Les Vraies Voix de l'emploi : Le monde de l'aéronautique

  • l’année dernière
Les Vraies Voix de l'emploi avec Jérôme Laverny, directeur général du Réseau National des Mission Emploi.
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##LES_VRAIES_VOIX_DE_L_EMPLOI-2023-06-27##
Transcript
00:00 Les vraies voix de l'emploi, bienvenue ! On est ravis de vous retrouver comme tous les mardis.
00:03 C'est Jérôme Lavergne qui est avec nous. Ça va Jérôme ?
00:05 Bonsoir Cécile, bonsoir Philippe.
00:06 Beaucoup, beaucoup, beaucoup de recrutement à venir encore dans cette émission.
00:10 On va beaucoup parler d'aéroportuaire.
00:12 Un festival de recrutement, de perspectives dans ce secteur aéroportuaire et aérovairien,
00:18 les deux étant cousins germains, qui a le bénéfice, le grand avantage de séduire énormément le public.
00:24 Alors il va falloir dire les bonnes et les mauvaises raisons, qui ouvrent de belles perspectives.
00:30 Et peut-être dire aussi quel est l'intérêt qu'il peut ressortir de ce passage dans le secteur aéroportuaire et l'aérien
00:37 pour notamment nos jeunes publics, celui immanquablement d'une très grande exigence.
00:42 C'est un secteur qui exige beaucoup en termes de compétences, en termes de savoir-être,
00:46 comme beaucoup d'autres certes, mais avec des contraintes quand même qui sont assez soutenues.
00:50 Et donc un passage de 2 ans, 3 ans, 5 ans, 10 ans dans ce secteur-là est déjà un gage de qualité hors aéroportuaire.
00:58 Le président d'Aéroports de Paris disait en formulant des vœux une année,
01:03 qu'il vouait justement le souhait de rapprocher le secteur aéroportuaire des entreprises qui ne l'étaient pas,
01:11 précisément parce qu'il y a des métiers qui sont à la confluence.
01:13 Et faire ce passage dans l'aérien, l'aéroportuaire, c'est un sacré passeport pour l'avenir.
01:18 En tout cas avec de belles entreprises.
01:20 Ce soir au sommaire de cette émission, l'emploi aéroportuaire en plein envol au sein du groupe ADP.
01:25 L'année dernière déjà, fin avril 2022, le groupe annonçait la perspective de 4000 recrutements.
01:30 On reviendra ce soir sur la nature de ces recrutements, très nombreux en alternance avec Laurent Gasse,
01:34 le directeur des ressources humaines du groupe ADP.
01:38 Avia, partenaire, acteur majeur du secteur aéroportuaire, spécialisé en assistance au sol et logistique aéroportuaire,
01:44 le groupe multiplie les annonces sur de nombreux aéroports français, à chaque fois de plusieurs dizaines de postes.
01:50 Stéphane Denne, directeur général de Avia Partner, sera avec nous.
01:52 Et puis s'affronte le boom du secteur de l'aérien,
01:56 avec les nombreuses innovations que le groupe s'affronte à ficher au salon du Bourget,
02:00 et notamment l'ambition d'être le premier groupe à certifier un moteur électrique.
02:04 Le recrutement est au cœur de leurs enjeux. On fera le point avec Lydie Jallier qui est avec nous,
02:08 vice-présidente en charge du recrutement et du développement des ressources humaines.
02:10 Le groupe SGS, le leader mondial du testing, de l'inspection et de la certification,
02:15 les métiers de l'aéronautique supposent une très haute technicité,
02:18 comme ceux dont a la charge le groupe SGS, mais là encore de très nombreux recrutements,
02:22 y compris en alternance comme va nous les exposer Stéphane Chatelain, directeur commercial SGS France Industrie.
02:28 Madame, messieurs, bonjour, bonsoir, tout de suite.
02:30 Et bien ce sont les vraies voies de l'emploi.
02:36 Bonsoir directement avec le groupe ADP, avec Laurent Gasse, DRH du groupe.
02:41 Bonsoir, merci d'être avec nous.
02:43 Avec beaucoup, beaucoup, beaucoup de recrutements chez ADP.
02:47 Déjà ce qui était intéressant pour ceux qui ne connaissent pas,
02:49 le peu de gens qui ne connaissent pas parce que c'est quand même extrêmement connu,
02:53 les contours de ce groupe.
02:56 Alors tout d'abord, bonsoir à toutes et tous, et merci de me poser la question Cécile,
02:59 puisque en qualité de DRH du groupe ADP, j'ai une vraie frustration.
03:03 Tout le monde connaît ADP, Aéroport de Paris, mondialement connu.
03:05 Par contre, personne ne connaît nos emplois et nos métiers.
03:08 C'est ça.
03:09 En quelques mots, ADP, qui est ADP ?
03:11 C'est cinq activités différentes.
03:13 L'activité aéronautique, bien évidemment, les commerces, les services, l'immobilier,
03:16 l'international développement et ce qu'on va appeler les autres métiers.
03:19 C'est en France, plus de 5500 collaborateurs.
03:22 En fait, ça représente 4% de l'ensemble du personnel qui travaille sur les plateformes aéroportuaires en France.
03:27 Mais c'est un groupe également international, et ça c'est moi,
03:29 qui gère en direct ou non 27 aéroports,
03:32 qui est présent sur 120 aéroports également,
03:35 et qui emploie en direct 26 000 collaborateurs.
03:37 C'est ça le groupe ADP.
03:39 C'est peu connu là-dessus.
03:40 Oui, mais c'était bien de le dire. Allez-y, continue.
03:42 C'est très fort en ingénierie, ADP, notamment pour la conception des aéroports de, on va dire,
03:46 clé en main, même s'il n'y a pas de clé de contact dans un avion.
03:49 Exactement, on est reconnu pour notre savoir-faire.
03:51 D'ailleurs, c'est le premier groupe aéroportuaire mondial là-dessus.
03:54 ADP, c'est également 300 fonctions, dans 90 métiers différents,
03:59 et 10 filières différentes.
04:01 On a des jobs chez ADP,
04:03 et on a des jobs, je dirais, pour s'éclater,
04:05 puisqu'on a des mobilités internes,
04:07 et ça c'est la vraie ADN de chez ADP là-dessus.
04:10 Vous disiez tout à l'heure, Cécile, qu'on recrutait 4000 collaborateurs,
04:13 alors c'est un peu moins vrai pour ADP lui-même,
04:16 puisque l'année dernière on a recruté 530 collaborateurs,
04:19 cette année on a un plan de recrutement de 600,
04:21 mais par contre, effectivement, les 4000 emplois que vous citiez,
04:23 c'était sur l'ensemble de nos partenaires situés sur les plateformes aéroportuaires parisiennes,
04:27 Orly et Charles de Gaulle,
04:29 et qui nous touchent de près, effectivement,
04:31 puisque ce sont des vrais partenaires,
04:33 et là-dessus on avait mis à place une application,
04:36 qui concerne plus de 30 entreprises également,
04:38 qui s'appelle AeroWorks, j'en profite pour faire ma pub.
04:40 Allez-y, allez-y, vous êtes là pour ça.
04:42 C'est 45 euros à chaque fois, donc vous inquiétez pas.
