• l’année dernière
Portrait de Pascal Danière qui rêve de Paris 2024.
Pascal Danière, est passionné de sport. Même après son accident de la route, il était hors de question pour lui de s'arrêter. Et depuis 2009, il s'est dirigé vers l'aviron, à Roanne.
Après de multiples résultats en in-door et une 5ème place au championnat du monde, Pascal s'entraine en espérant être sélectionné pour participer au JO de Paris 2024.


Coupe du monde de rugby.
Le village Rugby est installé au parc François Mitterand à Saint-Etienne et sera ouvert à 8 occasions pendant les phases de poules de la compétition.
Un chapiteau, une scène, un écran géant, des points de restauration et de nombreuses activités pour les enfants. Les clubs de rugby Loire sud seront également présents pour faire découvrir ce sport et proposer des initiations.

L'ASA Forez: la perpétuelle implication.
Louis-Jean Villard , président ASA Forez , fera un bilan de la mi-saison 2023, présentera la prochaine édition du rallye Montbrisonnais avec des nouveautés et annoncera un scoop pour 2024 !


Samba Brésilienne : L'énergie Ligérienne
Catharina a rencontré l'association "Ta No Pé" fondée en 2019 par la talentueuse danseuse chorégraphe Teresa Azevedo. Cette association se consacre à l'art de la samba du coté de Saint-Etienne, quartier Chapelon.



Notre champion du monde se reconstruit après sa chute.
Arthur Forissier, 29 ans, est un triathlète français. Il est spécialisé dans le cross triathlon et la série Xterra. Il remporte les titres de champion de France, d'Europe et du monde. Il a lourdement chuté cet été ce qui l'a éloigné des terrains. Quels sont ses objectifs pour cette année ?


La Ricamarie en Nationale 3.
Petit poucet de la Nationale 3 cette année, le club ne compte pas être simple observateur, mais espère bien être difficile à jouer à domicile voire même jouer les trouble-fête.

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Transcription
00:00 *Musique*
00:16 *Applaudissements*
00:18 Bonsoir, bonsoir à toutes et à tous, ravis de vous retrouver pour cette saison de Win Man 3, de Win Man 4, de Sports Et Athlètes.
00:24 On a mis des choses énormes et en plus en public !
00:28 Alors, oh, c'est pas grave, mais c'est ça ! L'ambiance est chaude, vous allez voir.
00:34 On va parler de vous Arthur Porissier, XTERRA, c'est quoi votre discipline exactement ?
00:40 C'est une discipline qui consiste à enchaîner de la natation, du vélo, du VTT particulièrement à XTERRA et de la course à pied.
00:47 Cet homme a trois disciplines dans son corps et on l'applaudit bien fort.
00:50 A côté de vous, ligne en barre, ligne en barre, portrait sportif.
00:54 Le portrait sportif depuis 2009, on va en suivre Pascal Dagner, donc suite à un accident de voiture, il est passé en Andy à Biron.
01:01 Il va nous expliquer d'une part ce sport et puis ses différents résultats.
01:05 Et en mire 2024.
01:06 Et en mire, on l'espère, les JO de Paris 2024.
01:09 Exactement. En face de vous, notre spécialiste basket, oui qu'on peut applaudir madame.
01:13 Exactement, FNI des mires.
01:15 *Applaudissements*
01:17 On va parler du Kipoussède National 3, le club de Laëlle Ricamari qui vient de monter cette année.
01:22 Celui qui n'ose pas freiner dans les virages sinon c'est un lâche.
01:25 Et oui, nos spécialistes rallye, Jean-Luc Van Bergeron.
01:27 Bonjour à tous, on a un invité, le président de l'Asa du Forêt.
01:32 On va faire un bilan de la mi-saison, les preuves à venir et puis il est venu avec une petite surprise.
01:35 Et voilà, et Katharina, notre toute nouvelle chroniqueuse qu'on peut applaudir bien fort.
01:40 *Applaudissements*
01:42 Alors Katharina, vous allez arriver à nous faire danser, c'est ça, tout au long de la saison ?
01:47 Effectivement Julien, je serai là tous les 15 jours pour faire danser la Loire.
01:52 Et on commence dès ce soir avec Teresa Azevedo, professeure de danse devenue tout droit de Rio,
01:57 qui nous fera une démonstration, donc reste avec nous.
01:59 Exactement, oh, et ben, quel programme.
02:04 Alors Arthur, pour essayer rapidement votre discipline, présentez-la, les distances, c'est quoi, c'est du triathlon ?
02:12 Ouais, de base c'est du triathlon, donc le triathlon c'est natation, vélo, course à pied,
02:16 ça se décline ensuite sur plusieurs distances en fonction de l'âge et des envies.
02:19 Ah et des envies, c'est vrai ? Nous avec Lilian on a fait le XS.
02:22 *Rires*
02:24 Et on a mis 8 heures.
02:26 Alors c'est l'envie d'aller vite à la fois et de profiter quand même.
02:28 Ouais c'est ça, enfin un peu de tourisme.
02:30 Tout le monde a fait pour la nature.
02:32 Mais vous dépendez de la Fédération Française de ?
02:35 Triathlon, c'est ça.
02:36 C'est d'accord.
02:37 Et donc cette fédération organise des cross triathlons, donc la variante nature, tout terrain du triathlon.
02:43 Où la particularité consiste en fait à faire le vélo à VTT et la course à pied en trail.
02:48 Et ensuite il y a des entreprises, des labels qui font un peu la même chose.
02:52 Des privés, c'est ça ?
02:53 Voilà, exactement.
02:54 On a vu, il y a quelqu'un qui m'a dit, le monsieur derrière, il me dit "je connais cette tête".
02:58 Et oui monsieur, parce que pendant plus d'un an vous aviez sa photo sur la mairie de Saint-Etienne.
03:03 Champion du monde quand même.
03:05 Champion du monde !
03:07 Vous étiez champion du monde.
03:09 En quelle année ?
03:11 En 2019.
03:13 Ouais, 2019 j'ai gagné les championnats du monde en Espagne en début de saison.
03:17 Mais pas par la franchise.
03:19 Par la version, ouais, fédérale.
03:23 Fédérale, exactement.
03:24 Aujourd'hui pourquoi vous êtes parti plutôt du côté nature ?
03:29 Je sais que vous adorez le Puy-là, on se voit de temps en temps, on se croise.
03:32 Enfin, moi je vous entends passer, je fais "attends, attends, psssht"
03:35 C'est l'arc-héritage du coup, il faut "laisse-moi passer, je double".
03:38 Et pourquoi pas, parce que c'est, effectivement, il y a Paris 2024, on en parlait avec Lilian Bard.
03:43 Pourquoi pas être parti de ce côté-là ?
03:46 Et ben, quand on est à Saint-Etienne, on a le cadre de jeu incroyable de la nature.
03:50 Il a raison.
03:51 Donc forcément, d'une part on y prend goût et d'autre part on développe un peu des habiletés.
03:56 Donc le cumul des deux fait que je me fais plus plaisir maintenant sur…
04:01 Alors, moi j'ai une question, les distances varient selon la franchise ou quand c'est fédéral, comment ça se passe ?
04:08 Alors, pour le cross triathlon, il y a moins de standards qu'en triathlon classique.
04:13 Il n'y a pas de XS pour nous ?
04:15 Alors, pour les jeunes, si.
04:17 [Rires]
04:20 Il y a des dérogations.
04:21 Il y a des erreurs.
04:22 Voilà, mais les standards sont un peu plus courts sur le label fédéral que le label privé.
04:28 C'est quoi plus court en fait, en kilomètres ?
04:29 Plus court, c'est 1000 m de natation, 30 km de VTT, 8 en course à pied.
04:35 Et c'est pas sa discipline.
04:36 Et le XTERRA c'est un peu plus…
04:38 Et ça c'est le plus court ça ?
04:39 Ça c'est le plus court.
04:40 Il ne les fait même pas en tour de randonnée.
04:42 [Rires]
04:43 Et la belle XTERRA, c'est 1,5 km dans l'eau, 40 à VTT et 10 à pied.
04:47 Il y a finalement assez peu de différences.
04:49 Alors, parce qu'il y a aussi le point, c'est que de base, c'est le VTT.
04:54 C'est ton sport de prédilection.
04:56 C'est par là que je suis passé, c'est par là que je suis arrivé, etc.
04:59 Donc du coup, ça veut dire que si on restait dans le triathlon classique, il aurait fallu faire du vélo de route.
05:04 C'est ça. Après, pas par défaut du tout, je me fais vachement plaisir en triathlon,
05:09 mais quand on passe au triathlon, on fait aussi de la route et je me fais vraiment plaisir.
05:14 Et c'est une histoire de famille, parce que Lilian Bard a fait le portrait du frérot.
05:19 Il n'y a pas si longtemps.
05:20 Il y a pas si longtemps.
