La tolérance - À Votre Écoute - Vidéo Dailymotion

Sud Radio

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Transcript

00:00 idéalvoyance.fr coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente

00:06 Sud Radio à votre écoute 16h-17h, Alexandre Delovane

00:11 Bonjour à tous, alors ravi de vous accompagner jusqu'à 17h et de finir cette semaine avec vous.

00:25 Hier nous avons parlé de la patience et ici aujourd'hui on parlait de la tolérance car

00:31 justement la patience permet de travailler aussi sur la tolérance. Alors on peut considérer que

00:38 la tolérance est limitée par le respect de chacun et la liberté de tous mais jusqu'à quel point

00:44 pouvons-nous tous être tolérants ? C'est un vaste sujet philosophique, êtes-vous sensible à ce sujet

00:51 de tolérance ? Venez en parler au 0826 300 300, Aude Standard vous attend. Nous sommes en direct live

00:58 sur Youtube et aujourd'hui à la réalisation de l'émission c'est Lucille et Aude et Zach.

01:04 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane. Et avant de retrouver notre première auditrice

01:12 Caroline je vais sur le groupe A votre écoute et je reprends un message de Caroline

01:21 qui nous dit "la tolérance ok, sans jugement mais avec des limites pour soi". Alors effectivement

01:27 Caroline je pense que toute tolérance a une certaine limite et en fonction des valeurs

01:33 morales de notre éducation et aussi de la vie en société. J'accueille à présent notre première

01:38 auditrice Jocelyne. Bonjour Jocelyne. Ah je crois que Jocelyne n'est pas là. Bon c'est

01:47 les aléas du direct, peut-être qu'elle va arriver. En attendant on va aller sur le groupe A votre

01:53 écoute et on va reprendre un post sur la notion de la nostalgie. Vous savez que ces derniers temps

02:00 c'était Noël et Micheline nous disait "quand je me rappelle qu'à Noël à la maison j'avais tous mes

02:06 enfants et leur mari et mes petits-fils et bien on se retrouvait". Et donc voilà c'était un message

02:13 un peu ancien mais c'est juste pour attendre la venue de notre auditrice Jocelyne. Jocelyne

02:19 vous êtes là ? Oui je suis là. Bienvenue sur Sud Radio Jocelyne. Bonjour je vous présente mes vœux

02:25 pour la nouvelle année. Merci on a eu peur parce qu'on ne vous trouvait pas, on a eu du mal à vous

02:30 avoir et voilà vous êtes là c'est le principal. Et bien tous nos meilleurs vœux aussi Jocelyne.

02:36 Merci. Alors l'intolérance c'est un sujet qui vous parle ? Oui moi je suis très tolérante en

02:44 général sauf pour ce qui concerne la cigarette. Je suis très intolérante pour les fumeurs donc

02:50 après voilà. D'accord pour des raisons de santé bon j'imagine oui ça certainement mais est-ce que

02:57 vous avez un mauvais souvenir ou est-ce que vous êtes une ancienne fumeuse ? Non non je ne suis

03:01 pas ancienne fumeuse, j'ai vécu avec deux fumeurs et je n'aime pas du tout l'odeur et je ne veux pas

03:07 respirer de cochonnerie. D'accord alors parce que souvent quand on a été un longtemps fumeur on

03:14 devient assez intolérant après avec les non fumeurs c'est pour ça que je vous posais cette

03:18 question là. Jocelyne vous avez 67 ans, vous êtes retraitée, vous vivez dans le département de l'Aude,

03:24 racontez nous un petit peu votre histoire. Eh bien écoutez voilà moi j'étais avec quelqu'un de

03:30 beaucoup plus jeune qui a 17 ans moins que moi. Quand je l'ai connu bon il avait pas mal de

03:36 problèmes donc j'ai assez soutenu dans ses problèmes. Donc on est parti dans le sud et

03:45 ça fait deux ans là que bon il est parti. Je l'ai quand même bien soutenu, aidé financièrement et

03:51 tout et bon dès qu'il a été remis à flot il est parti donc je me pose la question s'il était

03:56 vraiment avec moi par intérêt ou s'il a vraiment des sentiments pour moi. Et depuis un petit moment

04:01 bon il est toujours présent dans ma vie puisque quand j'ai besoin bon il vient me rendre des

04:05 services mais dès qu'il s'en veut il m'éloigne, il revient donc j'ai l'impression qu'il se sert

04:10 un petit peu de moi. Il me dit que non mais je suis complètement perdue parce qu'il est toujours

04:14 dans mes pensées et j'arrive pas à passer à autre chose. Vous êtes resté 13 ans ensemble. Oui.

04:18 C'est pas rien 13 ans ? Non il est parti il y a deux ans et moi pour moi c'est je suis resté figée

04:24 en 2021. Il est parti en décembre 2021 j'ai l'impression que je n'avance pas, que je suis

04:28 restée figée à cette date. Vous avez le sentiment que cette rupture a été un peu trop précipitée

04:33 et pas assez réfléchie ? Non je pense qu'il a pas mal réfléchi parce qu'il essayait, il m'en a parlé

04:39 quand même je vais partir, je vais partir et fallait que je fasse un virage à 360 degrés,

04:44 que je change tout par rapport à ma personnalité et moi j'ai eu peut-être pas assez de confiance,

04:51 je me suis dit il partira jamais, j'ai voulu faire aucun effort et un jour il est parti.

