Hardtalk : Où va l’éducation nationale en 2024?

  • il y a 7 mois
Hardtalk : Où va l’éducation nationale en 2024? L’avenir du système de lauréats, le HSC Pro, le 4-credits pour entrer en HSC, la gratuité de l’éducation au pré-primaire, secondaire, tertiaire, le manque d’enseignants, de livres, l’Extended programme, le sort des «ti-collèges » privés ou encore punaise dans l’école- Toute une foule de question qui méritent des réponses urgents. Qui mieux que la ministre de l’Education pour y répondre. En effet, Leela Devi-Dookhun Luchoomun, vice-première ministre et ministre de l’Education, de l’Enseignement Supérieur, des Sciences et de la Technologie sera notre invité dans le Hardtalk, ce mercredi entre 17h30 et 19h00. Elle répondra aux questions de Jimmy Jean-Louis. Vos interventions bien sûr sur le 213 7777, 213 7777.

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00:00:00 [Musique]
00:00:12 Bon après-midi et merci au Pérez de nous poursuivre le Hot Talk.
00:00:15 Comme chaque mercredi, ici à Top FM, j'ai eu une nouvelle cause lors de l'Éducation nationale en 2024.
00:00:19 Et bien sûr, nous venons à la vice-première ministre et ministre de l'Éducation, de l'Enseignement supérieur, des sciences et de la technologie
00:00:27 qui nous l'a invité dans le Hot Talk et nous pour aller jusqu'à 19h.
00:00:31 Et pour répondre aux bonnes questions, bien sûr, j'y mets Jean-Louis au micro.
00:00:34 Vous pouvez aussi intervenir tout à l'heure sur le 213-77-77, 213-77-77.
00:00:42 Et rendez-vous bien sûr sur votre radio préférée, Top FM, mais également sur nos plateformes Facebook et nos plateformes Top FM Mauritius et Top TV Mauritius.
00:00:52 Madame Lila David-Duke-Hannockman, bon après-midi. Merci d'accepter l'invitation de Top FM pour nous discriminatiser un peu autant.
00:01:00 Bonsoir Jimmy, bonsoir les auditeurs. C'est toujours un plaisir d'être là avec vous pour discuter, comment on dit, d'un domaine aussi intéressant que l'éducation.
00:01:08 Nous proposons donc pour plusieurs sujets l'avenir du système de lauréat, le HSE Pro, les quatre crédits pour entrer en HSE,
00:01:15 la gratuité de l'éducation au pré-primaire, secondaire, tertiaire, le manque d'enseignants, l'extended programme, le sort des tickets privés, finesse,
00:01:23 enfin une série de questions qui vous causaient des émissions, Lévé-Maurice ou encore causer de mauvaise paix, Madame Ducon,
00:01:31 si nous pouvions faire une rendez-vous rapide de vos bilans à l'Éducation nationale, est-ce que c'est plus de satisfaction,
00:01:37 c'est un bilan mitigé, comment on va détracter, c'est quelque chose de plus proche de l'échec, est-ce que c'est une décision unilatérale
00:01:47 que vous avez fait en consultation et qui va à l'encontre du constructif ou qui donne l'enseignement tout ou la vie, est-ce que c'est un ministère qui est capable de dire?
00:01:55 Premièrement, je dois dire que tout l'action, l'action gouvernementale, que ce soit l'action gouvernementale ou l'action du ministère,
00:02:04 nous sommes toujours éveillés dans l'intérêt des enfants mauriciens. Nous, l'esprit, nous dit qu'il ne faut pas qu'un enfant soit laissé derrière.
00:02:14 Et toute action qui finit par en insérer qui est un progrès pour tous nos enfants, sans exception.
00:02:22 Quand nous venons avec nos réformes, nous venons et nous disons tout le temps qu'il faut travailler par étapes.
00:02:30 Il ne faut pas parler par étapes si nous disons ça comme ça. Nous disons que le principe de nos réformes, c'est l'équité, la qualité,
00:02:39 et l'équité, la qualité et la comptabilité. C'est extrêmement important quand nous parlons d'équité, qualité, nous ne parlons à aucun enfant de ne pas être laissé derrière.
00:02:51 Nous avons des secteurs primaires. Première étape de nos réformes, tout le monde peut plaigner un système rouleau-compresseur,
00:03:01 qui écrase les enfants, compétition à outrance. Qu'est-ce qu'on fait pour nous? Nous assurer qu'on vienne avec un système qui ne met plus de pression sur les enfants.
00:03:14 Quand nous venons avec PSAC en 2017, sa pression sur nos enfants, nous l'a enlevé. Mais nous ne parlons pas de ça. La réforme éducative, tout le temps modélisée.
00:03:24 Vous ne pouvez peut-être pas imaginer, dans le secteur du primaire, nous venons avec un système qui s'appelle le Early Support Program.
00:03:34 C'est quoi le Early Support Program? Quand les enfants en classe qui ont des difficultés, papéressis, comprennent qu'il y a des choses,
00:03:41 parce qu'il y a des enfants qui ont ce propre pace, nous venons avec ces enfants-là, avec ce professeur de classe, un Support Teacher.
00:03:51 Alors ce Support Teacher prend ces enfants-là, il s'est mis à une autre méthode, il s'est expliqué ce qui fait qu'il nous fait ça.
00:03:57 Pour que ces enfants-là nous rattrapent plus vite, nous rééquipèrent plus vite. Ils ne connaissent pas nos affaires, ils ne connaissent pas notre définition.
00:04:04 Éventuellement, ils vont trouver un échec plus dément. Avec ce système-là, nous permettons à nos enfants de se garder en train.
00:04:12 Nous venons avec tout un système de Holistic Education. Nous recrutons beaucoup de Holistic Teachers.
00:04:18 Ce qu'ils veulent faire, c'est d'apprendre à l'enfant, à part ce professeur de classe, pour lui apprendre à lire, écrire et compter,
00:04:25 il apprend la musique, il apprend le mouvement d'éducation, il apprend les valeurs, le drama, la communication, tout ça.
00:04:35 Alors, on dit qu'on a des enfants dans l'école primaire, ils sont capables de causer sans aucune crainte.
00:04:40 Ils n'ont pas peur pour exprimer eux-mêmes. Ils montent loin de la scène, ils sont capables de performer.
00:04:46 Tout ça, c'est en partie la réforme. Et ça fait pire pour eux-mêmes, comme cause d'équité.
00:04:51 Nous tous le connaissons, tous les enfants payent dans les mêmes moyens.
00:04:55 Nous venons avec un gros projet de Early Digital Learning.
00:05:00 Vous connaissez, il y a des enfants qui n'ont pas accès à la technologie.
00:05:04 Aujourd'hui, nous complétons ce cycle-là, de grade 1 à grade 6, tous les enfants aux primaires,
00:05:10 ils ont accès à la technologie, ils servent ce tablette de l'école, ils apprennent.
00:05:15 Personne n'a pas le droit de dire qu'il n'est pas un digital native.
00:05:19 Les enfants ont dit, nous faisons en sorte qu'ils donnent à l'école, tous les enfants, accès à la technologie.
00:05:24 Alors, nous sommes capables de dire qu'il y a un grand bout en avant.
00:05:27 Nous enlèvons la compétition au niveau du primaire. C'est une grande question, ça.
00:05:31 Et quand nous mettons ça pour les enseignants, ça prêche.
00:05:34 Ce qui est important pour l'école, pour les leçons particulières, c'est de baisser énormément. Nous, nous connaissons.
00:05:40 Nous pourrions faire cela en détail, peut-être point par point, pour qu'on puisse l'analyser.
00:05:46 Mais pour une chose qui nous fait hâte dans l'actualité, c'est le résultat des lauréats.
00:05:50 Et là, nous avons trouvé qu'il y a plusieurs débats. Il y a un débat qui dit qu'il aboli le présent système,
00:05:55 c'est-à-dire de 49 lauréats et après donner les bourses sous le critère social,
00:06:00 et donner de 500 à 1 000 la bourse parce que dans le système actuel, nous pouvons financer le "brain drain".
00:06:05 C'est-à-dire que nous pouvons payer les enfants pour les apprendre en haut en étant étudiants,
00:06:08 et après, ils ont le travail en haut, ils vont arrêter en Mauritie.
00:06:11 Bon, laisse-moi expliquer quoi nous avons à faire. Ce gouvernement-là, il vient avec un système de "free tertiary education".
00:06:19 Le premier ministre s'est annoncé, et aussitôt annoncé, nous l'implémenter.
00:06:23 Toutes les universités publiques en Mauritie sont gratuites.
00:06:28 Alors déjà, c'est une bourse pour tous nos enfants.
00:06:31 Mais vous êtes d'accord avec moi, dans n'importe quel pays, comme on me dit, "no one left behind".
00:06:36 Nous avons des enfants "highly performing students", nous avons des enfants "average", mais le gouvernement qu'est-ce qu'il fait ?
00:06:42 Nous vivons avec un système pour tous les enfants qui ont, bien sûr, des résultats,
00:06:48 ils ont une capacité à entrer dans le système de l'enseignement supérieur dans nos bonnes universités.
00:06:54 Mais nous devons aussi réaliser qu'il y a des "highly performing students" qui nous doivent récompenser,
00:07:00 parce que le pays a besoin d'une élite.
00:07:02 Et là, ces enfants-là ont l'occasion à l'extérieur de développer un certain sujet qui ne nous est pas offert ici,
00:07:10 de développer notre expertise et nous espérer que nous pourrons servir le pays.
00:07:14 Je vous l'aurai dit, au Tchétchénie, au bâtiment du Trésor, vous espérez que nous pourrons servir le pays.
00:07:19 Oui.
00:07:20 Mais il y a une, pas une étude, mais un constat général, que par exemple,
00:07:25 un montagnaniste lauréat doit réussir à faire un diplôme en ingénieur de pétrole, je ne sais pas ce qu'il va faire.
00:07:33 Il va faire un travail, Maurice.
00:07:35 Personne n'a pas connu qu'il y ait un Océan de la Nouvelle, pour commencer.
00:07:39 Deuxièmement, laissez-moi dire une affaire.
00:07:41 Quand le pays fait autant pour vous, quand vos patries font autant pour vous,
00:07:48 donnez-nous la possibilité d'une éducation gratuite à toutes les échelles, du pré-primaire jusqu'au tertiaire.
00:07:53 Donnez-nous les fils d'examens gratuits, donnez-nous le transport pour l'éducation, pour aller à l'école gratuite.
00:07:58 Vous pensez qu'il y a un minimum de sentiments d'appartenance qu'il nous faut dans ce pays-là,
00:08:04 et qu'il nous faut être capable de laisser servir le pays.
00:08:07 Et nous devons dire que de nos jours, nous ne pouvons pas dire qu'un jeune là doit totalement finir une complète,
00:08:12 toute cette affaire ici.
00:08:13 Mais il y a tellement de moyens qu'il est capable, pour quelque temps,
00:08:18 même de l'extérieur, de donner ce soutien et cette expertise au bénéfice du pays.
00:08:24 Beaucoup de gens disent que le système ne produit pas assez d'êtres humains
00:08:28 qui forment ou travaillent dans l'éducation à connaître cet esprit,
00:08:32 ou connaître quelle est la différence entre la formation dans les collèges d'État et les collèges conventionnels.
00:08:37 Et le Dr Benoît Rien, notre prédécesseur, qui est là la semaine dernière,
00:08:40 il a dit qu'il y a une manière de faire malheureusement que les jeunes finissent par se suicider.
00:08:44 Beaucoup de gens disent qu'il y a un lauréat qui termine à l'hôpital Brown, c'est quoi?
00:08:48 Qu'est-ce qui se passe dans votre parcours personnel?
00:08:50 Est-ce qu'il y a quelque chose qui vous intéresse?
00:08:52 Premièrement, est-ce que j'ai une affaire?
00:08:53 Oui.
00:08:54 C'est très...
00:08:55 Qu'est-ce que c'est?
00:08:56 Chaque enfant qui a parvenu à un problème et qui finit mal,
00:09:00 mais je trouve ça pas correct du tout de dire que le lauréat finit mal.
00:09:06 Vous êtes dans un parcours, nous vous inscrit.
00:09:09 Moi, je pensais que le lauréat avait le droit à une éducation.
00:09:12 Moi, je pensais qu'il était nécessaire qu'il y ait des jeunes capables
00:09:16 et qu'ils nous donnent le soutien possible.
00:09:18 D'ailleurs, vous le savez, à partir de l'année dernière, nous avons eu deux lauréats additionnels.
00:09:24 Le seul à niveau de Jagnath, State Scholarship,
00:09:29 pour qui nous gavons même l'expérience qu'ils peuvent avoir dans le pays.
00:09:32 Nous avons eu deux HSE Pro Scholarship.
00:09:35 Alors, tout cela nous donne cinq labos pour les enfants handicapés.
00:09:39 Tout cela parce qu'ils nous l'équipent là à l'excellence.
00:09:43 Maintenant, qu'ils nous disent que le système n'est pas bon parce qu'il y en a un cas ou deux,
00:09:47 moi, je veux dire qu'ils donnent le système éducatif.
00:09:50 Nous finissons par mettre en place ce qu'on appelle le Health and Wellness Directorate.
00:09:56 Nous avons tout un système de counselors, de psychologues qui, au niveau du ministère,
00:10:02 et nous créons l'école, le "Counseling Desk".
00:10:06 C'est une bonne professeure qui peut apporter un soutien immédiat aux élèves à l'école.
00:10:12 Alors, pourquoi il n'est pas bon généralisé?
00:10:14 Pour vous dire qu'en général, vous avez fait une suivi.
00:10:17 Pour n'importe quel enfant qui, au niveau de l'école, a des difficultés,
00:10:20 nous avons déjà un système de "counseling" qui est en place.
00:10:23 Nous avons notre "Directorate" qui occupe le "Wellness" de l'enfant, le bien-être de l'enfant.
00:10:28 Alors, nous ne sommes pas capables de dire comme ça, de faire des commentaires comme ça.
00:10:33 Et nos enfants, n'importe quel enfant, ni lauréat, n'ont pas d'incapacité des difficultés.
00:10:37 Nous avons besoin de soutien à tous les enfants, pas seulement une catégorie.
00:10:40 Le système travaille pour tous les enfants.
00:10:43 À nous, à bord, une question très épineuse, une question qui a, je dirais, une bizarre cause à vécu.
00:10:48 On va penser aux collègues, même, peut-être à des gens d'un milieu professionnel qui connaît,
00:10:53 ou encore l'homme de la rue.
00:10:55 C'est l'épineuse question de quatre crédits, Madame la ministre pour le HSE.
00:10:59 Le lauréat du Collège Kitt, Sidis Diogia, est-ce qu'il est parmi nos réponses
00:11:05 sur le système qui, comme on a dit, le système mérite une certaine flexibilité,
00:11:09 qui n'est pas capable d'étendre pavé une majorité des enfants,
00:11:12 déjà que de la "school certificate", sachant la difficulté, la complexité du monde du travail
00:11:17 qui venit et la compétition pour devant.
00:11:19 Premièrement, je voudrais dire une grande merci à ceux qui me posent cette question.
00:11:23 Parce que, ce qui est important pour nous, c'est de comprendre.
00:11:26 Si on veut dire qu'un enfant a besoin d'un 5 crédits pour y passer son HSE,
00:11:29 c'est qu'il nous l'est qu'il y fait l'effort voulu.
00:11:32 Parce que vous connaissez, entre un crédit et qu'un pass, il y a une timage.
