Rallye - Pascal Clairet : 306 Maxi Émouvante
Depuis plus de quinze ans, la mélodie envoûtante de la 306 Maxi résonne grâce à Pascal Clairet, notre invité rallye. Passionné de sport automobile depuis 35 ans, il court avec une motivation inébranlable. Sur notre plateau, il nous réserve une annonce surprise, témoignant de sa persévérance et de son engagement constant dans le monde du rallye.
Le CASE Volley de 1970 à aujourd'hui
Fondée en 1970, la section volley-ball du CASE à Saint-Étienne, créée par René Le Lévrier et André Delorme, a progressé jusqu'à la Pro A en 1993 et a participé à une coupe d'Europe. Actuellement avec 250 licenciés, le club comprend une équipe masculine en National 3 et une équipe féminine en National 2, soulignant sa volonté de former et de faire évoluer les jeunes au sein du club.
Dance - SAINT-ÉTIENNE EN MODE SUPER BOWL
Plongez dans l'univers envoûtant de la danse girly avec Joelle Merieux à Saint-Étienne. Une fusion de sensualité et d'énergie qui rivalise avec les stars du Super Bowl."
Football - À la conquête des buts espagnols
Portrait de Maxence et Nathan Deville, deux gardiens de but qui ont quitté la France pour vivre une très belle expérience en Espagne. Ils vont nous expliquer pourquoi ils ont fait ce choix et quels sont leurs objectifs.
14e Engie Open d'Andrézieux-Bouthéon 42 : Promesses et Performances
Du 29 janvier au 4 février 2024 se tiendra la 14e édition de l'Engie Open d'Andrézieux-Bouthéon 42. Une occasion en or de voir évoluer les joueuses les plus prometteuses du circuit et découvrez les coulisses de cette Engie avec Yacine dans les coulisses 2.
Depuis plus de quinze ans, la mélodie envoûtante de la 306 Maxi résonne grâce à Pascal Clairet, notre invité rallye. Passionné de sport automobile depuis 35 ans, il court avec une motivation inébranlable. Sur notre plateau, il nous réserve une annonce surprise, témoignant de sa persévérance et de son engagement constant dans le monde du rallye.
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00:00 [Musique]
00:16 Bonsoir à toutes et à tous, ravis de vous retrouver sur le plateau de Sports 7.
00:21 Sports 7 c'est toute l'activité sportive de votre département, tout ça en 42 minutes.
00:25 Et j'aime soigner mes intros, alors suivez-moi, le public est là, regardez.
00:30 Ce soir, 42 minutes sur le sport local, je vous demanderai de faire la tonnerre d'applaudissements
00:34 pour notre invité Laurent Pouig.
00:37 Vous êtes président de l'Open OG qui va commencer aujourd'hui ce soir.
00:41 C'est ça.
00:42 C'est ça, c'est quoi l'Open OG pour ceux qui ne connaissent pas ?
00:45 C'est un tournoi féminin de tennis.
00:47 Qui existe depuis ?
00:49 De nombreuses années, c'est la 14ème édition.
00:51 Avant c'était masculin, on est passé en féminin et voilà.
00:54 À côté de vous, Yacine Daoud.
00:56 Dans les coulisses de... On va parler de quoi avec vous ?
00:58 On est présentement, on restera dans la continuité, on va parler des coulisses de ce tournoi.
01:01 On aura des anecdotes et plein de choses à voir.
01:04 Celle qui fait lever toute la Noire, qui fait danser toute la Noire,
01:07 Catharina Beyes.
01:09 Bonsoir à tous, aujourd'hui on va découvrir Sports 7 en mode Super Bowl
01:13 avec Adam Curley à l'école de Joël Marieuch.
01:15 Oui, on n'a pas compris pourquoi Super Bowl, mais il nous en dira dans quelques instants.
01:18 À côté de vous, celui qui a mis sa tenue de soirée, sa plus belle tenue.
01:23 Comme d'hab.
01:24 Comme d'hab, on peut l'applaudir à l'igne en bardant.
01:26 Bonsoir.
01:27 Parlons club cette semaine.
01:28 Parlons club, on va à la rencontre et surtout à la découverte de l'histoire du case.
01:32 On va découvrir le case volet cette semaine.
01:35 Très bien, voilà.
01:37 Et on parlera aussi rallye dans quelques instants.
01:39 Vous verrez, on parlera d'une voiture emblématique.
01:42 Laurent Puig, effectivement, ma femme me dit, le rabat-châche est toujours bon.
01:48 Elle le dit.
01:49 Et c'est vrai qu'il faut répéter.
01:50 14e édition, on sait que ça arrive toujours à cette période-là.
01:53 C'est le tournoi féminin depuis 14 ans.
01:56 Mais qu'est-ce que c'est que ce tournoi Open NJ ?
01:58 Et ça concerne quel classement ?
02:01 Alors on a des joueuses de la 75e place mondiale à la 350e.
02:07 Elles sont en qualification aujourd'hui et demain.
02:10 Pour rentrer dans la tableau final, on a fait le tirage à midi.
02:13 Pour à peu près donner les places.
02:15 Alors aussi Anne Dodin qu'on voit à l'écran, la tenante du titre.
02:18 C'est elle qui est tête de l'édition numéro 1, 75e.
02:21 Elle a fait un beau parcours à l'Open d'Australie.
02:23 On a les images, mais vous pensez bien à nous, on adore le sport.
02:26 Gagnante de l'année dernière de cette édition.
02:29 C'était la première fois qu'elle le faisait, le tournoi ?
02:32 Non, elle était déjà venue.
02:34 Peut-être pas régulière, mais c'est la première fois qu'elle le remportait.
02:37 Elle était à Melbourne la semaine dernière, 8e de finale.
02:40 Elle est encore jet lag là.
02:41 Encore, encore, largement.
02:43 On va voir les images.
02:45 Elle a pris 75e mondiale.
02:47 Elle a fait un bon saut au classement.
02:50 Elle a perdu contre la finaliste quand même.
02:52 Il faut le dire quand même.
02:54 Ça s'applaudit.
02:55 C'est comme moi qui parle.
02:58 Les filles qui décident de venir faire ce tournoi,
03:04 elles ont une planification annuelle.
03:06 Elles se disent, on veut commencer notre saison,
03:08 parce que je pense qu'on est dans les premiers tournois de la saison,
03:10 pratiquement, fin janvier.
03:12 Au début février, on a envie de commencer par l'Open NJ.
03:15 Dans les sports individuels,
03:17 souvent vous avez un calendrier établi sur toute la saison,
03:20 quels que soient les sports.
03:22 En fonction de votre classement mondial,
03:24 vous allez pouvoir vous inscrire à telle ou telle épreuve.
03:26 Dans notre semaine, en face, fatalement,
03:29 il y a des tournois plus gros ailleurs à l'étranger.
03:31 Il se trouve que celui-là, 60 000 dollars,
03:34 ça paraît beaucoup sur le papier.
03:36 En anglais.
03:38 60 000 dollars, mais qui met 75 points à la WTA.
03:42 On a été un peu mieux reconnus également.
03:45 C'est une nouveauté, ça.
03:46 C'est une nouveauté, c'est une progression.
03:48 Donc, elles vont marquer plus de points au classement mondial cette semaine.
03:51 Ça nous a permis aussi de changer de date.
03:53 On n'est plus dans la deuxième semaine de l'Open NJ,
03:55 mais on est la semaine après.
03:57 C'est mieux pour vous ?
03:58 C'est mieux.
03:59 Justement, 14 ans d'évolution, d'édition,
04:01 c'est quoi que vous observez comme évolution ?
04:04 Moi, j'ai tout connu, c'est les lieux.
04:06 Ça paraît être changé de lieu.
04:07 Oui, alors on stabilise sur le lieu depuis quelques années,
04:10 grâce à la municipalité qui avait investi,
04:12 notamment à la centrale, directement sur place.
04:16 La deuxième chose, l'évolution,
04:17 on essaie d'habiller aussi le tournoi.
04:20 L'habiller, c'est quoi l'habiller ?
04:21 Tout au long de la semaine, pas dire,
04:22 il n'y a que des matchs à venir voir.
04:24 Donc, ça, ce n'est pas intéressant.
04:25 Il y a des animations.
04:26 Oui, il y en a quelques instants.
04:27 On y reviendra tout à l'heure.
04:29 Et bien sûr, modestement, notre ambition,
04:32 c'est d'essayer de devenir le tournoi phare féminin du tennis
04:36 dans la région Rhône-Alpes,
04:38 puisque Lyon a l'oeuvre.
04:40 Vous l'avez promis, vous m'avez dit que vous voulez changer.
04:42 Déjà, il faut changer de presse-monnaie.
04:43 Voilà, donc on va essayer de changer progressivement.
04:46 C'est malheureux, mais le tournoi de Lyon,
04:48 qui était gros, de Lyon,
04:50 qui était parrainé par Caroline Garcia,
04:53 est parti dans l'Est.
04:55 Donc, voilà, je pense qu'on a…
04:57 Il y a la place maintenant.
04:58 Il y a la place pour se positionner,
04:59 pour être le tournoi référent.
05:00 Juste pour revenir sur le cash price de 60 000 dollars,
05:02 comment ça se passe ?
05:03 Moi, oui, on va dire…
05:04 Tu veux parler d'OZ, il y a de l'argent.