04:57 Quels sont les efforts qu'il vous demandait de faire ? Disons que bon au niveau intimité,

05:04 moi je freinais des deux pieds parce qu'il n'était pas très gentil avec moi donc après j'avais plus

05:10 envie de faire plaisir à ce niveau là et il me parlait plus, il a commencé à partir dans une

05:16 autre chambre, il m'adressait plus la parole et ça s'est complètement dégradé. Il me critiquait

05:21 dans mon dos un petit peu à droite à gauche et voilà on en est là. D'accord et au fond de vous,

05:27 vous avez envie de reprendre cette histoire ? Moi oui je serais prête parce que bon j'ai évolué un

05:34 petit peu au niveau caractère, voilà je me suis remise en question et tout et j'ai évolué mais

05:41 bon je sais pas de son côté, il me fait souvent un pas en avant, trois pas en arrière donc je

05:46 suis complètement déstabilisée. Oui alors moi de ce que je ressens c'est qu'il faut que vous avancez

05:52 avec beaucoup plus de confiance et de sérénité. Je crois que malgré tout cette séparation et

05:58 cette rupture vous a touché comme toute rupture quand on a du sentiment et quand on a été investi

06:05 dans une histoire, forcément ça a créé un choc ou en tous les cas des traumatismes mais il faut

06:12 sortir de ça et vous l'avez bien dit c'est à dire que depuis deux ans votre vie s'est un petit

06:17 peu arrêtée, vous en êtes resté là et vous avez du mal justement à faire confiance mais cette

06:23 confiance, cette difficulté à faire confiance, est-ce que ça ne se ramènerait pas de vous cette

06:31 problématique là ? C'est à dire que, et de ce que je veux dire, est-ce que vous pouvez lui faire

06:38 confiance à lui mais est-ce que vous avez vraiment confiance en vous d'un éventuel changement,

06:42 d'une éventuelle prise de décision ou pas ? Oui moi j'ai l'impression que pour moi j'ai déjà

06:50 énormément changé, déjà j'avais beaucoup de ressentiment au début, je me suis dit bon il faut

06:55 que j'arrête ça, j'ai plus de ressentiment, j'essaye d'être plus gentille, c'est peut-être

06:59 pas le mot, plus empathique, j'ai changé au niveau caractère, oui moi je me sens capable de changer,

07:05 mais lui je ne sais pas et je ne sais pas ce qu'il veut ou ce qu'il ne veut pas, mais il me fait

07:10 miroiter un espoir. Ecoutez pour moi, en tous les cas, je sens qu'il est dans une bonne initiative

07:17 et dans une démarche de vouloir se réconcilier, de vouloir peut-être tenter à nouveau un

07:24 rapprochement et d'avancer ensemble, après je ne pense pas qu'il vous fasse complètement miroiter

07:32 et avoue de gagner plus de confiance en vous, même si vous pensez avoir changé, je ne dis pas le

07:37 contraire bien entendu, mais il y a encore quelques petits aspects sur lesquels vous devez marquer

07:43 quelques efforts pour justement sortir de cette peur, de cette crainte et vous permettre d'avancer

07:49 avec plus de confiance et plus de sérénité. Mais pour répondre à votre question, oui je sens que

07:55 cette histoire va reprendre, vous allez reprendre le chemin, le cours de cette existence va

08:01 pouvoir à nouveau se refaire ensemble et puis vous serez amené à décider autrement et différemment

08:09 les choses, c'est-à-dire peut-être à repositionner pour repartir sur d'autres bases. Vraiment,

08:15 j'insiste à vous dire, gardez confiance en vous et surtout cultivez cette confiance là pour que ça

08:21 puisse se pérenniser dans le temps et donner de bons résultats dans votre histoire. Oui parce

08:26 qu'on en avait un petit peu discuté et on s'est dit si on retente quelque chose, il faut mettre

08:33 tout à plat, il faut repartir sur des bases nouvelles, ne pas repartir au moment où on s'est

08:38 quitté. Je crois, c'est valable pour toute chose dans la vie, quand il y a une fracture il faut

08:43 justement se remettre en question et avancer pour aller vers du meilleur et c'est ce que vous allez

08:47 faire, d'accord ? Vous voyez ça à peu près dans combien de temps ? Je pense que ça va se décider

08:52 très rapidement, sous les deux mois à venir, vous verrez qu'il y a du changement, il y a une autre

08:57 possibilité d'évolution dans votre vie sentimentale. Mais moi je vous invite à nous rappeler d'ici les

09:03 deux mois, d'accord ? D'accord, je vous dis ce qu'il en est. Merci. Merci Alexandre, je vous souhaite une

09:11 bonne journée. Prenez soin de vous, merci. On se retrouve dans quelques minutes avec Katia qui a

09:18 le projet d'ouvrir un commerce. Vous souhaitez passer à l'antenne, c'est le 0 826 300 300, ne

09:25 bougez pas et restez sur Sud Radio bien entendu. Sud Radio à votre écoute 16h17, Alexandre Delovane.

09:34 Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de cette émission, au programme de l'émission

09:40 La Tolérance. Alors c'est pas évident parfois d'être tolérant sur certains aspects ou certains

09:44 sujets, mais c'est aussi une question d'ouverture d'esprit. Vous souhaitez témoigner sur le sujet

09:50 et poser des questions concernant votre devenir, je suis à votre écoute au 0 826 300 300. Et si

09:57 vous souhaitez aussi réagir sur le groupe A votre écoute sur Facebook, n'hésitez pas, je vous

10:01 répondrai bien sûr à l'antenne. Allez passons à la minute du Saviez-vous. Le Saviez-vous, une

10:08 déclaration de principe sur la tolérance par les états membres de l'UNESCO a été adoptée

10:14 le 16 novembre 1995. Ils affirment que la tolérance est la reconnaissance des droits

10:20 universels de la personne humain et des libertés. Ce fait, la journée mondiale de la tolérance est

10:26 donc le 16 novembre. Et si on écoutait à présent Katia. Bonjour Katia. Bonjour Alexandre, je vous

10:35 souhaite une excellente année à vous et à toute votre équipe également. Mais également tous nos

10:39 meilleurs voeux, Katia, de bonheur et surtout de santé. Est-ce que votre début d'année se commence

10:45 bien ? Est-ce qu'elle débute bien cette année ? Eh bien écoutez, j'ai l'impression que oui. Après

10:51 beaucoup de péripéties l'an dernier, cette année s'annonce avec de beaux projets en tout cas en

10:57 perspective. Donc voilà. Alors restez sur cette lancée là, Katia. Si on parlait un petit peu de

11:05 tolérance, qu'est-ce que vous en pensez ? Est-ce que c'est un sujet qui est pour vous difficile à

11:11 admettre ? Parce que la tolérance parfois c'est d'accepter certaines opinions différentes de nos

11:17 propres opinions, non ? Tout à fait. Alors moi je suis quelqu'un de très tolérante. Je ne vais pas

11:23 à l'encontre de l'opinion des autres personnes, bien que j'aime bien quand même dire mon point de vue.

