SP7 : "14e Engie Open d'Andrézieux-Bouthéon 42 : Promesses et Performances »

  • il y a 9 mois
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14e Engie Open d'Andrézieux-Bouthéon 42 : Promesses et Performances
Du 29 janvier au 4 février 2024 se tiendra la 14e édition de l'Engie Open d'Andrézieux-Bouthéon 42. Une occasion en or de voir évoluer les joueuses les plus prometteuses du circuit et découvrez les coulisses de cette Engie avec Yacine dans les coulisses 2.

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00:00 [Musique]
00:16 Bonsoir à toutes et à tous, ravis de vous retrouver sur le plateau de Sports 7.
00:21 Sports 7 c'est toute l'activité sportive de votre département, tout ça en 42 minutes.
00:25 Et j'aime soigner mes intros, alors suivez-moi, le public est là, regardez.
00:30 Ce soir, 42 minutes sur le sport local, je vous demanderai de faire la tonnerre d'applaudissements
00:34 pour notre invité Laurent Pouig.
00:37 Vous êtes président de l'Open OG qui va commencer aujourd'hui ce soir.
00:41 C'est ça.
00:42 C'est ça, c'est quoi l'Open OG pour ceux qui ne connaissent pas ?
00:45 C'est un tournoi féminin de tennis.
00:47 Qui existe depuis ?
00:49 De nombreuses années, c'est la 14ème édition.
00:51 Avant c'était masculin, on est passé en féminin et voilà.
00:54 À côté de vous, Yacine Daoud.
00:56 Dans les coulisses de... On va parler de quoi avec vous ?
00:58 On est présentement, on restera dans la continuité, on va parler des coulisses de ce tournoi.
01:01 On aura des anecdotes et plein de choses à voir.
01:04 Celle qui fait lever toute la Noire, qui fait danser toute la Noire,
01:07 Catharina Beyes.
01:09 Bonsoir à tous, aujourd'hui on va découvrir Sports 7 en mode Super Bowl
01:13 avec Adam Curley à l'école de Joël Marieuch.
01:15 Oui, on n'a pas compris pourquoi Super Bowl, mais il nous en dira dans quelques instants.
01:18 À côté de vous, celui qui a mis sa tenue de soirée, sa plus belle tenue.
01:23 Comme d'hab.
01:24 Comme d'hab, on peut l'applaudir à l'igne en bardant.
01:26 Bonsoir.
01:27 Parlons club cette semaine.
01:28 Parlons club, on va à la rencontre et surtout à la découverte de l'histoire du case.
01:32 On va découvrir le case volet cette semaine.
01:35 Très bien, voilà.
01:37 Et on parlera aussi rallye dans quelques instants.
01:39 Vous verrez, on parlera d'une voiture emblématique.
01:42 Laurent Puig, effectivement, ma femme me dit, le rabat-châche est toujours bon.
01:48 Elle le dit.
01:49 Et c'est vrai qu'il faut répéter.
01:50 14e édition, on sait que ça arrive toujours à cette période-là.
01:53 C'est le tournoi féminin depuis 14 ans.
01:56 Mais qu'est-ce que c'est que ce tournoi Open NJ ?
01:58 Et ça concerne quel classement ?
02:01 Alors on a des joueuses de la 75e place mondiale à la 350e.
02:07 Elles sont en qualification aujourd'hui et demain.
02:10 Pour rentrer dans la tableau final, on a fait le tirage à midi.
02:13 Pour à peu près donner les places.
02:15 Alors aussi Anne Dodin qu'on voit à l'écran, la tenante du titre.
02:18 C'est elle qui est tête de l'édition numéro 1, 75e.
02:21 Elle a fait un beau parcours à l'Open d'Australie.
02:23 On a les images, mais vous pensez bien à nous, on adore le sport.
02:26 Gagnante de l'année dernière de cette édition.
02:29 C'était la première fois qu'elle le faisait, le tournoi ?
02:32 Non, elle était déjà venue.
02:34 Peut-être pas régulière, mais c'est la première fois qu'elle le remportait.
02:37 Elle était à Melbourne la semaine dernière, 8e de finale.
02:40 Elle est encore jet lag là.
02:41 Encore, encore, largement.
02:43 On va voir les images.
02:45 Elle a pris 75e mondiale.
02:47 Elle a fait un bon saut au classement.
02:50 Elle a perdu contre la finaliste quand même.
02:52 Il faut le dire quand même.
02:54 Ça s'applaudit.
02:55 C'est comme moi qui parle.
02:58 Les filles qui décident de venir faire ce tournoi,
03:04 elles ont une planification annuelle.
03:06 Elles se disent, on veut commencer notre saison,
03:08 parce que je pense qu'on est dans les premiers tournois de la saison,
03:10 pratiquement, fin janvier.
03:12 Au début février, on a envie de commencer par l'Open NJ.
03:15 Dans les sports individuels,
03:17 souvent vous avez un calendrier établi sur toute la saison,
03:20 quels que soient les sports.
03:22 En fonction de votre classement mondial,
03:24 vous allez pouvoir vous inscrire à telle ou telle épreuve.
03:26 Dans notre semaine, en face, fatalement,
03:29 il y a des tournois plus gros ailleurs à l'étranger.
03:31 Il se trouve que celui-là, 60 000 dollars,
03:34 ça paraît beaucoup sur le papier.
03:36 En anglais.
03:38 60 000 dollars, mais qui met 75 points à la WTA.
03:42 On a été un peu mieux reconnus également.
03:45 C'est une nouveauté, ça.
03:46 C'est une nouveauté, c'est une progression.
03:48 Donc, elles vont marquer plus de points au classement mondial cette semaine.
03:51 Ça nous a permis aussi de changer de date.
03:53 On n'est plus dans la deuxième semaine de l'Open NJ,
03:55 mais on est la semaine après.
03:57 C'est mieux pour vous ?
03:58 C'est mieux.
03:59 Justement, 14 ans d'évolution, d'édition,
04:01 c'est quoi que vous observez comme évolution ?
04:04 Moi, j'ai tout connu, c'est les lieux.
04:06 Ça paraît être changé de lieu.
04:07 Oui, alors on stabilise sur le lieu depuis quelques années,
04:10 grâce à la municipalité qui avait investi,
04:12 notamment à la centrale, directement sur place.
04:16 La deuxième chose, l'évolution,
04:17 on essaie d'habiller aussi le tournoi.
04:20 L'habiller, c'est quoi l'habiller ?
04:21 Tout au long de la semaine, pas dire,
04:22 il n'y a que des matchs à venir voir.
04:24 Donc, ça, ce n'est pas intéressant.
04:25 Il y a des animations.
04:26 Oui, il y en a quelques instants.
04:27 On y reviendra tout à l'heure.
04:29 Et bien sûr, modestement, notre ambition,
04:32 c'est d'essayer de devenir le tournoi phare féminin du tennis
04:36 dans la région Rhône-Alpes,
04:38 puisque Lyon a l'oeuvre.
04:40 Vous l'avez promis, vous m'avez dit que vous voulez changer.
04:42 Déjà, il faut changer de presse-monnaie.
04:43 Voilà, donc on va essayer de changer progressivement.
04:46 C'est malheureux, mais le tournoi de Lyon,
04:48 qui était gros, de Lyon,
04:50 qui était parrainé par Caroline Garcia,
04:53 est parti dans l'Est.
04:55 Donc, voilà, je pense qu'on a…
04:57 Il y a la place maintenant.
04:58 Il y a la place pour se positionner,
04:59 pour être le tournoi référent.
05:00 Juste pour revenir sur le cash price de 60 000 dollars,
05:02 comment ça se passe ?
05:03 Moi, oui, on va dire…
05:04 Tu veux parler d'OZ, il y a de l'argent.
05:05 En fait, il est revenu.
05:06 Parce que dans quelques instants,
05:07 on va parler de votre sujet dans les coulisses.
05:09 Il se donne, il me dit "elle gagne combien, 70 000 boules ?"
05:11 J'ai fait que chercher ça.
05:12 Pendant tout le reportage, je les ai cherchées.
05:14 Et ce n'est pas que pour elle.
05:15 Voilà, alors ça, je vais m'en savoir comment ça se passe.
05:16 C'est divisé.
05:17 Ce n'est pas pour une seule personne.
05:18 Alors, il y a 10 000 pour l'ensemble des filles
05:19 et 59 000 pour le tennis.
05:21 Club.
05:22 Non, je rigole.
05:23 Il va y avoir des problèmes.
05:24 En plus, j'ai pas les cashs, je le sens pas bon, là.
05:26 Non, 60 000, c'est la dotation totale
05:29 pour l'ensemble du plateau de joueuses.
05:31 Elles sont 70, double compris.
05:33 Ah oui, il y a les doubles aussi.
05:34 La partie double.
05:35 Alors la première, la vainqueur,
05:37 va gagner un peu plus de 8 000 euros.
05:39 Mais il faut savoir que c'est des divisions...
05:41 On a le chèque en images.
05:42 Voilà, c'est des divisions un petit peu inférieures.
05:44 Et il faut penser aux premières
05:46 qui vont perdre au premier tour.
