BP_031024_Munic

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00:00Bonjour, bienvenue sur L'Instant TV de l'intermission Bourse où les présidents de Société Côté viennent nous commenter leurs résultats, exposer leurs stratégies, parler un peu de leur activité.
00:20Aujourd'hui, c'est le président fondateur de Munich, Aaron Salomon, que nous recevons. Aaron, bonjour.
00:25Bonjour Stéphane.
00:26Peut-être représenter votre société, le marché, l'activité. La première interview, c'était au mois de février 2023, pour ceux qui n'ont pas vu cette première interview.
00:37Alors oui, merci de poser la question. Donc Munich n'a pas changé d'activité depuis. Il a un éditeur de terminaux, un fabricant de terminaux destiné à être connecté dans des véhicules pour remonter les données véhicules.
00:48Et de plus en plus également, c'est nouveau, un opérateur de services qui exploite ces informations pour proposer des services à valeur ajoutée à ses clients.
00:56Clients internationaux principalement, aux Etats-Unis, Amérique du Nord, Europe, dans toute l'Europe, Moyen-Orient, également Amérique, Amérique du Sud, Afrique du Sud.
01:06Voilà, pour à peu près tous les verticaux de l'industrie automobile.
01:10D'accord. Alors depuis notre dernier échange début 2023, votre cours de bourse a complètement dévissé. Qu'est-ce qui s'est passé ?
01:17Je dirais que, je vais juste resituer un petit peu le contexte, Munich a lancé un important projet de développement d'une offre de services qu'on appelle ECO.
01:27Et pour commencer par là, le lancement, le déploiement de cette offre de services a pris du retard, j'y reviendrai.
01:32Donc ça c'est une des causes qui se reflète évidemment dans le chiffre d'affaires immédiatement.
01:36Et puis la deuxième cause, c'est la baisse des ventes de terminaux.
01:40Donc voilà, l'ensemble de ces causes-là générant une baisse assez importante du chiffre d'affaires.
01:45Sur la baisse du chiffre d'affaires côté terminaux, il s'explique d'une part parce que nos clients traditionnels, nos clients historiques ont eux réduit leurs ventes, décalé des projets.
01:56Et là, si on essaie de segmenter, il y a deux types de clients, les clients qui ne sont plus dans le monde du consumeur.
02:03Donc là on est sur du retail et les clients de l'IoT ont de manière générale ralenti leurs ventes et on est impacté directement par ces baisses-là.
02:10Ça c'est pour la partie retail, pour la partie grand public professionnel, pardon.
02:14Là on est plutôt sur les aléas, les changements de phase dans les lancements des projets exploitant les données véhicules.
02:23C'est-à-dire que nos clients, les clients qui achètent nos terminaux, donc je suis toujours sur le parti terminaux,
02:27les clients qui achètent nos terminaux les intègrent dans des services qui visent à quelque part révolutionner, disrupter le marché assez ancien de l'industrie automobile et de ses services.
02:35Et ces projets-là connaissent des hauts et des bas.
02:39Il y a des moments de réglage, il y a des phases où on s'aperçoit que le modèle économique n'est pas le meilleur, il faut le changer.
02:43La solution technique n'apporte pas de satisfaction ou n'apporte pas suffisamment de différenciation.
02:48Et donc ces clients décalent ou retardent, mettent en pause avant de relancer la solution.
02:55Les deux raisons, c'est l'arrantissement des terminaux et puis le décalage du projet Éco.
02:59Et le projet Éco, j'en parlais en premier lieu, il est en retard pour des raisons essentiellement techniques, des défis techniques qui ont été rencontrés lors du développement de ce projet.
03:07Toutefois, la bonne nouvelle, c'est que nous venons enfin de lancer officiellement, toute fin du mois de juin, l'offre grand public, au grand marché, au sens large du marché, de la solution de service Éco.
03:20Pour le carré, vous avez touché une subvention dont on va parler après. Juste si on finit pour le passé, on va dire, et puis ensuite on parlera du futur.
