• il y a 7 mois

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00:00 [Musique]
00:08 Bonjour, Amixem TV était il y a quelques jours dans les locaux de Neoma Business School Place d'Italie à Paris
00:15 à l'occasion du Founder Investor Meetup où des entrepreneurs en recherche de financement rencontrent des investisseurs.
00:23 Nous avons repéré des projets intéressants dont les fondateurs viendront prochainement dans notre émission Levé de Fonds
00:29 pour nous détailler leurs projets. En attendant je vous propose un teasing de ces projets et en commençant tout d'abord avec l'hôte de cet événement,
00:38 de cette soirée, Denis Gallaud, le directeur des incubateurs Neoma.
00:42 Denis Gallaud, bonjour, vous êtes le directeur de l'incubateur Neoma, vous accueillez aujourd'hui dans vos locaux parisiens
00:51 l'étape parisienne des Founder Investor Meetup 2024, c'est un événement où les entrepreneurs en recherche de financement
01:00 pitchent devant les investisseurs. Peut-être que vous pouvez nous dire deux mots sur la genèse et la vocation de votre incubateur ?
01:09 En fait le premier incubateur a été créé en 2010 sur le campus de Rouen, puis on a créé un deuxième incubateur sur Reims en 2013,
01:18 puis un troisième sur Paris en 2017 et enfin j'ai créé la direction du Startup Lab en 2018 qui regroupe l'ensemble de ces trois incubateurs
01:27 ainsi que deux accélérateurs spécialisés, l'un en mobilité et l'autre spécialisé en EdTech.
01:33 Alors comment ça fonctionne ? Quelle est la durée des sessions, le nombre de candidats que vous accueillez ?
01:40 Chaque année on a environ 300 à 350 candidats à l'entrée de nos incubateurs, la durée d'incubation est d'à peu près un an.
01:50 Alors je dis à peu près un an tout simplement parce qu'on accueille des étudiants mais aussi des diplômés de l'école,
01:54 et les étudiants peuvent partir en stage, ils peuvent partir en échange à l'étranger et donc ils ont besoin un peu de souplesse dans la durée d'incubation.
02:01 Quels sont les principaux profits-bénéfices qu'un entrepreneur qui vous rejoint peut récolter ?
02:08 En fait dans le programme d'incubation il y a du coaching avec nos propres coachs,
02:13 il y a du mentoring avec des chefs d'entreprises expérimentés et on organise aussi des sessions d'expertise
02:19 avec des experts en Growth Hacking, en financement, en levée de fonds, etc.
02:24 Et donc les incubés ont la possibilité de rencontrer tous ces experts et ont la possibilité de rencontrer le réseau de Neoma et notamment ce soir dans cet event.
02:36 Quels sont les critères pour être éligible à vos incubateurs ?
02:40 Alors le premier critère c'est que dans l'équipe de cofondateurs on doit avoir au moins un étudiant ou un diplômé de l'école.
02:47 Ça ne veut pas dire qu'on fait des équipes uniquement composées de Neoma, mais on souhaite qu'il y ait au moins un étudiant de Neoma
02:54 mélangé avec des ingénieurs, des designers, etc. Donc ça c'est le premier critère sur l'équipe.
03:01 Et ensuite sur la qualité du projet, donc c'est d'abord l'innovation, ensuite la volonté d'entreprendre véritablement et d'avoir un minimum d'ambition
03:11 et troisième chose, la scalabilité du projet.
03:15 Comment fait-on pour candidater ?
03:17 Pour candidater on a en fait trois campus avec trois incubateurs.
03:23 Sur chacun des incubateurs on organise quatre comités de sélection par an.
03:28 Donc on a la possibilité de rentrer dans douze comités sur l'ensemble de nos incubateurs.
03:33 Je sais que vous êtes particulièrement actif au sein de la structure et que vous allez le mettre au sein de Neoma.
03:38 Quels sont les prochains événements que vous organisez ?
03:40 Alors chaque année nous organisons des Demo Day où nous présentons les startups les plus avancées à un réseau d'investisseurs.
