Retrouvez À Votre Écoute avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
---
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
———————————————————————
▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75yzts
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
———————————————————————
Nous suivre sur les réseaux sociaux
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
———————————————————————
☀️ Et pour plus de vidéos de À Votre Écoute : https://www.youtube.com/playlist?list=PLaXVMKmPLMDR9HQGL0l8yMnl68jdJGR6W
##A_VOTRE_ECOUTE-2023-12-06##
---
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
———————————————————————
▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75yzts
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
———————————————————————
Nous suivre sur les réseaux sociaux
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
———————————————————————
☀️ Et pour plus de vidéos de À Votre Écoute : https://www.youtube.com/playlist?list=PLaXVMKmPLMDR9HQGL0l8yMnl68jdJGR6W
##A_VOTRE_ECOUTE-2023-12-06##
Category
🛠️
Style de vieTranscription
00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente
00:06 Sud Radio à votre écoute 16h-17h, Alexandre Delovane
00:11 Bonjour à tous, alors bienvenue dans votre émission à votre écoute jusqu'à 17h.
00:24 Merci de vous confier chaque jour à l'antenne, merci pour vos messages bienveillants sur le groupe à votre écoute.
00:31 Vous souhaitez participer à l'émission, c'est le 0826 300 300.
00:37 La question du jour, êtes-vous une personne résiliente ?
00:40 Si vous avez eu cette capacité à sortir vainqueur d'une épreuve qui aurait pu être traumatisante,
00:46 on peut dire de vous que vous êtes une personne résiliente.
00:50 Alors ce concept de résilience en France a été principalement introduit par Boris Cyrulnik,
00:56 neuropsychiatre et écrivain et aujourd'hui on le met en pratique dans certaines thérapies.
01:01 La résilience trouve ses racines dès l'enfance et en fonction de la relation parentale que vous avez pu avoir.
01:08 Et si vous avez été dans une relation sécurisante, ça vous a sûrement aidé à trouver la force de s'en sortir.
01:15 Dans l'émission À votre écoute, entretenir votre résilience et l'améliorer, c'est possible en appelant le standard au 0826 300 300.
01:25 Nous sommes en direct live sur Youtube et aujourd'hui à la réalisation de l'émission c'est Benoît au standard Aude et Zach.
01:32 Et avant de donner la parole à Marlène, je reprends un des messages postés sur le groupe À votre écoute sur Facebook.
01:44 C'est celui de Virginie concernant l'émission sur le sujet de la gratitude.
01:48 Ça a créé beaucoup de messages, en tous les cas il y a eu des réactions concernant ce sujet-là.
01:56 Virginie nous dit "Pour moi la gratitude c'est même si ça ne se passe pas toujours comme on le veut,
02:01 c'est d'arriver à voir le côté positif des événements et des situations sur lesquelles on peut être confronté."
02:08 C'est à vous maintenant de poster vos avis sur les témoignages de nos auditeurs ou tout simplement sur le sujet du jour aussi sur la page À votre écoute sur Facebook.
02:19 Et j'accueille notre première auditrice Marlène. Bonjour Marlène !
02:23 Bonjour Alexandre !
02:25 Bienvenue sur Sud Radio !
02:27 Merci beaucoup de m'accueillir !
02:30 Merci à vous ! Alors Marlène vous avez 47 ans, vous êtes de Viry-Châtillon dans les Saônes et vous êtes professeure de danse.
02:38 Je vais vous poser cette question du jour.
02:41 Êtes-vous une résiliente dans la vie ?
02:44 Je pense.
02:46 Avez-vous eu des expériences ?
02:48 Oui j'ai eu des expériences. J'ai été danseuse pendant 20 ans et au début de ma carrière de danseuse,
02:55 j'ai eu beaucoup de professeurs qui ne croyaient pas en moi et j'ai toujours persévéré.
03:00 J'ai eu aussi des premières embauches qui étaient un peu des stages en entreprise,
03:08 l'équivalent d'un stage en entreprise, on ne disait pas payer à 100%, on disait payer à 80-85%.
03:14 J'ai eu un accident de travail, donc une fracture de fatigue,
03:19 certainement avec beaucoup d'entraînements successifs pour arriver à mes fins.
03:24 Dès que je commence à gagner, on va dire que j'arrive un peu dans l'apothéose,
03:30 je me casse un pied et du coup j'ai travaillé sur moi et je n'ai pas abandonné.
03:35 J'ai fait opérer, j'ai eu une greffe osseuse et je n'ai jamais baissé les bras.
03:41 J'ai toujours cru que c'était mon parcours de vie.
03:45 Je me suis accrochée à ça, je me suis donné les moyens, je n'étais pas scolaire.
03:50 Je me suis dit que c'est ça qui me plaît, donc je fais ce qui me plaît.
03:56 Vous faites appel à une force à chaque fois, à une énergie en vous et une force.
04:01 Oui, peut-être, oui.
04:03 Oui, et une foi aussi.
04:04 Bien sûr, et puis est-ce que ce n'est pas aussi la déformation de votre métier
04:08 en étant professeur et notamment dans le sport, où ça demande une certaine forme de rigueur,
04:12 ça demande à aller chercher loin dans nos capacités, dans nos performances.
04:17 Je crois qu'on sollicite un petit peu cette résilience-là, non ?
04:21 Oui, on est obligé, si on veut avoir les résultats qu'on souhaite obtenir.
04:27 Si on a tout sans effort, c'est plus compliqué de devenir danseuse.
04:31 Parce que dès qu'on aura un petit truc qui ne va pas aller, on va arrêter, on va abandonner.
04:37 Bien sûr.
04:38 Pour moi, c'est ça qui m'a donné la force.
04:42 J'ai vu qu'en travaillant, j'arrivais à des fins.
04:44 Exactement. Alors vous, aujourd'hui, vous êtes sanctionnée par rapport à votre situation professionnelle.
04:51 Racontez-nous un petit peu.
04:53 Ça m'est arrivé sans que je le voie venir.
04:57 Ça ne faisait que trois mois que j'étais dans l'entreprise.
05:00 J'ai eu un entretien avec la DRH et ma directrice de conservatoire.
05:09 Ça, c'était le vendredi en 8.
05:15 Et le jeudi d'après, un rendez-vous pédagogique avec ma directrice d'école maternelle,
05:21 parce qu'on fait des alliances, avec ma directrice de conservatoire.
05:26 Et le lendemain, j'étais suspendue.
05:28 Mais pour quelles raisons ?
05:30 Pour moi, ce n'est pas des bonnes raisons qui ont été évoquées.
