Épisode 3/3 | Créer une marque personnelle forte : La masterclass de Anne Bluteau (Sweet Show)

  • il y a 3 mois
Dans ce nouvel épisode de la légende personnelle, nous parlons méthode.

Pas n'importe laquelle, THE méthode pour créer et développer une marque qui déchire, et surtout méthode que tu peux utiliser pour créer ta propre marque personnelle.

Et pour ça, nous accueillons Anne Bluteau, CEO de la plateforme Sweet Show.

Ce que tu apprendras dans cet épisode :

Comment créer des marques fortes pour émerger dans un marché concurrentiel

Élaborer un univers autour de celles-ci pour ajouter de la valeur

Les faire vibrer au rythme des moments forts de leurs clients.

Si tu veux contacter Anne, c'est ici LinkedIn

Si tu veux découvrir Sweet Show clique ici

Enfin, grâce à Sweet Show, tu pourras partager tes offres et documents de façon illimitée et gratuitement tout l'été !

Tu pourras découvrir comment elles seront consultées par tes prospects et vibrer à leur rythme ;)

En plus, tous tes partages seront accessibles durant 6 mois !

✨ Je m'inscris à la Waiting List ✨

Soutiens La Légende Personnelle :

Abonne-toi pour ne rien manquer de nos pépites d'inspiration et de stratégie digitale.

Partage ce podcast pour propager l'impact du personal branding et de l'entrepreneuriat authentique.

Laisse-nous des mots d’amour sur Apple Podcast

Suis-nous sur Instagram - TikTok - Youtube - Facebook

Tu as aimé cet épisode ? Partage tes impressions sur Linkedin en me mentionnant .

Avant de partir, j'ai un cadeau pour toi !

Je t'ai négocié -20% sur RedactAI, un super outil qui te permet de rédiger des posts LinkedIn à partir d’un contenu (youtube, article de blog, post LinkedIn), de générer un texte à partir d’un sujet et d’idées clés, ou encore, de trouver des idées.