03:48 Nous organisons aussi un événement qui s'appelle Powered by Neoma,
03:52 qui est un événement où on présente nos startups à un réseau d'accompagnateurs,
03:59 les CCI, les réseaux d'entreprendre, les Business Angels, les banques, etc.
04:04 pour leur constituer leur propre réseau pour pouvoir avancer dans la vie.
04:08 Denis bravo et merci pour votre accueil.
04:10 Merci beaucoup.
04:11 Gauthier Dossier, bonjour, vous êtes le fondateur de Deliveroo.
04:14 Nous nous retrouvons ici dans le loco de Neoma à Paris à l'occasion d'une rencontre d'investisseurs et d'entrepreneurs.
04:20 Alors quelle est la mission de Deliveroo ?
04:23 Chez Deliveroo, on travaille sur la livraison médicale par drone.
04:28 Pourquoi ? En fait, en France, 70% des décisions médicales sont prises suite à une prise de sang.
04:35 Entre 15 et 20% des prises de sang qui sont transportées entre les hôpitaux arrivent en retard.
04:43 Qu'est-ce que ça a comme conséquence ?
04:46 Le premier élément, c'est que le patient est traité trop tard, ça crée des embouteillages d'urgence, etc.
04:54 Et le médecin n'a pas assez de temps pour traiter correctement le patient.
04:58 C'est ça la problématique globale.
05:01 Et du coup, nous, chez Deliveroo, on veut changer ça en changeant le moyen de transport,
05:06 ce qui est transporté, donc les prises de sang qui sont transportées entre les centres de prévêtement et les plateaux techniques.
05:12 D'accord, par la route, essentiellement.
05:14 Qui sont aujourd'hui faits par la route et qui, demain, passeront par des drones médicaux.
05:19 On automatise la logistique inter-site pour les hôpitaux et les laboratoires.
05:24 D'accord. Il y a des solutions similaires ou vous êtes le seul à... ?
05:28 On est très innovant en France, très bien positionné aujourd'hui sur le territoire français.
05:33 Il y a une quinzaine de startups dans le monde qui se positionnent sur ce sujet.
05:37 On est globalement trois en France et je pense plutôt bien positionné en France.
05:42 J'imagine que, d'instant qu'on essaie de pénétrer le monde hospitalier, il y a des réglementations, des normes, etc.
05:48 Comment vous vous affrontez à ces obstacles ?
05:51 On les affronte... En fait, on se rend compte qu'il y a énormément de besoins.
05:56 Les hôpitaux sont très demandeurs de ce type de solutions et finalement d'apporter des solutions à leurs enjeux aujourd'hui,
06:03 qui sont d'améliorer la santé du plus grand nombre. C'est ça l'objectif.
06:07 Nous, on apporte une solution technologique, hautement technologique à leurs enjeux.
06:14 Aujourd'hui, on a une excellente traction commerciale.
06:18 Notre sujet aujourd'hui, c'est de délivrer ce qu'on a commercialisé.
06:22 C'est ce qu'on est en train de faire.
06:25 À quel stade d'avancement êtes-vous ?
06:27 Aujourd'hui, on a une dizaine de projets d'expérimentation en France
06:31 qui montrent qu'il y a un vrai marché.
06:33 Il n'y a pas que les hôpitaux, il y a aussi les laboratoires.
06:35 Il y a aussi les laboratoires de biologie qui sont des organisations privées.
06:39 On a deux types de clients, les hôpitaux et les groupes de laboratoires privés.
06:43 Aujourd'hui, en un an de lancement commercial, on a 10 projets signés, payants.
06:53 Le sujet pour nous, ça va être d'accélérer la mise en place de ces expérimentations
06:59 de façon à pouvoir ensuite passer en déploiement.
07:02 Ça va être notre étape d'après.
07:04 Pour cette phase de déploiement, on aura besoin d'accélération
07:07 parce qu'on a un business capitalistique.
07:09 On aura besoin de fonds à ce moment-là.
07:11 Voilà, de lever des fonds.
07:12 C'est pour ça que vous avez raison, vous venez en avance,
07:14 commencez à en parler, comme vous le faites aujourd'hui.
07:17 Vous reviendrez à ce moment-là sur Investir TV, dans la émission Levé de fonds,
07:21 pour nous en reparler.