04:45 Et AeroWorks, c'est très simple,
04:49 il n'y a pas de CV, vous répondez à un petit questionnaire en 2 minutes,
04:52 et c'est l'emploi qui vient à vous.
04:54 Donc on va vous dire très clairement sur quel emploi vous pouvez postuler,
04:56 on va vous proposer des choses.
04:58 Si jamais votre profil ne convient pas,
05:00 on va vous mettre en relation avec des partenaires publics,
05:03 pour vous permettre de décrocher d'un emploi dans le futur.
05:06 AeroWorks, c'est également une plateforme
05:08 qui permet, je dirais, à la population locale
05:11 de s'intéresser à notre emploi,
05:13 de postuler et d'avoir un vrai parcours.
05:15 Jérôme Lavergny, pardon, je vous coupe.
05:17 Quand j'entends "aéroport de Paris",
05:19 je ne sais pas si moi,
05:21 ne faisant pas ce métier, je me serais dit
05:23 est-ce que moi je suis capable d'aller dans un grand groupe comme ça ?
05:26 Et c'est ça qui est important, peut-être,
05:28 c'est d'oser, parce que ces groupes recrutent vraiment.
05:30 Oui, et c'est la méthodologie qui est importante
05:32 pour nos jeunes auditeurs,
05:34 et même les moins jeunes, en fait,
05:36 du point de vue, dans le prisme de l'orientation.
05:38 En fait, il ne faut surtout pas se mettre des silos,
05:41 des carcans, et au moment de chercher
05:43 soit une alternance, un stage,
05:45 une orientation, une formation, un diplôme,
05:47 eh bien, regardez ce type de groupes
05:49 qui sont détenteurs,
05:51 comme le groupe Safran,
05:53 de très nombreuses familles de métiers,
05:55 qui ont utilisé, non pas la solution
05:57 que l'on a présupposée, que l'on a imaginée,
05:59 et qui émane, en fait, de notre environnement
06:01 amical, familial, social,
06:03 mais non, aller faire ses courses, se balader,
06:05 voir quel type de métier,
06:07 et quand on a fait un certain nombre de choix,
06:09 en ne se fermant pas, aller voir sur les réseaux sociaux
06:11 quelles sont les personnes qui occupent ces postes-là.
06:14 Aéroports de Paris, c'est une plateforme aéroportuaire
06:16 qui monte en Europe, puisqu'elle est dans le top 3,
06:18 je crois, avec Londres et Francfort, c'est ça ?
06:20 Alors, de manière plus précise,
06:22 on est la première plateforme
06:24 européenne en termes de qualité de service,
06:26 on est la cinquième plateforme aéroportuaire par CDG
06:28 au niveau mondial, on continue de grimper,
06:30 effectivement, puisque
06:32 notre président a mis comme priorité
06:34 la qualité de service pour nos passagers
06:36 et nos voyageurs, effectivement.
06:38 Donc oui, ça s'améliore.
06:40 L'amélioration continue, c'est notre ADN.
06:42 Il faut saluer aussi
06:44 l'engagement territorial d'ADP
06:46 sur un certain nombre d'initiatives
06:48 de soutien d'associations. Vous avez aussi
06:50 beaucoup de postes en apprentissage, beaucoup de postes en alternance.
06:52 Effectivement, on a signé l'année dernière
06:54 un accord GEPP, gestion des emplois et des parcours professionnels,
06:56 avec comme objectif
06:58 d'avoir au minimum 3% d'alternance
07:00 chaque année, et nous sommes déjà à 3,5%.
07:02 Et ça croit également,
07:04 c'est ça nos engagements également.
07:06 Par exemple, les métaux sociétal.
07:08 En plus de ça, excusez-moi,
07:10 on a tout un programme d'accueil
07:12 des jeunes stagiaires de 3e.
07:14 Vous savez que c'est compliqué pour les jeunes d'abord de décrocher
07:16 un stage d'une semaine dans une entreprise.
07:18 On a mis ça en place avec les collectivités locales,
07:20 avec les écoles, etc.
07:22 On est vraiment une terre d'accueil.
07:24 - Voilà, exactement. Laurent Gasse, pour ceux qui nous
07:26 écoutent et qui cherchent un boulot,
07:28 quel type de métier on recherche ?
07:30 - On recherche tous les métiers, bien évidemment. En priorité,
07:32 actuellement, on a le pilotage de projets.
07:34 - Attention les micros, vous entendez.
07:36 - On a énormément de projets, on a besoin.
07:38 On a également tout ce qui concerne la coordination
07:40 et l'exploitation aéroportuaire, la finance,
07:42 les gestions, ça c'est important.
07:44 Egalement tout ce qui concerne les systèmes d'information,
07:46 la cybersécurité par exemple, qui monte
07:48 aussi. Mais je dirais, on a également
07:50 l'ensemble des autres métiers des autres entreprises.
07:52 N'oublions pas que notre activité,
07:54 on a des métiers communs à toutes
07:56 les entreprises, on a des spécificités.
07:58 Par contre, venir travailler sur une plateforme aéroportuaire,
08:00 c'est l'assurance de ne jamais s'ennuyer
08:02 et de voir toujours un environnement différent.
08:04 - Est-ce qu'on peut se former en interne ?
08:06 - Tout à fait, on a des gros programmes de formation
08:08 en interne, puisqu'on dépense plus de 4 millions
08:10 d'euros par an sur des coûts pédagogiques
08:12 là-dessus. Donc oui, des gros programmes
08:14 de formation, c'est notre ADN également.
08:16 - On peut venir avec un CV léger ?
08:18 - On peut venir avec un CV léger,
08:20 on trouvera toujours quelque chose
08:22 où vous vous mettre,
08:24 où vous former
08:26 si besoin. Et également,
08:28 c'est tout l'intérêt d'avoir mis en place
08:30 cette plateforme AeroWorks, puisqu'on permet
08:32 de diffuser également les candidatures
08:34 sur l'ensemble de nos partenaires.
08:36 - C'est génial. - C'est international, il y a des gens du monde
08:38 entier, aéroports de Paris, tous les jours, des 5 continents.
08:40 Les langues, c'est essentiel
08:42 pour être recruté. Vous pouvez faire par exemple la formation
08:44 linguistique en formation continue.
08:46 - Les langues sont essentielles pour certains métiers,
08:48 mais pas pour tous les métiers. Je ne fais pas partie
08:50 de ces DRH qui vous demandent absolument
08:52 un bac +5 avec 5 ans
08:54 d'expérience ou 10 ans d'expérience.
08:56 - À 20 ans ! - Et en parlant 3 langues.
08:58 Tout dépend des métiers. - Ça nous a rencontrés.
09:00 - On les a pas. - Notons néanmoins que dans le secteur aéroportuaire,
09:02 le niveau en anglais en France est à ce point préoccupant
09:04 qu'il est un frein parfois à un certain nombre de recrutements.
09:06 Il s'agirait peut-être que nos gouvernants
09:08 se posent des petites questions sur la méthode
09:10 de la GAA adoptée depuis des décennies
09:12 et qu'on revoit un petit peu la copie de ce côté-là
09:14 parce que c'est un problème pour ce secteur.
09:16 C'est un vrai problème.
09:18 - Est-ce que l'intérêt de rentrer dans un gros groupe
09:20 comme Aéroport ADP,
09:22 est-ce qu'on peut évoluer
09:24 à l'intérieur du groupe ?
