A Votre Ecoute : Emission du 22 septembre 2023

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  • l’année dernière
Retrouvez À Votre Écoute avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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##A_VOTRE_ECOUTE-2023-09-22##
Transcript
00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente
00:06 Sud Radio à votre écoute, 16h-17h, Alexandre Delovane
00:11 Bonjour à tous, je suis ravi de vous accompagner durant cette heure et de terminer la semaine avec vous.
00:24 Vous souhaitez passer à l'antenne, c'est le 0826 300 300.
00:29 Alors les fins de semaine sont parfois épuisantes et en fonction des activités de chacun,
00:35 mais gérer le stress, les angoisses ou même la joie peut se faire au travers de votre respiration.
00:42 Et si à présent vous preniez conscience de cette respiration, de l'écouter, de la sentir
00:48 et de ressentir ce qu'elle exprime en vous, serait-elle votre petite voix intérieure,
00:54 qui vous guide, qui vous dit parfois de faire attention et de vous prévenir de certains dangers.
01:00 Car même si parfois vous perdez votre souffle à défaut d'un effort physique,
01:05 il peut être coupé par un trop-plein d'émotions, que ce soit positives ou négatives.
01:10 Alors adopter une respiration consciente, c'est vous donner à l'esprit un point d'ancrage
01:16 dans le moment présent et vous permettre aussi d'avoir une vision plus juste de votre devenir.
01:22 À 16h30, j'aurai le plaisir d'accueillir une nouvelle experte en la matière, Sylvia Schmitt,
01:27 coach vocale et sophrologue.
01:29 Elle nous parlera de sa discipline en tant que sophrologue,
01:32 mais surtout, elle nous donnera des conseils pour bien gérer sa respiration.
01:37 En attendant de respirer vos témoignages, le standard vous attend au 0826 300 300,
01:45 mais aussi vous pouvez échanger et partager vos avis sur le groupe Facebook à votre écoute.
01:50 Nous sommes en direct live sur YouTube et sur le live de Facebook.
01:54 Et aujourd'hui à la réalisation de l'émission, c'est Lucille, au standard, Aude et Jordane.
01:59 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delovane.
02:04 Et à travers le micro, j'entends respirer notre première auditrice, Sandra. Bonjour Sandra.
02:10 Bonjour Alexandre, bonjour tout le monde.
02:13 Bonjour, bienvenue sur Sud Radio.
02:15 Merci.
02:16 Alors Sandra, je vais aborder la question du jour.
02:20 Est-ce que vous avez conscience de votre respiration et est-ce que vous pratiquez une ou des techniques pour bien respirer ?
02:27 Alors moi, c'est mon défaut. Je ne respire pas bien, je sais.
02:30 D'accord.
02:31 Et je suis consciente de ça, c'est une catastrophe.
02:34 D'accord. Et est-ce que vous essayez de faire quelques efforts pour justement améliorer ?
02:40 Pas du tout.
02:41 Pas du tout. Bon, c'est très bien, moi c'est honnête.
02:44 Pas du tout, j'aimerais, mais voilà, il faut que je me penche sur la question.
02:47 Il faut que vous vous penchez sur la question.
02:49 Mais j'imagine qu'avec le temps et peut-être par rapport à certaines activités,
02:54 parfois on se dit qu'il va falloir vraiment s'y mettre, à bien respirer et à prendre du temps pour prendre soin de soi, non ?
03:00 Oui, il est très important de bien respirer, d'oxygéner son corps, son intérieur.
03:05 Je suis consciente de ça, mais c'est vrai que je n'applique pas du tout.
03:09 Bien sûr.
03:10 A l'heure actuelle, non.
03:11 Bon, en tous les cas, vous avez conscience de tout ça, donc c'est déjà parfait, c'est un premier pas.
03:15 Allez, aujourd'hui, vous nous appelez pour en savoir un peu plus sur votre situation professionnelle.
03:21 Sandra, parce que vous êtes dans un flou artistique, si on peut dire comme ça.
03:26 Exactement, je le perds, moi.
03:27 Voilà, auparavant vous étiez directrice d'une boutique de vêtements et de déco,
03:31 et au mois d'avril, vous avez ouvert une boutique éphémère.
03:34 Alors c'est un peu la tendance, les boutiques éphémères.
03:37 Complètement.
03:38 Mais vous, aujourd'hui, vous ne sentez pas vraiment à votre place dans ce job-là,
03:43 et vous avez une échéance au 30 septembre.
03:45 Le 30 septembre, c'est demain.
03:46 C'est ça.
03:47 Apparemment, vous avez du mal à avoir une visibilité sur votre devenir professionnel.
03:52 Alors vous vous avez appelé au bon endroit, parce que je vais essayer de vous aider dans ce sens-là.
03:57 Racontez-nous un petit peu pourquoi déjà vous avez changé de statut salarial au statut indépendant,
04:06 parce que d'avant vous travailliez pour soit un groupe ou une entreprise.
04:11 Et pourquoi aujourd'hui, vous ne vous sentez plus aussi à votre place ?
04:16 Écoutez, tout simplement, les choses de la vie faisant, j'ai voulu essayer l'entrepreneuriat.
04:24 Je suis donc actuellement entrepreneure, ou commerçante en tout cas.
04:29 Ça se passe bien.
04:31 Néanmoins, ayant toujours été salariée et travaillée en équipe,
04:34 c'est quelque chose que j'appréhende assez mal, ou en tout cas peu.
04:39 Et ce flou artistique dans le sens où au 30 septembre, qu'est-ce que je fais de mon hiver ?
04:46 Qu'est-ce que je suis de ma saison prochaine ?
04:49 Qu'est-ce que je fais en fait ? Est-ce que je reviens en tant que salariée ?
04:54 Est-ce que je continue dans ce parcours-là, dans cette voie-là ?
04:59 En fait, sincèrement, je suis perdue.
05:02 J'ai des projets dans la tête, mais consciemment, je ne sais pas.
05:06 Mais qu'est-ce qui vous amène à penser que vous n'êtes pas à votre place ?
05:10 Alors, je vais peut-être utiliser ce terme-là.
05:13 Non, je suis à ma place dans le commerce.
05:15 Je suis chez moi, c'est ma place.
05:19 C'est la chose pour laquelle je suis faite, je pense, sans prétention.
05:24 Mais est-ce que je reste effectivement… Est-ce que j'entreprends ?
05:29 Est-ce que j'entreprends quelque chose de plus pire ?
05:31 Voilà, c'est surtout à travailler toute seule.
05:35 Est-ce que c'est bien ma place dans ce niveau-là, en fait ?