05:21 Il a fait un temps pour clôturer la saison justement de joueur.
05:23 Il n'a pas de personnalité ce frère.
05:25 Il est beau lui.
05:27 Il y a un troisième, vous êtes combien ? Vous êtes deux ou trois ?
05:30 Il y a une sœur entre temps.
05:31 Et alors, elle fait quoi ?
05:32 Elle fait du handball.
05:33 On l'aime quand même.
05:35 On aime bien.
05:37 Et le frérot, pourquoi il a aimé ça ? C'est vous qui avez insufflé cet élan ?
05:43 Je pense que je lui ai fait découvrir la discipline et après, il avait des capacités aussi dans la discipline.
05:49 Il est en passe de devenir peut-être vainqueur de la Coupe du Monde de cette année.
05:55 On va en parler justement.
05:57 On se suit régulièrement sur les réseaux sociaux.
05:59 Et au mois d'août, je me suis dit qu'est-ce qui lui est arrivé ?
06:01 On va voir les images.
06:02 Une chute.
06:03 Ce n'est pas la petite chute comme j'ai pris au bessin, un petit mollet abîmé, un peu de pizza.
06:08 C'est la chute, la clavicule.
06:10 Regardez, la gauche à la droite.
06:13 C'est la gauche ou la droite ?
06:14 C'est la gauche.
06:15 On aurait traduit la droite.
06:17 C'est écrit G comme si c'était une pierre gauche.
06:20 Qui dit clavicule dit forcément la plaque.
06:22 Il y a mille pattes là.
06:23 Il a sonné au portique quand il est passé à Tête 7.
06:26 Ce n'est pas votre première blessure ?
06:29 Non, ce n'est pas ma première blessure.
06:31 En plus, en clavicule, je crois que vous vous y connaissez.
06:32 Ce n'est pas ma première clavicule non plus.
06:34 Mais bon, la clavicule, c'est une blessure assez courante.
06:39 C'est le premier fusible, c'est en vélo forcément.
06:41 C'est ça, c'est un peu le fusible.
06:43 J'ai fait les deux.
06:45 La deuxième cette année, ça fait partie du jeu.
06:48 Réduc, ça va de soi.
06:50 Oui, rééducation, pas mal de kiné.
06:52 J'ai eu de la chance d'être bien pris en charge dans les services de Saint-Etienne.
06:56 Du coup, on travaille pour revenir.
06:58 Donc du coup, le petit frère, on le voit grimper au classement.
07:02 Il prend des points.
07:03 Déjà au mois d'août, vous étiez quoi ? Second ?
07:05 C'est ça ?
07:06 Ou premier ?
07:07 Oui, en fait, les classements sont un peu particuliers.
07:10 J'étais bien parti pour gagner.
07:12 Mais voilà, je me suis arrêté à la mi-saison.
07:15 À la mi-saison, et en plus, depuis le mois d'août,
07:17 ça ne fait même pas un mois qu'il s'est blessé.
07:19 Il y a eu combien de compétitions ?
07:20 Eh bien, quatre.
07:21 Quatre dégringolées en 11e place.
07:23 Une par semaine, il faut tenir physiquement.
07:25 En fait, il y a des grosses et des petites courses.
07:28 Donc en un week-end, on fait deux courses.
07:29 Il choisit.
07:30 Regardez, on va avoir des belles images.
07:32 Vous êtes allé quoi, à Mayork, non ?
07:34 J'ai fait Ibiza cette année.
07:35 J'ai fait Taïwan, Ibiza.
07:37 Ça va.
07:39 J'ai besoin d'aide.
07:41 C'est un truc exotique.
07:42 La Belgique, c'est exotique.
07:44 Saint-Victor-sur-Loire, le comble de l'exotisme.
07:47 Ah oui, le Swimrun, cette année, 9.
07:50 Ah, c'est officiel ?
07:51 Oui, non, je vous pose, vous, la question.
07:53 Vous ne serez pas là ?
07:54 Ah ben non, moi, je ne pourrai pas y participer.
07:56 Vous ferez coucou.
07:57 Sur le bateau, vous tiendrez le bateau.
07:58 Sur le bateau, sur la baie, j'en ferai un.
08:00 Exactement.
08:01 Le moral est comment ?
08:02 Au bout fixe, ça va.
08:03 Ça a l'air d'aller.
08:04 Oui, ça va.
08:05 Le fait de revenir, que la rééducation se passe bien.
08:09 Elle est souple, on va revoir les images.
08:12 En même pas trois semaines, ça va, c'est pas mal, non ?
08:16 Vous ne sentez pas de gêne ?
08:17 Non.
08:18 Demain, en plus ?
08:19 Demain, à la natation.
08:20 Ça y est.
08:21 On ne perd pas de temps.
08:22 En trois semaines, ça ne fait pas un peu tôt, Arthur ?
08:25 Je ne sais pas ce qu'ils vous disent.
08:26 J'ai l'aval des kinés, des médecins, donc c'est bon.
08:29 Il pourrait même, je crois, vous me dites, reprendre la compète.
08:33 Oui, j'ai eu le droit de reprendre les courses.
08:36 Enfin, le droit, mais pas conseillé.
08:39 Le droit, mais pas conseillé.
08:40 Et alors ?
08:41 Je suis en capacité de faire une compétition,
08:43 mais c'est prendre des risques énormes, donc je ne le fais pas.
08:46 Donc on est d'accord.
08:47 La saison, ça va de avril à octobre ?
08:50 Oui, c'est ça, avril à octobre.
08:51 Donc là, on va dire 2023.
08:52 Donc là, on est vraiment sur la fin.
08:53 Terminé, R.S ?
08:54 Oui, terminé.
08:55 Et on r'attaque avril ?
08:57 On va même r'attaquer en mars,
08:59 parce que le X-TAR à Taïwan qui se décale un petit peu.
09:01 On t'aime bien à la Taïwan, toi.
09:02 Oui, ça m'a bien réussi.
09:04 Exactement, et du coup, on garde la plaque,
09:06 parce que je ne sais pas si vous y connaissez, vous êtes sportif,
09:08 mais il faut attendre un an, c'est-à-dire réouvrir, enlever.
09:11 On le fera quand ?
09:13 Décembre ? Fin de saison, quoi, 2023 ?
09:15 Si tout se passe bien, je le ferai l'hiver prochain, ouais.
09:18 On verra comment ça se goupille, mais octobre, novembre prochain.
09:22 Alors, parce qu'il me parle...
09:24 Oui, balance les illustrations, regardez, on a envie de le voir, là.
09:27 Exactement.
09:28 Quelle question.
09:29 Vous avez un petit symbole aussi, on va parler de ça, "Ferros".
09:32 C'est un peu vous, ce "R".
09:33 Moi, j'ai surtout vu un top modèle débarquer sur mon carré.
09:36 Regardez, on va faire...
09:38 Oh, gars !
09:39 C'est la coupe de cheveux, ça fait.
09:42 Un peu de makina.
09:43 Vivement la Fashion Week.
09:45 Exact.
09:46 C'est quoi, "Ferros", déjà, il faut savoir que ce site est local.
09:50 Oui, tout à fait.
09:51 "Ferros", c'est une marque qui est relativement récente.
09:54 Le "Ferros Shop", il a eu une semaine ou deux d'existence,
10:01 et l'idée, c'est de vendre
10:04 une collection de vêtements, de vestimentaires et d'accessoires.
10:10 Il y a un peu de tout, on voit des sacs, des casquettes,
10:12 il y a vraiment de tout.
10:13 La gamme est ultra large.
10:15 Des gourdes.
10:16 C'est quand même typé très outdoor et sport en général,
10:19 un peu bricolage, même parfois sur certains trucs.
10:22 Et l'idée, c'est à travers cette marque,
10:24 de soutenir une académie de jeunes sportifs,
10:27 des skieurs.
10:28 Vous en faites partie ?
10:29 Je suis ambassadeur, je ne suis plus assez jeune.
10:31 Ah, tu es au-dessus.
10:32 Tu es ambassadeur de trois mêmes choses.
10:34 Oui, surtout dans le coin.
10:36 Donc voilà, des jeunes sportifs qui sont super prometteurs
10:40 en sport outdoor et qui performent vraiment bien.
10:43 Ça veut dire quoi ?
10:44 Ça veut dire que si on fait des achats sur le site,
10:46 il y a une contribution dans l'académie qui permet d'aider...
10:49 Acheter pour soutenir.
10:50 Ils reversent une partie des bénéfices à cette académie
10:53 pour aider les sportifs.
10:55 Alors, il y a une aide un peu financière
10:57 pour financer les déplacements, les achats de matériel.
10:59 Oui, parce que pour aller en Thaïlande, il faut payer.
11:02 Oui, c'est ça.
11:03 Vous n'étiez pas vendeur dans une grande franchise.