00:11:36 Si un élève a 4 crédits, il est capable de faire l'effort pour gagner un cinquième crédit.
00:11:41 D'ailleurs, nous donne la possibilité, les enfants peuvent toujours refaire et avoir un 5 crédit.
00:11:47 Et là, Côte-Montière-Compte-Or prend le cas que vous nommez, le cas de l'élève au Kids College.
00:11:54 Ces enfants-là, ils gagnent 4 crédits.
00:11:57 S'ils utilisent ce 4 crédits, peut-être qu'ils sont partis pour faire l'effort voulu.
00:12:01 L'enfant, il refait ce 4 ou 5, il gagne ce 5 crédits,
00:12:05 et il fait l'effort qui lui permet de continuer à travailler,
00:12:10 et faire bien, et finalement, être un lauréat.
00:12:13 Alors, l'idée est quoi?
00:12:15 Qu'il nous fasse, mes enfants, faire l'effort voulu, jamais il n'en dépasse.
00:12:18 Vous savez, du moment que tu commences à avoir 3 crédits, 2 crédits aussi, à l'époque,
00:12:23 on trouvait qu'il y avait une baisse de performance au niveau de la Forme 5 et même au niveau de la HEC.
00:12:29 Là, aujourd'hui, quand nous viens dire à nos élèves, fais l'effort pour les 5 crédits,
00:12:34 nous trouvons qu'année en année, le nombre d'élèves qui gagnent 5 crédits finit à augmenter.
00:12:40 Et chaque année, nous finissons un progrès.
00:12:43 Ce qui veut dire que, quand nous demandons à nos enfants, fais l'effort voulu,
00:12:48 je peux faire et je pourrai réussir.
00:12:50 Moi, quand j'étais enseignante, je me suis dit que chaque enfant Mauritien avait un potentiel
00:12:56 et c'est notre devoir, en tant qu'adulte, en tant qu'autorité,
00:12:59 de demander à eux, de faire l'effort voulu pour réussir.
00:13:02 Ceci dit, je me dis, il y a moins d'affaires.
00:13:05 Jamais, je ne crois pas, qu'un élève qui gagne 4 crédits après 2 reprises,
00:13:11 qui par la suite gagne ses 5 crédits, ces élèves-là, faiblissent.
00:13:16 Ces élèves-là, ils ont un système différent.
00:13:19 Et c'est pour ça que nous, nous mettons en place tout un système d'enseignement technique
00:13:26 de qualité et de haut niveau.
00:13:28 Parce qu'il y a des enfants qui, apparemment, ne sont pas intéressés à s'y assiser avec les livres cahiers,
00:13:32 ils préfèrent faire quelque chose de pratique.
00:13:34 Nous mettons un système là, au niveau des écoles,
00:13:38 le Technology Education, qui vous préviendra plus tard,
00:13:41 mais l'enseignement technique à la METD, au polytechnique,
00:13:45 nous faisons un enseignement technique de haut niveau.
00:13:49 Laissez-moi expliquer pourquoi.
00:13:51 Nous commençons avec 3 campus de polytechnique, qui sont modernes.
00:13:55 Aujourd'hui, nous avons 6 campus de polytechnique,
00:13:58 qui, aujourd'hui, là, juste après les résultats de la Forme 5,
00:14:02 finissent par recruter 2 000 élèves.
00:14:05 Ceci dit, les élèves qui gagnent 3 ou 4 crédits,
00:14:09 nous créons un nouveau pas pour eux.
00:14:12 Nous allons, à la METD, au polytechnique,
00:14:16 nous ferons des cours, nous ferons des diplômes,
00:14:18 et nous allons créer une passerelle.
00:14:20 Les enfants qui ont fait l'enseignement technique aujourd'hui,
00:14:23 sont capables de faire ce degré,
00:14:25 parce qu'ils ont fait des cours entre polytechnique et les universités,
00:14:28 et dans l'université aussi,
00:14:30 quelqu'un qui a un diplôme, est capable de faire ce degré.
00:14:32 Mais ce qui est le plus intéressant,
00:14:34 ce n'est pas un enseignement technique comme on s'y fait penser dans le passé.
00:14:38 C'est un enseignement technique qui est capable de pousser l'élève vers l'enseignement qui paye.
00:14:43 - Donc, ça, du moment, vous pensez que l'enseignement technique fait les vignettes de l'année ?
00:14:45 - Pas du tout !
00:14:46 C'est ça qui nous donne une nouvelle vision de l'enseignement technique.
00:14:49 Et si vous visitez une bonne polytechnique,
00:14:51 que ce soit à Pamplemousse, à Montaigne-Blanche,
00:14:54 à Ébenne, Réduis ou à Rosbel,
00:14:56 ou à Roderick,
00:14:57 vous trouvez qu'un genre d'infrastructure nous met en place.
00:15:00 D'ailleurs, il y coûte l'État beaucoup plus cher qu'à l'école ordinaire.
00:15:03 Et là, on peut dire,
00:15:05 que tous les élèves qui avaient des polytechniques,
00:15:08 avant même qu'ils n'aient fini avec eux,
00:15:10 90 % des élèves,
00:15:13 ils n'ont pas fini avec leur emploi.
00:15:15 Et ils sont capables, par la suite, de continuer leur enseignement.
00:15:17 Ce qui nous l'indique aujourd'hui,
00:15:19 c'est qu'il nous arrive de moderniser.
00:15:21 Et ce qui est aussi intéressant,
00:15:23 c'est que Polytechnique Maurice,
00:15:25 ils viennent, pour les élèves avec 3 crédits et 4 crédits,
00:15:29 avec toute une panoplie de nouveaux sujets
00:15:32 qui n'auraient pas existé.
00:15:34 Robotique, technologies émergentes,
00:15:37 Internet of Things,
00:15:39 toute une série,
00:15:41 Media Development,
00:15:43 une série.
00:15:45 Il y a à peu près 40 nouveaux cours.
00:15:47 Et quand un jeune peut y aller, il peut faire ça avec beaucoup d'intérêt.
00:15:50 Il y a beaucoup d'élèves qui allent vers les polytechniques
00:15:52 pour avoir un diplôme national.
00:15:54 Ils sont avec deux élèves,
00:15:57 même s'ils ne payent pas leurs 5 crédits,
00:15:59 ils sont avec deux élèves, avec 3 crédits, 4 crédits,
00:16:01 ils ont aussi des crédits.
00:16:04 Ce qu'il nous veut dire,
00:16:06 c'est qu'on va créer des nouveaux passages,
00:16:08 des passerelles qui permettent à quelqu'un
00:16:10 qui choisit d'aller vers l'enseignement technique,
00:16:13 de continuer ce parcours,
00:16:15 de travailler et de gagner son degré.
00:16:17 Il n'y a pas de cours d'enseignement technique de haut niveau.
00:16:19 Il faut me dire ça, il est bon de me souligner.
00:16:21 Aujourd'hui, vous voulez un bâtiment,
00:16:23 20 étages, je ne sais pas qui continue.
00:16:26 Vous prenez quelqu'un qui peut travailler dans la plomberie.
00:16:29 Mais il faut besoin d'une notion de science.
00:16:32 Il faut besoin d'une notion de,
00:16:34 allons dire, de connaissances modernes.
00:16:37 Tout le développement qu'il peut y avoir dans le secteur
00:16:39 pour qu'il arrive performant.
00:16:41 Et alors, polytechnique,
00:16:43 pour nous donner la possibilité de faire tout ça.
00:16:45 Quelqu'un qui a envie de travailler dans la technologie numérique,
00:16:48 il a aussi besoin d'un moyen moderne pour y apprendre.
00:16:51 Alors, il y a tellement de bonnes choses
00:16:53 dans le système qu'ils nous mettent en place.
00:16:55 Pour me revenir aux premières questions que j'ai eu besoin,
00:16:57 c'est nos bilans, ça.
00:16:59 C'est la réforme qui nous est amenée dans le secteur.
00:17:01 Ce n'est pas une réforme qui est limitée à une partie ou à une autre.
00:17:04 Nous révolutionnisons l'enseignement technique.
00:17:07 Et je suis capable de vous dire qu'aujourd'hui,
00:17:10 la demande finit d'augmenter agréablement.
00:17:14 Et beaucoup de jeunes qui, peut-être,
00:17:17 peuvent continuer à travailler, peuvent aller vers les polytechniques
00:17:19 pour faire des cours spécialisés.
00:17:21 Alors, tellement de bonnes choses.
00:17:23 Je vous dis, si il y a un jeune
00:17:25 qui a fait un nursing polytechnique,
00:17:27 il peut faire un BSc Nursing
00:17:30 de l'Université de l'Australie.
00:17:32 Alors, c'est le type d'enseignement supérieur
00:17:35 qui nous propose à des jeunes.
00:17:38 Et la question de cette année,
00:17:40 nous l'avons peut-être oublié,
00:17:42 la question de HSE Pro,
00:17:44 avec les deux lauréats qui finissent de gagner.
00:17:46 Mais qu'est-ce que c'est?
00:17:48 Quelle est l'évolution pour l'avenir?
00:17:50 Regardez, HSE Pro, il y a certains élèves
00:17:52 qui veulent plus "hands-on",
00:17:55 ils préfèrent travailler sur des projets.
00:17:57 Et alors, HSE Pro, qui a commencé
00:17:59 depuis quelques années déjà, je dois dire,
00:18:01 qui a commencé même avant 2014,
00:18:03 c'est vraiment un jeune qui préfère aller
00:18:05 et qui veut pas tenir la possibilité
00:18:07 de gagner la bourse comme ses camarades.
00:18:09 Alors, là, nous vivons avec
00:18:11 le HSE Pro Scholarship,
00:18:13 que ces jeunes-là veulent faire leur papier,
00:18:15 ils veulent faire leur HSE qui a plus de "project-based"
00:18:18 au lieu de faire "general paper".
00:18:20 Ils veulent faire leur papier qui s'appelle
00:18:22 "global perspective", et alors, ils ont
00:18:24 une énorme possibilité, ils ont aussi
00:18:26 démontré leur performance
00:18:28 et leur aptitude.
00:18:30 Et alors, par la suite, c'est une filière
00:18:32 qui facilite leur entrée dans le monde du travail.
00:18:34 Et, puisqu'il nous peut causer,
00:18:36 je veux dire aussi que quand nous causons
00:18:38 MITD et Polytechnique Mauritius,
00:18:40 il y a beaucoup, beaucoup
00:18:42 de collaborations qu'ils peuvent faire aujourd'hui
00:18:44 avec les institutions,
00:18:46 avec le secteur privé.
00:18:48 Polytechnique Mauritius, c'est un bon lecteur
00:18:50 qui vient du secteur privé, qui fait une autre classe.
00:18:52 Alors, c'est un, comment on peut dire,
00:18:54 c'est un nouveau système.
00:18:56 Moi, je suis contente d'y aller, là.
00:18:58 Moi, une des petites choses que je me dis à moi-même
00:19:00 quand je rentre au ministère,
00:19:02 que je me suis contente de léguer quand je quittais,
00:19:04 c'est un enseignement technique
00:19:06 de qualité, de haut niveau,
00:19:08 que les jeunes, pas obligés
00:19:10 d'aller, mais ils ont fait un choix
00:19:12 pour aller là-bas, et je crois qu'ils ont réussi
00:19:14 une bonne partie de ceux
00:19:16 qui ont eu ce rêve, là.
00:19:18 Dimanche dernier, dans le
00:19:20 Conseil de Montpellier, et dans d'autres émissions,
00:19:22 et même là, au Banque de réseaux sociaux,
00:19:24 on trouve beaucoup de monde pleins du manque d'enseignants
00:19:26 dans plusieurs établissements,
00:19:28 mais aussi de l'école, comme Lady Souchil,
00:19:30 Pauvre Mousse SSS,
00:19:32 des affaires qui font qu'ils ne jouent pas la part,
00:19:34 malgré toutes les annonces qu'ils nous font.
00:19:36 C'est la question, par exemple, du supply teacher,
00:19:38 qui a arrêté de gagner la paie en novembre.
00:19:40 Qu'est-ce qu'il ne peut pas faire à ce niveau-là,
00:19:42 Madame la ministre?
00:19:44 Le PSI,
00:19:46 il ferme un recrutement,
00:19:48 et il ne peut pas recevoir
00:19:50 de nouveaux professeurs.
00:19:52 Alors, ça, le manque de professeurs,
00:19:54 ne peut pas finir à Lely dans les jours à venir,
00:19:56 dans les quelques jours,
00:19:58 parce qu'ils ont fini de faire cet exercice de recrutement.
00:20:00 Maintenant, les supply teachers,
00:20:02 c'est un professeur qui nous employait
00:20:04 quand un professeur peut aller en vacances,
00:20:06 etc.
00:20:08 Mais, souvent,
00:20:10 on peut trouver qu'un supply teacher
00:20:12 c'est un travail temporaire,
00:20:14 quand on a un poste permanent,
00:20:16 malgré le fait qu'il n'ait pas fini
00:20:18 à l'enregistrement,
00:20:20 on ne peut pas le faire à poste permanent,
00:20:22 qui est totalement normal et logique.
00:20:24 Il y a des étapes, mais c'est pas ce qu'on peut dire.
00:20:26 Il y a des gens qui peuvent faire un supply teacher
00:20:28 des années en années.
00:20:30 Non, mais ce n'est pas un job
00:20:32 qui est permanent.
00:20:34 Le supply teacher, c'est un remplaçant.
00:20:36 Alors, on n'est pas capable,
00:20:38 mais, de recruter aussi
00:20:40 un supply teacher comme enseignant
00:20:42 dans le service public.
00:20:44 Mais, dans le service public, il y a une sélection.
00:20:46 Alors, bien sûr, un supply teacher
00:20:48 est un remplaçant. Il est capable
00:20:50 de refaire des plusieurs années, mais,
00:20:52 il doit appliquer à la PSI
00:20:54 et quand la PSI fait ce recrutement,
00:20:56 fait ce sélection, il a la chance d'entrer.
00:20:58 - Est-ce que vous avez des délais, comme on dirait,
00:21:00 quand une professeure a une vacances
00:21:02 avec un enseignant au ministère?
00:21:04 - En principe, une vacance,
00:21:06 nous a fini, c'est ce qu'on nous a dit,
00:21:08 dans les années passées.
00:21:10 On peut toujours finir un recrutement,
00:21:12 mais nous, on fait un gros recrutement massif
00:21:14 et on peut expecter que tout
00:21:16 va être un problème pour finir par y aller.
00:21:18 - Il y a aussi la question,
00:21:20 l'épineuse question de PGCI
00:21:22 qui beaucoup de monde
00:21:24 a dit longtemps,
00:21:26 dans mon époque et dans l'époque aussi,
00:21:28 une professeure qui nous tient, elle n'appartient pas à PGCI,
00:21:30 mais c'est une vice-présidente de la ville,
00:21:32 une vice-première ministre, c'est tout.
00:21:34 Mais quand même, pour comprendre
00:21:36 la logique, d'autant plus que c'est
00:21:38 Swiss MAI qui délivre sa cause.
00:21:40 - Non, non, pas vrai.
00:21:42 - Et de l'autre côté, par exemple,
00:21:44 je ne sais pas, peut-être qu'on va avoir un corigement,
00:21:46 mais de l'autre côté, il y a des choses
00:21:48 qu'il y a l'éducation qui fait,
00:21:50 par exemple, depuis plusieurs années,
00:21:52 les pays ramés n'ont pas gagné l'accréditation.