05:48 Elles ont fait le déplacement,
05:49 c'est tout à leur charge, à leurs frais.
05:51 C'est le propre des sports individuels.
05:52 Je sais de quoi je parle.
05:54 Et Moralité, elle ne gagne même pas 100 $
05:58 quand elles vont se faire sortir au premier tour.
06:01 C'est un passage obligatoire pour faire sa progression.
06:03 C'est pour ça qu'il y a beaucoup de jeunes aussi.
06:05 C'est aussi ça, oui.
06:06 C'est une chance de faire un tournoi comme celui-ci.
06:08 Même si on se fait sortir au premier tour,
06:10 c'est qu'on a joué contre quelqu'un qui mérite d'être là.
06:12 Il y a des locaux qui vont être invités.
06:14 Comment ça s'appelle ? Les Karmes ?
06:16 On a un moment où je suis en train de vous parler.
06:18 Croisons les doigts que ça se passe bien pour elles.
06:19 Elle est sur le cours.
06:20 Nous avons Noemi.
06:22 Ah, Noemi, oui, qu'on interviewe.
06:24 De notre club qui fait sa préqualification.
06:27 Enfin, sa qualification.
06:29 Donc, c'est pas mal.
06:31 Il y a des wild cards.
06:32 Voilà, il y a une petite wild card.
06:33 Quand on va voir l'Instagram de Océane, Odin,
06:37 quand elle est suivie comme ça,
06:39 c'est une bonne notoriété pour ce tournoi ou pas ?
06:41 Absolument.
06:42 Elle est très suivie sur les réseaux.
06:43 En plus, avec ce qu'elle a fait à Melbourne,
06:45 ça donne une belle image, non ?
06:46 C'est une très belle image.
06:48 C'est surtout une fille qui a un talent fou.
06:51 Même s'il y a des belles images dans son Instagram, je viens de voir.
06:53 Qui a un talent fou, d'une part,
06:55 qui a été très forte, brillante,
06:57 puisqu'elle a été au mieux,
06:59 pas loin de la 40e mondiale,
07:01 elle avait même eu une sélection en Fête Cup.
07:05 Donc voilà, et après,
07:07 elle mène sa barque un petit peu,
07:09 vraiment, elle est la patronne de son métier.
07:11 Moi, j'apprécie énormément,
07:13 parce que c'est un peu le propre des sportifs.
07:14 Je crois, si je ne me trompe pas, dans le tableau,
07:16 j'ai cru voir que la gagnante de 2021 était présente.
07:18 Oui, Harmonie Tan.
07:19 Solide.
07:20 Avec une petite anecdote dont on parlait tout à l'heure.
07:23 En off ?
07:25 Harmonie Tan, elle a gagné le tournoi chez nous en 2021, effectivement.
07:28 Et en 2022, elle a quand même battu sur le cours central de Wimbledon,
07:31 Serena Williams.
07:33 Donc on porte un peu bonheur.
07:35 Je pense que la Loire porte bonheur.
07:36 Les gens ne passent pas assez souvent.
07:38 Alors, on va le voir, vous l'avez dit,
07:40 c'est aussi une grande fête du tennis et des écoles,
07:42 tout autour, tout au long de cette semaine.
07:44 En plus du Village VIP,
07:46 Katerina veut des places, mais il faudra voir directement avec nous.
07:49 C'est mon éco-sien.
07:51 Est-ce que ça va être les mêmes choses que l'année dernière ?
07:54 L'handi-fauteuil tennis, on peut avoir du paddle ?
07:58 Alors, non, mais l'handi-tennis, oui, et c'est dès demain.
08:02 On a des semi-professionnels qui viennent,
08:05 et c'est des jeunes de 6e qui vont venir s'initier à l'handi-tennis.
08:09 Alors au début, ils rigolent un petit peu, les petits jeunes,
08:11 et puis après, ils voient que c'est difficile.
08:12 Pourquoi tu ne regardes pas ?
08:13 Je pense que c'est le même, c'est trop aussi facile.
08:15 Ensuite, le mercredi, avec...
08:17 Bon, c'est pas grave,
08:19 on a le BNP Kids qui vient faire la promotion des écoles de tennis,
08:24 avec les présidents, les coachs.
08:27 Cette année, Laura Flessel ne peut pas...
08:30 La petite guêpe ?
08:31 La petite guêpe, elle ne peut pas pour des raisons professionnelles,
08:34 puisqu'elle est quand même très impliquée avec Paris 2024.
08:38 Ça arrive à petits pas.
08:39 Ça arrive tout doucement.
08:40 Du coup, notre marraine, qui sera là pour le jeudi,
08:43 c'est un tannoy féminin,
08:45 on a fait la journée de la femme depuis l'année dernière.
08:47 Donc, on fait venir notre marraine,
08:50 une ancienne sportive.
08:51 C'est facile pour moi,
08:53 il s'agit d'une ancienne joueuse professionnelle de golf,
08:55 qui a joué sur le circuit américain,
08:58 qui a gagné sur le circuit européen,
09:00 qui était numéro 1 française.
09:01 C'est qui ?
09:02 Sophie Gickel, qui commente à Canal+.
09:05 Elle s'est reconvertie,
09:07 elle a fait un coaching en entreprise.
09:08 Elle a été formée ici.
09:09 Elle a été formée ici, par Julien.
09:15 Et surtout, elle a fait une intervention auprès des lycéennes,
09:18 avec le lycée Moriac, en partenariat,
09:20 sur la place de la femme, la parité,
09:22 la reconversion aussi dans le monde du sport.
09:24 On retrouve tout ça, le programme, sur le site.
09:25 Ça va de soi ?
09:26 Absolument.
09:27 Il y a beaucoup de bénévoles.
09:29 C'est grâce à ça que le tournoi tourne.
09:30 Beaucoup de monde qui gravite autour.
09:32 Et pour le prouver, Yacine.
09:34 Exactement.
09:35 Moi, j'étais sur place,
09:36 et je peux vous dire qu'il y a beaucoup de monde qui gravite autour.
09:38 Et en plus, pendant une longue période,
09:39 une bonne semaine de préparation,
09:40 même plus pour les partenaires,
09:42 il y a de la communication.
09:44 Il y a des nettoyages,
09:45 parce qu'il y a des surfaces à nettoyer.
09:46 Un terrain, c'est pas...
09:47 Et c'est dans quelques instants, tout de suite après,
09:48 cette petite gavel.
09:49 Exactement.
09:50 Alors, je vous fais grâce,
09:56 à chaque fois, il veut commencer sa chronique
09:58 par une citation.
09:59 Là, c'est vous qui avez la main.
10:00 Là, vous avez la main.
10:01 Soit on choisit une citation de Maria Sharapova,
10:03 une petite joueuse,
10:04 qui a fait une petite carrière.
10:05 Pas très connue.
10:06 Ou du grand poète Yacine Daoud.
10:08 C'est vous qui choisissez.
10:10 On va prendre Yacine, c'est quand même mieux.
10:12 Ça me paraît beaucoup plus sympa.
10:14 Non, je veux dire celle de mariage.
10:16 Elle, elle dit que le tennis,
10:21 c'est une danse avec la balle,
10:22 une harmonie entre la puissance et la grâce.
10:24 C'est vrai.
10:25 Moi, j'ai trouvé mieux.
10:26 Quand je voyais les soeurs Williams,
10:27 je trouvais qu'il y avait de la grâce.
10:28 Exactement.
10:29 Mais moi, je dis que...
10:30 Il est lourd !
10:31 Je dis que la vie, c'est comme le tennis.
10:33 Il faut savoir donner pour recevoir.
10:35 Et peu importe les revers,
10:36 il faut toujours rendre service.
10:38 Oh !
10:39 Je vous promets,
10:41 je vous promets.
10:42 Il ne manque pas à chaque GPT.
10:44 C'est dans sa tête.
10:45 Moi, de 17 ans, c'est la meilleure.
10:47 Oui, franchement.
10:48 En fait, c'est celle qui a été un peu travaillée.
10:50 Ça se voit.
10:51 Elle veut vraiment dire quelque chose.
10:53 Alors, lundi dernier,
10:55 déjà, vous étiez sur les cours.
10:57 J'y étais.
10:58 Grosse préparation.
10:59 On a pu voir des entraînements.
11:01 Mais on a pu voir aussi
11:02 toutes les équipes se mettre autour.
11:03 Le son, la lumière, le nettoyage,
11:05 le chargé de communication.
11:07 Tout ça se met en place.
11:08 On peut le voir et on en discute un petit peu après.
11:09 Mais on regarde le sujet.
11:11 Les amis, on se retrouve aujourd'hui
11:12 au tennis club d'Andrézieu Boutéon
11:14 pour l'ENGIE Open édition 2024.
11:16 Si vous voulez voir les coulisses d'un tel événement,
11:18 suivez-moi.
11:19 Alors Stéphane, qu'est-ce que tu peux nous dire
11:24 sur ces bels événements,
11:25 cette préparation ?
11:26 Pour la quatrième année consécutive,
11:27 une organisation entre le tennis club d'Andrézieu Boutéon
11:29 et la ville d'Andrézieu Boutéon
11:31 pour l'accueil d'un tournoi international féminin
11:33 avec des joueuses qui arrivent d'Australie.