11:05 Vous m'avez conseillé deux, trois fois des trucs.
11:07 Une grande franchise thaïlandaise ?
11:09 Non, pas ça.
11:10 Je ne sais pas, il y a du mal à l'Italien.
11:12 Et du coup, ce que je voulais dire,
11:15 c'est que vous avez arrêté de travailler dans les...
11:17 Vous vivez de ça ?
11:18 Du XTERRA.
11:19 Du XTERRA, à 100 % ?
11:20 Oui, en fait, je vis des primes de course de XTERRA.
11:23 Ah oui ?
11:24 Ah oui, mais il faut gagner.
11:25 Oui, il faut gagner, ça ne coûte pas trop de se péter les clavicules.
11:28 Je n'étais pas bien inspiré.
11:31 Du coup, il va se passer comment ?
11:33 Quoi, là ?
11:34 C'est-à-dire d'un point de vue financier ?
11:36 Oui, pour vous.
11:37 D'un point de vue financier, heureusement,
11:39 j'ai eu un très bon début de saison
11:41 qui me permet d'avoir mis un peu de côté.
11:43 Et là, je vis sur ce que j'ai gagné.
11:45 En début de l'année, quoi.
11:46 Oui, c'est ça.
11:47 Donc, c'est bon pour aller en Thaïlande ?
11:48 C'est bon.
11:49 Taïwan.
11:50 Taïwan.
11:51 C'est bon, oui, c'est ça.
11:52 D'où la reconversion en top modèle pour l'avenir.
11:55 Un petit complément.
11:56 Vous êtes accompagné, de toute façon, par des sponsors, non ?
11:58 Eh bien oui, j'ai aussi quelques sponsors.
12:01 Mais voilà, c'est un équilibre entre les deux.
12:04 Allez, dans quelques instants,
12:07 vous fout de la rééducation, c'est ça ?
12:09 Exactement.
12:10 Il faut bouger un petit peu.
12:11 J'ai vu qu'il y avait deux, trois possibilités de rééducation.
12:13 Vous avez le mouv ?
12:14 Exactement.
12:15 Écoutez, on va passer à la chronique de Catherine.
12:18 Catherine Arnaud, toute nouvelle chroniqueuse de Sola.
12:22 Yes, Sola !
12:23 Vous avez une mission, faire danser la loi,
12:27 voire même arriver à faire danser un petit peu sur le plateau.
12:29 Mais ça, c'est pas gagné.
12:30 On va essayer.
12:31 On va essayer.
12:32 Exactement.
12:33 C'est pas peine perdue, j'en suis sûre.
12:34 Alors, vous allez ouvrir le bal, par quoi ?
12:37 Alors, écoutez, je suis partie à la rencontre de l'association Tanupe,
12:41 donc direction...
12:42 Comment vous décrivez le bal ?
12:43 Tanupe, bien sûr, Tanupe.
12:45 Tanupe, qui signifie sur les pieds.
12:47 Eh bien oui, en quelle langue ?
12:49 En portugais.
12:50 En Portugal.
12:51 En Portugal, pas Portugal, mais Brésil.
12:54 Ah Brésil, d'accord.
12:55 Ah oui, parce que c'est vrai que la tenue, ça faisait un peu frèche,
12:57 cancan, non ?
12:58 Non.
12:59 Non, oui, mais je vois, a priori, non.
13:00 Oui, oui, bah oui, bien vu.
13:01 C'est du pâtes.
13:02 Charleston.
13:03 Charleston, exactement.
13:04 Voilà.
13:05 Et du coup, direction où ça ?
13:07 Le Brésil.
13:08 Ah, vous êtes partie en Brésil ?
13:09 Oui, oui, oui.
13:10 Et surtout, je suis partie en France.
13:12 Vous êtes partie en Brésil ?
13:13 Non, non, non, mais le thème, c'est le Brésil.
13:15 Et donc, je me suis rendue, quartier Jacar, à l'Amicale-Chaplon,
13:19 pour rencontrer l'association Tanupe.
13:22 Tanupe.
13:23 Et la professeure, chorégraphe et danseuse Teresa Zebedo,
13:26 qui vient tout droit du Brésil.
13:28 Donc, en fait, c'est un peu les vacances qui continuent avec vous.
13:30 Exactement.
13:31 Même si c'est de prolonger la période estivale.
13:33 Exactement, bah on regarde alors.
13:35 Bonjour à tous, c'est la rentrée, mais on continue la période estivale.
13:39 Direction le Brésil, et qui dit Brésil, dit forcément samba.
13:43 Et oui, dites-le, c'est pour ça que je voulais trouver la seule brésilienne à Saint-Etienne avec moi.
13:48 Teresa Zebedo, professionnelle de danse de la samba.
13:52 C'est parti, on va aller la rencontrer.
13:54 Do Brasil !
13:55 Qu'est-ce qui différencie la samba des autres danses latino-américaines, selon toi ?
14:07 Ah, il y a une énergie très puissante qui nous permet de se réunir.
14:14 Et ça, c'est vraiment, il faut vivre pour pouvoir sentir ça.
14:19 Avant moi, il y avait d'autres personnes qui étaient là, d'autres brésiliens.
14:23 Et pour donner suite à toute notre passion, à notre culture,
14:27 avec Maître Pédigree et d'autres brésiliens qui ont été là,
14:31 je suis là pour vivre ça.
14:34 Et parce qu'il y a des gens qui aiment aussi la samba.
14:36 Qui sont bons alors les stéphanois à la samba ?
14:38 Ah oui, vous allez voir tout à l'heure.
14:41 Parce qu'on a un public qui sait la plupart sont des femmes,
14:48 mais aussi les hommes, ils ont la bienvenue, on vous attend.
14:51 Et quand on parle de samba, est-ce que toi tu l'as déjà fait, le carnaval ?
14:55 Bien sûr, bien sûr.
14:57 Moi ça fait partie aussi de ma vie, mais aussi c'est mon métier.
15:01 Ça fait depuis des années que je participe au carnaval de Rio,
15:07 parce que je suis originaire de Rio.
15:09 Et donc le plus grand carnaval au monde, c'est vraiment magique.
15:14 C'est quelque chose à vivre au moins une fois dans sa vie.
15:17 C'est comme à la télé.
15:20 C'est le temple de Portier,
15:23 tout comme les gens qui savent depuis six mois.
15:27 Ça, c'est typiquement brésilien.
15:32 Super, ça c'est une super prof, on s'éclate.
15:41 C'est une mélange de plein de cultures.
15:44 C'est super intéressant, il y a des gens qui sont africains, d'autres pays indigènes.
15:49 C'est pas que des plumes.
15:51 Vous pouvez vous présenter, vous pouvez rechercher à avoir une belle samba,
15:57 qui vous donne de la bonne humeur, beaucoup d'amour,
15:59 parce que c'est aussi de l'amour, la samba.
16:01 Et quelque chose qui vous dépense, qui vous fait oublier votre mauvaise journée.
16:06 C'est vraiment la samba qu'il faut faire.
16:08 Je vous dis là, je n'ai pensé à rien d'autre que mon mouvement.
16:11 Je suis déjà en eau, j'ai transpiré, c'est vraiment très explosif.
16:15 Et surtout, les gens sont très souriants,
16:18 et ça ressemble vraiment à l'image du président.
16:20 Bravo, qu'il y avait Jean-Louis, on peut l'applaudir.
16:26 Il veut savoir si vous avez joué un peu le jeu,
16:36 parce qu'une présidente sait danser forcément la samba.
16:39 Eh bien, je vais vous dire une bonne chose.
16:41 Tous les Brésiliens ne savent pas danser la samba,
16:44 de la même manière que toutes les Françaises ne dansent pas le French cancan.
16:48 Mais autant, mais Arthur, le French cancan, c'est tous les jours.
16:50 Après, je suis en train de remédier à ça.
16:51 Là, ça fait quatre jours en intense des cours de samba avec Teresa.
16:55 Vous allez voir ça tout à l'heure.
16:57 Mais qu'est-ce qui vous a surpris quand vous êtes allé dans le cours de Teresa,
17:00 qu'on verra tout à l'heure, parce qu'il y aura une démo.
17:02 Absolument.
17:03 Teresa est là, commencez à trembler Jean-Louis,
17:05 parce qu'elle t'a regardé à la manière de toi, tu vas ramasser.
17:07 Elle est à côté de moi, je ne suis pas bien.
17:09 Je tremble, je suis comme ça.
17:11 En résumé, je dirais que c'est une dose d'énergie.
17:14 Ça résume bien ce que j'ai vécu.
17:17 Et vraiment, après, on a vraiment cette adrénaline quand on danse.
17:21 C'est de la joie, c'est du bonheur de danser ensemble aussi.
17:24 Parce que c'est ça aussi, c'est le danser ensemble qui est important dans la samba.
17:28 C'est ça qui est bien.
