• il y a 9 mois
DB - 16-02-2024

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00:00 [Musique]
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00:06 [Musique]
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00:24 [Musique]
00:27 [Musique]
00:49 [Musique]
00:59 Le grand secret, c'est celui qui a été confié en 1972 à Madame Indira Gandhi,
01:05 chef du gouvernement de l'Inde, par le grand savant Sri Bamba.
01:09 [Musique]
01:12 A Paris, Jeanne Corbet, qui vient de quitter son mari, un médecin en renom,
01:16 pour vivre avec le biologiste Roland Fournier, ne sait pas encore que ce choix va bouleverser sa vie.
01:22 [Musique]
01:24 La découverte de Sri Bamba est si redoutable qu'elle doit rester cachée.
01:28 Tous les espions du monde sont mobilisés.
01:30 L'agent américain Samuel Friend découvre ainsi que le professeur Emblin, patron de Roland Fournier,
01:36 a rencontré clandestinement le savant indien.
01:39 [Musique]
01:43 Emblin ayant disparu, Roland Fournier lui succède.
01:46 Il est victime à son tour d'un commando inconnu.
01:49 [Musique]
01:54 Samuel Friend assiste, sans pouvoir intervenir, à la destruction par le feu des laboratoires.
02:00 [Bruit de machine à feu]
02:10 [Bruit de machine à feu]
02:18 [Soupir]
02:19 [Bruit de machine à feu]
02:23 [Bruit de machine à feu]
02:25 [Bruit de machine à feu]
02:34 [Bruit de machine à feu]
02:46 [Bruit de machine à feu]
02:48 [Bruit de machine à feu]
02:54 [Cris]
02:57 [Musique]
03:02 [Bruit de machine à feu]
03:12 [Bruit de machine à feu]
03:13 [Musique]
03:31 Au secours ! Au secours ! Au secours !
03:35 [Bruits de pas]
03:38 Eh, pas de violence, hein ! Pas de violence ! Je connais les ordres !
03:41 [Cris]
03:43 [Musique]
03:58 Allo, police ?
03:59 [Bruit de coups de feu]
04:02 [Bruit de coup de feu]
04:03 Attends, tu vas...
04:04 [Bruit de coup de feu]
04:05 [Cris]
04:06 [Bruit de coup de feu]
04:09 [Cris]
04:10 [Bruit de coup de feu]
04:11 [Cris]
04:12 [Bruit de coup de feu]
04:13 [Bruit de coup de feu]
04:14 [Cris]
04:15 [Bruit de coup de feu]
04:16 Mais c'est que ces sous-jouets ! C'est pas possible qu'on a été vendus ! Viens !
04:19 [Musique]
04:36 [Bruits de pas]
04:38 [Cris]
04:43 [Bruit de coup de feu]
04:53 [Bruits de pas]
04:58 Non, madame.
04:59 [Bruit de pas]
05:04 [Bruit de pas]
05:05 [Soupir]
05:06 [Bruit de pas]
05:07 [Bruit de pas]
05:08 [Bruit de pas]
05:10 [Bruit de pas]
05:11 [Bruit de coup de feu]
05:12 [Bruit de coup de feu]
05:13 [Bruit de coup de feu]
05:14 [Bruit de coup de feu]
05:15 [Bruit de pas]
05:16 Bonjour.
05:17 Police.
05:38 [Bruit de pas]
05:39 [Bruit de coup de feu]
05:40 [Bruit de coup de feu]
05:41 [Bruit de coup de feu]
05:42 [Bruit de coup de feu]
05:43 [Bruit de coup de feu]
05:44 [Bruit de coup de feu]
05:45 [Bruit de coup de feu]
05:46 [Bruit de coup de feu]
05:47 [Bruit de coup de feu]
05:48 Vous l'avez échappé, belle.
05:49 C'étaient deux infirmiers.
05:51 Ils avaient des blouses blanches.
05:54 Ils se sont jetés sur moi sans rien dire.
05:59 Vous expliquerez ça rue des Saucers, madame.
06:03 Rue des Saucers ?
06:05 Ça dépend de la DST.
06:06 Nous allons nous y rendre tout de suite.
06:07 S'il vous plaît.
06:08 Où est l'escalier de service ?
06:27 Pourquoi ?
06:29 C'est plus près, là.
06:30 Par là.
06:32 Ouvrez, police !
06:33 Quelle nouvelle, c'est Jean-Lamain d'Homme Corbé ?
06:35 Pourquoi ont-ils tenté de vous enlever ?
06:38 M'enlever ?
06:39 Je n'en sais rien.
06:41 Qui vous dit qu'il s'agissait d'un enlèvement ?
06:43 Vous connaissez mon nom ?
06:45 Votre nom et aussi vos relations avec Roland Fournier.
06:47 Ne soyez pas choqués, nous ne sommes pas là pour faire des mondanités.
06:50 On a tenté de vous enlever, vous savez pourquoi.
06:53 Moi, je ne le sais pas, je vous demande de me le dire.
06:55 Vous êtes un homme de la vie.
06:57 Vous êtes un homme de la vie.
06:58 Vous êtes un homme de la vie.
06:59 Moi, je ne le sais pas, je vous demande de me le dire.
07:01 Vous n'êtes pas de la diesté, qui êtes-vous ?
07:03 La seule chose que je veux savoir, c'est pourquoi ces gens veulent tant au professeur Remblin,
07:07 à Roland Fournier et à vous-même.
07:09 Roland est menacé ?
07:10 Répondez-moi, madame.
07:13 Mais je n'en sais rien, qui êtes-vous ?
07:16 Quand vous aurez vu ce que je vais vous montrer, la mémoire vous reviendra.
07:19 [Musique]
07:37 Reculez, ne laissez pas ceux-là courir.
07:39 Alors, la renforce arrive.