03:27Vous avez publié vos semestriels récemment. On a un chiffre d'affaires qui a souffert, qui est en baisse de 30% à 4,4 millions d'euros.
03:37Comme votre marge brute s'est améliorée, le résultat d'exploitation n'est pas aussi négatif, mais on a quand même une perte de 1,3 million.
03:45Les frais financiers pèsent pour 380 000 euros. Est-ce que vous pouvez commenter ces chiffres ?
03:50La baisse du chiffre d'affaires, c'est une baisse très forte de la vente de terminaux. C'est essentiellement cette partie-là qui s'est tassée.
03:58L'activité service n'a pas changé. On a à peu près le même niveau de revenu de l'ordre du million d'euros entre le premier semestre de l'année passée et cette année.
04:08Cette partie-là n'a pas changé. Par contre, la marge brute s'est améliorée. Pourquoi ? Parce que la marge brute des terminaux, d'une part, s'est améliorée.
04:14Elle est passée de 24 % à 28 %, donc on a gagné 4 points de marge sur la marge brute de l'activité terminaux.
04:20La marge brute de l'activité service est également développée. Nous sommes passés à 62 % de marge brute contre une marge brute proche de 40 % l'année dernière.
04:27La somme de ces augmentations de marge brute a compensé la baisse du chiffre d'affaires au cumul.
04:32– D'accord. Je parle aussi du frais financier. En juin, vous avez annoncé d'avoir réchauné votre dette sur 3 ans.
04:38Est-ce que vous pouvez nous détailler, nous préciser les montants et les modalités de ce réchaument ?
04:44– Oui, tout à fait. Et juste d'ailleurs, puisque je ne vais pas traiter une partie de votre question sur la partie perte financière,
04:50les charges financières de 384 euros sur le premier semestre, c'est le remboursement de la partie prime non-conversion dont nous avons payé une première tranche.
05:00L'essentiel de l'augmentation de la charge, c'est la partie prime non-conversion liée à la dette obligataire que nous devions rembourser en juillet.
05:08Il a été convenu qu'on la rembourse en juin pour la partie prime non-conversion.
05:10– D'accord. – Alors, je réponds à la question, pardon.
05:12Je voulais faire ce petit préambule. La dette obligataire, on avait une dette obligataire de 1,9 million.
05:17J'ai souscrit, à titre personnel, 100 000 euros sur cette dette.
05:20Et un fonds obligataire, nous avions souscrit, auprès d'un fonds obligataire, pour 1,8 million.
05:25Cette dette devait être remboursée avec la prime de non-conversion qui est associée, fin juillet.
05:31Nous avons négocié avec l'obligataire le talement de cette dette.
05:35Et nous avons obtenu, finalement, le gain de cause.
05:38Ça n'a pas été de tout repos, mais nous avons pu…
05:40– On l'imagine, c'est un genre général, c'est rarement une pratique de dire, c'est des erreurs pour tout le monde.
05:44– C'était ma première. Je confirme que c'était assez hard pour ce type de négociation, des dettes obligataires.
05:51Il était convenu, finalement, que nous étalions le remboursement entre mi-2024 et mi-2026,
05:57sous forme d'une première tranche de 500 000 euros pour la partie dette obligataire en juillet 2024,
06:06une deuxième tranche de 700 000 euros en juillet 2025,
06:09et une troisième tranche de 700 000 euros en juillet 2026,
06:12avec la partie PNC, prime de non-conversion associée,
06:15ce qui représente à peu près, comme c'est de la prime actuarielle, c'est de la dette actuarielle,
06:20donc c'est assez conséquent, ça représente pas loin de 50% de la dette obligataire,
06:24et les intérêts également que nous remboursons au fil de l'eau.
06:28– Deux questions, concernant ce réchauffement,
06:31les taux sont plus élevés par rapport à ce que vous avez négocié auparavant ?
06:37– Le taux de la dette obligataire n'a pas changé, il a même été figé,
06:40il n'y a plus d'évolution de la prime de non-conversion.
06:43– Donc vous l'avez étendu sans conséquences.