05:38 Bien sûr. En fait, de ce que je ressens, et je crois que c'est valable pour tout le monde,
05:42 vous chercher une sécurité et d'avoir ce statut-là,
05:46 et notamment par rapport à l'expérience de cette boutique éphémère,
05:50 eh bien, ça manque de visibilité pour vous, et donc ça vous met dans une situation un peu insécuritaire.
05:55 Et c'est peut-être ça la problématique aujourd'hui,
05:59 et ce qui vous amène à avoir pas mal de doutes.
06:02 Mais ce qui est important, et peut-être à savoir aussi,
06:05 est-ce que cette expérience-là, depuis le mois d'avril, elle est positive pour vous ?
06:10 Oui. Alors, dans l'ensemble, humainement et intrinsèquement, oui.
06:15 Néanmoins, voilà, il y a quand même des doutes. J'ai quand même des doutes là-dessus.
06:18 D'accord. Mais ce qui est important, c'est de se nourrir des choses positives, des expériences positives.
06:23 Et vous êtes dans cette expérience positive. C'est pour ça que, pour moi, j'ai pas trop de doutes sur votre devenir.
06:29 Le seul doute, c'est justement cette période vide qui risque de se vivre,
06:36 et vous êtes en train, malheureusement, de le programmer ainsi.
06:41 Et durant cette période vide, là, il y a un gros doute qui s'installe,
06:45 il y a une peur, il y a un état de stress qui semble aussi ressortir.
06:50 Et il faut très vite anticiper pour justement le réduire et voir le faire disparaître.
06:56 Alors, pour moi, faites fonctionner vos réseaux.
06:59 Faites fonctionner vos réseaux, parce que je sens que c'est au travers des réseaux
07:03 où vous allez pouvoir rebondir, où il y a une opportunité, il y a quelque chose qui se présente à vous.
07:08 Et vous verrez que, même si aujourd'hui il n'y a pas de visibilité,
07:12 vous êtes à une échéance à quelques jours, parce que la fin du mois est proche.
07:16 Mais pour moi, vraiment, sur la période du mois d'octobre,
07:20 il y a un rebondissement sur peut-être des idées à remettre en place,
07:26 et peut-être que le statut salarial est un statut qui va mieux vous convenir pour l'instant.
07:32 Je ne dis pas que vous ne reviendrez pas en tant qu'indépendante,
07:36 je crois que de plus en plus, vous avez acquis une certaine forme d'assurance, de confiance.
07:45 Et donc, il y aura ce besoin à un moment donné de monter vous-même votre propre projet,
07:50 mais de perdurer dans le temps.
07:52 Mais pour l'instant, il y a encore ce doute, cette peur, cette crainte,
07:57 et je vous sens encore revenir avec un statut salarial.
08:01 Et là, ça vous permettra aussi de pouvoir laisser ce temps à la réflexion,
08:07 et surtout de saisir la bonne opportunité.
08:09 Parce que vous n'avez pas aujourd'hui la bonne opportunité qui vous permettra de franchir le pas.
08:15 - Complètement. Merci Alexandre.
08:18 - Voilà. Alors, à entendre dire, et là, on dirait que le problème est résolu, mais non !
08:25 - Non, non, mais en tout cas, la ligne de conduite est tracée.
08:29 - Voilà, très bien. C'est ce que je voulais vous transmettre,
08:32 et que vous puissiez aussi l'entendre de cette manière-là.
08:36 Donc, faites marcher vos réseaux et n'ayez aucune inquiétude,
08:40 ce mois d'octobre, il y aura des changements pour vous, d'accord ?
08:43 - Super, merci beaucoup. Merci Alexandre, merci à tout le monde. Au revoir.
08:47 - Merci Sandra pour votre témoignage et prenez soin de vous.
08:49 - Merci, au revoir.
08:50 - Allez, on vous attend au standard, au 0826 300 300.
08:54 On se retrouve dans quelques minutes avec Noémie.
08:57 Alors, Noémie s'est séparé de son conjoint après 17 ans de vie commune.
09:03 A tout de suite.
09:04 - Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
09:09 - Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de cette émission.
09:12 Une émission de confidence, de partage, une émission aussi d'accompagnement et de guidance,
09:17 comme avec Noémie, que nous allons retrouver dans quelques instants.
09:21 Alors, le saviez-vous, la respiration consciente est une forme de méditation
09:26 et un exercice de respiration destiné à réduire le stress et à se libérer de certains blocages.
09:32 Vous souhaitez témoigner, poser des questions ?
09:35 Je suis à votre écoute au 0826 300 300.
09:38 Ici à présent, on écoutait Noémie. Bonjour Noémie.
09:41 - Bonjour Alexandre.
09:43 - Bienvenue sur Sud Radio.
09:44 - Merci.
09:45 - Vous nous appelez de quelle région, Noémie ?
09:48 - Délande.
09:50 - Délande.
09:51 Alors, Noémie, je vais vous poser déjà la question du jour.
09:54 Est-ce que vous-même, vous avez pris conscience qu'il fallait se connecter à sa respiration ?
10:01 Et est-ce que si oui, vous avez une technique particulière ?
10:05 - Oui, oui, tout à fait.
10:07 Ça m'arrive, oui, de faire des exercices de respiration.
10:12 - Et vous en trouvez le bienfait de cette respiration ?
10:16 - Oui, oui, beaucoup.
10:18 - Beaucoup, exactement.
10:19 Alors, Noémie, on va aller directement à votre problématique.
10:23 Ça fait 17 ans que vous étiez en couple.
10:28 Ça faisait 17 ans que vous étiez paxée.
10:31 Et depuis deux ans, votre couple n'allait pas très bien.
10:35 Vous ne vous supportez plus.
10:37 Apparemment, c'est vous qui ne supportez plus la manière de parler de votre compagnon.
10:43 Et suite à des problèmes de santé, vous êtes retrouvée en arrêt de maladie tous les deux.
10:48 C'est bien ça ?
10:49 - Oui, c'est ça.
10:50 - Alors, ce qui n'a pas arrangé les choses,
10:53 et ça a rendu même l'ambiance plutôt pesante dans votre foyer.
10:57 Et il faut savoir aussi que vous avez deux filles dans votre mariage.
11:02 Et ces filles vous ont quand même soutenues dans cette épreuve.
11:05 Mais racontez-nous quelles sont les difficultés pour lesquelles vous avez décidé aujourd'hui
11:11 de vous séparer de votre compagnon.
11:13 Et comment vivez-vous votre quotidien ?
