• l’année dernière
Après le renouvellement de 170 sénateurs dimanche 24 septembre, le Rassemblement National fait son retour à la chambre Haute. Le parti d’extrême droite gagne trois sièges dans trois départements : le Pas-de-Calais, le Nord et la Seine-et-Marne. Le vice-président du parti et député RN Sébastien Chenu a réagi sur Public Sénat. 

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Transcription
00:00 des sénateurs du Rassemblement national, vous dites quoi, enfin ?
00:04 Oui, enfin tout ça est, je veux dire, assez normal puisque ça correspond
00:09 aux évolutions politiques que nous constatons de quelque temps
00:12 et le fait que le Rassemblement national revienne, arrive,
00:16 on peut le dire comme on veut, au Sénat,
00:18 était pour nous en tous les cas attendu.
00:20 Ce qui les témoigne, c'est les scores avec lesquels nous arrivons.
00:24 Nos candidats partout sur le territoire ont multiplié par 3, 4, voire 5
00:29 les résultats du précédent renouvellement sénatorial
00:32 dans les mêmes départements.
00:34 Donc ça veut dire que nous avons, sur un corps électoral
00:36 qui n'a pas beaucoup bougé, puisqu'il n'y a pas eu beaucoup
00:38 de changements au municipal, nous avons convaincu
00:41 des électeurs de voter pour nos candidats.
00:44 Et en cela, c'est une deuxième victoire.
00:46 La première, c'est de faire entrer 3 sénateurs,
00:48 Saint-Émarne, Nord et Pas-de-Calais, 3 jeunes élus,
00:52 3 élus de terrain.
00:54 Et la seconde, c'est les scores que nous faisons
00:56 qui, je crois, bousculent beaucoup, évidemment,
00:58 ce qui était attendu.
01:00 - Est-ce que c'est une surprise parce que vous aviez moins
01:02 de conseillers municipaux après les dernières municipales
01:04 par rapport à celles de 2014 ?
01:06 Quelle en est l'explication pour vous ?
01:08 Est-ce que ça veut dire qu'il y a aussi eu des grands électeurs
01:11 indécis que vous avez donc convaincus ?
01:14 - Oui, évidemment, je pense que nous progressons
01:16 et nous réussissons à convaincre, de la pertinence de nos analyses
01:19 et de nos solutions, les Français et leurs représentants,
01:22 c'est-à-dire les grands électeurs qui votaient.
01:24 C'est une évidence et ça se passe partout en France,
01:27 partout sur le territoire, puisque du Lot-et-Garonne,
01:29 où nous passons, je crois, de 22 voix la dernière fois
01:32 à 100 voix aujourd'hui,
01:33 jusqu'évidemment au Nord, où nous avions 238 voix,
01:36 nous en avons 433 sur un corps électoral identique.
01:39 Eh bien, oui, nous considérons que nous avons réussi
01:42 à convaincre des grands électeurs
01:44 et ça aura forcément des conséquences.
01:46 (Générique)
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