05:34 Mais pour l'instant, je ne suis pas sanctionnée réellement.
05:42 Pour l'instant, c'est une mise à pied conservatoire, ils appellent ça.
05:45 Donc c'est une mise à pied où je conserve mon salaire.
05:48 Mais ils vont entamer un collège de discipline pour pouvoir me sanctionner.
05:54 Et j'aurai le droit de me défendre.
05:56 Qu'est-ce qui s'est passé réellement, Marlène ?
06:00 Là, je bug.
06:02 Je bug parce que même s'il y a des enfants qui peuvent dire "oui, elle m'a parlé comme ça",
06:10 mais ce n'est pas ça qui va agirer quelqu'un.
06:16 C'est lié à une attitude, à un comportement ?
06:19 Je ne sais pas.
06:21 Je sais que la DRH... Non, c'est ça le problème, je suis dans le fou artistique, comme on dit.
06:25 Parce que ce n'est pas la DRH qui m'a choisie.
06:29 Et je pense que la DRH ne m'aurait pas choisie.
06:31 C'est leur mère qui m'a choisie.
06:33 Vous devez faire preuve un peu de résilience pour arriver à affronter les choses.
06:38 Déjà, je vous appelle.
06:43 Ça veut dire que je ne les affronte pas toutes seules déjà.
06:45 J'ai quand même des doutes.
06:48 Alors je me dis que peut-être je ne me perçois pas comme je suis,
06:51 ou je ne me perçois pas comme je pense être perçu.
06:54 Peut-être que je ne suis pas perçu comme je le suis à l'intérieur.
06:58 Et peut-être qu'il y a des gens qui pourraient mal m'interpréter.
07:01 Alors, moi de ce que je ressens, et je vais répondre à votre question,
07:05 parce que j'imagine que vous voulez savoir comment ça va évoluer,
07:07 et quel genre de sanctions vous allez avoir.
07:11 Oui.
07:13 Alors, il faut que je le batte ou pas ?
07:15 Je pense que c'est un peu sévère sur vous,
07:19 mais peut-être qu'effectivement il y a eu des consignes qui ont été données dès le départ
07:24 et qui n'ont peut-être pas été respectées.
07:26 Alors, vous, vous ne le voyez pas d'une manière, je dirais, négative,
07:31 ou en tous les cas d'avoir fait une réelle faute.
07:35 Mais eux, de leur point de vue, et en fonction peut-être de la déontologie professionnelle,
07:40 il y a eu quelque chose sur lequel vous vous êtes autorisé,
07:45 et sur lequel vous ne deviez pas vous autoriser.
07:47 Tout à fait.
07:49 Je sens une petite sanction pour vous,
07:51 mais je ne sens pas une pénalité à tel point de vous sortir du jeu
07:55 ou vous amener à un licenciement,
08:00 même si je ne sais pas si vous pouvez être licencié.
08:03 Mais en tous les cas, je sens que ça va s'apaiser,
08:06 que ça va se calmer,
08:08 mais il y a quand même un avertissement sur vous qui semble se mettre en place.
08:12 Et puis, il y a une femme.
08:14 Vous êtes amené à être convoqué par une femme,
08:17 avec qui il y aura une discussion,
08:19 j'ai l'impression que ça passe sous une forme de commission,
08:22 et à partir de là, vous verrez que les choses seront un peu plus rassurantes,
08:27 un peu plus apaisées,
08:28 et vous permettent de revenir à un bon équilibre.
08:30 Après, il y a une force contre vous,
08:32 il y a une petite opposition contre vous,
08:34 qui est peut-être liée à des personnes avec qui vous travaillez,
08:38 et là, vous devez être vigilante,
08:40 et surtout, prenez peut-être comme conseil
08:44 d'être pas sur vos gardes,
08:46 mais d'être prudente avec qui vous échangez,
08:50 et avec qui vous travaillez pour vous préserver de l'avenir,
08:55 et ne pas vous retrouver à nouveau dans une situation comme ça.
08:58 D'accord ?
08:59 D'accord.
09:00 Dans quel temps imparti, j'aurai ce petit rendez-vous ?
09:05 Pour moi, ça se règle ce mois-ci,
09:08 et ça va être très rapide.
09:10 J'ai l'impression que sous 15 jours, vous avez une réponse,
09:12 vous avez quelque chose qui se décide.
09:14 N'hésitez pas à nous tenir au courant Marlène.
09:16 Oui, avec plaisir.
09:18 Et puis si vous voulez poster un commentaire sur le groupe à votre écoute,
09:20 n'hésitez pas à le faire.
09:22 D'accord ?
09:24 Merci, prenez soin de vous Marlène.
09:26 Merci, au revoir Alexandre.
09:28 Et c'est le moment du grand jeu !
09:30 Le grand sapin de Noël, Sud Radio, c'est maintenant !
09:34 C'est le moment pour vous d'ouvrir votre cadeau de Noël,
09:36 en direct sur Sud Radio.
09:38 Vous gagnerez quoi aujourd'hui ?
09:40 Peut-être votre séance photo professionnelle en famille,
09:42 avec la shootingbox.com,
09:46 peut-être un coffret des célèbres couteaux de table
09:48 des ateliers français Perceval,
09:50 ou encore de nombreux autres cadeaux
09:52 qui vous attendent au pied du grand sapin de Noël de Sud Radio.
09:56 Alors pour gagner, c'est tout simple,
09:58 appelez-nous au 0826 300 300.
10:00 Et aujourd'hui, nous sommes le 6 décembre,
10:04 le jour de la Saint-Nicolas.
10:06 Alors si vous êtes le 6ème appel,
10:08 c'est gagné, c'est le 0826 300 300.
10:12 Bonne chance !
10:14 Et maintenant, le futur ou la future gagnante,
10:16 appelez le standard pour passer aussi à l'antenne de Sud Radio.
10:20 Et on se retrouve dans quelques instants avec Antoine,
10:22 pour un retour de témoignage.
10:24 Sud Radio, à votre écoute,
10:26 16h17, Alexandre Delovane.
10:30 Et de retour sur Sud Radio,
10:32 merci d'être à l'écoute de cette émission
10:34 au programme de l'émission La Résilience.
10:36 Alors vous souhaitez témoigner sur le sujet,
10:38 et poser des questions concernant votre devenir,
10:40 je suis à votre écoute au 0826 300 300.
10:44 Et si vous souhaitez réagir au témoignage de nos auditeurs,
10:48 faites-le en postant vos commentaires sur le groupe
10:50 A votre écoute sur Facebook.
10:52 Allez, passons à la minute du Saviez-vous.