17:29 Arthur, c'est vrai que quand on voit la samba, ça donne la banane.
17:32 Ah oui, ça fait sourire.
17:34 Ça donne sourire.
17:36 Vous avez des costumes, parce que normalement, il y a des plumes.
17:39 C'est vrai qu'un entraînement, c'est que si c'était un entraînement,
17:41 il n'y a pas les costumes, il n'y a pas tout le folklore.
17:43 Arrêtons les stéréotypes.
17:45 La samba, ce n'est pas que des plumes, ce n'est pas que des paillettes,
17:47 ce n'est pas que des costumes.
17:49 Certes, ça en fait partie, mais ce n'est pas tout.
17:51 La samba, c'est avant tout une danse populaire brésilienne,
17:54 un art de rue, il y a mille et une façons de la danser.
17:58 Et ce soir, vous allez voir une démonstration de samba nupe.
18:01 - Avec les pieds ? - Avec les pieds.
18:03 - Avec les pieds. - C'est mieux avec les pieds.
18:06 C'est mieux, effectivement.
18:08 C'est sûr. C'est ce que vous allez voir ce soir.
18:10 Il faut savoir que... Je la connais un petit peu, la Catarina.
18:14 C'est la seule de la famille qui ne sait pas danser la samba.
18:16 - Non. - Je suis en train de remédier.
18:18 - Je suis en train de remédier. - Grâce à Thérésa.
18:21 Grâce à Thérésa, voilà, c'est ça. J'espère gérer ce soir, d'ailleurs.
18:24 - On verra tout à l'heure. - Voilà.
18:26 Exactement. Dans quelques instants, forcément, vous l'avez vu,
18:29 la Coupe du Monde va commencer dans quelques jours
18:31 avec une magnifique affiche. Il faut le gagner, ce match.
18:33 On est en train de jouer vendredi.
18:35 Voilà. Et on va faire un petit tour d'horizon
18:37 de ce qui se passe dans la Loire au niveau du ballon ovale.
18:40 Lilian Bard, si je t'envoie le ballon, t'y arrives ?
18:51 - Yes ! - Il sait faire deux choses en même temps.
18:53 Le mec a fait la présentation officielle de qui ?
18:56 De l'arrivée officielle sur Saint-Etienne-Métropole
18:59 de l'équipe d'Australie, Wallabies,
19:01 qui, vous le savez, sont à Saint-Galmi.
19:03 - Pour la petite... Oui, justement... - Ils sont en train d'arriver.
19:06 Je me suis baladé dans les rues avec les enfants, dimanche,
19:08 on va aller faire un petit truc, etc.
19:10 Et il voit des Golgoths. Mais c'est des Golgoths, Arthur.
19:13 C'est toi, lui et moi réunis. Sur une épaule. D'accord ?
19:17 - Je sais même pas si la clavicule... - Pas d'épaule.
19:19 La clavicule. Je dis, "Mais vous avez pas vu, les enfants,
19:21 que c'est des rugbymans ?" Même toi et Fendi,
19:23 tu fais un heurexique à côté de nous.
19:25 - J'ai vu les voix et c'est vrai que c'est impressionnant. - Impressionnant.
19:28 - Mais pour l'heure... - On va avoir un village rugby.
19:31 Et pas une fan park. Le mot "fan park",
19:34 c'est pour le football. Là, on est sur un village rugby.
19:36 On va avoir la chance d'avoir un village rugby à Saint-Etienne
19:39 qui va être l'un des plus beaux villages de France.
19:41 - Oh, tu es chauvin, lui. - Non, je ne suis pas chauvin.
19:44 C'est une réalité pour faire concurrence à...
19:47 - À qui ? - À une ville voisine.
19:49 - Une ville voisine à, on va dire, environ 60-70 km de chez nous,
19:53 qui accueille beaucoup plus de matchs que nous.
19:56 - Ah ouais ? On en a 4 ? - On en a 4 et ils en ont un peu plus.
19:59 En revanche, nous, on va avoir 8 dates incontournables
20:03 pour venir voir tous les matchs de poule,
20:05 ou alors les matchs...
20:07 Soit il y aura les matchs de l'équipe de France,
20:10 soit il y aura les matchs de Geoffroy Guichard.
20:12 Donc la fan zone sera ouverte à 8 occasions
20:15 de ce vendredi-là,
20:17 donc pour le premier match d'ouverture France-Nouvelle-Zélande,
20:20 avec des concerts incontournables.
20:22 Par exemple, il va y avoir 3 cafés gourmands en ouverture.
20:25 - On peut le dire, ça y est ? - On peut le dire, bien sûr.
20:26 - Et c'est la seule fois qu'on les verra à 3,
20:28 parce que comme t'es fan, tout ça est fini, il sépare.
20:30 - Avec une dernière fois, on les verra à 3, effectivement.
20:32 - Peur parture, il sépare, mais c'est pour le meilleur honneur.
20:34 - Ça reste quand même des groupes qui ont rempli des zéniths,
20:36 et qui seront là,
20:38 ce sera totalement gratuit,
20:40 et vous allez découvrir, en fait, on est allé dans les coulisses
20:42 de ce village rugby.
20:44 - Surtout avec un super animateur, il me semble.
20:46 - On en dira un peu plus plus tard.
20:48 - On découvre d'abord le lieu qui va inculquer plus de 1 000 personnes.
20:52 - Et après, on verra l'animateur.
20:54 - Eh bien bonjour à toutes et tous.
20:56 Je vais vous montrer un des deux endroits
20:58 où il faudrait être pendant la Coupe du monde de rugby.
21:00 Le premier, c'est le stade.
21:02 Le deuxième, je vais vous le présenter.
21:04 Il est juste derrière moi, c'est le village rugby.
21:06 Certains se souviennent de 2016, avec l'Euro.
21:11 On a fait pareil, et en encore mieux.
21:13 C'est un terrain de rugby, bien évidemment,
21:15 et une vraie pelouse.
21:17 On est en train de bichonner.
21:19 Les clubs de rugby vont venir et vont faire des animations,
21:22 vont faire des initiations également,
21:24 quelques matchs. Bref, on va bien s'amuser.
21:26 - Eh, ça en fait du câble quand même, là, non ?
21:28 - Ça commence à tirer quelques kilomètres de câble, oui.
21:31 Le chapiteau fait quand même 1 600 mètres carrés.
21:34 Il fait plus de 14 mètres au fêtage,
21:36 donc c'est assez énorme.
21:38 C'est un très grand chapiteau, il fait 40 mètres d'ouverture.
21:40 C'est le plus grand qu'on ait monté jusqu'à maintenant sur Saint-Etienne.
21:43 Alors, il n'y est pas encore, mais sur cette grande structure,
21:45 il y aura un écran de 90 mètres carrés
21:47 sur lequel on va retransmettre tous les matchs
21:49 qui sont à Geoffroy-Dichard, bien sûr,
21:51 les matchs de l'équipe de France
21:53 et également des matchs de poule, tout ça jusqu'au 1er octobre.
21:56 Eh ben voilà, on vous emmène en backstage,
21:58 derrière la scène, ou plutôt sur la scène.
22:01 On va y avoir de très grands artistes.
22:03 Alors regardez bien, 160 mètres carrés,
22:05 presque 10 mètres de haut,
22:07 beaucoup de lumière, beaucoup de son,
22:09 de grands artistes, on vous attend nombreux.
22:11 Alors on sait à quel point c'est important, les buvettes.
22:13 Eh ben les voilà, on est en train de les monter.
22:15 On vous attend nombreux, pour boire un peu de bière, pas trop, attention.
22:19 Des jeux gonflables, des jeux en bois,
22:21 des jeux pour les ados, des jeux pour les enfants,
22:23 des jeux pour les tout-petits, ce qui est assez nouveau.
22:26 Et puis juste derrière moi, vous voyez les arbres,
22:28 il y aura de l'accrobranche dedans.
22:30 Il faut rappeler que tout est gratuit.
22:32 Un tout petit peu plus loin, il y aura tous les food trucks.
22:34 6 food trucks pour vous restaurer.
22:36 C'est pas mal, non ?
22:37 Si vous aimez le rugby, ne restez pas devant votre télé.
22:39 Si vous ne l'aimez pas, venez aussi,
22:41 avec vos enfants, vos ados, vos petits, peu importe.
22:44 Il y aura de quoi occuper tout le monde.
22:46 Mais surtout, le village rugby, ça sera le lieu incontournable
22:49 pendant toute la Coupe du Monde, jusqu'au 1er octobre.
22:52 A bientôt !
22:53 Voilà, nous prenons la direction maintenant de la récamérée.
23:04 Récamari !
23:05 Récamari !
23:06 Stephane Wauquiez, on te dit d'un coup, toi !
23:08 Récamari, on va aller du côté des parquets
23:10 pour annoncer cette bonne nouvelle.
23:12 Ça t'enverra un peu vos disciplines, d'ailleurs.