11:36 Et pour cette préparation,
11:37 alors toi, tu me proposes d'aller voir qui ?
11:38 Parce que ça en fait du monde.
11:39 Oui, il y a beaucoup de personnes.
11:40 Il y a le directeur du tournoi,
11:41 il y a la chargée de com',
11:43 il y a l'équipe qui s'est occupée également
11:44 de tout le ménage.
11:45 C'est toute une organisation en effet
11:47 pour arriver le jour J où tout soit prêt.
11:50 Et c'est qui les partenaires ?
11:52 C'est nous !
11:53 Qu'est-ce que tu es en train de faire ?
11:54 Je vois que c'est une grosse baffe là.
11:55 On installe le son pour le tennis
11:57 pour toute la semaine.
11:58 Il y a combien de baffes à peu près ?
12:00 On va installer quatre enceintes
12:02 pour sonoriser tout ça.
12:03 On est sur la quatorzième édition de cet ENGIE Open
12:05 avec des joueurs qui ont participé au grand chelem
12:08 et avec un cash price final de 60 000 dollars.
12:10 J'adore embêter les gens pendant leur travail.
12:12 Ça ne m'embête pas.
12:14 Qu'est-ce que vous faites ici ?
12:16 Je vois que vous passez l'aspirateur.
12:17 Ce n'est pas trop dur de s'occuper d'une si grande surface ?
12:19 Nous, on est la société SBN.
12:21 On intervient avant le tournoi
12:23 et pendant le tournoi,
12:25 on nettoie l'intérieur des salles,
12:27 les vestiaires, tout ça.
12:29 C'est bien comme ça ?
12:31 Dommage que c'est un tournoi féminin,
12:32 sinon ça là, c'était pour moi.
12:34 Thomas, dis-nous, ce qu'on fait ici,
12:36 c'est dans ce bel endroit qui a l'air très particulier.
12:38 Là, c'est la tente VIP.
12:39 C'est là où tous les partenaires vont se rejoindre
12:41 durant le tournoi.
12:42 Là, on est en train d'installer le mobilier,
12:44 la sonorisation, la télé pour transmettre les matchs en direct.
12:47 Puis la scène où va avoir lieu des discourses
12:50 durant les soirées partenaires, les soirées présidents, etc.
12:52 06, 65.
12:55 Tout à fait, je suis en train de mettre mon numéro de téléphone.
12:57 J'ai entendu qu'il pouvait y avoir des aléas,
12:59 par exemple un filet qui casse.
13:00 Comment ça se passe ?
13:01 On essaie de parer à toute éventualité.
13:03 On essaie d'avoir un filet de rechange,
13:06 on essaie d'avoir des sangles de rechange.
13:07 On essaie d'être prêt au maximum.
13:09 Alors moi, c'est effectivement la première année où je suis là.
13:15 Et moi, mon rôle, c'est de m'occuper au mieux des réseaux sociaux.
13:18 J'essaie d'être très présente sur Instagram et Facebook.
13:21 J'ai fait gagner deux places VIP.
13:23 Mon objectif, c'est de les faire monter au mieux
13:25 pour avoir plus de monde.
13:27 Excusez-moi, les gars.
13:29 C'est ici l'Angie Open 2024 ?
13:32 Ah, l'Angie Open, c'est les féminins et c'est du tennis.
13:36 Ah d'accord, ok.
13:37 Désolé, je me disais que les raquettes, ça faisait des bizarres.
13:40 On sort de leur...
13:42 On dit Angie, du coup.
13:44 On dit pas Angie.
13:45 Angie, c'est la chanson.
13:46 Angie, c'est la chanson.
13:47 Qu'est-ce qui vous a surpris ?
13:49 Les 60 000 dollars.
13:50 Il s'est bloqué sur ça.
13:53 Il s'est bloqué là-dessus.
13:54 Non, ce qui m'a surpris, c'est encore une fois l'organisation,
13:56 et puis l'attrait des bénévoles, et puis leur engouement.
13:59 On a vu qu'ils ont monté carrément un chapiteau à l'extérieur
14:02 sur le terrain de padeule.
14:05 C'est incroyable.
14:06 Il y a vraiment une structure qui se met en place pour tout l'événement.
14:08 C'est un gros festival.
14:09 Vous n'êtes pas surpris, vous vous êtes habitués.
14:12 Oui, on est habitué.
14:13 Non, mais l'idée, c'était de donner un petit peu plus de coffre à cet événement.
14:17 Je pense que c'est bien d'avoir un espace VIP pour nos partenaires,
14:20 de faire du réceptif.
14:21 Encore une fois, ça va dans la continuité un peu toute cette semaine.
14:25 Et la sur la vie de la com' en plus aussi.
14:28 C'est vrai qu'elle fait du très bon fri...
14:30 Elle s'appelle comment ?
14:31 Marie, je crois.
14:33 Marie, je crois.
14:34 Je ne suis pas sûr.
14:35 Est-ce qu'on a le temps, Julien, pour quelques petites anecdotes tennis très légers ?
14:38 Oui, attention, Laurent connaît tout parfait.
14:40 On ne dit pas n'importe quoi.
14:41 On va tous vous tester.
14:42 Allez, main sur le buzzer, on y va.
14:43 Vous êtes prêts ?
14:44 Je suis chaud.
14:45 Le plus long match de l'histoire, est-ce que vous savez ?
14:47 Et là, vous pouvez y aller.
14:48 Franchement, le plus long match de l'histoire, c'était en 2010 à Wimbledon.
14:51 Oui, il y avait un Français dedans, et ça doit être autour de 23 heures.
14:56 Non, non, non, moins, moins.
14:58 En fait, oui, 23 heures, parce qu'en fait, c'est 11 heures, mais il a duré sur 3 jours.
15:02 C'est un match qui a duré 3 jours.
15:04 Je croyais que c'était chez les filles, mais oui.
15:06 Ce n'était pas de Français d'ailleurs ?
15:08 C'était Mahut contre Iner.
15:10 Isner, Isner, un grand.
15:12 Non, ne prononce pas le "s".
15:14 Je crois qu'il a perdu d'ailleurs.
15:15 Pour Iner.
15:16 Pas pour Iner.
15:17 Allez, on y va.
15:18 Le score, 15-30-40, pourquoi ?
15:21 Vous n'êtes jamais posé la question, pourquoi on dit 15-0, 30-0 ?
15:24 Parce que ça fait classe ?
15:25 Non, parce qu'à l'époque, à chaque point, on avançait du 15 pieds, 30 pieds, puis 40 pieds pour servir.
15:32 C'est pas mal.
15:33 Et ça, c'est pas mal.
15:34 Mais on arrêtait parce qu'après, ils étaient trop proches du fleuve.
15:36 C'est des catastrophes.
15:38 C'est même une catastrophe.
15:39 Et la dernière, vous savez pourquoi les balles sont jaunes ?
15:41 Pour mieux les voir.
15:42 Exactement, mais plus précis.
15:44 Dans la neige.
15:45 Pour mieux jouer dans la neige.
15:46 C'était pour mieux les voir sur les écrans en noir et blanc, dans les années 70.
15:49 C'était la couleur qui ressortait le mieux, et depuis, c'est devenu officiel.
15:52 Bravo à vous.
15:54 Un fils à voir.
15:55 Bien joué.
15:56 C'est pas mal.
15:57 C'est pas mal.
15:58 C'est pas mal.
15:59 Il y a le central, mais il y a aussi le centre à l'intérieur.
16:02 Oui, voilà, on a vu le central.
16:03 On a deux terrains où elle s'échauffe, c'est la même surface, et après on a le cours central, 1 et 2.
16:09 Donc, on joue sur trois cours vraiment les matchs, plus deux pour s'échauffer.
16:13 Et la finale, forcément ?
16:14 La finale, dimanche, à partir de 14h30.
16:16 14h ?
16:17 30.
16:18 30 ? Ouais, mais 14h pour le VIP.
16:20 Pour prendre des petits coups et manger un peu.
16:22 Celle qui se voit énormément, que ce soit une télé en noir et blanc ou en couleur, c'était Katharina.
16:28 Et vous allez voir, ça envoie du steak aujourd'hui.
16:31 Alors, elle m'a dit "Junia, je vais commencer en chantant".
16:39 Je n'ai plus la main sur cette émission.
16:42 C'est l'essentiel aujourd'hui.
16:43 On va chanter ?
16:44 Non, quand même.
16:46 C'est vaut mieux pas pour nos téléspectateurs.
16:48 On va fêter l'angoisse d'un an.
16:50 Comment c'est que cette musique ?
16:52 Elle est comme ça.
16:54 Donc là, je vous donne deux indices.
16:56 Super Bowl et Rihanna.
16:57 C'est deux indices sur la danse d'aujourd'hui.
16:59 Est-ce que ça vous parle ?
17:01 C'est pas de la bachata ?
17:03 Non, pas de la bachata.
17:05 Je ne sais pas, la castille ?
17:07 La disco girlie.
17:09 Girlie, exactement.
