Le professeur d'histoire, Kevin Bossuet, sur le bilan de Gabriel Attal au ministère de l'Éducation nationale : «On reste un peu sur notre faim, on aurait aimé qu'il reste à la tête de l'Éducation nationale»
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00:00 Le discours, c'est important.
00:02 Il y a, dans les salles de profs,
00:05 une forme de concurrence entre les fervents républicains,
00:08 qui défendent la laïcité,
00:10 et des profs qui sombrent dans l'islamo-gauchisme.
00:13 À la nomination de Papengaï,
00:15 les profs islamo-gauchistes avaient le grand sourire.
00:18 À la nomination de Gabriel Attal, c'était strictement l'inverse.
00:22 Après, il a fait beaucoup d'annonces qui allaient dans le bon sens.
00:25 Il est resté très peu à la tête du ministère de l'Éducation nationale,
00:29 et on n'a pas pu voir le fruit de ses réformes.
00:33 Mais il a mis en place le pacte enseignant,
00:36 qui permet que les professeurs absents soient remplacés
00:40 par des professeurs au sein de l'établissement.
00:43 Et sur le harcèlement scolaire, il y a eu un choc psychologique.
00:47 Je l'ai vu dans mon quotidien, où cette question est prise en compte.
00:51 En effet, il n'est pas resté assez longtemps,
00:54 mais le bilan est plutôt positif,
00:56 même si je suis d'accord avec Sophie, même avec vous, Sonia.
00:59 On reste sur notre faim,
01:00 car on aurait aimé qu'il reste à la tête de l'Éducation nationale.
01:04 Sous-titrage ST' 501
01:07 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]