23:14 Exactement.
23:15 Mais surtout pour annoncer une bonne nouvelle,
23:17 c'est vrai qu'on le savait depuis le mois de juin,
23:19 ils ont été champions pré-national,
23:21 et ils sont montés en national 3, le club de la Récamari.
23:24 Alors, ce n'est pas la première fois.
23:26 Ce n'est pas la première fois.
23:27 Il faut bien le dire, il y a 5 ans de ça, quand ils sont montés,
23:29 c'était, entre guillemets, un peu une surprise.
23:31 Ce n'était pas prévu.
23:32 Là, c'est vrai que le club, dès le début de la saison passée,
23:35 ils avaient mis les moyens, le coach, le staff, les choureurs...
23:39 - Structureurs au sein du club ?
23:40 - Structureurs, oui. Ils ont un directeur sportif.
23:42 - Ah oui, ça y est.
23:43 - Ils ont un directeur sportif, tout ça, pour monter.
23:45 Donc, c'est chose faite.
23:46 Ils gagnent la finale, ils gagnent le titre, donc c'est top.
23:49 Et surtout, c'est qu'ils ont fait quelque chose,
23:50 on verra tout à l'heure dans le studio,
23:52 mais ils ont réussi à garder 90 % de l'effectif.
23:55 Donc, ça, c'est énorme.
23:57 Et ils ont recruté 3 joueurs, mais c'est 3 joueurs du local.
24:00 Donc, il y en a un qui vient de Saint-Jus...
24:02 - Vous n'avez pas joué au basket, vous ?
24:03 - Jamais, non.
24:04 - Non, jamais ?
24:05 - Non, jamais, mais au basket, oui.
24:06 - Ah, oh !
24:07 - Le rugby, ça sent bon.
24:08 - Mais pourquoi tu t'étonnes ? Mais t'as vu le charisme ?
24:09 - Non, mais moi, j'aurais bien vu un shooter, là.
24:11 Franchement, il allait...
24:12 - Un meneur ?
24:13 - En poste 2-3.
24:14 Non, pas un meneur.
24:15 2-3, un poste aîlé, ça aurait été pas mal, Arthur.
24:17 - Ouais, 1m70.
24:18 - On est là, on est grand.
24:19 - Il n'y a pas que la taille au basket, attention.
24:21 Il ne faut pas regarder par rapport à ça.
24:22 - Donc, recrutement en interne.
24:23 - Mais du coup, un petit recrutement au niveau local.
24:25 - Ouais.
24:26 - On va aller à la rencontre de Joris Daoud, le président, et de Geoffrey Louillat, le coach,
24:30 pour nous parler de cette saison.
24:32 - On va parler du club de l'Arrecamari, de l'amical laïc de l'Arrecamari, une section,
24:38 un club qui se porte très bien.
24:40 - Un club qui se porte très bien, en effet, avec des licenciés fidèles depuis des années.
24:44 - Combien ?
24:45 - Environ 180 licenciés.
24:46 - Et il y a eu la montée sur les seniors, deuxième montée, il y a eu 5 ans, 5 ans avant,
24:50 une montée un peu surprise, et là, la montée en National 3.
24:53 - C'est ça, la montée en National 3, après une super saison de l'équipe.
24:56 - Avec un titre.
24:57 - C'est ça, le titre en prime de champion de prix national.
25:00 Donc voilà, ce n'est vraiment pas historique pour le club, parce que ça a déjà été
25:04 connu, mais c'était vraiment une volonté du club de se réinstaller à ce niveau.
25:08 - Coach, tout d'abord, félicitations pour cette montée en National 3.
25:12 On sent une équipe cette année, un club cette année, qui va durer sur la saison.
25:17 - On va essayer, ouais.
25:18 On va essayer de durer.
25:19 Forcément, on nous attend plutôt sur le maintien, mais on va essayer de jouer les troubles
25:22 de fête.
25:23 On va essayer d'aller chercher même un peu plus haut.
25:25 - Vous avez gardé 90% de l'équipe en vous renforçant avec la venue de 3 joueurs.
25:31 - Ouais, voilà, c'est ça.
25:32 On voulait vraiment récompenser le groupe qui avait gagné la montée l'an dernier,
25:36 qui le méritait.
25:37 - Et qui a gagné le titre.
25:38 - Et qui a gagné le titre, ouais.
25:39 On a gagné le titre de Prénate, la compte Mantaille, après un super match.
25:43 Et on retrouvera d'ailleurs cet adversaire cette année dans notre pool.
25:46 Mais du coup, on voulait garder une vraie hausse sature, donc on a gardé 9 joueurs
25:49 sur 10.
25:50 Et on a fait un renforcement plutôt local.
25:51 Et puis aussi, on a des représentants de clubs un peu voisins qui viendront chez nous
25:56 l'année prochaine à l'Arrêt Camarille.
25:57 - Vous êtes axés sur la défense, sur l'attaque, mais quand on va venir voir l'Arrêt Camarille,
26:03 qu'est-ce qu'on va voir ?
26:04 - Défensivement, on essaie toujours d'avoir un petit coup d'avance.
26:06 En attaque, c'est surtout avoir envie de se passer le ballon, que le danger vienne de
26:10 partout.
26:11 Voilà, elles sont là nos forces.
26:12 Donc aujourd'hui, nous, c'est pas un joueur qui tire la couverture à lui, c'est tout
26:15 un groupe qui fait avancer le club.
26:16 - Et puis la force, c'est aussi le public.
26:18 Il y a du monde à l'Arrêt Camarille.
26:19 - On avait une salle pratiquement remplie à tous les matchs sur la deuxième phase de
26:23 l'an dernier.
26:24 On a joué des matchs en pré-national devant 500 personnes, ce qui n'est pas rien.
26:27 Dès la semaine prochaine, pour la reprise du championnat, on va sûrement faire guichet
26:31 fermé.
26:32 - National 3, plus long déplacement, donc forcément un budget qui se revoit.
26:38 - Forcément, ce niveau nous contraint à certaines choses.
26:40 Les déplacements qui, forcément, ont un coût derrière.
26:43 On essaie vraiment, avec le staff du bureau, les bénévoles, etc., de bosser au mieux
26:48 là-dessus, d'anticiper au mieux les choses pour mettre l'équipe dans les meilleures
26:51 conditions.
26:52 - En tout cas, TLC vous souhaite de rester en National 3 pour de longues années et pourquoi
26:57 pas peut-être aller en National 2.
26:58 Merci, président.
26:59 - Merci.
27:00 - Je pense qu'ils sont partis pour durer, honnêtement, parce qu'ils ont construit,
27:07 ils veulent rester dans cette poule.
27:09 - C'est ça, c'est "est-ce qu'on va rester, surtout ?"
27:11 - Mais honnêtement, ils ne vont pas faire de la figuration.
27:14 L'Arrêt Camarille, je ne pense pas.
27:15 - Ils l'ont dit, ils veulent jouer et être chiants à la maison.
27:17 - Et puis, à la maison, ça va être très dur.
27:19 Vous avez vu la salle, comme elle est faite.
27:21 On était ensemble, Julien, et quand c'est plein, il y a 500 personnes dans cette salle,
27:25 je suis plein les adversaires qui vont venir jouer.
27:27 - Alors, les illustrations, ce n'est pas celles de Sportset, c'est eux qui nous ont envoyées.
27:31 Ils ont fait exprès de nous envoyer des...
27:32 C'est pour fausser l'adversaire.
27:34 Non, mais il faut le dire, ils sont en National 3 avec qui ? André Zue ?
27:38 - Oui, il y a André Zue.
27:39 - Ils n'ont jamais voulu un match préparatoire.
27:40 C'est vrai, en frontière, André Zue.
27:41 - Non, mais oui, après, ça peut se comprendre, Julien, parce que c'est vrai qu'ils sont dans la même poule.
27:45 Alors, c'est vrai que sur des matchs de préparation, on aime bien jouer sur des équipes qui sont à côté,
27:49 pour éviter les frais de transport.
27:50 - Quand on est arrivés, ils ont tout caché, tous les plans de jeu.
27:52 Non, mais c'est vrai.
27:53 - Non, mais après, voilà, ils viennent de monter, c'est bon enfant.
27:57 Moi, je trouve que c'est...
27:58 - Vous les sentez bien ?
28:00 - J'espère, vraiment.
28:01 Et puis, c'est un club attachant, là, à Camarillo, honnêtement.
28:05 Geoffrey, t'es un super coach.
28:07 - Oui.
28:08 - Franchement, c'est un super gars.
28:09 Donc, je connais quelques joueurs qui évoluent.
28:11 J'espère de tout cœur qu'ils vont se maintenir, vraiment, cette saison,
28:14 et pourquoi pas plus dans les années à venir.
28:16 - Et le championnat commence ?
28:17 - Ce week-end.
28:18 - Ce week-end ?