11:18 - Dans mon quotidien, je me retrouve toute seule.
11:22 - A votre initiative, c'est bien ça ?
11:25 - Oui, c'est moi qui ai décidé de partir parce que l'ambiance à la maison, c'était invivable.
11:31 - Alors, quand vous parlez d'ambiance, quel genre d'ambiance est invivable ?
11:36 - Disons que c'était un quotidien où on ne se parlait des fois pas du tout.
11:41 Ou alors c'était juste pour faire des reproches mutuellement.
11:47 - Noémie, pardonnez-moi, est-ce que ce n'est pas ce qui pourrait arriver, on va dire, pas à tous les couples,
11:54 mais avec l'usure du temps ?
11:57 Est-ce qu'un couple, s'il ne se renouvelle pas, s'il ne se pose pas les bonnes questions,
12:01 est-ce que ce n'est pas la logique des choses aujourd'hui ?
12:05 - Oui, tout à fait. Oui, je pense aussi, oui, bien sûr.
12:10 - Et est-ce que vous avez essayé tous les deux de faire des efforts à ce niveau-là pour essayer de vous reconstruire ?
12:15 - Non, pas vraiment.
12:18 - Vous, vous avez essayé ?
12:21 - Alors, j'ai essayé, j'ai essayé, rapprochement, par le dialogue,
12:26 et en fait, je me retrouvais face à un mur.
12:30 - Pourquoi ?
12:33 - Je ne sais pas, il se renferme dès qu'on évoquait des conversations qu'il n'avait peut-être pas envie.
12:40 Il se renfermait.
12:44 - C'est étrange parce que le lien qu'il a avec sa famille, est-ce que lui-même a coupé un peu ou s'est éloigné avec sa famille ?
12:52 - Alors, il faut savoir que son père était aussi comme ça.
13:00 En fait, il était irrespectueux envers sa mère.
13:03 - Oui.
13:04 - Et c'est une situation qui a duré pendant 40 ans et après elle est partie aussi.
13:10 Et en fait, je pense qu'il a vécu comme ça toute son enfance, avec ce père irrespectueux en fait.
13:19 Et je pense qu'il reproduit un peu ça aussi, puisqu'il me l'a dit, on l'a quand même évoqué,
13:26 et il m'a dit "oui, je suis comme mon père et je ne changerai pas".
13:30 - D'accord.
13:31 Donc effectivement, chez lui, la communication, ce n'est pas son fort,
13:36 il a vécu dans cette forme d'éducation et de principe.
13:40 Et aujourd'hui, le fait que vous soyez séparés, est-ce qu'il essaye de vous reconquérir ?
13:46 Est-ce qu'il essaye de faire des efforts ?
13:48 - Non, du tout.
13:49 - Du tout ?
13:50 - Non, du tout. Il est dans la colère.
13:52 - Dans la colère. Il vous reproche, il vous en veut d'être parti, c'est ça ?
13:56 - Oui, je pense qu'il m'en veut. Il m'en veut pour plusieurs choses.
14:00 Pour le côté matériel, parce que je lui prends les meubles, enfin voilà.
14:05 - Bien sûr.
14:06 - Le peu que je le vois, je vois en lui de la colère, envers moi.
14:11 - Et alors, je vais vous poser une question, vraiment, vous me répondez avec beaucoup de sincérité,
14:16 est-ce que vous culpabilisez, est-ce que vous regrettez ?
14:19 - Je ne regrette pas ma décision, parce qu'il fallait que je parte, parce que je pense que j'aurais craqué.
14:27 Et je ne regrette pas, par contre, oui, culpabiliser, oui, je suis toujours dans la culpabilité,
14:33 comme la première fois que j'ai divorcé, en fait.
14:36 - D'accord. Vous vous sentez soutenue par vos proches ?
14:39 - Oui, beaucoup.
14:40 - Bon, ça c'est une bonne chose.
14:42 - En même temps, mes enfants, en partout, notamment, oui.
14:44 - D'accord, c'est très important. Alors, Noémie, que puis-je pour vous ?
14:51 - Moi, j'aimerais savoir où je vais, quoi. Voilà, un petit peu mon avenir.
14:57 - Sentimental, vous voulez parler ?
15:00 - Pas spécialement sentimental, parce que là, maintenant, j'ai envie de me retrouver tranquille,
15:06 j'ai envie de me recentrer sur moi, en fait, de me reconstruire, en fait.
15:11 - Mais c'est important de l'exprimer, et c'est important de prendre ce temps nécessaire,
15:15 pour, comme vous dites, se reconstruire.
15:17 - Oui.
15:18 - Et se reconstruire par soi-même, et en se réappropriant ses valeurs,
15:23 et aussi ses repères, que vous avez perdus, peut-être, au fil du temps.
15:27 - Oui.
15:28 - Mais, alors, vous avez d'autres interrogations, d'autres préoccupations,
15:32 et elles proviennent de... ce sont lesquelles ?
15:36 - Ben, en fait, c'est tout le chamboulement de vivre toute seule,
15:44 de se retrouver dans un tout petit appartement, l'avenir, le travail, tout ça...
15:53 - Ça fait peur.
15:54 - Oui.
15:55 - Et c'est vrai que pour vous, ça paraît...
15:57 - À mon âge, à 60 ans, il faut passer par là, en fait.
15:59 - Exactement.
16:00 Et on dirait qu'il y a un sentiment de cette peur du vide dans lequel vous vous êtes lancée,
16:06 et il ne faut surtout pas avoir peur de ce vide-là,
16:08 bien au contraire, vous l'avez fait parce que la situation, pour vous, était trop asphyxiante,
16:13 et ne correspondait plus à ce que vous pouviez attendre et reconnaître aussi de cette relation,
16:22 et de cet homme avec qui vous avez vécu autant d'années.
16:25 Alors, pour moi, oui, je pense qu'il y a une période de fragilité,
16:29 il y a une période, ce qui est logique et normal,
16:32 il faut vous réadapter à des automatismes, à des réflexes aussi, de survie, de choses comme ça.
16:40 Quand on est tout seul, ce n'est pas la même chose que quand on est à deux,
16:43 mais parfois on peut être aussi mal accompagné.
16:45 Donc, ce n'est pas seulement, je dirais, un principe de valeur.
16:51 Mais, par contre, pour moi, je vous sens être...
16:55 et c'est pour ça que je vous posais cette question, parce que je vous sens être soutenu,
16:58 je vous sens être aidé par votre entourage,
17:01 et ça, c'est ce qui va vous permettre de rebondir, c'est ce qui va vous permettre d'avancer.
