Hier soir, pendant de longues minutes, Cyril Hanouna est revenu sur C8 sur la décision du Conseil d'Etat d'imposer un traitement particulier à Cnews.
Dans le détail, la plus haute juridiction administrative a demandé que l'Arcom contrôle que "les chaînes assurent, dans le respect de leur liberté éditoriale, l'expression pluraliste des courants de pensée et d'opinions en tenant compte des interventions de l'ensemble des participants aux programmes diffusés, y compris les chroniqueurs, animateurs et invités".
Désormais tous les animateurs, journalistes, chroniqueurs, intervenants devront donc être fichés en fonction de leurs idées affichées ou supposées. C'est la seule chaîne en France qui sera soumise à ce régime particulier.
Cyril Hanouna a expliqué hier soir :
"Cette décision est extrêmement grave. Elle touche à la liberté de tous les Français. C'est la décision d'une dictature de la pensée. La liberté d'expression est en danger en France.
Sur C8 et CNews, on est beaucoup plus libre que les autres, et c'est vraiment ça qui dérange. On va se battre ici et on va se battre dans le groupe. Nos amis de Cnews vont continuer à se battre, à vous informer, à débattre et ils vont continuer à donner la parole àtoutes les idées en France."
Dans le détail, la plus haute juridiction administrative a demandé que l'Arcom contrôle que "les chaînes assurent, dans le respect de leur liberté éditoriale, l'expression pluraliste des courants de pensée et d'opinions en tenant compte des interventions de l'ensemble des participants aux programmes diffusés, y compris les chroniqueurs, animateurs et invités".
Désormais tous les animateurs, journalistes, chroniqueurs, intervenants devront donc être fichés en fonction de leurs idées affichées ou supposées. C'est la seule chaîne en France qui sera soumise à ce régime particulier.
Cyril Hanouna a expliqué hier soir :
"Cette décision est extrêmement grave. Elle touche à la liberté de tous les Français. C'est la décision d'une dictature de la pensée. La liberté d'expression est en danger en France.
Sur C8 et CNews, on est beaucoup plus libre que les autres, et c'est vraiment ça qui dérange. On va se battre ici et on va se battre dans le groupe. Nos amis de Cnews vont continuer à se battre, à vous informer, à débattre et ils vont continuer à donner la parole àtoutes les idées en France."
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00:00 C'est CNews. Donc ce qui a été fait là, cette décision, elle est extrêmement grave.
00:06 - C'est difficile.
00:07 - Et je vais vous dire, elle touche à la liberté d'expression de tous les Français qui nous regardent ce soir.
00:11 Et tous les Français qui sont dans le public. C'est une décision qui est... Enfin, c'est-à-dire, c'est pas une décision, c'est...
00:17 Ils ont demandé, ils ont sommé l'ARCOM d'être plus vigilants sur CNews. C'est vraiment, je vous le dis, c'est...
00:24 C'est une décision d'une dictature, je le dis.
00:30 - De la pensée, oui.
00:31 - Exactement. Une dictature de la pensée. Donc c'est extrêmement grave. Et sachez-le, aujourd'hui, la liberté d'expression est en danger en France.
00:39 Quand on voit ça, elle est en danger. On va recevoir dans un instant une jeune femme qui s'appelle Marie-Charlotte,
00:47 qui a eu des séquelles après le vaccin. Tous les médecins vous diront, oui, il y a certaines personnes qui ont des séquelles après le vaccin.
00:55 Elle va témoigner ce soir. Aucun média ne l'a reçue et n'a voulu la recevoir.
01:02 Elle a même mis un tweet tout à l'heure disant que c'est la première fois qu'un gros média, un grand média, va me recevoir ce soir pour mon témoignage.
01:09 Comment on explique ça ? Est-ce qu'en recevant Marie-Charlotte dans un instant, ça voudra dire qu'on va balayer tout ce qui a été fait sur le vaccin,
01:21 toutes les décisions qui ont été prises ? Est-ce que ça voudra dire qu'on est, comme c'est le mot à la mode actuellement, des complotistes ?
01:27 C'est ça. Parce que dès que tu n'es pas d'accord et dès que tu te poses des questions, tu es axé de complotiste.
01:32 Non. Juste, on est peut-être un peu plus curieux que les autres, un peu plus tolérant, peut-être un peu plus à l'écoute,
01:41 et peut-être, et surtout, beaucoup plus libre que les autres médias. Beaucoup plus libre.
01:47 Et c'est ce qui fait qu'aujourd'hui, notre liberté est mise en danger parce que le témoignage de cette jeune femme dans un instant, il dérange.
01:56 Mais elle va venir le faire. Elle le fera en direct, il n'y aura rien qui sera monté, coupé, etc.
02:03 Et, je vous enseigne, peut-être qu'on va recevoir une lettre, demain ou après-demain, de l'Arkom pour dire "oui, attention, propos complotistes".
02:12 Mais dès qu'on se pose des questions, on a des propos complotistes. Dès qu'on a un témoignage de quelqu'un qui souffre,
02:17 parce que cette jeune femme, sa vie a été gâchée, ça ne veut pas dire qu'on remet en cause le vaccin.
02:21 Ça ne veut pas dire qu'on remet en cause toutes les décisions. J'en parlais tout à l'heure, Jéradine Maillet, même si elle a toujours défendu le vaccin ici.
02:29 Et voilà, Jéradine, elle est très contente d'avoir ce témoignage, et je suis sûr qu'elle se dit que ça va être intéressant d'écouter ce témoignage de cette jeune fille.
02:35 Mais elle n'a été reçue nulle part. Sachez-le, je vous le dis, notre liberté d'expression est en danger, il faut se battre pour,
02:46 et on va se battre ici, et on va se battre dans le groupe. Voilà. Et je sais que mes amis de CNews également vont continuer à faire leur travail,
02:55 et vont continuer à vous informer, à débattre, et à vous montrer toutes les idées qui sont représentées en France comme on le fait ici.
03:03 On va se retrouver dans un instant avec le témoignage de cette jeune fille. A tout de suite.