07:40 Allez, vite, délance.
07:42 Ça y est.
07:46 [Musique]
07:56 Ça fait plusieurs heures que ça brûle.
07:58 Ce n'est pas un accident.
08:00 Les pompiers ont constaté que l'eau, au lieu de combattre les flammes,
08:03 semblait activer la progestion.
08:05 Comme si on avait mélangé à l'eau certains produits expérimentaux
08:09 connus seulement des services spéciaux de l'armée.
08:11 Qui avait intérêt à détruire le centre de la recherche ?
08:14 Je ne sais pas votre avis, madame Cambay.
08:16 Mais Roland est là.
08:20 [Explosion]
08:22 Roland est là-dedans.
08:24 Roland est là-dedans.
08:29 [Explosion]
08:42 [Cri]
08:44 [Musique]
08:55 [Footsteps]
09:05 Tenez, buvez.
09:07 Ici, vous ne craignez rien, vous êtes en sécurité.
09:10 Où sommes-nous ?
09:13 C'est à l'ambassade des États-Unis.
09:14 Madame Corbay, je vous dois des excuses.
09:18 Laissez-moi sortir.
09:22 Vous sortirez quand vous voudrez.
09:23 Mais nous devons d'abord en parler.
09:25 L'incendie.
09:28 Roland.
09:31 [Soupir]
09:35 Oubliez tout ça.
09:36 Monsieur Roland Fournier n'est pas mort.
09:39 Comment ?
09:41 Vous en êtes sûr ?
09:43 En tout cas, il n'est pas mort dans l'incendie.
09:45 Il a été évacué en explosion.
09:47 J'étais là, je l'ai vu.
09:49 Mais où est-il ?
09:50 Pourquoi ne m'a-t-il pas vu ?
09:52 Pourquoi ne m'a-t-il pas téléphoné ?
09:54 Je crois qu'il n'est disparu.
09:55 Comme tous les autres.
09:57 Les autres ?
09:59 Je suis convaincu que vous ne savez rien.
10:02 Venez.
10:13 Venez.
10:16 [Réveil]
10:17 Pourtant, d'une manière ou d'une autre,
10:24 vous êtes impliquée dans quelque chose d'infiniment grave.
10:29 Quelque chose que même les gens comme moi
10:32 n'ont pas le métier de savoir.
10:34 Ignore.
10:36 Avez-vous entendu parler du professeur Bernstein ?
10:39 Non.
10:40 C'est un savant soviétique.
10:42 Il a été arrêté le 12 avril sur l'ordre de Paris-Geneve
10:44 avec toute sa famille et ses principaux collaborateurs.
10:46 Tout le monde a été embarqué dans un avion à destination de la Sibérie.
10:49 L'avion a disparu, sans laisser trace.
10:52 Et depuis, ces disparitions n'ont pas arrêté dans le monde entier.
10:56 Les Américains.
10:57 Le Dr. Galdos, professeur à Harvard,
10:59 spécialiste des amibes et de l'amibias.
11:01 Des Anglais.
11:03 Adam Ramsey, biologiste.
11:06 Un Allemand, le professeur Lins,
11:08 meilleur biologiste de République fédérale.
11:10 Des Israéliens,
11:11 trois chercheurs de l'université de Jérusalem.
11:14 Spécialistes en cancérologie.
11:16 Des Italiens, des Australiens.
11:19 Tous ces gens ont disparu, sans laisser trace.
11:22 Avec leurs principaux collaborateurs
11:25 et des membres de leur famille.
11:28 Alors le professeur Hamblin a disparu de la même façon.
11:33 Le 12 septembre à Honfleur,
11:35 le professeur Hamblin rejoint à bord du yacht le Sourire du Chat
11:38 son ami, le professeur Maclod.
11:41 La femme de celui-ci et leurs deux enfants.
11:44 Quelques heures plus tard, le Sourire du Chat disparaît.
11:49 Avec tous ses occupants.
11:51 Mais quel rapport avec Roland Fournier ?
11:57 Madame Corbet, tous ces événements ont un point commun.
12:05 Bien sûr.
12:07 Tous ces savants sont des biochimistes, biologistes, cancérologues.
12:12 Oui. Mais il y a autre chose.
12:15 Cet avion s'est posé sur les aéroports des plus grandes capitales du monde.
12:20 Aussitôt après, dans chacune de ces villes,
12:23 les disparitions ont commencé.
12:25 Cet avion s'est posé au Bourget le mois dernier.
12:29 Le professeur Hamblin était au Bourget.
12:32 Ce jour-là, Roland Fournier aussi.
12:36 Il m'en a parlé.
12:38 Vous a-t-il parlé aussi d'un savant de Bombay nommé Schlimba en bas ?
12:43 Je ne me rappelle pas.
12:48 Il se passe quelque chose d'incroyable.
12:52 Je veux savoir quoi.
12:55 Je tire sur ce fil depuis Bombay.
12:59 Je prends un risque énorme avant de parler ici.
13:02 Mais j'ai besoin de vous.
13:04 J'espère que vous ne ferez rien pour gêner mon action.
13:07 - Je ne fais rien de plus. - Ça peut changer.
13:11 Si vous apprenez quelque chose, si quelqu'un prend contact avec vous,
13:15 - il faut me le dire. - Pourquoi le ferai-je ?
13:18 Parce qu'en échange, je suis le seul à pouvoir vous aider.
13:22 Vous êtes la seule à pouvoir me soutenir.
13:25 Parce qu'en échange, je suis le seul à pouvoir vous aider.
13:29 Nous avons des intérêts communs.
13:32 Tout ce que je veux, c'est retrouver Roland.
13:35 Nous voulons la même chose.
13:38 Au revoir, monsieur.
13:42 Vous êtes monsieur ?
13:48 Frenn.