10:54 Le Saviez-vous.
10:56 Les personnes hautement résilientes parviennent plus facilement
10:58 à rester optimistes et résolues dans telles situations.
11:02 La résilience n'est pas un trait de caractère inné,
11:06 elle peut être développée, favorisée et renforcée
11:08 par chacun de nous.
11:10 Allez, à présent, si on écoutait Antoine.
11:12 Bonjour Antoine.
11:14 Bonjour Alexandre.
11:16 Bienvenue sur Sud Radio.
11:18 Merci de me recevoir, c'est la deuxième fois que je passe chez vous.
11:20 Exactement. Antoine, vous nous appelez pour un retour de témoignage.
11:24 Alors vous avez 45 ans, vous travaillez dans le secteur
11:28 ou matériel médical, c'est bien ça, et près de Bordeaux.
11:32 C'est ça.
11:34 Je vais vous poser quand même cette question du jour Antoine.
11:36 Est-ce que vous êtes plutôt une personne résiliente ?
11:40 Je pense, oui, je crois.
11:44 Je crois que j'ai une certaine capacité à rebondir
11:50 suite à des traumatismes, à positiver les choses,
11:56 à trouver l'énergie pour rebondir face à des situations désagréables.
12:00 Je pense que j'ai cette capacité.
12:02 Là, je ne sais pas si je l'aurai.
12:04 C'est à répondre à votre questionnement d'aujourd'hui ?
12:06 Tout à fait. Je suis bien choqué, donc là, je ne sais pas.
12:10 On va voir de ce que ça donne, mais en tous les cas,
12:14 jusqu'à présent, dans vos événements de vie, de tout ce que vous avez pu entreprendre,
12:18 vous avez su rebondir et à nouveau faire face à tout obstacle.
12:24 Oui, je me définis comme quelqu'un de plutôt positif dans la vie.
12:32 Je suis quand même un fonceur.
12:34 Donc, oui, je pense que j'ai une capacité à rebondir.
12:39 Après, des fois, il faut plus de temps en fonction du choc qu'on a,
12:43 mais je pense que j'ai cette capacité.
12:45 Actuellement, vous êtes dans une situation difficile,
12:48 notamment sur le plan sentimental et affectif.
12:51 Racontez-nous un petit peu.
12:53 Pour remettre dans le contexte, je vous avais appelé il y a un an et demi.
13:00 Puisque je vivais dans un schéma très atypique.
13:05 J'étais avec la mère de mes deux filles.
13:08 On était ensemble, mais on vivait chacun chez soi.
13:11 Ça fait trois ans maintenant.
13:14 On a chacun notre maison.
13:16 On est ensemble et on a un schéma la semaine de parents séparés.
13:21 On a un turn over avec...
13:23 Par contre, on a une garde avec les filles.
13:25 Et on se voyait tout le temps, les week-ends, les vacances, etc.
13:29 On avait ce schéma qui s'est installé pendant trois ans.
13:32 - D'accord. - Depuis trois ans.
13:34 Là, ce qui s'est passé, c'est tout récent,
13:37 ça s'est passé samedi matin.
13:39 Du coup, les filles dormaient chez moi ce week-end.
13:44 Et le samedi matin, j'amène ma fille à un entraînement de sport.
13:50 Elle avait oublié quelque chose à la maison de sa mère.
13:53 En arrivant à la maison de sa mère,
13:57 j'ai découvert un homme dans son lit.
14:00 - D'accord. - Voilà.
14:02 - Ça a été la douce-froide, le choc. - J'imagine bien, effectivement.
14:06 - L'épaule de choc. - D'où le traumatisme.
14:08 Antoine, quand vous avez appelé il y a un an et demi,
14:11 qu'est-ce que j'ai pu vous dire à cette période-là ?
14:14 En gros, vous m'avez fait comprendre que la situation
14:20 n'allait pas forcément évoluer.
14:22 - D'accord. - Il fallait que je me protège,
14:25 que je fasse attention,
14:27 mais il fallait que je me protège
14:30 face à cette situation et ce schéma-là.
14:34 D'accord. C'est ce qui s'est passé un petit peu, non ?
14:38 En termes d'évolution, il n'y a pas eu une grande évolution depuis ?
14:42 Non, je vous ai eu il y a un an et demi,
14:45 et depuis, ça n'a pas évolué.
14:47 Comment on peut réagir quand on se retrouve dans ce cas de figure
14:50 comme le vôtre, où malheureusement, vous trouvez votre...
14:54 Je ne sais pas si c'est votre ex-compagne ou votre futur ex-compagne.
14:58 - Là, maintenant, oui. - Oui, voilà.
15:00 Avec dans les bras d'un homme et dans votre lit.
15:03 C'était votre lit conjugal, auparavant ?
15:05 - Non, non, non. - C'était un autre endroit.
15:08 Mais quelle a été votre réaction ?
15:10 Et aujourd'hui, quelle est votre prise de décision ?
15:13 Ma prise de décision...
15:17 En fait, bizarrement, je ne sais pas comment me positionner.
15:21 Donc voilà, j'aimerais bien que vous me dites
15:26 ce qui va se passer un peu par la suite.
15:30 Ma réaction sur le moment, ça a été surtout de protéger,
15:33 parce que j'avais mes filles avec moi.
15:35 Donc ça a été de protéger mes filles et éviter de scandales
15:39 et de partir comme ça, et de ne pas faire de scandales,
15:43 et de protéger mes filles.
15:45 - C'était vraiment un gros, gros choc. - Bien sûr, j'imagine.
15:49 Et vous avez eu quand même une bonne réaction.
15:51 Je crois que là, je vais vous donner peut-être un conseil,
15:54 mais après, je vais bien sûr vous dire de ce que je ressens
15:57 par rapport à votre situation.
15:59 Ce qui est le plus important aujourd'hui, c'est de ne pas ignorer,
16:02 de ne pas être dans le déni par rapport à ce qui s'est passé
16:05 et ce qui se passe.
16:06 Donc, ce qui est important, c'est de discuter avec votre compagne
16:10 et d'exposer les faits pour que vous puissiez ensemble
16:13 prendre une décision, une décision définitive.
16:15 C'est-à-dire que vous ne pouvez plus rester dans cette situation-là
16:19 de vie chacun chez soi ou de semblant.
16:23 Il faut peut-être ouvrir les yeux sur une situation.
16:26 Et est-ce que ce n'est pas vous qui, jusqu'à présent,
16:29 n'avez pas voulu ouvrir les yeux sur la situation
16:31 et que vous avez accepté et vous avez intégré les choses ?