05:05 En fait, il est revenu.
05:06 Parce que dans quelques instants,
05:07 on va parler de votre sujet dans les coulisses.
05:09 Il se donne, il me dit "elle gagne combien, 70 000 boules ?"
05:11 J'ai fait que chercher ça.
05:12 Pendant tout le reportage, je les ai cherchées.
05:14 Et ce n'est pas que pour elle.
05:15 Voilà, alors ça, je vais m'en savoir comment ça se passe.
05:16 C'est divisé.
05:17 Ce n'est pas pour une seule personne.
05:18 Alors, il y a 10 000 pour l'ensemble des filles
05:19 et 59 000 pour le tennis.
05:21 Club.
05:22 Non, je rigole.
05:23 Il va y avoir des problèmes.
05:24 En plus, j'ai pas les cashs, je le sens pas bon, là.
05:26 Non, 60 000, c'est la dotation totale
05:29 pour l'ensemble du plateau de joueuses.
05:31 Elles sont 70, double compris.
05:33 Ah oui, il y a les doubles aussi.
05:34 La partie double.
05:35 Alors la première, la vainqueur,
05:37 va gagner un peu plus de 8 000 euros.
05:39 Mais il faut savoir que c'est des divisions...
05:41 On a le chèque en images.
05:42 Voilà, c'est des divisions un petit peu inférieures.
05:44 Et il faut penser aux premières
05:46 qui vont perdre au premier tour.
05:48 Elles ont fait le déplacement,
05:49 c'est tout à leur charge, à leurs frais.
05:51 C'est le propre des sports individuels.
05:52 Je sais de quoi je parle.
05:54 Et Moralité, elle ne gagne même pas 100 $
05:58 quand elles vont se faire sortir au premier tour.
06:01 C'est un passage obligatoire pour faire sa progression.
06:03 C'est pour ça qu'il y a beaucoup de jeunes aussi.
06:05 C'est aussi ça, oui.
06:06 C'est une chance de faire un tournoi comme celui-ci.
06:08 Même si on se fait sortir au premier tour,
06:10 c'est qu'on a joué contre quelqu'un qui mérite d'être là.
06:12 Il y a des locaux qui vont être invités.
06:14 Comment ça s'appelle ? Les Karmes ?
06:16 On a un moment où je suis en train de vous parler.
06:18 Croisons les doigts que ça se passe bien pour elles.
06:19 Elle est sur le cours.
06:20 Nous avons Noemi.
06:22 Ah, Noemi, oui, qu'on interviewe.
06:24 De notre club qui fait sa préqualification.
06:27 Enfin, sa qualification.
06:29 Donc, c'est pas mal.
06:31 Il y a des wild cards.
06:32 Voilà, il y a une petite wild card.
06:33 Quand on va voir l'Instagram de Océane, Odin,
06:37 quand elle est suivie comme ça,
06:39 c'est une bonne notoriété pour ce tournoi ou pas ?
06:41 Absolument.
06:42 Elle est très suivie sur les réseaux.
06:43 En plus, avec ce qu'elle a fait à Melbourne,
06:45 ça donne une belle image, non ?
06:46 C'est une très belle image.
06:48 C'est surtout une fille qui a un talent fou.
06:51 Même s'il y a des belles images dans son Instagram, je viens de voir.
06:53 Qui a un talent fou, d'une part,
06:55 qui a été très forte, brillante,
06:57 puisqu'elle a été au mieux,
06:59 pas loin de la 40e mondiale,
07:01 elle avait même eu une sélection en Fête Cup.
07:05 Donc voilà, et après,
07:07 elle mène sa barque un petit peu,
07:09 vraiment, elle est la patronne de son métier.
07:11 Moi, j'apprécie énormément,
07:13 parce que c'est un peu le propre des sportifs.
07:14 Je crois, si je ne me trompe pas, dans le tableau,
07:16 j'ai cru voir que la gagnante de 2021 était présente.
07:18 Oui, Harmonie Tan.
07:19 Solide.
07:20 Avec une petite anecdote dont on parlait tout à l'heure.
07:23 En off ?
07:25 Harmonie Tan, elle a gagné le tournoi chez nous en 2021, effectivement.
07:28 Et en 2022, elle a quand même battu sur le cours central de Wimbledon,
07:31 Serena Williams.
07:33 Donc on porte un peu bonheur.
07:35 Je pense que la Loire porte bonheur.
07:36 Les gens ne passent pas assez souvent.
07:38 Alors, on va le voir, vous l'avez dit,
07:40 c'est aussi une grande fête du tennis et des écoles,
07:42 tout autour, tout au long de cette semaine.
07:44 En plus du Village VIP,
07:46 Katerina veut des places, mais il faudra voir directement avec nous.
07:49 C'est mon éco-sien.
07:51 Est-ce que ça va être les mêmes choses que l'année dernière ?
07:54 L'handi-fauteuil tennis, on peut avoir du paddle ?
07:58 Alors, non, mais l'handi-tennis, oui, et c'est dès demain.
08:02 On a des semi-professionnels qui viennent,
08:05 et c'est des jeunes de 6e qui vont venir s'initier à l'handi-tennis.
08:09 Alors au début, ils rigolent un petit peu, les petits jeunes,
08:11 et puis après, ils voient que c'est difficile.
08:12 Pourquoi tu ne regardes pas ?
08:13 Je pense que c'est le même, c'est trop aussi facile.
08:15 Ensuite, le mercredi, avec...
08:17 Bon, c'est pas grave,
08:19 on a le BNP Kids qui vient faire la promotion des écoles de tennis,
08:24 avec les présidents, les coachs.
08:27 Cette année, Laura Flessel ne peut pas...
08:30 La petite guêpe ?
08:31 La petite guêpe, elle ne peut pas pour des raisons professionnelles,
08:34 puisqu'elle est quand même très impliquée avec Paris 2024.
08:38 Ça arrive à petits pas.
08:39 Ça arrive tout doucement.
08:40 Du coup, notre marraine, qui sera là pour le jeudi,
08:43 c'est un tannoy féminin,
08:45 on a fait la journée de la femme depuis l'année dernière.
08:47 Donc, on fait venir notre marraine,
08:50 une ancienne sportive.
08:51 C'est facile pour moi,
08:53 il s'agit d'une ancienne joueuse professionnelle de golf,
08:55 qui a joué sur le circuit américain,
08:58 qui a gagné sur le circuit européen,
09:00 qui était numéro 1 française.
09:01 C'est qui ?
09:02 Sophie Gickel, qui commente à Canal+.
09:05 Elle s'est reconvertie,
09:07 elle a fait un coaching en entreprise.
09:08 Elle a été formée ici.
09:09 Elle a été formée ici, par Julien.
09:15 Et surtout, elle a fait une intervention auprès des lycéennes,
09:18 avec le lycée Moriac, en partenariat,
09:20 sur la place de la femme, la parité,
09:22 la reconversion aussi dans le monde du sport.
09:24 On retrouve tout ça, le programme, sur le site.
09:25 Ça va de soi ?
09:26 Absolument.
09:27 Il y a beaucoup de bénévoles.
09:29 C'est grâce à ça que le tournoi tourne.
09:30 Beaucoup de monde qui gravite autour.
09:32 Et pour le prouver, Yacine.
09:34 Exactement.
09:35 Moi, j'étais sur place,
09:36 et je peux vous dire qu'il y a beaucoup de monde qui gravite autour.
09:38 Et en plus, pendant une longue période,
09:39 une bonne semaine de préparation,
09:40 même plus pour les partenaires,
09:42 il y a de la communication.
09:44 Il y a des nettoyages,
09:45 parce qu'il y a des surfaces à nettoyer.
09:46 Un terrain, c'est pas...
09:47 Et c'est dans quelques instants, tout de suite après,
09:48 cette petite gavel.
09:49 Exactement.
09:50 Alors, je vous fais grâce,
09:56 à chaque fois, il veut commencer sa chronique
09:58 par une citation.
09:59 Là, c'est vous qui avez la main.
10:00 Là, vous avez la main.
10:01 Soit on choisit une citation de Maria Sharapova,
10:03 une petite joueuse,
10:04 qui a fait une petite carrière.
10:05 Pas très connue.
10:06 Ou du grand poète Yacine Daoud.
10:08 C'est vous qui choisissez.
10:10 On va prendre Yacine, c'est quand même mieux.
10:12 Ça me paraît beaucoup plus sympa.
10:14 Non, je veux dire celle de mariage.
10:16 Elle, elle dit que le tennis,
10:21 c'est une danse avec la balle,
10:22 une harmonie entre la puissance et la grâce.
10:24 C'est vrai.
10:25 Moi, j'ai trouvé mieux.
10:26 Quand je voyais les soeurs Williams,
10:27 je trouvais qu'il y avait de la grâce.
10:28 Exactement.
10:29 Mais moi, je dis que...
10:30 Il est lourd !
10:31 Je dis que la vie, c'est comme le tennis.
10:33 Il faut savoir donner pour recevoir.
10:35 Et peu importe les revers,
10:36 il faut toujours rendre service.
10:38 Oh !
10:39 Je vous promets,
10:41 je vous promets.
10:42 Il ne manque pas à chaque GPT.
10:44 C'est dans sa tête.
10:45 Moi, de 17 ans, c'est la meilleure.