07:22 Avec grand plaisir.
07:23 Merci.
07:24 Merci à vous.
07:25 Samuel Tessier, bonjour.
07:26 Vous êtes le fondateur de Café des guerriers.
07:28 On se retrouve ici dans le cadre d'un événement Founder Investor Meetup
07:33 où vous rencontrez des investisseurs.
07:36 Nous sommes à Néoma, dans les locaux de Néoma Paris.
07:40 Alors, Café des guerriers, quelle est sa vocation ?
07:44 Alors, moi, j'ai créé le Café des guerriers pour aider les personnes
07:47 qui se sentent stressées, fatiguées, déprimées,
07:49 à retrouver de l'énergie dans leur vie, de la vitalité, du tonus.
07:53 Le Café des guerriers, c'est un café nutritionnel de pointe,
07:55 enrichi en vitamines, minéraux, oligo-éléments.
07:58 Ça a été formulé avec un docteur en pharmacie, le docteur Marie Rempain.
08:01 Voilà, ça se fait comme un café soluble.
08:04 Vous mélangez à de l'eau ou un lait végétal,
08:06 et vous avez un café riche en vitamines, enfin plein d'énergie.
08:09 Il y a eu des tests d'efficacité, parce que des potions magiques,
08:12 bon, pas mal, on en propose pas mal,
08:14 mais en termes d'efficacité, il y a eu des tests ?
08:17 Alors, maintenant, on a plus de 10 000 clients
08:19 qui consomment tous les jours le Café des guerriers
08:21 et qui se sentent beaucoup mieux, énergisés.
08:23 C'est le meilleur test.
08:24 Nous, vraiment, on travaille avec nos clients main dans la main
08:27 pour faire le meilleur produit possible,
08:29 et on se fie avant tout à leur retour pour améliorer nos formules.
08:34 D'accord, OK.
08:35 À quel stade d'avancement n'êtes-vous, donc, du Café des guerriers ?
08:38 Alors, à date, ça fait un an qu'on commercialise notre produit
08:42 via notre site e-commerce,
08:43 et puis on commence à se développer dans le retail petit à petit.
08:46 Voilà, actuellement, il y a plus de 10 000 clients
08:49 qui consomment tous les jours notre café.
08:51 Voilà, et donc, on peut en savoir plus sur le site cafedeguerrier.fr.
08:54 D'accord. Là, vous commencez à contacter les investisseurs,
08:57 c'est-à-dire que vous allez bientôt rechercher des fonds.
08:59 Ça vous servira à quoi ?
09:00 On va, effectivement, prochainement lever des fonds
09:03 pour continuer d'améliorer le produit
09:05 et puis aussi, voilà, communiquer de façon plus ample
09:10 sur le produit et la mission du Café des guerriers.
09:12 L'idée, c'est vraiment de redonner envie aux Français
09:15 de partir à l'aventure.
09:16 C'est un peu notre grande mission derrière le Café des guerriers.
09:19 C'est vraiment donner envie aux Français, voilà,
09:21 de prendre davantage de risques.
09:23 Et on a créé ce café, voilà, pour ça.
09:25 Vous êtes un guerrier.
09:26 Et vous viendrez prochainement, à ce moment-là,
09:28 nous parler de plus de détails,
09:30 donc, dans notre émission Levé de fonds.
09:33 Merci Samuel.
09:34 Avec grand plaisir. Merci beaucoup.
09:35 Grégoire Vernieux, bonjour.
09:36 Vous êtes le fondateur d'Autojuste.
09:38 Vous êtes ici dans le cadre du
09:41 Paris Founder Investor Meetup 2024
09:44 chez Neoma Paris,
09:46 où vous rencontrez des investisseurs.
09:48 Alors, Autojuste, quelle est la vocation d'Autojuste ?
09:51 Alors, bonjour.
09:52 La vocation d'Autojuste, c'est vraiment de rendre
09:54 accessible l'inspection de véhicules à tout le monde.
09:57 Donc, c'est-à-dire d'éviter aux personnes
10:00 d'acheter un véhicule d'occasion
10:02 sans se faire avoir par un vendeur malveillant
10:05 ou peu regardant.