16:35 Donc, je ne veux pas dire que tout est de sa faute
16:38 et tout est de votre faute, mais peut-être qu'il faut équilibrer
16:41 et vous avez malheureusement été surpris par ce genre d'événement.
16:46 Mais est-ce que vous ne l'avez pas provoqué aussi
16:49 en supportant et en acceptant tous ces mois à vivre ce genre de situation ?
16:54 Ensuite, de ce que je perçois et de ce que je ressens,
16:57 et je ne voudrais pas vous faire du mal Antoine,
17:00 mais il faut accepter le changement.
17:03 Il faut intégrer que votre couple, aujourd'hui, est en véritable difficulté
17:07 et que votre compagne a besoin de vivre autre chose.
17:10 C'est elle qui vous le dira, et bien entendu, je ne parle pas en son nom,
17:14 mais pour moi, de ce que je perçois et de ce que je ressens,
17:17 c'est que vous êtes à la croisée des chemins
17:20 et vous êtes dans ce changement de vie.
17:23 Il faut l'intégrer, il faut penser à vous, à vos enfants
17:27 et à ce renouveau qui va vous apporter un nouveau bonheur
17:31 et peut-être resserrer les liens avec votre compagne,
17:34 mais autrement et différemment.
17:36 Transformer cet amour en complicité et en amitié
17:40 plus que dans l'exigence et dans la volonté d'appartenir à l'autre.
17:45 Ça, c'est mon point de vue de ce que je ressens pour vous.
17:48 Et du coup, parce qu'on est souvent curieux face à ce genre de situation,
17:54 c'est quelqu'un qu'elle voyait depuis longtemps,
17:57 c'est quelqu'un qu'elle va voir encore ?
18:00 Je vais être très sincère avec vous, je ne vous le dirai pas.
18:04 C'est pour une simple bonne raison, pour une question d'éthique,
18:07 de sincérité et d'honnêteté, c'est à elle à vous le dire.
18:10 Par contre, vous le voyez bien et vous l'avez vu de vos propres yeux,
18:13 elle a une histoire et évidemment, je ne pense pas que cette histoire
18:17 soit complètement récente ou qu'elle soit liée à quelques jours,
18:23 mais je vous laisse le soin de lui poser la question
18:27 et qu'elle vous réponde elle-même. D'accord ?
18:29 D'accord.
18:30 Merci, prenez soin de vous Antoine et revenez vers nous.
18:33 Merci.
18:34 Si vous vous posez des questions sur votre devenir et que vous souhaitez témoigner à l'antenne,
18:39 c'est le 0826 300 300. Ne bougez pas, on revient dans un instant
18:43 avec le gagnant du jeu du Grand Sapin de Noël de Sud Radio
18:46 et Jessica aussi pour sa reconversion professionnelle.
18:50 Restez à l'écoute de Sud Radio.
18:52 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
18:57 Et de retour sur Sud Radio, il est bientôt 16h30,
19:01 alors vous pouvez aussi nous suivre en direct live sur YouTube.
19:04 Et c'est le moment du Grand Sapin de Noël sur Sud Radio.
19:08 Alors c'est le moment d'accueillir notre gagnante du Grand Sapin de Noël en direct de Sud Radio.
19:14 Bonjour Maïté.
19:16 Bonjour Alexandre.
19:18 Maïté, j'ai vraiment ce plaisir à vous annoncer que vous êtes aujourd'hui la gagnante du jeu du Grand Sapin de Noël.
19:25 Vous nous appelez d'où Maïté ?
19:26 Je vous appelle des Pyrénées-Atlantiques de Cambolédin.
19:29 Bon, très bien. Vous savez ce que vous avez gagné ?
19:32 Absolument pas, non.
19:34 Déjà, vous savez que vous avez été la sixième personne à appeler.
19:37 Ça a été le chiffre 6.
19:39 C'est magique.
19:40 Voilà, et derrière ce chiffre 6, vous avez gagné une montre intelligente.
19:45 C'est une SmartWatch.
19:48 Vous êtes heureuse ?
19:50 Ah oui, ravie, ravie. Et mes enfants vous remercient aussi.
19:54 Super. Alors vous savez que cette montre, en plus de son élégance,
19:57 vous pourrez rester en contact avec les vôtres, analyser vos performances en running
20:02 ou encore lire vos SMS en mobilité.
20:05 Cette montre connectée vous est offerte par Sud Radio et la Confédération des Buralistes.
20:10 Félicitations Maïté.
20:12 Merci beaucoup et merci Sud Radio, merci Alexandre, merci beaucoup.
20:16 Merci, restez fidèle à Sud Radio.
20:18 Avec plaisir.
20:20 Merci, à très bientôt.
20:21 Et le Grand Sapin de Noël continue sur Sud Radio jusqu'au 25 décembre.
20:25 Restez connecté sur Sud Radio toute la journée et doublez vos chances
20:28 en vous connectant sur nos réseaux sociaux et sur sudradio.fr.
20:32 Et si à présent vous voulez témoigner ou réagir dans l'émission de demain,
20:36 c'est un autre sujet.
20:38 Le sujet sera sur la communication avec l'au-delà.
20:41 Un seul numéro, c'est le 0 826 300 300.
20:44 À présent, je vais vous donner des conseils sur le sujet du jour,
20:48 notamment sur la résilience, comment la renforcer.
20:51 Alors dans un premier temps, il faut tenir un journal du succès,
20:54 accepter les aspects négatifs de la situation actuelle.
20:57 Vous restez concentré sur les réussites quotidiennes et les estimer.
21:02 Acceptez aussi le changement comme un aspect de la vie,
21:06 sans le craindre et essayez d'en discerner les opportunités.
21:10 Soyez dans le bien-être physique, prenez soin de votre corps, faites du sport,
21:14 détendez-vous régulièrement, veillez à dormir suffisamment.
21:17 Et avoir confiance en son efficacité personnelle est important,
21:21 en prenant aussi les bonnes décisions, renforcez votre estime personnelle,
21:26 parce que les personnes ayant une faible résilience
21:29 tombent souvent dans le rôle de la victime et se sentent impuissantes et désarmées.
21:34 Et à présent, j'accueille Jessica. Bonjour Jessica.
21:37 Bonjour Alexandre, merci.
21:40 Bienvenue sur Suedradio.
21:42 Merci beaucoup.
21:43 Merci à vous.
21:44 Alors Jessica, vous avez 41 ans, vous êtes de Dax dans les Landes.
21:48 Et je vais vous poser cette question du jour.
21:51 Êtes-vous une personne résiliente ?