09:26 - Tout à fait. Je vous parlais de 11 filières tout à l'heure.
09:28 Et là encore, en partenariat
09:30 avec nos partenaires sociaux et dans le cadre de notre accord
09:32 gestion des emplois et des parcours professionnels,
09:34 on a tout un système qui est en train d'être mis en place
09:36 justement pour donner de la visibilité,
09:38 de la lisibilité sur les carrières à nos collaborateurs.
09:40 Mais je vais vous donner un simple chiffre l'année dernière.
09:42 800 mobilités, donc 400 promotions.
09:44 - Et voilà. Et pour recruter ?
09:46 - Sur un effectif de 5500 collaborateurs.
09:48 - ADP.fr pour aller poser son CV ?
09:50 - Tout à fait. Exactement.
09:52 - Vous restez avec nous Laurent Gasson.
09:54 On revient dans quelques instants.
09:56 On va rester dans ce secteur d'activité.
09:58 On ne sera pas loin pendant toute l'émission.
10:00 - C'est une émission dont on se le sait sûr qu'elle va voler haut.
10:02 - Oui, oui. Bon, ben voilà. Ça c'est fait.
10:04 La vanne, j'avais rayé celle-ci.
10:06 Vous deviez pas la faire Philippe.
10:08 - Vous restez avec nous. On reste ensemble jusqu'à 20h.
10:10 - Sud Radio. Les vraies voies qui font bouger la France.
10:12 19h20. Les vraies voies de l'emploi.
10:14 Jérôme Lavernie.
10:16 - On est ravis de vous retrouver avec une spéciale aviation,
10:18 aéroportuaire.
10:20 Si vous aimez en tout cas,
10:22 vous envoler peut-être.
10:24 Et gérer du personnel.
10:26 Et gérer des gens.
10:28 Et rentrer en connexion.
10:30 C'est le moment en tout cas de nous écouter.
10:32 Si vous avez des questions,
10:34 vous pouvez nous appeler au 0800 26 300 300.
10:36 On est à la maison avec vous Jérôme Lavernie.
10:38 C'est un secteur qui est très dynamique.
10:40 Et qui recrute énormément.
10:42 - Et qui encore une fois, attire beaucoup de candidats.
10:44 Notamment les jeunes.
10:46 Il faut peut-être rappeler,
10:48 et je me permets cette liberté,
10:50 que c'est un secteur qui quand même,
10:52 comporte un certain nombre de, non pas d'inconvénients,
10:54 mais de contraintes.
10:56 Les horaires décalés. Parfois des contrats
10:58 qui vont être saisonniers.
11:00 Faut pas l'ignorer, parce qu'on voit trop de gens s'engouffrer
11:02 par cette séduction qui s'opère
11:04 un petit peu dans les esprits.
11:06 Dans ce secteur-là, ils renonçaient 2-3 ans plus tard.
11:08 Mais quand même, comme cela, c'est néanmoins,
11:10 comme je le disais tout à l'heure,
11:12 un gage de qualité,
11:14 d'excellence, d'être passé par
11:16 un certain nombre d'acteurs de ce secteur
11:18 aéroportuaire et aérien.
11:20 - Et là c'est le groupe AviaPartner qui était avec nous.
11:22 Un leader de l'assistance au sol des aéroports.
11:24 Et qui multiplie les annonces de recrutement aussi.
11:26 Stéphane Denner est avec nous. Bonsoir Maxime.
11:28 - Bonsoir. - Vous êtes directeur général justement
11:30 de ce groupe AviaPartner.
11:32 Pareil comme ADP. Faites-nous un petit peu
11:34 les contours de ce... Même si je l'ai fait
11:36 très résumé, mais il y a quand même des services
11:38 qui sont assez larges. - Tout à fait. Alors,
11:40 AviaPartner, qui sommes-nous ? Nous sommes
11:42 un groupe européen. L'un des leaders
11:44 de ce qu'on appelle l'assistance
11:46 en escale. Nous sommes présents sur 55
11:48 aéroports en Europe. 12 en France.
11:50 - Ah oui. - En Europe, nous employons
11:52 12 000 personnes. Et environ 3 000 personnes
11:54 sur le réseau français.
11:56 - C'est un groupe qui a quel âge ?
11:58 - C'est un groupe qui est né
12:00 après la guerre, qui est
12:02 d'origine belge, et qui
12:04 aujourd'hui est présent dans 6 pays.
12:06 Alors, que faisons-nous ?
12:08 Nous avons des fonctions
12:10 qui sont méconnues
12:12 et pourtant
12:14 indispensables au fonctionnement des
12:16 compagnies aériennes et des aéroports.
12:18 C'est les personnels
12:20 notamment d'AviaPartner qui traitent
12:22 les passagers quand vous arrivez, qui font l'enregistrement,
12:24 l'embarquement. C'est eux qui vous
12:26 accueillent. C'est eux qui vont
12:28 traiter l'avion au sol, chargement,
12:30 déchargement. La personne avec ses bâtons
12:32 qui va placer l'avion, qui va le faire reculer.
12:34 C'est aussi
12:36 les personnels d'assistance en escale
12:38 ou d'AviaPartner qui vont faire
12:40 ce qu'on appelle les centrages de l'avion en fonction
12:42 du poids et qui vont répartir les différents poids dans l'avion
12:44 de manière à ce que les opérations
12:46 soient safe et
12:48 qu'on puisse décoller en toute sécurité.
12:50 - Ce sont des métiers très qualifiés
12:52 et très réglementés aussi, parce que là,
12:54 on est sur des zones sensibles au pied des avions.
12:56 - Alors, ce sont des métiers très réglementés.
12:58 Nous dépendons de la réglementation
13:00 IATA, qui coordonne...
13:02 - C'est l'Association internationale du transport aérien.
13:04 - Tout à fait, qui coordonne toute la réglementation
13:06 propre à nos métiers.
13:08 La formation est très importante.
13:10 AviaPartner
13:12 dispense par an environ 150 000
13:14 heures de formation, qui sont des formations
13:16 et techniques et réglementaires... - En interne ?
13:18 - En interne, et techniques et réglementaires
13:20 et propres aux compagnies aériennes.
13:22 Celles de British Airways,
13:24 celles de Lufthansa, de Ryanair,
13:26 par exemple. Chaque compagnie
13:28 a ses spécificités. - Et quand on est
13:30 agent d'accueil chez vous, on peut devenir agent de
13:32 piste, par exemple ? - Tout est possible.
13:34 C'est assez rare, mais effectivement,
13:36 il y a une mobilité
13:38 et
13:40 à l'instar de ce qui peut se passer
13:42 chez ADP, il y a des promotions
13:44 internes qui sont assez importantes, et vous pouvez commencer
13:46 comme simple agent d'escale,
13:48 à enregistrer des passagers,
13:50 et d'être, demain, chef de service en gérant
13:52 une centaine de personnes. - Gérer les bagages,
13:54 gérer les passagers... Vous êtes sur Sud Radio,
13:56 la radio du rugby, dans un peu plus
13:58 de 70 jours. Il y a le
14:00 début de la Coupe du Monde de rugby, qu'on espère
14:02 qu'on va gagner d'ailleurs. Est-ce que
14:04 vous allez avoir beaucoup de recrutement ? Parce qu'il y a
14:06 des milliers de supporters qui vont venir,
14:08 mais même du bout du monde, de Nouvelle-Zélande ou d'Australie.