10:06 D'accord. Alors, comment ça fonctionne exactement ?
10:08 Quelles sont vos spécificités ?
10:09 Car je crois savoir qu'il y a pas mal de sociétés
10:11 qui sont un peu sur le créneau.
10:12 Exactement. Il y a plusieurs sociétés qui le font.
10:14 En revanche, ce que nous, nous faisons,
10:16 on a trois points de sécurité
10:18 et on est les seuls à les avoir et à les mettre en place
10:20 et à les rendre accessibles à ce prix-là.
10:22 Le premier point de sécurité, on va se déplacer
10:24 sur tout le territoire français.
10:26 On va aller inspecter le véhicule avant que vous l'achetiez
10:28 sur 200 points de contrôle,
10:30 donc sur la carrosserie, sur la mécanique,
10:32 et faire un essai routier.
10:33 A la fin de cette inspection,
10:34 vous allez recevoir un rapport d'une quarantaine de pages
10:36 avec les photos du véhicule,
10:38 notre avis sur les véhicules,
10:40 et puis les axes pour négocier à la baisse
10:42 le prix du véhicule, s'on estime qu'il est trop cher.
10:44 C'est le premier point de sécurité.
10:46 Ensuite, en deuxième point de sécurité,
10:48 on va retracer tout l'historique du véhicule,
10:50 de sa sortie d'usine à aujourd'hui,
10:52 dans tous les pays européens.
10:54 Ça, on est les seuls à le faire, et pour le faire,
10:56 pour être transparent avec vous,
10:58 on achète beaucoup de données aux assurances européennes,
11:00 on achète beaucoup de données aux garages européens,
11:02 à Leboncoin, à la Centrale,
11:04 et leurs équivalents dans tous les pays européens.
11:06 Et en fait, avec ça, en utilisant la blockchain,
11:08 on arrive à savoir si les kilométrages,
11:10 ils ont été trafiqués,
11:12 si le véhicule est réellement passé,
11:14 est-ce que, par exemple, le véhicule a été accidenté en Allemagne,
11:16 retapé en Pologne,
11:18 puis revendu en France. On voit un tas de choses.
11:20 Des véhicules volés, accidentés,
11:22 un ancien taxi, une ancienne auto-école, etc.
11:24 Et vient le troisième point de sécurité,
11:26 si, après cette inspection-là,
11:28 physique, et l'inspection de la donnée,
11:30 de la data du véhicule, on se rend compte
11:32 que le véhicule a été bien
11:34 entretenu par l'ancien propriétaire,
11:36 on vous offre une garantie de 6 mois sur ce véhicule-là.
11:38 - À quel stade d'avancement
11:40 en êtes-vous ? - Alors, la société, elle a été créée
11:42 il y a un an et demi, maintenant.
11:44 On travaille avec plus de 400 professionnels.
11:46 On a des partenariats avec des très gros noms,
11:48 comme le parking,
11:50 comme Europe Camion,
11:52 et d'autres assurances.
11:54 Et...
11:56 Et puis... - Vous développez,
11:58 donc vous cherchez des fonds, puisque vous êtes ici
12:00 et vous rencontrez des investisseurs. Combien,
12:02 et à quel usage, cet argent va-t-il vous servir ?
12:04 - Alors là, aujourd'hui, on cherche 800 000 euros
12:06 pour l'usage,
12:08 pour muscler nos équipes,
12:10 et également pour automatiser
12:12 un maximum de choses,
12:14 et surtout pour accélérer
12:16 cette automatisation-là.
12:18 - Et bien, pour tous les investisseurs intéressés, sachez que vous reviendrez
12:20 prochainement dans notre émission "Levé de fonds"
12:22 pour nous en dire plus. - Avec plaisir. - Merci, Grégoire.
12:24 - Merci beaucoup. - Nicolas Michaud, bonjour.
12:26 Vous êtes le fondateur de Mixo.
12:28 Vous rencontrez aujourd'hui des investisseurs
12:30 chez Neoma Paris,
12:32 dans le cadre de l'étape parisienne
12:34 du Founders Investor Meetup
12:36 2024.
12:38 Alors, Mixo, qu'est-ce que c'est exactement ?