Il te suffit de cliquer ici pour en bénéficier https://redactai.io/?via=lalegendepersonnelle
Transcription
00:00C'est marrant parce que ce mot il était... je l'ai découvert en fait dans la mode.
00:06C'était le début de ma carrière et j'étais dans un métier d'achat. Donc j'étais à la direction des achats
00:13sur une des marques. Dans les quelques derniers mois il y a déjà eu 4000 startups
00:17créées, donc je parle en France, sur des produits IA.
00:22Comment émerger si on est dans son garage ?
00:25Ça marche pas.
00:30Et donc voilà pour faire un parallèle avec la marque personnelle et toi tu t'es aussi appuyé là-dessus
00:39Sur tout ce que tu as pu faire auprès là pour créer Switch.io.
00:44Donc avec un mot, j'adore ce mot, qui est à la fois ton driver et ton obsession, c'est effortless.
00:51Je trouve ça fantastique. Alors c'est marrant parce que ce mot je l'ai découvert en fait dans la mode de
00:57Ce mot, je l'ai découvert en fait dans la mode, c'était le début de ma carrière
01:04et j'étais dans un métier d'achat, j'étais à la direction des achats sur une des marques
01:11et donc on fait intervenir des cabinets de tendances, on va à des conférences pour
01:14comprendre les orientations, la mode de demain à 18, 24, 36 mois pour avoir des grands courants
01:21en fait et lors d'une de ces conférences, un des mots qui est ressorti, c'était la
01:28notion d'effortless et on était dans une ère full digital, plus ça va, plus on était
01:32en train de miniaturiser les choses donc en fait la tenue et le vestiaire de nos égéries
01:38du coup commençait à devenir de plus en plus miniature, les mini sacs versus l'oversize
01:43et tout ça et finalement à la fin on finit par avoir tout dans son téléphone et voire
01:47moins quand on l'a sur sa montre et j'ai trouvé ce terme de se dire comment je fais
01:53pour que la vie soit effortless, c'est-à-dire que finalement j'ai un peu tout à portée
01:56de main, il faut que ça donne de l'impact mais avec le moins d'effort donc il faut être
02:01dans son flot donc j'ai trouvé que ce terme il était hyper fort et je me le suis vraiment
02:07approprié en me disant mais c'est dingue, c'est exactement ce que j'aimerais si je
02:10devais écrire ma vie, je voudrais qu'elle soit effortless, c'est-à-dire que si je veux
02:13avoir un moment d'exception, je veux qu'en fait y arriver le plus facilement possible,
02:19si je dois créer mon entreprise, je veux que ce soit dans un flot où je sois le plus
02:23confortable possible, voilà tout comme ça et effectivement Switcho je l'ai vraiment
02:29créé comme ça en me disant si nous on arrive à comprendre la problématique des équipes
02:34commerciales d'un point de vue data, performance, impact, si on arrive à bien le comprendre
02:42et à le redigérer et à faire simple, alors je pense que j'aurai réussi ma mission.
02:46C'est une grande mission, donc elle est basée sur trois points, le contenu, la notion de
02:55tâche au quotidien et la data.
02:57Et tu vois la data, t'en parlais tout à l'heure, pour moi c'est hyper important,
03:03c'est-à-dire qu'en fait aujourd'hui, alors c'est à la fois très important mais
03:07ça ne peut pas être que ça, je m'explique, aujourd'hui il y a une polémique autour
03:11du métier marketing.
03:12Qu'est-ce qu'on attend du marketing ? Comme en fait on est passé d'une décennie
03:17plus où le marketing gérait des marques et des accès au marché à un moment où
03:23on lui a dit il faudrait générer des leads et de la data pour prendre les meilleures
03:26décisions, à un moment donné le métier du marketing c'est compliqué parce qu'il
03:30faut à la fois avoir une posture de marque et se dire je dois viser long terme mais on
03:33nous demande des résultats de court terme avec la justification héroïste de chaque
03:38action.
03:39Quand on fait de la notoriété, c'est pas héroïste, à court terme ça ne l'est
03:43pas, c'est certain, par contre ça implante les marques pour le long terme, on n'a plus
03:48besoin d'expliquer ce que fait Apple, Coca, voilà.
03:50Donc la data elle est hyper importante globalement et c'est vrai que sur la partie commerciale
03:57ils sont beaucoup plus data driven naturellement puisqu'en fait on les objectif depuis toujours
04:01sur le chiffre d'affaires, leur taux de transformation, leur pipe commerciale, bref
04:04le panier moyen, enfin le volume moyen de business dans le pipe, donc c'est vrai que
04:08c'était déjà très data driven mais encore une fois et si je reviens sur ce que je disais
04:13tout à l'heure, la problématique c'est entre le moment où il y a une interaction
04:16client et le moment où en fait le commercial va pouvoir vraiment actionner et comprendre
04:20où sont ses actions prioritaires, sans data on ne peut pas le faire, ce qui est à un
04:24moment donné où c'est plus nous qui avons le pouvoir, c'est le client et en fait comprendre
04:29ce qui se passe chez le client c'est du quasi impossible et c'est ça qu'on a réussi
04:33à faire.
04:34En fait Switcho en résumé, Marine je te le dis à toi parce que je suis au micro dans
04:37ton studio, Switcho a réussi l'impossible, c'est fort, je pense qu'avec ça on a une
04:42belle tagle, il va falloir l'assumer pour les quelques mois, années à venir, voilà
04:48et donc c'est ce qu'on a voulu faire, c'est vraiment de donner le maximum de visibilité
04:51à des moments où en fait c'est le client qui a le pouvoir et tout ça dans le respect
04:56du client, donc la data dans Switcho elle est clé parce que c'est ce qui permet d'avoir
04:59ces données d'influence, d'intérêt, d'engagement, donc pour vraiment comprendre au mieux de
05:04quoi a besoin le client et est-ce que c'est le bon moment avec un grand respect du client
05:08parce que c'est vraiment ce qui m'anime et les deux autres points c'est le quotidien
05:11parce qu'en fait globalement un commercial lui ce qui l'intéresse et pourquoi il fait
05:16ce métier c'est l'interaction, ce qui drive c'est le moment où on va pouvoir échanger,
05:20ce challenge de dire est-ce que je vais pouvoir gagner la compétition, convaincre, créer
05:24de la relation, une vraie relation, donc ce côté-là du commercial il est hyper clé
05:31mais en fait il y a que 30% de son temps qui est passé vraiment à l'interaction client
05:35donc c'est très faible, ça veut dire qu'il y en a 70% c'est des comptes rendus, remplir
05:40le CRM, faire des actions pour passer du temps sur des PowerPoint, faire des propositions
05:44commerciales, donc il y a plein de tâches opérationnelles qui sont liées au métier
05:50et en fait c'est ça qu'on a voulu faire avec Switcho, c'est se dire que si j'enlève
05:53des parties qu'on peut rendre moins contraignantes comme le contenu, trouver plus rapidement,
05:58envoyer ou dupliquer plus rapidement des offres, les customiser, ne plus avoir de problèmes
06:02de délivrabilité, de propositions qui seraient trop lourdes parce que j'ai en plus une vidéo
06:07à envoyer ou un élément que m'a donné le marketing qui est très lourd, tout ça
06:10on l'a complètement challengé, on l'a enlevé, c'est plus un problème, aujourd'hui
06:15avec Switcho on sait le faire en trois clics, c'est vraiment très simple et la deuxième
06:19chose c'est qu'une fois que j'ai les contenus à dispo et que j'ai pu le partager, il faut
06:23que je puisse facilement le suivre et il faut que ça me permette de collaborer en interne
06:27pour me dire que toutes les strates de l'entreprise doivent l'avoir. Donc Switcho c'est ça,
06:31c'est quelque chose de très effortless, avec un grand respect du client, un vrai focus
06:37sur les contenus parce que l'expérience de marque elle va venir de là, elle va venir
