Laughter Work du 11 Juillet 2023 sur la CRTV

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Transcription
00:00 [Musique]
00:21 Oh yeah !
00:23 [Applaudissements]
00:26 Et bonsoir, bonsoir, bonsoir à tout le monde, ça va ?
00:30 Bonsoir, bonsoir, bonsoir.
00:31 Bienvenue sur la Terre.
00:33 Bonsoir.
00:34 Monsieur Zedda, merci de nous retrouver au cœur de cette belle ambiance qui commence ici jusqu'à 17h30 sur l'antenne CRTV.
00:40 Bah écoutez, on s'intéresse ce soir à la lecture et bien sûr au livre.
00:44 Et on fera immersion à la direction du livre et de la lecture au ministère des Arts et de la Culture,
00:49 Monsieur Mbala Elanga, le directeur de cette structure-là, de cette grande direction en tout cas, sera de notre ce soir.
00:58 Bienvenue à tous.
00:59 Comme elles sont belles, comme elles sont chaudes, c'est le temps de l'été.
01:04 Bonsoir Indira.
01:05 Good afternoon, Black.
01:06 Ça va bien ?
01:07 I'm very happy.
01:08 On peut un peu danser, ça dépend.
01:09 Of course.
01:10 I'm already in the mood.
01:11 Oh yes.
01:12 I'm already in the mood.
01:13 [Applaudissements]
01:14 C'est ça, la tour.
01:15 [Applaudissements]
01:17 Oh, DJ Mando, c'est cool.
01:19 Bon, écoute, bro, allez.
01:21 Une belle ambiance.
01:23 Solange Choukita, bonsoir.
01:25 Bonsoir, Roblack.
01:26 Bienvenue sur l'afterwork de...
01:28 "Qu'on se mercie", Roblack.
01:29 C'est du rose ce soir et du rouge finalement.
01:32 Les couleurs de l'été en tout cas.
01:34 Ça c'est l'amour, on sent ça.
01:36 Oui, aussi un peu d'amour.
01:37 On est pas à Créville, on est pas à Nouvelle-Erreur.
01:39 Peut-être c'est un hiver rencontre, qui sait.
01:41 Qui sait.
01:42 En tout cas, bienvenue.
01:44 Merci, Roblack.
01:45 Et Sidonie, eh ben, bonsoir.
01:48 Tu devais dire à Solange que "Rebienvenue",
01:50 parce qu'elle est revenue.
01:51 Ah, d'accord.
01:52 Tu commences à peine.
01:53 "Remercie alors".
01:55 Tu commences la guerre à pleine hâte.
01:57 "Remercie alors".
01:59 Oh, mais c'est pas possible.
02:00 "Rebienvenue".
02:01 "Remercie".
02:02 Alors, vous vous sentez bien?
02:04 Oui, ça va, Roblack.
02:05 Très sûr?
02:06 Oui, oui, ça va.
02:07 Oui, oui, ça va.
02:08 Il veut danser.
02:09 Bah, écoutez, je sais pas.
02:10 Toi, tu veux seulement danser.
02:11 Tu dis "I'm in my mood".
02:12 On m'a dit que tu étais pas contente.
02:13 Moi?
02:14 Oui.
02:15 Je suis très contente.
02:16 Même comme le dehors chauffe, je suis contente.
02:17 Le dehors chauffe comment?
02:18 Y a pas d'argent dehors.
02:19 On dit que c'est dur.
02:20 C'est dur comme le caillou.
02:21 Aïe.
02:22 Les gens doivent apprendre à donner.
02:23 Surtout à nous comme ça.
02:24 On n'a pas donné, nous.
02:25 On n'a pas donné.
02:26 Et qui va donner?
02:27 Si Sidonie, il don't have money.
02:28 Si Sidonie, il don't have money.
02:29 Les gens qui donnent l'argent vont partir au siècle.
02:30 Vrai.
02:31 Ils vont partir.
02:32 En tout cas, c'est prouvé que tu n'as pas.
02:33 Si Sidonie, il don't have money.
02:34 On dit des choses comme ça.
02:35 On dit des choses comme ça.
02:37 On était en fond.
02:38 On était en fond.
02:39 On était journées du soir.
02:40 Donne-moi.
02:41 Si tu ne me donnes pas.
02:42 Même pas.
02:43 Ta main, ça raconte.
02:44 C'est ça.
02:45 Même pas honte.
02:46 Ça donne rapport à notre enfant.
02:47 Alors, messieurs et dames, bienvenue sur l'After Walk.
02:48 On souhaite la bienvenue à tous qui nous rejoignent et surtout, un joyeux anniversaire à ce
02:49 petit garçon.
02:50 Il s'appelle Ipua Penda Luka Kinké qui a un an de plus aujourd'hui.
02:51 On lui souhaite joyeux anniversaire.
02:52 Il a un an de plus aujourd'hui.
02:53 Il a un an de plus aujourd'hui.
02:54 Il a un an de plus aujourd'hui.
02:55 Il a un an de plus aujourd'hui.
02:56 On lui souhaite joyeux anniversaire.
03:07 C'est le coup de gueule.
03:11 Le coup de gueule.
03:12 Oui, oui.
03:13 Je suis nerveuse.
03:14 Un peu nerveuse.
03:15 Mando, baisse un peu l'os.
03:16 Tu dis que tu es nerveuse.
03:17 Mando, il faut me respecter.
03:18 Vraiment, il faut me respecter.
03:19 Oui, il faut me respecter.
03:20 Regarde mon babarri.
03:21 Ne te fâche pas, ça va.
03:22 Regarde mon babarri.
03:23 Ne te fâche pas, ça va.
03:24 Regarde mon babarri.
03:25 Ne te fâche pas, ça va.
03:26 Pourquoi tu es énervée?
03:27 Pourquoi tu es énervée?
03:28 Hein?
03:29 Regarde mon coup de gueule ce soir,
03:30 Regarde mon coup de gueule ce soir,
03:31 on doit apprendre aux gens à dire bonjour.
03:32 on doit apprendre aux gens à dire bonjour.
03:33 Il y a des gens qui ne savent pas dire bonjour.
03:34 Il y a des gens qui ne savent pas dire bonjour.
03:35 Il y a des gens qui ne savent pas dire bonjour.
03:36 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
03:37 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
03:38 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
03:39 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
03:40 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
03:41 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
04:07 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
04:14 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
04:15 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
04:16 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
04:17 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
04:18 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
04:19 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
04:20 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
04:21 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
04:22 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
04:23 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
04:24 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
04:25 C'est comme si on était dans un taxi de neveux.
04:54 dans nos maisons aujourd'hui. On voit des enfants. Ils te regardent comme ça. Il dit pas bonjour à son papa, à sa mère, à son frère. C'est une question d'éducation, il faut pas repartir vers là. Merci d'avoir évoqué ce sujet. C'est ça.
05:07 Bonjour. C'est ça. C'est la magie. Salut pour l'autre temps et il te voit. Il dit bonjour. C'est ça. Bonjour. Bonjour. C'est tout. Tout simplement. Merci. Est-ce qu'on peut applaudir pour le coup de monsieur et dame voici la question du jour.
05:32 Question du jour. Question du jour sur l'afterwork. Et bien évidemment messieurs et dames, elle concerne beaucoup plus les consommateurs de musique, quel est le genre musical pratiqué par Petit Malo? Alors, jouez avec nous au 696 de 6632, 53 Indira.
05:55 La question du jour est quel genre de musique joue Petit Malo?
06:02 Aïe, ça me fait danser. Oui, bien sûr.
06:06 L'afterwork, mission de fou rire, de détente et d'ambiance avec des résultats de marque. Il s'appelle Didgerimando.