12:40 - Alors, tout d'abord, merci de me recevoir.
12:42 Mixo, c'est une entreprise
12:44 de cocktails en bouteilles.
12:46 Je travaille avec des établissements qui n'ont
12:48 pas de barman, et je vais leur apporter
12:50 des solutions quand eux n'ont pas
12:52 la technique, le matériel,
12:54 pour proposer une offre cocktail
12:56 concrète. Et avec Mixo, ils vont pouvoir
12:58 standardiser leur offre, maîtriser leurs coûts,
13:00 leurs marges, et surtout leur qualité.
13:02 - Alors, vous êtes un certain nombre à préparer
13:04 les cocktails pour les restaurateurs,
13:06 ça cher, etc.
13:08 Quelles sont vos spécificités, à vous, qui vous
13:10 distinguent de vos autres confrères,
13:12 concurrents, je ne sais pas comment les appeler ?
13:14 - C'est une très bonne chose qu'on se voit de plus en plus sur le marché,
13:16 ça nous aide à gagner en visibilité.
13:18 Aujourd'hui, ce qui va me différencier, c'est deux points.
13:20 Premièrement, les cocktails sont issus
13:22 de classiques, mais ils vont avoir ce côté
13:24 twist, qui est en fait la revisite
13:26 du barman. Le but, c'est de faire rêver les clients
13:28 avec des recettes un petit peu
13:30 revisitées. Et de l'autre,
13:32 c'est des cocktails qui sont très stables.
13:34 C'est-à-dire que des professionnels, eux, vont avoir
13:36 besoin d'un produit sur lequel ils vont pouvoir s'appuyer
13:38 et qui va garder de la stabilité,
13:40 quel que soit le moment de consommation,
13:42 si la bouteille est ouverte, si elle est stockée.
13:44 Avec Mixo, vous avez
13:46 la garantie que le produit ne va pas
13:48 bouger dans le temps, que la bouteille soit ouverte
13:50 en nom, et que le produit soit utilisé
13:52 dans un an, six mois, ou plus même.
13:54 - À quelle cède d'avancement n'êtes-vous ?
13:56 - Aujourd'hui, l'entreprise
13:58 fête bientôt ses deux ans, en tout cas,
14:00 le produit fêtera ses deux ans
14:02 en avril.
14:04 J'ai besoin aujourd'hui d'accélérer,
14:06 de développer plus de produits
14:08 et surtout d'investir sur ce qui existe déjà
14:10 pour, en fait,
14:12 faire grossir la marque, faire
14:14 toucher plus de clients
14:16 et servir
14:18 mes clients. - Alors, qui dit
14:20 accélérer, dit besoin de financement, j'imagine.
14:22 C'est pour ça que vous rencontrez aujourd'hui des investisseurs.
14:24 De combien avez-vous besoin et quel usage
14:26 ces fonds vont-ils vous servir ?
14:28 - J'estime avoir besoin d'un total
14:30 de 400 000 euros.
14:32 La plus grande, enfin,
14:34 la majorité de cet investissement partira dans
14:36 le développement commercial, c'est-à-dire
14:38 de l'embauche
14:40 de profils,
14:42 d'activation sur le terrain,
14:44 d'aide à la vente
14:46 chez les clients existants
14:48 et prochains clients, et surtout
14:50 dans le développement de salons, dans la participation
14:52 des salons, qui sont, en fait,
14:54 les meilleurs moyens pour toucher ou des professionnels
14:56 ou des particuliers.
14:58 Une partie sera allouée à la communication
15:00 et la dernière pour
15:02 souvenir la production,
15:04 investir sur ce qui existe déjà et développer des nouvelles recettes.
15:06 - Parfait. Eh bien, vous avez
15:08 l'eau à la bouche, si on peut dire,
15:10 alors que vous proponez de l'alcool.
15:12 Et vous viendrez donc prochainement
15:14 nous en dire beaucoup plus sur
15:16 Investisseurs TV, dans notre émission "Levé de fonds".
15:18 - J'ai hâte d'y être. - Merci. - Au revoir.