17:11 Une musique girlie ?
17:12 Aujourd'hui, on va parler de la danse girlie.
17:14 Bien sûr.
17:15 Une danse composée de jazz, de hip-hop et de contemporain.
17:18 Je suis allée à l'école de Joël Méliot.
17:20 Rihanna est enceinte.
17:22 Elle annonçait ça quand ça se...
17:24 Ça, c'est de la danse girlie.
17:26 Ça, c'est de la danse girlie.
17:28 Le fitu, ça vous gère.
17:30 Ils s'ambiancent.
17:32 Ça, c'est de la danse girlie ?
17:33 Oui, c'est de la danse girlie.
17:34 Il y a qui dans le package des girlies ?
17:36 Dans le package des girlies, il y a le jazz,
17:38 il y a le hip-hop et le contemporain.
17:40 C'est propre à Rihanna ou il y a d'autres personnes ?
17:42 Non, il y a d'autres personnes.
17:44 Rihanna l'exploite beaucoup.
17:45 Il y a Beyoncé, Pépi.
17:47 Oui, exactement.
17:49 C'est super inclusif comme danse.
17:51 Oui, c'est super inclusif.
17:53 Je vais répondre à ça juste après.
17:55 On regarde d'abord.
17:56 Je suis allée à l'école de Joël Méliot qui propose cette danse.
17:58 Elle est connue notamment pour la danse classique.
18:00 En centre-ville de Saint-Etienne.
18:01 En centre-ville de Saint-Etienne, exactement.
18:03 Moi, j'étais allé une fois, j'avais fait des techniques de pointe.
18:05 On va voir ce qui te restera.
18:07 Elle est là.
18:08 Elle est là, je vais te tester.
18:09 Elle est avec son bâton, même.
18:10 On regarde le sujet.
18:12 Aujourd'hui, on se retrouve à l'école de Joël Méliot à Saint-Etienne.
18:20 Non pas pour la danse classique, vous allez le voir, mais pour la danse girlie.
18:24 Et ce n'est pas que du rose.
18:25 Venez avec moi.
18:26 Melinda, ça fait 9 ans que tu enseignes le girlie.
18:33 C'est bien ça.
18:34 Explique-nous un petit peu ce que c'est.
18:35 Pour moi, le girlie, c'est une pratique de danse qui mêle la féminité et le dynamisme.
18:41 Les filles, quand elles viennent prendre un cours de girlie,
18:45 elles sont là pour s'amuser avant tout, s'affirmer, prendre confiance en elles.
18:49 Et comment s'est né le girlie ?
18:51 Le girlie, c'est en fait, de la base, c'est le modern jazz qui a été modernisé.
18:56 Surtout avec l'affluence des groupes de musique, des chanteuses.
19:01 Zerriana, tout à l'heure, l'équipe un peu…
19:03 Voilà, exactement.
19:04 Avec aussi énormément l'application TikTok qui a énormément joué aussi.
19:09 Et du coup, ça vient de là.
19:11 Bon, on va voir ça.
19:12 Là, je n'arrive pas à faire le rond.
19:23 Tu décales à droite, tu passes devant et on tourne.
19:26 Et hop, voilà, c'est ça.
19:27 J'avais besoin d'un petit ajustement.
19:29 Je vais m'abstenir, je pense.
19:36 C'était bien à la partie du début, on allait doucement, tout ça.
19:39 On va aller voir Hermione.
19:42 Ça fait combien de temps que tu fais du girlie ?
19:44 Ça fait à peu près 5 ans que j'en fais.
19:47 Et qu'est-ce que t'aimes bien ?
19:48 Ça donne confiance en soi et c'est un moyen aussi de s'exprimer.
19:53 Autre chose que le classique ou le modern jazz qu'on a l'habitude de voir.
19:57 On va s'étirer un petit peu avec toi, Pauline.
20:03 Ça fait combien de temps que tu fais du girlie ?
20:05 C'est ma première année, moi, ici.
20:07 Et comme tu es dans une phase d'adolescence,
20:10 est-ce que ça t'aide à t'accepter dans ton corps, à s'affirmer ?
20:14 Oui, parce que la danse, c'est un moyen de s'exprimer,
20:17 d'extérioriser tout ce qu'on a pu accumuler.
20:19 Je trouve que c'est un bon moyen.
20:21 Vous l'aurez compris, si vous voulez danser comme les stars du Super Bowl,
20:27 Rihanna, Katy Perry ou Beyoncé, c'est du girlie qu'il faut que vous fassiez.
20:31 Je suis sûre qu'il y a un club près de chez vous, venez tester.
20:33 On a une tonne de questions.
20:45 C'est vrai que c'est des mouvements très…
20:49 Il y a ce côté fluide, il y a aussi ce côté sensuel, féminin,
20:53 de l'assurance aussi.
20:54 Comme on disait, je reviens dessus, Julien,
20:57 les adolescentes, on a un corps qui change, etc.
21:00 Ce genre de danse permet de s'affirmer.
21:02 Les adolescentes, excuse-moi, les adolescents, mon fils est en train de changer.
21:07 Peuvent s'affirmer avec le girlie ?
21:11 La danse girlie, ça renvoie au côté féminin, le côté sexy, etc.
21:15 Et rose ?
21:16 Et rose, mais ce n'est pas que du rose, comme je l'ai dit dans l'illustration.
21:19 Ça dépend de l'interprétation.
21:21 Vous allez là, c'est votre bleu, juste derrière vous.
21:25 On a des danses qui peuvent être tout à fait faites par des garçons.
21:29 Ça dépend de l'interprétation.
21:31 D'accord.
21:32 Donc là, les doudounes blanches que Rihanna avait au Super Bowl,
21:35 oui, il y a des hommes.
21:36 Oui, voilà.
21:37 En tout cas, vous, il n'y avait que des femmes dans la salle.
21:39 Là, pour le coup, il n'y avait que des femmes, mais les hommes sont les bienvenus.
21:43 Je la connais un petit peu, Joël Mérieux.
21:45 Je croyais qu'il allait dire Rihanna.
21:47 Je peux pas tout dire, mais...
21:51 Elle est venue à mon anniversaire.
21:53 Elle était pas enceinte pour lui.
21:55 Comment on peut passer de la danse classique à ça ?
21:58 Ça n'a rien à voir de danse classique.
22:00 On va lui poser la question, justement.
22:02 Elle sera là ?
22:03 Eh oui, elle sera là à la démonstration.
22:06 Vous allez voir, je vais lui poser cette question-là.
22:09 Il ne faut pas se poyer.
22:10 Parce qu'à la fin d'émission, il y a des mots.
22:12 Oui, il faut être plus attentif.
22:14 Eh les gars, vous avez le temps de plafond.
22:16 On a 9 mètres, les plateformes vont descendre.
22:18 Le girlish, c'est une danse qui a vraiment évolué avec les années.
22:21 Et puis du coup, l'influence des clips de Rihanna.
22:24 Laurent Pouy, quand on voit ça, on a envie d'aller sur Dancefloor ou pas ?
22:26 Ça me fait penser à Carlos quand il était jeune.
22:29 Après, non, moi je ne m'y vois pas vraiment.
22:32 On essayera tous les deux.
22:34 Il faut essayer.
22:35 Il faut essayer pour savoir.
22:36 Il y a des championnats liés à cette danse, comme dit des fois.
22:39 Non mais je ne sais pas, il y a des danses que je joue, il y a des championnats.
22:41 Avec des concours.
22:42 Vous pourrez ouvrir l'Open NJ avec ça.
22:45 Ça pourrait être intéressant.
22:47 Vous allez pouvoir faire affaire avec Joël.
22:49 Juste avant la finale.
22:51 Et à la mi-temps.
22:52 Ah non, il n'y a pas de mi-temps.
22:53 Peut-être pas.
22:54 Entre deux sets.
22:57 Ils sont présents sur la Croix.
23:00 Merci à vous.
23:01 On va l'inviter à l'NJ pour voir.
23:04 Elle me dira si c'est potentiellement possible.
23:06 En noir et blanc, on la voit super bien à la télé.
23:08 Ils sont présents.
23:09 Vous n'allez pas loin.
23:10 Vous y étiez votre place dans quelques instants.
23:12 Notre spécialiste à rallye, ils sont là, sur la Croix.
23:14 Faites coucou.
23:15 Jean-Louis, vous êtes prêt ?
23:16 Ça va aller très vite.
23:17 Merci beaucoup.
23:18 Vous allez voir tout de suite après cette petite virgule.
23:25 Alors Jean-Louis, ça fait un moment que vous me parlez de secrets.
23:29 Il ne veut pas venir avec un secret.
23:31 Quel secret ?
23:32 D'abord, on applaudit très fort Pascal Cléret.
23:34 Bonsoir Pascal.
23:35 Ça faisait longtemps que je voulais t'inviter Pascal.
23:38 Et puis Pascal m'a dit, oui mais bon, attends un petit peu.
23:41 Parce que j'ai peut-être une annonce à faire.
23:43 Ça fait un an qu'on attend.
23:45 Il y a une petite annonce surprise, mais on ne va pas la donner tout de suite.