11:29 D'accord. Oui, c'est une éthique. C'est aussi peut-être une norme fixée par la société. Et

11:39 puis quand on dépasse tout signe, enfin toute limite de tolérance, il existe aussi la loi

11:45 pour mettre en place et corriger ce qui ne va pas. Alors Katia, racontez-nous un petit peu votre

11:51 histoire. Eh bien écoutez, moi c'est vrai que je suis coiffeuse depuis que j'ai 16 ans. Et donc

12:00 là, cette année, un projet est venu. J'ai toujours souhaité ouvrir un salon d'un Coq-u-Mont. Voilà,

12:07 depuis toute petite c'est comme ça. Et donc là cette année, je n'arrivais pas trop à trouver

12:13 de travail. Suite à un dissenciement économique d'une ancienne entreprise où ça n'avait pas

12:18 trop fonctionné. C'était pas à moi, j'étais employée. C'était une grande entreprise ou pas ? C'était

12:25 une grande entreprise, donc un grand institut de beauté avec de l'esthétique, des massages,

12:32 etc. Et malheureusement, elle a fermé. Donc pour l'équidation judiciaire et suite à ça,

12:40 j'ai décidé que je n'avais plus envie d'être coiffeuse ou alors qu'à mon compte. D'accord.

12:45 Et ensuite, elle a fermé il y a combien de temps ? Ça fait un an. Ah ok, d'accord. Donc depuis un an,

12:53 vous êtes au chômage ? Oui, tout à fait. Exactement. Donc du coup, suite à... Excusez-moi.

12:59 Vous avez un enfant derrière vous ? Oui, un petit garçon. Qui a quel âge ? Qui a 3 ans. Et il

13:06 s'appelle comment ? Logan, c'est un petit Logan. On l'embrasse très fort à Logan. Merci beaucoup.

13:12 Donc c'est vrai que cette entreprise a fait un an. J'ai souhaité ne plus être coiffeuse parce que

13:20 j'ai essayé de trouver d'autres travails. Ça n'avait pas fonctionné. Ça n'a pas fonctionné.

13:24 Excusez-moi, je suis désolée. Non, il n'y a pas de souci. Et donc,

13:30 vous avez peut-être un nouveau projet aujourd'hui de vous réinstaller ? Il y a quelque chose dans

13:36 ce sens-là qui se met en place pour vous ? Oui, tout à fait. Donc là, vu que je n'arrivais pas

13:43 à travailler d'autres emplois, malgré que j'ai beaucoup postulé sur d'autres entreprises,

13:48 mais pas dans la coiffure. Et mon mari, enfin mon conjoint m'a dit "Katia, tu tiens bon et tu vas

13:55 réussir à retrouver quelque chose". Et trois semaines après, j'ai donc appris que le salon

14:00 à Coquemont était à nouveau à vendre. Et donc là, ma maman et mon papa qui me soutiennent

14:06 énormément dans ce projet, parce que j'ai un autre projet personnel derrière qui est l'achat

14:11 d'une maison qui a du mal à arriver. Ils m'ont dit "Nous, on est là, on va t'aider, on te soutient,

14:18 donc on va investir, tu vas travailler". Vous avez plein de projets, Katia ? Exactement. Pendant

14:27 deux ans, ça s'est stoppé. Et là, du coup, j'en ai pas mal. Alors, moi, je vais vous poser une

14:32 question un peu différente, mais d'avoir un enfant de trois ans, est-ce que ça ne fait pas peur aussi

14:36 de démarrer un nouveau projet en sachant que cet enfant est tout jeune encore ? Non ? Exactement.

14:43 C'est vrai que ce n'est pas évident, d'autant plus qu'il a quelques petits problèmes de santé

14:47 qui ne sont pas évidents. Mais on a un autre employé qui sera là, qui sera normalement à

14:53 mi-temps. Ça nous fait un peu peur parce qu'on va tout juste ouvrir, donc les chiffres ne sont

15:00 pas excellents. Et on se pose beaucoup de questions. Mais auparavant, dans ce salon,

15:06 il y avait quand même une activité, une clientèle. Oui, tout à fait. Moi, je sens que ça va être

15:14 compliqué, comme votre projet d'habitation, où ce n'est pas évident, mais vous allez aboutir.

15:19 Et ce projet de salon vous tient à cœur. Je sens qu'il y a effectivement ce soutien parental,

15:27 il y a la possibilité de deux autres financements, peut-être que celui de deux banques,

15:32 ou peut-être que vous allez partager ce financement en deux, en plus de ce que vous pouvez avoir ou

15:38 d'une garantie d'un point de vue parental. Mais on dirait que ça va prendre de la lenteur,

15:44 ça va demander à bien réfléchir, à bien analyser, à bien étudier le dossier. Mais ça semble se faire,

15:52 ça semble se mettre en place. Je vous sens prendre de l'initiative de ce projet, de bien

15:58 le porter, de bien le faire évoluer, de bien le faire grandir et surtout de l'amener à la réussite.

16:04 Alors évidemment, les bénéfices de tout ça ne seront pas pour tout de suite, mais on dirait que,

16:09 par rapport à un business plan ou autre, au bout de quatre ans, vous allez commencer à peut-être

16:17 attirer ou en avoir du bénéfice de tout ça et permettre d'avoir une bonne satisfaction de ce

16:24 projet. Je ne sens pas ce projet vous amener dans une difficulté ou vous mettre en péril face à

16:31 votre situation matérielle et financière. Au contraire, j'ai l'impression que ça va vous

16:36 libérer, ça va vous donner des ailes, ça va vous permettre de gagner de la confiance en vous et

16:42 puis ça va consolider l'aspect matériel et financier. D'accord, très bien, c'est une très

16:50 bonne nouvelle. Au fond de vous, parce que ce qui est intéressant aussi, c'est de savoir ce que vous

16:54 ressentez. D'accord, vous êtes animée par ce projet, mais vous ressentez quelque chose de bon ?

16:59 Eh bien écoutez, j'ai tout en moi qui me dit que c'est mon moment et qu'il faut que j'y aille et

17:07 je ne ressens que du positif. Bon, mais écoutez, c'est votre petite voix qui parle. Oui, tout à fait.