06:41d'un moment de comment je fais pour aller jusqu'au bout du déploiement, de l'exécution,
06:45donc il faut aider sur cet aspect là, contenu, et puis la data pour être beaucoup plus efficace
06:50dans les efforts, plutôt que de relancer à l'aveugle, plutôt que de ne pas savoir
06:53qui est mon interlocuteur, en fait je le sais aujourd'hui et en le sachant on apporte
06:58énormément de valeur parce que du coup on va s'adapter, on va beaucoup mieux s'adapter
07:02et le client il est bénéficiaire de ça. Oui, il n'y a pas de multi-relance, on sait
07:07à quel moment est-ce qu'il est enfin dispo pour faire du business. Ça n'enlèvera jamais
07:12les rituels, en fait on ne vient jamais enlever dans un agenda, on met toujours ce moment
07:16de relance ou de nurturing, par contre se dire qu'on ne s'épuise pas et qu'en fait
07:22on reste serein, parce qu'en fait on a l'info, ça nous assure le moment où si j'ai fait
07:26mon job commercial d'avoir fait ma première ou ma deuxième relance, je vais peut-être
07:30m'arrêter, en fait le deal il va repartir dans trois mois. En fait là je vais le savoir
07:35et je vais pouvoir de nouveau me dire est-ce que je peux vous donner une autre information,
07:39est-ce qu'on peut refaire un point, quelles sont les informations sur ce sujet là qui
07:42pourraient vous aider à aussi maturer le sujet à chez vous, ça change complètement
07:47cette notion parce qu'elle n'est pas linéaire aujourd'hui la vente, donc en fait il faut
07:50pouvoir être présent dans cet rythme, c'est pour ça que je parle beaucoup de vibrer au
07:54rythme du client, c'est en comprenant le moment pour lui, en fait on s'assure d'être
07:58là au bon moment avec les bonnes informations.
08:00Et alors toi tu es allé plus loin que juste créer une audience sur LinkedIn, tu as créé
08:07une communauté, SweetShow, pourquoi est-ce que tu as créé une communauté SweetShow ?
08:12Alors pour moi, le sujet à la base c'est de me dire que seul, je ne ferai rien d'incroyable.
08:20Je n'ai jamais voulu faire une aventure entrepreneuriale où j'étais seule, sans écosystème.
08:27L'objectif aujourd'hui c'était vraiment d'avoir des métiers, des personnes qui ont
08:32la même vision du service client au sens comment j'ai envie de développer mon business,
08:38avec des cibles qui peuvent être très proches ou un peu plus éloignées et en fait à ce
08:43moment là naturellement je me suis dit en fait je veux un écosystème de partenaires.
08:47C'est ça parce que je dis communauté, c'est plus un écosystème qui deviendra ou qui est
08:52devenu un peu une communauté mais finalement ton sujet initial c'était un écosystème.
08:56Pour nous l'objectif c'était vraiment d'avoir un écosystème de partenaires qui a des enjeux
09:00communs, qui a des expertises assez différentes et qui quand on se mélange on a une intelligence
09:05collective incroyable, on va beaucoup plus vite, on partage des choses très opérationnelles
09:11et en gros on a créé un écosystème qui a effectivement comme tu le dis vocation à
09:15être une communauté mais encore une fois petit pas par petit pas, il faut itérer, tester, voir
09:21ce qui fonctionne, quelles sont les attentes, comment on crée ce lien et ça crée un lien de
09:26proximité qui est hyper intéressant avec les partenaires parce que vraiment on se voit tous
09:31les mois, on échange, on interagit, on a en fait des rendez-vous, des échanges avec des partages
09:37très pragmatiques, ça dure pour être très précis 35 minutes, tout est minuté et l'objectif c'est
09:44de valoriser chaque partenaire pour dire voilà en fait le partenaire fait ça, est-ce que vous
09:49avez des questions pour lui, voilà ce qu'il va pouvoir vous présenter et moi je présente les
09:52offres et l'objectif c'est vraiment qu'on comprenne ce que chacun fait parce qu'en fait on a des
09:56synergies dingues à créer ensemble et ça a déjà commencé. C'est fort, du coup ce que ça t'apporte
10:05c'est de la visibilité. Visibilité, des leads parce qu'en fait on a des écosystèmes et des clients
10:12qui sont parfois dans les mêmes univers donc l'objectif c'est visibilité pour les uns et les
10:18autres, des leads et puis d'avoir en fait un écosystème sur lesquels on peut être apprenant
10:22sur des marchés assez différents mais ça nous permet d'être beaucoup plus pertinent avec nos
10:26propres clients en fait. Donc c'est les trois points. Communauté apprenante dans laquelle on
10:30peut faire du business et vraiment s'est revendiquer. Si il y a une société qui a besoin et qu'il y a
10:36un des partenaires qui fait ce genre de service, tout le monde connaît son offre, peut le retrouver,
10:40on a une data room qui est partagée avec toutes les offres de tout le monde et les replays. Enfin
10:44bref c'est vraiment hyper objectif business entre nous et la visibilité puisque ça permet aussi aux
10:51uns et aux autres d'interagir, de pouvoir rebondir sur des sujets, sur les réseaux, sur LinkedIn par
10:55exemple. Donc visibilité. Donc d'avoir un écosystème qui devient une communauté et demain un collectif.
11:01Et demain un collectif, j'ai envie de dire qu'on l'a déjà quasiment un peu, c'est à dire qu'on
11:06commence déjà à faire des projets sur des clients communs. Donc c'est le démarrage, mais je pense
11:13que oui, je pense que quand on sera suffisamment, quand on aura bien compris les offres des uns et
11:18des autres, que pour faire un collectif il faut forcément avoir très bien compris l'expertise
11:22des uns et des autres. La communauté, maintenant on l'a commencé en octobre je crois l'année
11:27dernière, donc on n'a pas encore un an, donc il faut encore partager, échanger et au fur et à
11:33mesure les liens vont se faire et la compréhension des offres va être très bonne. Je te propose un
11:38petit jeu maintenant. Allez. T'es prête ? Tu es joueuse ? Ouais ouais. Je vais te poser plein de
11:44questions en rafale. Ok. Il faut que tu répondes du tac au tac. D'accord. Tu pourras revenir sur
11:51trois questions à la fin. T'es prête ? C'est parti. As-tu peur du flop ? Oui. Est-ce qu'il faut
11:58mettre de côté son ego pour réussir sur les réseaux sociaux ? Oui. Quelle est la chose la
12:05plus folle qui te soit arrivée ? Bonne question. La plus folle qui me soit arrivée ? Avoir quelqu'un
12:12qui me... alors c'est orienté réseaux sociaux du coup, mais avoir quelqu'un qui me tag et un business
12:17qui se fait directement quasiment dans le poste. Magnifique. Est-ce que tu as déjà été plagiée ? Je
12:24ne sais pas. Les réseaux sont un job à plein temps ? Non. On te reconnaît dans la rue ? Non.
12:31Tu as beaucoup de haters ? Bientôt, bientôt, bientôt. T'as beaucoup de haters ? Non,
12:37sincèrement non. Pour ou contre les selfies ascenseurs ? J'ai beaucoup de mal. Tu fais des
12:44détox de réseaux sociaux ? Pas beaucoup. La série que tu binges ? Je passe. Insta ou TikTok ? Insta.
12:59LinkedIn ou Insta ? LinkedIn. Avec quelle marque t'aimerais faire une collab ? Ah, bonne question,
13:06Canva. Tu passes une mauvaise journée si ton compte tu ne prends pas ? Non. Est-ce que tu
13:13utilises tout le temps ChatGPT ? Très souvent. As-tu eu un succès inattendu sur un contenu tout
13:18pourri ? Photo selfie. C'est déprimant. Une audience LinkedIn ou Insta donne-t-elle de l'autorité ? Oui,
13:31LinkedIn en tout cas. Est-ce que tu passes souvent dans des podcasts ou des plateaux télé ? Dans
13:37ma vie d'avant plus et ça commence là. LinkedIn est un gros canal d'acquisition de clients ? Oui.
13:45T'as déjà fait un bad buzz ? Non, pas encore. C'est quoi ton plat préféré ? Pokéball saumon. Le