13:50 Samuel Frenn.
13:54 Je vous raccompagne chez vous.
13:57 Madame Corbet doit dormir.
14:08 - Je veux savoir qui vous êtes. - Je vous dirai tout demain.
14:22 - Je sais. Ne parle pas. - Non.
14:25 L'incendie du labo de Ville-Giffes, où on a parlé de cela à la radio.
14:29 - Non, Roland n'est pas mort. - Calme-toi.
14:33 - Il faut m'aider, Paul. - Calme-toi.
14:36 - Je t'aiderai. - Je le sais.
14:39 Tout ce que je pourrai, je le ferai.
14:43 Je suis le seul à pouvoir vous aider.
14:46 Je suis le seul à pouvoir vous aider.
14:49 Je suis le seul à pouvoir vous aider.
14:52 Je suis le seul à pouvoir vous aider.
14:55 Je suis le seul à pouvoir vous aider.
14:58 Je suis le seul à pouvoir vous aider.
15:01 Je suis le seul à pouvoir vous aider.
15:04 Je suis le seul à pouvoir vous aider.
15:07 Je suis le seul à pouvoir vous aider.
15:10 Deux énergumènes déguisés en infirmiers se sont efforcés pendant un quart d'heure.
15:15 Comment ?
15:18 Non, commissaire, un moment.
15:21 Si je comprends bien, les faux infirmiers étaient de vrais infirmiers...
15:25 qui étaient venus chercher une vraie malade agitée...
15:28 et qui, tout simplement, se sont trompés d'adresse.
15:31 Oui, oui.
15:34 Non, commissaire, je vous remercie.
15:38 Ma maison est, paraît-il, truffée de microphones...
15:41 et mes trois lignes téléphoniques sont sur écoute permanente.
15:45 A tous ceux qui m'espionnent, j'ai l'honneur de dire merde !
15:51 A tous ceux qui sont à l'écoute en ce moment, je dis merde !
15:55 Je vais tirer cette histoire au clair.
15:59 Et je me fous totalement du scandale !
16:03 Et je me fous totalement du scandale !
16:07 Mme Vien.
16:09 Oui, monsieur ?
16:12 Passez-moi le cabinet du premier ministre.
16:14 Bien, monsieur.
16:32 Tu es bien ?
16:34 Non.
16:37 Je t'ai dit que je t'aiderais.
16:40 Je ne peux pas supporter de te voir malheureuse.
16:43 Je te préfère active, combative, agressive...
16:47 même si c'est à mes dépens.
16:51 A lui paraît que cette histoire est encore plus secrète...
16:55 que ce qu'a pu t'en dire ton monsieur Friend.
16:57 Je dois voir des relations au placé, personne ne sait rien.
17:00 Je ne dis pas qu'ils font semblant, non, c'est encore pire.
17:02 Il me semble qu'ils sont réellement dans l'ignorance.
17:05 J'ai réussi quand même à t'obtenir un rendez-vous avec un conseiller de l'Elysée.
17:09 Et il sera pour Roland ?
17:12 Je te demande pardon, Paul.
17:16 Comment t'es-tu arrangé ?
17:18 Ce n'est pas inutile d'être le cardiologue du premier ministre.
17:21 Je lui ai raconté l'essentiel, il a aussitôt fait le nécessaire.
17:25 Ton rendez-vous est demain à 10 heures.
17:27 - Du matin ? - Non, du soir, c'est top secret.
17:30 Il faudra que tu demandes M. Ardoin.
17:34 Ah !
17:35 - Bonjour, madame. - Monsieur le président.
18:00 Si vous voulez prendre place.
18:03 Madame Courbet, j'ai en ma possession tous les éléments...
18:17 - Merci, merci, monsieur le président. - Au revoir, madame Courbet.
18:27 - Professeur, professeur Leroy-Champy. - Bonsoir, chère madame.
18:32 Je vois que vous n'avez pas oublié votre invité l'hiver dernier.
18:35 Je suis heureux de vous retrouver de nouveau.
18:37 Vous... vous venez voir le président, vous aussi ?
18:41 Mais non, je suis venu vous voir.
18:43 - Moi ? - Vous.
18:46 Il faut que nous parlions.
18:49 Voyez-vous, je suis au courant de... de ce qui vous amène ici.
18:56 Ah !
18:58 Et je voudrais m'assurer que...
19:01 vous suivrez à la lettre les recommandations que l'on vient de vous faire.
19:04 Mais à quel titre ?
19:06 Disons... au titre de conseiller privé du président de la République.
19:12 Le président !
19:15 Il m'a parlé d'abnégation, de renoncement.
19:18 Il a fait appel à mon civisme, à mon sens du devoir.
19:22 Il ne manquait que la Marseillaise.
19:24 Je sais que vous êtes sous l'effet d'un choc.
19:27 Et pourtant, je dois vous confirmer les recommandations du président.
19:31 Il faut renoncer à savoir,
19:33 sous peine de mettre en péril la sécurité du monde.
19:37 Enfin, pourquoi croyez-vous que le président Nixon,
19:40 pour la première fois depuis l'existence de la Chine communiste,
19:43 se soit rendu à Pékin en février dernier ?
19:45 Pourquoi le même Nixon a-t-il fait le voyage à Moscou en mai ?
19:49 Monsieur le professeur,
19:53 je me sens tout à fait insignifiante dans ce contexte.
19:57 Vous qui savez tout,
20:00 vous devez savoir également que je ne cherche pas à percer un secret d'Etat.
20:05 Où est Roland Fournier ?
20:07 Voilà ce que je veux savoir.
20:10 Voilà justement la question à laquelle vous n'obtiendrez jamais de réponse.
20:19 Rentrez chez vous, madame Corbet.
20:21 Je connais votre mari, c'est un homme remarquable.