06:46– Voilà, et on n'a effectivement pas touché au taux d'intérêt,
06:48en revanche on a renégocié la partie conversion pour la plafonner,
06:53les possibilités de reconversion pour les plafonner,
06:55donc pour limiter la dilution très fortement.
06:57– Alors justement, ce qui inquiète un peu toujours le marché,
07:01c'est ces obligations convertibles dilutives, donc qu'est-ce que vous pouvez dire à ce sujet ?
07:05– Alors sur la dette obligataire, 500 000 euros ont déjà été remboursés,
07:08ce qui fait que la dette obligataire ne représente plus que 1 300 000, presque 1 400 000,
07:13sur ce 1 400 000, la prime de conversion a donc déjà été versée
07:18pour la première tranche de 500 000 euros,
07:20et nous avons plafonné, je n'ai plus les seuils en tête,
07:22mais c'est disponible dans le rapport financier,
07:24nous avons très fortement plafonné les seuils de conversion
07:26pour le solde de la dette obligataire.
07:28– D'accord. – Donc c'est très peu dilutif.
07:30– Ok, alors un point trésorerie, après ces restructurations,
07:34après ces résultats, on est à combien en trésor en honnêtement ?
07:37– Alors à fin juin, j'ai l'impression qu'on a publié les chiffres,
07:41en fin juin nous étions en trésorerie disponible de 2,7 millions,
07:45et nous avons une dette qui est passée de 5,5 millions à 2,5 millions
07:49entre fin 2023 et fin du premier semestre 2024.
07:53– D'accord, bon, alors maintenant passons peut-être au plus positif,
07:57donc vous avez touché une subvention étatique de 3 millions d'euros
08:01pour ce projet Ecodrive, vous pouvez nous dire en quoi il consiste,
08:05qu'est-ce que ça va apporter de manière stratégique à Munich ?
08:08– Oui, alors Ecodrive, de quoi s'agit-il ?
08:12C'est rendre autonome des véhicules spéciaux,
08:15on est sur le marché des véhicules spéciaux,
08:17donc les engins de chantier, les véhicules agricoles, les engins d'aéroport,
08:21des véhicules qui vont se déplacer pour des missions particulières
08:24dans des enceintes confinées, ou en tout cas, pas sur des voies publiques.
08:28– Oui, des circuits fermés. – Des circuits fermés, oui.
08:31Et donc l'objet c'est de rendre ces véhicules autonomes.
08:34Alors, par un certain nombre d'évolutions à notre offre,
08:38d'abord il s'agit de rendre plus musclés nos terminaux,
08:41puisqu'ils vont devoir dorénavant capter des données d'analyse de l'environnement,
08:45des caméras, des radars, des lidars,
08:47et puis il s'agit également d'être capable de générer des trajets
08:50à l'intention de ces terminaux, qui vont être embarqués dans le véhicule,
08:53pour pouvoir ensuite exécuter ces trajets,
08:55donc envoyer des commandes aux terminaux pour tourner à droite,
08:57tourner à gauche, accélérer, freiner, s'arrêter, éviter des obstacles,
09:00et ainsi de suite, et puis superviser l'exécution de ces trajets
09:03pour éventuellement les rectifier et donner un compte rendu en temps réel
09:06aux opérateurs de ces flottes.
09:08Ça c'est le projet.
09:09Donc il s'agit de fournir un kit finalement,
09:11et une solution opérée, téléopérée,
09:13à des fabricants de terminaux, de véhicules pardon,
09:15ou à des exploitants de véhicules professionnels.
09:18Les synergies, vous vous demandez, qu'est-ce que ça apporte à ECO ?
09:22Ce qui est très intéressant dans ce projet,
09:24c'est que même si on ouvre un nouveau front,
09:26on semble ouvrir un nouveau front avec le véhicule autonome,
09:28en réalité c'est strictement la phase suivante
09:32d'un projet ECO.
09:33La suite logique.
09:34La suite logique, en effet.