21:53 A priori, oui. Au regard de certaines personnes, oui.
21:57 J'aime bien le "a priori".
21:59 C'est difficile de se définir.
22:01 C'est vrai.
22:02 Le regard des autres en dit souvent plus que ce qu'on pense de nous.
22:08 Vous n'osez pas vous juger ?
22:10 C'est un grand travail d'introspection quand même.
22:15 Demander aux autres ce qu'on dégage nous permet des fois des réajustements.
22:21 De se voir réellement ce qu'on dégage ou ce qu'on souhaiterait,
22:24 mais qu'on n'arrive pas réellement à mettre en place.
22:27 D'accord. Mais si vous devez faire un bilan aujourd'hui
22:30 sur des expériences qui ont été vécues difficilement,
22:33 avec des obstacles, avec des contraintes et des difficultés,
22:38 où il a fallu s'acharner et avoir de la persévérance,
22:40 est-ce que vous avez le sentiment d'avoir bien réussi ?
22:43 Ou est-ce que vous êtes une personne qui a tendance à baisser les bras ?
22:47 Non, je ne baisse pas les bras.
22:48 Je sais qu'à chaque épreuve, à chaque expérience,
22:51 on ne va pas mettre "épreuve",
22:52 à chaque expérience, il y a toujours quelque chose de positif.
22:55 D'accord.
22:56 Et quelle est la force ou l'énergie que vous allez puiser en vous
23:00 pour arriver à dépasser ça ?
23:02 L'acceptation et la foi, on va dire.
23:05 C'est bien.
23:06 Ça nous épuise un peu moins, on va dire, physiquement et émotionnellement.
23:10 Et puis après, avoir la foi, autant en soi qu'en l'univers.
23:16 Savoir que quand on fait les bons choix, tout se met en place.
23:19 C'est de croire en soi et en son potentiel.
23:23 Mais j'aime bien l'idée d'être dans cette notion d'acceptation et de foi
23:28 pour avancer dans la vie et de rester face à sa trajectoire, bien sûr,
23:33 si tout ça est bien identifié et que ça vous est favorable
23:37 dans la réalisation future.
23:40 Jessica, racontez-nous un petit peu votre histoire.
23:45 Justement, face à beaucoup d'événements,
23:48 de cette année surtout,
23:51 le début d'année, beaucoup de prise de conscience.
23:54 Alors moi, je suis auto-entrepreneur, je suis à mon compte,
23:56 je travaille avec les animaux, en gardiennage, depuis trois ans.
23:59 C'est ma passion.
24:01 J'y investis beaucoup, en temps, financièrement, en énergie.
24:04 Et avec tous les événements de cette année,
24:07 beaucoup de crise de conscience.
24:09 Et je cherche une reconversion professionnelle,
24:13 plus avec les enfants.
24:17 Et garder aussi ma pension Féline,
24:21 qui est en plein potentiel pendant les vacances scolaires, forcément.
24:25 Et ça me permettrait de concilier ma vie avec mes enfants,
24:30 pouvoir partir en vacances.
24:32 Tout ce que j'aime aussi.
24:35 Et je voulais savoir si je me dirigeais sur les bonnes choses,
24:39 ou si je devais penser à autre chose.
24:41 Travailler dans les milieux scolaires,
24:44 avec les périodes scolaires, je pourrais autant profiter de mes enfants,
24:47 et être à l'abri financièrement tous les mois aussi,
24:50 et aussi continuer à faire tourner ma pension Féline,
24:53 qui est ma passion.
24:55 D'accord. Alors vous avez une pension Féline,
24:58 depuis combien de temps ?
25:00 Depuis 2020. On a ouvert au confinement malheureusement.
25:04 Et vous acceptez toutes sortes de félins ?
25:09 Les chats ?
25:11 Oui, mais toutes sortes de races de chats,
25:14 vous n'avez pas une spécificité ?
25:17 Non, pas plus. Après, beaucoup d'animaux.
25:21 Les panthères, les tigres, non ?
25:23 Non, non, non, j'ai pas assez de viande.
25:27 Et vous avez une capacité de combien en termes de pension ?
25:30 J'ai 7 chambres, où je peux y mettre 3 chats par chambre.
25:35 Bon, très bien, ça se passe bien ?
25:37 Tout à fait. Moi j'en suis satisfaite, mes clients aussi,
25:40 eux qui reviennent a priori, donc ça a plutôt l'air de...
25:43 Bien sûr. Et la difficulté aujourd'hui, c'est ce manque de temps,
25:47 c'est d'ailleurs que ça vous prend beaucoup, et ce qui est normal,
25:49 ce sont des animaux, ils ont besoin de manger,
25:51 d'avoir de l'attention sur eux tous les jours,
25:54 et aujourd'hui vous avez envie de changer,
25:58 d'organiser votre vie autrement et différemment.
26:00 Voilà. Pour y mettre plus de place avec mes enfants aussi,
26:04 pas que dans le contexte du travail,
26:06 parce que vu que c'est chez moi,
26:08 je me suis construit une prison dorée,
26:10 mais au final je profite.
26:12 Je vois mes enfants tous les jours, mais je ne profite pas d'eux,
26:15 c'est tout le temps "maman elle a pas le temps, elle travaille,
26:17 je dois faire ce qu'il doit",
26:19 et avoir quelque chose de plus régulier,
26:22 pour pouvoir avoir mes temps de pause juste pour mes enfants.
26:26 Bien sûr.
26:27 Alors, vous voulez aller vers cette reconversion sur la petite enfance,
26:32 est-ce que vous avez envie d'enrichir vos compétences sur d'autres formations,
26:38 ou des choses complémentaires au niveau de la petite enfance,
26:41 ou est-ce que vous voulez aller sur quelque chose de classique ?
26:45 Après, assez classique, tout ce qui est d'un péri-scolaire,
26:49 j'ai eu ma commis il y a quelques mois de ça,
26:51 chercher, si on est dans un petit village,
26:54 quelqu'un qui travaille du matin jusqu'au soir,
26:58 qui fait la garderie, les ménages, la cantine,
27:00 et qui s'occupe des enfants,
27:02 à ce genre de...
27:04 nous ce qu'on appelle un peu les nounous de la commune.
27:07 Et c'est vrai que de voir cette opportunité-là,
27:11 bon après il y a eu un changement de projet,
27:13 donc ça ne s'est pas fait,
27:15 mais je me suis dit "tiens, ça pourrait être l'idéal pour moi".
27:17 Bien sûr. Vous avez postulé ?