06:21 Bon, attendez un peu, attendez un peu, attendez un peu. Vous dansez fort hein? Bien quoi. Nous on dansait les gamots hein. Quand on était jeunes, on savait danser. Mais aujourd'hui, comment toi tu vois comment les jeunes dansent aujourd'hui? Le gars qui part là. Le gars qui part. Tout le monde court partout. C'est quel genre de danse ça?
06:48 C'est la magie. C'est la bagarre seulement. Les yvoyards ont amené autre chose, je ne sais pas comment on appelle ça. Mais quand même, il faut revenir hein. Parce que c'est une éducation brutale. On ne danse pas brutalement comme ça. Danser normalement.
07:06 On danse selon le rythme de la chanson. Mais quand tu danses, tu te maries pour pas te faire foutre. Mais tu chiques, mon gars. Vas-y. Bonjour mesdames, voici le Jean-Pape.
07:29 Bonjour Jean-Pape. Ah oui. Moi j'aime cette chanson là. Oh la la. C'est Sydonie. Je m'appelle Sydonie.
07:41 Alors, voilà, commençons le Jean-Pape par l'artiste Christelle. Je ne sais pas pourquoi nous sommes venus partir en Côte d'Ivoire. Je ne sais pas.
07:48 Je vais juste annoncer à Christelle, comme tu parles là, on ne sait jamais, Christelle ou Ronaldo peut venir. Et tu seras perdante dans l'affaire. Alors on a Christelle qui est en séjour en Côte d'Ivoire, il faut le dire.
08:05 Et elle va jouer dans les aventures de Gohou Michel. Je ne sais pas si la musique, elle a beaucoup de la jambe. Mais elle va faire une comédie ou je ne sais pas pourquoi. Mais on va dire à Christelle, en partant, tu ne sais jamais.
08:18 Christelle, on va peut-être revenir. Tu ne sais pas. Donc tu simplifies Gohou. Et tout nous.
08:27 Mais ça va. Il est bien aimé. Il a des chances aussi. Gohou Michel. Tu crois qu'il n'a pas les trucs?
08:39 Il a la jambe. Gohou. Quelqu'un s'appelle Gohou. Et on a ajouté Michel. Donc elle est de son côté là. Elle va jouer dans les aventures de Gohou. On souhaite tout simplement bonne chance.
08:52 A tout le monde. A chacun sa chance. On dit bonsoir à tous les Ivoiriens qui nous regardent. La belle famille. Bien évidemment. La belle famille de qui? La belle famille de Camourna.
09:02 Non, Camourna, Ivoire, c'est le jumeau. Non, c'est notre belle-sœur. Ah d'accord, tant mieux pour vous. Alors, j'ai un communiqué. Je veux que vous écoutez ça bien.
09:11 Alors, le français venu ici, il a dit que il y a une fille qui cherche le travail. Voilà un gars qui donne le travail aux jeunes. Cherchez quoi le travail? Le travail. Alors, suivez bien ce communiqué Roblack.
09:25 Bonjour la famille, je forme les jeunes dans l'élévation de sepans. Un sepans donne environ 28 morceaux. Un morceau coûte environ 3500 francs. Dans les restaurants de la place.
09:39 Non, voilà un gars qui a décidé de faire l'élévation de sepans. Comprenez un peu. Alors, il dit que le sepans donne environ 28 morceaux. Un morceau coûte 3500.
09:51 Donc, voilà un gars. Alors, il dit, j'attends les places, je forme les apprenants et ma formation coûte 100 000 francs. Il dit que ceux qui veulent former l'élévation de sepans, vous êtes invités.
10:05 C'est lui qui forme le sepans? Il nous a fait de l'eau. Le sepans, c'est pas de l'eau. Donc, vous cherchez la vache? C'est la chère qui la cherche.
10:15 Les jeunes ici, ils pleurent le chemin. Voilà un gars qui fait une formation. Est-ce qu'il se fait mordre par le sepans? Non, depuis là, il a dit qu'il ne se fait pas mordre. D'accord.
10:22 Non, sa formation n'est pas intéressante. Alors, moi, je préfère que la fille reste au chômage. Il dit que le morceau est des sepans. Non, le morceau coûte quoi?
10:29 C'est l'élévation du sepans. Bon, ça dépend du type de sepans. C'est la vipère, c'est le cobra, c'est quoi?
10:33 Je vais te poser la question. Est-ce que tu as l'habitude de manger ça? Il parle de ça à la bonne chère. Il chahit, il foment.
10:38 De notre tradition, on donne le sepans. On ne mange pas comme on est gourmand aujourd'hui. On te donne d'abord. Sinon, tu vas avoir les écailles sur toi.
10:46 En tout cas, la formation, c'est ça. C'est que les enfants aujourd'hui sont gourmands. Ils mangent tout. Tout. Ils mangent tout.
10:53 Ils couvrent vite. Après, ils ont les écailles au corps.
10:57 C'est un communiqué. C'est un jeune qui ne cherchait plus le boulot. Voilà un gars qui donne le boulot. On a compris ton boulot.
11:04 On va continuer. Alors, on va parler. Le grappin camerounais a encore fait parler de lui hors de ses frontières.
11:14 Olivier Mendoz réalise le croixier de gagner l'espoir en devenant le premier camerounais à défendre une thèse de doctorat en langue chinoise.
11:25 Félicitations pour le deuxième campagne.
11:29 Tu vas nous enseigner ça ici?
11:32 On a déjà appris le français, l'allemand, l'espagnol. On enseigne déjà le chinois.
11:40 Pourquoi on n'accélère pas l'enseignement de nos langues maternelles?
11:45 On va le faire.
11:48 C'est qui qui va venir tout à l'heure?
11:55 Il va nous expliquer. Il est major de sa promotion.
12:03 Ça mérite des applaudissements.
12:06 Il soutenait en disant quoi?
12:11 On ne voit pas de gens aller taguer sur les gens.
12:21 On a tagué les influences.
12:24 C'est quelqu'un qu'il faut taguer. Il faut commenter.
12:28 C'est le Cameroun qui a été représenté à l'international.
12:32 Comme on dit, impossible n'est pas Cameroun.
12:36 On a Christian qui dit bravo.
12:41 On a Gislain qui dit le genre de tessie est toujours rempli d'intelligence.
12:47 Bravo broder.
12:49 On va continuer avec Coach Mira qui dit c'est pour ça que nous ne sommes pas le creux d'intelligence et de connaissance.
12:55 Bravo docteur Mendoz. Vive le Cameroun.
12:58 C'est pour ça qu'on est la planète, la galaxie.
13:02 Félicitations.
13:04 Félicitations à toi aussi.
13:07 Tu es représenté au 237.
13:09 Quand une benguise vient pour le mariage, tu ne le connais pas.
13:14 On t'a demandé quelque chose.
13:16 Je suis sûre que tu veux quelque chose.
13:18 Tu m'exposes pourquoi?
13:21 Elle attend quelque chose.
13:23 Je l'ai pour me défendre.
13:26 Parlons de données.
13:28 Je veux te dire une chose bien aussi.
13:31 On a besoin de bénir Haricot de ce côté.
13:34 Je vous invite à regarder cette vidéo de Francine Gagnon.
13:36 Un homme très généreux.
13:38 Regardez.
13:40 C'est Camille.
13:42 On a fait ça en 25 personnes.
13:44 Allez-y.
13:46 Allez-y.
13:48 Le venceur.
13:50 Le venceur.
13:52 (Brouhaha)
14:04 Les gars, le selfie.
14:06 (Brouhaha)
14:08 (Brouhaha)
14:10 (Brouhaha)
14:28 Tu parles comme si on était un tabac.
14:31 Ou un commando.
14:33 Qu'est-ce qui t'arrive?
14:35 Tu sais la vérité.
14:37 C'est l'homme le plus fort au monde.
14:42 Il est extrêmement conscient.
14:44 Il a posé des actes très conscients.