15:20 - Vincent Fillon, bonjour. Vous êtes le fondateur de la
15:22 start-up Jaycan. Vous rencontrez
15:24 aujourd'hui les investisseurs dans le cadre
15:26 de l'État parisien
15:28 du founder,
15:30 investor, Meetup, hébergé par
15:32 Néoma. Alors,
15:34 Jaycan, qu'est-ce que c'est exactement ?
15:36 - Alors, Jaycan est une plateforme de micro-financement
15:38 solidaire dédiée à l'éducation.
15:40 On s'attaque au sujet du financement
15:42 des projets à l'école, ces projets qui sont
15:44 très importants, sorties scolaires,
15:46 au théâtre, au cinéma,
15:48 intervenants dans la classe, mais aussi toutes sortes de
15:50 projets collaboratifs ou de ressources numériques.
15:52 Le problème pour l'enseignant de ces projets,
15:54 c'est qu'il a toujours besoin d'un budget
15:56 et qu'il n'a pas de solution adaptée aujourd'hui
15:58 pour avancer sur la recherche de financement.
16:00 Les financements publics sont
16:02 compliqués et mal adaptés à ces petits montants
16:04 et recourir aux parents,
16:06 c'est bien, mais l'enseignant se pose
16:08 toujours la question de quelle est la famille la plus fragile
16:10 dans sa classe et adapte sa demande
16:12 à cette famille la plus fragile.
16:14 Jaycan booste les projets de l'école
16:16 en proposant une plateforme de micro-financement
16:18 solidaire qui va couvrir l'ensemble
16:20 des besoins de levée de fonds
16:22 des porteurs de projets de l'école, que ce soit
16:24 des enseignants ou des associations.
16:26 À quel stade d'avancement êtes-vous de ce
16:28 louable projet ?
16:30 Jaycan tel qu'il est, existe depuis
16:32 un peu plus d'un an.
16:34 On a déjà fait un certain nombre de tests
16:36 sur le terrain et on a eu la chance de
16:38 signer, il y a maintenant quasiment
16:40 un an, un partenaire stratégique
16:42 avec l'OCCE qui anime
16:44 45 000 coopératives scolaires partout en France
16:46 et qui, aujourd'hui, crée
16:48 vraiment notre croissance.
16:50 On est en train de préparer une rentrée 2024-2025
16:52 pour laquelle on aura vraiment
16:54 un nombre d'établissements scolaires beaucoup plus important
16:56 que ce qu'on a pu connaître jusqu'ici.
16:58 Et pour cela, comme pour les projets
17:00 que vous accompagnez, que vous soutenez
17:02 vous aussi, vous avez besoin d'un moyen.
17:04 Combien et à quel usage
17:06 ces fonds vont-ils vous servir ?
17:08 Nous recherchons 400 cas en Equities.
17:10 Le but, c'est d'arriver à avoir
17:12 une roadmap pour les 15 mois qui viennent
17:14 et passer justement cette rentrée 2024-2025
17:16 en confirmant
17:18 notre traction à grande échelle.
17:20 Ces fonds vont servir à deux choses.
17:22 D'abord, à nos développements
17:24 informatiques, puisqu'on est une plateforme
17:26 et donc beaucoup de services doivent être automatisés
17:28 pour gérer ces grands nombres
17:30 d'écoles, mais aussi
17:32 en développement commercial, puisque 45 000
17:34 écoles, on a beau avoir une aide très forte de la part
17:36 de la Fédération et des associations départementales,
17:38 on a besoin d'entrer en contact avec tous ces enseignants
17:40 et pour cela, on a besoin de moyens.
17:42 Et pour tous les investisseurs intéressés, vous viendrez
17:44 prochainement dans notre émission Levé de Fonds
17:46 pour nous en dire davantage.
17:48 Avec grand plaisir.
17:50 Merci Vincent.
17:52 Hélène Azevedo, bonjour. Vous êtes la fondatrice
17:54 de Modco. Nous nous retrouvons aujourd'hui
17:56 dans le cadre du Paris
17:58 Founder Investor Meetup
18:00 où vous rencontrez des investisseurs.
18:02 Alors, vous n'êtes pas inconnue sur la chaîne puisque vous étiez
18:04 venu nous voir au mois de juin dernier
18:06 pour Modco.