27:19 Tout à fait, et sur une autre commune aussi,
27:21 et là j'ai vu qu'il y avait encore d'autres offres,
27:23 et à Jean Périscolaire ils appellent ça...
27:26 Donc il n'y a pas de qualification spécifique.
27:29 Alors, moi je vous posais ces questions-là,
27:32 parce que je sens que début janvier,
27:34 vous allez avoir une réponse assez favorable.
27:36 Il y a quelque chose qui se présente à vous,
27:38 ça va être assez rapide,
27:40 et vous allez même être étonnés de ce changement,
27:43 ou ça vous surprend,
27:45 dans le sens où vous n'avez pas eu ce temps nécessaire
27:48 de vous réadapter, de vous réajuster.
27:51 Donc attendez-vous à une période de stress,
27:53 une période de stress positive,
27:55 parce que justement,
27:57 il y a de nouvelles choses qui se mettent en place,
27:59 il y a une demande par rapport à votre activité
28:01 dans tout ce qui est la pension Féline,
28:03 et donc les choses vont d'un coup s'accentuer,
28:11 tout se mettre en place, avancer, tout ça.
28:14 Après, je sens aussi que vous allez vouloir entamer,
28:19 ou en tous les cas aller vers des notions de formation,
28:22 pour compléter, ou pour apporter quelque chose en plus
28:25 que tout simplement de la garderie, ou autre chose.
28:28 C'est pas péjoratif, pas du tout.
28:30 - Sur la pension Féline ?
28:32 - Non, non, non, concernant les enfants.
28:34 - D'accord, c'est ce que j'ai mis en avant sur ma candidature.
28:38 J'ai pris connaissance de la communication non-violente,
28:43 et je suis dans mes débuts,
28:47 c'est long déjà à se reprendre au soi-même,
28:50 à reprendre des belles habitudes,
28:52 et je le fais en autonomie de mon côté,
28:55 mais j'aime réellement,
28:57 et je sais que les enfants sont de grands enseignants,
29:01 et c'est ce que je mets en place,
29:03 donc ça pourrait correspondre aussi.
29:05 - Ça correspond totalement, je pense,
29:07 parce que je vous sens justement vous enrichir
29:09 d'une autre formation,
29:11 d'avoir une palette différente,
29:16 et d'apporter un plus par rapport à tout ce qu'on pourrait donner
29:20 en termes de pédagogie au niveau des enfants.
29:22 - On va grandir ensemble alors !
29:25 - Vous voulez dire vous et moi, grandir tous les deux ?
29:28 - Nous, avec les enfants.
29:30 - Nous sommes toutes unies, mais oui, autant les enfants que...
29:33 - Les enfants.
29:35 - Vous voyez si c'est un temps plein,
29:37 ou si c'est...
29:39 - Pour l'instant, je dirais que c'est plus du remplacement,
29:44 mais à l'avenir, ça vous amène à avoir un temps plein,
29:48 oui, bien sûr.
29:50 N'hésitez pas à nous tenir au courant,
29:52 et surtout, au niveau de l'échéance,
29:54 c'est assez proche, parce que je vois un changement
29:56 déjà début janvier,
29:58 donc rappelez-nous pour nous tenir au courant de la suite.
30:00 - Et bien parfait, merci beaucoup,
30:02 et avec grand plaisir, je vous abonnerai des nouvelles.
30:04 - Merci Jessica, passez de belles fêtes !
30:06 - Merci parrainant Alexandre. Au revoir.
30:08 - Sud Radio, à votre écoute,
30:10 Alexandre Delevanne.
30:12 - Et la parole est à Catherine.
30:14 Bonjour Catherine.
30:16 - Bonjour Alexandre, merci de me recevoir sur votre antenne.
30:20 - Merci, bienvenue sur Sud Radio.
30:22 Alors Catherine, vous avez 62 ans,
30:24 et je vais vous poser quand même cette petite question,
30:27 est-ce que pour vous, vous sentez être une personne résiliente ou pas ?
30:31 - Alors, je pense que oui,
30:34 mais moi je définirais ça plutôt comme une combattante,
30:37 mais je sais qu'il y a une différence entre combattante et résiliente.
30:42 - Exact.
30:43 - Combattante dans le sens où il m'est arrivé évidemment tout au long de ma vie
30:48 d'avoir des soucis plus ou moins importants,
30:51 notamment de santé, j'ai eu un problème de santé assez grave,
30:55 et je m'en suis sortie, grâce à ma famille, grâce à mon mari surtout,
31:00 mais j'ai réussi à mettre de côté cette maladie qui est toujours plus ou moins au-dessus de notre tête
31:09 et qui risque de revenir, mais j'ai réussi à complètement l'oublier.
31:15 Et puis évidemment, j'ai eu d'autres problèmes aussi au niveau de mon travail,
31:21 et j'ai toujours réussi à m'en sortir, je suis quelqu'un qui me bat, voilà, dans la vie.
31:28 - Alors là, vous nous appelez pour votre fille, Catherine, c'est ça ?
31:32 - Oui, je m'inquiète beaucoup pour ma fille.
31:35 Ma fille est née donc, qui est en pleine séparation avec son conjoint.
31:40 La situation est très compliquée, a été très compliquée,
31:44 parce que son conjoint a décidé de la rupture 15 jours avant la naissance de leur deuxième enfant.
31:49 - Elle a quel âge votre fille ?
31:51 - Elle a 40 ans.
31:52 - Elle a 40 ans, son conjoint est dans les mêmes âges aussi ?
31:56 - Oui, il a deux ans de moins.
31:58 - Il est dans les mêmes âges.
32:00 Il a décidé de cette rupture pour quelles raisons ?
32:03 - Alors bon, ils ont deux enfants, une petite fille qui a trois ans et demi,
32:10 et une deuxième qui vient d'arriver, qui a donc que trois mois.
32:15 La deuxième n'était pas désirée par le papa, ça c'est clair, il en voulait pas,
32:20 il trouvait que c'était trop compliqué, que déjà ils avaient du mal à s'entendre
32:23 sur l'éducation de la première, enfin bon voilà.
32:26 Ils sont partis en week-end à Rome, ville romantique,
32:31 et voilà, elle est revenue, elle attendait un bébé.
32:34 Donc à l'aube de ses 40 ans, elle était très heureuse,
32:38 puisque depuis le début son projet de vie c'était d'avoir plusieurs enfants,
32:42 d'ailleurs il était d'accord au début.
32:44 Et là, la grossesse, il ne s'est pas du tout investi dans la grossesse,
32:50 il n'allait pas aux rendez-vous, aux échographies, etc.
32:53 Je l'ai beaucoup accompagnée.