14:46 C'est pour ça que...
14:48 Je vais dire à Francine Gagnon.
14:50 Si tu regardes la photo, s'il te plaît.
14:52 Et bats ta langue.
14:54 Viens aussi.
14:56 (Brouhaha)
14:58 Il a soccoté les gens là-bas.
15:00 Il a donné 100 000.
15:02 100 000 de soccoté.
15:04 Il y a des commentaires.
15:06 On a les gens qui disent que la chapelle c'est son secteur.
15:10 On a noté.
15:12 On ne peut pas dire après.
15:14 Je vais te dire.
15:16 Elle est fou.
15:18 Calmez-vous.
15:20 À la fin de l'émission.
15:22 On ne veut pas faire l'antenne.
15:24 Il y a Eryka qui dit.
15:26 Il passe par mes sacs quand nous aussi on a faim.
15:29 On a les mêmes problèmes.
15:31 Pourquoi vous êtes toutes faim comme ça?
15:33 La vie n'est pas une vie.
15:35 On a Nathalie qui dit.
15:37 C'est ce que la jeunesse aime.
15:39 On travaille pour maman.
15:41 On a demandé à Francine Gagnon.
15:43 C'était tout pour le JAPAP.
15:45 (Applaudissements)
15:47 Si Denis et Banda.
15:49 Le JAPAP à l'antenne.
15:51 Messieurs et dames.
15:53 Cécile nous entraîne directement.
15:55 À l'instant.
15:57 Comédie.
15:59 Hein?
16:01 (Musique)
16:03 Quelle que soit la grosseur d'un arbre.
16:05 Il finit toujours par tomber.
16:07 Entre le football.
16:09 Et la télé nobulaire.
16:11 Qu'est-ce qui est plus bête?
16:13 Le sourire.
16:15 Et elle se miserie.
16:17 Salut!
16:19 C'est encore moi.
16:21 La fille BAPA.
16:23 La fille de Majou et de Sang-Rival.
16:25 Une BAPA de luxe.
16:27 Une gomène d'homme.
16:29 Nous allons encore parler de l'amour.
16:31 Évidemment.
16:33 Les hommes se plaignent.
16:35 Ils disent de plus en plus que.
16:37 Oh! L'amour se fera.
16:39 C'est vrai. C'est vrai mes frères.
16:41 Et la preuve.
16:43 C'est de nos jours.
16:45 Vous voyez encore une fille qui vous dit qu'elle vous aime.
16:47 Et vous voyez que c'est vrai qu'elle vous aime.
16:49 Elle vous aime vraiment.
16:51 Elle a raison qu'elle vous aime mon frère.
16:53 Vous êtes béni.
16:55 Béni par la richesse.
16:57 Parce qu'en fait, elle est en train de calculer un argent.
16:59 Qu'elle sait que tu as.
17:01 Mais toi tu n'es même pas au courant que tu as déjà cet argent.
17:03 Ah!
17:05 Je dis.
17:07 Vous pensez même que Eve a trompé Adam dans le jardin des demi-coupons.
17:09 C'est parce que le serpent avait un arbre fruitier.
17:11 Et Eve n'avait jamais goûté aux fruits là.
17:13 Alors elle a dit qu'elle veut goûter.
17:15 Goûter ça.
17:17 Et elle a fini par goûter.
17:19 Et elle a fini par goûter.
17:21 Et elle a fini par goûter.
17:23 Et elle a fini par goûter.
17:25 Goûter ça.
17:27 Et elle a fini par goûter.
17:29 Goûter ça.
17:31 Les hommes.
17:33 Vraiment.
17:35 Arrêtez de vous plaindre.
17:37 Les hommes se plaignent.
17:39 Oh! Les femmes ont les dots de chèvre.
17:41 La dot fout de plus en plus chèvre.
17:43 Est-ce qu'on a même doté Eve?
17:45 Qui a même commencé avec les affaires de dot.
17:47 Donc vous pensez que dans le jardin des demi-coupons.
17:49 On n'a pas doté Eve.
17:51 Vous pensez que la scope qu'on a prise chez Adam.
17:53 C'était quoi?
17:55 C'était la dot.
17:57 Donc quand on te demandait 5 petits millions.
17:59 Pour doter une fille comme moi.
18:01 Une Bapa.
18:03 Une gomme de luxe.
18:05 Tu trembles.
18:07 Entre 5 millions et ta cote.
18:09 Tu préfères quoi?
18:11 Quand ils demandent seulement.
18:13 Moi qui suis mon copine.
18:15 Une fille Bapa.
18:17 La seule fille Bapa aromatisée.
18:19 Avec le goût que je l'aimais.
18:21 C'est ça.
18:23 L'histoire des dots.
18:25 Je ne fais pas de commentaire.
18:27 On t'a doté à combien?
18:29 Je n'ai même pas encore dit la dot.
18:31 J'ai refusé.
18:33 Parce qu'il avait seulement 10 millions.
18:35 10 millions?
18:37 J'ai refusé au plan fait.
18:39 Et toi?
18:41 20 millions.
18:43 Tu as préféré garder le doigt libre.
18:45 Tu fais encore les attaques.
18:47 J'attends qu'il complète.
18:49 Je n'ai pas encore le japa.
18:51 J'ai refusé.
18:53 Je n'ai pas encore le japa.
18:55 Ok, d'accord.
18:57 Laissez-moi vous permettre d'accueillir l'invité du jour.
18:59 Et l'invité du jour ce jour
19:11 n'est personne d'autre que monsieur
19:13 le directeur du livre et de la lecture
19:15 au ministère des arts et de la culture
19:17 M. Mballa Elanga.
19:19 Edmond Seth.
19:21 Bonjour, bienvenue.
19:23 Nous sommes très heureux.
19:25 C'est vrai qu'on vous a sorti de votre bureau
19:27 avec la veste et les cravates.
19:29 Je vous présente.
19:31 Bonjour, bienvenue.
19:33 Bonsoir, M. Edmond.
19:35 Edmond Seth en plus.
19:37 Oui.
19:39 Bienvenue.
19:41 Bienvenue.
19:43 M. Mballa Elanga.
19:45 On a des vêtements.
19:47 M. Mballa Elanga.
19:49 Mon nom est sur ce plateau.
19:51 Voilà.
19:53 DJ Mando.
19:55 Ela Indira.
19:57 M. le directeur.
20:03 Prenez place là-bas.
20:05 Est-ce qu'on devrait
20:09 toujours dire
20:11 M. le directeur?
20:13 Ce qu'on veut.
20:15 Bon.
20:17 C'est le tour des vacances.
20:19 Vous êtes d'abord illustrateur, caricaturiste.
20:21 Vous continuez à dessiner?
20:23 De temps en temps, oui.
20:25 Parce qu'en réalité, le dessin m'a
20:27 permis d'accomplir beaucoup de choses.
20:29 C'est par le dessin
20:31 que j'ai pu
20:33 payer ma pension à l'université.
20:35 Par exemple.
20:37 Donc, je ne vois pas pourquoi
20:39 je l'abandonnerais maintenant.
20:41 Nous avions KwaKwou de votre époque?
20:43 Oui, à notre époque, il y avait KwaKwou,
20:45 il y avait Kalao, bien sûr,
20:47 il y avait tout le reste, Mustang,
20:49 Black Loroc, etc.
20:51 Kiwi,
20:55 Captain Swim,
20:57 Rahan, etc.
20:59 Il y avait tellement à lire,
21:01 tellement de choses qu'on apprenait
21:03 dans ces bandes dessinées.
21:05 Alors, il y avait une séquence
21:07 dans chaque bande dessinée.
21:09 Il y avait toujours un petit endroit,
21:11 un petit espace qui donnait
21:13 des leçons de géographie,
21:15 des leçons d'histoire, des leçons
21:17 de vivre,
21:19 enfin, de vie, etc.