14:10 - Alors, le groupe et
14:12 ma partenaire ont la chance d'être présents sur 11
14:14 des 12 aéroports qui vont accueillir les 48 matchs,
14:16 je crois, sur le mois et demi
14:18 de la compétition. - Joyeux Noël !
14:20 - Voilà. C'est
14:22 des compétitions sur lesquelles on a
14:24 traditionnel...
14:26 On a déjà fait
14:28 pas mal d'événements sportifs,
14:30 des champions, des matchs
14:32 à Marseille ou dans d'autres endroits,
14:34 donc c'est des choses qu'on sait faire.
14:36 Une partie des pays très
14:38 lointains vont passer par Paris,
14:40 vont arriver en province,
14:42 et on a
14:44 déjà recruté, il n'y a pas de complexité
14:46 particulière, ça va être un très bon entraînement pour
14:48 les JO 2024. - Jérôme Lagarde ?
14:50 - Vous mettez en place, dans le cadre de certains recrutements,
14:52 des contrats de professionnalisation
14:54 qui, rappelons-le pour nos auditeurs,
14:56 sont des contrats d'alternance, ouverts
14:58 à un public, quel que soit l'âge,
15:00 du reste, petite parenthèse,
15:02 ils seraient précieux, on l'a dit de
15:04 multiples fois à cette antenne, que
15:06 le gouvernement étende les aides
15:08 assorties aux contrats d'alternance,
15:10 au-delà de ceux d'apprentissage,
15:12 mais aux contrats de professionnalisation, car c'est
15:14 le besoin des entreprises et du public.
15:16 - Donc ces contrats de professionnalisation constituent
15:18 un tiercé gagnant, parce que la formation
15:20 pour vos candidats est gratuite,
15:22 ils sont rémunérés, et
15:24 cette formation est un marchepied,
15:26 un préambule pour
15:28 l'intégration de nos équipes ? - Tout à fait, cette année,
15:30 depuis le début janvier, on a recruté
15:32 plus de 900 personnes sur le groupe AviaPartner
15:34 en France, dont 300
15:36 contrapros, qui sont répartis sur les différentes
15:38 plateformes
15:40 en province et à Paris,
15:42 et effectivement, c'est un marchepied formidable,
15:44 puisque la personne peut se familiariser,
15:46 prendre connaissance
15:48 des contraintes dont vous parliez,
15:50 et des différents processus
15:52 propres à la gestion des avions
15:54 et des passagers,
15:56 et très souvent, on est amené,
15:58 et on est ravi, à proposer des
16:00 CDI pour que ces personnes
16:02 restent chez nous et y aller pérennisées.
16:04 - Stéphane Denner, tous ces métiers
16:06 qui ne sont pas toujours identifiés
16:08 par les gens,
16:10 c'est-à-dire qu'effectivement, sur la piste, on voit
16:12 qu'il y a du personnel, mais on ne connaît
16:14 pas l'expertise du métier,
16:16 et quand on sort de l'école, comment
16:18 accéder à ces métiers ? Comment les découvrir ?
16:20 Comment les connaître ? C'est trouver un système
16:22 peut-être du stage, de l'immersion,
16:24 pour voir un petit peu l'entourage ?
16:26 Pareil pour ADP, c'est la même chose.
16:28 - Il y a les stages d'immersion, mais
16:30 M. Gass, rappelez effectivement
16:32 la plateforme Airwork
16:34 qui a été créée
16:36 il y a un an, et qui est une réussite collective,
16:38 je pense, de l'écosystème, et qui fait
16:40 vous n'avez pas besoin de CV, vous venez
16:42 et on vous fait un test de personnalité, on vous demande ce que vous aimez,
16:44 et en fonction de ce que vous faites,
16:46 de ce que vous répondez,
16:48 votre candidateur est envoyé à un certain
16:50 nombre de métiers, et d'entreprises.
16:52 Et il y a eu
16:54 16 000 candidatures sur Airwork,
16:56 il y a 500 recrutements déjà, et il y a
16:58 900 personnes en parcours de recrutement.
17:00 - Et les taux de réussite
17:02 importants ?
17:04 - Sur les taux de réussite,
17:06 il y a des prérequis. - Enfin même s'il y en a deux, c'est toujours de la réussite.
17:08 - Pour avoir le permis de conduire, par exemple,
17:10 pour venir ou pour conduire en piste, il faut savoir parler
17:12 pour accueillir des passagers,
17:14 il faut avoir un casier judiciaire vierge,
17:16 il faut être français dans la quasi-totalité des cas,
17:18 donc il y a certains prérequis, mais ça permet
17:20 de connaître
17:22 un certain nombre de métiers qui étaient effectivement
17:24 méconnus, et sur lesquels
17:26 les candidats,
17:28 même s'ils n'ont pas réussi la première fois, peuvent être réorientés,
17:30 et on s'appuie aussi sur les services publics de l'emploi.
17:32 - Mais entre Laurent Gasse, pardon,
17:34 et vous, on en parle souvent avec Jérôme Lavernie,
17:36 le savoir-être est primordial
17:38 dans ces métiers-là. - Oui, ce sont des métiers
17:40 d'hospitalité. - Oui, c'est ça.
17:42 - Il y a l'avant, effectivement, ces prérequis qui sont demandés
17:44 par les entreprises, et puis il y a l'après, et c'est précieux
17:46 de le dire à ce micro ce soir,
17:48 un agent d'escale, par exemple,
17:50 peut très bien imaginer, parce que n'ayant pas
17:52 le contrainte familiale de pouvoir
17:54 effectuer cette mission, même avec des
17:56 horaires décalés,
17:58 basculer sur de l'hôtellerie, sur des postes
18:00 de réceptionnistes, avec des horaires
18:02 permettant là, pour le coup,
18:04 une vie familiale un peu plus aisée, un peu plus commode.
18:06 - On s'adapte. - On s'adapte.
18:08 - Et pour postuler, chez SGS ?
18:10 - Alors, chez SGS,
18:12 c'est SGS.com.
18:14 C'est assez simple.
18:16 - On vous demandera après.
18:18 - AviaPartner.com,
18:20 il y a un onglet "Job",
18:22 et après, en fonction de l'endroit où vous souhaitez postuler,
18:24 puisqu'on est présent sur beaucoup de plateformes en France,
18:26 vous cliquez, il y a une adresse spécifique.
18:28 - Et on va donner votre numéro de portable, 06...
18:30 Non, je présente. Allez, vous restez avec nous,
18:32 on repose, on revient dans un instant.
18:34 Vous parliez de SGS,
18:36 on va en parler dans quelques instants, bien entendu,
18:38 et puis on a plein, plein de propositions
18:40 de métiers encore différents à vous proposer.
18:42 On revient dans un instant. On est avec
18:44 nos amis Jérôme Lavernie et Philippe David
18:46 jusqu'à 20h. Bienvenue et merci
18:48 de votre fidélité à Sud Radio.
18:50 - Sud Radio, les vraies voies
18:52 qui font bouger la France. 19h20,
18:54 les vraies voies de l'emploi.