10:47 Oui, franchement.
10:48 En fait, c'est celle qui a été un peu travaillée.
10:50 Ça se voit.
10:51 Elle veut vraiment dire quelque chose.
10:53 Alors, lundi dernier,
10:55 déjà, vous étiez sur les cours.
10:57 J'y étais.
10:58 Grosse préparation.
10:59 On a pu voir des entraînements.
11:01 Mais on a pu voir aussi
11:02 toutes les équipes se mettre autour.
11:03 Le son, la lumière, le nettoyage,
11:05 le chargé de communication.
11:07 Tout ça se met en place.
11:08 On peut le voir et on en discute un petit peu après.
11:09 Mais on regarde le sujet.
11:11 Les amis, on se retrouve aujourd'hui
11:12 au tennis club d'Andrézieu Boutéon
11:14 pour l'ENGIE Open édition 2024.
11:16 Si vous voulez voir les coulisses d'un tel événement,
11:18 suivez-moi.
11:19 Alors Stéphane, qu'est-ce que tu peux nous dire
11:24 sur ces bels événements,
11:25 cette préparation ?
11:26 Pour la quatrième année consécutive,
11:27 une organisation entre le tennis club d'Andrézieu Boutéon
11:29 et la ville d'Andrézieu Boutéon
11:31 pour l'accueil d'un tournoi international féminin
11:33 avec des joueuses qui arrivent d'Australie.
11:36 Et pour cette préparation,
11:37 alors toi, tu me proposes d'aller voir qui ?
11:38 Parce que ça en fait du monde.
11:39 Oui, il y a beaucoup de personnes.
11:40 Il y a le directeur du tournoi,
11:41 il y a la chargée de com',
11:43 il y a l'équipe qui s'est occupée également
11:44 de tout le ménage.
11:45 C'est toute une organisation en effet
11:47 pour arriver le jour J où tout soit prêt.
11:50 Et c'est qui les partenaires ?
11:52 C'est nous !
11:53 Qu'est-ce que tu es en train de faire ?
11:54 Je vois que c'est une grosse baffe là.
11:55 On installe le son pour le tennis
11:57 pour toute la semaine.
11:58 Il y a combien de baffes à peu près ?
12:00 On va installer quatre enceintes
12:02 pour sonoriser tout ça.
12:03 On est sur la quatorzième édition de cet ENGIE Open
12:05 avec des joueurs qui ont participé au grand chelem
12:08 et avec un cash price final de 60 000 dollars.
12:10 J'adore embêter les gens pendant leur travail.
12:12 Ça ne m'embête pas.
12:14 Qu'est-ce que vous faites ici ?
12:16 Je vois que vous passez l'aspirateur.
12:17 Ce n'est pas trop dur de s'occuper d'une si grande surface ?
12:19 Nous, on est la société SBN.
12:21 On intervient avant le tournoi
12:23 et pendant le tournoi,
12:25 on nettoie l'intérieur des salles,
12:27 les vestiaires, tout ça.
12:29 C'est bien comme ça ?
12:31 Dommage que c'est un tournoi féminin,
12:32 sinon ça là, c'était pour moi.
12:34 Thomas, dis-nous, ce qu'on fait ici,
12:36 c'est dans ce bel endroit qui a l'air très particulier.
12:38 Là, c'est la tente VIP.
12:39 C'est là où tous les partenaires vont se rejoindre
12:41 durant le tournoi.
12:42 Là, on est en train d'installer le mobilier,
12:44 la sonorisation, la télé pour transmettre les matchs en direct.
12:47 Puis la scène où va avoir lieu des discourses
12:50 durant les soirées partenaires, les soirées présidents, etc.
12:52 06, 65.
12:55 Tout à fait, je suis en train de mettre mon numéro de téléphone.
12:57 J'ai entendu qu'il pouvait y avoir des aléas,
12:59 par exemple un filet qui casse.
13:00 Comment ça se passe ?
13:01 On essaie de parer à toute éventualité.
13:03 On essaie d'avoir un filet de rechange,
13:06 on essaie d'avoir des sangles de rechange.
13:07 On essaie d'être prêt au maximum.
13:09 Alors moi, c'est effectivement la première année où je suis là.
13:15 Et moi, mon rôle, c'est de m'occuper au mieux des réseaux sociaux.
13:18 J'essaie d'être très présente sur Instagram et Facebook.
13:21 J'ai fait gagner deux places VIP.
13:23 Mon objectif, c'est de les faire monter au mieux
13:25 pour avoir plus de monde.
13:27 Excusez-moi, les gars.
13:29 C'est ici l'Angie Open 2024 ?
13:32 Ah, l'Angie Open, c'est les féminins et c'est du tennis.
13:36 Ah d'accord, ok.
13:37 Désolé, je me disais que les raquettes, ça faisait des bizarres.
13:40 On sort de leur...
13:42 On dit Angie, du coup.
13:44 On dit pas Angie.
13:45 Angie, c'est la chanson.
13:46 Angie, c'est la chanson.
13:47 Qu'est-ce qui vous a surpris ?
13:49 Les 60 000 dollars.
13:50 Il s'est bloqué sur ça.
13:53 Il s'est bloqué là-dessus.
13:54 Non, ce qui m'a surpris, c'est encore une fois l'organisation,
13:56 et puis l'attrait des bénévoles, et puis leur engouement.
13:59 On a vu qu'ils ont monté carrément un chapiteau à l'extérieur
14:02 sur le terrain de padeule.
14:05 C'est incroyable.
14:06 Il y a vraiment une structure qui se met en place pour tout l'événement.
14:08 C'est un gros festival.
14:09 Vous n'êtes pas surpris, vous vous êtes habitués.
14:12 Oui, on est habitué.
14:13 Non, mais l'idée, c'était de donner un petit peu plus de coffre à cet événement.
14:17 Je pense que c'est bien d'avoir un espace VIP pour nos partenaires,
14:20 de faire du réceptif.
14:21 Encore une fois, ça va dans la continuité un peu toute cette semaine.
14:25 Et la sur la vie de la com' en plus aussi.
14:28 C'est vrai qu'elle fait du très bon fri...
14:30 Elle s'appelle comment ?
14:31 Marie, je crois.
14:33 Marie, je crois.
14:34 Je ne suis pas sûr.
14:35 Est-ce qu'on a le temps, Julien, pour quelques petites anecdotes tennis très légers ?
14:38 Oui, attention, Laurent connaît tout parfait.
14:40 On ne dit pas n'importe quoi.
14:41 On va tous vous tester.
14:42 Allez, main sur le buzzer, on y va.
14:43 Vous êtes prêts ?
14:44 Je suis chaud.
14:45 Le plus long match de l'histoire, est-ce que vous savez ?
14:47 Et là, vous pouvez y aller.
14:48 Franchement, le plus long match de l'histoire, c'était en 2010 à Wimbledon.
14:51 Oui, il y avait un Français dedans, et ça doit être autour de 23 heures.
14:56 Non, non, non, moins, moins.
14:58 En fait, oui, 23 heures, parce qu'en fait, c'est 11 heures, mais il a duré sur 3 jours.
15:02 C'est un match qui a duré 3 jours.
15:04 Je croyais que c'était chez les filles, mais oui.
15:06 Ce n'était pas de Français d'ailleurs ?
15:08 C'était Mahut contre Iner.
15:10 Isner, Isner, un grand.
15:12 Non, ne prononce pas le "s".
15:14 Je crois qu'il a perdu d'ailleurs.
15:15 Pour Iner.
15:16 Pas pour Iner.
15:17 Allez, on y va.
15:18 Le score, 15-30-40, pourquoi ?
15:21 Vous n'êtes jamais posé la question, pourquoi on dit 15-0, 30-0 ?
15:24 Parce que ça fait classe ?
15:25 Non, parce qu'à l'époque, à chaque point, on avançait du 15 pieds, 30 pieds, puis 40 pieds pour servir.
15:32 C'est pas mal.
15:33 Et ça, c'est pas mal.
15:34 Mais on arrêtait parce qu'après, ils étaient trop proches du fleuve.
15:36 C'est des catastrophes.
15:38 C'est même une catastrophe.
15:39 Et la dernière, vous savez pourquoi les balles sont jaunes ?
15:41 Pour mieux les voir.
15:42 Exactement, mais plus précis.
15:44 Dans la neige.
15:45 Pour mieux jouer dans la neige.
15:46 C'était pour mieux les voir sur les écrans en noir et blanc, dans les années 70.
15:49 C'était la couleur qui ressortait le mieux, et depuis, c'est devenu officiel.
15:52 Bravo à vous.
15:54 Un fils à voir.
15:55 Bien joué.
15:56 C'est pas mal.
15:57 C'est pas mal.
15:58 C'est pas mal.
15:59 Il y a le central, mais il y a aussi le centre à l'intérieur.
16:02 Oui, voilà, on a vu le central.
16:03 On a deux terrains où elle s'échauffe, c'est la même surface, et après on a le cours central, 1 et 2.
16:09 Donc, on joue sur trois cours vraiment les matchs, plus deux pour s'échauffer.
16:13 Et la finale, forcément ?
16:14 La finale, dimanche, à partir de 14h30.
16:16 14h ?
16:17 30.
16:18 30 ? Ouais, mais 14h pour le VIP.