17:14 Il faut peut-être la suivre. Après, il faut prendre en compte tous les indicateurs, que ce

17:19 soit lié à des informations ou des conseils de la banque ou avec qui vous avez affaire et avec qui

17:27 vous devez signer les contrats et tout ça. Mais vous verrez que pour moi, il y a cette possibilité

17:33 d'arriver jusqu'à l'objectif de ce projet-là. D'accord ? D'accord, très bien. Et une dernière

17:40 petite question, est-ce que vous sentez qu'au niveau de ma maison, que ça va se faire également ?

17:46 Oui, c'est en cours. Non, pour moi, c'est en cours. C'est en cours et je pense qu'au mois de mars,

17:50 il y a une véritable réalisation. Mais ça devrait se décider avant le mois de mars. Mais on dirait

17:55 qu'il y a vraiment une concrétisation sur le courant du mois de mars. C'est peut-être les chances

18:00 que vous vous êtes données ? Oui, c'est ça. C'était un petit peu ça, oui. Bon, mais très bien. En tous

18:05 les cas, prenez soin de vous. Merci beaucoup, Alexandre. Merci à vous et puis n'hésitez pas à

18:11 nous tenir au courant, Katia. Avec grand plaisir. Merci beaucoup, au revoir. Allez, si vous avez

18:16 envie de poser des questions sur votre devenir et si vous souhaitez témoigner à l'antenne, un seul

18:21 numéro 0 826 300 300. Ne bougez pas, on revient dans un instant avec Lucie pour une reconversion

18:27 professionnelle. On en parle dans quelques minutes. Reste à l'écoute de Sud Radio.

18:31 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

18:37 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

18:42 Et de retour sur Sud Radio, il est bientôt 16h30. Alors, vous pouvez aussi nous suivre en direct live

18:48 sur YouTube. Et si à présent, vous voulez témoigner ou réagir dans l'émission de lundi, ce sera le sujet

18:54 sur l'harmonie de votre habitation par le Feng Shui. Un seul numéro 0 826 300 300. Et à présent,

19:01 je vais vous donner quelques conseils pour renforcer sa tolérance. Alors, dans un premier

19:05 temps, c'est d'arrêter vous et prenez un pas de recul sur la situation qui vous gêne ou qui vous

19:12 agace. Prenez en considération aussi les avantages et les inconvénients que vous aurez à agir

19:18 sous le coup de l'impulsion. Calmez-vous en vous appuyant sur vos sens. C'est très important de

19:24 ressentir tous ces sens et ça va vous permettre aussi d'avoir des ressentis différents. Encouragez

19:31 vous et voyez la situation sous un angle différent et restez dans l'instant présent. À présent,

19:38 j'accueille Lucie. Bonjour Lucie. Bonjour Alexandre, merci de m'accueillir. Bienvenue

19:44 sur Sud Radio et tous mes meilleurs voeux Lucie. Merci, pareil. Alors Lucie, vous avez 60 ans et

19:51 vous êtes dans le Tarn-et-Garonne et vous êtes retraitée. C'est bien ça ? Oui, c'est ça. Et

19:56 aujourd'hui, on parle de tolérance. Est-ce que c'est un sujet qui vous parle ? Oui, bien sûr. Je

20:03 pense qu'on en a tous besoin de la tolérance. En général, je suis tolérante. Là où j'ai plus

20:09 de mal, c'est quand on manque de respect. Là, j'ai beaucoup plus de mal. Mais en général,

20:15 j'ai beaucoup de tolérance sur beaucoup de sujets. Bien sûr. Et puis, je crois que la tolérance

20:22 aussi joue sur la façon dont on a reçu une éducation. Il y a des choses sur lesquelles

20:26 on va être un peu plus tolérant que d'autres ou il y a des personnes qui vont avoir un esprit ou

20:32 une idée différente que certaines personnes n'aborderont pas les choses de la même manière.

20:37 Et c'est ça aussi la tolérance. C'est ça, c'est ça. Alors, Lucie, vous avez une question d'un point

20:45 de vue professionnel. Vous êtes en reconversion professionnelle. Racontez-nous un petit peu votre

20:49 histoire. Alors, ce n'est pas vraiment une reconversion dans le sens où je suis retraitée,

20:55 mais quelque part, oui. En fait, il y a quelques années, j'avais un projet de m'installer en tant

21:02 que thérapeute, faire des soins, accueillir les parents pour leur apprendre. J'avais une formation

21:07 en réflexologie plantaire, etc. J'avais tout un projet qui était super. Et puis, mon mari est

21:13 tombé malade et il a fallu que je l'accompagne jusqu'au bout. Et donc, au décès de mon nez.

21:19 Il est parti, c'est ça ? Oui, c'est ça.

21:22 Vous l'avez accompagnée pendant combien de mois ou d'années ?

21:24 Pendant une année.

21:25 Une année, d'accord. Et il y a combien de temps ?

21:28 Il y a 12 ans.

21:31 12 ans, d'accord.

21:32 Oui. Il y a 12 ans et un an après, j'ai fait une grave dépression avec hospitalisation, etc.

21:39 Et donc, on m'a dit qu'il fallait que j'apprenne à m'occuper de moi. Donc, c'est ce que j'ai fait.

21:45 Je n'avais jamais fait de ma vie. Et moi, je me disais, oui, je vais me reposer une semaine et

21:50 puis ça va repartir. Mais ce n'est pas aussi simple. Et donc, j'ai appris à m'occuper de moi.

21:56 J'en ai pris conscience et ça m'a fait beaucoup en revenir.

21:58 Pardonnez-moi, Lucie. Quand on vous a dit d'apprendre à vous occuper de vous,

22:04 est-ce qu'on vous a donné des conseils ? Est-ce qu'on vous a amené vers une démarche ?

22:07 Ou tout simplement, vous a laissé un peu dans ce vaste sujet ?

22:11 Disons que je me suis prise en charge parce que je n'étais pas très d'accord à utiliser une aide chimique.

22:20 Et du coup, il a fallu que je fasse beaucoup, beaucoup d'efforts.

22:23 J'en ai été obligée, mais il a fallu que je fasse beaucoup d'efforts pour trouver d'autres outils.

22:27 Et me relever. Mais j'ai été bien accompagnée.