09:35La plupart de nos clients nous demandent de plus en plus
09:38d'intégrer des capteurs supplémentaires,
09:40y compris des capteurs de type caméra,
09:43par exemple un opérateur de flotte aux Etats-Unis,
09:45type UPS par exemple,
09:47va payer des indemnités très très chères en cas de procès
09:50parce qu'un de ses chauffeurs a renversé un chien
09:52ou un animal sur la voie routière.
09:54Donc en surveillant le comportement et la distraction éventuelle
09:57avec le téléphone en cabine,
09:59donc en monitorant de manière intelligente et automatique
10:01le comportement du conducteur,
10:03on va pouvoir repérer les mauvais conducteurs,
10:05éventuellement les éduquer, etc.
10:06Donc ça c'est le sujet numéro un.
10:08Mais ça dépasse, j'ai pris un exemple ici,
10:10ça dépasse largement ce cadre-là.
10:12Donc il nous est demandé d'intégrer de plus en plus des capteurs,
10:14ou l'ADAS, le fameux ADAS dans l'industrie automobile,
10:16il nous a demandé de nous interfacer avec ces capteurs
10:18de plus en plus pour remonter l'information.
10:20De là à en profiter pour comprendre ce qui nous environne
10:24et éventuellement en déduire des indications de conduite,
10:28le pas est assez faible.
10:30L'autre sujet c'est que notre plateforme cloud, ECO,
10:33la partie cloud, doit déjà monitorer le comportement des véhicules,
10:36doit déjà restituer en temps réel l'information à nos clients.
10:39Et enfin, in fine, pour conclure là-dessus,
10:41une partie de nos clients utilise des terminaux sur des projets
10:44où les véhicules doivent devenir autonomes.
10:46Donc ils vont s'adresser à des partenaires ou des concurrents
10:49sur la partie qui consiste à rendre le véhicule autonome.
10:52Alors on s'est dit pourquoi pas faire une pierre deux coups
10:55et regrouper l'ensemble de ces fonctions dans le même terminal.
10:57Voilà l'enjeu.
10:58Alors toujours soit pour le futur, comment vous envisagez 2025 pour Munich ?
11:02Alors 2025, on s'attend à un redécollage des ventes de terminaux.
11:07C'est un peu trop tôt pour dire à quel point ça concerne le marché.
11:11Indépendamment d'EcoDrive.
11:12Voilà, indépendamment d'EcoDrive.
11:13On s'attend au décollage des ventes d'ECO.
11:15EcoDrive aura des retombées ultérieurement.
11:17C'est plutôt à partir de gérer les ventes.
11:19C'est moins d'innovation.
11:20On les a placées plutôt vers 2027.
11:22C'est à partir de trois ans.
11:23Mais pour revenir sur ECO, 2026-2027.
11:26Pour revenir sur les ventes de terminaux, on s'attend au décollage des ventes.
11:29En tout cas, certains de nos clients nous ont déjà annoncé repartir en croissance.
11:33C'est les fameux cycles dont je parlais tout à l'heure.
11:35Aussi bien dans l'IOTIC qu'en professionnel.
11:37Il y a un rattrapage de ce qui nous a un peu plombé sur cette année.
11:40On s'attend à cela.
11:41Je suis difficile encore à quantifier parce que c'est pour l'instant des projections.
11:45Tant que ce n'est pas signé, effectivement, il va y avoir une prudente.
11:48Mais la tendance est clairement confirmée.
11:49Deuxièmement, sur ECO, la bonne nouvelle, comme je commençais à le dire tout à l'heure,
11:53c'est que ECO est arrivé à maturité.
11:54Nous avons enfin lancé la commercialisation d'un produit packagé.
11:58Ce sont les fameux aléas des mots de projet sur lesquels nous provenions avant,
12:02pendant les phases de développement.
12:03Là, il y avait à chaque signature énormément de développement.
12:05On ne commercialisait qu'à la fin de ces fameux développements.
12:08Ici, on est sur un offre packagée qu'on peut commercialiser dans des cycles courts,
12:12de ces fameux services ECO.