17:06 Et je crois que chacun apportera des petites choses,
17:09 alors, peut-être que d'un point de vue comme ça,
17:12 en tous les cas, ça ne donne pas le sentiment qu'il y a une grande aide,
17:18 mais vous verrez qu'au fil des mois, vous allez vous apercevoir qu'il y a beaucoup d'aides
17:23 qui ont été apportées et qui vous permettront de pouvoir retrouver un équilibre,
17:28 et puis surtout, de pouvoir vivre correctement avec une activité professionnelle,
17:34 parce que je vous sens avoir autour de vous quelqu'un qui peut très bien vous mettre en réseau
17:39 ou en contact avec une personne.
17:41 Alors, ça peut être pour un travail lié au service,
17:44 ou alors, je ne sais pas si c'est le service à la personne ou autre chose,
17:48 mais il y a quelque chose qui se fera par rapport à ça,
17:51 et là, ça vous permettra de pouvoir gérer déjà votre budget.
17:55 Et puis ensuite, sur l'habitat, alors oui, effectivement, vous avez changé de contexte,
18:01 peut-être de superficie par rapport à ce que vous aviez auparavant,
18:05 mais il y a un proverbe qui dit "il vaut mieux un petit chez soi qu'un grand chez l'autre",
18:10 et je crois que vous allez vraiment apprécier au fil du temps votre petit intérieur,
18:16 et puis vous verrez que sous une période de deux ans, vous serez amené à déménager.
18:20 Et vraiment, sur le plan personnel, affectif, je sais que ce n'est pas votre priorité,
18:25 mais je vous sens pas rester seul dans l'avenir.
18:28 Soyez rassurés, comptez sur vos proches,
18:32 parce que je crois que chacun va faire en sorte de vous aider et de vous apporter ce petit bonheur.
18:38 D'accord ?
18:40 Prenez soin de vous Noémie, merci à vous, n'hésitez pas à nous tenir au courant.
18:46 Allez, on vous attend à l'antenne, c'est le 0826 300 300, ne bougez pas,
18:51 on revient dans un instant avec Sylvia Schmitt, sophrologue et coach vocale
18:55 qui va nous parler de la sophrologie ainsi que de la respiration consciente,
18:59 et elle nous donnera des conseils, on en parle dans un instant.
19:03 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
19:09 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
19:14 Et de retour sur Sud Radio, il est 16h30, alors je vous rappelle que nous sommes en direct live sur Youtube
19:20 et sur le live de Facebook, vous pouvez poster vos commentaires sur le groupe de Facebook à votre écoute.
19:26 Et là, je suis heureux d'accueillir une nouvelle intervenante, Sylvia Schmitt, sophrologue et coach vocale.
19:32 D'ailleurs, à ce titre de coach vocale, Sylvia, vous êtes auteure d'un ouvrage dont le titre est
19:38 "Se connaître et se réaliser grâce à sa voix" des éditions G D'encre. Bonjour Sylvia.
19:44 Bonjour Alexandre, bonjour à tous.
19:46 Bienvenue sur Sud Radio et en tant qu'intervenante.
19:50 Merci, je suis ravie, j'ai écouté l'émission, c'était vraiment très intéressant.
19:55 Merci, alors nous sommes tous ravis de vous accueillir à l'antenne de Sud Radio
19:59 et de pouvoir aussi faire partager à tous nos auditeurs votre savoir et nous transmettre de bons conseils.
20:05 Et notamment, vous allez nous parler un petit peu déjà de votre métier, de la sophrologie,
20:10 qu'est-ce que c'est exactement, et puis peut-être nous donner une technique de respiration consciente.
20:15 Eh bien oui, parce que les trois clés de la sophrologie, les trois premières clés de base,
20:20 c'est la respiration qui va libérer un petit peu, je dirais, toutes les tensions, libérer l'esprit.
20:27 Il y a la visualisation, c'est une deuxième clé, on pourra un jour si vous désirez en parler.
20:32 Il y a aussi la présence au corps, c'est-à-dire comment arriver à détendre le corps.
20:36 Alors cette respiration consciente, elle fait référence à une pratique où on accorde une attention volontaire
20:44 pour pouvoir en fait libérer toutes les pensées, les énervements, les expériences que l'on a difficiles.
20:54 C'est pourquoi on dit que cette respiration consciente, c'est à partir du moment où je vais mettre ma présence
20:59 sur ma respiration, mais ça peut être aussi sur tout à fait autre chose.
21:04 Par exemple, là dans mon jardin, il y a le soleil, je regarde des fleurs,
21:07 et là je suis déjà en présence tout en étant bien entendu avec vous Alexandre.
21:12 Oui, exactement.
21:13 Donc l'asophrologie, c'est une méthode qui va permettre de retrouver la paix, d'être en détente,
21:22 d'être vers la connaissance de soi, mais pas seulement les yeux fermés, comme il y a en méditation.
21:27 D'ailleurs, il y a beaucoup de sportifs qui font de l'asophrologie justement avant les compétitions
21:34 parce qu'on a besoin d'être en détente, quoi qu'il arrive dans notre vie.
21:39 Et plus on va être en détente, plus on va pouvoir arriver à supporter,
21:43 ou en tout cas traverser les épreuves, vous voyez ?
21:46 D'accord. Alors ça s'applique pour tout le monde ?
21:49 Oui, bien entendu.
21:51 Il n'y a pas de contre-indication ?
21:53 Non, l'asophrologie, alors bien entendu, il y a de l'asophrologie pour les petits,
21:59 et c'est de l'asophrologie ludique avec des dessins,
22:02 parce qu'en asophrologie on va vous mettre dans un état de modification de conscience
22:07 qui s'apparente à l'hypnose, mais ce n'est pas tout à fait de l'hypnose,
22:10 parce que justement vous êtes dans cette présence corporelle et vous êtes éveillé.
22:15 C'est un voyage intérieur, vous êtes éveillé. Donc c'est pour tous les âges.
22:19 D'accord. Et est-ce que vous auriez un petit enseignement à nous donner supplémentaire,
22:24 pour une bonne technique, pour qu'on puisse tous le mettre en application ?
22:30 Alors oui, si vous voulez, il y a plusieurs façons de respirer.
22:36 Chacun trouve pour moi la respiration qui lui convient.
22:42 Il faut se tester avant.
22:44 Et donc souvent quand on vous dit "fermez les yeux, respirez",
22:48 et vous allez voir qu'en fait la respiration c'est un fonctionnement qui est automatique,
22:53 mais qui ne se contrôle pas.