18:56 Jérôme Lavernie. - On vous fait voyager
18:58 ce soir dans les vraies voies d'emploi,
19:00 des métiers que vous connaissez,
19:02 bien entendu. Enfin, en tout cas, vous connaissez la technique
19:04 puisque vous êtes allé dans des avions. Pour ceux qui
19:06 ont eu la chance, vous avez croisé
19:08 des gens à l'aéroport et vous avez vu
19:10 plein de métiers, plein de sagrouilles dans tous
19:12 les sens. Et bien, chaque métier a une expertise claire.
19:14 Jérôme Lavernie,
19:16 il y a forcément un métier pour vous.
19:18 - Et alors là, attention, on rentre
19:20 dans un univers absolument génial,
19:22 celui de l'aéronautique,
19:24 pour intégrer un groupe lui-même
19:26 génial, non pas tant seulement
19:28 sur le seul territoire français, mais
19:30 sur le monde,
19:32 à l'international. Et d'ailleurs,
19:34 quand on parle du territoire français, on a l'impression parfois
19:36 que de grands groupes comme ça, s'installent
19:38 exclusivement dans les grandes zones urbaines.
19:40 Non, il y a des recrutements à Isoudun.
19:42 - Ah, pas mal.
19:44 - Alors, je ne dis rien contre Isoudun,
19:46 bien sûr. - C'est pas loin de chez vous,
19:48 vous les Creusois, c'est pas très près. - Beaucoup moins
19:50 de plus que la Creuse. Enfin, voilà.
19:52 C'est aussi ça, un grand groupe international.
19:54 - En tout cas, ils étaient au Salon du Bourget,
19:56 le secteur de l'aérien, de l'aéronautique
19:58 était majoritairement représenté, forcément.
20:00 Lydie Jellier est avec nous.
20:02 Bonsoir, merci d'être en direct avec nous,
20:04 vice-présidente du groupe Safran, en charge
20:06 du recrutement et du développement des ressources vous-même.
20:08 J'aimerais bien voir la taille de votre carte
20:10 de visite, tellement le nom est long.
20:12 - C'est à peu près la taille d'un réacteur.
20:14 - C'est ça.
20:16 Et c'est pareil, chez vous, forcément,
20:18 c'est un métier. En plus,
20:20 ça a été un peu la quinzaine, on n'a parlé que de ça
20:22 ces derniers temps. - On a pris un vrai plaisir,
20:24 c'était une vraie célébration, ça faisait 4 ans
20:26 qu'on ne s'était pas retrouvés.
20:28 On avait passé des moments assez
20:30 difficiles, c'est quand même assez bizarre.
20:32 On parlait d'ADP tout à l'heure, mais voir les avions
20:34 au sol, ça a été pour nous un vrai choc.
20:36 - Pour vous, c'était une tristesse ?
20:38 - Oui, une vraie tristesse. Je pense que
20:40 l'objectif de l'aéronautique, c'est de connecter les gens,
20:42 de faire en sorte que le monde nous appartienne.
20:44 Et finalement, c'est aussi ça, la raison d'être
20:46 de l'aéronautique, et ce qui fait rêver
20:48 les jeunes, et ce qui nous fait rêver aussi
20:50 à l'intérieur, nos ingénieurs.
20:52 Donc ça, c'était une vraie fête,
20:54 et je pense que c'était ce qu'on retient de ce
20:56 projet. On était heureux de se retrouver.
20:58 - Ça a été la grande fête pour Safran, parce que
21:00 je vais prendre un seul contrat,
21:02 Indigo, 500 avions
21:04 à 320 Néo, et c'est des
21:06 réacteurs Safran, fabriqués en France,
21:08 des LipX, là vous allez certainement
21:10 devoir créer des postes.
21:12 - Alors oui, beaucoup de postes. - 500 avions, ça fait
21:14 1000 réacteurs. - Oui, on va tenir ses
21:16 engagements vis-à-vis de nos clients, on est très heureux.
21:18 Évidemment pour Safran,
21:20 ça veut dire beaucoup de recrutements,
21:22 beaucoup de recrutements à l'échelle du
21:24 monde, on le mentionnait avant, donc
21:26 Safran a une empreinte internationale,
21:28 est très ancrée en France, évidemment.
21:30 La moitié de ses effectifs,
21:32 c'est 83 000 salariés
21:34 aujourd'hui, la moitié
21:36 est en France, à peu près 43 000,
21:38 on va continuer à croître en France, évidemment.
21:40 17 000 l'année dernière,
21:42 cette année, on en prévoit 12 000,
21:44 je pense qu'on sera plutôt autour
21:46 des 14, voire peut-être 15 000.
21:48 Donc une vraie dynamique
21:50 à l'échelle mondiale,
21:52 à l'échelle française aussi,
21:54 donc 4500 recrutements,
21:56 là aussi, on pousse,
21:58 on met plein gaz, donc on devrait arriver
22:00 à 6 000,
22:02 je pense,
22:04 en fin d'année, avec
22:06 à peu près 3 000 ingénieurs
22:08 et cadres, mais pas que.
22:10 On parlait tout à l'heure de diversité, mais en fait,
22:12 nos entreprises, je pense,
22:14 permettent tout un panel
22:16 d'opportunités, on va avoir
22:18 besoin de chaudronniers, de peintres,
22:20 de monteurs, d'ajusteurs, on va aussi
22:22 avoir besoin d'ingénieurs,
22:24 d'attas, de data scientiste.
22:26 On a engagé des vraies transformations,
22:28 on a pris des engagements
22:30 en termes de décarbonation,
22:32 qui nous permettent aussi de faire entrer des nouveaux
22:34 métiers, je pense à des responsables d'énergie,
22:36 on réfléchit vraiment à notre impact
22:38 sur toute la chaîne de valeur, et donc ça crée
22:40 aussi de nouveaux emplois dans l'entreprise
22:42 Safran, et c'est vrai que pour nous,
22:44 c'est un challenge,
22:46 un challenge qu'on a réussi à relever
22:48 en 2022, qu'on va relever en 2023,
22:50 j'en suis sûre, et qui nous attend encore pour les prochaines
22:52 années. Donc décarboner
22:54 l'aviation, ça veut dire des investissements
22:56 dans la R&D, donc de continuer
22:58 à aller chercher des ingénieurs
23:00 pour nos bureaux d'études, donc ça peut être des
23:02 mécaniciens, des électroniciens,
23:04 des procédés matériaux, donc on a
23:06 toujours ces métiers dans l'entreprise,
23:08 et on en a d'autres aussi, vous parliez d'Isoudun,
23:10 des sièges par exemple, et bien parfois...
23:12 - C'est intéressant aussi de se dire où.
23:14 - Alors, partout en France,
23:16 on parlait d'Isoudun, je pense à
23:18 Borde, je pense à Pau, je pense à Villeurbanne,
23:20 vous parliez d'automobiles,
23:22 il y a aussi donc les freins carbone,
23:24 l'activité de freinage à Villeurbanne,
23:26 on va avoir des activités aussi en Alsace,
23:28 à Molsheim, on va en avoir
23:30 beaucoup en Ile-de-France, on a
23:32 le Havre pour les nacelles,
23:34 donc vous avez sur les moteurs,
23:36 les équipements, mais aussi sur la partie
23:38 intérieure d'avion, l'ensemble des activités
23:40 qui sont représentées sur l'ensemble des bassins d'emploi
23:42 en France. - Est-ce que des groupes comme
23:44 Safran, comme ADP, ou comme
23:46 celui juste d'avant, pardon,
23:48 vous allez me le dire... - Avia Partners.