21:21 Donc, ça fait que tu ne pouvais pas
21:23 sortir d'une bande dessinée
21:25 sans avoir appris quelque chose
21:27 après le divertissement.
21:29 Maintenant, au-delà de ça, la bande dessinée
21:31 elle-même nous apprenait
21:33 la langue, parce qu'il y a beaucoup
21:35 de nouveaux mots sur lesquels
21:37 on tombait. Elle nous apprenait
21:39 les expressions, par exemple, si vous prenez
21:41 le capitaine Haddock, avec sa
21:43 fameuse expression,
21:45 ou si vous prenez le professeur
21:47 Ocultis avec sa fameuse expression,
21:49 etc. Donc, ça fait que
21:51 c'est vrai, pour les adultes, c'était
21:53 des jurons, mais bon...
21:55 - Mille putains de ceci,
21:57 mille putois, voilà!
21:59 Et ça, on a lu!
22:01 Alors, Soumba Lé Langa et de Moncète,
22:03 vous êtes en même temps
22:05 le directeur du CREPLA.
22:07 C'est beaucoup de choses, parce qu'avec vous,
22:09 on parle de lecture.
22:11 Qu'est-ce qu'on peut dire de la lecture au Cameroun?
22:13 S'il fallait donner un pourcentage,
22:15 et quand on les lise,
22:17 jusqu'où?
22:19 - Je ne sais pas sur la base de quoi on va partir,
22:21 mais si on prend simplement
22:23 les chiffres,
22:25 de commercialisation
22:27 du livre, par exemple,
22:29 on se rend quand même compte que
22:31 annuellement, le livre produit,
22:33 en tout cas celui qui est mis en circulation
22:35 au Cameroun, tourne autour de 20 milliards
22:37 de francs, c'est pas
22:39 quelque chose qui est anodin.
22:41 Donc, s'il y a quand même 20 milliards
22:43 d'achats, ça veut dire qu'il y a
22:45 un certain volume de livres qui circulent
22:47 dans l'espace camerounais, et donc
22:49 il y a beaucoup de mythes, en réalité,
22:51 que les gens ont de la lecture
22:53 et de la circulation du livre.
22:55 Maintenant, bien entendu,
22:57 cela demande à être amélioré.
22:59 Vous savez que nous avons,
23:01 en tout cas moi, j'ai toujours le
23:03 sentiment que l'industrie culturelle
23:05 dans son ensemble
23:07 est une industrie qui, ailleurs,
23:09 est extrêmement
23:11 appréciée parce qu'elle est extrêmement
23:13 rentable. Malheureusement,
23:15 dans les pays africains,
23:17 et en particulier les pays d'Afrique subsaharienne,
23:19 vous avez le sentiment
23:21 que le regard que nous jetons
23:23 sur les industries culturelles
23:25 est toujours un regard assez péjoratif.
23:27 On pense que ce sont
23:29 des acteurs qui ne produisent
23:31 rien à la société, que ce sont
23:33 des acteurs qui consomment plutôt
23:35 ce que la société produit,
23:39 et qu'il faut leur donner de l'aumône.
23:41 Regardez exactement ce qui se passe
23:43 quand un artiste vient
23:45 faire une prestation au cours d'un événement
23:47 auquel nous assistons.
23:49 Les gens ont toujours le réflexe,
23:51 non pas, il a bien peut-être mis
23:53 sa cagnotte là, dans laquelle
23:55 on peut aller tranquillement
23:57 et trouver quelque chose,
23:59 mais on vient faroter. On jette par terre
24:01 pour qu'il aille lui-même ramasser.
24:03 C'est quand même une image
24:05 qui montre en réalité
24:07 le degré d'appréciation
24:09 que nous avons des artistes.
24:11 Or, comme je viens de le démontrer,
24:13 20 milliards de production
24:15 littéraire de vente de livres,
24:17 et si on prend
24:19 la pratique dans le monde
24:21 de l'édition, ça veut dire que
24:23 les auteurs, ceux qui écrivent
24:25 ces livres-là gagnent à peu près
24:27 10%, dont 10%
24:29 de droits d'auteur, ça fait tout de même
24:31 2 milliards de francs qui sont payés
24:33 aux écrivains camerounais chaque année.
24:35 Ce n'est pas rien.
24:37 - Alors, M. Magamon, vous vous intéressez
24:39 aux livres depuis combien d'années aujourd'hui ?
24:41 - Depuis que je suis
24:43 à l'école primaire en réalité,
24:45 et depuis que je suis au lycée,
24:47 j'ai publié des petits documents,
24:49 et j'ai rêvé d'être éditeur.
24:51 Et je suis devenu éditeur,
24:53 mais après j'ai quitté le monde
24:55 de l'édition. Ce que je voulais faire
24:57 était d'être un peu
24:59 au Cameroun, un Stanley. Vous connaissez
25:01 Stanley ? Stanley, c'est
25:03 cet éditeur-là qui publiait
25:05 Strange, l'Homme
25:07 araignée, enfin tous les super-héros,
25:09 et qui est
25:11 l'un des éditeurs les plus riches au monde.
25:13 C'est avec cette production
25:15 des super-héros qui
25:17 sont passés par la suite à la télévision,
25:19 donc il s'est énormément enrichi
25:21 à travers ces publications-là.
25:23 Et j'ai rêvé d'avoir une maison
25:25 d'édition à la Stanley
25:27 quand j'étais au Cour Moyenne-doux.
25:29 - Voilà qui est dit dans tous les cas.
25:31 M. Edmond, c'est une baleine à vous.
25:33 Restez avec nous. On parle de lecture, on parle
25:35 bien sûr du livre,
25:37 et surtout des vacances, des activités.
25:39 Peut-être que le ministère des Arts a organisé
25:41 des activités le temps de ses vacances
25:43 qui vont à l'endroit des jeunes.
25:45 - Oui, il y a beaucoup d'activités. Par exemple, actuellement,
25:47 nous avons une grosse activité qui se tient à Obala,
25:49 et ça s'appelle Cixa.
25:51 Cixa, c'est un vieux nom.
25:53 - On envoie les femmes qui devaient se marier là.
25:55 - C'est un apprentissage.
25:57 - C'est les prêtres, là.
25:59 - Donc le concept a un peu été
26:01 repris par notre délégation
26:03 régionale du centre, qui est dans la deuxième
26:05 édition de cette manifestation,
26:07 qui est toujours ouverte aujourd'hui.
26:09 Les inscriptions sont toujours ouvertes, la manifestation
26:11 se déroule. - Elle a été d'ailleurs lancée par
26:13 M. le gouverneur du centre. - Elle a été lancée par M. le gouverneur.
26:15 C'est effectivement à Obala.
26:17 Il y a ce type d'activités qui se tiennent
26:19 pas seulement dans la région du centre,
26:21 mais dans pratiquement toutes les régions du camp.
26:23 - Alors, M. le directeur, de temps en temps, vous voyez
26:25 comment nous, on est chauds, là, non?
26:27 On va se bouger un peu, hein?
26:29 Tu nous pousses un petit son, on va voir comment
26:31 on danse aussi avec M. le directeur.
26:33 (musique)
26:35 (musique)
26:37 (musique)
26:39 (rires)
26:41 (musique)
26:43 - Ah, part!
26:45 (musique)
26:47 (musique)
26:49 (rires)
26:51 (musique)
26:53 (rires)
26:55 (musique)
26:57 (musique)
26:59 (rires)
27:01 (musique)
27:03 (rires)
27:05 (musique)
27:07 (rires)
27:09 (musique)
27:11 (rires)
27:13 (musique)
27:15 (musique)
27:17 (musique)
27:19 - Ah, ça!