32:55 Ça a créé des tensions encore supplémentaires,
32:59 parce que ma fille lui en voulait de ne pas du tout s'intéresser à cet enfant.
33:03 Et là, 15 jours avant d'accoucher, elle a décidé de le traîner,
33:10 on va dire, plus ou moins de force, voir un thérapeute de couple.
33:14 Et écoutez, c'était pas une bonne idée,
33:17 parce que la thérapeute, évidemment, leur a dit qu'elle ne pouvait rien faire pour eux,
33:21 puisqu'ils n'étaient pas d'accord tous les deux pour essayer de sauver leur couple.
33:26 Et lui, il a pris ça pour argent comptant,
33:28 et quand ils sont sortis, il lui a dit "ben écoute, tu vois,
33:31 même la thérapeute, elle peut rien faire pour nous, c'est fini".
33:34 - Oui, c'est dur, c'est dur.
33:37 - Oui, parce que les 15 derniers jours de la grossesse ont été très compliqués,
33:42 elle pleurait beaucoup, enfin bon, voilà.
33:44 Elle est venue à la maison, on a fait ce qu'on pouvait,
33:47 j'ai assisté à l'accouchement pour ne pas qu'elle soit seule,
33:51 enfin bon, c'était vraiment très très glauque, très compliqué.
33:55 Et aujourd'hui, elle est rentrée de la maternité,
34:00 à peine quelques jours après son retour de maternité,
34:03 il avait déjà fait venir des agents immobiliers pour évaluer la maison,
34:10 enfin bon, tout s'est enchaîné très très rapidement.
34:14 Ma fille ne veut pas partir de la maison, pour ses filles, pour elle-même,
34:18 elle n'a pas eu le temps de se retourner,
34:20 elle vient de reprendre seulement son travail il y a quelques semaines.
34:24 - Alors, pardonnez-moi parce qu'on est pris un peu par le temps,
34:27 et je vais vous répondre.
34:29 Effectivement, je sens que, c'est pas du non-retour,
34:32 mais je sens que la situation est compliquée dans leur relation à tous les deux,
34:36 et malheureusement, il va falloir que votre fille accepte
34:40 qu'à un moment donné, elle est face à une séparation et à une rupture.
34:44 Il faut qu'elle interne, elle n'a pas le choix,
34:46 même si elle a un sentiment d'abandon,
34:48 parce qu'il y a l'arrivée de cet enfant, et en plus, le papa s'en va,
34:54 donc c'est compliqué, c'est dur, mais je la sens soutenue,
34:58 avec justement sa famille, donc vous,
35:02 il y a un soutien qui est là, qui va lui permettre de rebondir et de repartir,
35:07 et puis aussi, en tant que maman, elle n'a pas le droit de se laisser aller,
35:11 en tous les cas, de ce que je ressens pour elle,
35:13 donc elle va se battre, elle va combattre justement,
35:18 ce chagrin, cette difficulté, cette rupture sentimentale,
35:22 et puis, en ce qui concerne cet homme,
35:24 je le sens dépassé par plein de choses,
35:27 à la fois la peur de l'engagement à nouveau d'une famille qui s'agrandit,
35:32 et puis, je ne sais pas, s'il n'est pas perturbé par un entourage extérieur,
35:37 une influence extérieure, vous voyez, il y a des choses qui semblent être un peu,
35:40 pas nébuleux, mais un peu confus dans son esprit,
35:43 et c'est ce qui pourra expliquer plus tard,
35:46 la raison pour laquelle, aujourd'hui, il a décidé de cette rupture.
35:50 N'hésitez pas à nous tenir au courant, Catherine.
35:53 - Alors moi, ma question, quand même, c'était, est-ce qu'elle va pouvoir rester dans sa maison ?
35:57 - Oui, oui, je sens, oui, je la sens, oui, je sens qu'autour d'elle,
36:02 ça fait cohésion, et qu'on fait tout en sorte qu'elle puisse ne pas être déstabilisée,
36:08 et sortie du contexte dans lequel elle est, donc pour moi, c'est oui.
36:12 - Financièrement, elle n'aura pas...
36:14 - Financièrement, ça va être dur, mais elle va y arriver.
36:18 N'hésitez pas, parce qu'on doit rendre bientôt l'antenne.
36:20 - Merci beaucoup. - Merci.
36:21 - Oui, bien sûr. - Prenez soin de vous,
36:23 et de bonnes fêtes, malgré tout. D'accord ?
36:26 Et si vous aussi, vous avez besoin de mon ressenti,
36:29 et d'être accompagné dans votre évolution de vie,
36:32 n'hésitez pas à appeler le 0 826 300 300.
36:35 On se retrouve dans quelques minutes avec Lola,
36:38 qui est en plein burn-out. Ne bougez pas.
36:41 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
36:47 - Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie,
36:51 avant de retrouver les vraies voix,
36:52 présentées par Philippe David et Cécile de Minibus.
36:54 Alors, il vous reste encore quelques minutes
36:56 pour passer à l'antenne de Sud Radio.
36:58 Et avant de retrouver Lola,
37:00 je reviens sur le groupe de Facebook à votre écoute,
37:02 pour vous donner le dernier message que nous venons de recevoir,
37:05 celui de Brigitte, concernant le sujet de demain,
37:08 et concernant la communication avec Lola.
37:12 Elle nous dit "Mes parents et ma grand-mère m'ont dit
37:15 qu'ils veillaient sur moi et qu'ils ne me voulaient pas encore avec eux".
37:19 C'est déjà un message rassurant pour vous, Brigitte.
37:23 J'ai celui aussi de Bénédicte, qui dit
37:25 "Oui, j'ai déjà fait l'expérience avec un médium".
37:29 Alors, en tous les cas, vous aurez toutes vos réponses demain,
37:32 avec notre experte Christelle Cronier,
37:34 qui répondra à vos interrogations.
37:36 Et la parole est à Lola. Bonjour Lola.
37:38 - Bonjour Alexandre.
37:40 - Merci de votre fidélité à Sud Radio.
37:43 - J'adore votre émission et votre voix poussée, rassurante.
37:48 - Merci Lola. Alors, vous avez 57 ans,
37:51 vous êtes de Cahors et vous êtes comptable, c'est bien ça ?
37:54 - Tout à fait.
37:56 - Je vais vous poser cette question,
37:57 est-ce que vous, vous êtes une personne résiliente dans la vie ?
38:01 - Alors, je l'ai été.
38:03 J'ai fait preuve vraiment de résilience dans mon travail.
38:07 Optimiste de nature quand même.