13:58film que tu connais par cœur ? Ouais, je pense que je vais quand même dire celui-là, c'est
14:06la cité de la peur. Parce qu'il y avait aussi Les bronzés font du ski. Les deux, c'est du haut
14:11niveau. Mais on découvre à chaque fois des nouvelles blagues. Mais c'est ça ! C'est qu'on peut le
14:17re-regarder. Parce qu'il y a des blagues dans la blague, etc. Et là on se dit, oh la la, mais
14:20quelle profondeur cinématographique, c'est incroyable. Quand même le film dans le film,
14:25dans la cité de la peur. On est quand même limite sur du lelouche. Le pire conseil qu'on t'ait
14:32jamais donné ? Sois simple. Le pire conseil que tu aies donné à quelqu'un ? Fais comme je te dis.
14:40Le métier que tu rêvais de faire enfant ? Aventurier. La chanson que tu aurais aimé
14:47écrire ? Là-bas. Si tu pouvais avoir un super pouvoir, ce serait quoi ? Orateur. Pas mal. Ton
15:00plaisir coupable ? Inavouable. Je réfléchis entre, alors attends, est-ce que c'est l'apéritif entre
15:07amis, le chocolat en venant ? Il y a des polémiques quand même qui sont assez importantes. Je dirais
15:13l'apéritif avec des potes. Le chocolat est beaucoup sorti. Oui, c'est pour ça que je me dis qu'il faut
15:18quand même faire un peu plus original. Ça va faire un peu alcoolique. Mais cependant, c'est
15:21quand même dire non à ça. L'apéritif avec les copines, c'est compliqué. C'est vrai que c'est
15:26sympa. Le dernier film que tu as vu au cinéma ? Bonne question. C'était avec les enfants. C'était
15:35un animé. Le premier film que tu as vu au cinéma ? Le grand bleu. Est-ce que tu as une phobie ? Les
15:47serpents, certainement. Tu es accro aux réseaux sociaux ? Non. Est-ce qu'il y a un livre qui a
15:54changé ta vie ? Le dernier de la classe, du fondateur de Danone. Est-ce qu'il y a un conseil qui a changé
16:02ta vie ? Teste, tu n'as rien à perdre. Ça, c'est un truc des bronzés. Oui, aussi. Oublie que tu n'as
16:10aucune chance. Ils foncent. Sur un malentendu, ça peut marcher. Est-ce que ça crée une tendance sur les
16:15réseaux sociaux ? Non. Est-ce que tu as vu un de tes postes devenir un sujet de discussion dans les médias ?
16:23Oui, dans ma vie d'avant, effectivement. On a fait un produit connecté. C'était important. Ton
16:32chiffre d'affaires est-il lié à ta présence sur les réseaux ? Non, je ne peux pas dire ça. Est-ce
16:37que tu as été approché par des investisseurs grâce à tes contenus ? Oui. Ta stratégie du
16:43contenu influence directement la croissance de ta boîte ? Oui. Un bad buzz reste un buzz et c'est
16:48intéressant. Non. Tu te compares aux autres ? Oui. Tes contenus sont-ils un avantage concurrentiel ?
16:54Oui, je pense. Est-ce qu'il faut avoir une routine de création ? Oui. Les réseaux sociaux sont-ils plus
17:00importants qu'un CV ? Non. Est-ce que tu as déjà regretté un poste ? Non. L'authenticité prime-t-elle
17:09sur la qualité ? J'aurais aimé répondre oui à cette question, mais malheureusement j'en suis pas
17:16encore là. Donc je dirais non, mais à regret. Et la quantité prime-t-elle sur la qualité ?
17:22Non, ça c'est sûr que non. Est-ce que les réseaux sociaux sont indispensables au succès ?
17:28Oui. Pourquoi ? Je pense qu'aujourd'hui, avoir juste une offre, on est dans un monde qui est
17:39complètement débordant d'offres. Il suffit de regarder. Si on prend juste les courants IA, dans
17:45les quelques derniers mois, il y a déjà eu 4000 startups créées, donc je parle en France, sur des
17:51produits IA. Comment émerger si on est dans son garage ? Ça marche pas. Donc c'est pour ça que
17:59je réfléchissais. Je pense vraiment qu'aujourd'hui, un des canals les plus efficaces pour émerger et
18:06avoir une posture, les réseaux sociaux en font partie. Il faut vraiment l'utiliser parce que
18:13il y a du paid media, mais il y a quand même beaucoup de riche et de earned media. Donc pour
18:18moi, les réseaux sociaux, oui, c'est un point hyper important aujourd'hui. Et est-ce qu'ils sont trop
18:22influents ? Trop influents, c'est juste un courant très profond au sens où avant, on allait être
18:34influencés par du mass media, de la télé, de la radio, de l'affichage. On allait être influencés
18:40parce que dans la rue, quand on allait faire du shopping, on allait voir telle enseigne,
18:43telle marque, tel magasin. Aujourd'hui, le mass media, il a perdu des parts de marché face aux
18:52réseaux sociaux. Le retail, si on prend le commerce, le taux de trafic descend de 15% chaque
18:58année. Donc ça montre bien qu'il y a d'autres canaux aujourd'hui de visibilité d'acquisition. Les
19:04réseaux sociaux en font largement partie, pour ne pas dire que c'est le numéro un. Donc aujourd'hui,
19:11penser qu'on peut créer une marque, être absent sur les réseaux sociaux ou peu présent, me semble
19:17dénué de sens, voire impossible. Est-ce que tu as peur quand tu appuies sur le bouton publier ? Non.
19:24Les réseaux sont-ils une source de stress ? Non. Est-ce que tu as décroché des rendez-vous avec
19:31des personnes normalement inaccessibles grâce à ton audience ? Alors inaccessible, je n'irai pas
19:36jusque là. Mais effectivement, tu te dis que ça va être compliqué. Et en fait, tu y arrives.
19:41Peut-on dire que tu es hyper connecté ? Oui, quand même. Est-ce une pression supplémentaire de
19:48construire sa marque personnelle ? Alors dans mon cas, vraiment, oui, parce que j'ai envie de bien
19:55le faire. Sa marque personnelle, c'est soi, c'est ce qu'on véhicule, c'est les valeurs qu'on a envie
20:00de porter. Donc la pression, elle vient vraiment du fait, j'ai envie de dire, d'être aligné avec ce
20:07qu'on propose. Donc ce niveau de qualité dont tu parlais là tout à l'heure. Donc oui, il y a quand
20:12même une auto-pression, mais comme un compétiteur qui se prépare et qui n'a pas envie de rater le
20:16moment fatidique de la compétition. De la même façon, oui, ça met une certaine pression de se
20:22dire je veux être aligné. Parce que que ça fasse un flop ne me pose pas trop de problèmes. Sincèrement,
20:27ça arrive et je veux dire, c'est pas grave. Par contre, que ce que finalement je ne sois pas aligné
20:33avec, parce que j'ai essayé de prendre des propos d'autres ou c'est pas exactement le sens de ma
20:38pensée, ça me pose un problème. Doit-on tout raconter sur les réseaux sociaux ? Ah non, mais
20:45clairement, moi j'ai beaucoup de mal avec ça. Donc non, le selfie, le plat, le resto, il y a
20:52plein de choses, j'ai quand même beaucoup de mal avec ça. Je pense qu'après, il y a une
20:57façon de le raconter malgré tout. C'est-à-dire qu'on peut très bien partir d'un moment, partir
21:02d'une expérience et raconter l'histoire, ce qui fait qu'on embarque beaucoup mieux. Donc je pense
21:07qu'en ce sens, on peut quelque part un peu tout raconter. Mais c'est vrai qu'après, il y a des
21:13situations, sincèrement, quand il n'y a pas de la fameuse création de valeur, si on ne crée pas de la
21:17valeur avec un sujet, je ne vois pas l'intérêt. Tu t'es déjà dit que tu allais tout arrêter ?
21:22Alors, tout arrêter... Oui. Oui, plutôt, mais là, c'est de l'introspection personnelle. C'est
21:32de se dire, de juste remettre en perspective ses valeurs et de se dire finalement, est-ce que je
21:38suis dans le droit chemin ? Est-ce que je délivre bien ce pourquoi ? Justement, sa propre vision
21:42personnelle. Et puis, il y a des moments de la vie où on a des accidents proches de soi et on se dit
21:49finalement, est-ce qu'on est au bon endroit ? Donc, c'est plus ça qui est questionnant et je trouve
21:53ça plutôt sain de se poser ces questionnements. C'est pour ça, quand tu me demandes, effectivement,
