Les taxis en colère bloquent la gare Saint-Charles
Dans le cadre d'une matinée de mobilisation contre le changement tarifaire du transport médical, les taxis bloquent l'entrée du dépose-minute de la gare Saint-Charles, sans annoncer à quelle heure prendra fin le blocage.
Une dizaine de chauffeurs ont garé leurs véhicules à la fois à l'entrée du dépose-minute, barrant le passage dans les deux sens, et sur la voie permettant aux automobilistes d'accéder au parking de la gare pour y déposer un voyageur en partance. Les personnes souhaitant stationner temporairement pour déposer un voyageur sont contraints de rebrousser chemin pour trouver une place dans les rues avoisinantes.
Une dizaine de chauffeurs ont garé leurs véhicules à la fois à l'entrée du dépose-minute, barrant le passage dans les deux sens, et sur la voie permettant aux automobilistes d'accéder au parking de la gare pour y déposer un voyageur en partance. Les personnes souhaitant stationner temporairement pour déposer un voyageur sont contraints de rebrousser chemin pour trouver une place dans les rues avoisinantes.
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NewsTranscription
00:00 Depuis la dernière mobilisation, il n'y a eu aucune avancée au sujet du médical.
00:08 On ne sait toujours pas où on va, toujours le flou.
00:11 Il est hors de question de signer un chèque en blanc.
00:13 Le premier truc c'est le rapport de la Cour de cassation pour les VTC et le deuxième
00:37 truc c'est la sécurité sociale.
00:39 La sécurité sociale c'est très long, à Paris apparemment M.
00:43 Fantôme n'est pas pressé.
00:44 Après le rapport de la Cour de cassation, il faut que les autorités soient au courant
00:50 et qu'elles fassent leur travail.
00:51 Donc aujourd'hui on va travailler et on ne sait pas le taux de remise qu'ils vont nous
00:56 demander et donc qui va être variable selon leurs finances.
01:02 Si on n'arrive pas à travailler correctement, on ne gagnera pas notre vie correctement,
01:07 tout simplement.
01:08 Pour une fois pour toutes, que ce soit réglé cette histoire de pourcentage de remise, on
01:12 n'en parle plus.