22:32 La médecine scientifique ne s'opposait pas à ces démarches-là d'aller vers des médecines alternatives ?

22:38 Ou autres ? Ça s'accompagnait aussi ?

22:41 C'était un complément. J'en ai eu besoin à un moment donné.

22:46 Ça ne remplace pas la médecine scientifique, mais c'est tout simplement un complément.

22:52 C'est important de le préciser, Lucie.

22:54 Oui, tout à fait. C'est un cheminement.

22:58 Et depuis, j'ai fait beaucoup de chemins.

23:02 Je me suis rapprochée d'un ami qui est devenu mon compagnon.

23:06 J'ai l'impression que c'est une femme jumelle avec laquelle on évolue, mais avec laquelle on ne vit pas.

23:13 C'est mon ressenti. Et c'est vrai que j'ai beaucoup évolué depuis.

23:18 Comment vous êtes rencontrée avec votre compagnon ?

23:22 On se connaissait déjà depuis. On se croisait régulièrement.

23:26 Oui.

23:27 On se croisait régulièrement et on s'appréciait.

23:30 Mais c'était de longue date.

23:33 Et chacun n'avait pas de vie.

23:35 Et pourquoi aujourd'hui vous avez décidé d'avoir une vie chacun chez soi ?

23:40 Et pourquoi pas se rapprocher l'un de l'autre ?

23:44 Parce que à nos âges, ce n'est pas si simple.

23:49 J'avais besoin de mon cocon et on n'a pas la même vision non plus de la vie.

23:57 Et donc, on a chacun notre rythme.

24:00 On a partagé à un moment donné. On a cohabité.

24:05 Mais après, la vie a fait que j'ai repris ma maison et c'est très bien comme ça.

24:12 En tout cas, c'est un équilibre qu'on a trouvé comme ça.

24:15 C'est très bien et il vous a mis au travail, c'est ça ?

24:18 J'ai repris le travail, etc.

24:21 Mais là aujourd'hui, j'aurais voulu en reprenant cette maison,

24:25 je l'ai achetée pour ressortir mon projet du tiroir et repartir m'occuper des autres

24:32 puisque j'estime que je me suis assez occupée de moi.

24:36 Et donc, j'avais besoin aussi de me rouvrir aux autres.

24:40 Mais j'ai eu de mauvaises surprises en achetant la maison.

24:43 Il a fallu que je fasse plus de frais que prévu.

24:46 Et du coup, les frais que j'avais envisagés pour une installation,

24:50 ils sont partis dans les travaux qui étaient nécessaires et pour lesquels je n'avais pas le choix.

24:56 Donc aujourd'hui, je suis un peu perdue parce que j'ai l'impression que je suis plus légitime

25:01 parce que depuis que j'ai pris quand même des cachets, j'ai beaucoup de problèmes de mémoire.

25:05 Du coup, tous les outils que j'avais, toutes les choses que j'ai apprises,

25:08 c'est plus compliqué pour moi de m'en servir parce que j'ai l'impression d'avoir plein d'acunes.

25:13 - D'accord. Et quelle est votre question alors, Lucie ?

25:17 - Alors, ma question est, est-ce que je vais arriver à trouver mon chemin par rapport à mon projet

25:25 et par rapport à ma vie, en fait, par rapport à ma vie sentimentale et ma vie de travail ?

25:36 - Professionnelle, oui, exactement.

25:38 Alors oui, pour moi, je pense que ça va se mettre en place.

25:41 Après, de ce que je ressens sur le plan professionnel, ça va être long

25:46 et je ne sens pas un flux de travail très important, mais un petit peu, un rythme de croisière.

25:53 Et je crois que c'est sur ce rythme-là, vous allez pouvoir vous épanouir,

25:57 vous allez pouvoir vous sentir bien parce que ce qui est important chez vous,

26:01 c'est vraiment de vous occuper des autres.

26:03 Ce n'est pas non plus de faire un travail pour en faire du business,

26:07 mais d'être là pour justement prendre ce temps nécessaire,

26:11 pour leur apporter les soins nécessaires et pour faire en sorte de les choyer,

26:16 de les chouchouter, de tout ça.

26:19 Et c'est ce que je ressens chez vous.

26:21 Donc voilà, c'est pour ça que oui, il faut aller jusqu'au bout de ce projet

26:26 parce que vous avez cette dynamique qui est encore possible,

26:31 vous avez cette motivation, vous avez cette envie d'aller vers cette réalisation-là.

26:38 Donc, il ne faut pas vous couper de votre élan,

26:42 mais vous verrez qu'il y aura quelques blocages,

26:46 quelques difficultés pour arriver à une véritable finalité.

26:51 Mais en tous les cas, votre compagnon vous aide justement à cette réalisation,

26:55 il vous encourage et il le fera de plus en plus.

26:58 Je sens qu'il sera beaucoup plus engagé dans la relation,

27:02 autant dans votre relation ensemble et aussi sur le plan professionnel.

27:08 Je ne le vois pas travailler à votre place,

27:10 mais ça va être un peu un homme d'ombre qui sera là

27:15 et qui vous permettra de vous sentir épaulé, de vous sentir soutenu,

27:19 de vous sentir accompagné parce que c'est ce qu'il fait aujourd'hui un peu, non ?

27:23 Eh bien justement, ça me surprend beaucoup

27:25 parce que c'est quelqu'un qui n'est pas très engagé

27:28 et qui a mis beaucoup de temps à le faire.

27:30 Donc, je me suis un peu épuisée aussi à porter un peu tout ça.

27:34 Et oui, je n'ai pas l'impression qu'il donne de l'importance à ce que j'aime, à ce que je fais,

27:43 mais tant mieux aussi si c'est le cas.

27:45 Pour l'instant, parce que le projet n'est pas encore réalisé,

27:49 il n'est pas encore concret réellement, vous voyez, il n'est pas construit totalement.

27:53 Donc, il faut laisser le temps au temps,

27:55 mais vous verrez que les choses vont se mettre en place.

27:57 Ne doutez pas de cette possibilité, de cette réalisation

28:01 et ne doutez pas de votre potentiel, Lucie.

28:06 Oui, c'est vrai que je doute beaucoup.

28:09 N'hésitez pas à nous tenir au courant pour nous dire où vous en êtes dans tout ça.