16:20 Pour prendre des petits coups et manger un peu.
16:22 Celle qui se voit énormément, que ce soit une télé en noir et blanc ou en couleur, c'était Katharina.
16:28 Et vous allez voir, ça envoie du steak aujourd'hui.
16:31 Alors, elle m'a dit "Junia, je vais commencer en chantant".
16:39 Je n'ai plus la main sur cette émission.
16:42 C'est l'essentiel aujourd'hui.
16:43 On va chanter ?
16:44 Non, quand même.
16:46 C'est vaut mieux pas pour nos téléspectateurs.
16:48 On va fêter l'angoisse d'un an.
16:50 Comment c'est que cette musique ?
16:52 Elle est comme ça.
16:54 Donc là, je vous donne deux indices.
16:56 Super Bowl et Rihanna.
16:57 C'est deux indices sur la danse d'aujourd'hui.
16:59 Est-ce que ça vous parle ?
17:01 C'est pas de la bachata ?
17:03 Non, pas de la bachata.
17:05 Je ne sais pas, la castille ?
17:07 La disco girlie.
17:09 Girlie, exactement.
17:11 Une musique girlie ?
17:12 Aujourd'hui, on va parler de la danse girlie.
17:14 Bien sûr.
17:15 Une danse composée de jazz, de hip-hop et de contemporain.
17:18 Je suis allée à l'école de Joël Méliot.
17:20 Rihanna est enceinte.
17:22 Elle annonçait ça quand ça se...
17:24 Ça, c'est de la danse girlie.
17:26 Ça, c'est de la danse girlie.
17:28 Le fitu, ça vous gère.
17:30 Ils s'ambiancent.
17:32 Ça, c'est de la danse girlie ?
17:33 Oui, c'est de la danse girlie.
17:34 Il y a qui dans le package des girlies ?
17:36 Dans le package des girlies, il y a le jazz,
17:38 il y a le hip-hop et le contemporain.
17:40 C'est propre à Rihanna ou il y a d'autres personnes ?
17:42 Non, il y a d'autres personnes.
17:44 Rihanna l'exploite beaucoup.
17:45 Il y a Beyoncé, Pépi.
17:47 Oui, exactement.
17:49 C'est super inclusif comme danse.
17:51 Oui, c'est super inclusif.
17:53 Je vais répondre à ça juste après.
17:55 On regarde d'abord.
17:56 Je suis allée à l'école de Joël Méliot qui propose cette danse.
17:58 Elle est connue notamment pour la danse classique.
18:00 En centre-ville de Saint-Etienne.
18:01 En centre-ville de Saint-Etienne, exactement.
18:03 Moi, j'étais allé une fois, j'avais fait des techniques de pointe.
18:05 On va voir ce qui te restera.
18:07 Elle est là.
18:08 Elle est là, je vais te tester.
18:09 Elle est avec son bâton, même.
18:10 On regarde le sujet.
18:12 Aujourd'hui, on se retrouve à l'école de Joël Méliot à Saint-Etienne.
18:20 Non pas pour la danse classique, vous allez le voir, mais pour la danse girlie.
18:24 Et ce n'est pas que du rose.
18:25 Venez avec moi.
18:26 Melinda, ça fait 9 ans que tu enseignes le girlie.
18:33 C'est bien ça.
18:34 Explique-nous un petit peu ce que c'est.
18:35 Pour moi, le girlie, c'est une pratique de danse qui mêle la féminité et le dynamisme.
18:41 Les filles, quand elles viennent prendre un cours de girlie,
18:45 elles sont là pour s'amuser avant tout, s'affirmer, prendre confiance en elles.
18:49 Et comment s'est né le girlie ?
18:51 Le girlie, c'est en fait, de la base, c'est le modern jazz qui a été modernisé.
18:56 Surtout avec l'affluence des groupes de musique, des chanteuses.
19:01 Zerriana, tout à l'heure, l'équipe un peu…
19:03 Voilà, exactement.
19:04 Avec aussi énormément l'application TikTok qui a énormément joué aussi.
19:09 Et du coup, ça vient de là.
19:11 Bon, on va voir ça.
19:12 Là, je n'arrive pas à faire le rond.
19:23 Tu décales à droite, tu passes devant et on tourne.
19:26 Et hop, voilà, c'est ça.
19:27 J'avais besoin d'un petit ajustement.
19:29 Je vais m'abstenir, je pense.
19:36 C'était bien à la partie du début, on allait doucement, tout ça.
19:39 On va aller voir Hermione.
19:42 Ça fait combien de temps que tu fais du girlie ?
19:44 Ça fait à peu près 5 ans que j'en fais.
19:47 Et qu'est-ce que t'aimes bien ?
19:48 Ça donne confiance en soi et c'est un moyen aussi de s'exprimer.
19:53 Autre chose que le classique ou le modern jazz qu'on a l'habitude de voir.
19:57 On va s'étirer un petit peu avec toi, Pauline.
20:03 Ça fait combien de temps que tu fais du girlie ?
20:05 C'est ma première année, moi, ici.
20:07 Et comme tu es dans une phase d'adolescence,
20:10 est-ce que ça t'aide à t'accepter dans ton corps, à s'affirmer ?
20:14 Oui, parce que la danse, c'est un moyen de s'exprimer,
20:17 d'extérioriser tout ce qu'on a pu accumuler.
20:19 Je trouve que c'est un bon moyen.
20:21 Vous l'aurez compris, si vous voulez danser comme les stars du Super Bowl,
20:27 Rihanna, Katy Perry ou Beyoncé, c'est du girlie qu'il faut que vous fassiez.
20:31 Je suis sûre qu'il y a un club près de chez vous, venez tester.
20:33 On a une tonne de questions.
20:45 C'est vrai que c'est des mouvements très…
20:49 Il y a ce côté fluide, il y a aussi ce côté sensuel, féminin,
20:53 de l'assurance aussi.
20:54 Comme on disait, je reviens dessus, Julien,
20:57 les adolescentes, on a un corps qui change, etc.
21:00 Ce genre de danse permet de s'affirmer.
21:02 Les adolescentes, excuse-moi, les adolescents, mon fils est en train de changer.
21:07 Peuvent s'affirmer avec le girlie ?
21:11 La danse girlie, ça renvoie au côté féminin, le côté sexy, etc.
21:15 Et rose ?
21:16 Et rose, mais ce n'est pas que du rose, comme je l'ai dit dans l'illustration.
21:19 Ça dépend de l'interprétation.
21:21 Vous allez là, c'est votre bleu, juste derrière vous.
21:25 On a des danses qui peuvent être tout à fait faites par des garçons.
21:29 Ça dépend de l'interprétation.
21:31 D'accord.
21:32 Donc là, les doudounes blanches que Rihanna avait au Super Bowl,
21:35 oui, il y a des hommes.
21:36 Oui, voilà.
21:37 En tout cas, vous, il n'y avait que des femmes dans la salle.
21:39 Là, pour le coup, il n'y avait que des femmes, mais les hommes sont les bienvenus.
21:43 Je la connais un petit peu, Joël Mérieux.
21:45 Je croyais qu'il allait dire Rihanna.
21:47 Je peux pas tout dire, mais...
21:51 Elle est venue à mon anniversaire.
21:53 Elle était pas enceinte pour lui.
21:55 Comment on peut passer de la danse classique à ça ?
21:58 Ça n'a rien à voir de danse classique.
22:00 On va lui poser la question, justement.
22:02 Elle sera là ?
22:03 Eh oui, elle sera là à la démonstration.
22:06 Vous allez voir, je vais lui poser cette question-là.
22:09 Il ne faut pas se poyer.
22:10 Parce qu'à la fin d'émission, il y a des mots.
22:12 Oui, il faut être plus attentif.
22:14 Eh les gars, vous avez le temps de plafond.
22:16 On a 9 mètres, les plateformes vont descendre.
22:18 Le girlish, c'est une danse qui a vraiment évolué avec les années.
22:21 Et puis du coup, l'influence des clips de Rihanna.
22:24 Laurent Pouy, quand on voit ça, on a envie d'aller sur Dancefloor ou pas ?
22:26 Ça me fait penser à Carlos quand il était jeune.
22:29 Après, non, moi je ne m'y vois pas vraiment.
22:32 On essayera tous les deux.
22:34 Il faut essayer.
22:35 Il faut essayer pour savoir.
22:36 Il y a des championnats liés à cette danse, comme dit des fois.
22:39 Non mais je ne sais pas, il y a des danses que je joue, il y a des championnats.
22:41 Avec des concours.
22:42 Vous pourrez ouvrir l'Open NJ avec ça.
22:45 Ça pourrait être intéressant.
22:47 Vous allez pouvoir faire affaire avec Joël.
22:49 Juste avant la finale.
22:51 Et à la mi-temps.
22:52 Ah non, il n'y a pas de mi-temps.
22:53 Peut-être pas.
22:54 Entre deux sets.
22:57 Ils sont présents sur la Croix.
23:00 Merci à vous.
23:01 On va l'inviter à l'NJ pour voir.
23:04 Elle me dira si c'est potentiellement possible.
23:06 En noir et blanc, on la voit super bien à la télé.
23:08 Ils sont présents.
23:09 Vous n'allez pas loin.
23:10 Vous y étiez votre place dans quelques instants.
