 points.
38:14 Dans un All-Star Game.
38:15 Concours de dunk.
38:16 Tout à fait.
38:17 Et puis, on va avoir un concours de 1 contre 1,
38:19 très spectaculaire,
38:20 où on va sélectionner quelques jeunes.
38:21 Elle peut bien jouer, Marielle ?
38:22 Elle aime bien les...
38:23 Je suis trop petite.
38:24 Non.
38:25 Vous avez vu, je ne suis pas bien grand non plus.
38:27 Pas des esportifs, peut-être ?
38:29 On peut toujours faire du basket.
38:30 Tout ça, pour avoir des ranciments, il faut aller où ?
38:33 Il faut aller sur votre site internet, sur la page Instagram.
38:36 Oui, pour ceux qui veulent voir le show.
38:38 On peut venir, c'est comme les pompiers ?
38:40 Tout le monde est invité.
38:41 Franchement, les basketeurs,
38:42 ceux qui sont proches du milieu,
38:43 et ceux qui ne sont pas proches du tout.
38:44 On a une page Instagram,
38:46 qui s'appelle GP League.
38:47 Voilà, qui sont vraiment...
38:48 Il faut réserver vos places,
38:49 parce qu'il faut réserver les places.
38:50 Ah bah oui.
38:51 Ah bah oui, c'est sur 3 jours.
38:53 Alors, il y a des packs,
38:54 je sais qu'il y a des forfaits aux tarifs préférentiels,
38:57 si on prend sur les 3 jours.
38:58 Sur les 3 jours, 2 jours.
38:59 De tenir sur la journée ou sur la finale, c'est ça ?
39:01 Tout à fait.
39:02 Donc, attention,
39:03 les places vont quand même partir assez vite.
39:04 Et puis, il reste une semaine.
39:05 Il y a quoi, 400 places en plus ?
39:06 Non, il y a combien ?
39:07 La salle est 400-450 places assises.
39:09 La commission de sécurité est passée, des pompiers.
39:11 C'est tout bon.
39:12 Ah, oui.
39:13 Pour assurer la sécurité.
39:14 On a une semaine avant l'événement,
39:16 et je peux vous dire qu'il y a déjà presque
39:17 trois quarts des places qui sont déjà vendues.
39:19 Donc, il en reste très peu.
39:20 Marielle, on y va.
39:21 Donc, il faut aller rapidement pour prendre votre place.
39:23 Et en plus, il y a tout ce qui est à côté.
39:25 Vous avez des T-shirts,
39:26 vous avez des casquettes.
39:27 Tout les hoodies.
39:28 Ah, parce que vous êtes venus.
39:29 La GP League, c'est l'été.
39:31 On se fait plaisir,
39:32 donc on ne vient pas sans cadeau.
39:34 Alors, on fait transmettre un petit peu tout ça.
39:37 Moi, je porte très moulant, moi.
39:38 Regardez bien.
39:39 Il y a toutes les tailles, non ?
39:40 Il y a toutes les tailles, ça ne passe pas pour moi.
39:42 Toi, c'est du XS.
39:43 Ah non, mais XS.
39:44 Un triplixel, je sais pour qui c'est, alors.
39:46 Non, mais voilà, tout ça se ronde aussi sur place.
39:49 On peut acheter des T-shirts.
39:50 Tout à fait.
39:51 Et puis, on va en offrir plein de cadeaux, etc.
39:54 On sait que c'est les premières éditions,
39:55 qu'il y a beaucoup d'engouement.
39:56 Est-ce qu'on peut dire que ça va être pérennisé ?
39:58 On pourra prendre date en 2024 ou pas ?
40:00 C'est l'idée.
40:01 C'est le but.
40:02 C'est l'idée de pérenniser, en tout cas,
40:03 cette émission dans la Loire,
40:05 parce qu'on est une terre vraiment de basket.