38:10 Mais voilà, là, actuellement, je ne le suis plus trop.
38:15 - C'est difficile.
38:16 Vous êtes face à un burn-out,
38:19 et notamment par rapport à votre situation professionnelle,
38:23 où ça devient compliqué.
38:24 Expliquez-nous un petit peu, et comment puis-je vous aider ?
38:28 - Alors, en fait, ça a débuté en gros, il y a un an,
38:32 où l'ambiance professionnelle n'était pas top,
38:36 et j'ai été trahie, quoi.
38:38 En gros, suite à ça, je pense qu'il y a de l'usure, du surmenage,
38:44 et puis le climat économique anxiogène aussi, voilà, tout ça.
38:48 - Bien sûr.
38:49 - Et en fait, l'épuisement a altéré mes facilités à faire face,
38:53 et mon corps a dit stop.
38:55 - Stop, exactement.
38:56 - Et voilà, et donc on appelle.
38:58 - Voilà, et vous êtes en arrêt de maladie aujourd'hui ?
39:00 - C'est ça, ça fait deux mois.
39:02 - Et quel est votre questionnement ?
39:04 - Ben écoutez, j'ai 57 ans.
39:06 Moi, je voudrais en fait savoir comment je vais terminer ma carrière, quoi.
39:13 - C'est bizarre, mais je n'ai pas le sentiment que vous ayez envie de revenir dans cet endroit.
39:18 Vous avez envie peut-être de faire autre chose,
39:21 et peut-être qu'il faut vous faire aider.
39:24 Alors, je ne vous pousse pas à aller vers d'autres arrêts de maladie,
39:29 mais il faut vous faire aider, vous faire entendre,
39:32 il faut peut-être vous faire suivre,
39:34 par une thérapie.
39:36 - J'ai apporté une thérapie EMDR.
39:38 - D'accord.
39:39 - Donc, ça porte ses fruits, puisque je ne pleure plus quand j'en parle,
39:43 donc c'est déjà ça.
39:44 - Ce sont de bonnes techniques, et effectivement une bonne thérapie,
39:47 et je sens que vous allez aller mieux,
39:49 mais par contre, il y a une négociation avec l'entreprise
39:52 pour peut-être aller vers une rupture conventionnelle.
39:56 Il y a quelque chose qui pourrait se décider,
39:58 est-ce que vous avez envie de ça ?
40:00 - La rupture conventionnelle, j'y avais pensé,
40:02 elle a été refusée.
40:04 Donc, maintenant, soit c'est de l'inaptitude,
40:08 ou une vente du cabinet, je ne sais pas.
40:13 - C'est bizarre, mais je sens que la rupture conventionnelle
40:16 peut être à nouveau un sujet d'actualité,
40:19 et il y a quelque chose qui pourrait se décider
40:21 à partir de ce printemps 2024.
40:25 Mais en attendant, il faut résister,
40:27 il faut tenir, et puis surtout,
40:29 il faut vous faire accompagner,
40:32 et prendre ce temps nécessaire pour réfléchir sur soi,
40:35 et rester dans cette volonté de changer les choses,
40:39 parce que vous êtes à la fin d'un cycle,
40:41 vous êtes à la fin d'une période,
40:42 et pour moi, je ne vois pas une grande évolution
40:44 au sein de la structure dans laquelle vous êtes.
40:46 Mais vous verrez que vous allez avoir,
40:48 pour moi, une rupture conventionnelle,
40:50 je le ressens de cette manière-là.
40:52 N'hésitez pas à nous tenir au courant, Lola.
40:55 - Merci.
40:56 - Merci à vous, prenez soin de vous.
40:58 - Merci, au revoir.
40:59 - Et pour conclure, je dirais,
41:00 ce que nous ne pouvons pas contrôler
41:03 renforce notre résilience.
41:05 Allez, on se retrouve demain,
41:07 on parlera de la communication avec l'au-delà,
41:09 j'aurai comme invité Christelle Cronier avec nous.
41:11 N'hésitez pas à porter vos témoignages
41:13 et à communiquer sur le groupe,
41:14 à votre écoute sur Facebook,
41:16 on vous répondra à l'antenne.
41:18 Passez une belle fin de journée,
41:19 et prenez soin de vous.
41:21 Et la place, c'est au Vrai Voix.
41:22 Bonsoir, Philippe David.
41:23 - Bonsoir, Alexandre Delovane.
41:25 - Le menu des Vrai Voix, à 17h30,
41:28 il est 16h55, dans 5 minutes,
41:31 commence à l'Assemblée Nationale,
41:33 l'audition de Claude Évin et de Patrick Stéphanini
41:35 sur l'aide médicale d'État.
41:37 On vous pose cette question,
41:38 faut-il supprimer l'aide médicale d'État
41:40 aux personnes sous OQTF,
41:42 obligation de quitter le territoire français ?
41:44 Vaste programme, c'est a priori à l'étude.
41:47 Et vous, qu'est-ce que vous en pensez ?
41:49 Il faut supprimer l'aide médicale
41:50 pour les personnes sous OQTF,
41:51 ou pour tout le monde,
41:52 ou la maintenir telle qu'elle,
41:53 ou l'adapter ?
41:54 Venez nous donner votre avis au 0826 300 300.
41:58 À 18h37, Crépol, de nouvelles versions ressortent
42:02 dans Le Parisien,
42:03 et on a l'impression que les faits ne sont pas les mêmes
42:06 selon qu'on écoute un camp politique ou un autre,
42:09 selon qu'on lise un média ou un autre.
42:11 Et on vous pose cette question,
42:12 Crépol est-on dans une manipulation de l'information ?
42:15 Parce qu'il y a Rix ou il n'y a pas Rix,
42:17 il y a cri raciste contre les Blancs
42:19 ou contre les Maghrébins.
42:20 Bref, qu'est-ce qui s'est passé à Crépol ?
42:22 Et on a l'impression qu'il y a plusieurs vérités
42:24 alors que théoriquement il n'y en a qu'une.
42:26 Alors est-ce que vous avez le sentiment
42:27 d'être dans une manipulation de l'info,
42:29 dans quelque sens que ce soit ?
42:31 Venez nous le dire au 0826 300 300.
42:34 Nos vrais voix du jour,
42:35 Philippe Bilger, Olivier Dartigold et Jean Garrigue.
42:38 Bonne émission.
42:40 Sud Radio, à votre écoute,
42:42 16h-17h,
42:44 Alexandre Delovane.
42:46 Avec Idealvoyance.fr
42:48 Coaching de vie spirituelle
42:50 par téléphone, chat et email.