23:12 Notre spécialiste à rallye, ils sont là, sur la Croix.
23:14 Faites coucou.
23:15 Jean-Louis, vous êtes prêt ?
23:16 Ça va aller très vite.
23:17 Merci beaucoup.
23:18 Vous allez voir tout de suite après cette petite virgule.
23:25 Alors Jean-Louis, ça fait un moment que vous me parlez de secrets.
23:29 Il ne veut pas venir avec un secret.
23:31 Quel secret ?
23:32 D'abord, on applaudit très fort Pascal Cléret.
23:34 Bonsoir Pascal.
23:35 Ça faisait longtemps que je voulais t'inviter Pascal.
23:38 Et puis Pascal m'a dit, oui mais bon, attends un petit peu.
23:41 Parce que j'ai peut-être une annonce à faire.
23:43 Ça fait un an qu'on attend.
23:45 Il y a une petite annonce surprise, mais on ne va pas la donner tout de suite.
23:47 Et c'est Rihanna qui fait l'ouverture.
23:51 Qui fait un danse girly.
23:52 Alors il faut savoir que Pascal roule avec une voiture mythique.
23:55 On va en parler, mais on va surtout l'écouter.
23:57 On va l'écouter tout de suite, parce qu'on a un joli son que vous allez entendre.
24:00 C'est un son mythique.
24:01 C'est la 306 Maxi, avec un 2 litres atmosphérique.
24:04 Donc une voiture mythique.
24:05 Avec la 4 de Pascal.
24:07 Toi tu roules depuis 2006 maintenant.
24:09 Donc ça c'est une voiture, tu as fait énormément de rallye avec.
24:13 Est-ce que ça reste encore un rêve éveillé pour toi ?
24:15 Oui, c'est toujours un plaisir de rouler avec cette voiture.
24:19 Pour le moment, il n'y a pas autre chose que je trouve qui est plaisante à conduire.
24:25 Mais pourquoi ? C'est quoi la tenue de route, le bruit ?
24:27 Comment le bruit on l'entend ?
24:28 Le bruit c'est vivant, ça bouge.
24:30 D'Argentina ça c'est vivant.
24:34 Moi c'est une voiture que j'allais voir quand j'étais jeune au bord de la route,
24:39 qui me faisait rêver.
24:40 Quand vous étiez jeune.
24:41 Mais attends, la 306 Maxi c'est ?
24:43 Elle a commencé en 1995.
24:45 Ah oui, je ne pensais pas que c'était si vieux.
24:48 Elle est de 1995.
24:50 Pascal, est-ce que tu peux nous la décrire techniquement ?
24:53 C'est 300 chevaux sur les roues à 20.
24:56 C'est tout ?
24:57 Le poids c'est 1 tonne 20.
24:59 Après il y a les roues 18 dessus.
25:04 Boîte 6, boîte 7.
25:06 Elle a existé en boîte 7 ?
25:07 Oui, les vraies usines avaient la boîte 7.
25:10 C'est une boîte X-TRAC séquentielle.
25:13 On tire pour monter les vitesses et on pousse pour les descendre.
25:16 Pas mal ça.
25:17 On ne sert pas de l'embrayage en fait.
25:19 Vous l'avez eue en quelle année ?
25:20 Je l'ai achetée en 2007.
25:22 Ah ouais, 2007.
25:23 Ce n'est pas en 2006 non ?
25:24 Non, en 2006 j'ai gagné mon Brison avec une location.
25:28 La dernière qui était championne de France,
25:30 je crois que Jean-Marie Cuoc m'avait louée.
25:32 Oui.
25:33 Donc il ne faut pas lui la faire.
25:35 Donc tu avais bien roulé en 2006.
25:37 Oui, oui, oui, exact.
25:38 J'étais venu à TL7 à Andrézieux.
25:40 J'avais été invité.
25:41 Alors aujourd'hui, tu es le seul par chez nous à courir avec ce genre de voiture.
25:45 Donc ça veut dire qu'il y a certaines contraintes quand même à rouler avec cette voiture.
25:48 J'ai entendu parce que pour l'avoir vue l'autre fois à Saint-Éloch,
25:52 on dit pour la faire tourner.
25:54 C'est quoi ? C'est des coups d'exploitation ?
25:56 J'en avais vu une à Saint-Éloch ?
25:57 Oui, il y en a une.
25:58 Dans le couloir.
25:59 Oui, il y en a une.
26:00 Il y a un moment qu'elle y est.
26:03 Ça fait un moment.
26:04 Oui, ça coûte cher à faire rouler.
26:07 Parce que tous les 1000 km, il faut réviser le moteur.
26:09 Ah ouais, ça va vite quand même.
26:11 5000 km de chrono.
26:13 Il faut savoir qu'un rallye national en moyenne, c'est 120-130 km.
26:17 Et un régional, c'est 40.
26:19 Donc les révisions coûtent cher.
26:22 Et puis pareil, l'entretien, la boîte à vitesses et l'embrayage.
26:25 Et les pièces, elles sont un peu rares, non ?
26:27 Le moteur, non.
26:28 Mais après, il y a des pièces, oui.
26:30 Les boîtes à vitesses, c'est introuvable.
26:33 Ah ouais ?
26:34 Oui, ça devient introuvable.
26:35 Jean-Luc n'aime pas de passer des boîtes à vitesses à chaque...
26:37 C'est pas le même fournisseur.
26:39 C'est un fouillon ?
26:40 Oui, mais il a un bon fournisseur.
26:42 Et puis voilà, elles se font plus, en fait, ces pièces-là.
26:45 C'est compliqué, oui.
26:48 Avec cette voiture, beaucoup de podium scratch.
26:50 Un classement général, évidemment.
26:52 Quelques victoires scratch également, notamment au Mont-Bruisonnais.
26:55 Plusieurs fois au Mont-Bruisonnais.
26:56 Quelle est la victoire qui t'a le plus marqué, en fait ?
26:59 En 2006, la première fois que j'ai gagné.
27:02 C'était mon premier scratch.
27:03 Et puis avec le plateau qu'il y avait, j'aurais jamais dû gagner.
27:07 Il y avait quatre WRC.
27:09 Elles ont toutes abandonnées.
27:11 Donc j'aurais jamais dû gagner.
27:13 Et puis après, c'est pas vraiment une victoire.
27:16 J'ai un souvenir qui me restera toujours.
27:20 Au Rallye des Noirs, il y avait David Salanon,
27:24 il y avait Jean-Marie Cuyoc et Cédric Robert avec une Clio ER3.
27:28 La grosse team.
27:29 Et ça, c'est fini.
27:31 Et ça, c'est fini.
27:32 David Salanon a gagné avec la 207, Jean-Marie avec la 306.
27:36 Parce qu'ils faisaient une confrontation.
27:38 306, 207.
27:41 Et moi, j'ai réussi à tenir Cédric Robert qui était avec la Clio ER3.
27:45 Et j'ai fini troisième.
27:47 Donc une belle performance.
27:48 Donc là, j'étais content parce qu'il y avait trois personnes autour de moi
27:52 qui sont quand même des références.
27:54 Alors je connais Jean-Louis, et je sais que Jean-Louis aime bien revenir sur le passé.
27:57 On vous connaît un petit peu.
27:59 Pascal me connaît bien aussi.
28:00 Il sait que je suis nostalgique.
28:01 Et on va parler un petit peu de la BMW.
28:03 C'était presque ta première voiture.
28:05 T'as démarré avec une GT Turbo.
28:06 On a la VHS. Est-ce que vous pouvez nous mettre la VHS ?
28:09 Voilà, c'est des photos.
28:11 Avec un appareil jetable peut-être à l'époque.
28:13 C'était construit par mes propres mains.
28:16 C'est vrai ?
28:17 Oui, j'ai tout fait sur cette voiture.
28:19 Qu'est-ce qu'elle est belle cette voiture ?
28:20 Tout, tout, tout.
28:21 En fait, il n'y avait que le toit, les quatre montants qui étaient en tôle.
28:24 Tout le reste était en polyester.
28:26 Complètement tout en polyester.
28:27 Alors attendez, vous avez commencé avec une propulsion.
28:30 J'ai roulé 13 ans en propulsion.
28:32 Et vous avez fini avec une traction.
28:33 Oui.
28:34 Ça se pilote pareil, on est d'accord ?
28:36 À part qu'on n'est pas dans le bon sens.
28:37 Voilà.
28:38 Je tiens à dire, je vais le dire en place de Pascal, il ne va pas le dire lui-même.
28:41 C'est qu'il a vraiment un style très, très propre.
28:43 Quand on le voit passer, on se dit « waouh, il sait vraiment ce qu'il fait ».
28:46 Vous ne nous avez pas sélectionné des passages ?
28:48 Pascal, c'est quelqu'un, on a vu pas mal de passages avec la GT6 Maxi.
28:50 On peut en revoir également.
28:51 C'est vraiment quelqu'un de très sûr en termes de pilotage.
28:55 Et des sorties de route, il n'y en a pas eu beaucoup, franchement.
28:57 Moi, je ne me souviens pas beaucoup à part la BMW.
28:59 Vous n'abimez pas trop la route pour les autres, c'est bien ça.
29:02 Les pneus sont propres à la fin.
29:04 Non, il les sollicite, il fait quand même des très bons chronos.
29:07 Donc c'est vraiment un excellent pilote.