27:21 M. Baalanga,
27:23 quand on écoute cette chanson, ça nous rappelle
27:25 tellement de choses.
27:27 La jeunesse, Ex Maria, l'album
27:29 Back to the Roots, qui se réapproprie,
27:31 quelques standards, et particulièrement
27:33 cette chanson de M. Esso et Somba,
27:35 de cet unique album.
27:37 - Oui, en fait, ils sont...
27:39 Je veux dire, ça, c'est, je crois, la deuxième reprise
27:41 qu'ils font d'un très grand artiste.
27:43 C'est-à-dire qu'ils avaient d'abord repris...
27:45 - Iboalotine. - Iboalotine. - Tonton.
27:47 - Avec Bonamolato, je pense.
27:49 Et donc, là, voilà, Bindon, Bindon.
27:51 Effectivement, c'est dans l'album
27:53 d'Esso et Somba, qui est paru,
27:55 je crois, qui est sorti dans les années 80,
27:57 au début des années 80,
27:59 et qui avait, je crois, 5 ou 6 chansons.
28:01 Toutes excellentes chansons.
28:03 - Y a aussi... - Bindon, Bindon.
28:05 - Fieyo, Rénoção.
28:07 - Voilà. - Allez, écoutez.
28:09 Vraiment, quand on voit la jeunesse
28:11 aujourd'hui qui reprend ces titres-là,
28:13 ça ne peut que me faire plaisir,
28:15 d'autant plus que, si nous faisons
28:17 juste une espèce de petit flashback,
28:19 vous allez vous rendre compte que
28:21 entre 1990 et aujourd'hui,
28:23 vous avez à peu près
28:25 4 ou 5 grands rythmes musicaux
28:27 qui tendent à, véritablement,
28:29 à disparaître. Si on vous demande
28:31 où est passé le rythme que jouait...
28:33 Comment il s'appelle?
28:35 Celui qui jouait le Tchatchaméringue.
28:37 - Alibaba. - Alibaba, voilà.
28:39 Tchatchaméringue a pratiquement
28:41 disparu.
28:43 Tout près de nous, ici,
28:45 le Mangambeus, qui en chante encore.
28:47 - On parle d'Afro-pop aujourd'hui.
28:49 - La Siko, qu'est-ce qu'il en reste?
28:51 - Et le Mikuti?
28:53 Le Mikuti devient quoi?
28:55 - Le Mikuti...
28:57 Les deux rythmes-là parviennent
28:59 quand même à résister, mais avec des influences
29:01 très négatives qu'ils ont prises
29:03 dans d'autres rythmes.
29:05 Mais bon, ce sont des efforts, à mon avis,
29:07 quand nous avons des gens comme Exmaléa
29:09 qui reprennent ces chansons-là,
29:11 ça doit permettre à d'autres jeunes créateurs
29:13 de se réapproprier, en réalité,
29:15 la beauté de la musique
29:17 et le rythme qu'on montre.
29:19 - Je voudrais vous rappeler que
29:21 vous êtes aussi animateur d'une chronique
29:23 qui s'appelle "Les musiques d'antan".
29:25 On sait de quoi on parle!
29:27 Alors, rappel de la question du jour.
29:29 Quel est le genre musical
29:31 pratiqué par Petit Malo?
29:33 Jouez avec nous au 696-66-32-53.
29:37 La question en anglais, il dira...
29:39 - What kind of music does Petit Malo play?
29:43 - Messieurs et dames, voici l'instant de la bipo!
29:47 - Please!
29:49 (musique)
29:51 (musique)
29:53 (musique)
29:55 - Ah! Ça fait du bien, ça!
29:57 L'eau, ça fait du bien. L'eau, c'est la vie.
29:59 L'eau, c'est la vie.
30:01 L'eau, ça fait du bien. L'eau, c'est la vie.
30:03 Indira, bonsoir.
30:05 - Good afternoon, Roblack.
30:07 - La bipolice, la bipolice.
30:09 - Always. Today we are going to talk about wallets.
30:11 You know, wallet is a small
30:13 flat folding pocket book
30:15 with compartment for
30:17 coins, paper money
30:19 and for cards.
30:21 It's important to keep all your personal
30:23 belongings in a...
30:25 It's important to keep all your personal belongings,
30:27 traveling documents,
30:29 money, credit cards in a wallet
30:31 because it protects
30:33 from theft,
30:35 damages and weather exposure.
30:37 It's also a great
30:39 accessory
30:41 that can help
30:43 define your style
30:45 and be a part of your image.
30:47 You know, today, most people
30:49 when they see a wallet,
30:51 they call them a purse.
30:53 But one thing you have to note is that
30:55 a wallet can equally...
30:57 It has many synonyms.
30:59 It can be called at least a pill fold,
31:01 a pocket book
31:03 as I earlier said,
31:05 a credit card holder,
31:07 a change purse and a French purse.
31:09 It has many...
31:11 As we saw on the screen,
31:13 it has many pockets
31:15 which serves to put your money,
31:17 your paper money,
31:19 your coins,
31:21 your credit card and your ID.
31:23 In fact, everything you want to put
31:25 in your wallet
31:27 and everything you think is personal or important
31:29 once you're going out and you want to put
31:31 inside your wallet,
31:33 you put it just inside.
31:35 Then, that's all for the Bpolis.
31:37 So, Lanjha, I have a question for you.
31:39 I heard that because...
31:41 I heard that a wallet
31:43 symbolizes wealth,
31:45 prosperity and good luck.
31:47 What do you think about that?
31:49 Well, listen, Indira,
31:51 I think it's true.
31:53 I think it brings more money.
31:55 Because I remember before,
31:57 my mother used to tell me that
31:59 at the time,
32:01 we offered the wallet with money inside
32:03 so that it brings even more.
32:05 So, I think that by using the wallet,
32:07 yes, we bring more money.
32:09 I agree with you.
32:11 I don't believe in that.
32:13 When the wallet is empty, it's empty.
32:15 No, I don't agree.
32:17 Try to do that. You put the money...
32:19 Keep your last bill in your wallet.
32:21 It brings even more.
32:23 It's crazy that when we look at the images
32:25 on TV, the wallet, you see,
32:27 in the white people, they keep the money like that.
32:29 In us, here,
32:31 one time, it brings money.
32:33 Then, they start to lower it like that.
32:35 The money...
32:37 Especially us, the women.
32:39 You see, it's like...
32:41 It's like a little bag.
32:43 I promise you that...
32:45 What image do you have of the wallet,
32:47 Mr. Malay Langa?
32:49 It's a very mixed image.
32:51 It's a place
32:53 that allows to keep money
32:55 but I had a very bad adventure
32:57 and I haven't used it since.
32:59 But it's weird today because
33:01 we also talk about magic wallets.
33:03 Of course.
33:05 Today, the wallet is this one.
33:07 It wasn't a magic wallet.
33:09 I had made a small contribution.
33:11 You reminded me earlier that I was an illustrator
33:13 and I was paid.
33:15 It was the first time in my life
33:17 that I was paid more than 80,000 francs at once.
33:19 So, I put them in the wallet.
33:21 I withdrew a 10,000-franc bill.
33:23 It was 100,000 francs exactly.
33:25 I bought something
33:27 to pay the taxi and then,
33:29 I was withdrawn the wallet.
33:31 You have to have 10,000 francs.
33:33 Here is mine.
33:35 Open it a little bit, please.
33:37 I don't want to show you what's inside.
33:39 Look at the poor people.
33:41 They have tears in their eyes.
33:43 Here is mine.
33:45 He still allowed to wear a jean
33:47 and to wear the jacket
33:49 that he said with the wallet behind
33:51 at the central market in Douala.
33:53 You have to find a way
33:55 to frame it well
33:57 because in the wallet,
33:59 I prefer to call it wallet
34:01 and not wallet because we keep
34:03 the credit cards, the identity card
34:05 and a little bit of money.