00:21:54 - Non, il y a des critères différents
00:21:56 qui ont une cause avec moi.
00:21:58 L'accréditation, les pays ramés
00:22:00 ont gagné l'accréditation avec l'Education Commission.
00:22:02 Ça, je ne parle pas d'intervenir là-dedans,
00:22:04 c'est un autre bon critère.
00:22:06 Mais je peux vous dire que quand un professeur,
00:22:08 moi, je peux vous dire aujourd'hui,
00:22:10 peu importe ce que c'était dans le passé,
00:22:12 le monde a évolué, bonnes jeunes d'aujourd'hui,
00:22:14 pas bonnes jeunes d'avant,
00:22:16 mais en même temps, il y a un besoin,
00:22:18 une nécessité qu'un enseignant en classe
00:22:20 soit bien équipé, qu'il ait tous les atouts
00:22:22 pour pouvoir mener à bien sa tâche.
00:22:24 Hein? Sa tâche.
00:22:26 Et alors là, ce qu'il nous dit à nous,
00:22:28 tous les professeurs qui sont dans le Péducilie,
00:22:30 le Péducilie, il est capable d'un MAI
00:22:32 ou d'une institution étrangère,
00:22:34 il n'y a pas de souci, parce qu'il y a un Péducilie,
00:22:36 c'est le Péducilie.
00:22:38 Alors, toutes les institutions qui nous reconnaissent,
00:22:40 c'est le Péducilie qui les reconnaît.
00:22:42 Non seulement ça, il y a aussi, nous aussi,
00:22:44 il y a des gens qui font un Master's in Education.
00:22:46 Ça, on va aussi nous accepter,
00:22:48 parce que c'est un...
00:22:50 - Et puis, Alex?
00:22:52 - Le Postgraduate course in Education.
00:22:54 Il faut même qu'il y ait un Péducilie.
00:22:56 Mais tout ça nous prend.
00:22:58 Alors, ce n'est pas vrai de dire
00:23:00 que ça, seulement depuis l'MAI,
00:23:02 il n'y a pas autant, moi, je pense qu'il n'y a pas autant.
00:23:04 Aujourd'hui, encore plus qu'avant,
00:23:06 il y a un professeur bien équipé
00:23:08 en termes de compétences,
00:23:10 parce qu'il n'est pas un job facile,
00:23:12 mais nous pensons qu'il y a une équipe
00:23:14 de tous les professeurs
00:23:16 avec les moyens pour être capable
00:23:18 et amener leurs tâches à bien.
00:23:20 - Voilà, nous rappelle Mme Dieterich,
00:23:22 l'invité aujourd'hui, c'est Mme Lila David-Goldner-Schmond,
00:23:24 vice-première ministre et ministre de l'Éducation,
00:23:26 213,7 millions d'euros.
00:23:28 - Merci.
00:23:30 - Et la ministre de l'Éducation,
00:23:32 213,77,77.
00:23:34 213,77,77, t'as l'air capable, bien sûr.
00:23:36 Pose-nous tes questions,
00:23:38 mais aussi, nous m'envies de t'intervenir.
00:23:40 Suive-nous aussi sur Facebook
00:23:42 et sur nos plateformes,
00:23:44 Top FM, Mauritius et Top TV.
00:23:46 La suite, c'est juste après ceci.
00:23:48 [Musique]
00:23:54 [Musique]
00:23:56 [Musique]
00:24:24 [Musique]
00:24:52 [Musique]
00:25:02 [Musique]
00:25:12 [Musique]
00:25:28 - Le laboratoire médical Procare
00:25:30 propose un service à domicile
00:25:32 pour des prises de sang à travers l'île
00:25:34 et dans nos points de collecte à Forestside,
00:25:36 Aucoulé, Ménil et La Rosa.
00:25:38 Nous proposons aussi un test général
00:25:40 à partir de 750 roupies
00:25:42 avec des résultats bien détaillés
00:25:44 et précis dans un délai raisonnable.
00:25:46 Pour tous vos renseignements,
00:25:48 appelez Procare Medical Laboratory
00:25:50 sur le 660 60 60,
00:25:52 660 60 60.
00:25:54 Nos lits de téléphone
00:25:56 sont ouverts de 6h30
00:25:58 jusqu'à 20h30, 7 jours sur 7.
00:26:00 [Musique]
00:26:18 - Hard talk, hard talk.
00:26:20 [Musique]
00:26:26 - De retour en studio bien sûr,
00:26:28 pour parler de la suite
00:26:30 sur l'éducation nationale
00:26:32 en 2024, 213 77 77,
00:26:34 213 77 77,
00:26:36 numéro qui vous a fait apporter
00:26:38 Madame Ducan à plusieurs reprises
00:26:40 depuis qu'elle est ministre
00:26:42 de l'éducation, on a trouvé
00:26:44 qu'elle n'est pas dans le choc
00:26:46 avec les règlements climatiques.
00:26:48 Donc, on a eu un confinement
00:26:50 et on a aussi
00:26:52 ce qui s'est passé l'année dernière.
00:26:54 Beaucoup de gens ne parlent pas
00:26:56 de ces affaires-là parce qu'ils
00:26:58 ne nous préparent pas pour nous.
00:27:00 Ils ont dit que l'éducation,
00:27:02 les BPZF, elles ont cours en ligne,
00:27:04 AI, chat GPT,
00:27:06 mais ce qui est arrivé
00:27:08 la semaine dernière, il y a eu
00:27:10 un manque de formation pour des
00:27:12 enseignants pour rendre le système
00:27:14 effectif. Est-ce qu'il y a
00:27:16 un mode pour les nouveaux
00:27:18 adaptateurs? Elle a une cause tablette
00:27:20 avec Digital Native,
00:27:22 mais elle a aussi le projet
00:27:24 tablette. Pas du tout.
00:27:26 C'est pas vrai. Premièrement,
00:27:28 depuis que nous, nous rentrons au gouvernement,
00:27:30 nous décidons de donner
00:27:32 une tablette dans l'école primaire.
00:27:34 Nous projettons de compléter
00:27:36 tous les grades 1 à 6
00:27:38 pour avoir une tablette. Alors ça,
00:27:40 c'est pas vrai de dire qu'on ne peut pas
00:27:42 donner une tablette. Nous ne passons aucun projet
00:27:44 pour donner une tablette dans
00:27:46 le secondaire. Ça, depuis que nous sommes
00:27:48 venus, il n'y a aucun projet pour donner une tablette dans le secondaire.
00:27:50 C'est pas nos politiques, nous ne pouvons pas le faire.
00:27:52 Mais par contre,
00:27:54 nous d'accordons qu'à chaque
00:27:56 fois que nous commençons à faire un cours
00:27:58 en ligne, c'était dans une période de crise.
00:28:00 Une crise. Un coup de COVID,
00:28:02 ensuite dans une période qui est dans la pluie,
00:28:04 mais le ministère,
00:28:06 il travaille un projet
00:28:08 et là, nous pouvons venir avec un projet.
00:28:10 Quoiqu'il en soit, dans cette période-là,
00:28:12 nous avons donné une possibilité entre
00:28:14 les Microsoft Teams, nous avons donné
00:28:16 un login pour tous les professeurs et
00:28:18 tous les élèves de grade 9,
00:28:20 de grade 10, pardon, à monter.
00:28:22 Là, ce qu'il nous peut faire, nous venons
00:28:24 avec un projet de formation.
00:28:26 Nous faisons formation en ligne à l'époque
00:28:28 pour certains professeurs qui tient
00:28:30 à nous. Mais là,
00:28:32 ce qu'il nous peut faire, nous avons un projet
00:28:34 qui est dirigé par le
00:28:36 e-learning du ministère
00:28:38 et le directeur, ils viennent faire
00:28:40 ces présentations pour former
00:28:42 des professeurs, pour donner aux autres les moyens
00:28:44 et nous pouvons venir avec
00:28:46 une politique de
00:28:48 "blended mood". Bien sûr,
00:28:50 ça prend du temps, nous avons besoin de nous
00:28:52 former les professeurs.
00:28:54 - Quelle politique de "blended mood" ?
00:28:56 - Of teaching. Je vais vous expliquer
00:28:58 qui était ça après, mais avant tout,
00:29:00 je veux tienre le chapeau à mes professeurs
00:29:02 qui, malgré le fait
00:29:04 qu'ils partent en formation,
00:29:06 en période de crise,
00:29:08 ils doivent faire
00:29:10 vraiment, comment dire,
00:29:12 "jouer" en créole, je veux dire,
00:29:14 ils doivent venir, ils doivent
00:29:16 venir avec les moyens de bord,
00:29:18 les moyens possibles, rester en contact
00:29:20 avec les élèves et faire le maximum.
00:29:22 Je vais vous dire, MBC aussi,
00:29:24 ils donnent un coup de main, ils font bien
00:29:26 des cours à travers la télévision,
00:29:28 les chaînes de la télévision, mais en même temps,
00:29:30 nos professionnels travaillent.
00:29:32 Avec le peu de moyens qu'ils ont,
00:29:34 ils sont capables de faire des cours pendant la COVID,
00:29:36 ils sont capables de faire du cours pendant les jours
00:29:38 de pluie et maintenant, c'est une politique
00:29:40 du gouvernement qui, à chaque fois qu'il y a
00:29:42 un problème et que l'école
00:29:44 peut rester fermée, ils sont capables,
00:29:46 bien sûr, de venir de l'avant et de rester en contact
00:29:48 avec les élèves. Je suis d'accord avec vous,
00:29:50 la pédagogie qui servit quand
00:29:52 on peut faire un cours en ligne n'est pas pareil
00:29:54 que quand on est dans la classe face à face,
00:29:56 mais je veux dire, mon professeur,
00:29:58 il fait la part des choses,
00:30:00 il fait un très bon travail et bien sûr,
00:30:02 le résultat aussi, c'est de démontrer que les enfants
00:30:04 ne sont pas si mauvais que ça pendant
00:30:06 une période de COVID, au contraire. Bien sûr,
00:30:08 c'est dans ma spéciale considération,
00:30:10 mais mon professeur, il joue le jeu à fond.
00:30:12 Et là, je dois remercier les autres
00:30:14 pour ça parce qu'à chaque fois,
00:30:16 ils font ce qu'il faut faire,
00:30:18 ils font le travail
00:30:20 et ils soutiennent les élèves.
00:30:22 Il y a un problème qui fait
00:30:26 que tout bon ministre de l'Éducation
00:30:28 se rassemble sur ses vélos, se lève la tête,
00:30:30 c'est qu'il y a un manque de matériel scolaire
00:30:32 quand le calendrier scolaire a commencé.
00:30:34 Comment est-ce possible, autant de jours
00:30:36 après la rentrée qu'il ne peut pas avoir
00:30:38 de livres de l'école pour après
00:30:40 et c'est aussi comment les livres qui servent,
00:30:42 pas les mêmes livres qui servent dans tout collège
00:30:44 pourtant qu'on pose même l'examen SC,
00:30:46 l'examen HSC.
00:30:48 Non, on doit expliquer très clairement
00:30:50 que tout collège de
00:30:52 grades 7 à 9 doit recevoir
00:30:54 les mêmes livres que
00:30:56 l'État offre aux élèves.
00:30:58 C'est toujours le cas.
00:31:00 Ça qui nous
00:31:02 cause tout le monde à l'école,
00:31:04 mais non, il y a certaines écoles
00:31:06 qui ont envie de faire un add-on
00:31:08 et je ne sais pas envie.
00:31:10 Ça c'est différent, mais nous, nous prescrivons
00:31:12 des livres, nous donnons des livres en cadeau
00:31:14 à tous les élèves jusqu'à grade 9.
00:31:16 Alors ce sont les mêmes livres
00:31:18 qui nous sont offerts à toutes les écoles.
00:31:20 Ça qui est important,
00:31:22 c'est que nous, nos affaires de travail,
00:31:24 mais quelques fois arrivent,
00:31:26 quand on donne un tender
00:31:28 et qu'il y en a qui
00:31:30 fait une objection,
00:31:32 ça a un IOP, ça retarde
00:31:34 les choses.
00:31:36 - Dans le cas du livre
00:31:38 "L'éducation nationale",
00:31:40 je ne comprends pas si c'est un IOP,
00:31:42 là c'est bien, il y a des affaires
00:31:44 qui vont venir pour une urgence
00:31:46 de l'État, qui n'est pas...
00:31:48 - Non, l'urgence de l'État,
00:31:50 quand on décide de faire une urgence de l'État,
00:31:52 mais quand on finit, commence
00:31:54 un process et on finit
00:31:56 de donner un tender, qui peut faire une objection,
00:31:58 on peut attendre que ça soit réglé
00:32:00 et que ça revienne vers nous. Et alors, des rétablissements,
00:32:02 des choses, parce que le printing, ce n'est pas un des livres
00:32:04 qui nous prête, on réalise le nombre
00:32:06 qui nous prête. Mais seulement, ce n'est pas
00:32:08 ce qu'ils nous font,
00:32:10 quand on est en retard, d'ailleurs, on me le dit aussi,
00:32:12 le ministère, il prend
00:32:14 la décision, qui coûte
00:32:16 le livre, pour recevoir,
00:32:18 le collège, nous avons tous nos bons livres
00:32:20 en ligne, nous devons faire des sautes,
00:32:22 chaque école, les faire
00:32:24 print-out et les donner chapitre par chapitre,
00:32:26 semaine des livres, jusqu'à
00:32:28 très bientôt, parce que très bientôt,
00:32:30 nous pouvons recevoir nos livres, mais
00:32:32 finalement, ça retourne à cause
00:32:34 de l'indépendance revue panel,
00:32:36 qui prend aussi du temps.
00:32:38 Mais l'année dernière,
00:32:40 beaucoup de gens demandaient plein de choses,
00:32:42 dans des salles,
00:32:44 on prend des dispositions,
00:32:46 c'est concernant Pines dans l'école,
00:32:48 et on prend des dispositions pour faire des infectés,
00:32:50 parce que tu trouves des annonces
00:32:52 dans ce sens, et dimanche dernier,
00:32:54 dans Côte d'Ivoire, pour le problème de la règle soulevée,
00:32:56 il y a encore un ami,
00:32:58 qui, quand on arrive à ça, qui est au ministère,
00:33:00 qui est un officier d'un ministère
00:33:02 vérifié, qui repose de nouveau là.
00:33:04 Laisse-moi dire une affaire. Nous,
00:33:06 quand on a un problème là, nous,
00:33:08 en collaboration du ministère de la santé,
00:33:10 je descends, je prends
00:33:12 toutes les mesures qu'il faut.
00:33:14 C'est un question assez dynamique,
00:33:16 tout le temps. Là, si vous direz moi,
00:33:18 il y a un cas qui vient de ressurgir,
00:33:20 mais il faut probablement,
00:33:22 il y en a quelque part,
00:33:24 on est, nous tous nous connaissons, Pines,
00:33:26 il bouge à plein de places, il bouge dans le sac, il bouge dans l'aile,
00:33:28 il est capable, il retourne dans l'école.
00:33:30 Mais nous, nous ne pas tarder,
00:33:32 à chaque fois qu'il y a un problème là,
00:33:34 nous prenons l'action qu'il faut. Et ça,
00:33:36 ce n'est pas quelque chose qui donne le contrôle.