29:09 Après, c'est clair que conduire propre, ça paye.
29:11 Ça a toujours payé.
29:12 C'est quelqu'un de très concentré.
29:13 On l'a vu ce week-end au Monte-Carlo.
29:16 Il faut voir comment faire un poule propre.
29:19 C'est millimétré, c'est…
29:21 Voilà.
29:22 Bon alors maintenant, on va enfin révéler la surprise.
29:26 La surprise, wow, Yuza !
29:28 Tu peux finir sur la 306, Maxime, parce que j'adore ça.
29:30 Elle va passer dans le domaine voiture de collection ?
29:33 Oui, elle va passer en VHC.
29:35 Vous en faites quoi ?
29:36 Pour le moment, je reste en modem.
29:37 Où est la Satéloc ?
29:38 Celle de Satéloc, je sais qu'elle était à vendre.
29:41 Elle n'est pas encore prête pour passer en VH, hein, Pascal.
29:44 Non, non, c'est au bout de 30 ans, je crois.
29:46 Oui, alors il y a des périodes qui se libèrent.
29:48 Il y a des périodes qui se libèrent, oui.
29:49 On ne sait pas trop encore…
29:50 Là, il va y avoir les escorts qui vont arriver, les chiroits.
29:52 Oui, c'est pas mal, ça.
29:53 Les chiroits qui arrivent, oui.
29:54 Les voitures à partir de 1991.
29:56 Elles vont arriver.
29:57 Et après, nous, on arrivera derrière, les Mégane, les Kickers…
29:59 Est-ce que ça vaut des petits sous sous, maintenant ?
30:01 200 000, je crois que j'ai regardé la code sur le bon coin, là.
30:05 Ça dépend de l'historique, du pan de marée.
30:08 Mais c'est vrai que ce sont des voitures très très chères.
30:10 Bon, allez, on ne peut plus attendre.
30:11 Oui, cadeau, cadeau, cadeau !
30:12 Je voulais en savoir, parce qu'il ne l'a pas encore.
30:14 J'ai annoncé une mariage, j'ai annoncé une joie de anniversaire.
30:17 C'est une citation.
30:18 C'est une nouvelle citation que j'ai créée, à l'instant.
30:21 Bonne année, sans prendre en compte.
30:23 Je le vois, là, il trépide.
30:24 Pascal, ça semble à une nouvelle exhibition, ça.
30:26 Je voulais remiser la 306, moins rouler avec.
30:29 Et puis, chercher une auto.
30:30 Et puis, j'avais commencé à regarder pour acheter une Porsche, une GT+.
30:34 Ah oui, c'est vrai, ça.
30:35 Parce que ça me plaît bien aussi, parce que c'est sympa à conduire.
30:38 Et puis, le prix était dans mes cordes.
30:42 Et le bruit est grisant, aussi.
30:44 C'est vraiment…
30:45 C'est la même lignée qu'à la 306.
30:47 Et on remet ses amours avec, quand même.
30:49 C'est deux voitures, c'est un bruit, c'est magique.
30:52 Et alors, c'est ça, c'est une Porsche ?
30:53 Et puis, non, ça n'a pas fait.
30:54 On me dit, il y a une Fiat Bravo sur le pont, c'est la haute.
30:57 J'ai un ami qui avait une Skoda à vendre.
31:00 Je l'ai appelée parce que j'ai demandé si il la vendait,
31:02 parce qu'il avait acheté une autre voiture.
31:03 Il m'a dit, oui, oui, je la vends, et on est tombés d'accord.
31:06 Une R5 ?
31:08 Voilà, une Skoda R5.
31:09 On l'appelle maintenant Skoda Rally 2.
31:11 Donc, on a quelques images de Skoda Rally 2.
31:13 C'est une ancienne génération, mais bon, ça reste...
31:15 C'est quoi, c'est pas celle-ci exactement ?
31:17 C'est pas les nouvelles générations, les RS.
31:19 Maintenant, ils sont sortis les RS, les nouvelles.
31:21 Alors, qu'est-ce qui...
31:22 Comment tu as fait ce choix, en fait ?
31:24 Qu'est-ce qui t'a finalement fait vers cette voiture ?
31:26 Parce que je ne savais pas trop quoi acheter.
31:28 Et puis, l'ami qui me la vend, je sais qui c'est,
31:32 donc je le connais par cœur.
31:33 Bien entretenu, c'est ça.
31:34 Voilà, il l'avait cassée à Montbrison,
31:36 et il l'a refaite entièrement neuve.
31:38 Donc, j'ai été la voir, et je lui fais entièrement...
31:41 Vous l'avez vue, mais est-ce que vous avez fait des petits tours avec ?
31:43 Non, non, pas encore.
31:44 Ah, mais vous n'avez toujours pas roulé avec ?
31:45 Non, elle n'était pas finie.
31:46 C'est dur.
31:47 Vous imaginez que moi, je suis sur un VTT, là.
31:49 J'ai dit, je ne l'achète pas tant que je n'ai pas testé.
31:51 Alors, je ne sais pas d'où vous faites, vous.
31:52 C'est la seule voiture avec laquelle je n'ai pas roulé.
31:54 J'ai essayé presque toutes les voitures.
31:56 Et alors, elle est dans le garage ou pas ?
31:57 Les WRC, j'ai roulé avec la 307,
31:59 j'ai roulé avec la Azzara,
32:01 j'ai roulé avec la Fiesta WRC,
32:03 en Clio R3, Clio Super 1600.
32:07 Et elle, vous allez la tester quand ?
32:09 Je n'ai jamais roulé avec.
32:10 Moi, je n'y connais rien.
32:11 Ça va avec quoi, la différence avec la 306 Maxi ?
32:13 C'est 4 roues motrices,
32:15 et c'est 300 chevaux,
32:17 et puis c'est des voitures récentes.
32:19 Combien de chevaux, vous avez dit ?
32:20 300 chevaux à peu près, autant que la 306.
32:22 Donc, tu l'as dit, tu as roulé déjà en WRC,
32:25 avec des WRC qui étaient déjà en 4 roues motrices,
32:27 donc là, tu appréhendes finalement pas trop mal,
32:30 je dirais, la prise en main de cette voiture.
32:31 Non, il va falloir que je la mette à ma main,
32:34 et puis voilà, j'arrive à régler les choses comme il faut,
32:37 parce que là, il y a plein de possibilités de réglages sur cette voiture.
32:40 C'est des voitures modernes, c'est des voitures récentes.
32:42 La 306, moi, je...
32:43 Et moins chère peut-être d'entretien ?
32:45 Oui, voilà, ça coûte...
32:46 C'est aussi ça, vous regardez en dessous.
32:47 Ça coûte très cher à l'achat,
32:48 mais en fait de fonctionnement, ça coûte moins cher.
32:50 Ils enlèvent son espécialisme un petit peu.
32:51 Oui, oui, mais ça se voit, ça se voit.
32:53 C'est bien, c'est bien.
32:54 Non, mais j'ai un tiers de l'entretien, mais non.
32:56 Non, mais si, ça viendra, ça viendra, l'idée.
32:58 Ça viendra, mais c'est avec le temps.
32:59 Il faudra lui faire faire un tour de Clio, William, c'est le problème.
33:01 Ah, mais oui, oui, oui.
33:02 C'est plus lui, ça.
33:03 Mais du coup, la 306, vous ne l'utilisez plus, il y a moyen de...
33:06 Ben si, je l'utiliserai peut-être encore un peu, je ne sais pas,
33:08 je roulerai peut-être encore sur quelques rallies.
33:10 Mais est-ce que vous avez votre planning, justement, pour la Skoda ?
33:12 Oui, t'as prévu quelle rallye cette année ?
33:14 Eh ben, cette année, on va faire le Saint-Galmier,
33:16 ça fait 13 ans que je ne l'ai pas faite.
33:17 Avec la Skoda, du coup ?
33:18 Avec la Skoda, oui.
33:19 Et puis après, ce sera le premier rallye avec la Skoda.
33:22 Et tes ambitions avec la voiture ?
33:23 Je n'en sais rien, je ne sais pas.
33:25 On attend de voir.
33:26 Oui, voilà, on verra, on va s'adapter.
33:28 À suivre !
33:29 Donc, je n'ai jamais roulé avec des aires de voiture, alors.
33:31 J'avais toujours dit que je voulais essayer, et que j'essayerai un jour.
33:33 J'ai dit, j'essayerai avant de prendre la retraite, mais si jamais, bon...
33:37 Oh, la retraite, elle est bien loin, alors.
33:39 Il y avait quelqu'un qui voulait m'en louer une, il m'a dit,
33:41 "Allez, essaye, essaye", et puis ça ne s'est pas fait.
33:43 Et puis, voilà.
33:44 Alors, pour conclure, Julien, je me suis laissé entendre dire que, sur mon brison,
33:47 on commence à te surnommer "Pépé Lopez".
33:50 Alors, Pépé Lopez, c'est un pilote très connu en rallye 2,
33:53 c'est un des meilleurs qu'on a vus d'ailleurs ce week-end au Monte-Carlo.
33:56 Tout ce que je te souhaite, en tout cas, c'est que ça te porte bonheur.
33:59 Et que ce nouveau surnom te porte bonheur pour cette nouvelle saison.
34:01 Merci à vous, Pascal.