18:08 Sincèrement, le projet était un petit peu jeune.
18:10 Depuis, vous avez musclé votre jeu, comme on dit.
18:12 Vous avez déjà, comment dirais-je,
18:14 intégré l'accélérateur
18:16 Headtech de NéoNéoma
18:18 qui se trouve à Reims.
18:20 Vous avez un peu pivoté votre modèle et là,
18:22 j'ai l'impression que vous êtes prête
18:24 sur la grille de départ.
18:26 Alors, déjà, pour nous rappeler Modco,
18:28 V2 si on peut dire.
18:30 Merci de reprendre le temps
18:32 de nous parler, de me parler.
18:34 Donc oui, Modco, c'est une Headtech
18:36 qui sécurise l'usage des téléphones personnels
18:38 des élèves pendant le temps de classe.
18:40 Donc c'est vrai, la dernière fois que j'avais
18:42 présenté notre Headtech,
18:44 on visait les établissements.
18:46 Donc oui, nos utilisateurs, c'est toujours
18:48 ces 12 000 collèges et lycées
18:50 de France. Mais à la grosse différence,
18:52 ces derniers mois, c'est qu'on a davantage
18:54 travaillé avec les collectivités territoriales
18:56 qui achètent les équipements
18:58 pour ces établissements.
19:00 Donc c'est vrai que depuis
19:02 le mois de juin dernier,
19:04 on a lancé de beaux projets
19:06 avec trois départements
19:08 de la Nouvelle-Aquitaine
19:10 qui nous permettent d'expérimenter
19:12 dans un contexte un petit peu plus
19:14 structuré et avec un potentiel marché
19:16 bien plus intéressant.
19:18 La preuve de concept est plus aboutie.
19:20 Exactement. Et donc en effet,
19:22 aujourd'hui, ça relance
19:24 le travail avec les investisseurs
19:26 parce qu'on peut,
19:28 on a des preuves de concept,
19:30 comme vous l'avez dit, qui sont plus pertinentes.
19:32 Du concret. Exactement.
19:34 Alors, rappelez-nous combien vous recherchez,
19:36 et combien de cet argent va-t-il vous servir ?
19:38 Oui, alors aujourd'hui, on recherche 450 000 euros
19:40 avec 300 000 en écoutis.
19:42 Et l'objectif,
19:44 ça va vraiment être de déployer,
19:46 justement de scaler
19:48 le travail auprès des collectivités territoriales
19:50 qu'on a réussi à faire
19:52 ces six derniers mois.
19:54 Et puis, bien entendu, d'internaliser
19:56 notre développement produit
19:58 parce qu'on a vu,
20:00 faire appel à des prestataires, c'est bien,
20:02 mais ça ne nous donne pas toute la souplesse
20:04 de pouvoir faire ça plus vite
20:06 et pour toujours être au plus près
20:08 des besoins de nos utilisateurs.
20:10 Il y a moins de maîtrise, en tout cas.
20:12 Exactement. Pour vous contacter,
20:14 les investisseurs intéressés, comment font-ils ?
20:16 Alors, le site internet modco.fr
20:18 ou bien mon adresse e-mail
20:20 helene@modco.fr.
20:22 Et bien, Hélène, bravo pour votre pugnacité.
20:24 Merci. Et puis, j'espère, je souhaite tout le succès pour Modco.
20:26 Merci beaucoup. Merci à vous. Au revoir.
20:28 Et bien, Céleste, bonjour.
20:30 Vous êtes le fondateur de FanWaves.
20:32 Vous êtes au bureau de Neoma Paris
20:34 à l'occasion de l'étape parisienne
20:36 du Founders & Investors Meetup.
20:38 Alors, FanWaves,
20:40 qu'est-ce que c'est exactement ?
20:42 FanWaves, c'est une solution qui a vocation
20:44 à aider les fans à mieux s'organiser
20:46 pour se rendre sur un événement.