00:33:38 Il est hors de nos contrôles, quelqu'un rentre à l'école,
00:33:40 il amène le sac, mais là, il peut
00:33:42 plier bien rapidement. Mais nous,
00:33:44 nous prenons les mesures qu'il faut. Le ministère
00:33:46 de la santé "step in" tout de suite
00:33:48 et nous fait tout
00:33:50 ce qu'il est nécessaire
00:33:52 pour faire, pour désinfecter les salles de classe.
00:33:54 Et que
00:33:56 la la la la c'est un petit
00:33:58 un appel qu'on peut faire avec vous,
00:34:00 c'est qu'il y a du monde, Madame la ministre,
00:34:02 il y a plein de gens qui
00:34:04 ne peuvent pas ramasser les enfants à l'école
00:34:06 et parfois, vous connaissez ça,
00:34:08 je peux gagner quatre ans au gouvernement,
00:34:10 pour dire franchement, je peux gagner quatre ans au gouvernement,
00:34:12 mais je ne peux pas ramasser les enfants à l'école. Je vais demander
00:34:14 à nos collègues, qui est-ce qu'ils ont à faire là-dessus?
00:34:16 Il y a une situation inacceptable, je ne sais pas si le premier ministre
00:34:18 est d'accord ou pas. Premièrement, laisse-moi dire
00:34:20 une affaire, qui nous,
00:34:22 quand chacun nous apprend
00:34:24 que nous avons une responsabilité, il y a un officier
00:34:26 de la MTA, tout ça, qui peut, qui
00:34:28 faisait ce travail et si jamais,
00:34:30 je vais dire, si jamais,
00:34:32 mon collègue,
00:34:34 si jamais, il y a quelqu'un qui ne peut pas
00:34:36 faire ce qu'il faisait,
00:34:38 il va prendre une sanction contre
00:34:40 cette propriété-là.
00:34:42 Il y a un cas de perdure
00:34:44 de cette possibilité.
00:34:46 Moi, je ne vais pas attendre.
00:34:48 C'est quelqu'un qui ne peut pas suivre.
00:34:50 Nous, on a un principe, tout le monde
00:34:52 nous a fait preuve de discipline, tout le monde
00:34:54 nous a fait preuve de cette responsabilité.
00:34:56 Maintenant, si vous pouvez, comment on peut dire,
00:34:58 vous-même, vous pouvez être payé pour faire
00:35:00 quelque chose, vous avez à faire, oui. Essayez de faire
00:35:02 une complainte, mais malheureusement, une complainte,
00:35:04 pas de l'univers, mais moi,
00:35:06 de toutes les façons, les complaintes doivent
00:35:08 aller vers la MTA. Moi, moi, je me suis posé
00:35:10 avec mon collègue, nous avons bien essayé, nous avons pris
00:35:12 une sanction contre ceux qui ne peuvent pas
00:35:14 faire une complainte, ceux qui ne peuvent pas suivre
00:35:16 une procédure et tout.
00:35:18 Il y a un gros problème
00:35:20 qui euh, où il y a une bonne
00:35:22 critique de l'opposition à Wegos, ces affaires
00:35:24 PSEA, OK,
00:35:26 euh, et que traitement
00:35:28 qui va en plus gagner,
00:35:30 euh, Clément Wong,
00:35:32 dans Célébration Soloréa, il dit, c'est un travail
00:35:34 formidable malgré tous les bâtons dans les roues,
00:35:36 aujourd'hui, les collèges privés sont menacés,
00:35:38 est-ce qu'il peut pousser, qui est
00:35:40 tellement contribué à l'éducation nationale
00:35:42 vers la disparition? Premièrement,
00:35:44 Jimmy,
00:35:46 l'État augmente
00:35:48 massivement
00:35:50 l'argent qu'ils nous remettent
00:35:52 à tous les collèges privés,
00:35:54 parce qu'ils nous pensaient qu'ils manquaient de collèges privés,
00:35:56 comment on dit, ils font un gros
00:35:58 travail et nous là pour donner le soutien.
00:36:00 D'ailleurs, nous
00:36:02 nous donnons flat
00:36:04 300 000 pour l'utilisation
00:36:06 des infrastructures
00:36:08 par mois à tous les écoles,
00:36:10 mais ça fait une augmente,
00:36:12 sorry, pour
00:36:14 l'utilisation des écoles par mois,
00:36:16 ça fait une augmente drastiquement,
00:36:18 il y a certaines écoles qui touchent même jusqu'à
00:36:20 1,2 ou 750 000 roupies
00:36:22 par mois. Alors, il ne faudrait pas
00:36:24 nous faire raconter des histoires, il ne faudrait pas
00:36:26 nous dire quelque chose comme ça,
00:36:28 tout ce qu'ils nous demandaient,
00:36:30 au contraire, la somme augmente énormément,
00:36:32 tout ce que nous avons demandé, c'est qu'ils
00:36:34 aient montré un peu plus de
00:36:36 d'accountability,
00:36:38 c'est-à-dire l'État demande que
00:36:40 nous nous faisions ça, mais il est obligé de montrer
00:36:42 nous qu'ils ont utilisé dans l'école ou pas.
00:36:44 C'est tout ce que nous avons demandé.
00:36:46 - Et puis, dans quelle raison d'accord avec les scolaires privés?
00:36:48 - Au contraire, nous devons dire qu'ils sont des bons partenaires,
00:36:50 ils ont fait leur travail, mais nous voulons que tout
00:36:52 qu'il se passe soit dans la transparence et que,
00:36:54 bien sûr, moi, je veux dire,
00:36:56 nous sommes accountable, moi,
00:36:58 en tant que ministre, je suis accountable
00:37:00 pour chaque rouble que j'ai dépensé, c'est de la même manière
00:37:02 que nous voulons que toutes les écoles
00:37:04 reçoivent les bons fonds, nous augmentons
00:37:06 ce qu'ils nous donnent, mais c'est aussi un
00:37:08 devoir d'accountability.
00:37:10 C'est très rédivable.
00:37:12 - Merci, merci, Mme Nduken.
00:37:14 Vous savez qu'il y a une critique là-dessus,
00:37:16 où les détracteurs évoquent un conflit d'intérêt
00:37:18 dans PSEA,
00:37:20 dans PSEA,
00:37:22 avec la présence de M. Lachman,
00:37:24 et le fait qu'il y ait un ministre
00:37:26 qui dit, et en même temps,
00:37:28 que l'opposition dit, alors là, est-ce que c'est normal
00:37:30 qu'il y ait un ministre et qu'il y ait un directeur PSEA?
00:37:32 - Bien, c'est normal qu'il y ait un ministre
00:37:34 pour que nous arrêtions le travail?
00:37:36 Vous posez la question.
00:37:38 Alors, tout simplement, moi, je peux dire
00:37:40 que M. Lachman, c'est de la PSEA
00:37:42 avant que moi, je ne vienne au ministère de l'Éducation.
00:37:44 Et je ne crois pas que c'est normal aussi
00:37:46 qu'à cause de mon visite au ministre de l'Éducation,
00:37:48 M. Lachman, je puisse aller.
00:37:50 Deuxièmement, jamais, pas dans aucun conflit,
00:37:52 parce qu'on ne peut pas dire avec aucun
00:37:54 qui passe dans la PSEA,
00:37:56 moi, je viens avec la politique,
00:37:58 je viens avec la politique,
00:38:00 ben là, je vais implémenter la politique
00:38:02 dans la PSEA. Alors, pas dans
00:38:04 un conflit d'intérêt, n'importe qui,
00:38:06 par rapport à l'état, qui est là, je travaille
00:38:08 d'après la politique
00:38:10 gouvernementale, la politique
00:38:12 du ministère, le ministère vient avec
00:38:14 ce politique, tout le monde par rapport à l'état,
00:38:16 que ce soit MAI, que ce soit MES,
00:38:18 que ce soit PSEA,
00:38:20 je implémente la politique
00:38:22 du gouvernement.
00:38:24 Nous viens, l'autre chose, il y a un projet
00:38:26 qui chère à eux, c'est l'extended programme.
00:38:28 Là,
00:38:30 donc ça, ça fait l'extended programme, là,
00:38:32 et de l'opposition, on dirait, il faut s'imposer là-dessus,
00:38:34 parce qu'il y avait donc un résultat probant.
00:38:36 Ou il y a une autre position
00:38:38 sur la question, qui est capable d'expliquer
00:38:40 la population maintenant. - Laisse-moi expliquer
00:38:42 une affaire. Quand on vient avec
00:38:44 le 9 years continuous basic
00:38:46 education, qui nous l'est dire pour ça?
00:38:48 Commencement, quand on commence
00:38:50 cette mission-là, on dit que nous
00:38:52 nous mettons toujours l'emphase
00:38:54 de l'équité. L'équité
00:38:56 veut dire qu'il nous aide tous nos enfants
00:38:58 et qu'il ne peut y avoir aucun
00:39:00 enfant "left behind".
00:39:02 Nous les travaillons pour tous nos enfants.
00:39:04 Ça veut dire que tous nos enfants mourissent.
00:39:06 D'ailleurs, à travers le monde,
00:39:08 l'UNESCO dit à lui,
00:39:10 que tous nos enfants, bizarre
00:39:12 que 9 ans d'éducation
00:39:14 de base continue.
00:39:16 Et c'est pour ça qu'ils nous disent
00:39:18 à nos enfants, quand ils finissent
00:39:20 faire ce PSAC,
00:39:22 ils rentrent dans le secondaire,
00:39:24 les enfants qui ont passé,
00:39:26 automatiquement rentrés, les enfants qui n'ont pas
00:39:28 fini de passer, nous viennent avec l'extended
00:39:30 programme. Et qui fait ça?
00:39:32 Ces enfants-là complètent
00:39:34 sa 9 ans-là.
00:39:36 Il y en a certains qui n'ont pas passé.
00:39:38 Mais quand ils complètent
00:39:40 sa 9 ans-là, ces enfants qui n'ont pas
00:39:42 passé, ils gagnent l'occasion
00:39:44 de se battre les autres camarades,
00:39:46 apprendre les sciences,
00:39:48 apprendre l'économie, apprendre le commerce,
00:39:50 apprendre tant d'autres choses,
00:39:52 les valeurs, les langues.
00:39:54 Comme ça, dès maintenant,
00:39:56 quand ils complètent sa 9 ans
00:39:58 d'éducation de base,
00:40:00 ils continuent. Quand nous donner un an de plus,
00:40:02 parce qu'il y a des enfants qui tiennent un petit peu
00:40:04 du faible, demain,
00:40:06 quand ils décident pour une formation technique,
00:40:08 quand ils décident pour ouvrir ce petit
00:40:10 boîte, ou bien il y a un travail quelque part,
00:40:12 ils ont la connaissance voulue,
00:40:14 ils peuvent présenter les proclamations,
00:40:16 ils peuvent communiquer avec
00:40:18 Benjamin correctement, et
00:40:20 on prend quelqu'un qui va nous dire
00:40:22 qu'ils décident pour un an
00:40:24 un petit compagnon,
00:40:26 ils sont capables de faire ce compte,
00:40:28 ils sont capables de présenter les biens,
00:40:30 ils sont capables quand même d'avoir une bonne connaissance,
00:40:32 et après, pour sa famille,
00:40:34 comme une père de famille ou une mère de famille,
00:40:36 ils ont une connaissance des sciences,
00:40:38 ils sont capables,
00:40:40 et ces enfants sont capables, quand ils préparent la nourriture
00:40:42 que les enfants connaissent, qu'ils peuvent donner,
00:40:44 ils ont une connaissance des sciences.
00:40:46 Tout cela est important. Quand nous causent
00:40:48 l'éducation, laisse-moi terminer là,
00:40:50 quand nous causent l'éducation, c'est pas seulement
00:40:52 l'obtention d'un certificat, c'est aussi
00:40:54 toute bonne valeur
00:40:56 et cette préparation à la vie.
00:40:58 Nous pouvons préparer nos enfants à la vie.
00:41:00 Ah, c'est ça que vous devez oublier.
00:41:02 Parmi les enfants d'extrême programme,
00:41:04 ils ont à peu près des cents
00:41:06 qui font une rente dans le système
00:41:08 qu'il nous dit, "regular stream".
00:41:10 Alors, nous ne réussirons pas
00:41:12 de récuperer ça. L'idée,
00:41:14 c'est que tous les enfants aient
00:41:16 des sens face à la névrance
00:41:18 de l'éducation de base. Laisse-moi répondre
00:41:20 à l'idée de l'opposition.
00:41:22 - Moi, j'ai vu ça, je t'ai déjà fait l'honneur,
00:41:24 mais je veux dire que, qu'est-ce que ça,
00:41:26 par rapport à la performance,
00:41:28 les résultats, les statistiques,
00:41:30 l'idée, elle n'est pas match avec ce qu'il peut mettre
00:41:32 dans un projet-là. - Vous connaissez,
00:41:34 moi, quand nous causent l'éducation aux enfants,
00:41:36 nous ne pas nous servir de faire
00:41:38 une cause de bonne soue. Nous dépensons
00:41:40 des milliards dans le secteur de l'éducation,
00:41:42 19 milliards passés.
00:41:44 Et ce qu'il y a là, je veux dire,
00:41:46 un enfant qui ne passe pas le sixième,
00:41:48 c'est ça, l'importance. Qu'est-ce que ça
00:41:50 nous veut dire? Les enfants qui ne passent pas le sixième,
00:41:52 ils ont donné l'occasion à apprendre plus.
00:41:54 Ils n'ont pas gagné de certificat, mais ils ont gagné
00:41:56 compétence et connaissance.
00:41:58 Mais quand ils peuvent faire l'enseignement technique,
00:42:00 quand ils peuvent, disons, avancer,
00:42:02 ils sont plus préparés à ça et encore plus.
00:42:04 Vous connaissez, comme je dis,
00:42:06 à faire plus d'ordinance,
00:42:08 comment je veux dire, à faire un petit peu
00:42:10 de travail, moi, je vous le dis,
00:42:12 comme je vous l'ai dit tout à l'heure.
00:42:14 Quand un enfant peut faire l'agriculture,
00:42:16 les gens, ces enfants-là, décident de pouvoir le planter.
00:42:18 Ils viennent planter. Mais ils ont besoin
00:42:20 de connaissance, ils prennent une serre. Comment
00:42:22 cette serre-là peut fonctionner? Comment
00:42:24 les poubelles peuvent faire hydroponique?
00:42:26 Comment elles peuvent faire aquaponique
00:42:28 si elles veulent faire aquaponique? Mais ils ont besoin
00:42:30 de connaissance. Si vous avez des enfants qui,
00:42:32 allez, OK, tu ne parles pas sixième, toi,
00:42:34 maintenant, ils nous font des affaires
00:42:36 qui sont toujours dans le passé.
00:42:38 Quand tu fais un privo, nous faisons suivre
00:42:40 les enfants-là, nous connaissons qu'ils sont inondés.
00:42:42 Nous, quand nous commençons un standard
00:42:44 programme, nous suivons les enfants-là. Nous nous connaissons
00:42:46 qu'il y a un bon nombre par-ici. Nous nous connaissons
00:42:48 qu'il y a un bon nombre qui nous est capable, un nombre
00:42:50 qu'il nous est capable de récupérer. Mais nous faisons
00:42:52 suivre. Et aujourd'hui, qu'est-ce qu'on va dire?
00:42:54 Les enfants qui peuvent passer aussi.