34:02 Il faut rester avec nous, Pépé !
34:04 Il faudra simplement rajouter un petit truc.
34:09 Je fais partie des anciens...
34:13 Maintenant, je roule contre les fils d'eux.
34:15 Je voudrais simplement remercier, moi, ça fait 35 ans que je roule,
34:18 les organisateurs d'épreuves, tous les présidents d'AZA qui se démènent pour nous.
34:22 On ira les voir un jour, faire une grosse émission.
34:24 Oui, c'est vrai, parce que c'est des gens qui...
34:26 C'est de plus en plus compliqué.
34:28 Et puis, remercier tous les commissaires qui sont bénévoles,
34:30 qui, tous les week-ends...
34:31 Oui, c'est vrai, j'ai appris ça.
34:32 Vous pouvez leur faire une ovation, à ces gens-là.
34:34 Parce que, croyez-moi, c'est vraiment...
34:36 On arrive à Rosy Yacine !
34:37 Non, ils sont bénévoles, ils sont bénévoles, et c'est compliqué aujourd'hui.
34:41 Moi aussi, je suis un bénévole.
34:43 Pascal, c'est vraiment partie des pilotes qui reconnaissent le plus les commissaires.
34:47 C'est compliqué aujourd'hui, c'est vraiment compliqué.
34:49 Pascal, vous êtes un bavard.
34:51 Comme vous, Julien.
34:53 Mais vous restez avec nous, le temps de petites vergunes, et on parle du casse.
34:56 Vous connaissez le casse, l'histoire du casse ?
34:58 Oui, j'ai fait du basket, oui.
34:59 Ah, très bien.
35:06 Il vous a lancé la perche, le casse, effectivement.
35:08 Ah oui, il m'a lancé la perche.
35:09 Mais ce n'était pas que ça.
35:10 Mais sur la mauvaise discipline.
35:11 Non, mais il y avait du basket, un saint.
35:14 Non, ça s'est passé à Saint-Sauveur.
35:15 Il y avait une foot, il y avait le rugby, basket, et là, on va parler du casse-volet, entre autres.
35:20 À la base, c'était un club omnisport.
35:22 Et vous le savez, d'en parler au Club, on est là pour découvrir l'histoire du Club.
35:26 Là, on part en 1970, à l'âge de création du casse-volet.
35:31 En noir et blanc, là.
35:32 C'est deux compères qui étaient du côté d'une entreprise qui a fermé.
35:35 Vous savez, à l'époque, on faisait le sport en entreprise.
35:37 L'entreprise a fermé, ils y faisaient du volet.
35:39 Ils se font aller toquer à la porte du casse, du coup, omnisport, en disant "Coucou les copains, est-ce qu'on peut créer une section volet ?"
35:49 Et ils ont dit "Pas de problème, par contre, trouvez du monde, quoi".
35:53 Et ils ont trouvé du monde.
35:54 Et après s'en suit une histoire assez sympa, puisque vous allez voir, le casse est monté très, très haut, très, très vite.
35:59 Et aujourd'hui, on va découvrir également où en est le casse-volet à l'heure actuelle.
36:05 Salut, bienvenue au casse-volet.
36:07 On est le seul club de la Loire à avoir des équipes masculines et féminines en national.
36:11 Salut Nicolas.
36:18 Alors toi, tu es président du club depuis 10 ans.
36:20 Mais retour en 1970, où René Le Librier et André Delorme créent le casse-volet.
36:26 Mais alors, c'est quoi l'histoire ?
36:28 C'était deux collègues qui travaillaient à l'usine de la SSCM, qui était une entreprise stéphanoise.
36:33 Et qui, l'usine ayant fait faillite, ils avaient une section volée dans l'usine.
36:37 Ils ont été obligés d'aller demander au casse-volet, au casse athlétique de Saint-Etienne,
36:41 club Omnisport, de monter une section volée en 1970.
36:44 Et en plus, je crois qu'on a des champions.
36:46 Attends, écoute, André, c'est pas n'importe qui.
36:48 Il faut quand même savoir que M. Delorme a été adjoint au maire à la mairie.
36:51 Et en qualité d'escrimeur, il a fait les Jeux Olympiques de Membourne au fleuret.
36:56 Et René, le titi comme on l'appelle.
36:58 L'autre, non seulement, il est encore là, mais en plus, il vient nous voir jouer tous les dimanches.
37:02 Que ce soit les filles ou les garçons, c'est le plus fervent supporter.
37:05 Bon, on reprend la chronologie.
37:07 Au départ, forcément, on est un petit club.
37:09 Il va falloir se structurer.
37:10 Mais vous allez voir que ça va quand même assez vite.
37:12 Même moins de 10 ans.
37:13 Effectivement, en 78, ça accède au niveau national.
37:15 Ceci pendant quelques années, en national 3, national 2.
37:19 Et pour atteindre le Graal en 93, où le casse-volet se retrouve en national 1A,
37:24 qui est maintenant la pro A, finit 3e de ce championnat et atteint la Coupe d'Europe de CEV.
37:29 A l'époque, si on regarde bien, on a des gens comme Philippe Rossard, Pierre Angéli, Rodolphe Dubeau,
37:33 même des Brésiliens comme Furtado.
37:34 Et on a même Jean-Michel Bergeau qui entraîne encore chez nous.
37:37 Mais alors, par contre, je ne comprends pas.
37:38 Il y a des photos, vous êtes en vert et blanc.
37:40 Et les photos, vous êtes en rouge et noir.
37:42 Eh oui, la Coupe d'Europe oblige.
37:43 Pour être connue et reconnue dans toute la France, c'est le vert.
37:46 La mairie l'impose.
37:47 Et une fois que c'est redescendu, on a repris nos couleurs, qui étaient le rouge et le noir.
37:50 Quoi ? Vous êtes redescendu ? Mais c'est quoi cette affaire ?
37:53 La finance n'était pas bonne. Il y a retrogradé un petit peu au niveau national.
37:56 Par contre, dès les derniers 2000, le club rebondit avec une autre philosophie,
38:00 beaucoup de formations et surtout une féminisation du club.
38:03 Et il me semble même que vous êtes le meilleur club formateur d'Aubergne-Renalps.
38:06 Mais alors, pourquoi ?
38:08 Parce que depuis 10 ans, notre objectif, c'est vraiment, vraiment de partir sur une politique de formation
38:12 avec des très bons formateurs.
38:14 Pourquoi ? Pour, sur le long terme, essayer de réatteindre l'élite,
38:16 mais avec nos enfants formés chez nous.
38:18 Bon, et alors aujourd'hui, on en est où ?
38:20 Aujourd'hui, le club, c'est 250 licenciés.
38:22 J'insiste là-dessus, 200 jeunes, parce qu'on est un club formateur.
38:25 Les gars, ça joue en National 3. Les filles, ça joue en National 2.
38:28 Et pour la Loire, ça a été la meilleure équipe féminine de cette année 2023.
38:31 Eh bien, très bien. Longue vie aux Caisses Bolets.
38:34 Au cas où les tés spectateurs n'ont pas reconnu, c'était bien vous, Lilian.
38:41 Alors, qu'est-ce qui vous a surpris en faisant ce reportage ?
38:45 Ce qui m'a surpris, c'est la fois la montée qui a eu lieu entre 93,
38:49 c'est-à-dire de structurer un club aussi vite, vite se positionner en National et en Pro A
38:53 pour pouvoir jouer de grosses compétitions comme l'Europe.
38:56 Et puis après, il y a eu une chute parce qu'il y a eu des problèmes financiers.
38:59 Et ils ont su également rebrandir aujourd'hui en étant pionniers dans le volet féminin
39:04 et même très, très bons, très bien classés en Auvergne Rhône-Alpes dans le volet féminin.
39:08 Et puis avec cette formation des jeunes.
39:10 Voilà. Merci à vous, Lilian. C'était pas long club qu'on retrouvera dans 15 jours.
39:14 Exactement.
39:15 Une petite virgule et on parle de foot.
39:17 [Musique]
39:21 Oh non, ça craint.
39:23 Alors Laurent, vous êtes revenu autour de la table.
39:26 Si je vous pose cette question, est-ce que vous auriez été prêt à partir à l'étranger
39:30 pour vivre pleinement votre sport ?
39:32 Absolument.
39:33 Vous l'auriez fait ?
39:34 Oui, oui.
39:35 Oui ? Eh bien, c'est le cas de la famille Deville.
39:37 On connaît le papa et la maman, Franck Deville.
39:40 Vous savez, les macarons, mais on connaît très peu les enfants.
39:44 Un peu moins les deux frères.
39:45 On avait fait le portrait de…
39:46 Trois même.
39:47 On avait fait le portrait du fiston qui est parti en Espagne il y a deux ans.
39:50 Eh bien, vous savez quoi ?
39:51 Son petit frère a décidé de le rejoindre en Espagne.
39:54 Et Lilian, avec Adrien Ponçart, qui est toujours en convoi à l'essence,
39:57 et qu'on embrasse, des gros bisous, il est au fond de son canapé,
40:00 qui nous regarde.
40:01 Ah, mec, ça gorge.
40:02 Qu'est-ce qui vous a surpris quand vous l'avez vu ?
40:05 Ça fait deux fois.
40:06 Vous êtes très surpris comme gars.