40:07 Et il faut que sur des périodes
40:08 où les championnats sont terminés,
40:10 avec un maximum d'équipes professionnelles
40:11 que nous avons tout autour,
40:12 qu'on puisse fédérer les joueurs
40:14 pour pouvoir proposer des fêtes
40:15 comme ça un peu hors cadre, fédéral.
40:17 Est-ce que ça se fait ailleurs, en France ?
40:20 On retrouve un petit peu ça ailleurs,
40:22 notamment en région parisienne,
40:23 dans les grandes villes.
40:24 Et là, sur notre zone,
40:25 en Nouvelle-Renalpe,
40:26 on n'a aucun événement de ce type.
40:27 Parce qu'il y avait beaucoup de camps d'été.
40:29 C'est vrai qu'il y a beaucoup de camps d'été,
40:30 mais pas d'événements comme ça.
40:31 Non, non, non.
40:32 Les jeunes, plutôt, pour les enfants.
40:33 Non, surtout avec un show comme c'est présenté.
40:35 C'est une première dans la Loire sur trois jours.
40:37 Alors, c'est vrai,
40:38 c'est intéressant ce qu'il dit, Julien.
40:40 Mais c'est toujours intéressant.
40:41 Des fois, c'est intéressant.
40:43 Aujourd'hui, là, on lance cette édition
40:46 du côté de Saint-Just-à-Lambert,
40:47 à la Pontoise.
40:48 L'année prochaine, pourquoi pas,
40:50 peut-être le Palais des Sports d'Andrézieux,
40:51 ou Rouen.
40:52 Ou les Divanières.
40:53 Ah oui.
40:54 Le plus grave, ce serait carrément d'être à l'Aréna.
40:57 À l'Aréna Saint-Chamond, oui.
40:58 Tout à fait.
40:59 L'idée, c'est de pouvoir fédérer un maximum de monde,
41:02 que la salle soit pleine.
41:03 Et puis, forcément, avec le succès qu'on espère,
41:05 on va devoir chercher une salle un peu plus grande.
41:09 On fera un petit bilan ensemble.
41:10 Tout à fait.
41:11 Bon, ben, merci à vous.
41:12 Merci, on peut l'applaudir.
41:13 Merci à la Pontoise d'être venu en Angle.
41:17 C'était une belle édition.
41:18 Merci à vous.
41:19 Vous êtes très frais, comme personne.
41:22 - Tu parles très soleil. - Il parle bien, je crois.
41:26 Est-ce que vous voulez aller dans les Ehpad, aussi ?
41:28 Si je peux inviter, avec plaisir.
41:30 C'est pour vous.
41:31 Exactement.
41:32 Ben voilà, 42 minutes, ça passe vite.
41:35 On s'amuse.
41:36 On n'oublie pas, 1er ?
41:37 1er juillet, à Saint-Etienne, au stade Henri-Lux.
41:39 C'est ce week-end, si vous êtes en replay.
41:41 Du 23 au 25 juin.
41:42 Exactement.
41:43 À la Bangouanière, à Saint-Luc-à-Lambert.
41:44 Et nous, la semaine prochaine, ce sera la dernière.
41:46 La dernière ?
41:47 Oui, à Paris-Maxenss.
41:48 On en reviendra, dès le 4 septembre.
41:50 4 ou 5, je ne sais plus.
41:51 Ça change chaque année, cette date de rentrée, c'est horrible.
41:53 Voilà.
41:54 Si vous voulez revoir cette émission, vous savez comment on fait, Thomas ?
41:57 En replay.
41:58 En replay, exactement.
41:59 Sur les TN7.
42:00 Toutes les boxes.
42:01 Les excuses sur toutes les boxes.
42:02 De toute la France.
42:03 Les Paris et Anthony Parker nous regardent.
42:04 Ah, mais j'en suis quasiment sûr.
42:05 Ils sont en train de dire "mais pourquoi je n'ai pas fait ça, bon sang ?"
42:08 J'aurais dû le faire.
42:09 Voilà.
42:10 On vous dit à la semaine prochaine.
42:11 Ciao, bye bye.
42:12 [Musique]

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