23:47 Et c'est Rihanna qui fait l'ouverture.
23:51 Qui fait un danse girly.
23:52 Alors il faut savoir que Pascal roule avec une voiture mythique.
23:55 On va en parler, mais on va surtout l'écouter.
23:57 On va l'écouter tout de suite, parce qu'on a un joli son que vous allez entendre.
24:00 C'est un son mythique.
24:01 C'est la 306 Maxi, avec un 2 litres atmosphérique.
24:04 Donc une voiture mythique.
24:05 Avec la 4 de Pascal.
24:07 Toi tu roules depuis 2006 maintenant.
24:09 Donc ça c'est une voiture, tu as fait énormément de rallye avec.
24:13 Est-ce que ça reste encore un rêve éveillé pour toi ?
24:15 Oui, c'est toujours un plaisir de rouler avec cette voiture.
24:19 Pour le moment, il n'y a pas autre chose que je trouve qui est plaisante à conduire.
24:25 Mais pourquoi ? C'est quoi la tenue de route, le bruit ?
24:27 Comment le bruit on l'entend ?
24:28 Le bruit c'est vivant, ça bouge.
24:30 D'Argentina ça c'est vivant.
24:34 Moi c'est une voiture que j'allais voir quand j'étais jeune au bord de la route,
24:39 qui me faisait rêver.
24:40 Quand vous étiez jeune.
24:41 Mais attends, la 306 Maxi c'est ?
24:43 Elle a commencé en 1995.
24:45 Ah oui, je ne pensais pas que c'était si vieux.
24:48 Elle est de 1995.
24:50 Pascal, est-ce que tu peux nous la décrire techniquement ?
24:53 C'est 300 chevaux sur les roues à 20.
24:56 C'est tout ?
24:57 Le poids c'est 1 tonne 20.
24:59 Après il y a les roues 18 dessus.
25:04 Boîte 6, boîte 7.
25:06 Elle a existé en boîte 7 ?
25:07 Oui, les vraies usines avaient la boîte 7.
25:10 C'est une boîte X-TRAC séquentielle.
25:13 On tire pour monter les vitesses et on pousse pour les descendre.
25:16 Pas mal ça.
25:17 On ne sert pas de l'embrayage en fait.
25:19 Vous l'avez eue en quelle année ?
25:20 Je l'ai achetée en 2007.
25:22 Ah ouais, 2007.
25:23 Ce n'est pas en 2006 non ?
25:24 Non, en 2006 j'ai gagné mon Brison avec une location.
25:28 La dernière qui était championne de France,
25:30 je crois que Jean-Marie Cuoc m'avait louée.
25:32 Oui.
25:33 Donc il ne faut pas lui la faire.
25:35 Donc tu avais bien roulé en 2006.
25:37 Oui, oui, oui, exact.
25:38 J'étais venu à TL7 à Andrézieux.
25:40 J'avais été invité.
25:41 Alors aujourd'hui, tu es le seul par chez nous à courir avec ce genre de voiture.
25:45 Donc ça veut dire qu'il y a certaines contraintes quand même à rouler avec cette voiture.
25:48 J'ai entendu parce que pour l'avoir vue l'autre fois à Saint-Éloch,
25:52 on dit pour la faire tourner.
25:54 C'est quoi ? C'est des coups d'exploitation ?
25:56 J'en avais vu une à Saint-Éloch ?
25:57 Oui, il y en a une.
25:58 Dans le couloir.
25:59 Oui, il y en a une.
26:00 Il y a un moment qu'elle y est.
26:03 Ça fait un moment.
26:04 Oui, ça coûte cher à faire rouler.
26:07 Parce que tous les 1000 km, il faut réviser le moteur.
26:09 Ah ouais, ça va vite quand même.
26:11 5000 km de chrono.
26:13 Il faut savoir qu'un rallye national en moyenne, c'est 120-130 km.
26:17 Et un régional, c'est 40.
26:19 Donc les révisions coûtent cher.
26:22 Et puis pareil, l'entretien, la boîte à vitesses et l'embrayage.
26:25 Et les pièces, elles sont un peu rares, non ?
26:27 Le moteur, non.
26:28 Mais après, il y a des pièces, oui.
26:30 Les boîtes à vitesses, c'est introuvable.
26:33 Ah ouais ?
26:34 Oui, ça devient introuvable.
26:35 Jean-Luc n'aime pas de passer des boîtes à vitesses à chaque...
26:37 C'est pas le même fournisseur.
26:39 C'est un fouillon ?
26:40 Oui, mais il a un bon fournisseur.
26:42 Et puis voilà, elles se font plus, en fait, ces pièces-là.
26:45 C'est compliqué, oui.
26:48 Avec cette voiture, beaucoup de podium scratch.
26:50 Un classement général, évidemment.
26:52 Quelques victoires scratch également, notamment au Mont-Bruisonnais.
26:55 Plusieurs fois au Mont-Bruisonnais.
26:56 Quelle est la victoire qui t'a le plus marqué, en fait ?
26:59 En 2006, la première fois que j'ai gagné.
27:02 C'était mon premier scratch.
27:03 Et puis avec le plateau qu'il y avait, j'aurais jamais dû gagner.
27:07 Il y avait quatre WRC.
27:09 Elles ont toutes abandonnées.
27:11 Donc j'aurais jamais dû gagner.
27:13 Et puis après, c'est pas vraiment une victoire.
27:16 J'ai un souvenir qui me restera toujours.
27:20 Au Rallye des Noirs, il y avait David Salanon,
27:24 il y avait Jean-Marie Cuyoc et Cédric Robert avec une Clio ER3.
27:28 La grosse team.
27:29 Et ça, c'est fini.
27:31 Et ça, c'est fini.
27:32 David Salanon a gagné avec la 207, Jean-Marie avec la 306.
27:36 Parce qu'ils faisaient une confrontation.
27:38 306, 207.
27:41 Et moi, j'ai réussi à tenir Cédric Robert qui était avec la Clio ER3.
27:45 Et j'ai fini troisième.
27:47 Donc une belle performance.
27:48 Donc là, j'étais content parce qu'il y avait trois personnes autour de moi
27:52 qui sont quand même des références.
27:54 Alors je connais Jean-Louis, et je sais que Jean-Louis aime bien revenir sur le passé.
27:57 On vous connaît un petit peu.
27:59 Pascal me connaît bien aussi.
28:00 Il sait que je suis nostalgique.
28:01 Et on va parler un petit peu de la BMW.
28:03 C'était presque ta première voiture.
28:05 T'as démarré avec une GT Turbo.
28:06 On a la VHS. Est-ce que vous pouvez nous mettre la VHS ?
28:09 Voilà, c'est des photos.
28:11 Avec un appareil jetable peut-être à l'époque.
28:13 C'était construit par mes propres mains.
28:16 C'est vrai ?
28:17 Oui, j'ai tout fait sur cette voiture.
28:19 Qu'est-ce qu'elle est belle cette voiture ?
28:20 Tout, tout, tout.
28:21 En fait, il n'y avait que le toit, les quatre montants qui étaient en tôle.
28:24 Tout le reste était en polyester.
28:26 Complètement tout en polyester.
28:27 Alors attendez, vous avez commencé avec une propulsion.
28:30 J'ai roulé 13 ans en propulsion.
28:32 Et vous avez fini avec une traction.
28:33 Oui.
28:34 Ça se pilote pareil, on est d'accord ?
28:36 À part qu'on n'est pas dans le bon sens.
28:37 Voilà.
28:38 Je tiens à dire, je vais le dire en place de Pascal, il ne va pas le dire lui-même.
28:41 C'est qu'il a vraiment un style très, très propre.
28:43 Quand on le voit passer, on se dit « waouh, il sait vraiment ce qu'il fait ».
28:46 Vous ne nous avez pas sélectionné des passages ?
28:48 Pascal, c'est quelqu'un, on a vu pas mal de passages avec la GT6 Maxi.
28:50 On peut en revoir également.
28:51 C'est vraiment quelqu'un de très sûr en termes de pilotage.
28:55 Et des sorties de route, il n'y en a pas eu beaucoup, franchement.
28:57 Moi, je ne me souviens pas beaucoup à part la BMW.
28:59 Vous n'abimez pas trop la route pour les autres, c'est bien ça.
29:02 Les pneus sont propres à la fin.
29:04 Non, il les sollicite, il fait quand même des très bons chronos.
29:07 Donc c'est vraiment un excellent pilote.
29:09 Après, c'est clair que conduire propre, ça paye.
29:11 Ça a toujours payé.
29:12 C'est quelqu'un de très concentré.
29:13 On l'a vu ce week-end au Monte-Carlo.
29:16 Il faut voir comment faire un poule propre.
29:19 C'est millimétré, c'est…
29:21 Voilà.
29:22 Bon alors maintenant, on va enfin révéler la surprise.
29:26 La surprise, wow, Yuza !
29:28 Tu peux finir sur la 306, Maxime, parce que j'adore ça.
29:30 Elle va passer dans le domaine voiture de collection ?
29:33 Oui, elle va passer en VHC.
29:35 Vous en faites quoi ?
29:36 Pour le moment, je reste en modem.