22:55 Et à partir du moment où on va vous dire "respirez",
22:58 vous allez voir que votre respiration va se décaler.
23:01 Et même vous le faites là maintenant et quand je vous parle de votre respiration,
23:05 vous allez être vraiment totalement en décalage par rapport à une respiration qui est libre.
23:10 Alors moi ce que je vous invite à faire, c'est ma petite clé d'aujourd'hui,
23:14 c'est plutôt que de mettre une présence, une attention sur votre respiration,
23:19 et de mettre une présence d'observer ce que vit votre corps,
23:23 c'est-à-dire vos poumons, votre cage thoracique, qui se soulève,
23:28 votre ventre qui se soulève pour une respiration ventrale,
23:32 et simplement d'être en attention de "tiens, je respire et est-ce que ça me fait du bien ?
23:39 Est-ce que je suis plus en taix ? Comment je me sens quand tout d'un coup je respire ?"
23:44 Mais je vous inviterai plus à être dans la présence du corps et du bien-être.
23:50 D'accord. Merci, merci vraiment Sylvia.
23:54 Je crois que je ne vous ai pas coupé la parole, vous avez été jusqu'au bout de cet exercice.
23:59 Bon, mais c'est super.
24:01 Et puis s'il y a des questions, on pourra y répondre, cher Alexandre.
24:04 Évidemment, nous avons un groupe à votre écoute où justement vous pouvez laisser tous vos commentaires.
24:09 Si vous avez des questions, on va y revenir parce que de toute façon, nous on se retrouve vendredi prochain.
24:14 Et puis on va parler aussi de cette notion que vous avez,
24:17 est-ce que vous avez une autre casquette en tant que coach vocal ? On en parlera aussi.
24:21 Merci vraiment Sylvia de votre intervention, très enrichissante. Merci.
24:27 Merci, avec plaisir. Bonne fin de journée. A très bientôt.
24:31 Allez, si on écoutait Nathalie. Bonjour Nathalie.
24:34 Alexandre, bonjour.
24:36 Bienvenue sur Sud Radio.
24:38 Merci.
24:39 Alors, je ne sais pas si vous avez pu entendre l'intervention de Sylvia Schmitt,
24:44 mais est-ce que vous, vous avez conscience de votre respiration ?
24:47 Est-ce que vous pratiquez un petit peu la respiration consciente ?
24:50 Je viens juste d'essayer de pratiquer en même temps.
24:53 Donc écoutez, oui.
24:54 Il y a une partie de votre corps qui était en résonance ?
24:57 Alors, comme je fais du pilates, je sais l'importance aussi de la respiration.
25:02 Donc j'ai essayé d'apaiser pour être au mieux avec vous, on va dire.
25:05 D'accord. Donc vous êtes déjà une personne avertie.
25:09 J'ai essayé de l'être en tout cas.
25:11 Bien Nathalie. Alors, vous appelez pour votre fille qui a 17 ans.
25:14 Elle est en terminale et vous avez beaucoup de doutes sur ce qu'elle compte faire après son bac.
25:20 Elle a beaucoup de capacités, mais l'école, ce n'est pas tout à fait son fort.
25:24 Ou en tous les cas, vous trouvez qu'elle manque d'être un peu conscienceuse sur ses études.
25:29 Et ça lui arrive de passer tout juste, mais elle s'en sort malgré tout.
25:36 À ce jour, vous vous interrogez beaucoup sur ses fréquentations
25:39 et vous avez peur qu'elle fasse de mauvais choix dans sa vie.
25:43 Alors, Nathalie, racontez-nous un petit peu le parcours de votre fille,
25:47 de son équilibre de vie et peut-être aussi de son équilibre familial.
25:52 De ce côté-là, tout va bien. Pas de soucis particuliers.
25:58 Avec le papa, tout se passe bien ?
26:00 Nickel, voilà, tout va bien.
26:02 Lola, c'est une enfant qui a besoin de choses concrètes.
26:15 Souvent à l'école, on a cette obligation d'apprendre des choses,
26:19 tout simplement des programmes qui ne lui parlent pas tout le temps.
26:24 Mes gros doutes sont surtout qu'aujourd'hui, elle ne se décide pas sur une voie particulière.
26:32 Et que bien sûr, tout le monde connaît le système de parcours sup' en fin de terminale.
26:37 Et aujourd'hui, on est dans le fou sur sa future voie, on va dire.
26:44 Bien sûr. Alors, je vais vous poser une question, mais peut-être que c'est générationnel.
26:49 Est-ce qu'elle-même est dans son moment présent et n'est pas vraiment penchée sur sa notion du futur ?
26:56 Alors que vous, vous avez été éduquée, vous avez été enseignée de cette manière-là
27:03 à bien se concentrer sur son présent et sur son futur.
27:06 Et peut-être que tout simplement, pour elle, elle n'est pas si inquiète que ça.
27:10 Est-ce que vous la sentez inquiète sur l'avenir ?
27:13 Non, je ne la sens pas du tout inquiète.
27:15 Voilà, exactement. Et je ne veux pas dire que tout le monde, la jeunesse d'aujourd'hui fonctionne de cette manière-là,
27:21 mais il y a un effet un peu générationnel sur un comportement qui se modifie
27:27 et qui change au fil des années et au fil des générations.
27:33 Pour moi, et de ce que je ressens en ce qui concerne votre fille,
27:37 elle a un équilibre, déjà familial, et ça c'est très important.
27:41 C'est pour ça que je vous ai posé cette question, parce que je crois que l'équilibre familial est un tout
27:46 et c'est ce qui permet de se construire dans la vie.
27:50 Et même si votre fille passe par des périodes de fragilité, des difficultés,
27:56 elle a envie de se mettre un peu en danger.
27:58 Elle a envie de se mettre en danger.
28:00 Est-ce que pour elle, les choses ne lui ont pas été trop faciles ?
28:03 C'est juste une question que je pose.
28:05 Et c'est peut-être qu'elle-même n'a pas conscience de ça,
28:09 mais peut-être qu'elle, inconsciemment, se provoque une difficulté et une fragilité.
28:15 Pour se ressaisir, alors pour moi, je ne la sens pas du tout être en difficulté,
28:20 je ne la sens pas du tout être en échec, je la sens bien au contraire avancer et évoluer,
28:25 mais elle ne veut pas se donner volontairement cette marge suffisante
28:30 pour se dire que pour en finir, il n'y a pas besoin de se mettre plus de pression que de l'avoir aujourd'hui.
28:38 Et c'est son fonctionnement.