20:24 Essayez tous les deux d'oublier ce qui vient de se passer.
20:28 L'incendie de Villejuif fut un tragique accident.
20:32 Personne n'a essayé de vous enlever.
20:34 Et vous allez me donner votre parole,
20:37 de ne pas chercher à en savoir plus long.
20:40 Il me paraît difficile de tenir un tel serment.
20:46 Je vous en prie.
20:48 Cet entretien n'a jamais eu lieu.
20:59 Vous n'avez pas rencontré le président de la République.
21:04 Adieu, madame.
21:15 - Je peux compter sur vous, monsieur Poglio ? - Oui, comptez sur moi.
21:18 Merci.
21:19 - Au revoir. - Au revoir, madame Corbet.
21:25 À bientôt.
21:26 Compliqué, compliqué, compliqué.
21:43 Je te répète que si tu préfères se journer ici pendant tes recherches,
21:46 cette maison est toujours la tienne.
21:48 Je sais.
21:49 Peut-être que j'en profiterai.
21:51 Tu sais à quoi tu t'exposes, hein ?
22:00 Ça durera des mois.
22:03 Des années, peut-être.
22:05 Sans être sûre de toucher un jour au but.
22:08 Sans être certaine non plus que le but existe.
22:12 Rollor est vivant.
22:14 Je sais que je le retrouverai.
22:17 Vous avez la clé, madame Bruges ?
22:22 C'est ouvert.
22:24 L'autre personne est déjà là-haut.
22:26 C'est bon.
22:27 C'est bon.
22:29 C'est bon.
22:31 C'est bon.
22:33 C'est bon.
22:35 C'est bon.
22:37 Vous avez vu ?
22:39 Ça fait un choc.
22:40 Vider, nettoyer, gratter, lessiver, refaire, repeindre.
22:44 Les meubles, les dossiers, les livres.
22:48 C'était la plupart du temps que je ne regardais que les livres.
22:51 Je ne regardais que les livres.
22:53 Je ne regardais que les livres.
22:55 Je ne regardais que les livres.
22:57 Je ne regardais que les livres.
22:59 Je ne regardais que les livres.
23:01 Je ne regardais que les livres.
23:03 Les dossiers, les livres.
23:05 C'était l'appartement de M. Fournier ?
23:07 J'ai pris mes renseignements là-dessus.
23:09 Vous savez que M. Fournier a été divorcé et que sa femme résidait en Corse.
23:13 Alors les meubles, les livres, les dossiers, tout ça,
23:15 tout a été emmené par camion vers le port de Nice.
23:18 Seulement...
23:19 Seulement ?
23:21 Seulement, le camion a pris feu entre Pierre-Lacret et Orange.
23:25 Il a brûlé du haut en bas comme une boîte à limettes.
23:28 C'est comme pour le professeur Amblin.
23:33 Là aussi, l'appartement a été décapé, nettoyé, remis à neuf,
23:37 exactement comme celui-ci.
23:39 J'ai appris que son frère avait fait tout emporter.
23:42 Meubles, livres, dossiers, tapis, tableaux.
23:45 Alors, j'ai pris l'initiative de l'interroger le frère du professeur.
23:49 Bien.
23:51 Je ne l'ai pas trouvé.
23:53 Le professeur Amblin, il n'a pas de frère.
23:56 Il n'en a jamais eu.
23:59 Ses livres, ses dossiers, ses meubles ont disparu,
24:02 escamotés, brûlés sans doute comme ceux de...
24:06 de M. Fournier.
24:08 Il nous reste la maison de campagne du professeur Amblin.
24:13 C'est là qu'il a été vu pour la dernière fois.
24:17 Je n'irai pas en Normandie, madame.
24:19 M. Pouliot.
24:21 Je sais que c'est fastidieux, mais je ne veux rien négliger.
24:26 Madame, je n'ai pas l'intention de poursuivre.
24:30 Je n'ai pas de taille.
24:32 Je suis très satisfaite de vos services.
24:36 S'il s'agit d'une question de rémunération,
24:41 ça peut s'arranger.
24:43 Ce n'est pas une question d'argent, madame.
24:50 Moi, je ne suis qu'un pauvre petit inspecteur de l'APG en retraite.
24:54 Qu'on autorise de temps en temps à faire des enquêtes privées,
24:58 à condition qu'elles restent dans un domaine anodin.
25:01 Avez-vous subi des pressions ?
25:07 Madame, j'ai une licence qui s'attribue et qu'on peut me retirer.
25:14 Je n'en dirai pas plus.
25:16 Est-ce lui qui vous a menacé ?
25:20 C'est celui qui vous a menacé.
25:22 Je comprends.
25:31 Madame, ça ne me regarde pas, mais permettez-moi quand même.
25:44 Il ne faut pas continuer.
25:46 Vous ne trouverez rien et un jour, ça tournera mal pour vous.
25:50 Il faut que je continue, monsieur Boullion.
25:54 Vous ne vous rendez pas compte ?
25:56 Il y a quelque chose d'énorme là-devant.
25:59 C'est énorme.
26:01 Au revoir, monsieur Boullion.
26:10 Bonne chance, madame Cormet.
26:13 C'est un homme qui a été tué.
26:16 C'est un homme qui a été tué.
26:42 Vous commencez à avoir de bons réflexes, madame Cormet.
26:45 Vous feriez mieux d'écouter les conseils de monsieur Boullion.
26:48 N'essayez pas de me dissuader. J'irai jusqu'au bout de mon enquête.
26:52 Vous ne trouverez rien à part de gros ennuis.
26:55 Vous aviez promis de m'aider.
26:57 Je vous aide davantage en me conseillant d'abandonner.
27:00 Refaites votre vie sans renonçon ni...
27:02 Jamais. Je veux savoir ce qui lui est arrivé.