00:42:56 Nous venons avec le programme
00:42:58 Bright Up. Nous récupérons là, là, là,
00:43:00 douze cents élèves
00:43:02 qui peuvent rentrer dans Bright Up et puis dans
00:43:04 le cours Batch qui va venir après. Douze cents
00:43:06 élèves qui peuvent suivre mon cours
00:43:08 qui par la suite vont finir avec
00:43:10 NC3 à la MITD
00:43:12 et qui sont capables de rentrer dans le monde
00:43:14 du travail parce que dans NC3,
00:43:16 ils peuvent faire aussi ce qu'ils nous disent
00:43:18 du "dual training"
00:43:20 pour le travail d'un compagnon.
00:43:22 Nous ne pouvons pas nous laisser les enfants.
00:43:24 Le principe, c'est "no one should be
00:43:26 left behind" et nous travaillons pour
00:43:28 chaque enfant morticière. Je peux dire
00:43:30 que chaque enfant est
00:43:32 notre potentiel. Chaque enfant
00:43:34 pour pouvoir réussir, nous
00:43:36 devons donner à eux le temps et nous devons
00:43:38 donner à eux le soutien qu'il faut.
00:43:40 Le premier ministre me dit que nous devons
00:43:42 donner le soutien qu'il nous faut. Nous amènerons une nouvelle
00:43:44 envergure dans l'enseignement technique
00:43:46 et nous continuerons notre direction.
00:43:48 - Je veux dire quelque chose
00:43:50 pour vous, mais je veux dire
00:43:52 que l'admission en secondaire
00:43:54 est gratuite.
00:43:56 Il y a un manque de transparence.
00:43:58 Par exemple, il y a l'école, la classe...
00:44:00 - Excuse-moi.
00:44:02 - Je veux dire quelque chose.
00:44:04 Nous ne pouvons pas finir sans
00:44:06 un système dans le sens
00:44:08 dans lequel chaque enfant
00:44:10 quand il finit le composé
00:44:12 ou bien avant le composé, chaque parent
00:44:14 prépare une liste d'écoles et
00:44:16 chaque enfant, notre parent
00:44:18 gagne son résultat et il est
00:44:20 dans son adresse. Nous avons un système
00:44:22 d'admission régional.
00:44:24 Dans le passé, parfois on connaît
00:44:26 des parents qui ont tous les enfants
00:44:28 dans l'école, dès l'école, ils mettent 10 D.
00:44:30 Après, si l'enfant n'a pas gagné dans l'école,
00:44:32 dans le passé, il a gagné une "new school".
00:44:34 Les parents-là, ils ont besoin d'aller dans l'école
00:44:36 privée pour avoir une place publique.
00:44:38 Depuis que nous sommes venus en 2014,
00:44:40 nous avons dit qu'il n'y avait pas besoin
00:44:42 d'avoir une "new school".
00:44:44 Les parents, juste, ils ont besoin
00:44:46 d'avoir ce papier, ils ont une "new school"
00:44:48 et ils prêchent sur les enfants.
00:44:50 Nous avons dit que si les enfants n'avaient pas
00:44:52 gagné dans l'école qu'ils se sont demandé,
00:44:54 ils devaient quand même avoir une école
00:44:56 qu'ils pouvaient rentrer. Mais c'est toujours
00:44:58 d'après l'adresse et d'après ce point,
00:45:00 d'après ce "aggregate", pardon,
00:45:02 ce "grid aggregate".
00:45:04 Alors, nous n'avons pas fait de changement
00:45:06 excepté qu'il n'y a pas eu de
00:45:08 changement.
00:45:10 - Est-ce qu'il y a une préférence, une favoritis
00:45:12 dans certains enfants de l'école, une préférence?
00:45:14 - Si tu connais moi bien, tu vas
00:45:16 connaître qu'il y a des affaires comme ça,
00:45:18 pas capable de faire. Deuxièmement, laisse-moi
00:45:20 dire, c'est un système automatisé
00:45:22 qui est fait par MES, MES
00:45:24 servi sa application-là et
00:45:26 il fait sa distribution de sièges.
00:45:28 Alors, peu importe qui...
00:45:30 - Le ministre ne peut pas mettre son nom là-dedans.
00:45:32 - En tout cas, moi comme ministre, je ne peux pas
00:45:34 mettre mon nom là-dedans.
00:45:36 - Je comprends, madame.
00:45:38 - Après, il y a des affaires, je vais te le dire aussi.
00:45:40 Quelquefois, mes parents, ils me mettent à l'école,
00:45:42 je ne peux pas me garder à l'école là,
00:45:44 je ne peux pas faire des demandes pour me mettre à l'école.
00:45:46 Ils ont insisté, mes enfants,
00:45:48 ils ont dit, on va te laisser à l'école là.
00:45:50 Mais nous ne pouvons pas faire, nous, il n'y a pas de cas contraire.
00:45:52 Il y a un système qui ne peut pas nous satisfaire,
00:45:54 qui ne rend plus aux filles de complaindre,
00:45:56 il est là-dedans, il a réconcilié.
00:45:58 Mais ne pas venir dire qu'il y a, on dirait,
00:46:00 une manigance ou bien
00:46:02 une interférence, une gérance,
00:46:04 par lesquels vous racontez, ce n'est pas vrai du tout.
00:46:06 Et moi, je suis la première à vous le dire.
00:46:08 - Nous avons une auditrice au téléphone,
00:46:10 Sunita, qui est avec nous.
00:46:12 Sunita?
00:46:14 - Oui, bonsoir.
00:46:16 - Bonsoir.
00:46:18 - Mon point lié là, M. Dumy,
00:46:20 le ministre me dit un sans-crédit.
00:46:22 Vous montez l'OA,
00:46:24 les souverains universités,
00:46:26 normal.
00:46:28 Mais sans crédit, dans quel sens?
00:46:30 Comment on dit sans crédit?
00:46:32 N'importe qui s'usait sans crédit?
00:46:34 - Oui.
00:46:36 - Madame, n'importe qui s'usait?
00:46:38 - Bien, il y a n'importe qui s'usait sans crédit.
00:46:40 Mais bien sûr, si vous ne pouvez pas faire un sujet
00:46:42 dans un traité, vous avez normalement
00:46:44 un crédit dans un sujet que vous ne pouvez pas faire
00:46:46 dans un traité.
00:46:48 - Exact. Mais, fait que moi, mes enfants,
00:46:50 il y en a six crédits.
00:46:52 Mais français, il y en a un qui passe.
00:46:54 Six crédits,
00:46:56 français, un passe.
00:46:58 Depuis 2014,
00:47:00 ils finissent leur université.
00:47:02 Depuis jeudi,
00:47:04 ils ont 24, là, 10 ans.
00:47:06 Un travail, ils ne gagnent pas.
00:47:08 Quand ils gagnent du travail, ils battent, battent.
00:47:10 - Oui.
00:47:12 - Pourtant, ça va être à l'amitié du pays.
00:47:14 Comment on appelle ça?
00:47:16 - OK. Moi, quand nous ne comprenons pas au point,
00:47:18 mais nous vous demandons, madame la ministre,
00:47:20 de nous donner une réponse, c'est peut-être pas le...
00:47:22 - Oui. Bon, premièrement, nous, quand nous disons sans crédit,
00:47:24 c'est pour monter en HSE.
00:47:26 Maintenant, dans le cas qui,
00:47:28 madame la ministre, peut dire,
00:47:30 faut probablement qu'ils aient une poste
00:47:32 qui demande sans crédit,
00:47:34 incluant français.
00:47:36 Malheureusement, ça, c'est pas de mon hausson,
00:47:38 mais je peux vous dire, nous, nous demandons
00:47:40 que si jamais un enfant rate
00:47:42 un sujet, quitte à prendre juste un sujet,
00:47:44 là, référé, comme ça,
00:47:46 demain, il ne peut pas gagner sa même difficulté,
00:47:48 comme madame la ministre a dit.
00:47:50 Si un enfant gagne six crédits,
00:47:52 un sujet, il peut le gagner. Mais tout dépend
00:47:54 de qui poste le papier à plage
00:47:56 et de ce que l'on lui a demandé, là-bas.
00:47:58 - Voilà. Il y a madame Pilet de Floréal
00:48:00 qui est avec nous. Madame, bonsoir.
00:48:02 - Bonsoir. - Oui.
00:48:04 - Au fait, moi, j'ai fait mon biais
00:48:06 à la MIE. - Oui.
00:48:08 - Et suite à ça, j'ai fait
00:48:10 un master in education.
00:48:12 Le problème,
00:48:14 c'est que j'ai travaillé comme supply teacher
00:48:16 pendant tout ce temps-là,
00:48:18 et cette année,
00:48:20 on m'a dit que mon application
00:48:22 a été rejetée à cause
00:48:24 de l'éducation act.
00:48:26 - Non.
00:48:28 Là, ce n'est pas correct.
00:48:30 Toute personne qui fait
00:48:32 une biais à la MIE,
00:48:34 et en plus, madame la ministre
00:48:36 a dit que c'était une enregistrement,
00:48:38 il n'y a aucune raison pour qu'il n'ait pas
00:48:40 le droit d'appeler. Au moins, l'éducation act
00:48:42 n'a pas empêché d'appeler.
00:48:44 - Mais à cause de l'appellation.
00:48:46 Avant, c'était biais vigoureux,
00:48:48 d'ailleurs, ce qui figure sur mon certificat.
00:48:50 Maintenant,
00:48:52 sur l'éducation act,
00:48:54 on demande biais art and design.
00:48:56 - Non, mais ça,
00:48:58 c'est quelque chose. Il y a un standing committee,
00:49:00 et bien sûr,
00:49:02 on s'appelle MIE,
00:49:04 pour biais, rapporte le cas
00:49:06 que quand les ténors s'achètent,
00:49:08 est-ce que le...
00:49:10 - Biais, vigoureux, art,
00:49:12 - Si la base est la même,
00:49:14 nous pouvons dire équivalent.
00:49:16 - Équivalent.
00:49:18 - Bien sûr, nous pouvons l'appeler. Je ne vais pas connaître
00:49:20 les données en plus, mais il devait être
00:49:22 une facilité. Ce n'est pas l'éducation act
00:49:24 qui l'a empêchée, mais bien sûr,
00:49:26 si il y a un change d'appellation,
00:49:28 parce que Cambridge s'en est,
00:49:30 il y a un travail d'équivalence à faire.
00:49:32 - Voilà, nous avons Kevich de Quatre-Bonnes
00:49:34 qui est avec nous. Kevich?
00:49:36 Kevich?
00:49:38 Kevich?
00:49:40 De Quatre-Bonnes?
00:49:42 Non, peut-être, nous... Allô?
00:49:44 Kevich?
00:49:46 Kevich?
00:49:48 Toujours au téléphone?
00:49:50 D'accord, nous continuons l'émission, parce que jusqu'à
00:49:52 nous, il y a une nouvelle filière
00:49:54 post-NCE, Mme Duken,
00:49:56 c'est Technology Education,
00:49:58 qui est responsable pour sa
00:50:00 Technology Education, parce que vous
00:50:02 vous détractez là aussi, une très critique
00:50:04 envers cela, et surtout qui veut dire
00:50:06 prendre un examen local au lieu de Cambridge.
00:50:08 - Premièrement, laisse-moi dire une affaire.
00:50:10 A Maurice,
00:50:12 je vais te dire quel système pas correct.
00:50:14 Le système
00:50:16 pas correct, là, nous ne voulons pas
00:50:18 un système
00:50:20 qui fait des enfants faire
00:50:22 ce primaire, les faire ce secondaire,
00:50:24 les composer chez si,
00:50:26 les aller à l'université.
00:50:28 Je veux te dire
00:50:30 qui le système
00:50:32 pas approprié.
00:50:34 Nous, mon frère Diao expliquait tout à l'heure là,
00:50:36 nous ne voulons pas un élite,
00:50:38 laisse-moi te la faire, nous ne voulons pas un autre système
00:50:40 pour savoir ce qui en vient,
00:50:42 faire plus bonne pratique,
00:50:44 qui fait plus de projet de base d'éducation,
00:50:46 et nous voulons un Technology Stream.
00:50:48 Le Technology Stream,
00:50:50 il permet à nos élèves
00:50:52 qui ont envie de continuer
00:50:54 même faire le THC,
00:50:56 mais ils ont envie de faire l'autre méthode.
00:50:58 Le Technology Education Stream,
00:51:00 pour nos élèves, il y en a à peu près une centaine
00:51:02 qui ont fait la demande pour être dedans.
00:51:04 Pour faire une bonne pratique,
00:51:06 pour faire un bon projet,
00:51:08 il y a trois filières, une qui
00:51:10 est en Engineering, une qui est en
00:51:12 Computer Science, et une qui est en
00:51:14 Health and Hospitality.
00:51:16 Alors, ce sont nos élèves-là, quand ils ont terminé,
00:51:18 ils ont pris un National School Certificate.
00:51:20 Ils ne sont plus capables, s'ils n'ont pas
00:51:22 envie de faire la suite, faire le THC,
00:51:24 parce qu'ils ne peuvent pas discuter avec Cambridge,
00:51:26 ils ne sont pas capables de faire le THC.
00:51:28 Il y a certains sujets, parce qu'ils ont fait un bon
00:51:30 sujet, qui paraît,
00:51:32 en tout un certain excès, un bon sujet,
00:51:34 mais c'est la façon de faire
00:51:36 qui est différente, l'assessment qui est différent
00:51:38 au lieu de faire
00:51:40 un examen écrit, c'est aussi
00:51:42 un projet avec cet examen écrit.
00:51:44 Alors, c'est un nouveau
00:51:46 système qu'on peut mettre en place.
00:51:48 Ensuite, comment dire,
00:51:50 quand les gens disent
00:51:52 qu'ils n'ont pas d'accord, mais qu'il faut
00:51:54 évoluer, qu'il faut s'adapter
00:51:56 avec le monde du travail, qu'il faut s'adapter
00:51:58 avec la demande des jeunes.
00:52:00 Le monde du travail, il évolue tellement rapidement.
00:52:02 On peut dire qu'il y a un travail
00:52:04 qui est là, qui peut être là
00:52:06 dans 20 ans, mais qui n'a pas existé
00:52:08 aujourd'hui. Mais comment on prépare aux jeunes?
00:52:10 On doit préparer aux jeunes pour qu'ils
00:52:12 puissent s'adapter et qu'ils soient capables
00:52:14 de faire ce service. Alors, nous, on ne peut pas
00:52:16 rester dans un système qui est pareil tout le temps.
00:52:18 Nous devons vivre avec l'évolution. Et puis,
00:52:20 on a le choix.
00:52:22 Personne ne peut forcer aucun enfant
00:52:24 à faire l'enseignement,
00:52:26 le Technology Education. Nous finir là,
00:52:28 il n'y a pas de possibilité.
00:52:30 Nous vivons avec un coin d'option.
00:52:32 Vous choisir si vous avez envie de prendre cette option-là,
00:52:34 ou bien vous choisir si vous avez
00:52:36 envie vers ce qui nous
00:52:38 appelle l'option qui tient en l'air
00:52:40 de tout temps, ou envie de faire
00:52:42 SC, HSC, comme ici. Là,
00:52:44 on a la possibilité, après
00:52:46 grade 9,
00:52:48 vers l'enseignement technique, vers
00:52:50 le Technology Education qui est dans l'école
00:52:52 et qui est capable de gagner un national
00:52:54 certificate et pas la suite faire HSC.
00:52:56 Mais beaucoup de nos élèves
00:52:58 qui font le Technology Education
00:53:00 Stream, nous pouvons espérer qu'il n'y a pas la suite.