20:48 En fait, on s'est rendu compte qu'à la base,
20:50 quand on veut se rendre sur un match ou un concert,
20:52 tout le monde est toujours motivé,
20:54 mais quand il s'agit de désigner un organisateur,
20:56 il n'y a plus personne. Et ça se comprend, en fait,
20:58 parce que c'est toujours la même personne
21:00 qui va passer en revue des dizaines de sites,
21:02 qui va être redirigée parfois sur plusieurs sites,
21:04 même pour des phases de paiement.
21:06 Puis c'est toujours aussi la même personne
21:08 qui va jongler entre les différentes applis
21:10 pour communiquer avec tout le monde.
21:12 Et puis en bout de course, c'est la même personne
21:14 qui va bien souvent avancer les fonds pour tout le monde
21:16 tout en attendant les remboursements au compte-gouttes.
21:18 Donc c'est beaucoup de points de frustration
21:20 qui sont des freins, en fait, pour profiter de sa passion.
21:22 Donc on a pensé à FanWaves,
21:24 la solution ultime pour les fans,
21:26 qui est une plateforme sociale dédiée aux fans,
21:28 avec la particularité d'intégrer une marketplace
21:30 pour y trouver votre billet d'événement
21:32 et toutes les commodités pour vous de rendre sur place.
21:34 Et le tout au même endroit,
21:36 sans redirection et avec la possibilité
21:38 de partager la facture avec vos amis.
21:40 - Ça existe déjà ce genre d'appli en France ou à l'étranger ?
21:42 - Non. Aujourd'hui, si vous voulez vous organiser,
21:44 vous avez toutes les solutions pureplayer
21:46 qui existent déjà. Justement, vous pouvez aller
21:48 faire vos recherches indépendamment
21:50 sur Booking, sur Skyscanner.
21:52 Vous pouvez tous les faire, c'est ce qui se passe aujourd'hui.
21:54 C'est clairement aussi ce genre de labeur
21:56 qui fait ressortir des données de marché
21:58 qui nous ont motivés. Typiquement, aujourd'hui,
22:00 on s'est rendu compte qu'on passait 4 fois plus de temps
22:02 à organiser nos voyages qu'à les vivre.
22:04 Et que, quand on regarde un peu à l'échelle
22:06 internationale, une personne sur deux
22:08 à l'échelle mondiale se déclare fan de quelque chose
22:10 et qui donc aimerait vivre
22:12 sa passion dans les meilleures dispositions.
22:14 Quand on gratte un petit peu plus,
22:16 on s'est rendu compte qu'à l'échelle aussi mondiale,
22:18 sur l'univers du sport et de la musique,
22:20 40% de la billetterie disponible
22:22 reste invendue, dû à un manque
22:24 de communication. Donc, on a pensé à cette solution
22:26 qui va référencer sur une map et rendre
22:28 visibles vos événements. Et donc,
22:30 derrière, avec tout un process de
22:32 facilitation, regroupé au même endroit,
22:34 de tout réserver de A à Z pour vous y rendre.
22:36 Alors, à quel stade d'avancement êtes-vous ?
22:38 L'application vient d'être inaugurée.
22:40 Elle est sortie le mois dernier. Elle a été présentée
22:42 au CES de Las Vegas. Nous nous avons
22:44 représenté la France sur la partie Sport Tech.
22:46 C'était notre deuxième participation. L'année dernière,
22:48 nous y étions pour la partie Travel Tech.
22:50 Vous recherchez du fonds, apparemment, puisque vous venez
22:52 rencontrer des investisseurs. Combien et à quel
22:54 usage ces fonds vont-ils vous servir ?
22:56 Aujourd'hui, nous recherchons à hauteur de
22:58 1 million d'euros pour nous permettre déjà
23:00 de maintenir le MVP qui vient de sortir,
23:02 le développer d'un point de vue marketing,
23:04 recruter aussi un peu sur la partie Sales
23:06 et se renforcer sur la partie Technique
23:08 pour commencer justement et
23:10 améliorer
23:12 notre portfolio
23:14 et continuer à améliorer,
23:16 à itérer sur ce MVP.
23:18 Et vous viendrez prochainement nous en dire
23:20 davantage, plus de détails
23:22 dans notre émission Levé de Fonds sur Investisseur TV.
23:24 Avec grand plaisir. Merci et à bientôt
23:26 Fahir. Merci.
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