40:07 Moi, j'arrête pas d'être surpris ce soir.
40:09 Non, c'était très bien de voir les deux frères qui étaient passionnés
40:12 et ils n'ont pas envie de bouger de là-bas, en fait.
40:14 Donc, pour le savoir, ils sont trop petits, soit disant,
40:17 pour être gardiens.
40:18 Ils sont gardiens tous les deux.
40:19 En France, pour être gardiens en France.
40:20 Pour être gardiens en France.
40:21 Une certaine taille.
40:22 Et donc, du coup, l'Espagne, aujourd'hui, regarde beaucoup plus la technicité
40:25 que la taille et le gabarit.
40:27 Et juste pour vous dire, je crois qu'un certain buteur français
40:31 qui est au Réal, voilà, était trop petit et il est parti aussi en Espagne.
40:36 Vous voyez de qui ?
40:37 C'est Griezmann.
40:38 Exactement.
40:39 Même Jeannot, il était petit, il était un très bon gardien.
40:41 Mais il a été formé par le même entraîneur.
40:44 On regarde le sujet, on est encore là demain.
40:46 On a dépassé.
40:47 Bonjour, nous nous retrouvons aujourd'hui au stade de l'Envol Stadium
40:59 pour parler des enfants de ville.
41:01 Maxence, qui évolue au club de Hardavay,
41:03 et Nathan, qui évolue au Rayo Maradondo.
41:05 Deux clubs espagnols, ils vont nous parler de leur aventure,
41:08 de tout ce qui se passe pour eux
41:09 et tout le bonheur qu'ils ont joué au football.
41:10 De plus, ils ont eu la chance d'avoir Jeannot Dès,
41:12 entraîneur emblématique des gardiens.
41:13 Ils ont eu la chance de l'avoir comme préparateur physique
41:15 et il va nous parler de ces deux petits jeunes.
41:17 Bon les gars, on se retrouve dans les salons du stade.
41:19 Pourquoi cette décision de partir en Espagne au lieu de rester en France ?
41:22 Notre type de gardien, nous on est des petits gardiens,
41:25 ce n'est pas le profil type d'ici en France.
41:28 Il est plus monnaie notre style de jeu, à nos gamins.
41:32 Donc c'est un gros point qui a fait qu'on est parti en Espagne.
41:36 Partir en Espagne, ça vous a permis d'avoir plus de chances de jouer ?
41:39 C'est ça, on va dire qu'ils regardent moins la taille d'abord.
41:42 Ils regardent d'abord ton niveau.
41:44 Le type de journée d'entraînement en Espagne,
41:47 est-ce que vous avez les mêmes préparations qu'en France ?
41:50 Par exemple, dans des entraînements de type en France,
41:52 on va placer par exemple un mercredi avec un 15-15, 30-30 etc.
41:57 En Espagne, il n'y a pas du tout de…
41:59 Tout ce travail physique, c'est plus mené avec ballon.
42:02 Il n'y aura jamais de travail physique sans ballon.
42:04 Le préparateur que vous avez en France,
42:05 vous serez pas le faire venir avec vous en Espagne ?
42:06 Ah oui, oui, 100%.
42:08 Vous pouvez me parler un petit peu du préparateur que vous avez en France ?
42:11 Jeannot Deyes, pour moi c'est l'un des meilleurs entraîneurs gardiens français.
42:16 Il a entraîné des grands noms quand même,
42:19 Jérémy Jeannot, Grégory Coupet.
42:21 C'est grâce à lui que j'ai continué dans le foot,
42:24 parce que j'étais à deux doigts de partir aux Etats-Unis.
42:27 Même par rapport à la prise de confiance en soi,
42:30 je pense que pour un gardien c'est super important
42:32 et il a réussi à nous transmettre ça, donc je le remercie.
42:36 Alors Jeannot, pour toi, qu'a formé ces deux jeunes,
42:38 ça doit être une fierté de les retrouver en Espagne maintenant ?
42:40 C'est à eux qu'ils le doivent, les qualités qu'ils ont démontrées,
42:44 mais c'est toujours très plaisant et valorisant pour un entraîneur de gardien
42:49 de voir les jeunes avec lesquels on travaille,
42:51 tenter leur chance ailleurs, connaître peut-être d'autres situations de travail,
42:55 d'autres mentalités, et là aujourd'hui, ça se fait en même temps et en même accént.
43:00 C'est un plaisir de pouvoir de nouveau les rencontrer,
43:03 aussi près, et puis d'entendre éventuellement tout le plaisir qu'ils viennent de prendre
43:08 et qu'ils continueront de prendre en tant que gardien en Espagne,
43:13 en l'occurrence, et pourquoi pas, peut-être dans un autre pays que là en France.
43:19 Comment se passe ton expérience pour le moment ?
43:21 Pour moi très très bien, je suis vraiment content, je suis titreur tous les matchs,
43:25 que ce soit pour les entraînements, entraînement de tous les jours,
43:27 entraînement gardien de tous les jours,
43:29 donc vraiment, pour moi, l'expérience se passe vraiment parfaitement.
43:34 La ferveur au niveau du football espagnol, est-elle mieux en Espagne ou mieux en France ?
43:39 Pour les petites équipes, je trouve qu'il y a plus de ferveur pour les petites équipes en Espagne.
43:44 Je pense qu'en France, on ne trouvera jamais par exemple une équipe qui est en National 3 R1 avec autant de personnes.
43:49 Quel serait ton rêve en tant que joueur ?
43:51 Pour moi, d'intégrer une équipe première, pouvoir en vivre correctement de ma passion,
43:56 pourquoi pas par la suite aller encore plus haut.
43:58 Peut-il y avoir un battle entre vous, vous vous rencontrez sur une rencontre de championnat ou de coupe ?
44:03 Ce serait un rêve, c'est sûr, ce serait toujours kiffant de jouer contre son frère,
44:07 sans ce qu'on a très peu d'amis d'écart, mais pourquoi pas ?
44:12 Ce serait incroyable, vraiment ce serait le rêve. Et bien sûr, vive la famille de Villes !
44:17 Yacine, vous êtes gardien de but ?
44:20 Exactement, grand gardien de but.
44:22 Vous serez parti à ?
44:23 1m80, surtout sur la taille.
44:24 Non mais c'est incroyable, la ferveur en Espagne !
44:26 Bien sûr, ils ont tellement bien fait, franchement, je conseille à tout le monde de faire ça.
44:29 Eux, ils n'en ont jamais pris 9 en un match.
44:31 Oh, attends, c'était une grosse écurie, arrête.
44:33 Non, non, mais c'était quelque chose de costaud, mais ils ont vraiment bien fait,
44:36 c'est des jeunes pleins d'espoir, et n'hésitez pas, c'est un message aux jeunes aussi,
44:39 si vous n'y arrivez pas ici, vous pouvez y arriver ailleurs.
44:41 Alors il y a le petit frère, parce qu'ils sont 3.
44:43 Oui, qui est défenseur.
44:44 Qui est défenseur.
44:45 Ce serait incroyable de voir au moins deux frères de Villes dans la même équipe.
44:48 En tout cas, on sait où Franck va passer ses vacances prochainement.
44:51 Dans quelques instants, Katharina, c'est la démo !
44:54 Joël, merci d'être là.
45:01 Vous êtes la créatrice de l'école Joël Merieux, une école de renom à Saint-Etienne,
45:05 donc vous êtes notamment connue pour la danse classique,
45:07 et vous avez ouvert une section "Girlie", donc pourquoi l'avoir créée, quelle est sa valeur ajoutée ?
45:13 Pour simplement, pour répondre à la demande du moment.
45:17 Il y a une dizaine d'années environ, le ragga à l'époque, qui est le "Girlie" aujourd'hui,
45:25 est arrivé en force, et nous avons trouvé judicieux d'ouvrir des cours.
45:29 Voilà, pour satisfaire la clientèle, nos élèves, et nos futurs élèves.
45:34 Avec Mélinda, la best !
45:36 Avec Mélinda, c'est ça exactement.
45:38 Très bien, on va passer à la démonstration, si vous voulez bien.
45:40 Les filles, vous êtes prêtes ?
45:42 Et nous aussi !
45:43 Et vous, vous êtes prêtes ?
45:44 Ah bah ouais !
45:46 On applaudit bien fort !
45:48 Attention !
45:50 3, 2, 1...
45:52 Je me crois au Super Bowl !
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46:53 Moi, je danse comme ça, moi !
47:07 On peut les applaudir, bravo !
47:09 J'arrive, Katharina, venez !
47:11 Merci à vous, les filles, c'était super !
47:13 Et en plus, vous tombez dans l'actualité, parce que la semaine prochaine, c'est le Super Bowl !
47:17 Vous êtes au top !
47:19 Je suis au top, je suis au top, je suis au top !
47:21 J'ai l'impression que je suis au top, mais je danse bien sur la chaise !
47:24 Et je pense, peut-être, au frélein, peut-être l'ouverture de la 15ème édition de l'Open NJ ?
47:29 Laurent ? Pourquoi pas ?
47:31 Merci d'avoir suivi cette émission, on peut retrouver cette émission sur tous les réseaux sociaux, sur toutes les boxes !
47:37 Notre Instagram aussi !
47:39 Abonnez-vous et on vous dit à la semaine prochaine !
47:41 Ciao, bye bye !
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