00:53:02 C'est un polytechnique,
00:53:04 et je te fais un autre degré à partir
00:53:06 de là. C'est un autre stream qui nous peut faire.
00:53:08 - Kévich, nous avons retrouvé
00:53:10 Kévich de Gatrebonne. Kévich?
00:53:12 Kévich? - Oui, bonsoir,
00:53:14 Jimmy. - Bonsoir, oui. - Bonsoir,
00:53:16 madame la ministre. - Bonsoir.
00:53:18 - Et moi, tu peux venir un peu
00:53:20 l'eau, ça fait
00:53:22 comment on dit,
00:53:24 on a fait 5 crédits au niveau
00:53:26 SC.
00:53:28 Moi, je peux avoir vu, pas tant que mon point
00:53:30 l'eau là. Et,
00:53:32 normalement,
00:53:34 dans le passé,
00:53:36 quand on trouve certains
00:53:38 qui
00:53:40 réussissent
00:53:42 beaucoup
00:53:44 de l'éducation,
00:53:46 pour faire
00:53:48 un SC, un HSC,
00:53:50 ils réussissent à grimper l'échelon
00:53:52 pour arriver dans le cahier
00:53:54 quand on trouve un docteur,
00:53:56 un avocat. C'était vraiment
00:53:58 un, comment on dit, un
00:54:00 projet de prison.
00:54:02 7.5,
00:54:04 mais là,
00:54:06 quand on trouve beaucoup de
00:54:08 monde qui peut,
00:54:10 comment dire, je parle d'un coup
00:54:12 avec le
00:54:14 5 crédits de SC,
00:54:16 je parle des pédiatres,
00:54:18 4, peut-être,
00:54:20 il y en a des pédiatres, 3,
00:54:22 mais ils vont trouver,
00:54:24 comment dire,
00:54:26 il est pitoyable.
00:54:28 Le niveau de,
00:54:30 comment dire,
00:54:32 de l'éducation qui
00:54:34 prévaloir à travers l'île Maurice
00:54:36 pour nous capables,
00:54:38 God, un peu, nous niveau
00:54:40 pour le futur du pays
00:54:42 même.
00:54:44 Mais quand on trouve
00:54:46 comment dire,
00:54:48 un mandelais, un non-disou,
00:54:50 comment on peut réagir,
00:54:52 il est vraiment,
00:54:54 vraiment, vraiment pitoyable
00:54:56 de voir des gens qui,
00:54:58 encore, pensent pour
00:55:00 baisser le niveau du SC
00:55:02 ou bien le 5 crédits,
00:55:04 faire les 24 ou 3,
00:55:06 c'est vraiment désagréable de voir.
00:55:08 C'est ça, point de vue,
00:55:10 que je veux partager
00:55:12 sur la radio.
00:55:14 - Nous nous demandons, Mme Duken,
00:55:16 de donner une réaction
00:55:18 sur cette question-là.
00:55:20 - Premièrement, je crois,
00:55:22 quand on écoute la radio,
00:55:24 il y a des jeunes intéressants
00:55:26 qui nous font une réflexion.
00:55:28 Je dirais qu'ils ont pensé
00:55:30 qu'il est important
00:55:32 qu'ils nous godent un certain niveau.
00:55:34 Parce qu'il y a des jeunes
00:55:36 qui en font 5,
00:55:38 des poils dans le monde du travail aussi.
00:55:40 Alors, nous pouvons simplement
00:55:42 demander à ces jeunes-là de faire l'effort
00:55:44 et comme le monsieur vient de dire,
00:55:46 il est important qu'ils fassent l'effort
00:55:48 pour réussir et que, demain,
00:55:50 quand ils rentrent dans le monde du travail,
00:55:52 quand nous voulons que quelqu'un
00:55:54 gagne sa crédite au niveau de la S.I.,
00:55:56 demain, quand il y a un fait sur l'étude supérieure,
00:55:58 il est capable de faire mieux.
00:56:00 Même en H.S.I.,
00:56:02 il y a une différence entre S.I. et H.S.I.
00:56:04 Quand on se prépare bien pour H.S.I.,
00:56:06 H.S.I. vient plus facilement.
00:56:08 Alors, il est important
00:56:10 qu'ils nous godent le niveau.
00:56:12 Moi, je suis d'accord avec l'auditeur
00:56:14 qui nous a posé la question.
00:56:16 Il est important qu'ils nous demandent,
00:56:18 nos jeunes, de faire l'effort.
00:56:20 Quand on parle de politique technique,
00:56:22 ça ne veut pas dire que quand on parle
00:56:24 de politique technique, on va vous faire l'effort.
00:56:26 Partout, vous aurez à faire l'effort.
00:56:28 Et ça, c'est un principe qui nous est gardé dans la vie.
00:56:30 Au fait de l'éducation, c'est aussi
00:56:32 la transmission des mêmes valeurs.
00:56:34 Une valeur que les Mauritiens ont gardée,
00:56:36 c'est le hard work, l'effort.
00:56:38 Quand on arrive dans ce pays-là,
00:56:40 c'est à travers l'effort.
00:56:42 Si le gouvernement arrive à faire tout ça
00:56:44 qu'il vient de faire depuis 2014
00:56:46 à ce jour,
00:56:48 c'est presque qu'il vient faire l'effort
00:56:50 à tous les niveaux.
00:56:52 L'effort du gouvernement, quand des gens
00:56:54 passent pour travailler, en confinement,
00:56:56 payer le salaire, aider le secteur privé
00:56:58 pour payer le salaire des travailleurs,
00:57:00 donner aux gens qui sont self-employés
00:57:02 une rente,
00:57:04 pour qu'ils puissent débattre
00:57:06 dans cette période de confinement-là.
00:57:08 Nous devons trouver comment ça va continuer
00:57:10 pendant quelque temps. L'effort que le gouvernement
00:57:12 peut faire aujourd'hui pour amener le prêt scolaire
00:57:14 gratuit, l'effort que le gouvernement
00:57:16 peut faire pour donner 2 000 rupees
00:57:18 pour chaque enfant à la naissance
00:57:20 jusqu'à l'âge de 3 ans,
00:57:22 alors tout ça, c'est l'effort
00:57:24 qui permet de faire l'effort. Il n'y a pas fait
00:57:26 de l'effort dans le passé. Ce gouvernement-là
00:57:28 peut faire l'effort parce qu'il a accepté
00:57:30 et concédé à faire l'effort.
00:57:32 Et c'est ça même qu'il voulait transmettre
00:57:34 à nos jeunes. Faire l'effort,
00:57:36 réussir votre formation correctement
00:57:38 et continuer votre parcours. Faire l'effort
00:57:40 pour aller au Polytechnique et réussir
00:57:42 votre parcours au Polytechnique correctement.
00:57:44 Voilà, 213 77 77
00:57:46 213 77 à
00:57:48 77, numéro plus impaire pour intervenir.
00:57:50 Nous manquons une pause pub, la suite c'est juste
00:57:52 après ceci avec bien sûr l'entretien
00:57:54 de la ministre Lila Davy de
00:57:56 College Mind qui continue.
00:57:58 [Musique]
00:58:00 [Musique]
00:58:02 [Musique]
00:58:04 En présentant Girnar Detox Dési-Kava.
00:58:07 Un thé avec un twist.
00:58:09 Jugez-le avec le soleil au ralenti,
00:58:11 ou goûtez-le après une longue course.
00:58:13 Rejouez-le pendant une journée hectique,
00:58:16 ou quand vous êtes dans les montagnes de loin.
00:58:18 Le meilleur des thés gris, des herbes et des épices.
00:58:22 Donnez un goût qui soit à deux fois meilleur.
00:58:24 Le détox est maintenant fait facilement.
00:58:26 Simpelez et jugez.
00:58:28 Pas de doute, ils disent.
00:58:30 Girnar.
00:58:31 Mon thé, mon temps.
00:58:33 Le détox est maintenant fait facilement.
00:58:36 Le meilleur des thés gris, des herbes et des épices.
00:58:40 [Musique]
00:58:59 [Musique]
00:59:00 [Musique]
00:59:01 [Musique]
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00:59:17 [Musique]
00:59:19 [Musique]
00:59:21 [Musique]
00:59:22 Sur ce, je vous dis à la prochaine !
00:59:24 [Musique]
00:59:50 [Musique]
01:00:15 Hardtalk, Hardtalk
01:00:17 [Musique]
01:00:22 Voilà, nous percueillons aujourd'hui avec moi, Mandejo Lavi, Premier ministre, ministre de l'éducation et de l'enseignement supérieur, des sciences et technologies dans le Hardtalk.
01:00:30 On peut pas téléphoner 213 77 77 pour intervenir. Madame Ducon, une chose qui fatigue beaucoup du monde, surtout les parents, et souvent nous trouve ça sur les réseaux sociaux, c'est la violence scolaire.
01:00:40 On fait que des jeunes pelaguer à l'aulagor Saint-Pierre et qu'il y a des jeunes filles pelaguer à Maibour. Les jeunes filles aujourd'hui pelaguent à Marie-l'aulagor.
01:00:49 Est-ce que vous comptez que ces qualités élèves-là, qui ont un mauvais comportement dans le circuit scolaire, qui influencent les autres obligatoirement jusqu'à 16 ans ?
01:00:58 Est-ce que… Vous connaissez, nous avons un devoir. Nous avons un devoir pour assurer qu'ils nous offrent à nos jeunes une éducation et il est important qu'ils nous faisent une école et qu'ils soient capables de révoir.
01:01:12 Vous connaissez, tout à l'heure, Mandejo, nous avons tout un département pour l'éducation. Quand il y a un problème, l'école fait appel à nous, nous envoie un psychologue.
01:01:20 C'est important. Dans notre cas, bien sûr, vous connaissez, ce qui est arrivé, il réfléchit un peu à la tendance mondiale.
01:01:27 Nous trouvons les jeunes plus exubérants, c'est-à-dire, plus extroverts. Ils ne disent pas ce qu'ils pensent.
01:01:33 Beaucoup de parents, je dirais que moi, beaucoup de gens qui sont observateurs, je dirais que les parents, c'est un peu la démission des parents.
01:01:39 Il y a beaucoup… Vous connaissez, il y a une évolution dans le monde. Il y a un changement. Les enfants sont exposés à toutes sortes d'informations.
01:01:47 Il y a de bons réseaux sociaux, etc. Et les parents aussi travaillent aujourd'hui. Alors, le temps qu'ils ont passé avec les autres enfants, c'est pour ça qu'ils nous faisent appel.
01:01:57 Que les parents puissent trouver le temps avec les autres enfants, puissent avoir une suivi, puissent avoir une cause avec les autres enfants.
01:02:03 Et très souvent, quand les enfants âgent mal, c'est probablement qu'ils peuvent dire quelque chose, qu'ils peuvent envoyer un message.
01:02:11 Alors, c'est là que les parents, s'ils ont une nécessité, peuvent faire appel à l'école, faire appel au ministère, pour qu'ils aient une suivi psychologique qu'ils ont besoin.
01:02:21 Et ça a une tendance, comment on peut dire, malheureusement, c'est une tendance qu'il nous peut trouver à travers le monde,
01:02:27 que les jeunes assertent comme si, moins de paroles, plus d'actions. Alors, ils passent au physique.
01:02:33 Très souvent, quand un divin ne parait si exprimé lui-même, il passe au physique.
01:02:37 Mais il n'est pas convaincant.
01:02:39 Mais il n'est pas convaincant.
01:02:41 Mais ce n'est pas bien pour les jeunes garçons aussi.
01:02:44 Tout le monde est un bon garçon.
01:02:46 C'est pas bien tout cela démontrer qu'il y a un gros travail pour faire.
01:02:52 Je ne vais pas croire que c'est une solution.
01:02:58 La solution, c'est qu'ils nous répondent et nous essayent autant que possible de nous ramener à la raison et essayer de faire ce qu'on peut.
01:03:07 Aujourd'hui, il y a ce qu'on appelle la discipline positive.
01:03:11 Quand il y a des enfants à l'école, on demande à qui ces enfants-là viennent.
01:03:16 On appelle les enfants qui agissent mal, qui agressent l'autre.
01:03:23 On appelle et on le dit qui a la peine de faire ça à ces enfants-là.
01:03:27 Comme ça, il y a aussi de réaliser qu'il est important qu'il y ait un présent de son excuse.
01:03:34 Ou bien de trouver un moyen pour lui faire l'autre excuser.
01:03:40 Alors, il y a un moyen qui est servi.
01:03:42 Il y a des psychologues, des counselleurs à l'école, même des professeurs.
01:03:47 Très souvent, ils font des enfants-là causer et ils retrouvent leur amitié.
01:03:51 Si jamais, c'est un camarade qui fait un problème.
01:03:54 Mais il y a un gros travail à faire.
01:03:56 Et aussi, c'est un homme qui me dit que l'éducation n'est pas résumée à un certificat.
01:04:01 L'éducation est résumée à la transmission des valeurs.
01:04:04 Et malheureusement, aujourd'hui, ces professeurs-là ont un plus gros travail à faire.
01:04:08 À part faire l'éducation de l'enfant, ils doivent accompagner l'enfant,
01:04:14 ils doivent aider pour lui dire ce qui est bon et ce qui n'est pas bon.
01:04:17 Et ils doivent aussi être le soutien moral pour l'enfant.
01:04:21 Causer et reproduire ces problèmes-là.
01:04:24 Et c'est pour ça que le rôle du professeur devient de plus en plus difficile.
01:04:28 Et qu'il doit saluer les autres pour ce bon travail qu'ils ont fait.
01:04:31 Certains observateurs peuvent dire qu'il faut régler ces affaires mixitées dans le collège.
01:04:35 Est-ce que c'est ça une source de problème ? Quelle est votre position sur cette question ?
01:04:38 Je peux vous dire une chose.
01:04:40 Depuis l'école primaire et dans la mixité, mes enfants apprennent des leçons.
01:04:46 Même si c'est dans l'école des enfants ou dans l'école des filles,
01:04:49 quand ils apprennent des leçons, ils apprennent des leçons ensemble, avec les filles et les enfants.
01:04:54 Alors, ils ne vont pas trouver qui faire la présence.
01:04:57 Au contraire, je vous donne un exemple, les MGI.
01:05:00 C'est un gros collège qui tout le temps fait des noms, filles et enfants.
01:05:04 Et ça fait une marche extrêmement bien.
01:05:07 Jamais on ne te dit qu'il y a un problème là-bas.
01:05:09 Au contraire, mes enfants commencent à apprendre à respecter l'autre et arrivent à grandir de façon normale.
01:05:16 Je pense qu'il nous faut un regard comme si l'esprit était ouvert.
01:05:20 Il nous faut un regard bien "broad-minded" et qui ne nous parle pas seulement de dire
01:05:24 si il y a un problème, qu'il ne s'en aille pas dire que si les enfants sont dans des écoles séparées,
01:05:28 il n'y a pas de problème.
01:05:30 Il y a un problème qui peut arriver n'importe quand.
01:05:32 Mais nous, nous devons être dans l'école, côté dans la mixité,
01:05:35 et dans le milieu qui est propre pour assurer que tout se passe bien.
01:05:39 Un problème qui nous fait réaliser, je crois que vous connaissez à l'époque,
01:05:43 je me souviens, je fais un peu l'époque longtemps,
01:05:45 c'est que la lecture était importante pour nous, pour nos parents et tout,
01:05:48 la connaissance générale.