34:07 So, I don't want to show you the money.
34:09 It's not a secret.
34:11 You put your money inside the pocket.
34:13 It can easily get missing.
34:15 Once I put my money in the pocket,
34:17 automatically, it got missing.
34:19 Automatically.
34:21 We will applaud very hard
34:23 for the police life.
34:25 We will stay with Mr.
34:27 the director of the book "The reading
34:29 at the Ministry of Arts and Culture".
34:31 There are still beautiful victories
34:33 in the literary world.
34:35 Yes, of course.
34:37 Cameroonian literature
34:39 is one of the most important
34:41 and one of the most
34:43 emblematic in
34:45 Sub-Saharan Africa.
34:47 Cameroonians trust
34:49 all the prices.
34:51 I think what Cameroon lacks
34:53 today is a Nobel Prize.
34:55 Otherwise, we have had
34:57 so many prizes
34:59 among the most prestigious in the world.
35:01 It's not one author.
35:03 It's not two.
35:05 It's about fifty.
35:07 I think the last big news
35:09 that crowns your success
35:11 is Jaëlia Madouamaa.
35:13 Yes, she is a bit
35:15 the illustration of
35:17 what we call the life of the book.
35:19 You see,
35:21 I regularly receive
35:23 very young authors
35:25 who come with projects.
35:27 Sometimes, you wonder
35:29 where they went to think
35:31 about something like this.
35:33 Someone comes, he has his first book,
35:35 he asks you for a support
35:37 and you say, "My son, where are you going
35:39 to sell them? There are 50,000 copies."
35:41 So, Amal
35:43 really started
35:45 in the local publishing world
35:47 with an honest,
35:49 serious production
35:51 but with sales
35:53 that reflect
35:55 the organization of the book market
35:57 in our country.
35:59 Then, an international literary prize
36:01 allowed her to take off.
36:03 The Boncourt Prize.
36:05 Amal has almost one million books sold.
36:07 But, Mr. Director of the book,
36:09 it's a foreign publishing house
36:11 that promoted...
36:13 Yes, but in reality, what I mean is
36:15 simply this organization.
36:17 What propels a book?
36:19 It's the prices and it's the circulation.
36:21 That is to say, you have to create
36:23 attractiveness around the book.
36:25 That's why we salute
36:27 the efforts of a
36:29 Cameroonian, even today.
36:31 She organizes a prize called
36:33 "African Book of the Year".
36:35 She lives in Switzerland and it's one of the most prestigious prizes today.
36:37 So, it's the literary prize
36:39 that actually pushes
36:41 people to know
36:43 the existence of a book
36:45 and can now
36:47 acquire this book
36:49 if they are interested.
36:51 And it's this organization that needs to be put in place.
36:53 And for that,
36:55 at the Ministry of Arts and Culture,
36:57 there is an organization
36:59 that is being done,
37:01 a restructuring,
37:03 with the establishment of
37:05 federations, for the moment,
37:07 we call them artistic and cultural poles.
37:09 And so, you have the publishing pole,
37:11 the literary arts pole,
37:13 which are supposed to create
37:15 the dynamics needed for us to
37:17 capitalize on the essence of production.
37:19 So, these literary prizes,
37:21 yes, the very last one
37:23 to date,
37:25 the latest "fait d'art"
37:27 to date, if I may say so,
37:29 you know the Cameroonian author
37:31 called Imbo Lombuy,
37:33 who is published in the United States
37:35 at the best American publishing house
37:37 called Random House,
37:39 and where she has her contracts,
37:41 it's a minimum of $1 million,
37:43 even before the publication of the book.
37:45 So, you can see that
37:47 we have a quality
37:49 of literary production
37:51 that makes the world tremble.
37:53 In any case, Cameroon,
37:55 Cameroon is Cameroon, right?
37:57 Mr. Atman, I would like to know
37:59 if it is possible
38:01 that you can offer us a book
38:03 to write better,
38:05 which can allow us to write better.
38:07 It's difficult to offer.
38:09 It's a bit like asking a counter,
38:11 isn't it?
38:13 To give you the recipe
38:15 to count better.
38:17 Everyone has a way of counting.
38:19 It depends on what you want to do.
38:21 But to help, simply,
38:23 to help, simply,
38:25 and generally, the great writers,
38:27 whatever they are,
38:29 in any case, many great writers
38:31 start by writing poetry.
38:33 It seems simple,
38:35 because it's a few lines,
38:37 and then they go to the news.
38:39 The news is a very short story
38:41 that lasts about ten pages,
38:43 but in which you manage
38:45 to tell, isn't it?
38:47 And one of the masters of news
38:49 in Cameroon was called
38:51 Guillaume Oyounombia,
38:53 and after that you can go to the novel.
38:55 There are some who simply try
38:57 to start with the novel,
38:59 which is still extremely complex,
39:01 because it has to be very thorough.
39:03 Take an author
39:05 who wrote a police novel
39:07 called Gérard Desvilliers,
39:09 and you will realize
39:11 that in the novels
39:13 he publishes,
39:15 the description he makes
39:17 of the city, of the environment
39:19 in the city, if you go to that city,
39:21 it's exactly that.
39:23 Why? Because he went down
39:25 to each country where he had to
39:27 write the novel, and he made
39:29 searches, he took elements,
39:31 etc., to be as close
39:33 as possible to reality.
39:35 In the same way, those who write
39:37 historical novels, they search
39:39 first the story, what had happened
39:41 concretely, how did it happen, etc.,
39:43 so that the elements are as close
39:45 to reality as possible.
39:47 So creation is certainly
39:49 sometimes fiction, but very often
39:51 people start from their experience
39:53 and then they unfold it.
39:55 That's what's said. In any case,
39:57 ladies and gentlemen, the courier
39:59 we will of course receive,
40:01 after the credits, Laurence.
40:03 Laurence Duc,
40:11 announced, still in red.
40:13 Listen!
40:15 Welcome!
40:17 Welcome!
40:19 How are you?
40:21 I present to you, Mr. Director of the book "The Reading in the Cardboard".
40:23 Thank you, Mr. Director.
40:25 It's Laurence Duc.
40:27 So, Laurence, what does the courier call us today?
40:29 The courier, I don't know,
40:31 I don't know.
40:33 Have you ever been
40:35 afraid?
40:37 No, I'm not afraid.
40:39 Even when you leave your wife at home
40:41 with indelicate people?
40:43 I'm not afraid of anything, not of men.
40:45 Well, listen, I'm ...
40:47 Your fear is the dishonesty of the spirit.
40:49 Ok.
40:53 I don't know.
40:55 No, it's not that.
40:57 Mr. Atarna wrote to us
40:59 from Obala.
41:01 He doesn't know
41:03 how to take care of himself
41:05 because he lives with his brother
41:07 in the house.
41:09 And this brother
41:11 convicts his wife.
41:13 What do you advise him?
41:15 Well ...
41:17 He kicks his brother in the back.
41:19 But how did he know?
41:23 Does he have proof of what his brother
41:25 is hitting him in the back?
41:27 But that's what he tells us.
41:29 Well, it's true that it's things that happen all the time.
41:31 I didn't do the interview.
41:33 It happens all the time and then, when we discover, what do we do?
41:35 But the easiest thing is to leave
41:37 and go and settle with his wife elsewhere.
41:39 But ...
41:41 Since it's the brother,
41:43 he will always have the link ...
41:45 Yes, but at least the proximity ...
41:47 He will always come
41:49 between visits to the house.
41:51 The proximity will be broken.
41:53 Because you also know, Roblack is stupid, I think.
41:55 Of course.
41:57 There is a stupid proverb that says
41:59 that the pig had finished eating
42:01 the mille-pattes by force of the water.
42:03 It will happen all the time.
