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00:00— Ici Sud Radio. Les Français parlent au français. Je n'aime pas la blanquette de veau. Je n'aime pas la blanquette de veau.
00:13— Sud Radio-Bercov dans tous ses états.
00:16— Alors voilà, là, nous allons parler de taxes. Oui, oui, vous aimez ça, les impôts. Mais oui, c'est important.
00:21Il faut contribuer à ce que fait le gouvernement, à ce que fait la France. Il faut continuer. Il faut payer. Il faut payer. Il faut payer.
00:27Vous comprenez. Si vous voulez des services publics, il faut payer. Oui, mais le problème, c'est qu'on n'a pas de services publics en ce moment.
00:32Pas assez. Oui, mais il faut payer. Et puis vous avez entendu ce... On a parlé effectivement de la Moldavie.
00:39On a parlé de ce qui s'est passé effectivement avec Andy Kerbera, le député consommateur. Et il n'est pas le seul, effectivement,
00:48d'après Sandrine Rousseau. Il y en a beaucoup d'autres. Si vous avez envie de réagir, 0 826 300 300.
00:54Mais auparavant, nous allons parler... Il faut payer. Le mouton doit être tondu. Et on va pas s'arrêter là qu'on se le dise. Écoutez.
01:04— Sud Radio Bercov, dans tous ses états, les perles du jour.
01:09— C'est pas boxe, boxe, boxe. C'est taxe, taxe, taxe. Oh, ils exagèrent un peu. Ils exagèrent vraiment, les inconnus ? Je ne sais pas.
01:17Non, rappelez-vous, rappelez-vous. Joie, joie, pleurs de joie. Nous supprimons la taxe d'habitation. Ouais, fabuleux, nous supprimons
01:25la taxe d'habitation. Vous voyez ? Les Français, on pense à vous. Mais la taxe d'habitation, eh bien regardez, on vous allège.
01:32Oui, oui, certes, certes, certes. Et d'ailleurs, Laurent Saint-Martin, le ministre du Budget, a été l'invité du JT de France 2 lundi.
01:40Et il a dit pas question. Cet aquila, on le préserve. Il a été très clair. Il a dit qu'il n'envisage pas un retour de la taxe d'habitation.
01:47J'appartiens, dit-il, à une famille politique qui a supprimé la taxe d'habitation. Ce sont 20 milliards d'euros de pouvoir d'achat qu'on a rendus à l'ensemble de nos concitoyens.
01:55Et c'est vrai. Et on le voit sur les visages des Français. On voit qu'ils ont été allégés de 20 milliards. On les voit plus clairs, plus heureux, le regard ouvert.
02:03« Ah là là, je peux encore acheter, allez, un petit carambar. Oui, oui, allez, je vais acheter un petit carambar. Ça va être tellement bien, ce petit carambar, parce que ça va me permettre de donner à mes enfants, etc. »
02:13Oui, mais, oui, mais, oui, mais, et la taxe foncière ? La taxe foncière, oui, mais ça, c'est les propriétaires.
02:20Sauf que la taxe foncière a été augmentée de 30 %. Ah bon ? Oui, oui, 30 % de plus la taxe foncière, effectivement.
02:28C'est-à-dire qu'on va déshabiller Pierre pour habiller Paul, voilà. Mais oui, il faut trouver de l'argent, vous comprenez ?
02:36Alors, si on enlève d'un côté... D'ailleurs, on a aussi enlevé sur la taxe sur le service public France Télévisions et Radio France et compagnie, sauf qu'on le retrouve ailleurs.
02:46Qui paye, à la fin ? Qui paye ? Eh ben, vous le savez très bien, qui paye ? C'est vous. C'est nous. Il ne faut pas se raconter des histoires.
02:53Si on enlève d'un côté, eh bien, on ajoute de l'autre. Et d'ailleurs, Jean-François Copé, il a dit ceci, Jean-François Copé, vous savez, le maire de Meaux.
03:03On lui demandait, alors, qu'est-ce qu'il pense ? Est-ce qu'il faudrait recréer la taxe d'habitation ?
03:10Eh bien, sur LCI, le dimanche, dimanche dernier, il a dit s'il faut recréer un impôt, c'est celui-là.