21:57est-ce que je suis réseau addict ou est-ce que c'est vraiment... J'ai toujours cette ambiance de
22:02dire, pour moi, j'adore. Je trouve que c'est hyper stimulant de voir toute cette énergie sur les
22:07réseaux, de se dire qu'on crée quelque chose qui est vraiment sa propre marque ou la marque de son
22:11entreprise. Donc, je trouve ça très intéressant. Mais il faut toujours aussi raison garder ou tout
22:15du moins avoir ce recul de dire, qu'est-ce que je suis en train de construire ? Donc, c'est vrai
22:19que raison pour laquelle, oui, à la question, est-ce que tout plaqué ? Oui, je pense que oui.
22:24Est-ce qu'il faut écrire pour les algos ou pour les humains ?
22:27Je suis trop humain sensible, humain.
22:30Est-ce qu'il y a un prérequis pour se créer une marque personnelle ?
22:33Oui, pour moi, et c'est là où j'ai encore, je pense, un peu de travail à faire, c'est
22:38l'alignement. En fait, pour moi, le prérequis, c'est si on est hyper à l'aise avec ce qu'on
22:45dit et qu'on délivre, on est très fort. On est très fort. Justement, c'est toute l'authenticité
22:49dont on parlait tout à l'heure. Pour moi, le prérequis, il est là. Si tu es authentique,
22:54forcément, tu parleras de ton expertise, de ce qui t'anime vraiment au fond de toi et tu
22:59trouveras des chemins de traverse pour raconter l'histoire, pour expliquer, pour donner de la
23:03valeur, expliquer des concepts. Je trouve qu'il y a des personnes qui sont très fortes sur ça
23:09pour venir expliquer des choses en simplifiant, en donnant de l'impact. Et du coup, c'est
23:14l'alignement qui crée beaucoup de valeur. Il crée beaucoup d'efficacité dans le message et ça crée
23:18à la fin une vraie marque parce qu'on reconnaît la personne pour son propos et du coup tout ce
23:22qu'elle porte avec. Pour moi, c'est l'alignement. Dernière question. A-t-on loupé sa vie si on n'a
23:29pas un compte LinkedIn avec 50 000 abonnés à 40 ans ? Si c'était le cas, j'aurais vraiment loupé
23:35ma vie. Qualité versus quantité. Non, je pense que c'est un objectif. Ce qui peut être marrant
23:43de se dire je veux avoir ça. Mais encore une fois, c'est quelle audience on a derrière. Moi,
23:47c'est vrai que j'ai une audience qui est extrêmement qualitative. Les gens sont vraiment
23:52impliqués quand je poste. J'ai un gros taux d'engagement et c'est un des points qui m'épatte
23:57moi et quand j'en parle, qui épatte les personnes avec qui j'en parle. C'est plutôt, pour moi,
24:03qualité. Et par contre, demain, quand je serai à 50 000, je reviendrai devant en me disant oui,
24:06tu comprends, j'ai 50 000. J'ai réussi ma vie. Moi, je voulais revenir sur le livre.
24:12Le dernier de la classe. Pourquoi ça a changé ta vie, ce livre ? En fait, ce que j'aime bien,
24:18c'est qu'il est un livre de doueurs, bien avant l'heure. Et en gros, il explique qu'il était
24:24complètement mauvais à l'école, qu'il était donc remisé au fond de la classe et que de toute
24:31façon, il n'avait pas des bonnes notes. C'était vraiment ce qu'on pourrait appeler un loser versus
24:36un doueur. Mais voilà, ce n'était pas quelqu'un qui était bon à l'école. Et en fait, il explique
24:42comment, finalement, il a créé son empire. Et ça s'est fait de façon hyper simple. Encore une fois,
24:50étape par étape. Et en fait, ce que j'ai retenu de ce livre, parce que je l'ai lu quasiment,
24:54je crois que je n'avais même pas 18 ans. Ce que j'ai retenu de ce livre, c'est que... Ah oui,
24:59d'ailleurs, qui m'a été recommandé par une personne, parce que j'ai fait une formation sur
25:04l'entrepreneuriat. J'ai choisi, en fait, dans mon école de commerce, une expertise sur l'entrepreneuriat.
25:08Et du coup, il me l'avait recommandé. Donc, oui, c'était à 18 ans. Et ça m'a bouleversée,
25:14parce que je me suis dit, finalement, on peut construire des montagnes à partir d'une idée et
25:19d'un peu de courage. Et il faut arrêter d'avoir peur de se tromper, parce qu'en fait, tu ne sais
25:25pas... Tu ne peux pas présager, quand tu le crées, jusqu'où ça va aller. C'était Antoine Riboud.
25:33Donc voilà, ce qui m'a marquée, c'est que c'est un doueur avant l'heure qui a monté un empire sur
25:41des produits du quotidien. Yaourt, laitage, et puis après, tout ce qu'on connaît. Il y avait
25:47une usine de verre dans tout ça. C'est un empire assez incroyable. Et il était dernier de la classe.
25:52Donc, je pense qu'avec du courage, une intelligence de situation relationnelle,
25:58voilà, je pense qu'il ne faut pas juger sur juste ses performances scolaires.
26:03Pourquoi « Fais simple », c'est un mauvais conseil ?
26:05Pourquoi c'est un mauvais conseil ? Pour moi, ça résonne, parce que j'ai toujours pensé concept.
26:12Donc, j'ai une approche conceptuelle quand j'explique les choses. Et quand on me dit « Fais
26:17simple », pour moi, c'est très compliqué. Parce qu'en fait, c'est une démarche. Pour arriver à
26:21faire simple, il faut que je digère les choses, que je comprenne encore mieux les choses pour
26:25pouvoir les redonner de façon assez « straight to the point ». Et donc, « Fais simple », pour moi,
26:32c'est quelque chose qui est très dur à entendre, parce qu'en fait, on s'évertue. Enfin, moi,
26:37en tout cas, je m'évertue à être audible et simple. Et du coup, c'est difficile. Quand ce n'est
26:42pas quelque chose qui est inné, c'est difficile. Et tu vois, on parlait de Guillaume Moubeche tout
26:46à l'heure. C'est vrai qu'il a cette capacité à simplifier les discours qui, pour moi, j'aime
26:52beaucoup ça. Je trouve que ça rend les choses démocratiques. Et je trouve que quand on reste
26:58dans du jargon, qu'on est compliqué, qu'on est dans des concepts, ça peut créer un éloignement,
27:03une distance qui n'est pas ce que je veux. Donc, quand je dis « Fais simple », c'est un mauvais
27:09conseil. C'est juste que ce n'est pas si simple de faire simple. Et du coup, c'est très dur de faire
27:14simple. Et donc, c'est pour ça que je dis « Effortless ». Moi, ma mission, c'est vraiment de se
27:18dire comment je fais pour que quand je le délivre, ce soit le plus sans effort, le plus simple. Et ça
27:22me demande beaucoup d'énergie. Est-ce qu'il y a certaines questions sur lesquelles tu veux revenir ?
27:27Non, écoute, je pense que j'ai développé les idées que je voulais te partager. Donc, super.
27:33Si tu devais tout recommencer à zéro, aujourd'hui, qu'est-ce que tu ferais en premier ?
27:38Alors, je pense qu'en premier, j'irais dans des événements. Enfin, je me mettrais dans des réseaux
27:44qui sont dans mon marché. Moi, aujourd'hui, je suis CEO d'une entreprise SaaS. Je ne viens pas du
27:51SaaS. Je n'ai jamais fait de développement logiciel. On peut toujours dire que lancer des sites web,
27:57c'est du digital. Mais c'est quand même très différent dans un abonnement de réfléchir au
28:01parcours client de cette façon-là. Et j'ai découvert des écosystèmes qui sont hyper riches et qui
28:07m'auraient permis d'apprendre beaucoup plus vite. Et ça, je dirais que c'est le premier conseil que
28:11j'aurais donné, c'est de choisir deux ou trois écosystèmes et d'aller à tous les events. Je
28:17pense par exemple à SaaS Stock pour les produits SaaS. C'est des patrons de grosse scale-up qui
28:26prennent la parole pour expliquer en très one-to-few, on est 30, on est dans les bureaux,
28:31comment ils ont réussi à scaler, comment est-ce qu'ils ont mis en place pour tester ce type de
28:37produit ou pour faire du product-led growth, c'est-à-dire avoir de la croissance portée par