27:05 C'est ce qui vous arrive à vous qui est important.
27:09 Vous en êtes déjà aux escaliers de service, aux portes dérobées.
27:12 Après, ce sera les fausses identités, les mensonges.
27:15 C'est un sale jeu, madame Cormet.
27:17 Pour y réussir, il faut en adopter les règles.
27:20 Ce ne sont pas toujours celles de l'amour.
27:23 Madame Cormet, je vous ai dit de ne pas me faire des affaires.
27:37 Madame Cormet, à ceux-là, vous allez vous abîmer.
27:41 Un jour, vous retrouverez peut-être un l'enfournier.
27:44 Mais ce jour-là, vous aurez perdu Jeanne Corbet.
27:47 Au revoir, monsieur Fred.
27:52 Ma promesse tient toujours.
27:55 Merci.
28:05 Allez-y.
28:07 Nous arrivons en gare de Lisieux.
28:17 Correspondance pour trouver les Deauvilles.
28:21 C'est bon.
28:24 C'est bon.
28:27 C'est bon.
28:30 C'est bon.
28:32 C'est bon.
28:34 C'est bon.
28:36 C'est bon.
28:38 C'est bon.
28:41 C'est bon.
28:43 C'est bon.
28:46 C'est bon.
28:48 C'est bon.
28:50 C'est bon.
28:52 C'est bon.
28:54 C'est bon.
28:57 C'est bon.
28:59 Je n'ai pas vu.
29:13 Je n'ai pas vu.
29:15 Messieurs et voyageurs, prenez votre voiture, s'il vous plaît.
29:34 Attention pour départ.
29:36 Départ.
30:05 Oui, madame.
30:06 Vous m'occupez du jardin du professeur.
30:08 Maintenant, vous allez voir.
30:10 La fatalité, quand ça s'y met.
30:12 Même pas quatre jours avant, ils avaient embarqué sur ce yacht changlé.
30:15 Vous êtes au courant ?
30:17 Le sourire du chat.
30:18 Et ça, oui, le sourire du chat.
30:20 Brôle de nom pour un bateau, vous trouvez pas ?
30:23 C'est pas possible.
30:26 C'est pas possible.
30:29 C'est pas possible.
30:31 Merde.
30:34 C'est pas possible.
30:37 Voilà.
30:40 Voilà.
31:07 C'est tout ce qui reste de la maison du professeur.
31:10 Si la boniche, la parisienne avait vu ça,
31:13 et qu'elle était si maniaque,
31:15 pour la faire embarquer sur le yacht, je fallait l'entendre.
31:17 J'ai jamais été en bateau, je vais avoir le mal de mer.
31:20 Elle avait pas l'air bien d'accord pour partir, et il se moquait d'elle.
31:23 C'est quand même bien une idée de professeur, d'emmener sa bonne en croisière.
31:27 Vous savez où ils sont allés ?
31:29 Non, je ne sais pas.
31:31 L'anglais a parlé de la Méditerranée.
31:35 C'est le moment, cette saison, où il cherche le soleil.
31:37 Il avait une femme et puis deux beaux enfants.
31:40 Tout le monde avait l'air bien content, sauf la femme de ménage.
31:43 Et puis je vous l'ai dit, il n'était pas parti depuis quatre jours.
31:47 Voilà la maison qui flambe.
31:49 Vous savez ce qui a pu se passer ?
32:03 Je n'ai pas bien compris.
32:05 Un brasier tout d'un coup en pleine nuit, des flammes de dix mètres.
32:08 Tout a brûlé.
32:10 On n'a pas seulement trouvé un cure-dent.
32:12 Il y a eu une enquête ?
32:15 Les gendarmes sont venus, mais quoi ?
32:17 C'est le destin.
32:19 Eux perdus en mer et la maison qui brûle.
32:22 S'ils étaient restés, ils auraient brûlé au lieu de se noyer, voilà tout.
32:27 Comme je vous le disais, c'est la fatalité.
32:33 La fatalité.
32:35 Le feu.
32:40 Toujours le feu.
32:42 Madame ?
32:44 Madame ?
32:46 Le plus dur, c'était de boiter.
33:12 La mort de Sri Bahamba prive la science d'un savant connu et respecté dans le monde entier.
33:17 Et d'un sage dont l'exemple fut une inspiration pour chacun.
33:22 Le feu.
33:24 Le feu.
33:29 Encore le feu.
33:31 Mais c'est surprenant, oui.
33:34 Comme avait les juifs.
33:36 Bahamba revient d'un assez long chemin.
33:39 Bahamba revient d'un assez long voyage autour du monde.
33:42 Et dans la nuit, un incendie détruit totalement sa demeure et son laboratoire.
33:47 Surpris dans leur sommeil, Sri Bahamba,
33:51 un certain nombre de ses parents, de ses collaborateurs et de ses amis,
33:55 ont péricalciné.
33:57 C'est horrible.
34:01 Je me suis souvenu à ce propos d'un article consacré à Bahamba,
34:05 dans The Lancet, la revue médicale anglaise.
34:09 Tu savais qu'il poursuivait des travaux voisins de ceux d'Amblin et de son équipe de villes juifs ?
34:14 Roland m'avait vaguement parlé d'échanges d'informations, notamment sur le cancer.
34:19 Bah, le cancer ou autre chose.
34:22 Dans le monde entier, les laboratoires préparent en secret la guerre bactériologique.
34:26 J'imagine mal Amblin ou Roland travaillant sciemment à la destruction de l'humanité.
34:31 Einstein et Fermi ne travaillaient pas non plus à l'apocalypse de guerre.
34:37 Il suffit de faire une découverte, et d'autres se chargent de la rendre nuisible.
34:41 Je sais tout cela, mais...
34:44 je n'arrive pas à imaginer...