03:18Ah bon ? Jean-François Copé voulait recréer la taxe d'habitation ? Mais écoutez, on ne sait pas.
03:24Il y a eu 60 milliards d'euros qui ont disparu au manque de 100 milliards. On va payer la charge de la dette, 70 milliards par an.
03:32Il faut trouver de l'argent. Personne ne veut payer. Ils sont drôles, ces Français.
03:36Oui, mais alors faites payer les riches, disaient-ils. Mais attendez, les riches, ils sont déjà partis dans les paradis fiscaux.
03:41Comment on fait ? Comment on fait ? On ne sait pas. Les paradis fiscaux. Mais en plus, les riches payent des impôts.
03:47Mais attendez, les sociétés municipales, les gars-femmes, les gars-femmes payent en Irlande.
03:53Mais en Irlande, ils payent combien ? 2, 3 % d'impôt ? 4 % ? Oui, mais c'est l'Irlande. Qu'est-ce que vous voulez ?
03:59Et puis telle ou telle société, leur siège central n'est plus en France. Donc on ne peut pas, on ne peut pas.
04:06Alors qu'est-ce qu'on fait ? Eh bien, on a trouvé la classe moyenne, la merveilleuse, la formidable, la sublime classe moyenne.
04:14Les pauvres, on ne peut rien faire. Ils sont au RSA, c'est difficile, ou les migrants, etc. Ils sont au RSA, ou ils sont à l'aide médicale d'État, etc.
04:24On ne peut rien faire, c'est normal, il faut que l'on mette son occupé. Les riches, oui, mais ils donnent, je vous assure, ils payent beaucoup d'argent.
04:30Après, c'est compliqué. Qu'est-ce que vous voulez ? Ils ont d'excellents avocats fiscalistes, ils savent comment faire pour que l'argent aille vers des territoires riches, heureux, au soleil et compagnie.
04:42Et les autres, on va continuer à les faire payer. Alors, on taxe quoi ? On taxe qui ? On taxe, on taxe, et on continuera à taxer.
04:52Et comme disait Michel Le Diard, il ne nous restera plus que l'impôt sur les eaux.
05:00Grenoble, un nouveau mort barbal, mort, mort, encore mort, c'est terrifiant.
05:04Franchement, il n'y a pas que Grenoble, mais quand même, je voudrais vous lire ça, parce qu'on se dit, mais à chaque fois, on parle, on parle, on bavarde, on s'alive, et on s'alive pourquoi ?
05:16Un mineur de 15 ans et un autre de 17 ans est mort, le mineur de 15 ans. L'autre de 17 ans est mort mardi soir, hier à Grenoble. Il a été atteint par balle près d'un important point de dille de Grenoble.
05:32Point de vente de stupéfiants, ça se passe comme ça. Un mineur, ils ont été fusillades, c'est-à-dire point de dille, fusillades, ça se passe à Marseille, ça se passe à Grenoble, ça peut se passer à Paris, en Seine-Saint-Denis et ailleurs.
05:50Les deux adolescents ont été visés vers 22h, c'était hier, par deux individus se déplaçant à trottinette dans le quartier Roche. Un lieu identifié comme point de vente de stupéfiants a précisé le procureur adjoint de Grenoble, François Touré de Coussy, dans un communiqué.
06:08Voilà, l'un des blessés est décédé, l'autre a été transporté au centre hospitalier. Selon Dauphine Libéré, une demi-douzaine de coups de feu ont été tirés avec une arme de poing, plusieurs douilles ont été retrouvées sur place. Le jeune tué devait être jugé le 16 novembre pour détention de stupéfiants. Il avait été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de paraître dans le quartier Roche.
06:31Mais oui, aujourd'hui, on ne met nulle part, on n'arrête pas, on ne met pas en détention parce qu'il n'y a plus assez de prison. Qu'est-ce qu'on lui dit ? Écoutez mon petit, écoute, c'est pas bien ce que t'as fait, c'est pas bien, on t'a redit de revenir dans le quartier Roche.
06:47Voilà, on t'a redit, lui il revient, c'est la drogue, c'est le deal, etc. Il revient, il se passe ça. Il se trouvait placé dans un centre éducatif près de Grenoble, il avait été délaré en fugue depuis mardi. Voilà, évidemment, on sort du centre éducatif, très bien.