12:14On s'attend au décollage des ventes.
12:16On a déjà assisté à des premières signatures sur le premier semestre.
12:19On s'attend à ce que ces signatures génèrent le chiffre d'affaires sur une année pleine à partir de 2025.
12:25Et puis surtout, on s'attend à signer d'autres contrats.
12:27Sur les deux chapitres, on s'attend à une croissance des ventes.
12:30Je serai en peine pour vous projeter de toute manière fiable, pour l'instant, des chiffres.
12:35On s'est retenus sur le fer, mais on s'attend à une croissance de l'activité.
12:39– Alors, vous disiez tout à l'heure, vous avez souscrit en partie à la dette.
12:43Vous détenez combien du capital ?
12:44Et comment est réparti le reste du capital unique ?
12:47– Le capital est détenu tout d'abord par le Family Office Belge Grandis,
12:54qui nous suit depuis 2014, qui est resté un actionnaire de référence,
12:57qui détient à peu près 39% du capital.
13:00Le reste du capital est détenu par les fondateurs à hauteur de 27%.
13:03Je détiens moi-même quasiment 19% à l'intérieur de ces 27%.
13:07Et le reste est détenu par le public.
13:09– Le flottant.
13:10Pour conclure, Aaron, avez-vous un message que vous souhaitez délivrer
13:14à tous les actionnaires et les sixsieurs qui nous regardent, nous écoutent ?
13:18– Oui, alors, effectivement, je pense que, vous l'avez dit en préambule,
13:22le titre a chuté très fortement.
13:25Pour autant, le potentiel du marché sur lequel Munich est positionné n'a pas changé.
13:29Et j'ai envie de dire même, il y a des nouvelles opportunités qui ont été identifiées,
13:32sur lesquelles nous avons encore très peu communiqué,
13:34et pas encore annoncé officiellement les partenariats qui ont été signés.
13:37Nous négocions les autorisations de les signer, ces partenariats,
13:40en particulier sur la batterie des véhicules électriques, qui est un sujet majeur.
13:44Les véhicules, il va y avoir un volume de véhicules électriques
13:48qui vont arriver en fin de période de location,
13:50ou simplement qui vont changer de main l'année prochaine par exemple,
13:53à partir de l'année prochaine.
13:54Et ces véhicules, l'organe principal, le plus coûteux et le plus coûteux à remplacer,
13:58c'est la batterie.
13:59Et cette batterie, sa santé est l'élément clé.
14:01Et elle dépend énormément, pas tellement du kilométrage,
14:03mais du mode de comportement.
14:05Et il n'y a pas d'outil aujourd'hui fiable, de mesure, apte à apporter un certificat
14:09sur la santé de cette batterie.
14:10C'est un marché colossal.
14:12Munich est vraiment aux avant-postes là-dessus,
14:14par sa capacité à exploiter les données véhicules
14:16et les mettre à disposition de projets.
14:18Donc nous avons collaboré avec de grands acteurs.
14:20Je me focalise uniquement sur ce type de service
14:22pour proposer des solutions de mesure de la santé de cette batterie,
14:25de fourniture de certificats à l'échelle mondiale.
14:28Voilà, voici un exemple.
14:29Le potentiel, je ferme ma parenthèse ici,
14:32le potentiel des données véhicules n'a pas changé,
14:34l'exploitation des véhicules n'a pas changé.
14:36Il est encore là, plus que jamais.
14:38Et je dirais que c'est le moment d'investir dans cette société
14:40compte tenu de la valorisation très basse du titre.
14:43Voilà.
14:44Ok, les investisseurs savent ce qu'ils doivent faire.
14:46Merci en tout cas d'être venu vous expliquer sur InstaTV.
14:50Merci Stéphane.
14:51Merci à tous d'avoir suivi.
14:53Je vous donne rendez-vous très vite sur InstaTV
14:55avec d'autres présidents de sociétés cotées
14:57qui viendront, comme l'a fait Aaron aujourd'hui,
14:59expliquer leur stratégie et commenter leur résultat.
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