42:05 I think that the distance
42:07 also avoids
42:09 the convoitise.
42:11 It's also crazy to know
42:13 what your brother does to you.
42:15 If he is a homeless ...
42:17 Exactly, he comes and goes.
42:19 If he is homeless, he will spend time working on ...
42:21 But at the same time, it's immoral.
42:23 It's immoral!
42:25 In fact, I simply said
42:27 because if he has to look for solutions,
42:29 one of the solutions is this one.
42:31 But it is the brother who does this
42:33 which is totally immoral.
42:35 Because you still have to be able to live with values
42:37 and have values in life,
42:39 it's still respecting the minimum of things.
42:41 Roblack is the husband who complains about his brother.
42:43 The brother can also be the victim of the woman.
42:45 The brother can also be the victim
42:47 because there are women who
42:49 induce their brother.
42:51 In this case, it is the woman who is immoral.
42:53 Anyway, there is one of the people ...
42:55 A person who is immoral.
42:57 Yes, you can have a person who wanders all the time
42:59 in a mini-jupiter.
43:01 But do not forget one thing!
43:03 There are only two things in the world that separate.
43:05 Money and women.
43:07 And so, when two brothers
43:09 are in this situation,
43:11 in a village where sometimes finding a woman is not easy.
43:13 There is machette that can come out.
43:15 It's war, it's hatred
43:17 all your life.
43:19 And because of a woman,
43:21 the brothers will never be together again.
43:23 Otherwise, it happened to you
43:25 when your brother did you a favor?
43:27 No, never.
43:29 I did not even think about it.
43:31 10 million.
43:33 I don't know.
43:35 Maybe the brother is there.
43:37 I don't know how he saw it.
43:39 I thought he was going to
43:41 chase his brother out of the house.
43:43 But if his brother has nowhere to go.
43:45 He's cold outside.
43:47 He's sitting in the cold.
43:49 He's sitting in the cold.
43:51 He's under the blanket.
43:53 But you're a book writer.
43:55 Maybe he could also
43:57 take a chance
43:59 to lock his wife in the room.
44:01 To ask him
44:03 two books a day.
44:05 If he really wants to
44:07 cover his wife.
44:09 In truth, I think
44:11 it's a bit without a solution.
44:13 It's without a solution.
44:15 Because it's war anyway.
44:17 The organized war is declared.
44:19 It's really the separation.
44:21 It's the total separation.
44:23 It will be more natural.
44:25 It will be mechanical between brother and wife.
44:27 How are you going to look at your wife?
44:29 You have to look at your wife.
44:31 It's complicated.
44:33 Mr. Rahman, first chase your brother.
44:35 Chase your brother.
44:37 You chase your brother.
44:39 You take the distance
44:41 with your wife first.
44:43 And you take the time to reconvert.
44:45 I think we can stop there.
44:47 But there is X Malia
44:49 who said he was going.
44:51 He's already gone.
44:53 But he still left the heart.
44:55 He's not going to leave it alone.
44:57 We're going to say goodbye.
44:59 We're going to leave.
45:01 You're giving us the little hint.
45:03 We're not going to accompany you.
45:05 We're not going to accompany you.
45:07 We're not going to accompany you.
45:09 We're not going to accompany you.
45:11 We're not going to accompany you.
45:13 We're not going to accompany you.
45:15 We're not going to accompany you.
45:17 We're not going to accompany you.
45:19 We're not going to accompany you.
45:21 We're not going to accompany you.
45:23 We're not going to accompany you.
45:25 We're not going to accompany you.
45:27 We're not going to accompany you.
45:29 We're not going to accompany you.
45:31 We're not going to accompany you.
45:33 We're not going to accompany you.
45:35 We're not going to accompany you.
45:37 We're not going to accompany you.
45:39 We're not going to accompany you.
45:41 We're not going to accompany you.
45:43 We're not going to accompany you.
45:45 We're not going to accompany you.
45:47 We're not going to accompany you.
45:49 We're not going to accompany you.
45:51 We're not going to accompany you.
45:53 We're not going to accompany you.
45:55 We're not going to accompany you.
45:57 We're not going to accompany you.
45:59 We're not going to accompany you.
46:01 We're not going to accompany you.
46:03 We're not going to accompany you.
46:05 We're not going to accompany you.
46:07 We're not going to accompany you.
46:09 We're not going to accompany you.
46:11 We're not going to accompany you.
46:13 We're not going to accompany you.
46:15 We're not going to accompany you.
46:17 We're not going to accompany you.
46:19 We're not going to accompany you.
46:21 We're not going to accompany you.
46:23 We're not going to accompany you.
46:25 We're not going to accompany you.
46:27 We're not going to accompany you.
46:29 We're not going to accompany you.
46:31 We're not going to accompany you.
46:33 We're not going to accompany you.
46:35 We're not going to accompany you.
46:37 We're not going to accompany you.
46:39 We're not going to accompany you.
46:41 We're not going to accompany you.
46:43 We're not going to accompany you.
46:45 We're not going to accompany you.
46:47 We're not going to accompany you.
46:49 We're not going to accompany you.
46:51 We're not going to accompany you.
46:53 We're not going to accompany you.
46:55 We're not going to accompany you.
46:57 We're not going to accompany you.
46:59 We're not going to accompany you.
47:01 We're not going to accompany you.
47:03 We're not going to accompany you.
47:05 We're not going to accompany you.
47:07 We're not going to accompany you.
47:09 We're not going to accompany you.
47:11 We're not going to accompany you.
47:13 We're not going to accompany you.
47:15 We're not going to accompany you.
47:17 We're not going to accompany you.
47:19 We're not going to accompany you.
47:21 We're not going to accompany you.
47:23 We're not going to accompany you.
47:25 We're not going to accompany you.
47:27 We're not going to accompany you.
47:29 We're not going to accompany you.
47:31 We're not going to accompany you.
47:33 We're not going to accompany you.
47:35 We're not going to accompany you.
47:37 We're not going to accompany you.
47:39 We're not going to accompany you.
47:41 We're not going to accompany you.
47:43 We're not going to accompany you.
47:45 We're not going to accompany you.
47:47 We're not going to accompany you.
47:49 We're not going to accompany you.
47:51 We're not going to accompany you.
47:53 We're not going to accompany you.
47:55 We're not going to accompany you.
47:57 We're not going to accompany you.
47:59 We're not going to accompany you.
48:01 We're not going to accompany you.
48:03 We're not going to accompany you.
48:05 We're not going to accompany you.
48:07 We're not going to accompany you.
48:09 We're not going to accompany you.
48:11 We're not going to accompany you.
48:13 We're not going to accompany you.
48:15 We're not going to accompany you.
48:17 We're not going to accompany you.
48:19 We're not going to accompany you.
48:21 We're not going to accompany you.
48:23 We're not going to accompany you.
48:25 We're not going to accompany you.
48:27 We're not going to accompany you.
48:29 We're not going to accompany you.
48:31 We're not going to accompany you.
48:33 We're not going to accompany you.
48:35 We're not going to accompany you.
48:37 We're not going to accompany you.
48:39 We're not going to accompany you.
48:41 We're not going to accompany you.
48:43 We're not going to accompany you.
48:45 We're not going to accompany you.
48:47 We're not going to accompany you.
48:49 We're not going to accompany you.
48:51 We're not going to accompany you.
48:53 We're not going to accompany you.
48:55 We're not going to accompany you.
48:57 We're not going to accompany you.
48:59 We're not going to accompany you.
49:01 We're not going to accompany you.
49:03 We're not going to accompany you.
49:05 We're not going to accompany you.
49:07 We're not going to accompany you.
49:09 We're not going to accompany you.
49:11 We're not going to accompany you.
49:13 We're not going to accompany you.
49:15 We're not going to accompany you.
49:17 We're not going to accompany you.