29:37 Où est la Satéloc ?
29:38 Celle de Satéloc, je sais qu'elle était à vendre.
29:41 Elle n'est pas encore prête pour passer en VH, hein, Pascal.
29:44 Non, non, c'est au bout de 30 ans, je crois.
29:46 Oui, alors il y a des périodes qui se libèrent.
29:48 Il y a des périodes qui se libèrent, oui.
29:49 On ne sait pas trop encore…
29:50 Là, il va y avoir les escorts qui vont arriver, les chiroits.
29:52 Oui, c'est pas mal, ça.
29:53 Les chiroits qui arrivent, oui.
29:54 Les voitures à partir de 1991.
29:56 Elles vont arriver.
29:57 Et après, nous, on arrivera derrière, les Mégane, les Kickers…
29:59 Est-ce que ça vaut des petits sous sous, maintenant ?
30:01 200 000, je crois que j'ai regardé la code sur le bon coin, là.
30:05 Ça dépend de l'historique, du pan de marée.
30:08 Mais c'est vrai que ce sont des voitures très très chères.
30:10 Bon, allez, on ne peut plus attendre.
30:11 Oui, cadeau, cadeau, cadeau !
30:12 Je voulais en savoir, parce qu'il ne l'a pas encore.
30:14 J'ai annoncé une mariage, j'ai annoncé une joie de anniversaire.
30:17 C'est une citation.
30:18 C'est une nouvelle citation que j'ai créée, à l'instant.
30:21 Bonne année, sans prendre en compte.
30:23 Je le vois, là, il trépide.
30:24 Pascal, ça semble à une nouvelle exhibition, ça.
30:26 Je voulais remiser la 306, moins rouler avec.
30:29 Et puis, chercher une auto.
30:30 Et puis, j'avais commencé à regarder pour acheter une Porsche, une GT+.
30:34 Ah oui, c'est vrai, ça.
30:35 Parce que ça me plaît bien aussi, parce que c'est sympa à conduire.
30:38 Et puis, le prix était dans mes cordes.
30:42 Et le bruit est grisant, aussi.
30:44 C'est vraiment…
30:45 C'est la même lignée qu'à la 306.
30:47 Et on remet ses amours avec, quand même.
30:49 C'est deux voitures, c'est un bruit, c'est magique.
30:52 Et alors, c'est ça, c'est une Porsche ?
30:53 Et puis, non, ça n'a pas fait.
30:54 On me dit, il y a une Fiat Bravo sur le pont, c'est la haute.
30:57 J'ai un ami qui avait une Skoda à vendre.
31:00 Je l'ai appelée parce que j'ai demandé si il la vendait,
31:02 parce qu'il avait acheté une autre voiture.
31:03 Il m'a dit, oui, oui, je la vends, et on est tombés d'accord.
31:06 Une R5 ?
31:08 Voilà, une Skoda R5.
31:09 On l'appelle maintenant Skoda Rally 2.
31:11 Donc, on a quelques images de Skoda Rally 2.
31:13 C'est une ancienne génération, mais bon, ça reste...
31:15 C'est quoi, c'est pas celle-ci exactement ?
31:17 C'est pas les nouvelles générations, les RS.
31:19 Maintenant, ils sont sortis les RS, les nouvelles.
31:21 Alors, qu'est-ce qui...
31:22 Comment tu as fait ce choix, en fait ?
31:24 Qu'est-ce qui t'a finalement fait vers cette voiture ?
31:26 Parce que je ne savais pas trop quoi acheter.
31:28 Et puis, l'ami qui me la vend, je sais qui c'est,
31:32 donc je le connais par cœur.
31:33 Bien entretenu, c'est ça.
31:34 Voilà, il l'avait cassée à Montbrison,
31:36 et il l'a refaite entièrement neuve.
31:38 Donc, j'ai été la voir, et je lui fais entièrement...
31:41 Vous l'avez vue, mais est-ce que vous avez fait des petits tours avec ?
31:43 Non, non, pas encore.
31:44 Ah, mais vous n'avez toujours pas roulé avec ?
31:45 Non, elle n'était pas finie.
31:46 C'est dur.
31:47 Vous imaginez que moi, je suis sur un VTT, là.
31:49 J'ai dit, je ne l'achète pas tant que je n'ai pas testé.
31:51 Alors, je ne sais pas d'où vous faites, vous.
31:52 C'est la seule voiture avec laquelle je n'ai pas roulé.
31:54 J'ai essayé presque toutes les voitures.
31:56 Et alors, elle est dans le garage ou pas ?
31:57 Les WRC, j'ai roulé avec la 307,
31:59 j'ai roulé avec la Azzara,
32:01 j'ai roulé avec la Fiesta WRC,
32:03 en Clio R3, Clio Super 1600.
32:07 Et elle, vous allez la tester quand ?
32:09 Je n'ai jamais roulé avec.
32:10 Moi, je n'y connais rien.
32:11 Ça va avec quoi, la différence avec la 306 Maxi ?
32:13 C'est 4 roues motrices,
32:15 et c'est 300 chevaux,
32:17 et puis c'est des voitures récentes.
32:19 Combien de chevaux, vous avez dit ?
32:20 300 chevaux à peu près, autant que la 306.
32:22 Donc, tu l'as dit, tu as roulé déjà en WRC,
32:25 avec des WRC qui étaient déjà en 4 roues motrices,
32:27 donc là, tu appréhendes finalement pas trop mal,
32:30 je dirais, la prise en main de cette voiture.
32:31 Non, il va falloir que je la mette à ma main,
32:34 et puis voilà, j'arrive à régler les choses comme il faut,
32:37 parce que là, il y a plein de possibilités de réglages sur cette voiture.
32:40 C'est des voitures modernes, c'est des voitures récentes.
32:42 La 306, moi, je...
32:43 Et moins chère peut-être d'entretien ?
32:45 Oui, voilà, ça coûte...
32:46 C'est aussi ça, vous regardez en dessous.
32:47 Ça coûte très cher à l'achat,
32:48 mais en fait de fonctionnement, ça coûte moins cher.
32:50 Ils enlèvent son espécialisme un petit peu.
32:51 Oui, oui, mais ça se voit, ça se voit.
32:53 C'est bien, c'est bien.
32:54 Non, mais j'ai un tiers de l'entretien, mais non.
32:56 Non, mais si, ça viendra, ça viendra, l'idée.
32:58 Ça viendra, mais c'est avec le temps.
32:59 Il faudra lui faire faire un tour de Clio, William, c'est le problème.
33:01 Ah, mais oui, oui, oui.
33:02 C'est plus lui, ça.
33:03 Mais du coup, la 306, vous ne l'utilisez plus, il y a moyen de...
33:06 Ben si, je l'utiliserai peut-être encore un peu, je ne sais pas,
33:08 je roulerai peut-être encore sur quelques rallies.
33:10 Mais est-ce que vous avez votre planning, justement, pour la Skoda ?
33:12 Oui, t'as prévu quelle rallye cette année ?
33:14 Eh ben, cette année, on va faire le Saint-Galmier,
33:16 ça fait 13 ans que je ne l'ai pas faite.
33:17 Avec la Skoda, du coup ?
33:18 Avec la Skoda, oui.
33:19 Et puis après, ce sera le premier rallye avec la Skoda.
33:22 Et tes ambitions avec la voiture ?
33:23 Je n'en sais rien, je ne sais pas.
33:25 On attend de voir.
33:26 Oui, voilà, on verra, on va s'adapter.
33:28 À suivre !
33:29 Donc, je n'ai jamais roulé avec des aires de voiture, alors.
33:31 J'avais toujours dit que je voulais essayer, et que j'essayerai un jour.
33:33 J'ai dit, j'essayerai avant de prendre la retraite, mais si jamais, bon...
33:37 Oh, la retraite, elle est bien loin, alors.
33:39 Il y avait quelqu'un qui voulait m'en louer une, il m'a dit,
33:41 "Allez, essaye, essaye", et puis ça ne s'est pas fait.
33:43 Et puis, voilà.
33:44 Alors, pour conclure, Julien, je me suis laissé entendre dire que, sur mon brison,
33:47 on commence à te surnommer "Pépé Lopez".
33:50 Alors, Pépé Lopez, c'est un pilote très connu en rallye 2,
33:53 c'est un des meilleurs qu'on a vus d'ailleurs ce week-end au Monte-Carlo.
33:56 Tout ce que je te souhaite, en tout cas, c'est que ça te porte bonheur.
33:59 Et que ce nouveau surnom te porte bonheur pour cette nouvelle saison.
34:01 Merci à vous, Pascal.
34:02 Il faut rester avec nous, Pépé !
34:04 Il faudra simplement rajouter un petit truc.
34:09 Je fais partie des anciens...
34:13 Maintenant, je roule contre les fils d'eux.
34:15 Je voudrais simplement remercier, moi, ça fait 35 ans que je roule,
34:18 les organisateurs d'épreuves, tous les présidents d'AZA qui se démènent pour nous.
34:22 On ira les voir un jour, faire une grosse émission.
34:24 Oui, c'est vrai, parce que c'est des gens qui...
34:26 C'est de plus en plus compliqué.