28:13 Et puis, en attendant, je vous souhaite plein de bonnes choses et beaucoup de chance.

28:18 Je n'y manquerai pas. Merci beaucoup en tout cas.

28:20 Merci à vous.

28:21 Merci, au revoir.

28:23 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delevanne.

28:30 Et la parole est à Laurence. Bonjour, Laurence.

28:33 Bonjour à tout le monde. Je vous souhaite une très très belle année à vous tous.

28:38 Merci, Laurence. Tous nos meilleurs voeux aussi de la part de Sud Radio et de moi-même personnellement.

28:43 Merci.

28:45 Laurence, vous avez 54 ans. Vous êtes infirmière dans la région de Toulousaine ou en Occitanie.

28:51 Je crois que c'est par là que vous vous situez.

28:54 Oui, tout à fait.

28:56 Et si on parlait un petit peu de tolérance, je crois que par rapport à votre métier, il faut en avoir, non ?

29:02 Voilà, tout à fait. C'est ce que je disais. La tolérance, c'est savoir accepter l'autre dans son intégralité.

29:10 Voilà, donc, avec ces différences aussi bien spirituelles, culturelles que religieuses.

29:18 Et nous, dans notre métier, on ne peut pas se permettre d'avoir des jugements.

29:23 On est là pour les soins.

29:25 Mais justement, quand vous êtes face à des malades tous les jours, parce que c'est votre métier,

29:30 est-ce qu'à un moment donné, vous êtes obligé d'avoir un self-control pour justement travailler sur cette tolérance ?

29:37 Il y a des mauvais malades, il y a des bons malades.

29:40 Est-ce que c'est facile à gérer pour vous ? Je parle pour vous, tout simplement.

29:45 Écoutez, tout d'abord, il ne faut pas le prendre pour soi.

29:48 Parce que la personne qui est malade, en fin de compte, c'est une révolte qu'il a.

29:52 Donc forcément, nous, en tant qu'infirmière, c'est nous qui prenons en première lignée avec les aides-soignantes.

29:58 Mais il ne faut pas vraiment se détacher.

30:01 Essayez de comprendre pourquoi le patient est comme ça et ne surtout pas le prendre pour soi-même.

30:08 C'est un très beau message.

30:10 Très très bien. Merci Laurence.

30:12 Alors vous nous appelez pour quelles raisons exactement ?

30:16 Voilà, moi j'ai mon cabinet infirmier, donc je suis infirmière libérale.

30:20 Je suis praticienne en hypnose également. J'ai deux cabinets.

30:26 Et voilà, ma question est que dans deux ans, je suis en disponibilité de la fonction publique hospitalière.

30:34 Et dans deux ans, il faut que je prenne une décision.

30:36 Soit garder mon cabinet, soit réintégrer la fonction publique hospitalière.

30:40 Autrement, je suis obligée de démissionner.

30:42 Mon projet est d'intégrer un hôpital.

30:46 Et j'ai un rendez-vous le 24 janvier dans un hôpital dans les Rosnes.

30:51 Donc voilà, j'aimerais savoir si cet entretien va bien se passer et quel sera mon devenir.

30:58 Ou si je dois garder mon cabinet infirmier, si je dois rentrer en hospitalier.

31:03 Je ne sais pas trop, je suis un peu perdue là.

31:05 Oui. Au fond de vous, quel serait votre souhait ?

31:09 Moi mon souhait, ça serait de garder mon cabinet infirmier et venir en tant que prestataire au sein de l'hôpital.

31:16 Ou alors d'intégrer mon souhait, ça serait d'un service de chirurgie bariatrique.

31:21 Parce que je travaille principalement sur l'obésité, je vais dire.

31:25 Et ça c'est mon projet hypnote d'hypnose.

31:28 Et voilà, mais les places sont difficiles.

31:33 Oui, elles sont chères, enfin en tous les cas, elles sont limitées.

31:36 Mais c'est très étonnant, parce que ce que vous venez de souffler, c'est tout simplement ce que moi je ressens aussi.

31:41 C'est-à-dire que vous allez aller dans ce sens-là.

31:43 Moi je ne vous sens pas totalement arrêté.

31:46 Votre activité, alors oui, sur un plan administratif, sur un plan statut, il y a des choses qui vont se modifier sous cette période de deux ans.

31:54 Mais je vous sens pouvoir garder à nouveau votre cabinet.

31:59 Et puis développer, ou en tous les cas, travailler en partenariat si on peut parler ainsi.

32:06 Mais pour développer tout ce qui est cette médecine alternative, ou cette science-là, l'hypnothérapie.

32:15 Parce que je vous sens vouloir vous expérimenter, ou en tous les cas encore plus, vous spécialiser dans un secteur bien précis.

32:24 Et là vous allez y arriver.

32:25 Même si aujourd'hui c'est compliqué, même si comme vous dites, il n'y a pas tant de débouchés que ça.

32:31 Mais chez vous, je sens que vous allez nourrir un réseau, vous allez travailler tout un système de relationnel qui va vous permettre à un moment donné de faire votre place.

32:44 Alors cette place se fera peut-être progressivement.

32:47 Est-ce que c'est lié à des remplacements ?

32:50 Et puis après vous êtes amené à prendre une place plus importante.

32:54 Mais en attendant, moi c'est vraiment cette voie-là dans laquelle je vous sens vous diriger et pouvoir vous orienter.

32:59 Donc ça semble bien résonner avec ce que vous avez envie de faire, Laurence.

33:06 D'accord, très bien.

33:08 C'est un peu ce que j'ai envie de faire, mais maintenant entre ce que nous avons envie de faire et la réalisation.

33:14 Ça c'est un autre sujet.

33:16 Mais parfois on a des envies qui sont liées juste à des désirs, comme ça, je ne veux pas dire capricieux,

33:24 mais qui sont juste à des désirs du moment, à des tendances, etc.

33:27 Alors que vous, c'est quelque chose qui vous anime à l'intérieur.

33:30 Aujourd'hui, si vous en êtes arrivé à faire par exemple tout ce qui est l'hypnothérapie,

33:35 vous ne l'avez pas fait par hasard, vous l'avez choisi parce que vous savez ce que vous voulez.