01:05:50 Par exemple, le gouvernement, le MGH a été formé,
01:05:54 c'était une affaire qui a été éliminée dans les cinq ans qui sont passés,
01:05:58 une élimination de manque de connaissance générale.
01:06:00 OK. Et comment est-ce qu'on peut adresser ce problème de manque de lecture-là?
01:06:04 Ici, trois cours de librairie, PFI, maintenant, on dit qu'il y a cinq ans,
01:06:06 il faut qu'il y ait un ou aller autour du monde de toutes tâches,
01:06:08 dans les librairies publiques.
01:06:10 Comment est-ce qu'on peut adresser cette issue-là, madame?
01:06:12 Vous voyez, déjà, dans le récent passé,
01:06:16 il y avait une ambassade, des parents, qui venaient à l'école,
01:06:20 qui faisaient la lecture avec les élèves.
01:06:22 Et je pensais que dans l'école, c'était une bonne période pour faire la lecture.
01:06:26 Mais, vous savez, aujourd'hui, tous les enfants,
01:06:30 n'importe quel âge, soit loin de tablette, soit devant la télévision,
01:06:34 alors, nous sommes capables d'inclure chez les jeunes le goût de la lecture.
01:06:38 Et que les professeurs fassent l'idée en classe, c'est la même période qui est allouée à la lecture.
01:06:44 Les parents aussi, ils trouvent le temps pour lire.
01:06:46 Et ça, c'est commencé d'un plus jeune âge.
01:06:48 Parce que plus on apprend à lire jeune, plus on développe un goût,
01:06:52 et on commence content à faire la lecture.
01:06:54 Mais il faut dire qu'il y a une noté qui amourisse le journalisme,
01:06:58 c'est ce qui nous dit qu'il y a moins.
01:07:00 C'est clair qu'il y a un voyage aussi quelque part.
01:07:02 - Là, vous êtes un gros jeune aux ordinateurs.
01:07:04 - Non, on peut dire que c'est ce qui nous dit qu'il y a moins.
01:07:06 Mais il faut quand même demander, faire appel, et dire aux jeunes,
01:07:10 qu'ils ont envie de lire.
01:07:12 D'ailleurs, quand vous faites une étude de quinconcres, vous pouvez lire.
01:07:16 Mais ces jours-ci, nous trouvons que tout le monde préfère lire sur la tablette,
01:07:21 qu'ils ont un livre.
01:07:23 Mais moi, je me dis que le goût de tenir un livre en main,
01:07:26 c'est un plaisir qu'on gagne quand on fait un livre.
01:07:28 Là, c'est quelque chose de vraiment autre,
01:07:30 et qui nous bizarre quand même, quand on passe à nos belles enfants.
01:07:33 - Malgré tout, il y a une réforme qui nous est causée,
01:07:35 malgré tout, c'est qu'il faut amener la technologie pour ici,
01:07:37 l'autre part là-bas, il y a beaucoup de mots importants,
01:07:40 le Bright Up programme et tout,
01:07:42 mais le cancer du système reste l'éleuson particulière.
01:07:45 À Hong Kong, il y a une professeure qui s'appelle Mark Bray,
01:07:48 il fait une étude là-bas, il dit qu'il est humoriste,
01:07:51 il est un champion là-bas, il dit même que l'élesion particulière,
01:07:54 c'est Shadow Education, il dit que c'est Backdoor Education.
01:07:57 Est-ce qu'il est capable de dire l'exemple problème là,
01:08:00 ou bien vous êtes deux hommes, à moi, comment ça se passe?
01:08:02 - Moi, je vais vous dire une chose à Hong Kong,
01:08:04 moi, je vais vous dire, on a la Corée, le Singapour,
01:08:08 l'élesion particulière tellement qu'ils vont être parents aussi
01:08:12 à apprendre l'élesion particulière pour s'occuper de leurs enfants.
01:08:15 Ils ont fait le même cours, ils donnent leur place pour s'occuper des enfants.
01:08:18 Chez nous, nous vivons avec un système, c'est pour ça que tout à l'heure,
01:08:21 je vais vous dire, dans l'école primaire, nous vivons avec le Early Support,
01:08:27 qui, d'une certaine façon, nous permet de récupérer nos élèves dans l'école.
01:08:31 Au secondaire, nous vivons avec le Student Support Portal,
01:08:36 de grade 7 à grade 9, nous avons les élèves qui ont le site Web et le SSP,
01:08:44 et nous avons les élèves, n'importe qui, qui viennent dans notre classe,
01:08:46 qui ont besoin de notre aide, c'est fini.
01:08:49 Et je peux vous dire, alors, je crois que c'est une question d'une décision parentale.
01:08:55 Le système ne demande pas qu'on envoie les enfants prendre une leçon.
01:08:59 Bien souvent, Maurice, il y a certains parents,
01:09:01 parce qu'ils ne sont pas au courant de la classe dans une certaine ère,
01:09:03 mais c'est un mythe aussi, les élèves de leçons parentales, c'est un mythe à Maurice.
01:09:06 Oui, parce que, pour dire moi une affaire,
01:09:10 à notre époque, puisqu'il y a eu cause avant,
01:09:13 nous ne pouvons plus apprendre les sons, nous ne pouvons plus apprendre les sons dans tous les sujets.
01:09:17 Si les enfants apprendent les sons, moi, mon corps appelle,
01:09:19 tu peux dire, si tu es faible, qu'ils doivent prendre les sons.
01:09:21 Et les élèves, tu peux les réfuser, ils acceptent qu'ils soient faibles.
01:09:24 Alors, tout le monde peut faire ce défaut, c'est d'être suivi à la maison.
01:09:28 Un parent aussi, tu peux le suivre à la maison,
01:09:30 tu peux fêter des votes, tu peux faire ça, mais c'est ça qu'il nous faut faire.
01:09:33 Je vous dis le même sujet, mais prenez deux leçons.
01:09:35 Oui, mais les parents, ça, il faut faire l'appel aux parents.
01:09:38 L'enfant doit apprendre à travailler pour lui.
01:09:42 Même là, vous me faites avoir l'air de pédagogue, tout ça,
01:09:44 mais comment je peux vous dire, l'idée, c'est que les enfants,
01:09:47 ils sont capables de débrouiller pour lui, ils ont besoin de travail.
01:09:49 D'ailleurs, nos enfants, ils travaillent même dans la période de COVID, n'est-ce pas ?
01:09:52 Ils ne savent pas quoi, qui, les sons particuliers,
01:09:56 ils ne parlent pas assez, tout le monde parle de ça.
01:09:58 Mais il n'y a pas besoin de dire les affaires, hein.
01:10:00 C'est une bien diminuée depuis l'époque avant.
01:10:02 Ça a pris un choc énorme, plus en force,
01:10:04 j'ai appris tous les sons là, une bien diminuée.
01:10:06 La même chose, nous l'avons remarqué, au domaine secondaire,
01:10:11 Formule 1, 3, P, 1, 5, 6, tels les sons là.
01:10:14 Les sons là, venir à HEC, compétition, dans la BOS, Formule 5, HEC, oui.
01:10:19 Mais c'est pas, c'est une idée qui dit, vous n'avez rien,
01:10:22 vous êtes en vie à prendre les sons, mais si vous suivez ce qu'ils font en classe,
01:10:25 et vous travaillez personnellement, vous pouvez arriver malgré tout.
01:10:28 Mais il n'est pas qu'avant, on peut se faire des parents,
01:10:31 les parents là, pour se dire, si journée.
01:10:33 Quelle est la place de l'histoire, de l'échiropole à l'école,
01:10:36 et d'un pédiatrie disparu, qu'est-ce qui l'effraie ?
01:10:39 Moi je me disais, qui, dans le passé,
01:10:42 tient une histoire, au niveau de la Formule 5,
01:10:46 tient une histoire, c'est vrai,
01:10:49 finirait il y a quelques années, nous l'aurions manqué,
01:10:51 qui tient beaucoup d'enfants, qui ont le même sujet là.
01:10:53 Mais moi je crois, maintenant,
01:10:56 - L'histoire du pays, même si...
01:10:58 - C'est ça, ce qu'il nous peut faire là,
01:11:00 nous peut venir, nous demande, M.A.I. travaille dans l'histoire de Maurice.
01:11:04 Et nous disons qu'il n'a pas vu avec un propre textbook
01:11:07 de l'histoire de Maurice, fait travailler chez nous.
01:11:11 M.A.I. déjà peut travailler dessus.
01:11:13 Et je me pensais, il n'y a pas autant de gens qui veulent apprendre l'histoire du pays.
01:11:16 Et le pays n'arrive pas à se tâcher dans ce niveau de développement,
01:11:19 depuis l'indépendance, quand nous sommes capables de cause l'histoire,
01:11:22 nous avons suffisamment de matériel pour nous développer cela.
01:11:25 L'histoire avant l'indépendance et l'histoire post-indépendance.
01:11:29 Et il n'y a pas autant qui nous travaille dessus.
01:11:31 Et moi, mon premier épousier, qui est, qui nous disait,
01:11:34 quand même, capable de faire une étude bien plus profonde,
01:11:37 et venir avec un texte d'histoire de Maurice,
01:11:40 qui est vraiment à la hauteur, nous demande qu'il travaille dessus,
01:11:43 et nous peut venir avec cela.
01:11:45 - D'abord, dans un petit volet politique,
01:11:47 puisque nous en plaignes dedans,
01:11:49 et surtout, finir la révocation et la démission du Parlement
01:11:54 de votre ancien collègue, Évikram Deyal,
01:11:57 qui regarde, pour télo, tous les événements,
01:11:59 est-ce que cela a fait une chamboule le calendrier du MSM ?
01:12:02 Est-ce qu'ils ont dit, ils mettent le MSM au pied du mur,
01:12:05 avec cette situation ?
01:12:07 - Pourquoi, tout le monde n'entend pas le premier ministre ?
01:12:09 Le premier ministre nous a dit bien clairement,
01:12:12 qu'il finit la discussion,
01:12:14 il finit par dire qu'il ne finit pas avec cela,
01:12:16 nous ne tournons pas, et qui déjà,
01:12:18 aujourd'hui, ce matin, vous le savez,
01:12:21 Naveen Aramniad est près de 5 ans,
01:12:24 nous, nous travaillons pour continuer,
01:12:26 et puis, dans un chamboulement, nous avons notre travail,
01:12:28 et nous pouvons continuer à faire notre travail.
01:12:30 Pour moi, le premier ministre, il a un plan de travail,
01:12:34 et il finit toujours par dire qu'il doit se concentrer sur ce travail,
01:12:38 et il n'y a personne qui est capable de le déconcentrer,
01:12:41 et c'est le même mot d'ordre pour tous les ministres,
01:12:44 et nous travaillons pour continuer.
01:12:46 - Il nous dit qu'il fragilise l'événement, le MSM,
01:12:49 qu'il ne fait pas de baisers.
01:12:51 - Je vous dis que c'est une affaire.
01:12:53 Un gouvernement qui a un bilan,
01:12:55 comme le gouvernement dirigé par Pravin Jagnath,
01:12:58 nous, on n'a pas qu'à le fragiliser.
01:13:00 Moi, je vous dis que nous sommes à Côte d'Or,
01:13:03 et nous avons 324 nouvelles maisons
01:13:05 qui ont été construites à Côte d'Or,
01:13:07 avec un site loin, un site vraiment extraordinaire.
01:13:12 Le travail est déjà commencé.
01:13:14 On a la case pour près d'ici, en partie,
01:13:18 en juillet, en partie, en novembre.
01:13:20 Nous avons autant de choses qui nous font faire,
01:13:23 que ce soit pour les travailleurs mauriciens,
01:13:26 la compensation salariale de 1 500 à 2 000 roupies,
01:13:30 le salaire minimal qui nous vaudrait à 18 500,
01:13:35 un pays qui se met à payer une finance pour un employé,
01:13:40 c'est quelque chose de formidable, ça.
01:13:42 Je pensais que quand le Mauritien
01:13:45 quitte le bilan de ce gouvernement-là,
01:13:48 qu'on n'en est pas pour faire nous bouser
01:13:51 dans nos directions qu'il nous fait prendre,
01:13:54 nous, le travail peut continuer,
01:13:56 et on ne va pas trouver de quelle façon
01:13:58 s'accaparer le fragilisme.
01:14:00 D'ailleurs, hier, au fil des coups de le Premier ministre,
01:14:03 il nous a dit bien clairement, le travail peut continuer,
01:14:06 et le nouveau ministre est déjà en place.
01:14:08 Donc, on ne va pas trouver,
01:14:10 on ne va pas trouver de quelle façon s'accaparer le fragilisme.
01:14:13 Il y a une cinquième madame dans le cabinet,
01:14:16 au collègue Nabila Ramiad,
01:14:18 auquel on participe à ce...
01:14:20 où tu peux assister à ces prestations de sermon ce matin,
01:14:23 en quoi est capable une autre part de politique électorale
01:14:26 pour prévenir le changement de la polétique?
01:14:28 Comment on dit?
01:14:30 Au fil d'une conjoncture, le Premier ministre,
01:14:33 il démontrait que nous, nous, un gouvernement
01:14:37 qui reconnaît les compétences de Mme.
01:14:40 C'est la première fois dans l'histoire de Maurice
01:14:43 qu'il prend cinq madames pour assister
01:14:45 au Conseil des ministres, vendredi.
01:14:48 Et quand il nous dit qu'il voulait
01:14:50 donner plus de possibilités à Mme,
01:14:53 et qu'il voulait qu'on croise dans les compétences
01:14:55 et les capacités de Mme,
01:14:57 ça c'est une lutte, action du Premier ministre
01:15:00 qui démontrait cela.
01:15:02 Le respect pour la femme, mais aussi la reconnaissance
01:15:05 des compétences de Mme.
01:15:07 Je crois que Nadiya Naramiya a pu, à l'occasion,
01:15:09 montrer ses capacités de travail
01:15:12 dans une nouvelle position,
01:15:15 une nouvelle façon pour elle de servir
01:15:17 le pays et le peuple.
01:15:19 Je crois que c'est une grande chose,
01:15:21 et moi je suis très très contente,
01:15:22 et je suis vraiment fière de faire partie
01:15:24 d'un gouvernement dont la femme a sa place,
01:15:27 et a le respect et la reconnaissance qu'il faut.
01:15:30 Nous avons cinq madames dans le cabinet,
01:15:32 et déjà il y a une fille de 19% en tout cas.
01:15:36 Quand même, on a des gens qui tout le temps,
01:15:39 au MSM, font pratiquement de la force tranquille,
01:15:43 quand au plus fort des conflits qui se sont créés
01:15:46 pour contrôler par exemple l'âge féminin,
01:15:48 ou pas une mêlée dans ces affaires-là,
01:15:50 on vit tranquillement,
01:15:52 on vit une ministre déjà dans le premier mandat,
01:15:54 après 2000, dans les années 2003,
01:15:56 ou quelque chose comme ça.
01:15:58 2004.
01:15:59 2004 peut-être, on vit une ministre,
01:16:01 et après c'est là, on continue au chemin.
01:16:04 Mais comment réagissez-vous aujourd'hui,
01:16:06 quand vous n'avez pas de politique,
01:16:08 vous n'avez pas de position numéro 15,
01:16:09 vous n'avez pas de position numéro 8,
01:16:11 vous n'avez pas de politique importante,
01:16:13 mais comment vous réagissez quand vous avez une bande de gens,
01:16:19 vous avez votre liberté d'expression bien sûr,
01:16:21 qui vous disent que vous n'êtes pas bon,
01:16:22 que vous n'êtes pas bon dans votre pays,
01:16:24 et qui vous disent sans bon, on va dire des choses comme ça.