34:48 Paul, tu veux dire qu'on aurait délibérément tué des dizaines de savants et leur famille,
34:55 parce qu'ils étaient sur le point de découvrir...
34:58 Parce qu'ils avaient déjà découvert.
35:00 Je n'y crois pas.
35:01 Pour Amblin et Bahamba, peut-être, mais pas Roland.
35:04 Roland est vivant.
35:06 Il m'attend.
35:08 Tu n'as pas l'intention de renoncer.
35:11 Tu vas chercher partout, sans trêve.
35:13 Oui.
35:15 Et tu seras seule, Jeanne.
35:18 Seule pour toujours.
35:20 Je t'ai.
35:22 Et tu oublies que j'ai un allié.
35:26 Mais je vous assure, madame, c'est mon bureau.
35:35 Et nous n'avons aucun fonctionnaire du nom de Friend.
35:38 Je l'ai rencontré ici même, dans cette pièce.
35:41 Regardez-vous-même.
35:45 Ce nom ne figure pas sur la liste du personnel diplomatique américain en poste à Paris.
35:51 Votre ambassadeur existe-t-il, ou ai-je rêvé qu'il avait dîné chez moi ?
35:55 Madame...
35:56 Je vous prie de lui dire que madame Corbet désire le voir.
35:59 La femme du professeur Paul Corbet.
36:02 Chère madame Corbet,
36:04 je suis flatté de vous accueillir chez moi,
36:06 après avoir été si cordialement reçue chez vous.
36:09 J'ai cru comprendre que vous aviez un point de désaccord avec notre service des relations publiques.
36:14 On essaie de me faire croire qu'un homme que j'ai connu personnellement n'a jamais existé.
36:19 Si vous n'étiez pas une amie,
36:21 j'essaierai de vous le faire croire également.
36:23 La diplomatie, vous le savez,
36:27 se pratique sur plusieurs niveaux.
36:30 Et les compartiments ne communiquent pas nécessairement.
36:34 Étanchéité, sécurité...
36:37 Officiellement, cette personne n'existe pas.
36:42 C'est parfaitement exact.
36:44 Ou plutôt, elle n'existe plus.
36:46 Mais, à vous, je veux bien préciser ceci.
36:51 Monsieur Friend a été rappelé. Il ne reviendra pas.
36:54 Sa carrière en Europe est terminée.
36:57 Je suppose que vous n'accepterez pas de me dire où il est ?
37:00 Mais, chère amie, je l'ignore absolument.
37:05 [C'est pas possible !]
37:08 [C'est pas possible !]
37:10 [C'est pas possible !]
37:12 [C'est pas possible !]
37:14 [C'est pas possible !]
37:16 [C'est pas possible !]
37:18 [C'est pas possible !]
37:20 [C'est pas possible !]
37:22 [C'est pas possible !]
37:24 [C'est pas possible !]
37:26 [C'est pas possible !]
37:28 [C'est pas possible !]
37:30 [C'est pas possible !]
37:32 [C'est pas possible !]
37:34 [C'est pas possible !]
37:36 [C'est pas possible !]
37:38 [C'est pas possible !]
37:40 [C'est pas possible !]
37:42 [C'est pas possible !]
37:44 [C'est pas possible !]
37:46 [C'est pas possible !]
37:48 [C'est pas possible !]
37:50 [C'est pas possible !]
37:52 [C'est pas possible !]
37:54 [C'est pas possible !]
37:56 [C'est pas possible !]
37:58 [C'est pas possible !]
38:00 [C'est pas possible !]
38:02 [C'est pas possible !]
38:04 [C'est pas possible !]
38:06 [C'est pas possible !]
38:08 [C'est pas possible !]
38:10 [C'est pas possible !]
38:12 [C'est pas possible !]
38:14 [C'est pas possible !]
38:16 [C'est pas possible !]
38:18 [C'est pas possible !]
38:20 [C'est pas possible !]
38:22 [C'est pas possible !]
38:24 [C'est pas possible !]
38:26 [C'est pas possible !]
38:28 [C'est pas possible !]
38:30 [C'est pas possible !]
38:32 [C'est pas possible !]
38:34 [C'est pas possible !]
38:36 [C'est pas possible !]
38:38 [C'est pas possible !]
38:40 [C'est pas possible !]
38:42 [C'est pas possible !]
38:44 [C'est pas possible !]
38:46 [C'est pas possible !]
38:48 [C'est pas possible !]
38:50 [C'est pas possible !]
38:52 [C'est pas possible !]
38:54 [C'est pas possible !]
38:56 [C'est pas possible !]
38:58 [C'est pas possible !]
39:00 [C'est pas possible !]
39:02 [C'est pas possible !]
39:04 [C'est pas possible !]
39:06 [C'est pas possible !]
39:08 [C'est pas possible !]
39:10 [C'est pas possible !]
39:12 [C'est pas possible !]
39:14 [C'est pas possible !]
39:16 [C'est pas possible !]
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39:20 [C'est pas possible !]
39:22 [C'est pas possible !]
39:24 [C'est pas possible !]
39:26 [C'est pas possible !]
39:28 [C'est pas possible !]
39:30 [C'est pas possible !]
39:32 [C'est pas possible !]
39:34 [C'est pas possible !]
39:36 [C'est pas possible !]
39:38 [C'est pas possible !]
39:40 [C'est pas possible !]
39:42 [C'est pas possible !]
39:44 [C'est pas possible !]
39:46 [C'est pas possible !]
39:48 [C'est pas possible !]
39:50 [C'est pas possible !]
39:52 [C'est pas possible !]
39:54 [C'est pas possible !]
39:56 [C'est pas possible !]
39:58 [C'est pas possible !]
40:00 [C'est pas possible !]
40:02 [C'est pas possible !]
40:04 [C'est pas possible !]
40:06 [C'est pas possible !]