28:19 - Oui, premier match ce week-end à Domicile.
28:20 Alors, je ne sais plus contre qui, mais je crois qu'ils reçoivent ce week-end le premier match.
28:24 - Et André Zue ?
28:25 - André Zue aussi, c'est ce week-end.
28:26 - Bien sûr, merci, mais contre qui ? Vous le savez ou pas ?
28:28 - Je ne sais plus non plus.
28:29 - D'accord, OK.
28:30 Et l'autre, c'est mon club de cœur.
28:32 - Il y a tellement de...
28:33 On prépare la nationalité.
28:34 - On va en parler, parce qu'il va y avoir du changement bientôt dans le club d'André Zue Boutet.
28:39 On en parlera dans les prochaines émissions.
28:40 - Exactement.
28:41 Écoutez, merci à vous et Félix Lémire.
28:43 - Notre spécialiste ralliée là.
28:51 On peut dire qu'on est à mi-parcours.
28:54 - On est à mi-saison.
28:55 - Vous êtes venu avec votre public ou quoi ?
28:57 - Alors, je suis venu avec mon public.
28:58 Je suis venu aussi avec mon président.
28:59 Donc, merci, Louis-Jean, d'avoir accepté mon invitation.
29:02 - Bonjour, donc, Louis-Jean Villard, qui est président de l'Asa du Forêt.
29:05 J'y suis licencié depuis 25 ans.
29:07 - Et vous savez qu'Arthur fait du rallye ?
29:08 C'est ce que vous me disiez, avec votre copine.
29:10 - Ma femme est pilote.
29:11 - Ah, d'accord.
29:12 - Il est officiel, mais il est pilote.
29:13 - Et comment il s'appelle ?
29:14 - Chloé.
29:15 - Chloé.
29:16 - D'accord, ben, OK.
29:17 - Il met un casque tout le temps dans la voiture.
29:19 - Alors, Louis-Jean, si je t'invitais ce soir, c'est parce que tu as un scoop à nous annoncer.
29:22 Mais on va garder ça pour la fin.
29:24 Je voulais commencer par refaire un bref historique de l'Asa du Forêt,
29:28 qui existe depuis quand même plusieurs dizaines d'années.
29:30 - Et surtout, elle s'occupe de très, très belles compétitions, l'Asa du Forêt.
29:33 - Oui, exactement.
29:34 L'organisation du rallye Baldomérien, du rallye du Forêt et du rallye Montbrisonnet.
29:38 Avant toute chose, en termes de faits marquants,
29:41 ces quelques dizaines d'années de l'Asa du Forêt,
29:46 quel a été le fait le plus marquant de l'Asa ?
29:49 - Voilà.
29:50 Alors, historiquement, c'était la section sportive de l'automobile Club du Forêt, 1945.
29:53 On décline jusqu'à nos jours.
29:55 Une époque charnière, c'est l'année 2000,
29:58 où l'Asa du Forêt et le département de la Loire basculent de la Ligue Auvergne à la Ligue Rhône-Alpes.
30:04 - Et oui, auparavant, malgré qu'on soit dans la Loire, on faisait partie de la Ligue Auvergne.
30:09 - Voilà.
30:10 Et de ce fait-là, l'Asa du Forêt applique strictement la réglementation,
30:14 c'est-à-dire qu'on organise les épreuves qu'à l'intérieur de sa propre région,
30:17 administrative et non plus au-delà.
30:19 Et ce jour-là, elle se fait amputer d'une course de cote de Championnat de France, d'une course de cote nationale, Cachara.
30:26 On perd le rallye du Haut-Lignon et on perd aussi le parcours du rallye du Forêt.
30:31 - Et pendant plusieurs années...
30:32 - C'est quand même des grosses courses, hein, quand même, il faut le dire.
30:34 - C'est quand même des grosses courses, et notamment pour le rallye du Forêt.
30:36 Alors, heureusement, la Zambourgane a très bien repris le parcours du rallye du Forêt pour en faire un rallye de Val d'Anse
30:41 et organise très bien la course de cote de l'Unier.
30:44 - Oui, mais si on vous met à gauche comme à droite, donc vous récupérez d'autres courses ou pas du tout ?
30:48 - Pas du tout, il aurait fallu que nous créions d'autres épreuves, ce qui est quand même un peu compliqué,
30:54 parce que, après, il y a les mairies, hein, qu'on remercie toujours,
30:58 mais on trouve pas non plus forcément des mairies toujours très volontaires dans des moments comme ça.
31:04 Quand il s'agit d'une création, quand il s'agit de modification, les gens sont beaucoup plus chauds.
31:08 - Et la ZAM du Forêt a été pendant de nombreuses années la plus grosse AZA de la Ligue RENALP, c'est plus le cas, je crois, aujourd'hui.
31:13 - Alors, c'est plus tout à fait le cas, mais j'oserais dire que nous nous sommes restés avec le nombre de licenciés, 320 environ, de l'AZA.
31:22 Les deux AZA qui nous sont passés devant, c'est l'AZA du Rhône et l'AZA de Savoie.
31:27 En réalité, elles ont fait des opérations, entre guillemets, on dirait dans l'industrie de croissance externe,
31:31 puisqu'elles ont récupéré une ASK pour l'AZA du Rhône.
31:35 - Faites pareil, faites pareil.
31:36 - Et, ouais, on n'en a pas forcément la montée, il n'y a pas forcément l'opportunité,
31:40 parce qu'en réalité, dans le département de la Savoie, c'est l'AZA 73 qui a disparu et les licenciés sont allés à l'AZA de Savoie.
31:46 Voilà, mais bon, ça se passe bien.
31:49 Écoutez, avec 320 licenciés, ça nous permet de financer un demi-poste de secrétariat permanent.
31:55 Donc, voilà.
31:56 - Alors, Louis-Jean, c'est la mi-saison, donc il y a déjà eu deux épreuves qui ont été organisées depuis le début de l'année,
32:01 et une notamment, le rallye Baldemerien.
32:03 On a quelques images d'ailleurs de l'édition 2023, avec un parcours similaire aux années précédentes.
32:09 Quel a été le bilan sportif ?
32:11 - Alors, le bilan sportif était très positif, puisque nous avions environ 150 engagés.
32:17 - C'est le maximum.
32:18 - C'était le maximum.
32:19 On avait demandé même une dérogation à 160 à la Fédération.
32:22 Finalement, on part à 150.
32:25 On a le cadre de l'hypodrome de Saint-Galmier, vous voyez les images, c'est quand même assez fabuleux pour une course.
32:31 On renoue un partenariat avec le casino de Saint-Galmier.
32:34 Donc, oui, et puis un succès populaire.
32:36 - On est d'accord, il faut le dire, chaque fois c'est un succès.
32:39 Il y a quoi en face ? Non, c'est l'ouverture.
32:40 Non, ce n'est pas l'ouverture de la saison.
32:41 - Alors, ce n'est plus l'ouverture en Alpes, puisqu'il y a le rallye de la Haute-Azergue,
32:45 mais qui n'est pas tout à fait sur le même volume.
32:47 Et nous sommes la première épreuve, parce que notre bassin de recrutement des pilotes et des copilotes,
32:53 c'est à la fois, on va dire, du départ en Durand jusqu'à Clermont-Ferrand.
32:57 - C'est large.
32:58 - Et puis, on va ensuite de la Ligue Bourgogne jusqu'à la Ligue Midi-Pérennée.
33:01 Et donc, nous sommes la première épreuve de la saison à ce moment-là.
33:04 - Alors, le rallye de Val-d'Omerien, c'est un rallye régional.
33:06 Ensuite, il y a un rallye national au mois de juin, c'est le rallye Saint-Etienne-Forêt.
33:09 - Ah oui.
33:10 - Qui a une nouvelle formule, un nouveau parcours depuis 2019.
33:12 - Qu'Assus serait inventé un peu, oui.
33:13 - Il part de Saint-Etienne avec des spéciales en automobiles.
33:15 - Vers Jaufra-Guichard.
33:16 - Il y a eu des ajustements, effectivement, des ajustements qui ont été réalisés depuis 2019.
33:20 Donc, est-ce que le rallye du Forêt a sa vitesse de croisière désormais ?
33:24 - Alors, oui, sans doute.
33:25 Et puis, surtout, le bouche-à-oreille marche très bien.
33:27 Quand on crée ce parcours en 2019, la critique, c'est il faut prendre l'autoroute
33:35 pour rejoindre les premières épreuves spéciales.
33:37 - Pour le parcours de liaison.
33:38 - Pour le parcours de liaison.
33:39 - Ah oui, c'est vrai.
33:40 - Et ça, ça a un effet un peu repoussoir.
33:41 Et puis, en réalité, des gens comme Jean-Marie Coque, des gens comme Cédric Robert ont dit
33:46 que c'est super parce que certes, il y a une liaison qui est un peu longue,
33:49 mais après, on enchaîne quatre épreuves spéciales les unes derrière les autres.