34:28 Et puis, remercier tous les commissaires qui sont bénévoles,
34:30 qui, tous les week-ends...
34:31 Oui, c'est vrai, j'ai appris ça.
34:32 Vous pouvez leur faire une ovation, à ces gens-là.
34:34 Parce que, croyez-moi, c'est vraiment...
34:36 On arrive à Rosy Yacine !
34:37 Non, ils sont bénévoles, ils sont bénévoles, et c'est compliqué aujourd'hui.
34:41 Moi aussi, je suis un bénévole.
34:43 Pascal, c'est vraiment partie des pilotes qui reconnaissent le plus les commissaires.
34:47 C'est compliqué aujourd'hui, c'est vraiment compliqué.
34:49 Pascal, vous êtes un bavard.
34:51 Comme vous, Julien.
34:53 Mais vous restez avec nous, le temps de petites vergunes, et on parle du casse.
34:56 Vous connaissez le casse, l'histoire du casse ?
34:58 Oui, j'ai fait du basket, oui.
34:59 Ah, très bien.
35:06 Il vous a lancé la perche, le casse, effectivement.
35:08 Ah oui, il m'a lancé la perche.
35:09 Mais ce n'était pas que ça.
35:10 Mais sur la mauvaise discipline.
35:11 Non, mais il y avait du basket, un saint.
35:14 Non, ça s'est passé à Saint-Sauveur.
35:15 Il y avait une foot, il y avait le rugby, basket, et là, on va parler du casse-volet, entre autres.
35:20 À la base, c'était un club omnisport.
35:22 Et vous le savez, d'en parler au Club, on est là pour découvrir l'histoire du Club.
35:26 Là, on part en 1970, à l'âge de création du casse-volet.
35:31 En noir et blanc, là.
35:32 C'est deux compères qui étaient du côté d'une entreprise qui a fermé.
35:35 Vous savez, à l'époque, on faisait le sport en entreprise.
35:37 L'entreprise a fermé, ils y faisaient du volet.
35:39 Ils se font aller toquer à la porte du casse, du coup, omnisport, en disant "Coucou les copains, est-ce qu'on peut créer une section volet ?"
35:49 Et ils ont dit "Pas de problème, par contre, trouvez du monde, quoi".
35:53 Et ils ont trouvé du monde.
35:54 Et après s'en suit une histoire assez sympa, puisque vous allez voir, le casse est monté très, très haut, très, très vite.
35:59 Et aujourd'hui, on va découvrir également où en est le casse-volet à l'heure actuelle.
36:05 Salut, bienvenue au casse-volet.
36:07 On est le seul club de la Loire à avoir des équipes masculines et féminines en national.
36:11 Salut Nicolas.
36:18 Alors toi, tu es président du club depuis 10 ans.
36:20 Mais retour en 1970, où René Le Librier et André Delorme créent le casse-volet.
36:26 Mais alors, c'est quoi l'histoire ?
36:28 C'était deux collègues qui travaillaient à l'usine de la SSCM, qui était une entreprise stéphanoise.
36:33 Et qui, l'usine ayant fait faillite, ils avaient une section volée dans l'usine.
36:37 Ils ont été obligés d'aller demander au casse-volet, au casse athlétique de Saint-Etienne,
36:41 club Omnisport, de monter une section volée en 1970.
36:44 Et en plus, je crois qu'on a des champions.
36:46 Attends, écoute, André, c'est pas n'importe qui.
36:48 Il faut quand même savoir que M. Delorme a été adjoint au maire à la mairie.
36:51 Et en qualité d'escrimeur, il a fait les Jeux Olympiques de Membourne au fleuret.
36:56 Et René, le titi comme on l'appelle.
36:58 L'autre, non seulement, il est encore là, mais en plus, il vient nous voir jouer tous les dimanches.
37:02 Que ce soit les filles ou les garçons, c'est le plus fervent supporter.
37:05 Bon, on reprend la chronologie.
37:07 Au départ, forcément, on est un petit club.
37:09 Il va falloir se structurer.
37:10 Mais vous allez voir que ça va quand même assez vite.
37:12 Même moins de 10 ans.
37:13 Effectivement, en 78, ça accède au niveau national.
37:15 Ceci pendant quelques années, en national 3, national 2.
37:19 Et pour atteindre le Graal en 93, où le casse-volet se retrouve en national 1A,
37:24 qui est maintenant la pro A, finit 3e de ce championnat et atteint la Coupe d'Europe de CEV.
37:29 A l'époque, si on regarde bien, on a des gens comme Philippe Rossard, Pierre Angéli, Rodolphe Dubeau,
37:33 même des Brésiliens comme Furtado.
37:34 Et on a même Jean-Michel Bergeau qui entraîne encore chez nous.
37:37 Mais alors, par contre, je ne comprends pas.
37:38 Il y a des photos, vous êtes en vert et blanc.
37:40 Et les photos, vous êtes en rouge et noir.
37:42 Eh oui, la Coupe d'Europe oblige.
37:43 Pour être connue et reconnue dans toute la France, c'est le vert.
37:46 La mairie l'impose.
37:47 Et une fois que c'est redescendu, on a repris nos couleurs, qui étaient le rouge et le noir.
37:50 Quoi ? Vous êtes redescendu ? Mais c'est quoi cette affaire ?
37:53 La finance n'était pas bonne. Il y a retrogradé un petit peu au niveau national.
37:56 Par contre, dès les derniers 2000, le club rebondit avec une autre philosophie,
38:00 beaucoup de formations et surtout une féminisation du club.
38:03 Et il me semble même que vous êtes le meilleur club formateur d'Aubergne-Renalps.
38:06 Mais alors, pourquoi ?
38:08 Parce que depuis 10 ans, notre objectif, c'est vraiment, vraiment de partir sur une politique de formation
38:12 avec des très bons formateurs.
38:14 Pourquoi ? Pour, sur le long terme, essayer de réatteindre l'élite,
38:16 mais avec nos enfants formés chez nous.
38:18 Bon, et alors aujourd'hui, on en est où ?
38:20 Aujourd'hui, le club, c'est 250 licenciés.
38:22 J'insiste là-dessus, 200 jeunes, parce qu'on est un club formateur.
38:25 Les gars, ça joue en National 3. Les filles, ça joue en National 2.
38:28 Et pour la Loire, ça a été la meilleure équipe féminine de cette année 2023.
38:31 Eh bien, très bien. Longue vie aux Caisses Bolets.
38:34 Au cas où les tés spectateurs n'ont pas reconnu, c'était bien vous, Lilian.
38:41 Alors, qu'est-ce qui vous a surpris en faisant ce reportage ?
38:45 Ce qui m'a surpris, c'est la fois la montée qui a eu lieu entre 93,
38:49 c'est-à-dire de structurer un club aussi vite, vite se positionner en National et en Pro A
38:53 pour pouvoir jouer de grosses compétitions comme l'Europe.
38:56 Et puis après, il y a eu une chute parce qu'il y a eu des problèmes financiers.
38:59 Et ils ont su également rebrandir aujourd'hui en étant pionniers dans le volet féminin
39:04 et même très, très bons, très bien classés en Auvergne Rhône-Alpes dans le volet féminin.
39:08 Et puis avec cette formation des jeunes.
39:10 Voilà. Merci à vous, Lilian. C'était pas long club qu'on retrouvera dans 15 jours.
39:14 Exactement.
39:15 Une petite virgule et on parle de foot.
39:17 [Musique]
39:21 Oh non, ça craint.
39:23 Alors Laurent, vous êtes revenu autour de la table.
39:26 Si je vous pose cette question, est-ce que vous auriez été prêt à partir à l'étranger
39:30 pour vivre pleinement votre sport ?
39:32 Absolument.
39:33 Vous l'auriez fait ?
39:34 Oui, oui.
39:35 Oui ? Eh bien, c'est le cas de la famille Deville.
39:37 On connaît le papa et la maman, Franck Deville.
39:40 Vous savez, les macarons, mais on connaît très peu les enfants.
39:44 Un peu moins les deux frères.
39:45 On avait fait le portrait de…
39:46 Trois même.
39:47 On avait fait le portrait du fiston qui est parti en Espagne il y a deux ans.
39:50 Eh bien, vous savez quoi ?
39:51 Son petit frère a décidé de le rejoindre en Espagne.
39:54 Et Lilian, avec Adrien Ponçart, qui est toujours en convoi à l'essence,
39:57 et qu'on embrasse, des gros bisous, il est au fond de son canapé,
40:00 qui nous regarde.
40:01 Ah, mec, ça gorge.
40:02 Qu'est-ce qui vous a surpris quand vous l'avez vu ?
40:05 Ça fait deux fois.
40:06 Vous êtes très surpris comme gars.
40:07 Moi, j'arrête pas d'être surpris ce soir.
40:09 Non, c'était très bien de voir les deux frères qui étaient passionnés
40:12 et ils n'ont pas envie de bouger de là-bas, en fait.
40:14 Donc, pour le savoir, ils sont trop petits, soit disant,
40:17 pour être gardiens.
40:18 Ils sont gardiens tous les deux.
40:19 En France, pour être gardiens en France.