28:42son produit. C'est très apprenant. J'étais à la conférence de Partoo, il y a très peu de temps,
28:47c'était il y a un mois, celle de Penny Lane le mois d'avant. Donc c'est vraiment du très haut niveau
28:52avec un décryptage hyper intéressant et qui permet, alors il faut déjà avoir un petit socle,
28:58mais globalement au fur et à mesure d'apprendre très vite les concepts et de se dire ok, là
29:02peut-être no go, enfin d'avoir un esprit critique, de se faire un peu ses propres matrices. Donc ça
29:06sera un peu le premier conseil, il y a des écosystèmes qui sont accessibles, ouverts et qui
29:11permettent d'apprendre beaucoup plus rapidement. Donc je dirais que le premier conseil c'est ça.
29:16Le deuxième que je donnerais, c'est de systématiquement, chaque semaine, rencontrer
29:23une nouvelle personne. Et ça je trouve que dans cette notion, alors moi aussi je vis cette
29:28aventure entrepreneuriale aussi pour ses interactions, je trouve que ça crée beaucoup de
29:31valeur et c'est aussi ce qui fait qu'à un moment donné j'ai autour de moi une communauté des gens
29:35avec qui j'ai vraiment échangé, on a vraiment partagé des choses. Mais je trouve que ça apprend
29:40plein de choses et ça permet de partager de façon très simple. Donc c'est pour ça qu'il n'y a pas
29:46que les réseaux sociaux, il y a aussi la vraie vie, le IRL, in real life. Je trouve que c'est
29:55le deuxième point, c'est ça, c'est de se dire sortons de chez nous, faisons un café ou un
30:01e-café par semaine ou un dej si on peut, pour rencontrer une personne. Et ça fait quand même
30:07une cinquantaine de personnes dans l'année, on va enlever quelques semaines en vacances,
30:11mais ça fait quand même du monde. Et comment tu les choisis ces personnes ? Réseau de réseau,
30:16justement les événements. Tu peux très bien sortir d'un rendez-vous, d'un événement,
30:23ça stocke, faire deux rencontres et te dire ça serait super chouette qu'on puisse échanger sur
30:29nos pratiques dans les prochaines semaines. Bah oui tout à fait, je t'envoie mon agenda et puis
30:34on trouve un moment pour se prendre un café, un e-café ou un dej. Voilà donc ça c'est un exemple,
30:39c'est tout simple. Mais c'est vrai que quand on a un premier échange in situ, ça crée un lien qui
30:46est beaucoup plus fort que juste sur les réseaux. C'est pour ça qu'il y a toujours les réseaux,
30:50mais je ne suis pas complètement réseau dépendante parce que pour moi il y a aussi
30:52beaucoup de choses qui se passent en réel. Ça stocke, ça se passe où ? Alors c'est
30:58beaucoup à Paris, le prochain je crois est dans trois semaines et sinon c'est un mouvement qui
31:06vient de Londres, qui est présent dans tous les pays et là ça a été relancé il y a quelques
31:10mois par une super société qui s'appelle Fincom, Vincent qui est le DG, qui porte ça et c'est hyper
31:18chouette. On mettra le lien dans le commentaire pour ceux que ça pourrait intéresser.
31:23Toi quel est le conseil que tu aurais aimé recevoir quand tu t'es lancée ?
31:28Aller très très vite crash tester et avec les moyens proches de zéro, c'est-à-dire juste
31:38pitcher et de la même façon vous avez une cible, on a une cible, aller dans un événement où cette
31:45cible est et tester juste le pitch. Ça coûte zéro, il n'y a pas besoin de savoir faire un compte ou
31:51une landing page, enfin c'est vraiment, il n'y a rien de plus simple et ça permet de tester tout
31:57de suite plein de choses. Ça permet de tester du wording, de voir si dans le regard de l'autre c'est
32:00compris, s'il y a de la valeur, comment il faut ajuster les choses. Donc je trouve qu'un des
32:06premiers points c'est de profiter du monde réel pour ensuite aller faire son extension en digital
32:11et prendre la parole sur les réseaux. En fait ça évite aussi parfois ce moment où on n'a pas de
32:16positionnement, où on ne sait pas exactement quel est le message. Voilà ça permet d'aller vraiment
32:19straight to the point et on a le retour, le feedback qui est qualitatif, ça équivaut aux
32:23études qualitatives, on parlait quanti-cali, c'est un peu la même chose, c'est tu commences en vrai
32:28et puis après derrière une fois que tu as compris un peu mieux, peut-être que tu pars avec trois
32:31hypothèses mais tu peux les tester en volumique sur les réseaux. Tu ne perds pas de temps du coup
32:36tu peux continuer ton itération. C'est tout de suite et tu vois bien si ça fait un écho en face.
32:42Comment tu vois l'évolution de la marque personnelle dans les prochaines années et son impact sur le
32:46business ? Je pense vraiment que ça va être de plus en plus important parce qu'aujourd'hui
32:53marque personnelle, très rapidement on pense à CEO C-level, encore plus en digital que dans
33:00les boîtes corporate ou de l'économie plus dite traditionnelle et solo-preneur slash freelance.
33:08Or en fait aujourd'hui, chaque personne à sa carrière, on voit que de plus en plus on a fait
33:19une première partie de salariat et puis finalement on veut entreprendre ou l'inverse on commence par
33:24entreprendre puis finalement on fait un peu de salariat. Bref tout se mélange et ça veut dire
33:27que je pense que ce qui aujourd'hui est perçu comme un moyen de se vendre quand on est solo-preneur
33:33ou quand on est C-level pour se faire identifier et faire identifier la marque qu'on a juste au-dessus
33:37de soi, ça va devenir complètement la norme d'avoir une présence sur les réseaux, de gérer sa
33:42propre marque au sens quel message, quelle est mon expertise, qu'est-ce que je peux partager et ça va
33:48nous suivre tout au long de la carrière en fait. Donc je pense qu'aujourd'hui, on n'en a encore
33:53qu'au tout début de la marque personnelle et que créer sa propre marque, encore une fois pour une
33:59vision de court terme et de long terme, ça va devenir un indispensable pour en fait être complètement
34:04cohérent dans son parcours et dans sa posture, au moins en termes d'alignement sur ces valeurs.
34:09Voilà parce qu'après les offres, on sait qu'on peut aussi changer de boîte mais donc pour moi
34:15important. Et comment est-ce qu'on fait pour ne pas être hyper dépendant des réseaux sociaux dans
34:19ce contexte ? Pour moi, on en revient à c'est quoi la valeur de la création du lien que l'on crée.
34:26C'est-à-dire que les réseaux sociaux permettent d'aller toucher plus de monde en un temps plus
34:32court. Ça n'empêche qu'il y a toujours une communauté qui est beaucoup plus proche d'une
34:38fin très noyaux et puis il y a des communautés qui vont se créer au fur et à mesure et ça va
34:42faire un écosystème. Pour moi, l'alternative clairement c'est aujourd'hui quand même le monde
34:47réel. Enfin là, je voyais une conférence qui était sur le grand retour des salons que tout le monde
34:51avait dit mort. Sauf qu'à un moment donné, on a juste envie de voir son écosystème, ses clients,
34:56ses partenaires, ses prospects. On voit aujourd'hui que sur les événements, en fait la
35:02dimension intermédiaire du un peu happy few marche très bien. Là où un événement à 5000 ou 10000
35:08personnes va peut-être un peu moins marcher. Donc on voit que cette notion de créer du lien de façon
35:13assez deep, profonde, c'est hyper important et ça fait complètement le bon balancier avec. Je peux
35:19continuer à avoir une extension sur les réseaux. C'est exactement la même chose. Si on prend sur
35:24le retail, on est exactement la même chose. C'est-à-dire qu'on a des shops qui sont des
35:28vitrines des concept-stores. On va aller sur les champs, on va aller sur quelques concept-stores