01:16:26 Sa syndrome n'est pas bon là.
01:16:28 Mauritien finit de suivre, vous connaissez, en 1995,
01:16:32 c'est avant moi, moi, moi, le parti,
01:16:35 le parti n'a aucune raison pour qui il y ait un changement de gouvernement.
01:16:39 Il y a une série, une série de luttes,
01:16:42 mais ils ont dit, le Mauritien,
01:16:45 il y a un bilan de gouvernement,
01:16:48 et il y a une expérience du passé.
01:16:51 Il y a un choix à faire.
01:16:53 Il y a un choix à faire entre un premier ministre,
01:16:56 qui vous montre à quel point il croit dans la discipline,
01:17:03 qui est honnête, et qui connaît trancher quand il y a un tranché.
01:17:08 Il vous montre aussi sa capacité de travail.
01:17:10 Il vous montre aussi sa responsabilité.
01:17:12 Il vous montre à quel point il est capable d'être un homme du terrain,
01:17:15 il est capable d'être dans la responsabilité du premier ministère,
01:17:18 seulement quand il y a une inondation,
01:17:20 n'importe qui du coin de l'île arrive là-bas.
01:17:23 L'IPGT n'est pas capable de faire.
01:17:25 Il y a un choix à faire entre quelqu'un comme ça,
01:17:28 qui peut atteindre 72 heures avant l'épargne,
01:17:31 quand il y a un problème, il est tout de suite sur le terrain,
01:17:34 ou il fait une guête-lutte sur l'action d'un n'importe qui du coin,
01:17:37 et il me pose la question,
01:17:39 pourquoi est-ce que les Mauritiens ont dit ceci?
01:17:41 Quand nous sommes venus en 2014,
01:17:43 qu'est-ce que vous m'avez dit comme ça?
01:17:45 Quand certains nous ont proposé
01:17:47 qu'ils nous aient amené la pension à 5 000 rupees,
01:17:50 certains nous ont dit qu'ils n'étaient pas capables de faire ça.
01:17:52 Ils nous ont dit qu'ils ne pouvaient pas monter la TVA.
01:17:54 Est-ce qu'ils nous trouvent en faillite?
01:17:56 Pas en faillite.
01:17:57 Je vous dis que cette pension-là, elle arrive à 13 500.
01:18:00 Mais, monter la TVA?
01:18:02 On ne peut pas monter la TVA.
01:18:04 Maintenant, vous avez des gens qui travaillent
01:18:06 avec 1 500 rupees dans l'école,
01:18:08 pas moi, pour nettoyer l'école.
01:18:10 Je vous dis que ces mêmes gens-là,
01:18:12 ils ont tous 18 500 rupees.
01:18:14 Vous imaginez?
01:18:16 Vous avez des enfants,
01:18:18 encore dans le secteur primaire,
01:18:20 secteur éducation,
01:18:22 pré-primaires.
01:18:24 Et les parents ne peuvent pas avoir ces enfants
01:18:26 pendant des années pré-primaires.
01:18:28 Ces enfants-là, ils manquent toujours à l'école.
01:18:30 Je vous dis, pré-primaires,
01:18:32 des ans.
01:18:34 Et maintenant, des ans, ils nous donnent gratuit.
01:18:36 Tous les enfants ont des parents qui peuvent se soulager.
01:18:38 Ils ne peuvent pas se faire ça.
01:18:40 Tout ça, ils ont mis en place
01:18:42 l'école maternelle.
01:18:44 C'est le gouvernement qui peut payer ça aujourd'hui.
01:18:47 Et vous savez, je vous dis,
01:18:49 il y a 451 écoles,
01:18:53 pardon,
01:18:55 641 écoles
01:18:57 pré-primaires
01:18:59 qui gratuissent aujourd'hui.
01:19:01 L'État, finalement,
01:19:03 donne plus de 39 millions de rupees
01:19:05 pour payer le salaire
01:19:07 de plus de 1 800 professeurs
01:19:09 dans l'école maternelle.
01:19:11 L'État peut payer tout
01:19:13 à 10 dettes qu'il y a dans l'école maternelle.
01:19:15 L'État peut donner à l'école maternelle
01:19:17 tous les moyens qu'il y a
01:19:19 pour lui mettre ce balançoire,
01:19:21 ce glissade,
01:19:23 tous les moyens qu'il y a
01:19:25 pour lui mettre des jouets
01:19:27 qui sont bons pour le développement cognitif de l'enfant
01:19:29 dans l'école.
01:19:31 On peut assurer que chaque enfant morticien
01:19:33 a le même sens.
01:19:35 Il y a un gouvernement qui peut faire tout ça.
01:19:37 Qui peut donner des milliers de rupees
01:19:39 pour chaque enfant qui est né dans un pays
01:19:41 jusqu'à 3 ans.
01:19:43 Ils donnent des livres gratuits.
01:19:45 Ils font tout ça avec toute la facilité.
01:19:47 Et là, je vous dis,
01:19:49 tout est tellement bon
01:19:51 que je ne crois pas
01:19:53 qu'il y a quelqu'un qui a l'air
01:19:55 d'amener un changement dans la bien-être
01:19:57 qu'ils peuvent vivre.
01:19:59 C'est une bonne possibilité.
01:20:01 C'est une bonne mesure qu'il prend.
01:20:03 Tout à l'heure, je vous dis que le gouvernement
01:20:05 fait pour la COVID.
01:20:07 Aujourd'hui, c'est la première fois dans l'histoire
01:20:09 qu'on trouve un mari qui donne de l'argent.
01:20:11 Une petite fille qui rentre travailler
01:20:13 dans un secteur privé. N'importe quel côté.
01:20:15 Le gouvernement paie les désens sur la paie.
01:20:17 Prix mal emploi.
01:20:19 Tout ça pour encourager que la bonne madame
01:20:21 rentre au travail.
01:20:23 La bonne madame qui a la maison, qui veut faire un business.
01:20:25 Le gouvernement, à travers la banque des BN,
01:20:27 peut donner jusqu'à 500 000 rupees
01:20:29 sans qu'ils ne donnent aucune garantie.
01:20:31 Et l'intérêt,
01:20:33 n'est pas aussi grand.
01:20:35 Pourquoi est-ce qu'on ne peut pas quitter un système
01:20:37 qui peut faire autant pour le peuple?
01:20:39 Ce n'est pas à cause de la santé.
01:20:41 Si on veut que les gens puissent
01:20:43 faire une bonne intervention chirurgicale
01:20:45 ou un bon traitement à l'étranger,
01:20:47 on peut gagner un certain nombre d'argent.
01:20:49 Ensuite, on peut les faire coller.
01:20:51 Aujourd'hui, le gouvernement donne
01:20:53 un million de rupees
01:20:55 pour faire un traitement à l'extérieur.
01:20:57 Non seulement ça,
01:20:59 si un enfant est atteint d'une maladie grave
01:21:01 telle que le cancer, le gouvernement
01:21:03 paie tout le prix du traitement
01:21:05 pour les enfants.
01:21:07 Si on ne peut pas
01:21:09 faire un traitement à l'hôpital
01:21:11 ou un traitement à la clinique,
01:21:13 le gouvernement donne la possibilité
01:21:15 à travers les enfants, sans payer l'intérêt,
01:21:17 de pouvoir faire un traitement à la clinique.
01:21:19 Parfois, quand je parle avec mes camarades
01:21:21 à l'étranger, je leur dis
01:21:23 « comment est-ce que Maurice fait tout ça? »
01:21:25 C'est-à-dire que oui,
01:21:27 le gouvernement peut faire ça,
01:21:29 mais il n'y a pas de qui qui peut le faire.
01:21:31 Tout ça, c'est là.
01:21:33 Est-ce qu'il y a un Premier ministre qui a le courage de faire ça?
01:21:35 Le Premier ministre,
01:21:37 quand le pays est en crise,
01:21:39 il a des difficultés,
01:21:41 il est d'accord pour prendre des réserves
01:21:43 de l'État pour aider le peuple.
01:21:45 Il y a des gens qui disent que ce n'est pas si bizarre.
01:21:47 Mais qu'est-ce qui ne fait pas si bizarre?
01:21:49 Alors, c'est ce que je veux dire.
01:21:51 Il y a tellement de bonnes choses.
01:21:53 Il faut regarder qui est bon et qui n'est pas bon.
01:21:55 Il y a des gens qui peuvent dire
01:21:57 « non, il n'est pas bon ».
01:21:59 Je suis content de voir qu'il y a des gens qui sont bons et qui ne sont pas bons.
01:22:01 Moi, quand je suis autour de moi,
01:22:03 je trouve que tout ce que le gouvernement fait,
01:22:05 c'est toujours pour aider le peuple mauricien.
01:22:07 Et ça n'a jamais fini non dans le passé.
01:22:09 Comme on dit aujourd'hui,
01:22:11 avant les enfants,
01:22:13 à travers la santé,
01:22:15 le ministère de la santé,
01:22:17 l'État a été là jusqu'à la fin de ce qu'il y a.
01:22:19 Et la fin, comment je peux dire?
01:22:21 Donc, Maurice,
01:22:23 aujourd'hui, il y a un nouveau hôpital pour léger.
01:22:25 Il y a un nouveau hôpital moderne pour le cancer.
01:22:27 Il y a un nouveau hôpital ayurvédique,
01:22:29 ayush,
01:22:31 où on peut faire.
01:22:33 Ou un autre hôpital
01:22:35 qui peut faire à Moca,
01:22:37 moderne.
01:22:39 Tout ça, c'est quelque chose qu'il nous peut faire là.
01:22:41 C'est parce que l'État peut faire ça.
01:22:43 Quand on prend des enfants à l'école,
01:22:45 on fait un vaccin
01:22:47 contre le cancer.
01:22:49 Ça ne pouvait se faire que pour les petites filles avant.
01:22:51 Aujourd'hui, l'État
01:22:53 peut financer pour qu'il nous fasse
01:22:55 ce vaccin-là avec les filles et les garçons
01:22:57 entre 9 à 15 ans.
01:22:59 Ce qu'il fait, parce qu'il dépense
01:23:01 la santé de nos jeunes.
01:23:03 L'État est prêt pour faire l'effort
01:23:05 qu'il nous a pour aider
01:23:07 nos jeunes à rester en bonne santé.
01:23:09 La bonne santé, c'est parce qu'on est dans
01:23:11 le domaine du sport.
01:23:13 Tout ça, il fait le faire.
01:23:15 Tout ça, c'est une médaille qu'il nous fait récupérer là.
01:23:17 Quand on est venu avec Côte d'Or Sports Complex,
01:23:19 qui a bâti cet hôpital-là?
01:23:21 Pégasse, Pieds,
01:23:23 qui fait, peut faire.
01:23:25 Aujourd'hui, Liverpool,
01:23:27 il y a une équipe étrangère
01:23:29 qui peut aller venir jouer ici.
01:23:31 Il fait du training ici.
01:23:33 Tout ça, c'est l'avancement, ça.
01:23:35 Quand on est autour des rues d'Alhambra,
01:23:37 il y a un changement.
01:23:39 Le pays, comme il y a une santé,
01:23:41 il y a un changement. Mais qui dit
01:23:43 ce qu'il n'a pas bon?
01:23:45 Si vous me dites ce qu'il n'a pas bon,
01:23:47 je ne peux pas vous dire.
01:23:49 - Je vais laisser ça à l'opposition.
01:23:51 Je vais poser une dernière question,
01:23:53 Madame Dugan. Il y a la question
01:23:55 de point de vue de l'affaire.
01:23:57 Vous avez été ministre dans plusieurs ministères,
01:23:59 dans plusieurs ministères, dans plusieurs fonctions,
01:24:01 dans 15 ans ou dans 20 ans,
01:24:03 quand vous n'êtes plus ministre de l'Éducation.
01:24:05 Pourquoi vous avez-vous dit que vous vous rappelez
01:24:07 au passage à l'éducation?
01:24:09 - Premièrement, moi, quand je viens travailler
01:24:11 dans le ministère, je me suis toujours regardée
01:24:13 avec un seul principe en tête.
01:24:15 Ce qui m'intéresse, c'est l'intérêt
01:24:17 de mes jeunes morceaux.
01:24:19 Et je suis contente d'être retenue
01:24:21 comme la personne
01:24:23 qui fait la même modernisation
01:24:25 de l'enseignement technique
01:24:27 à Maurice. Parce qu'il nous cause,
01:24:29 Maurice passe à une autre étape
01:24:31 de ce développement.
01:24:33 Nous pouvons dire que Maurice est en économie
01:24:35 de haute-argent, mais pour arriver à ça,
01:24:37 il faut préparer nos ressources,
01:24:39 nos "manpower".
01:24:41 Et je crois que quand nous finissons
01:24:43 d'établir une Polytechnique à Maurice,
01:24:45 nous finissons de faire un grand pas en avant.
01:24:47 Quand nous venons avec un stream,
01:24:49 un "technology stream", quand nous pouvons faire
01:24:51 un développement qui est énorme au niveau de MITD
01:24:53 avec mon collègue,
01:24:55 et nous nous finissons de préparer
01:24:57 un terrain pour qu'il nous forme
01:24:59 de jeunes avec des compétences
01:25:01 et des "skills" qui nous amènent
01:25:03 à Maurice dans cette deuxième étape.
01:25:05 Et je suis contente d'être retenue
01:25:07 comme une des personnes qui est capable de faire ça
01:25:09 et qui aussi, qui assure
01:25:11 l'équité dans le système éducatif.
01:25:13 Puis chaque enfant
01:25:15 dans le pays
01:25:17 a le même sens.
01:25:19 Il est capable de faire n'importe quel côté
01:25:21 de la société, il peut y rester.
01:25:23 Quand il rentre dans une école pré-primaire,
01:25:25 il peut gagner une éducation de qualité.
01:25:27 Quand il rentre de primaire jusqu'à tertiaire,
01:25:29 il est dans les mêmes chances.
01:25:31 C'est moi bien sûr, comme on me dit tout le temps.
01:25:33 Et dans toutes ces bonnes possibilités-là,
01:25:35 il faudrait que les jeunes
01:25:37 fassent les fonds, et il faudrait aussi
01:25:39 que les parents donnent du soutien.
01:25:41 Le gouvernement est là.
01:25:43 Le gouvernement peut faire beaucoup.
01:25:45 Le gouvernement voulait que sa pays
01:25:47 avance, mais il ne voulait pas
01:25:49 que les jeunes avancent. Les jeunes
01:25:51 mauriciens, dans l'ensemble, avancent.
01:25:53 Et c'est ça qui me fait être content d'être étonné.
01:25:55 - Ila David Duggan-Lachman,
01:25:57 merci beaucoup d'accepter, nous,
01:25:59 l'invitation à Top FM pour cet entretien.
01:26:01 Merci pour le sujet
01:26:03 que vous nous donnez, l'éducation des enfants
01:26:05 permutations
01:26:07 et perpétuelles. Donc,
01:26:09 certainement, beaucoup d'inquestions,
01:26:11 beaucoup d'interrogations, et merci quand même
01:26:13 au fil de nous, un éclairage ce soir
01:26:15 sur Top FM. - Merci Jimmy.
01:26:17 Bonsoir à tous.
01:26:19 Merci.
01:26:20 [Générique de fin]

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