49:19 We're not going to accompany you.
49:21 We're not going to accompany you.
49:23 We're not going to accompany you.
49:25 We're not going to accompany you.
49:27 We're not going to accompany you.
49:29 We're not going to accompany you.
49:31 We're not going to accompany you.
49:33 We're not going to accompany you.
49:35 We're not going to accompany you.
49:37 Last video.
49:39 Since the meal is repeated, we do what?
49:41 We don't serve ourselves.
49:43 Either at the neighbor's or at uncle Yannick's.
49:45 We don't serve ourselves in his dish.
49:47 *Musique*
50:09 *Musique*
50:11 *Musique*
50:13 *Musique*
50:15 Ah! Tu as vu? Il a commis une erreur de débutant. Tu as pris par mon frère. Parlez c'est que tu as pris. Merci! C'était les Roi et les Femmes!
50:27 On te raccompagne? Non on part! Merci d'avoir fait la mini-brouhaha!
50:39 Ça aussi c'est les vacances! Il y a un gros événement que vous préparez très bientôt, c'est exactement la nuit, les étoiles de l'édition Camerounais de 2003.
50:52 En fait, comme je disais tout à l'heure, il faut des prix qui valorisent les écrivains. Et dans l'espace Camerounais, il n'y en avait pas jusqu'à là. Donc il y a des prix d'une certaine portée.
51:06 Le Centre Régional de Promotion du Livre en Afrique a donc lancé l'année dernière les étoiles de l'édition. En fait, il s'agit d'un moment où on prime l'ensemble de la chaîne du livre.
51:17 Ce sont 9 trophées qu'on va délivrer en littérature jeunesse, en bande dessinée, le meilleur éditeur, la meilleure bibliothèque, la meilleure association de promotion du livre, etc.
51:32 Et donc cet événement est prévu le 28 octobre. Pour le moment, c'est les candidatures qui sont ouvertes. En tout cas, les différents professionnels sont invités à présenter leurs candidatures. Ils ont jusqu'au 31 septembre.
51:49 Voilà, dans tous les cas, vous restez encore avec nous. Messieurs et dames, voici l'instant du ZA-PI!
52:01 Solange Okita! L'œil face à la caméra! Les programmes de la CRTV!
52:06 Bonsoir à tous ceux qui nous regardent actuellement devant leur petit écran. C'est l'heure du ZA-PI sur l'Afterwork.
52:14 Alors, ici on est à l'avenue Kennedy. Cet endroit est reconnu généralement comme étant très bruyant. Par ailleurs, on y trouve également des endroits apaisants et divertissants, surtout pour les plus jeunes.
52:26 Ce programme sera présenté dès ce soir à partir de 20h00 sur la CRTV.
52:33 En 1960, il y avait déjà une exploitation assez dense. Je me rappelle qu'il y avait des boutiques des Grecs, des Libanais, des Français, etc.
52:45 Ici, nous faisons de l'impression dans les conceptions infographiques et dans la réalisation cinématographique.
52:52 Un foisonnement de talents, d'opportunités, mais aussi des déconvenues plurielles.
52:58 Le SAP Music, c'est un des rares endroits où on ne croise pas des gens scotchés à leur téléphone.
53:05 La musique adoucit les mœurs et il y a des mœurs à adoucir à l'avenue Kennedy.
53:15 Le signe aussi que l'atmosphère à bord du SAP Music est plus forte que tout. Elle vous captive, vous envoûte et ne vous lâche plus.
53:24 Allons maintenant dans la région de l'ouest de Cameroun, précisément à Bashingu.
53:38 C'est un village situé dans le département d'Unegué. Il est reconnu pour ses thèses sacrées et son incroyable relief.
53:44 Ce programme sera diffusé tout à l'heure après l'after-work sur la CRTV.
53:49 Une localité du département d'Unegué, dans la région de l'ouest, l'on ne s'ennuie pas.
53:57 Le relief pittoresque, cristallisé par la montagne imposante, captive le voyageur.
54:04 Bashingu a des cours d'eau à tous les kilomètres que vous traversez, des cours d'eau même ici à la Chiffre.
54:09 Donc ne serait-ce que ça, c'est une richesse qui n'a pas de coût.
54:13 Revisiter tous ces endroits, dit-on ici, connectés à la vibration ancestrale,
54:19 est aux yeux du monarque capital pour solliciter la contribution des ancêtres
54:25 au succès des entreprises des fils et filles Bashingu.
54:29 La circoncision reste de nos jours une tradition incontournable dans la région de la Damaoua.
54:38 Retour aux sources à travers ce reportage qui sera diffusé dès demain à partir de 17h30 sur la CRTV.
54:46 Les gens de la Défense des Fonds d'Agriculture dans la région de la Damaoua
54:51 ont une connotation différente à la circoncision,
54:54 d'un point de vue traditionnel et culturel.
54:58 Les jeunes hommes qui ont été circoncisés sont toujours dans la forêt,
55:02 les femmes et les garçons.
55:04 Un homme circoncisé, encore un jour,
55:07 est encore en forêt, en désert,
55:10 et un homme non circoncisé est en forêt.
55:13 Un homme non circoncisé est en forêt, en désert,
55:16 et un homme non circoncisé est en forêt.
55:19 Un homme non circoncisé est en forêt, en désert,
55:22 et un homme non circoncisé est en forêt.
55:25 Un homme non circoncisé est en forêt, en désert,
55:28 et un homme non circoncisé est en forêt.
55:31 C'est une signification de cette culture
55:34 qui a résisté à chaque vent de changement.
55:37 C'est le rituel de circoncision
55:40 qui, entre les gens de WAC, est une école à sa propre.
55:44 C'était tout pour le Zapping.
55:48 Retrouvons-nous demain pour de nouveaux programmes sur la CRTV,
55:52 la chaîne au cœur de la nation.
55:54 Bonne soirée à tous.
55:55 Bonne soirée, merci Solange.
55:57 On vous donne désormais la réponse à la question du jour
56:02 qui était "Quel est le genre musical pratiqué par Petit Malo?"
56:05 Il fallait nous contacter au 696 66 32 53
56:09 et la bonne réponse était le Mbole.
56:13 Mbole de Sainte-Française.
56:15 Ça aussi on en parle.
56:17 Alors M. Zinta, vous allez choisir, tiré au sort rapidement,
56:20 une candidature qui va certainement remporter soit un livre
56:24 soit le ministère, la direction du livre.
56:27 C'est avec grand plaisir qu'on offrira effectivement
56:29 un livre à M. Nomo Christian de Douala, 696 79 09 67.
56:36 Alors, la réponse est connue.
56:39 Une toute dernière question.
56:41 Comment est-ce qu'on doit ramener les jeunes Cameroonais à lire?
56:45 C'est extrêmement simple, surtout pour les jeunes
56:47 qui sont sur ce plateau et qui n'ont pas encore d'enfants.
56:51 Le plus simple, c'est de commencer à donner des livres aux enfants
56:54 dès qu'ils sont bébés.
56:56 Après, ils vont lire mécaniquement tout seuls
56:58 et arriver à consommer des livres sans problème.
57:01 Ça va d'ailleurs améliorer leur capacité intellectuelle
57:05 et leurs résultats scolaires.
57:07 Merci d'avoir accepté notre invitation sur le plateau "L'After Work".
57:10 Bonne idée! À chacun ça!
57:13 On va danser, hein?
57:16 Je vais te dire un truc de base.
57:18 Je vais te dire un truc de base.
57:20 On part!
57:22 Vous voulez pas partir?
57:26 C'est terminé pour aujourd'hui.
57:35 Le Car-Far.
57:37 On se dit à demain, dès qu'il sera 16h30.
57:40 C'était "L'After Work", messieurs, mesdames.
57:43 Restez sur la chair, Jimmy!
57:45 *musique*