35:33et la suite en ligne ou chez des revendeurs. C'est exactement la même chose. Donc il faut avoir des
35:38moments où on crée une relation très forte et ça souvent il y a cette notion de présentiel de
35:43monde réel. Et puis on va avoir l'extension sur les réseaux. Donc pour moi, je pense qu'on est
35:48dans un moment où il y a quand même ces deux choses qui se contrebalancent. Est-ce qu'il y a
35:53une tendance émergente qu'on devrait surveiller ? Alors deux à mon sens. Le premier c'est sur la
36:02partie, si on reste sur la partie personal branding et images personnelles, c'est le salariat qui en
36:09fait teste des choses en side project. Il y a une personne qui est hyper intéressante à suivre en ce
36:15moment qui est Flavie Prévost, qui a lancé le podcast Le Board il y a très longtemps, qui a
36:21lancé un écosystème et qui lance là une offre qui s'appelle Salariés Diversifiés. Je trouve que c'est
36:26hyper juste. Je trouve que c'est vraiment dans l'air du temps. Les études montrent que les
36:31personnes en poste se posent la question de se mettre à un moment donné en freelance, en
36:37auto-entrepreneur ou autre. Donc je pense que ça va dans le sens de la
36:42marque personnelle en fait. Ça montre qu'on est dans l'entreprise et puis on a parfois soit un
36:47temps partiel, soit on a dégagé un peu de son temps pour faire un side project ou alors on va
36:50être à un moment donné auto-entrepreneur parce que c'est une aspiration, quitte à revenir dans
36:55le salariat après. C'est pas l'un n'empêche pas l'autre. Donc je pense qu'il y a vraiment pour moi
36:58ce courant là, je suis pressée de voir ce que ça va donner. Je suis très curieuse de voir ça.
37:04Et le deuxième point, c'est sur l'IA, sans surprise. Mais on peut tellement automatiser
37:12deux choses que pour moi l'IA va aussi redonner de l'importance aux vraies relations, aux vraies
37:18interactions. Parce que l'IA va permettre d'automatiser encore plus la personnalisation,
37:23encore plus de contenu. Quand on voit ce qui se passe sur le SEO, la création de contenu,
37:28le référencement, les post-LinkedIn fait en automatique, enfin tout ce qu'on veut, à un moment donné ce qui
37:34va quand même créer la différence c'est ce moment où on se rencontre, on se parle, on se dit
37:38est-ce que cette personne est intéressante, est-ce que c'est aligné, est-ce que c'est cohérent avec ce que
37:42j'ai vu d'elle en ligne, donc dans son jumeau numérique si on va utiliser des mots trendy
37:47du moment. Donc je pense que l'IA, au-delà de, est-ce qu'on est sur de la création d'images, de
37:53contenu, est-ce que c'est Chajipiti, Jamie Nye, est-ce que c'est, bon bref tout ça, pour moi l'IA
37:59elle va impacter quelque chose de très fort, c'est que ça va encore plus nécessiter d'interactions
38:05humaines. Parce qu'à un moment donné on va plus savoir qui est qui, qui me parle, mais attends tu
38:11me parles chinois alors que je suis en visio mais je croyais que tu savais parler que français,
38:14parce que c'était une IA derrière, enfin ça va être le flou artistique et à un moment donné la vraie
38:20profession de foi sera quand même de se voir. Donc je pense que ça accentuera dans une certaine
38:24mesure en tout cas l'importance de l'interaction vraiment en réel, en face à face, vivre quelque
38:30chose ensemble quoi. D'où l'intérêt de se dire rencontrer au moins une personne par semaine pour
38:37être dans la vraie vie. Exactement, dans la vraie vie, créer vraiment quelque chose d'hyper important.
38:42C'est quoi la plus grande leçon que tu as apprise depuis que tu as lancé ton business ?
38:47La plus grande leçon que j'ai apprise, ça c'est une bonne question,
38:51compter sur ses clients. C'est-à-dire ? En fait on se rend compte, je me souviens,
39:03j'avais rencontré un entrepreneur qui m'avait dit, qui avait malheureusement fermé sa boîte,
39:07dû fermer sa boîte et qui m'avait dit tu vois, on avait notre plus grand client c'était Bouygues,
39:12on a fait des choses incroyables avec lui, on n'a jamais pris la parole ensemble pour dire
39:15qu'on avait bien bossé ensemble. Dommage. Et en fait ils sont contents les clients,
39:21ils sont vraiment, s'ils sont fiers du partenariat, ils sont hyper satisfaits de partager leur
39:27expérience. Donc moi ce que j'ai vraiment appris c'est que les clients sont nos premiers ambassadeurs
39:33et qu'en fait il faut s'en servir, mais encore une fois dans le bon sens du terme, il faut s'en
39:38servir, mais au sens où c'est vraiment des ambassadeurs de notre marque, quasiment une
39:42extension de nous-mêmes quoi. Alors évidemment les clients moins satisfaits le sont moins,
39:46mais globalement un client qui est engagé, il va vraiment être partie prenante et facilement venir
39:55à nos côtés. On a fait plusieurs interventions sur des salons ou sur des sur des webinaires avec
40:00des clients, on en fait très régulièrement, on en a encore prochainement avec une entreprise qui
40:04s'appelle Time to Pitch, très intéressante, ils interviennent sur BFM Business justement,
40:08avec Fabrice Marcella, sur toute la partie coaching de l'expression de valeur. On fait
40:14une restitution avec eux, ils sont clients de Switch Show, on fait une restitution dans quelques
40:18semaines. C'est hyper intéressant, on vient croiser, ils expliquent vraiment pourquoi c'est
40:25utile pour eux, qu'est-ce qu'ils font, qu'ils en sont arrivés à ce moment-là de se dire bah en
40:29fait qu'est-ce que je fais après mon rendez-vous, comment je gère mon impact, comment je peux
40:33suivre, est-ce que j'ai de la data ? Donc nous on importe ça, donc on va le partager et ça vaut
40:38n'importe quel post LinkedIn en fait, ça a beaucoup d'impact parce qu'on va vraiment parler du résultat
40:43et de ce que ça leur a apporté à eux. Donc oui, le premier point de ce que j'ai vraiment,
40:49enfin ce qui est pour moi hyper important, c'est capitaliser sur les clients pour vraiment
40:55pouvoir raconter, expliquer, parce que ça permet aussi de mieux comprendre là où on crée la valeur.
41:00Alors ça va très bien avec ton actu.
41:05Tu as raison, tu as raison.
41:09Elevate, qu'est-ce que c'est Elevate ?
41:11Alors c'est vraiment notre actu du moment qui est, pour moi c'est incroyable ce qu'on est en
41:16train de créer là.
41:17Je croyais que tu allais dire c'est incroyable la transition que t'as fait Marie, mais en fait pas du tout.
41:20Je peux aussi dire ça, t'as raison, ça fait aussi la transition puisqu'on parle de high touch,
41:26donc élevé. Mais oui, t'as raison, l'actu en ce moment, je trouve ça dingue parce qu'on est en
41:33train de créer un produit qui a pour vocation très rapidement d'avoir ces données dont on
41:38parlait tout à l'heure, données d'intention, données d'influence, données d'engagement sur
41:43les offres qui sont partagées. Donc en fait, on partage une proposition commerciale et on va
41:47pouvoir suivre sa vie au sein du client, être là au bon moment, comprendre exactement quels sont
41:53les points d'intérêt. C'est vraiment quelque chose de hyper simple et en fait ce qu'il s'est
41:57passé c'est que je parlais du marché concurrentiel. On est dans un marché, la tech est quand même
42:03ultra concurrentielle, il y a plein de solutions pour faire plein de choses, apporter de la data,
42:07de l'expérience, de l'IA, de générer du contenu, donc il y a beaucoup de choses qui existent. La
42:12question c'est comment nous on peut apporter une valeur simple, court terme, qui permet déjà de
42:17changer complètement le niveau de jeu des équipes. Et en fait c'est pour ça qu'on l'a appelé élevé,