23:50 - Avia Partners, exactement. Est-ce que
23:52 vous aidez à faciliter, vous facilitez
23:54 l'arrivée, par exemple,
23:56 ce sont des parisiens qui doivent aller en région,
23:58 est-ce que vous les aidez, est-ce qu'aujourd'hui
24:00 la dimension d'un groupe, c'est de se dire
24:02 on a envie de recruter, mais on ne fait pas
24:04 que recruter, c'est-à-dire qu'on crée autour un écosystème.
24:06 - Aujourd'hui, on crée un écosystème,
24:08 on facilite la mobilité, on va faciliter
24:10 l'accès au logement, on va aussi
24:12 promouvoir les métiers
24:14 et faciliter en
24:16 interne comme en externe
24:18 ces opportunités.
24:20 Pourquoi ? Parce que là aussi, il y a
24:22 une volonté de diversifier les parcours,
24:24 il y a une volonté de proposer plusieurs vies au sein
24:26 de l'entreprise. Aujourd'hui, ce que l'on
24:28 recherche, c'est l'expérience. Et donc
24:30 l'expérience, que ce soit pour l'entreprise,
24:32 ça crée de la valeur, mais aussi pour le salarié,
24:34 son employabilité, elle passe
24:36 par la diversité de ses expériences,
24:38 par la possibilité d'avoir plusieurs vies
24:40 au sein d'une même entreprise.
24:42 Donc on parle de la mobilité dans les
24:44 différentes régions en France, mais la mobilité
24:46 internationale aussi est un vrai levier
24:48 d'attractivité pour nous, et donc on
24:50 est aussi très accompagnant sur ce terrain.
24:52 - Vous permettez aussi de forger
24:54 cette expérience, parce que vous avez de très
24:56 nombreux parcours d'apprentissage.
24:58 - Oui, de très nombreux parcours d'apprentissage
25:00 en interne, des écoles que nous
25:02 allons aussi proposer
25:04 pour faciliter des repositionnements,
25:06 pour faciliter aussi des changements de métiers,
25:08 tout au long du parcours, il y a aussi cette possibilité-là.
25:10 Et puis aussi en accueillant
25:12 des stagiaires, des alternants,
25:14 on en parlait tout à l'heure, pour nous c'est un vrai
25:16 tremplin d'insertion professionnelle. On apprend
25:18 beaucoup aussi, en fait, en les accueillant,
25:20 ça permet aussi de se challenger, de voir
25:22 comment ces jeunes générations
25:24 interprètent l'industrie.
25:26 On n'a pas toujours une bonne image,
25:28 l'image de l'usine n'est pas encore complètement
25:30 claire pour ces jeunes, et donc
25:32 ça nous permet d'apprendre sur ce qu'ils
25:34 attendent de nous, et nous aussi
25:36 de leur proposer... - Vous avez donné
25:38 des chiffres très importants, 14 000,
25:40 15 000 recrutements, parce qu'il faut rappeler,
25:42 on a parlé du salon du Bourget, là c'est l'aéronautique
25:44 civile avant tout, mais en ce moment...
25:46 - Pas que ! - Pas que, mais il y a par exemple Dassault,
25:48 qui marche très bien, et Airbus, Eurocopter,
25:50 mais on a surtout parlé des contrats d'aéronautique civile,
25:52 la semaine dernière dans les médias, et là aussi
25:54 vous avez beaucoup de demandes,
25:56 parce que le Rafale se vend très bien à l'exportation,
25:58 Eurocopter, vous faites beaucoup de pièces,
26:00 c'est les mêmes profils
26:02 que vous cherchez, ou c'est pas la même chose
26:04 si vous allez en hélicoptère, ou en avion civil,
26:06 ou en avion militaire ? - Alors, non,
26:08 on va rechercher à peu près les mêmes profils, après c'est
26:10 vrai qu'il faut gagner en savoir-faire, en expertise
26:12 sur un certain nombre de technologies
26:14 qui sont propres à tel ou tel client,
26:16 voire à tel ou tel avion,
26:18 donc c'est vrai que lorsque vous êtes sur le marché
26:20 militaire ou le marché civil, ce n'est pas tout à fait
26:22 la même chose, mais encore une fois,
26:24 c'est une vraie valeur créée
26:26 pour l'entreprise, puisque finalement,
26:28 elle est en capacité de proposer
26:30 plusieurs écosystèmes, des business
26:32 modèles assez différents, donc plusieurs
26:34 expériences, plusieurs typologies de clients,
26:36 et donc pour nous, c'est une vraie
26:38 valeur créée. - Et qu'est-ce qu'il y a de la place pour la reconversion ?
26:40 - La reconversion,
26:42 elle est nécessaire,
26:44 parce qu'on voit bien qu'on a engagé
26:46 des transformations importantes, je parlais
26:48 tout à l'heure de l'usine, l'usine aujourd'hui,
26:50 c'est pas l'usine d'il y a 20 ans, elle est connectée,
26:52 il faut sans cesse
26:54 proposer des parcours qui vont permettre
26:56 la reconversion des collaborateurs.
26:58 Je dois dire aussi qu'au moment du Covid,
27:00 c'était une nécessité sur laquelle
27:02 on a vraiment engagé
27:04 des programmes, diplôments, qualifiants,
27:06 certifiants, on parlait tout à l'heure d'un certain
27:08 nombre de normes et de certifications
27:10 qui sont importantes dans l'aéronautique,
27:12 mais qui ont pour vocation
27:14 de garantir la sécurité des vols,
27:16 je pense que ça c'est la priorité absolue,
27:18 et donc ces parcours
27:20 sont un peu longs,
27:22 extrêmement construits avec nos
27:24 partenaires et aussi en interne pour
27:26 vraiment faciliter ces reconversions, encore une fois,
27:28 et faire en sorte que vous mainteniez
27:30 en continu
27:32 l'employabilité du salarié, parce que finalement
27:34 c'est ça. - Stéphane Denner,
27:36 vous chez AviaPartner, on dit toujours
27:38 il y a eu toute une période où on disait
27:40 plus on reste dans une entreprise, mieux c'est,
27:42 ensuite on a eu une période où on disait plus vous
27:44 changez d'entreprise, mieux c'est,
27:46 et là j'ai l'impression qu'on retourne encore dans le
27:48 système de dire, dans des grands groupes,
27:50 parce que visiblement on peut visiter
27:52 plein d'expertises, et donc de rester
27:54 durer dans un groupe, finalement,
27:56 c'est redevenu "à la mode".
27:58 - Je sais pas
28:00 si c'est à la mode, mais effectivement,
28:02 on a une nouvelle génération qui est peut-être plus
28:04 papillon que
28:06 celle de
28:08 la précédente,
28:10 on a en tout cas une génération qui arrive
28:12 qui est plus exigeante,
28:14 en termes de balance, vie privée,
28:16 vie professionnelle,
28:18 qui souhaite évoluer, qui souhaite donner un sens,
28:20 le Covid a changé
28:22 beaucoup de choses sur ce sujet,
28:24 il y a une approche
28:26 de l'effort qui est peut-être différente. - Le Covid ?