33:40 Donc je ne crois pas que vous êtes levé un matin en disant "tiens, je vais faire ça".

33:43 Ça a été réfléchi chez vous et c'est un peu votre vocation.

33:47 Donc pour moi, quand on est dans une véritable vocation, on met du temps, mais on peut y arriver.

33:55 D'accord. Et d'après vous, votre ressenti par rapport à mon entretien du 24 janvier que je vais avoir ?

34:01 Il est bien. Oui, ça semble ressortir bien. Je ne peux pas vous en dire plus, je ne sais pas,

34:06 parce que je n'ai pas assez de connaissances sur le sujet, mais en attendant, il me semble assez positif.

34:12 Vous ne ressortez pas en étant agacé ou contrarié. D'accord ?

34:16 D'accord. Très bien.

34:18 Vous allez nous tenir au courant.

34:20 Bien sûr, je vous rappellerai. Je vous embrasse tous.

34:24 On vous embrasse très fort, Laurence, et bonne continuation.

34:27 Merci beaucoup pour votre témoignage. Prenez soin de vous.

34:30 Et si vous aussi, vous avez besoin de mon ressenti, d'être accompagné dans votre évolution de vie,

34:36 alors n'hésitez pas à appeler le 0 826 300 300.

34:40 On se retrouve dans quelques minutes avec Elisa pour un projet de maison senior.

34:45 C'est sur Sud Radio et c'est dans quelques minutes.

34:48 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane.

34:53 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

34:58 Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie,

35:01 avant de retrouver les vrais voix, présentées par Frédéric Douindel.

35:05 Il nous reste quelques minutes pour passer à l'antenne de Sud Radio.

35:09 La parole est à Elisa. Bonjour Elisa.

35:12 Bonjour Alexandre et bonne année.

35:15 Mais alors vraiment, tous mes meilleurs voeux aussi, Elisa.

35:18 Ça me rappelle un refrain d'une chanson, quand même.

35:21 C'est ça.

35:23 Bien, Elisa, vous avez 52 ans, vous êtes de la région Auvergne.

35:29 Et si on parlait un petit peu de la tolérance, ça vous dit quelque chose, la tolérance ?

35:37 Ah oui, oui, moi je suis super tolérante, ça, il n'y a pas de souci.

35:40 Par contre, si je rencontre quelqu'un qui ne l'est pas trop, je ne me gêne pas pour le faire remarquer.

35:46 Oui, vous le remettez à sa place.

35:48 Voilà, c'est ça.

35:49 Exactement, c'est ce qu'on appelle de se faire respecter, peut-être.

35:51 Exactement.

35:52 Mais c'est très bien, parfois il faut, quand c'est fait poliment et correctement,

35:56 c'est bien de remettre les points sur les i, comme on dit.

36:00 Tout à fait.

36:01 Alors Elisa, racontez-nous un petit peu votre histoire.

36:04 Vous avez un projet pour Seigneur, c'est ça ?

36:06 Oui, tout ça, voilà.

36:07 Je veux monter ce projet avec mon compagnon, là, et j'aimerais savoir si ça va se faire,

36:12 si ça va être possible, et aussi si je vais pouvoir quitter mon travail actuel

36:17 dans de bonnes conditions.

36:18 Mais comment vous en êtes arrivée à ce projet-là ?

36:21 Cette idée de projet, parce qu'il n'est pas encore construit, ce projet, c'est ça ?

36:26 Il est en cours, quand même.

36:28 Ah, il est en cours ?

36:29 Vous en êtes prête ?

36:30 On a trouvé le lieu, on a trouvé le bâtiment, on a quelques travaux à faire,

36:35 mais si on a des financements, ça va aller très vite.

36:39 D'accord, donc là, vous êtes à l'étape du financement.

36:43 Oui, voilà, on y est presque.

36:46 Mais pourquoi ce projet ? Pourquoi pas un autre ?

36:50 Parce que moi, je travaille déjà avec des gens, je travaille avec des gens en situation de handicap,

36:58 donc c'est mon métier, et puis après, pour me rapprocher de mon compagnon,

37:02 il fallait trouver une solution, et ça s'est fait bizarrement en visitant des immeubles,

37:09 et je me suis dit "Ah tiens, ça serait un bon projet pour une maison partagée comme ça",

37:13 et puis c'est parti.

37:14 D'accord, parce que l'endroit actuel, il n'a pas été du tout,

37:17 l'infrastructure n'est pas adaptée pour l'instant à ce genre d'accueil pour les seniors.

37:23 C'est vous qui allez complètement changer les choses, c'est ça ?

37:27 En fait, l'endroit a été rénové en appartement qui ne s'est jamais vendu,

37:31 et on a juste à modifier, comme c'était deux, les pièces de jour en chambre,

37:37 et voilà, parce qu'en fait, on aura des chambres meublées.

37:40 Et on s'occupera de tout ce qui est intendance, la cuisine, le linge, le minage.

37:47 D'accord. Alors est-ce qu'il y a une intention de construire ou de faire une petite extension

37:52 sur un autre bâtiment, mais qui est peut-être, je dirais, séparé du bâtiment actuel ?

37:59 On pensait peut-être recevoir des gens de l'extérieur pour des rencontres, justement.

38:07 D'accord, parce que j'ai l'impression, c'est peut-être ça, il y a un espace qui peut être séparé

38:12 et qui peut très bien donner un autre sens, ou peut-être effectivement pour créer autre chose

38:19 en plus de l'hébergement pour les seniors.

38:22 Pour moi, le projet avance, vous allez vous faire aider.

38:26 Est-ce que vous avez fait des demandes de subventions ?

38:29 Parce que j'ai l'impression qu'en dehors, si vous voulez, du financement et des investissements bancaires,

38:35 on dirait qu'il y a des organismes qui peuvent apporter une aide,

38:39 comme si sous forme, je ne sais pas, je ne connais pas vraiment votre sujet,

38:45 mais on dirait qu'il y a comme des subventions qui pourraient se faire.

38:48 Oui, ça c'est prévu, mais on part au départ sans subvention,

38:52 en se disant qu'on part comme ça et s'il y a des subventions qui arrivent après, tant mieux.

38:57 De toute façon, les subventions arrivent beaucoup plus tard.

39:00 Donc, il faut qu'on y arrive simplement avec mot de vie.