42:22c'est que l'objectif c'est vraiment d'élever le moment d'échange avec le client, la relation,
42:26en fait élever le niveau de la relation. Et donc ce qu'on est en train de lancer,
42:29c'est effectivement, là c'est notre actu, donc on est dans liste d'attente, donc c'est vraiment
42:34chouette. Et en gros on lance un produit qui permet en un clic de pouvoir partager de façon
42:39sécurisée tous ces documents et de pouvoir suivre l'engagement sur les offres, quelles
42:45qu'elles soient, auprès des interlocuteurs. Et la grande force de ce qu'on a mis en place,
42:49c'est qu'on voit toutes les interactions. Donc ça veut dire que le fameux champion dont on parlait
42:52tout à l'heure, qu'on décide, parce qu'à un moment donné on dit bah je te parle plus à toi,
42:56donc j'ai l'impression que tu es quand même plus mon champion. Mais en fait là on le voit en mapping,
42:59donc on a toutes les interactions avec des échelles de chaleur, tout ça en un clic. Donc
43:03on lance ça et là on fait tout l'été gratuit, c'est vraiment notre summer party Switch Show,
43:08pour se dire que finalement on sait qu'à cette période là on va peu avoir de retour client. Donc
43:14ça nous permet de dire bah voilà tester vraiment c'est facile et c'est une offre qui est vraiment,
43:19c'est moins de 10 euros, c'est vraiment pas très cher. Et donc c'est une appli, c'est ça ? Si on
43:23veut tester, c'est dispo où ? C'est dispo sur le site Switch Show, donc là je mettrai le lien
43:28aussi parce que c'est vraiment early, c'est pour une communauté, donc network and family. Et en
43:33gros c'est effectivement, c'est une appli qui est accessible en SaaS, donc il y a juste, il faut
43:40avoir son compte Google et puis après on se connecte, Google ou Microsoft. On trouve son
43:45champion. Exactement, on suit ses offres et on est à chaque fois, on reçoit les notifications dès
43:51qu'il y a des interactions, donc on sait qu'on sera forcément au rythme du client, même l'été
43:56et là dans les mois à venir, donc c'est très chouette. Bravo. Où est-ce que les auditeurs
44:01peuvent te contacter ou te suivre ? LinkedIn, clairement, avec grand plaisir je répondrai.
44:06Est-ce qu'il y a une question que je ne t'ai pas posée que t'aurais aimé que je te pose ? Ah si,
44:12peut-être une. Pourquoi as-tu décidé d'entreprendre ? Pourquoi as-tu décidé d'entreprendre ? Attends,
44:17je refais. Pourquoi as-tu décidé d'entreprendre ? C'est une excellente question. Merci. Pourquoi
44:22j'ai décidé d'entreprendre ? Alors je pense qu'il y a une valeur forte qui est la liberté. J'aime
44:26bien le fait de pouvoir me dire en fait, j'ai une vision, je vais pouvoir la mettre en oeuvre. Donc
44:31cette liberté de mise en oeuvre dans ce sens-là, quand je parle du mot liberté, donc ça c'est un
44:36point qui est important. Et puis un deuxième point, c'est que ce que je voulais c'est vraiment
44:40créer au-delà d'un produit, c'était de créer une marque avec tout ce que ça implique derrière. Bon
44:45ça je suis vraiment ravie qu'on puisse en parler aujourd'hui, parce que c'est vraiment à la fois
44:49mon expertise et ce que j'aime créer, c'est comment tu fais pour que tu rentres dans un univers. Un
44:55univers qui soit très global, au service du client. Donc c'était les deux points qui me motivaient,
44:59être au service des clients, créer cette marque qui soit vraiment hyper fluide et puis du coup
45:04pouvoir le faire à ma fashion avec ma vision. C'est très réussi, bravo. Merci beaucoup Marine.
45:09Dernière question, qui nommes-tu à ta place pour ce prochain épisode et qu'attends-tu de cette
45:16personne ? Alors en fait je vais citer deux personnes pour des questions de mixité, d'égalité,
45:23d'insight totalement différent tu vas voir. Donc je vais citer Flavie Prévost. Que j'ai
45:30parlé précédemment. Voilà exactement, parce que je trouve que cette notion de salarié diversifié
45:34est déjà très chouette et j'ai envie de lui filer un petit coup de pouce aussi en disant bah je pense
45:40que c'est juste et qu'ils ont tous besoin de cette marque personnelle en fait. Et que justement il
45:45faut que ce soit pris en compte pour que ça fasse sens entre leur job, les points qui
45:49peuvent être testés en side project. Donc je trouve que c'est très chouette et puis elle a lancé
45:54l'incubateur solopreneur. Donc finalement c'est aussi quand tu es solopreneur tu dois avoir, c'est
46:01ta marque, tu vends toi. Même si on dit aujourd'hui tu vends pas ton temps, tu vends des offres. Mais
46:05globalement tu vas vendre ton expertise. Donc je pense qu'elle a des choses assez intéressantes
46:09à partager sur cette dimension là. Parce qu'elle a accompagné beaucoup de solopreneurs pour se dire
46:14comment je pars de mon expertise, j'en crée une marque et donc du coup j'en ai des produits et
46:19qui sont peut-être décorrélés de mon temps justement. Mais je crée un produit plus global.
46:24Donc je trouve que ça je pense que c'est très intéressant. Et la deuxième personne c'est Mick
46:29Lévy. Mick Lévy il est C-level chez Orange Business et globalement son expertise c'est
46:38vraiment toute la partie data décisionnelle et l'IA. Donc ce qui est très intéressant c'est
46:44que Mick il a un profil, il est dans une entreprise qui est corporelle, que tout le monde connaît
46:48Orange. Alors c'est dans une division business. Et en fait il a déjà écrit un livre il y a
46:55maintenant 3-4 ans qui s'appelle Sortez vos datas du frigo. Donc il a cette capacité à vulgariser,
47:01à expliquer où est-ce qu'on en est sur la data et c'est quoi les bonnes étapes. Et finalement en
47:06prenant beaucoup la parole sur cet angle là, il a créé aussi sa marque personnelle autour de cet
47:11écosystème. Et aujourd'hui donc il y a deux ans ils ont créé un podcast avec Cyril Chaudoir
47:18qui est hyper intéressant qui s'appelle Trench Tech, qui est très axé sur l'IA, sur l'éthique
47:23autour de l'IA. Donc bien avant, enfin un peu avant OpenAI et la grosse tendance. Et hyper
47:31intéressant parce qu'ils y reçoivent des personnes très high level. Donc vraiment les propos sont
47:35vraiment très intéressants et encore une fois ils le décryptent. Donc c'est vraiment, ils ont des
47:40scientifiques qui viennent, des ministres, enfin c'est vraiment très chouette. Et pour finir,
47:44Mick fait aussi des conférences sur l'IA justement. Et ce que je trouve intéressant,
47:49c'est que finalement il a lui aussi, plus ou moins sans le savoir, mais créé sa marque
47:54personnelle. Et elle rebondit, elle rejaillit sur Orange. C'est-à-dire que quand il va s'exprimer
47:59sur une conférence, que ce soit pour une grosse entreprise ou dans un salon, enfin bref quand on
48:04lui demande d'intervenir, en fait ça rejaillit aussi sur la marque Orange. Donc je trouve que
48:10c'est intéressant parce que finalement il a créé, autour de son expertise et de ses prises de
48:16parole qui prennent différentes formes, une vraie marque d'explications, de vulgarisation, de partage
48:25qui vient à la fois un peu des corpos et puis de la mise en oeuvre terrain quoi. Très intéressant.
48:30Ben écoute, je vais inviter les deux. Parfait, avec plaisir. Voilà, voilà. Merci beaucoup Anne,
48:36c'était très intéressant. J'espère que vous aussi vous avez pris toutes les notes nécessaires,
48:41si on pouvait vous refaire refaire refaire le podcast. C'était vraiment chouette. Je mets tous
48:47les liens, le lien Twitch Show, tout en commentaire de l'épisode. Et ben merci et à très vite alors.
48:55A très bien. Toi aussi. Salut.
49:06Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org

Recommandations