40:08 [C'est pas possible !]
40:10 [C'est pas possible !]
40:12 [C'est pas possible !]
40:14 [C'est pas possible !]
40:16 [C'est pas possible !]
40:18 [C'est pas possible !]
40:20 [C'est pas possible !]
40:22 [C'est pas possible !]
40:24 [C'est pas possible !]
40:26 [C'est pas possible !]
40:28 [C'est pas possible !]
40:30 [C'est pas possible !]
40:32 [C'est pas possible !]
40:34 [C'est pas possible !]
40:36 [C'est pas possible !]
40:38 [C'est pas possible !]
40:40 [C'est pas possible !]
40:42 [C'est pas possible !]
40:44 [C'est pas possible !]
40:46 [C'est pas possible !]
40:48 [C'est pas possible !]
40:50 [C'est pas possible !]
40:52 [C'est pas possible !]
40:54 [C'est pas possible !]
40:56 [C'est pas possible !]
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41:00 [C'est pas possible !]
41:02 [C'est pas possible !]
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41:08 [C'est pas possible !]
41:10 [C'est pas possible !]
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41:18 [C'est pas possible !]
41:20 [C'est pas possible !]
41:22 [C'est pas possible !]
41:24 [C'est pas possible !]
41:26 [C'est pas possible !]
41:28 [C'est pas possible !]
41:30 [C'est pas possible !]
41:32 [C'est pas possible !]
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41:36 [C'est pas possible !]
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41:42 [C'est pas possible !]
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41:46 [C'est pas possible !]
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41:50 [C'est pas possible !]
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41:54 [C'est pas possible !]
41:56 [C'est pas possible !]
41:58 [C'est pas possible !]
42:00 [C'est pas possible !]
42:02 [C'est pas possible !]
42:04 [C'est pas possible !]
42:06 [C'est pas possible !]
42:08 [C'est pas possible !]
42:10 [C'est pas possible !]
42:12 [C'est pas possible !]
42:14 [C'est pas possible !]
42:16 [C'est pas possible !]
42:18 [C'est pas possible !]
42:20 [C'est pas possible !]
42:22 [C'est pas possible !]
42:24 [C'est pas possible !]
42:26 [C'est pas possible !]
42:28 [C'est pas possible !]
42:30 [C'est pas possible !]
42:32 [C'est pas possible !]
42:34 [C'est pas possible !]
42:36 [C'est pas possible !]
42:38 [C'est pas possible !]
42:40 [C'est pas possible !]
42:42 [C'est pas possible !]
42:44 [C'est pas possible !]
42:46 [C'est pas possible !]
42:48 [C'est pas possible !]
42:50 [C'est pas possible !]
42:52 [C'est pas possible !]
42:54 [C'est pas possible !]
42:56 [C'est pas possible !]
42:58 [C'est pas possible !]
43:00 [C'est pas possible !]
43:02 [C'est pas possible !]
43:04 [C'est pas possible !]
43:06 [C'est pas possible !]
43:08 [C'est pas possible !]
43:10 [C'est pas possible !]
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43:18 [C'est pas possible !]
43:20 [C'est pas possible !]
43:22 [C'est pas possible !]
43:24 [C'est pas possible !]
43:26 [C'est pas possible !]
43:28 [C'est pas possible !]
43:30 [C'est pas possible !]
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43:34 [C'est pas possible !]
43:36 [C'est pas possible !]
43:38 [C'est pas possible !]
43:40 [C'est pas possible !]
43:42 [C'est pas possible !]
43:44 [C'est pas possible !]
43:46 [C'est pas possible !]
43:48 [C'est pas possible !]
43:50 [C'est pas possible !]
43:52 [C'est pas possible !]
43:54 [C'est pas possible !]
43:56 [C'est pas possible !]
43:58 [C'est pas possible !]
44:00 [C'est pas possible !]
44:02 [C'est pas possible !]
44:04 [C'est pas possible !]
44:06 [C'est pas possible !]
44:08 [C'est pas possible !]
44:10 [C'est pas possible !]
44:12 [C'est pas possible !]
44:14 [C'est pas possible !]
44:16 [C'est pas possible !]
44:18 [C'est pas possible !]
44:20 [C'est pas possible !]
44:22 [C'est pas possible !]
44:24 [C'est pas possible !]
44:26 [C'est pas possible !]
44:28 [C'est pas possible !]
44:30 [C'est pas possible !]
44:32 [C'est pas possible !]
44:34 [C'est pas possible !]
44:36 [C'est pas possible !]
44:38 [C'est pas possible !]
44:40 [C'est pas possible !]
44:42 [C'est pas possible !]
44:44 [C'est pas possible !]
44:46 [C'est pas possible !]
44:48 [C'est pas possible !]
44:50 [C'est pas possible !]
44:52 [C'est pas possible !]
44:54 [C'est pas possible !]
44:56 [C'est pas possible !]
44:58 [C'est pas possible !]
45:00 [C'est pas possible !]
45:02 [C'est pas possible !]
45:04 Je vous présente ma femme, Suzanne.
45:07 Je suis ravie de vous connaître, Madame.
45:09 Enchantée.
45:11 Vous êtes journaliste, je crois ?
45:14 Madame Corbet prépare un article sur le cône sud.
45:19 C'est ainsi que vous appelez notre région en Europe.
45:23 Oui, en effet.
45:25 Oh, asseyez-vous, je vous en prie.
45:27 Da, da, da, da, da !
45:29 Vous ne me tenez pas encore couché ?
45:31 Il a voulu attendre.
45:33 C'est toi, alors, la dame de Paris ?
45:35 Oui. Et toi aussi, t'es un peu parisien, non ?
45:38 Ma famille ne m'a pas accompagné à Paris.
45:41 Suzanne ne voulait pas que Tommy change d'école en cours d'année.