39:05 D'accord. Écoutez, moi je pense que oui.

39:07 Donc, si je vois ces subventions, ça veut dire que votre projet aura avancé.

39:12 Puisque voilà, il aura déjà débuté, vous aurez déjà eu un aval ou une validation sur vos financements.

39:22 Et donc, oui, il y a quelque chose qui va se mettre en place.

39:24 Alors, c'est lourd à porter par contre.

39:26 On dirait que oui, ça va être lourd à porter. Il faudra faire attention en termes de gestion.

39:31 Réfléchissez bien sur la rentabilité, sur toute la gestion de ce projet-là

39:39 et de voir est-ce que sur le long terme, ça peut être durable et si ça peut aussi être viable.

39:47 Parce que je sens que oui, ce projet pourra se mettre en place.

39:52 Oui, vous aurez des possibilités d'autorisation des banques.

39:56 Mais ensuite, dans sa gestion, je ne suis pas sûr que vous le gardiez longtemps.

40:00 C'est comme si vous devez le revendre après ou il y avait une passation qui allait se faire.

40:05 Mais le but, c'est ça en fait.

40:06 C'est que nous, on le crée pendant un moment et puis qu'on le transmette après, que ce soit en continuité.

40:11 En fait, c'est juste pendant un moment.

40:13 Alors, si c'est dans cet esprit-là, oui, là je sens que vous êtes vraiment dans cette évolution et dans cette idée de projet.

40:21 Donc oui, pour moi, ça va se mettre en place et ça va se faire.

40:24 Donc, ça demande un petit peu de concentration, d'organisation, de gestion, de réflexion et surtout de prise de recul par rapport à tout ça.

40:34 Mais vous verrez que progressivement et notamment sur 2024, ça avance.

40:40 Et à partir de 2025, 2026, là, on est sur une finalité du projet.

40:47 C'est un peu l'échéance que vous vous êtes donnée ?

40:49 Mon pensée, ouvrir à la rentrée, si tout allait bien.

40:53 Je ne veux pas être pessimiste sur la situation, mais attention, attention, j'ai l'impression que ça se retarde.

41:03 Et moi, je vois plus 2025, voire deuxième semestre 2025.

41:07 Donc, ça prend beaucoup plus de temps que prévu.

41:09 Mais il vaut mieux parfois mettre plus de temps et arriver à une bonne finalité.

41:14 Tout à fait.

41:15 Et mon travail actuel, alors, comment ça va se passer ?

41:19 Alors, pour moi, j'ai l'impression que vous allez négocier un départ.

41:22 Il y a un départ, il y a quelque chose qui semble se mettre en place pour vous.

41:25 Et ça peut s'étudier, ça peut se négocier.

41:28 Il n'y a pas trop d'opposition qui semble se faire.

41:30 Vous pensez qu'il y a moyen de rentrer en négociation avec eux ?

41:35 J'ai commencé là, mais j'espère.

41:39 Parce qu'après, il me faudra quand même un travail.

41:42 Bien sûr.

41:43 Mais vous allez, mais prenez votre temps et il n'y a pas de précipitation à avoir.

41:48 D'accord ?

41:49 Super.

41:50 Elisa, n'hésitez pas à nous tenir au courant de votre évolution.

41:54 Je remercie beaucoup Alexandre.

41:56 Merci à vous et bonne fin de journée.

41:58 Merci, bonne soirée, au revoir.

42:00 Prenez soin de vous.

42:01 Allez, pour conclure, je dirais, la tolérance n'est pas un signe de faiblesse,

42:04 mais de force et d'ouverture d'esprit.

42:07 Nous, on se donne rendez-vous lundi.

42:09 On parlera de l'harmonie de votre habitation avec le Feng Shui.

42:13 Et puis, la place est trop haute et trop géniale.

42:19 Allez, je vous tolère cette petite erreur.

42:21 Mais vous me perturbez à chaque fois que je vous vois.

42:23 La tolérance, justement, j'ai beaucoup aimé ce que vous venez de dire.

42:26 Ce n'est pas un signe de faiblesse, mais de force.

42:28 Voilà, nous sommes renforcés du coup.

42:31 Bonsoir à tous.

42:32 Bonsoir Alexandre.

42:33 Bonsoir Frédéric Wandel.

42:34 Je suis aussi impressionné par ce que vous faites.

42:35 Parce que réfléchir en même temps, penser, capter les ondes, vraiment chapeau.

42:38 Pas évident.

42:39 J'ai quelques ondes à vous envoyer pour les vrais voix.

42:42 Parce que vous avez certainement aujourd'hui assisté à ce très bel hommage national.

42:47 Et notamment ce texte assez fort du Président de la République.

42:50 Pour rendre hommage à Jacques Delors.

42:53 L'un des grands artisans du développement de l'Union Européenne.

42:57 Et évidemment, avec les élections européennes qui arrivent le 9 juin prochain,

43:02 nous vous posons cette question.

43:04 Quel développement devons-nous donner à l'Union Européenne ?

43:07 Et nous proposons aux auditeurs de Sud Radio 4 options.

43:10 Allez sur le compte X, Twitter, et vous choisissez.

43:13 Alors, quel développement devons-nous donner à l'Union Européenne ?

43:16 La grandir ? La continuer ? La minimiser ? La bloquer ?

43:20 Je reprends certains thèmes du Président de la République lors de ses voeux.

43:23 Et puis, 18h40, nous aurons un coup de projecteur.

43:26 Vous avez le permis de conduire, Alexandre ?

43:28 Oui, depuis fort longtemps.

43:29 Même si vous vous déplacez beaucoup en vélo, je le sais.

43:31 Oui, merci.

43:32 Côté un petit peu sportif.

43:34 Alors, sachez que désormais, on peut avoir le permis de conduire à 17 ans.

43:39 Ça vaut quelques explications.

43:41 Et surtout, nous vous posons la question,

43:43 le permis de conduire à 17 ans, est-ce vraiment raisonnable ?

43:46 Il y a de quoi faire. On va se régaler.

43:48 Et bonne émission.

43:50 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.

43:57 Avec Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle,

44:01 par téléphone, chat et e-mail.

44:03 et e-mail.

La tolérance - À Votre Écoute

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