28:40 Il se peut qu'elle ait une petite baisse et ça l'amène à devoir réfléchir sur elle,
28:48 mais comme je vous dis, elle a besoin peut-être de se mettre dans cet état d'urgence, d'alarme,
28:52 pour arriver à un moment donné à percuter et à se reprendre en main.
28:56 Mais je ne vois pas un avenir catastrophique, je ne vois pas de mauvaise fréquentation autour d'elle.
29:03 Non, pour moi, ça me semble assez fluide, même si parfois il y a un besoin de, pas de lui remonter les bretelles,
29:10 mais de devoir peut-être parler entre quatre yeux et qu'elle se responsabilise un petit peu.
29:16 Ça oui, mais le reste va bien pour moi.
29:19 Est-ce que vous voyez un domaine dans lequel elle pourrait aller finalement, dans lequel elle serait plus...
29:27 Alors, ça m'est difficile à vous le dire là parce que je manque de certains éléments,
29:31 mais je sens que la communication est positive.
29:34 Mais je ne sais pas si c'est de la communication vers un côté juridique,
29:37 de la communication vers un côté événementiel ou de l'enseignement ou autre,
29:41 mais en tous les cas, c'est une personne qui ira vers l'aspect de la communication.
29:46 Très bien, très bien.
29:48 Elle a déjà un domaine de prédilection ?
29:51 Justement, elle parlait un peu de la communication ou de la psychologie.
29:55 Bon, on y est.
29:57 Donc il faut qu'elle fonce, mais il faut qu'elle bosse un petit peu plus.
30:00 Merci, Alice. Ne soyez pas trop inquiète.
30:03 Merci à vous.
30:04 Merci, au revoir.
30:05 Et la parole est à Frédéric. Bonjour Frédéric.
30:14 Oui, bonjour Alexandre et bonjour à tous.
30:16 Bienvenue sur Sud Radio.
30:18 Merci, merci.
30:19 Frédéric, j'ai des informations sur vous.
30:22 Aïe.
30:23 Je crois que vous avez beaucoup voyagé, même dans des pays sensibles au bien-être.
30:30 Justement, on parle aujourd'hui de la respiration.
30:33 Je pense que c'est un sujet qui peut vous parler, non ?
30:35 Disons que vu que je pratique l'aïkido depuis un peu plus d'une décennie,
30:40 oui, la respiration fait partie intrinsèque de notre entraînement.
30:44 Très bien, d'une hygiène de vie.
30:46 Une hygiène de vie, je ne dirais pas, parce que j'ai du mal à l'appliquer dans ma vie privée.
30:50 Beaucoup ont du mal.
30:52 Mais c'est un entraînement.
30:54 Il faut le penser comme ça.
30:56 Frédéric, ça fait 28 ans que vous êtes marié.
30:59 Bravo, c'est bien.
31:02 Et puis, vous avez énormément voyagé, vous avez visité plusieurs pays,
31:07 vous vous êtes rendu compte, et ça ce sont vos propos que j'ai repris,
31:10 que l'herbe n'était pas forcément verte ailleurs, et vous êtes revenu en France.
31:14 Oui, c'est vrai.
31:15 Il y a de l'herbe verte partout, je vous rassure.
31:18 Oui, ça dépend du bagage qu'on emmène, je crois.
31:21 Voilà, je préfère.
31:23 Au-delà de vos voyages, vous avez vécu à l'étranger ou pas ?
31:29 On a vécu un petit peu en Indonésie, un petit peu sur les Maurices,
31:34 un petit peu au Japon, un petit peu au Cambodge,
31:37 en Côte d'Azur du Sud-Est, on a beaucoup tourné par là-bas.
31:41 Mais sans vraiment, je dirais, plutôt en backpacker, si on peut dire.
31:45 Sans vraiment s'installer vraiment.
31:47 Après ce tour du monde, vous êtes revenu dans la région de la famille de votre épouse,
31:51 en Haute-Normandie, et vous avez monté un traiteur avec des spécialités japonaises.
31:56 Et puis malheureusement, la Covid est arrivée,
31:58 et là, grosse remise en question pour beaucoup de personnes malheureusement.
32:02 Et vous en avez eu marre du climat un peu mossade de la Normandie ?
32:06 Oui.
32:07 Même si la Normandie est une très belle région.
32:12 Donc vous êtes venu vous installer à Avignon, votre lieu d'origine.
32:17 Et depuis 5-6 ans, vous avez arrêté ce statut d'indépendant pour revenir à un statut salarial.
32:23 Je rappelle que votre épouse est comptable et que vous, vous êtes dans le bâtiment.
32:26 Alors, qu'est-ce que je peux faire pour vous aujourd'hui ?
32:29 Disons qu'on est, en fait, le feu du voyage nous reprend, et de l'indépendance.
32:34 Donc on aimerait bien se remettre à notre compte.
32:37 On ne sait pas forcément trop dans quoi, dans la reste, encore une fois,
32:40 ou encore dans le bâtiment.
32:42 Je dirais que la chose principale pour nous, c'est de travailler ensemble.
32:45 On a la chance de... Pardon.
32:47 Déjà, c'est bien. Votre épouse a acquis de l'expérience en termes de comptabilité.
32:53 Donc vous allez pouvoir gérer une grosse entreprise.
32:55 Donc ça, c'est déjà pas mal. Je plaisante.
32:57 Mais oui, je vous sens tous les deux reprendre quelque chose.
33:01 Effectivement. Je pense que vous êtes arrivé dans un cycle de vie
33:06 où il y a cette nécessité, ce besoin du changement.
33:09 Parce que c'est un peu votre bagage aussi.
33:12 C'est un peu votre ADN de construire, d'aller vers du challenge,
33:16 d'aller vers de la nouveauté, et de ne pas rester dans une notion de vie un peu monotone.
33:22 Et là, aujourd'hui, même si vous avez changé d'endroit, de région,
33:25 même si vous avez sécurisé peut-être l'aspect matériel,
33:29 mais maintenant vous avez besoin de reconstruire cette notion d'épanouissement.
33:33 Alors oui, pour moi, il y a quelque chose de bon.
33:36 Et je vais vous dire, de ce que je ressens, c'est un lieu d'accueil.
33:40 Un lieu d'accueil sur lequel peut-être que ce soit des chambres d'hôtes,
33:44 ou peut-être que c'est pour des événements.
33:47 Il y a quelque chose comme ça, mais vous allez vous focaliser sur un endroit
33:50 et vous allez créer dans ce lieu de l'activité commerciale.
33:56 D'accord.
33:57 Est-ce que vous aviez un projet comme ça ?