28:28 - Le Covid, oui. - Ça veut dire rien. - C'est quoi ?
28:30 - Et donc je sais pas
28:32 si aujourd'hui on est encore sur
28:34 une vie, un job,
28:36 je suis pas certain que ce soit le cas.
28:38 - Et pour Bouille, j'aimerais... - Oui,
28:40 il faut aussi profiter de l'occasion pour voir
28:42 le verre moitié plein, contrairement aux prédictions
28:44 funestes de Rémi et André, tout à l'heure, sur tout un tas
28:46 d'orage qu'ils nous annonçaient, parce que quand même,
28:48 il s'agit pas d'avoir une vision irénique
28:50 de choses, mais il y a...
28:52 nos grandes entreprises ont aussi du talent,
28:54 en restant dans des zones rurales, on disait
28:56 à l'instant, en s'investissant
28:58 comme vous le faites, dans des programmes
29:00 d'insertion, en soutenant des associations,
29:02 comme le fait le groupe ADP également, à vie
29:04 partenaire par le biais de
29:06 la MAO ou AeroWork, des associations
29:08 qui soutiennent des initiatives,
29:10 et ça c'est quand même assez chouette. Alors,
29:12 c'est de l'emploi indirect, certes, mais c'est
29:14 de l'emploi quand même, par le biais de cette
29:16 insertion, et ça, ben voilà, c'est très
29:18 précieux que de grands groupes s'investissent
29:20 avec les moyens dont ils disposent.
29:22 - On est très en retard, mais allez-y. - Faut rappeler que nos
29:24 métiers sont pas délocalisables.
29:26 Vous avez du mal à traiter
29:28 un avion à Nice depuis Shanghai.
29:30 Donc, c'est des métiers qui sont pérennes.
29:32 - Et pour postuler chez Safran ?
29:34 - Il suffit d'aller sur le site
29:36 safran.com, de postuler,
29:38 c'est assez simple, toutes les offres
29:40 sont publiées, donc
29:42 on vous attend. Il y a forcément un job pour vous,
29:44 c'est sûr. - Venez de notre part, allez-y.
29:46 - Vous répondez en rafale,
29:48 c'est vraiment parfait.
29:50 - Allez, dans un instant, un autre grand groupe,
29:52 c'est le groupe SGS,
29:54 vous le connaissez certainement,
29:56 France Industrie, on en parle
29:58 dans un instant, et puis
30:00 on est ensemble jusqu'à 20h, et ça c'est plutôt
30:02 une bonne nouvelle. On pourrait rester plus tard, Manon ?
30:04 - On ferait bien des heures sub. - Ben oui, c'est pas possible.
30:06 Allez, à tout de suite.
30:08 - Sud Radio, les vraies voies qui font bouger
30:10 la France, 19h-20h,
30:12 les vraies voies de l'emploi, Jérôme Lavergny.
30:14 - Et après les vraies voies qui font bouger
30:16 la France, c'est les vraies voies qui font voler la France.
30:18 - Ah oui ? - Ben oui, on est un peu dans l'aéroportuaire,
30:20 dans l'avion, dans l'aviation,
30:22 avec vous, Jérôme Lavergny,
30:24 et puis le groupe SGS, le leader mondial
30:26 du testing, de l'inspection et de la certification.
30:28 Et on va en parler avec Stéphane Chatelain.
30:30 Bonsoir, merci d'être là. - Bonsoir.
30:32 - On directe avec nous, directeur commercial de
30:34 SGS, France Industrie, même question
30:36 forcément pour tout le monde,
30:38 ce groupe, c'est
30:40 énormément de service aussi. - C'est énormément
30:42 de service, effectivement. C'est un groupe
30:44 qui a presque 150 ans,
30:46 qui est né en France et qui
30:48 s'est expatrié en Suisse
30:50 en 1919. Aujourd'hui,
30:52 on est 100 000 dans le monde, quasiment. - Ah oui ?
30:54 - Oui. - Grande famille. - Oui, oui, tout à fait.
30:56 Et présent dans 154
30:58 pays. Donc, comme vous l'avez dit, on fait partie
31:00 des entreprises qui font du TIC,
31:02 donc testing, inspection et de la certification.
31:04 Donc, le
31:06 testing, ça va être davantage, on va
31:08 prendre un produit, une pièce ou
31:10 une base ou un produit
31:12 fini qu'on va triturer, qu'on va mettre
31:14 sous juvet pour voir à quel moment il casse
31:16 et s'il casse, et s'il répond aux normes.
31:18 - Et ça, par exemple, pour qu'on
31:20 comprenne bien, qui sont vos clients, par exemple,
31:22 sur ce produit-là ? - Alors, si on parle de l'aéronautique,
31:24 on a bien évidemment Safran,
31:26 on a Airbus. - On est là, un côté de l'autre, c'est parfait.
31:28 - C'est ça, on échangeait tout à l'heure,
31:30 mais effectivement, c'est tous les grands noms de l'aéronautique
31:32 et en fait, toute la supply chain de
31:34 l'aéronautique qui ont besoin de certifier leur
31:36 pièce. - Sur l'inspection
31:38 et la certification ? - Alors, l'inspection,
31:40 là, je vais parler
31:42 purement de nos métiers qui vont être
31:44 les métiers du contrôle non destructif.
31:46 - Alors, ça, c'est intéressant, je voulais vous en parler.
31:48 - Alors, ça, c'est très intéressant.
31:50 - Inspecteur non constructif aussi ?
31:52 - Non, non.
31:54 On aime bien qu'il soit constructif.
31:56 Et d'ailleurs, les meilleurs commerciaux,
31:58 puisque tout l'ensemble de nos salariés
32:00 sont chez les clients, c'est avant tout
32:02 nos inspecteurs les meilleurs commerciaux, c'est pas moi.
32:04 Et donc, qu'est-ce qui se passe
32:06 quand il y a une fabrication de pièce ?
32:08 On va aller la contrôler, mais sans la détruire.
32:10 Parce que sinon, si on la casse en deux
32:12 et qu'on se dit "Ah, elle était conforme, c'est bien, vous n'avez plus qu'à en refaire une",
32:14 ça pose problème.
32:16 Donc aujourd'hui, on va utiliser des moyens
32:18 qu'on connaît tous
32:20 dans le médical. Donc, on va aller faire
32:22 des tirs radio. Donc, c'est la même chose
32:24 que quand on essaye de voir si on a un os cassé.
32:26 Donc, on va appliquer des rayons X ou gamma
32:28 et puis, on va faire une radio qu'on va regarder
32:30 et on va dire si c'est bon ou pas bon.
32:32 On a d'autres. Un autre qui va
32:34 parler aux gens, c'est l'équivalent de l'échographie.
32:36 Donc, c'est de l'ultrason. Donc là, c'est du
32:38 palpeur et on va aller tester la pièce. On va aller regarder
32:40 l'intégrité physique de la pièce.
32:42 - D'accord. Vous travaillez pour tous les produits
32:44 aéronautiques. Vous êtes basé sur toute la France, parce que
32:46 l'aéronautique, c'est avant tout, surtout Occitanie,
32:48 Nouvelle-Aquitaine, un peu Saint-Nazaire
32:50 et Méolt. Vous êtes basé un peu partout.
32:52 - Oui, un peu partout. - Oui, un peu beaucoup, c'est vrai.