33:52 Il y a 4 km entre l'arrivée de l'une et le départ de l'autre.
33:55 Et ça, on est sur un rythme formidable.
33:56 - Non, mais c'est super de vous voir partir de Jaufra-Guichard et d'Anvil presque.
34:00 Parce que c'est le bonheur comme à l'époque, quoi.
34:02 - Comme à bien 30 ans.
34:03 - Et nous avons le parc d'assistance, le parc fermé, les expositions des différents...
34:08 - C'est quand déjà ? C'est quoi ?
34:10 - C'est le dernier week-end de juin.
34:11 - Si t'es dispo, Arthur, on ira, c'est facile.
34:13 - Ben ouais, un vélo, c'est... - Non, c'est dur.
34:16 - S'entraîner à côté, en plus.
34:17 - Alors, Jean, la suite, la prochaine épreuve, c'est évidemment le rallye Montbrisonnet.
34:20 Mon épreuve de cœur, forcément.
34:21 Il y a eu des nouveautés ces dernières années.
34:24 Tu peux peut-être en parler.
34:25 Et il y en aura encore une nouvelle cette année ?
34:27 - Cette année.
34:28 Alors, les nouveautés ces dernières années, ça a été de rajouter une épreuve chronométrée le samedi.
34:34 - De nuit ? - Toujours pour essayer d'optimiser le nombre de kilomètres.
34:37 - Ça, c'est génial. J'adore.
34:38 - Le nombre de kilomètres parcourus en épreuve chronométrée
34:40 et le nombre de kilomètres parcourus au total.
34:43 Donc, c'est une épreuve de nuit et c'est le Mont Sémiol,
34:46 qui est toujours l'épreuve emblématique de ce rallye
34:49 et qui est reprise par le Tour de France Auto.
34:51 Cette année, on a voulu encore un peu corser la difficulté
34:54 et puis tester quelque chose pour 2024.
34:56 Et nous aurons le samedi une grande épreuve chronométrée
34:59 qui fera 20 kilomètres,
35:01 qui partira de Sauvins, reprenant l'ancien parcours.
35:04 On va traverser Saint-Georges-en-Cousins en chrono.
35:07 Ce qui est quand même... - Génial.
35:09 - Je pense que dans la région, on va être un des seuls,
35:12 un des seuls rallyes à traverser en village en chrono.
35:16 Et puis après, on reprendra l'ancien chrono.
35:18 - La spéciale Saint-Georges-en-Cousins.
35:19 - Et on revient le dimanche à un parcours plus court
35:22 parce que c'est vrai que là, on remercie tous les maires,
35:25 notamment celui de Saint-Georges-en-Cousins, qui s'y est aimé.
35:27 Mais tous !
35:28 Parce qu'on supprime un accès à Chalmazel,
35:31 on contraint les gens à en prendre une déviation.
35:33 - Ça va, il n'y a pas trop de neige à cette période.
35:35 - Absolument, le samedi, parce que ça n'a pas été possible de le faire le dimanche.
35:37 - Non, non. Et surtout la surprise, on trippine la patience avec Arthur.
35:41 - Un petit clin d'œil, parce qu'il y a quand même un événement très important
35:44 qui aura lieu une semaine après le rallye Montbrais-Aisnay,
35:46 c'est la finale des rallies modernes qui aura lieu à Amber.
35:49 - Voilà. Et c'est vrai qu'on souhaite une bonne chance à l'équipe de Thierry Dupéché,
35:54 parce que pour avoir assisté à un certain nombre de finales
35:57 de la Coupe de France des rallies,
36:00 c'est la fête du sport automobile amateur.
36:02 - On a vraiment la chance, c'est la première fois qu'une finale se déroule aussi près de chez nous.
36:06 - Oui, aussi près de chez nous.
36:07 - Une finale absolument similaire au rallye du Montbraisonnet.
36:09 Ça nous enlèvera sans doute un certain nombre de concurrents de nous au départ,
36:12 parce qu'ils ne vont pas vouloir rouler le week-end avant le rallye.
36:16 Mais on a proposé quand même à certains en disant,
36:19 si vous voulez rouler sur les mêmes routes que le rallye,
36:21 eh bien vous venez chez nous, puisque c'est de part et d'autre de la montagne.
36:25 - Et donc ça fait une super transition.
36:26 - Ça serait une bonne roco.
36:27 - Ça serait une bonne mise en jambes.
36:29 - Ça fait une super transition, puisqu'on parle de finale de rallye moderne.
36:31 Donc là, ça y est, tu peux nous annoncer la belle surprise, le scoop.
36:34 Alors certains sont déjà au courant, forcément.
36:36 Donc je te laisse l'annoncer.
36:38 - Eh bien, suite au dossier de coordinature que nous avions déposé auprès de la Fédération Française de Sport Automobile,
36:43 l'AZ du Forêt et le rallye du Montbraisonnet,
36:45 ça sera le 45e en 2024,
36:47 ont été choisis pour être le cadre de la finale des rallyes des véhicules historiques de compétition.
36:52 - VH, ça y est.
36:53 - Voilà, VH.
36:54 - On va voir quelques véhicules, ça va vous donner envie vraiment.
36:56 - Ah, ouais, ouais.
36:57 - Donc déjà bravo.
36:58 - Bravo, parce que quand même, deux années de suite, on aura deux finales.
37:01 - C'est vrai, mais j'adore.
37:02 - C'est vraiment des super voitures.
37:04 Alors comment ça a été possible, ça, Louis-Jean ?
37:05 - Eh bien, ça a été possible tout simplement parce qu'au niveau fédéral,
37:09 les gens se sont aperçus qu'il n'était pas possible,
37:13 comme Romiramont avait fait un dossier de candidature l'année dernière,
37:17 une épreuve VH en entier, économiquement, elle ne tient pas la route.
37:21 Donc il faut que ce soit adossé à un rallye moderne.
37:25 Bon, j'ai la chance de faire partie de la commission VH au niveau national.
37:32 Donc au moment où on s'est aperçu un peu de ça,
37:35 on s'est dit qu'on avait une fenêtre de tir,
37:38 alors pas pour cette année, puisque c'était les côtes du Tarn
37:41 dans lesquelles nous nous rendrons pour aller voir un peu ce que les gens font,
37:44 mais qu'on pouvait déposer un dossier.
37:47 Et donc notre dossier, qui avait été sans doute bien préparé,
37:51 a été… alors on a le soutien de la ville de Montbrison,
37:53 on a le soutien de toutes les collectivités que nous traversons,
37:56 de nos partenaires, et c'est vraiment un plaisir d'avoir pu soutenir ce dossier.
38:00 Maintenant, il faut se retrousser les manches pour réussir nos périphériques.
38:03 Voilà, il faut préparer ça, c'est en octobre 2024,
38:05 et encore bravo pour cette candidature réussie.
38:07 Et puis on se donne rendez-vous à l'édition 2023 du Montbrisonnet,
38:11 qui aura du moderne et aussi déjà de la VH.
38:13 On fera l'art. Et de la régularité.
38:15 Cette année, on crée, le dimanche,
38:19 il y aura une épreuve régularité pour les véhicules historiques,
38:23 les véhicules modernes et les véhicules énergie nouvelle.
38:25 Jean-Louis a une chance de gagner. Il va courir.
38:28 Jean-Louis a une chance de gagner sa classe.
38:31 Mais au niveau régularité, nous on n'y est pas.
38:33 Je vous le dis, au niveau du temps.
38:34 Non, moi je suis encore en moderne.
38:36 Merci à vous, Louis-Jean.
38:38 Merci infiniment pour votre invitation.
38:46 Allez, on va essayer de récupérer le temps.
38:49 On n'y arrivera pas. Portrait de sportif.
38:51 Yes, on va au nord du département, à la rencontre de Pascal Danier.
38:54 On va parler Andy Aveyron,
38:56 qui est une discipline, pas nouvelle, c'est pas le mot,
39:00 mais en tout cas, qui a moins de 20 ans, je dirais.
39:04 C'est un légèrement avant 2010.
39:06 Cette discipline a été créée, en tout cas pour les Andys.
39:11 Pascal Danier, suite à un accident de voiture,
39:14 qui était déjà très sportif avant,
39:17 a voulu se jeter à l'eau et prendre cette discipline,
39:21 choisir cette discipline, avec des adaptations,
39:24 pour être sanglé, pour les mains également,
39:27 pour pouvoir attraper comme il faut la pagaie.
39:30 Les rames.
39:31 En tout cas, ça a été adapté pour lui.
39:35 Et il a fait des compétitions.
39:36 En indoor, il a été champion de multiples fois.
39:39 Et en outdoor, il a été cinquième au championnat du monde.
39:42 Et là, il a en vision, forcément, les JO de Paris 2024,
39:46 comme tout sportif qui peut prétendre aller faire
39:50 et apporter les couleurs tricolores.