45:44 Tiens, en parlant d'école, tu commences tôt demain matin.
45:47 Allez, bonhomme, au lit !
45:48 Pas tout de suite.
45:49 Allez, il est tard. Viens vite.
45:50 Bonsoir, Tommy.
45:52 À demain matin, papa.
45:56 Je vais aller à la maison.
45:58 Votre femme n'est pas au courant.
46:20 Ça vaut mieux pour elle.
46:23 Et je lui mens sans cesse.
46:25 Il y a des mois que je vous cherche.
46:29 Je n'ai rien trouvé d'essentiel. Je ne compte plus que sur vous.
46:32 Sur moi ?
46:34 Vous surestimez mes pouvoirs.
46:36 Pourquoi croyez-vous que je sois en train de me morfondre ici ?
46:39 Dans un poste secondaire.
46:42 Ma curiosité n'a pas été appréciée.
46:44 Voilà tout.
46:45 Venez.
46:48 Mais vous voyez, déformation professionnelle.
46:51 Je cherche toujours.
46:53 Pour rien.
46:56 Je me heurte à un mur.
46:58 Aucune trace. La terre brûlée.
47:00 Oui. Le feu.
47:04 Toujours le feu.
47:05 À Bombay, à Villejuif, partout.
47:07 Ce que vous ignorez, c'est que le sourire du chat a brûlé, lui.
47:10 Oui, c'est ça.
47:12 Je ne sais pas pourquoi, mais je ne sais pas pourquoi.
47:14 Je n'ai pas dit qu'il était mort.
47:16 Un sous-marin américain a trouvé le yacht qui dérivait au large des côtes.
47:20 Il n'y avait personne à bord.
47:22 Le commandant du sous-marin a demandé des instructions par radio.
47:25 Réponse de l'amirauté, incendier le sourire du chat en un palme...
47:28 avant de le faire sombrer.
47:30 Et interdiction de mentionner les faits au livre de bord.
47:34 Ce qui est une faute grave, habituellement, parce que...
47:36 les gens sont des gens qui ont des faits.
47:38 Il y a des gens qui ont des faits.
47:40 C'est un peu comme ça.
47:42 Ce qui est une faute grave, habituellement passible...
47:44 des tribunaux maritimes.
47:46 Que sont devenus les passagers ?
47:49 À force de poser des questions...
47:51 je me suis retrouvé muté ici.
47:54 Vous travaillez pour votre gouvernement...
47:58 et votre gouvernement vous sanctionne.
48:00 Il y a des pouvoirs supérieurs à tous les gouvernements.
48:03 Avez-vous entendu parler d'International Scientific Corporation ?
48:06 Non.
48:09 C'est une société secrète...
48:11 des meilleurs savants du monde entier.
48:13 Une concertation permanente...
48:15 des cerveaux...
48:17 au-delà du rétro-traitement...
48:19 et des frontières.
48:20 Quand ils parlent, en général, les chefs d'État les écoutent.
48:23 Vous croyez que Roland Fournier est encore vivant ?
48:33 J'en suis convaincu.
48:36 Vous savez que je suis prête à tout pour le retrouver.
48:40 Je sais.
48:42 Mais votre bonne volonté ne suffira pas.
48:44 Il y a de minuscules indices.
48:49 Je les examinerai tous.
48:51 Il y a d'abord la piste indienne.
48:54 Lors de...
48:56 son voyage...
48:58 autour du monde...
48:59 bas en bas, à reçu des visites à chaque escale...
49:02 le pilote de l'avion doit savoir quelque chose.
49:04 Mais il faudrait d'abord le retrouver.
49:07 J'ai sa photo.
49:09 Pas son nom.
49:10 Et la piste écossaise ?
49:15 Elle vaut ce qu'elle vaut.
49:17 Le docteur Macleod...
49:19 qui a disparu à bord du soirée du chat avec le professeur Hamblin...
49:22 a un cousin en Écosse...
49:24 il a juré qu'il ne laisserait pas des Anglais...
49:26 escamoter les membres de son clan.
49:28 Il veut se venger.
49:30 Il sait quelque chose.
49:32 Non. Rien sans doute.
49:34 Prêtez-moi ce dossier.
49:38 Vous m'en demandez trop.
49:39 Savez-vous que je suis espionné par mes propres collègues ?
49:46 Vous-même n'êtes pas suffisamment sur vos gardes.
49:49 Vous êtes constamment surveillé.
49:51 Revenez me voir dans 48 heures en reprenant tout ça.
49:56 Prenez une arepa.
49:58 C'est un petit pain de maïs grillé...
50:00 avec du poulet et de l'avocat.
50:02 Ou...
50:03 ou une carne mechada.
50:05 Ah ! À Caracas, il faut vivre comme des caracaños.
50:08 Encore le Venezuela.
50:10 Et...
50:11 si nous parlions de Paris ?
50:13 C'est une aventure
50:28 C'est le grand secret
50:33 Iront-ils la littérature ?
50:39 Toute la science court après
50:44 C'est une espérance
50:49 C'est le grand secret
50:55 Depuis toujours chacun y pense
51:01 Pourtant personne ne connaît le secret
51:06 Toi, mon amour
51:11 Qui viens le fil de mes jours
51:17 Toi qui as trouvé les chemins du cœur
51:27 Toi aussi devant le noir
51:32 Quelquefois tu pleures
51:39 C'est un grand mystère
51:54 C'est le grand secret
51:59 Certains soient toutes des espères
52:05 Et certains tu te crois tout près du secret
52:10 Toi, mon amour
52:15 Qui viens le fil de mes jours
52:21 De l'autre côté du rideau de nuit
52:31 Tu sauras de quelle couleur est l'infini
52:43 Tu sauras de quoi tu vis
53:10 [Musique]

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