32:54 Comme une usine à rebus de pièces de chaque côté.
32:56 Si on regarde, il y a un hélicoptère, enfin un
32:58 hélicoptère aussi, du côté de Marignane.
33:00 En fait, si on prend Argonne avec
33:02 Dassault, ou tous les sites safrans, on est vraiment
33:04 partout. Donc,
33:06 ça permet à nos salariés
33:08 d'être présents chez eux,
33:10 le plus près possible de chez eux.
33:12 Ça évite aussi de devoir les déplacer
33:14 trop souvent. - Trop de mobilité. - Voilà.
33:16 Trop de mobilité, puisque ça, ça fait fuir, malgré tout.
33:18 Alors, il a été une époque, avant le Covid,
33:20 où les gens aimaient bien partir en déplacement.
33:22 Aujourd'hui, c'est moins vrai.
33:24 - Alors, là, le poste est absolument passionnant.
33:26 Il s'agit donc bien d'inspecteur en contrôle
33:28 non destructif, je suis obligé de lire, spécialisé
33:30 en aéronautique. On comprend bien
33:32 qu'un jeune ne peut pas avoir l'esprit
33:34 de ce métier-là. C'est juste
33:36 impossible, sauf à disposer, dans son environnement
33:38 familial et amical, de quelqu'un qui exerce
33:40 ce métier-là. C'est dire le trou
33:42 dans la raquette qu'il y a dans l'emploi,
33:44 dans ce manque d'orientation qui existe en France.
33:46 Et c'est dire combien votre travail de communication
33:48 de cette émission, qui est sans doute la meilleure
33:50 émission du monde.
33:52 - On n'en doute pas.
33:54 - Voilà. Et cette communication est
33:56 précieuse, parce qu'elle permet, quand on
33:58 n'a pas l'entre-soi,
34:00 de pouvoir se dire "mais qu'est-ce que c'est que ce métier-là ?"
34:02 Au moins dévier cette curiosité
34:04 qui va permettre d'aller voir.
34:06 Et j'invite nos auditeurs à aller papillonner
34:08 dans les sites de recrutement des entreprises,
34:10 d'aller relever le nom, d'aller fouiller,
34:12 de faire un véritable travail de recherche.
34:14 C'est vraiment fondamental.
34:16 Pour s'éclairer tout un tas d'horizons
34:18 qu'on ne peut pas imaginer, sauf à les connaître
34:20 par un professionnel. - Petite information,
34:22 quand on regarde sur LinkedIn, et ce qui m'arrive
34:24 assez souvent, parce que LinkedIn, même si vous ne cherchez
34:26 pas de travail, on vous en propose,
34:28 ce qui est ça qui est bien,
34:30 c'est que souvent, on ne comprend pas toujours
34:32 les fiches de poste. C'est-à-dire que pour les gens
34:34 qui se disent
34:36 "en fait, on ne comprend pas, parce que c'est
34:38 de l'entre-soi, et il faudrait
34:40 vulgariser certaines propositions."
34:42 - Tout à fait. Donc on essaye de faire ce travail-là,
34:44 parce qu'à la base, c'est un métier où il faut être très rigoureux.
34:46 On a l'habitude de dire
34:48 quand on vient de certifier un moteur,
34:50 sa front consigne avec son sang.
34:52 C'est un peu ça.
34:54 Notamment dans les catégories MRO.
34:56 Alors MRO, c'est Maintenance,
34:58 Repair and Overhaul. C'est-à-dire que
35:00 s'il y a un avion qui est coincé quelque part
35:02 dans un aéroport,
35:04 sur un aéroport partout dans le monde,
35:06 nous, on envoie des équipes au coup de sifflet
35:08 qui vont traverser la Terre entière et qui vont venir
35:10 contrôler les eaux, en l'occurrence
35:12 avec sa fronte, par exemple, et qui vont dire
35:14 "la pièce est conforme, l'avion va pouvoir revoler."
35:16 - Et en lisant votre site web, vous travaillez également,
35:18 on en a beaucoup parlé au moment du salon du Borgé,
35:20 sur les carburants de synthèse, c'est ça ?
35:22 - Oui, sur l'analyse des carburants de synthèse,
35:24 parce qu'on a des labos qui sont présents un peu partout en France,
35:26 notamment dans la région du Havre,
35:28 où là, ils travaillent pour regarder
35:30 la qualité, voir comment on peut améliorer,
35:32 voir comment elle est composée. C'est des travaux
35:34 très particuliers avec des chimistes, avec des gens
35:36 qui connaissent le métier. - Beaucoup de recrutements
35:38 d'alternants aussi. - Oui, l'alternance,
35:40 oui, pourquoi ? Parce que c'est des métiers qui ne sont pas connus,
35:42 qui sont très longs à former.
35:44 Alors on va dire que la partie théorique,
35:46 la partie théorique, c'est, allez, on va dire
35:48 un mois. Par contre, on est obligé
35:50 de les compagnonner pendant un an,
35:52 avant de pouvoir les amener à la certification individuelle.
35:54 - Et avec une école en interne,
35:56 forcément ? - Oui, la IGS
35:58 Académie, bien évidemment, et sur le
36:00 qui est présent à Orsay, entre autres.
36:02 On est capable de faire des formations en intras
36:04 chez nos clients, donc ça c'est intéressant aussi,
36:06 puisqu'on apporte nos formateurs
36:08 chez les clients pour les former au métier du CND.
36:10 - Et pour postuler chez SGS,
36:12 pardon ? - Vous en avez parlé tout à l'heure,
36:14 c'est sgs.com. - Oui, parce que j'ai posé la question !
36:16 - C'est ça !
36:18 SGS.com !
36:20 SGS.com, c'est bien ça. - Au moins, c'est ça. Parce que vous aviez répondu
36:22 par la question, vous ne nous avez pas délinquiné.
36:24 - Pour ceux qui veulent, s'abonnent
36:26 à SGS et en fait, on postule,
36:28 on publie régulièrement des annonces, n'hésitez pas
36:30 à postuler. Il y a mes coordonnées aussi,
36:32 qui doivent circuler, je ferai le nécessaire.
36:34 - Merci beaucoup, en tout cas, merci beaucoup Laurent Gasse
36:36 DRH du groupe
36:38 ADP Aéroports de Paris. Merci beaucoup
36:40 Stéphane Dénère, directeur général
36:42 de AviaPartner. Merci beaucoup
36:44 Lydie Jallier, vice-présidente
36:46 en charge de recrutement et du développement des ressources
36:48 humaines. Merci beaucoup Stéphane Chatelain, directeur
36:50 commercial SCG
36:52 France Industrie. Merci
36:54 Jérôme Lavernier, encore une belle émission. On a
36:56 découvert des
36:58 métiers et finalement des filières
37:00 qui ne demandent qu'à
37:02 effectivement recruter du
37:04 monde. - Avec à la clé de très très
37:06 belles perspectives. - Oui, effectivement. - Et beaucoup d'emplois.
37:08 - Merci beaucoup Félix. - Merci beaucoup Cécile.
37:10 - Félix, moi du tout. - On se retrouve
37:12 demain.
37:14 - On se retrouve demain. - À 17h. - Ça va bien Félix.
37:16 - Bon, ça me va bien. - Félix, le cat.

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