39:52 C'est en solo que vous l'avez rencontré.
39:54 C'est en solo que je l'ai rencontré.
39:55 Et c'est en solo, également, qu'il évolue sur le bateau d'Aveyron.
39:59 Je vous propose d'aller à sa rencontre.
40:02 L'histoire, elle a commencé avant.
40:04 Je faisais beaucoup de sport en triathlon et beaucoup de course à pied.
40:08 Et après, j'ai eu un accident de la circulation.
40:11 Je me suis orienté sur la natation parce que je cherchais un sport,
40:14 un club sur Rouen.
40:15 Il y avait le club, on dit, Sport Rouennais.
40:17 Et c'est une communauté qui m'a permis de faire des choses.
40:20 Et puis, j'ai eu un accident de circulation.
40:22 Je me suis orienté sur la natation parce que je cherchais un sport,
40:25 un club sur Rouen.
40:26 Il y avait le club, on dit, Sport Rouennais.
40:28 Et c'est une communauté de la Loire qui m'a acheté des bateaux d'Aveyron.
40:31 C'est comme ça que ça a commencé.
40:33 Le début de l'Aveyron, il a commencé en 2008 pour tous les Andis.
40:37 Et donc, moi, j'ai commencé en 2009.
40:39 Et puis, voilà, depuis, je n'ai pas arrêté.
40:40 Aujourd'hui, j'ai trois titres de champion du monde en Aveyron indoor.
40:44 Et j'ai fait une cinquième place et une quatrième place en Aveyron normal sur l'eau.
40:48 Moi, c'est toujours en ski dans ma catégorie.
40:50 Je ne peux pas ramer, malheureusement, en double ou en quatre ou en huit.
40:53 Notre handicap, il ne permet que de faire du ski.
40:56 Dans mon handicap à moi, c'est que en ski, que en solo.
40:59 Et moi, dans ma catégorie, c'est bien spécifique à celle-ci.
41:02 On a un flotteur de chaque côté et on a une assise avec des sangles,
41:07 où on est sanglé pour ne pas avoir des défauts d'équilibre souvent.
41:11 Et moi, j'ai un appareil un peu particulier parce que j'ai des problèmes de main.
41:14 J'ai des poignées qui sont moulées à mes mains pour que je puisse me débrouiller en course
41:19 parce que sinon, je lâchais en course.
41:21 Comme je vous le disais avant, quand je n'avais pas mes poignées,
41:23 je me merdais toutes mes courses parce que je lâchais tout le temps en cours.
41:26 Dès que j'accélérais, ça lâchait.
41:28 Donc, l'anecdote, c'est que je perdais mes courses pour ça.
41:32 Si je finissais cinquième au championnat du monde, j'aurais pu faire une deuxième place.
41:35 Mais au départ, j'ai lâché la main parce que ce n'était pas adapté.
41:39 Maintenant, on m'a adapté ça et ça va beaucoup mieux.
41:41 Quand je finis premier, je me rends compte que j'ai un peu de mal à la main.
41:48 Quand je finis premier au France, je suis tout petit.
41:53 À côté des autres, c'est des géants.
41:55 Sur la photo, on remarque tout de suite ça.
41:57 Rien de particulier. Je n'ai pas de rituel.
42:05 Il y a déjà Paris, comme tout le monde.
42:08 Essayer d'accrocher une place pour les Jeux, ça va être très compliqué cette année.
42:12 Mais on va essayer de faire le maximum.
42:14 De toute façon, je continue tout le temps à m'entraîner.
42:16 Je fais des choses à côté.
42:18 Je ne fais pas que de l'aviron, je fais un peu de vélo aussi.
42:20 Pour changer un peu la méthode d'entraînement.
42:22 Mais oui, ça reste toujours l'objectif.
42:24 Essayer de décrocher une place pour Paris.
42:26 Vive le sport et vive Paris 2024 !
42:30 Il aurait pu être champion du monde.
42:33 Il aurait pu.
42:34 Et aujourd'hui, ça va devenir un peu plus compliqué, comme il me l'expliquait.
42:37 Parce que vous savez, en handicap sport, le type d'handicap est classé par catégorie.
42:45 Et aujourd'hui, dans sa discipline et surtout dans la catégorie où il est,
42:49 je ne vais pas faire d'erreurs et de bêtises,
42:52 en tout cas, ils ont décidé de switcher des catégories.
42:55 Ça veut dire qu'il va se retrouver avec des personnes qui sont plus jeunes
42:59 et qui ont des handicaps qui sont plus légers que le sien.
43:02 Donc pour lui, aujourd'hui, il faut s'entraîner deux fois plus.
43:04 Et ça devient de plus en plus compliqué de faire des performances.
43:07 Mais vous l'avez vu, il est hyper motivé.
43:09 Et en tout cas, ça peut se jouer à pas grand chose pour se diriger du côté des Jeux Olympiques.
43:14 Est-ce que vous avez senti un petit air de Brazil derrière vous ?
43:18 Ça sent le Brésil.
43:20 On va la rejoindre. C'est la démo qu'on peut applaudir.
43:24 Mais je ne sais pas, mais ça peut devenir maintenant mon moment préféré de l'émission.
43:32 On a autant attendu.
43:34 Je vais me mettre là, comme ça.
43:35 Thérésa, c'est vous Thérésa ?
43:36 Oui.
43:37 Parce qu'on ne m'a pas présentée. Vous n'êtes pas Thérésa, a priori.
43:39 Thérésa, vous voulez revenir sur quoi exactement ?
43:42 Parce que c'est vrai qu'on a dit avec Fendi, on a cette image de la danse brésilienne.
43:46 Mais a priori, ce n'est pas trop ça.
43:48 Divertieux.
43:50 Effectivement, il y a ça, mais il n'y a pas que ça.
43:54 C'est pour ça aussi, l'objectif que nous sommes habillés comme ça.
43:59 Pour montrer que le samba, c'est aussi...
44:02 On n'a pas besoin... On peut être...
44:04 Là, nous sommes déjà en mode samba.
44:06 Toi, tu es en mode samba.
44:08 Tu ne le savais pas, mais tu es samba.
44:11 Tu es samba. Tu es un tigre.
44:13 Parce que les costumes, oui, ça fait pour le carnaval.
44:17 Il y a un pourquoi de ce costume avec les plumes et les paillettes.
44:22 C'est raconter une histoire carnavalisée.
44:25 Et vous, personnellement, pour finir, vous avez fait le carnaval de Rio.
44:29 Quand même la mec du... Combien de fois ?
44:32 Depuis toute petite.
44:34 Depuis toute petite.
44:36 Depuis toute petite.
44:38 Donc, le samba, pour moi, ce n'est pas que la danse.
44:41 C'est la musique aussi. C'est la nourriture.
44:44 C'est la rencontre. Il sert aussi...
44:47 Bon, écoutez. Sportset aux couleurs du Brésil.
44:50 On va danser avec les pieds. C'est ce qu'on dit.
44:52 Tout le corps.
44:54 Arthur va venir me rejoindre, mais on reviendra un peu après.
44:58 On vous laisse y aller.
45:00 Et vous nous dites "top" pour la musique.
45:02 Vous êtes prêts ? On est en direct.
45:04 Attention, il y a une scénographie. Vous êtes prêtes ?
45:06 Attention.
45:08 Vous lancez le tap-dan-boule et vous faites 3...
45:13 3, 2, 1, parti !
45:16 Fort !
45:22 Ça va piquer.
45:32 Ça va piquer.
45:34 Ça va piquer.
45:36 Ça va piquer.
45:38 Dansons la Bahia com'oche du rocher
45:42 Hoje é uma culerê, samba de rocher, canobler
45:46 Me embalei no chote, chachado no sertão
45:50 No rio de São Paulo que vem lá do Maranhão
45:54 Celeste BH, que o amor se iria
45:58 Xavana é cadrover, cacu é cacumí
46:02 Mil coisas eu vivi
46:04 E pausa meu nunca ouvi
46:08 Mil voção, margens !
46:10 Chulo de banheiro com canzai e tamborim
46:14 A poça do bado que desse som tocou em mim
46:18 A grande apodreose que o terreiro me encantou
46:22 Renonça do família, vem do amor e do amor
46:26 Batu pão mas dois algarres, sechei a loupe
46:30 A parte do catalá, tambores de chambou
46:33 J'm'en vais du bar, si tu veux faire le ré-samba
46:39 On est au monde, j'ai un t-shirt mar
46:41 Chulo de banheiro, com canzai et tamborim
46:45 A poça do bado que desse som tocou em mim
46:48 Si vous voulez revoir cette émission, forcément en replay !
46:51 Allez Arthur, la rééducation !
46:55 Si vous voulez revoir cette émission, forcément en replay !
46:57 *Musique*
47:11 *Rire*

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