33:59 Alors effectivement, le projet de chambre d'hôtes ou de gîtes,
34:04 comme ça, effectivement, nous a bien sûr traversé l'esprit.
34:08 Mais après, c'est surtout l'endroit où on hésitait,
34:11 puisqu'on aurait eu peut-être pour projet de le faire en Guadeloupe.
34:15 Sauf qu'en Guadeloupe, forcément, il y a 8000 kilomètres, grosso modo.
34:19 Et je dirais que l'éloignement fait que moi, j'ai quelques petits soucis dans ma famille,
34:24 enfin du côté de mon père, qui font que c'est un peu compliqué.
34:30 J'ai du mal à vous voir en Guadeloupe.
34:32 J'ai un peu de mal.
34:34 Alors peut-être pour y voyager, mais j'ai du mal à vous voir vous installer.
34:38 Mais attention, je ne veux pas que vous restiez focalisé sur ce que je vous dis,
34:42 parce que c'est votre destin, vous appartient, et c'est vous qui êtes maître de votre destin.
34:46 Mais j'ai un peu de mal.
34:47 Moi, j'ai l'impression que oui, il y a un besoin, je dirais, d'un climat un petit peu,
34:53 avec une notion de dépaysement, voilà, méditerranéenne, voilà, exactement.
34:59 Avec du dépaysement, donc autour de la Méditerranée, oui, je le sens bien,
35:03 et peut-être sur une île, est-ce que c'est vers les Baleares ou autre, un autre endroit,
35:07 mais il y a quelque chose qui pourrait se positionner vers cet endroit-là.
35:11 Mais pas trop loin non plus.
35:13 Je sens que, en fait, vous êtes rattaché un peu à l'Europe.
35:17 Je dirais qu'on est, oui, malgré tout, on est quand même rattaché à la France,
35:22 même si aujourd'hui, on a perdu une grosse partie de notre confiance dans notre pays.
35:27 Oui, mais là, je sens que, oui, bien sûr,
35:33 et je sens que vous, vous avez besoin de regagner de la confiance en montant un nouveau projet.
35:38 Alors, la décision, elle va se prendre bientôt.
35:41 Et là, je vous invite vraiment, Frédéric, à nous rappeler pour nous dire comment vous évoluez
35:46 et quelles décisions vous avez pu prendre.
35:48 Écoutez, il n'y a aucun problème, et avec grand plaisir.
35:51 Merci à vous, Frédéric, prenez soin de vous.
35:53 Merci à vous aussi, Alexandre.
35:55 Au revoir.
35:57 On se retrouve dans quelques minutes avec Amel.
35:59 Elle nous dira pourquoi elle semble stagnée dans sa relation sentimentale.
36:03 On en parle dans un instant. Ne bougez pas. Et c'est sur Sud Radio.
36:07 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane.
36:12 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
36:17 Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie.
36:20 Avant de retrouver les vraies voix présentées par Philippe David et Cécile Dominibus,
36:24 il vous reste encore quelques minutes pour passer à l'antenne de Sud Radio.
36:28 Et avant de retrouver Amel, je vais vous donner quelques conseils pour pratiquer la respiration consciente.
36:35 J'allais dire la relation, mais pourquoi pas aussi.
36:37 Mais on parle de respiration aujourd'hui.
36:39 Alors, la respiration consciente peut être pratiquée partout et à tout moment,
36:43 comme a pu nous le dire notre intervenante Sylvia Schmitt.
36:46 La respiration consciente se pratique dans toutes les formes d'activités.
36:51 Il faut faire des pauses tout au long de la journée et entraînez-vous à prendre conscience de votre respiration pendant 3 à 5 minutes.
36:59 Elle est importante pour s'endormir et évacuer l'anxiété face à cet endormissement.
37:05 Et elle est très efficace pour la gestion de vos émotions et même au sport avant une pratique ou lors de la phase de récupération.
37:14 Et la parole est à Amel. Bonjour Amel.
37:17 Bonjour Alexandre.
37:18 Bienvenue sur Sud Radio.
37:20 Merci.
37:21 Vous respirez bien ?
37:23 Oui, j'essaye là, je vous écoute et oui, je suis un peu stressée là.
37:27 Oui, je sens que vous avez la respiration qui bloque un petit peu.
37:30 Mais rassurez-vous, moi c'est tous les jours comme ça, donc ça va.
37:33 Allez Amel, on va se détendre.
37:35 Vous nous appelez aujourd'hui parce que vous êtes dans une relation depuis 4 ans avec un homme
37:41 et vous sentez qu'il n'y a pas d'évolution, que cette relation ne marche pas ou ne fonctionne pas très bien.
37:47 Et forcément, ça a un impact sur votre équilibre personnel.
37:51 Alors, je crois que vous ne vivez pas ensemble.
37:55 Oui, c'est ça. On ne vit pas du tout.
37:57 Amel, comment pourriez-vous définir la personnalité de cet homme et votre quotidien avec lui ?
38:03 Et pourquoi ce jour, tout simplement, vous ne vivez pas ensemble ?
38:07 En fait, c'est quelqu'un de très réservé.
38:10 Enfin, il ne me parle pas beaucoup.
38:13 On n'a pas trop de contact en fait.
38:15 Mais on se voit de temps en temps comme ça.
38:19 J'essaye de le faire sortir un peu, qu'on sorte un peu.
38:23 On passe du temps ensemble, mais il me dit toujours qu'il est très occupé.
38:27 En fait, on ne se voit que pendant les moments intimes.
38:29 On va dire en gros, c'est ça.
38:31 D'accord. Vous vous êtes rencontré dans quel contexte ?
38:34 En fait, c'est mon voisin.
38:36 Ah, très bien.
38:38 Donc, on a eu un ami en commun.
38:40 En fait, il ne me l'a pas présenté, il me l'a proposé.
38:43 Mais moi, je n'étais pas prête à avoir cette relation.
38:47 Et puis finalement, à force de se croiser, il faisait en sorte qu'on se voyait à chaque fois.
38:52 Il y a combien d'étages qui vous séparent ?
38:54 Non, c'est par immeuble en fait.
38:56 Ah, c'est par immeuble. Donc ça va.
38:58 Oui.
38:59 Donc, effectivement, chacun peut se retrouver dans sa liberté et dans ses moments à soi.
39:06 Mais vous avez un bon espoir sur l'avenir de cette histoire ou pas ?
39:12 Même s'il y a des problèmes ?
39:15 Maintenant, plus trop.
39:17 J'ai l'impression de me rendre compte que finalement, je pense que ça va rester comme ça.
39:21 Il ne donne aucun signe d'engagement, aucun signe de volonté à faire plus d'efforts ?