40:20 Pour être gardiens en France.
40:21 Une certaine taille.
40:22 Et donc, du coup, l'Espagne, aujourd'hui, regarde beaucoup plus la technicité
40:25 que la taille et le gabarit.
40:27 Et juste pour vous dire, je crois qu'un certain buteur français
40:31 qui est au Réal, voilà, était trop petit et il est parti aussi en Espagne.
40:36 Vous voyez de qui ?
40:37 C'est Griezmann.
40:38 Exactement.
40:39 Même Jeannot, il était petit, il était un très bon gardien.
40:41 Mais il a été formé par le même entraîneur.
40:44 On regarde le sujet, on est encore là demain.
40:46 On a dépassé.
40:47 Bonjour, nous nous retrouvons aujourd'hui au stade de l'Envol Stadium
40:59 pour parler des enfants de ville.
41:01 Maxence, qui évolue au club de Hardavay,
41:03 et Nathan, qui évolue au Rayo Maradondo.
41:05 Deux clubs espagnols, ils vont nous parler de leur aventure,
41:08 de tout ce qui se passe pour eux
41:09 et tout le bonheur qu'ils ont joué au football.
41:10 De plus, ils ont eu la chance d'avoir Jeannot Dès,
41:12 entraîneur emblématique des gardiens.
41:13 Ils ont eu la chance de l'avoir comme préparateur physique
41:15 et il va nous parler de ces deux petits jeunes.
41:17 Bon les gars, on se retrouve dans les salons du stade.
41:19 Pourquoi cette décision de partir en Espagne au lieu de rester en France ?
41:22 Notre type de gardien, nous on est des petits gardiens,
41:25 ce n'est pas le profil type d'ici en France.
41:28 Il est plus monnaie notre style de jeu, à nos gamins.
41:32 Donc c'est un gros point qui a fait qu'on est parti en Espagne.
41:36 Partir en Espagne, ça vous a permis d'avoir plus de chances de jouer ?
41:39 C'est ça, on va dire qu'ils regardent moins la taille d'abord.
41:42 Ils regardent d'abord ton niveau.
41:44 Le type de journée d'entraînement en Espagne,
41:47 est-ce que vous avez les mêmes préparations qu'en France ?
41:50 Par exemple, dans des entraînements de type en France,
41:52 on va placer par exemple un mercredi avec un 15-15, 30-30 etc.
41:57 En Espagne, il n'y a pas du tout de…
41:59 Tout ce travail physique, c'est plus mené avec ballon.
42:02 Il n'y aura jamais de travail physique sans ballon.
42:04 Le préparateur que vous avez en France,
42:05 vous serez pas le faire venir avec vous en Espagne ?
42:06 Ah oui, oui, 100%.
42:08 Vous pouvez me parler un petit peu du préparateur que vous avez en France ?
42:11 Jeannot Deyes, pour moi c'est l'un des meilleurs entraîneurs gardiens français.
42:16 Il a entraîné des grands noms quand même,
42:19 Jérémy Jeannot, Grégory Coupet.
42:21 C'est grâce à lui que j'ai continué dans le foot,
42:24 parce que j'étais à deux doigts de partir aux Etats-Unis.
42:27 Même par rapport à la prise de confiance en soi,
42:30 je pense que pour un gardien c'est super important
42:32 et il a réussi à nous transmettre ça, donc je le remercie.
42:36 Alors Jeannot, pour toi, qu'a formé ces deux jeunes,
42:38 ça doit être une fierté de les retrouver en Espagne maintenant ?
42:40 C'est à eux qu'ils le doivent, les qualités qu'ils ont démontrées,
42:44 mais c'est toujours très plaisant et valorisant pour un entraîneur de gardien
42:49 de voir les jeunes avec lesquels on travaille,
42:51 tenter leur chance ailleurs, connaître peut-être d'autres situations de travail,
42:55 d'autres mentalités, et là aujourd'hui, ça se fait en même temps et en même accént.
43:00 C'est un plaisir de pouvoir de nouveau les rencontrer,
43:03 aussi près, et puis d'entendre éventuellement tout le plaisir qu'ils viennent de prendre
43:08 et qu'ils continueront de prendre en tant que gardien en Espagne,
43:13 en l'occurrence, et pourquoi pas, peut-être dans un autre pays que là en France.
43:19 Comment se passe ton expérience pour le moment ?
43:21 Pour moi très très bien, je suis vraiment content, je suis titreur tous les matchs,
43:25 que ce soit pour les entraînements, entraînement de tous les jours,
43:27 entraînement gardien de tous les jours,
43:29 donc vraiment, pour moi, l'expérience se passe vraiment parfaitement.
43:34 La ferveur au niveau du football espagnol, est-elle mieux en Espagne ou mieux en France ?
43:39 Pour les petites équipes, je trouve qu'il y a plus de ferveur pour les petites équipes en Espagne.
43:44 Je pense qu'en France, on ne trouvera jamais par exemple une équipe qui est en National 3 R1 avec autant de personnes.
43:49 Quel serait ton rêve en tant que joueur ?
43:51 Pour moi, d'intégrer une équipe première, pouvoir en vivre correctement de ma passion,
43:56 pourquoi pas par la suite aller encore plus haut.
43:58 Peut-il y avoir un battle entre vous, vous vous rencontrez sur une rencontre de championnat ou de coupe ?
44:03 Ce serait un rêve, c'est sûr, ce serait toujours kiffant de jouer contre son frère,
44:07 sans ce qu'on a très peu d'amis d'écart, mais pourquoi pas ?
44:12 Ce serait incroyable, vraiment ce serait le rêve. Et bien sûr, vive la famille de Villes !
44:17 Yacine, vous êtes gardien de but ?
44:20 Exactement, grand gardien de but.
44:22 Vous serez parti à ?
44:23 1m80, surtout sur la taille.
44:24 Non mais c'est incroyable, la ferveur en Espagne !
44:26 Bien sûr, ils ont tellement bien fait, franchement, je conseille à tout le monde de faire ça.
44:29 Eux, ils n'en ont jamais pris 9 en un match.
44:31 Oh, attends, c'était une grosse écurie, arrête.
44:33 Non, non, mais c'était quelque chose de costaud, mais ils ont vraiment bien fait,
44:36 c'est des jeunes pleins d'espoir, et n'hésitez pas, c'est un message aux jeunes aussi,
44:39 si vous n'y arrivez pas ici, vous pouvez y arriver ailleurs.
44:41 Alors il y a le petit frère, parce qu'ils sont 3.
44:43 Oui, qui est défenseur.
44:44 Qui est défenseur.
44:45 Ce serait incroyable de voir au moins deux frères de Villes dans la même équipe.
44:48 En tout cas, on sait où Franck va passer ses vacances prochainement.
44:51 Dans quelques instants, Katharina, c'est la démo !
44:54 Joël, merci d'être là.
45:01 Vous êtes la créatrice de l'école Joël Merieux, une école de renom à Saint-Etienne,
45:05 donc vous êtes notamment connue pour la danse classique,
45:07 et vous avez ouvert une section "Girlie", donc pourquoi l'avoir créée, quelle est sa valeur ajoutée ?
45:13 Pour simplement, pour répondre à la demande du moment.
45:17 Il y a une dizaine d'années environ, le ragga à l'époque, qui est le "Girlie" aujourd'hui,
45:25 est arrivé en force, et nous avons trouvé judicieux d'ouvrir des cours.
45:29 Voilà, pour satisfaire la clientèle, nos élèves, et nos futurs élèves.
45:34 Avec Mélinda, la best !
45:36 Avec Mélinda, c'est ça exactement.
45:38 Très bien, on va passer à la démonstration, si vous voulez bien.
45:40 Les filles, vous êtes prêtes ?
45:42 Et nous aussi !
45:43 Et vous, vous êtes prêtes ?
45:44 Ah bah ouais !
45:46 On applaudit bien fort !
45:48 Attention !
45:50 3, 2, 1...
45:52 Je me crois au Super Bowl !
46:02 [Musique]
46:05 [Musique]
46:08 [Musique]
46:10 [Musique]
46:20 [Musique]
46:30 [Musique]
46:32 [Musique]
46:41 [Musique]
46:51 [Musique]
46:53 Moi, je danse comme ça, moi !
47:07 On peut les applaudir, bravo !
47:09 J'arrive, Katharina, venez !
47:11 Merci à vous, les filles, c'était super !
47:13 Et en plus, vous tombez dans l'actualité, parce que la semaine prochaine, c'est le Super Bowl !
47:17 Vous êtes au top !
47:19 Je suis au top, je suis au top, je suis au top !
47:21 J'ai l'impression que je suis au top, mais je danse bien sur la chaise !
47:24 Et je pense, peut-être, au frélein, peut-être l'ouverture de la 15ème édition de l'Open NJ ?
47:29 Laurent ? Pourquoi pas ?
47:31 Merci d'avoir suivi cette émission, on peut retrouver cette émission sur tous les réseaux sociaux, sur toutes les boxes !
47:37 Notre Instagram aussi !
47:39 Abonnez-vous et on vous dit à la semaine prochaine !
47:41 Ciao, bye bye !
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