39:27 Non. À chaque fois que je lui demande, non, pour lui, non.
39:32 Dites-moi Amel, est-ce qu'il vous présente son entourage ?
39:36 Non.
39:37 Oui. Alors, je vous pose cette question parce que je sens que cet homme, je ne dis pas qu'il est en train de vous cacher, pas du tout,
39:43 mais je sens que cet homme a peur de l'engagement et il a une certaine forme de pudeur par rapport à ça.
39:50 Et donc, il y a un problème de générosité chez lui.
39:53 La générosité n'est pas forcément liée à l'aspect matériel des choses, mais une générosité de cœur.
40:00 Et vous, Amel, vous êtes dans cette notion d'empathie, vous avez besoin de données, de sincérité, d'authenticité,
40:08 et vous ne ressentez pas forcément chez lui cette notion-là et cet engouement envers vous.
40:16 Et donc, il y a une grande différence.
40:19 Je crois que progressivement, vous allez vous détacher de cette histoire.
40:23 Je ne suis pas en train de dire qu'il faut vous séparer, mais il faut peut-être prendre ce temps nécessaire pour, vous,
40:30 essayer de ne pas déjà, un, lui en vouloir, et deuxièmement, de vous séparer gentiment,
40:37 sans que vous soyez dans cette notion de colère ou de souffrance.
40:41 Mais tout simplement, ce sont ses choix à lui et vous n'avez pas les mêmes choix ensemble.
40:48 Donc pour moi, bien entendu, je ne sens pas une grande réalisation future avec cet homme.
40:55 Je pense que ça a été une expérience vécue.
40:58 Là, vous avez fait un bilan de quatre ans.
41:00 Il est peut-être nécessaire de réfléchir sérieusement sur votre futur sentimental,
41:06 et puis de vous donner cette possibilité, parce qu'à partir du début de l'année prochaine,
41:11 vous êtes dans une autre réalisation affective.
41:13 Donc ce serait dommage de lâcher cette opportunité ou cette possibilité-là de relation sentimentale.
41:20 Mais là, je vous sens quand même avoir fait un chemin sur cette prise de conscience.
41:27 Est-ce que c'est le cas ou pas ?
41:28 Oui, totalement. Juste avant que je vous appelle, en plus, quelques jours avant.
41:33 Quelle a été cette prise de conscience ?
41:36 Comme vous avez dit exactement ça, c'est qu'il n'est pas prêt à l'engagement.
41:40 Et lui, il veut garder cette relation comme ça.
41:44 D'accord. Et pour vous, est-ce qu'aujourd'hui, vous en souffrez ?
41:49 Plus trop maintenant, mais avant, oui.
41:53 Avant, je ne comprenais pas. Je me posais plein de questions.
41:56 J'en parlais beaucoup à mon entourage.
41:58 Je me posais plein de questions et je me rends compte, grâce à mes amis, à votre émission aussi,
42:04 que l'évolution n'est pas là.
42:07 Bien sûr. Alors, est-ce que dès à présent, vous avez décidé peut-être de mettre en place quelque chose
42:13 pour justement arriver à sortir de cette dépendance affective ou pas ?
42:19 Non, pas vraiment, non.
42:22 Il va falloir y penser peut-être. Mais attention, je ne suis pas en train de vous dire
42:26 et je ne vous donne pas des ordres ou de dire ce qu'il faut faire.
42:29 Mais il faut peut-être essayer d'y penser pour justement prendre ce recul nécessaire
42:34 et laisser cette opportunité à vous venir.
42:39 N'hésitez pas, en tous les cas, à nous tenir au courant de votre évolution, Amel.
42:44 Et puis, je vous souhaite une bonne continuation et puis surtout un bon week-end.
42:48 Merci beaucoup. A vous aussi, je vous tiendrai au courant.
42:52 Merci. Et pour conclure, je dirais, prendre le temps de respirer, c'est prendre le temps de vivre.
42:59 Allez, on se donne rendez-vous lundi. On parlera de l'empathie.
43:03 Je vous attends à présent sur le groupe A votre écoute de Facebook
43:06 avec les conseils du jour, les extraits de l'émission ainsi que tous vos commentaires.
43:11 Passez un bon week-end et prenez soin de vous.
43:14 Et la place, c'est pour l'émission des vraies voix avec Philippe David et Cécile de Minibus.
43:19 A lundi.
43:21 Sud Radio, à votre écoute, 16h-17h, Alexandre Delovane.
43:26 Avec Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et e-mail.
43:33 Les auditeurs du Sud Radio soutiennent l'équipe de France.
43:37 On est tous derrière vous.
43:38 Allez les bleus.
43:40 Tous derrière les bleus avec Sud Radio, la radio de la Coupe du monde de rugby.
43:45 Sud Radio, la radio de la Coupe du monde de rugby arrive sur Twitch.
43:49 Installez l'application sur votre téléphone ou votre ordinateur, recherchez Sud Radio
43:55 et abonnez-vous à la chaîne Twitch de Sud Radio où les vrais passionnés s'expriment.
44:00 Rejoignez la chaîne Twitch de Sud Radio dès maintenant.
44:03 Sud Radio, la radio de la Coupe du monde de rugby.
44:06 Chez Leroy Merlin, nous sommes là pour tous vos projets.
44:10 Alors quand vous nous dites
44:11 « Je me lancerais bien dans des travaux pour faire des économies d'énergie,
44:14 mais ce serait possible de faire des économies sur les travaux aussi ? »
44:17 On vous répond jusqu'au 26 septembre avec l'opération « Bien démarrer les grands projets ».
44:21 On vous accompagne avec des produits et des services à prix malin.
44:23 Isolation, chauffage, panneau solaire, on y va ?
44:26 Leroy Merlin, on peut tout construire ensemble, même l'avenir.
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44:49 et/ou pour l'achat d'un produit partenaire.
44:50 Voir modalité sur netto.fr
44:51 Quand on part en vacances, mes parents me réveillent en pleine nuit pour éviter les embouteillages.
44:56 Moi les miens, ils se couchent super tard pour finir la valise.
44:58 Mon père aussi, et en plus il ne veut jamais s'arrêter pour arriver plus vite.
45:02 Après il est épuisé.
45:03 Et si nous transmettions la bonne attitude sur un long trajet, une pause toutes les deux heures ?
45:07 Assurance Prévention, une association de France Assureurs.
45:11 Enfin des lunettes françaises plus accessibles.
45:13 J'ai écouté voir, avec jusqu'à 60 euros, faire son collection Origine France garantie.