07:03Depuis le début de l'année, plus d'une vingtaine d'épisodes de violences par arme à feu liées au trafic de drogue ont été recensées sur le territoire de la métropole de Grenoble, les autorités n'hésitant plus à parler de guerre des gangs.
07:19Dimanche soir, c'est un homme de 47 ans qui a été tué par balle en pleine rue à Sainte-Égrève, au nord de Grenoble. Et puis le 10 octobre, un fougon blindé de transport de fond attaqué par des hommes armés.
07:31Et puis septembre, Lilian Dejean, employé municipal de Grenoble, a été tué par balle pendant qu'il intervenait sur le site d'un accident de la route par un homme toujours en cavale, etc, etc, etc.
07:42Trafic de stupéfiants, mort, trafic de stupéfiants.
07:48Alors, bon, qu'est-ce qu'on fait ? Alors on parle, on dit, et puis évidemment le ministre de l'Intérieur va venir dire, c'était un peu ce que disait Darmanin à chaque fois qu'il se passait quelque chose comme ça,
07:58il arrivait, il disait c'est pas possible, je condamne de la manière la plus ferme et il n'est pas question que ça se renouvelle.
08:05Alors après les marches blanches et compagnie, évidemment, et ça continue encore et encore comme dit le chanteur.
08:11Alors moi je voudrais vous dire, et encore une fois je ne suis pas là-dessus, je voudrais quand même rappeler ce qui s'est passé, ce qui se passe en ce moment au Salvador.
08:18C'est l'Amérique latine, les dictatures, etc. Naïb Boukele, le président au Salvador, emprisonné, pratiquement sans jugement, c'est terrible, je sais, c'est pas bien et je ne le souhaite pas,
08:305 000 à 10 000 narcotrafiquants. Le Salvador est un endroit, moi j'y suis allé il y a 5 ans, où à 7h, 19h, 20h, vous ne sortiez plus.
08:39Parce qu'il n'était pas question, même si vous étiez, vous aviez des gardes du corps, etc. Le Salvador était dans la ville, en tout cas, c'était impossible de sortir.
08:47Aujourd'hui, 5 ans après, eh bien, Naïb Boukele, le président au Salvador, a été réélu à 90% des voix.
08:55Et le Salvador est devenu un endroit où vous pouvez sortir la nuit, laisser votre voiture, etc. en toute sécurité.
09:01Alors, évidemment, ce sont des mesures extrêmes. Mais qu'est-ce qu'on fait ? Vous savez, c'est un peu fatiguant à voir. Alors, qu'est-ce qu'on fait ? On attend, on attend, on attend.
09:11Est-ce qu'il faudra attendre que chacun se défende ? Est-ce qu'il faudra attendre que chacun porte des armes ? Il faudra attendre quoi ?
09:19Parce qu'on voit très très bien, je me rappelle, vous vous rappelez, on a tous vu, ah, les G.O. ! Il y a la parenthèse des G.O. !
09:24Oui, il y a eu 90 000 policiers à Paris pendant 15 jours, c'était magnifique, on allait, on sortait, etc., etc., sauf les embarras de la circulation.
09:32Et après, et après, ça recommence. Et après, ça recommence. Et après, on dit, oui, oui, il faut, il faut, il faut.
09:37On va en parler, d'ailleurs, avec Patrice Huibant sur le nouvel essor français. Parce que le nouvel essor français, aussi, il y a la sécurité.
09:46Et la sécurité, c'est Paris 1. D'ailleurs, il est bien placé pour en parler. Mais pour revenir à ça, et simplement, je voudrais dire, vraiment,
09:55quels que soient les presses qui nous gouvernent à droite, à gauche, au centre, en haut et en bas, on ne peut pas continuer comme ça.
10:00Sinon, vous allez avoir, et que vous le vouliez ou non, il y aura des gens qui ne vont pas accepter de se faire dépouiller en permanence,
10:08de se faire tirer en permanence, d'accepter sur tous les points de deal. Parce que le problème est là.
10:13On dit, oui, oui, il ne faut pas toucher les consommateurs, effectivement. Ils ne sont pas responsables. Qui est responsable ?
10:18Mais qui est responsable dans ce pays, de quoi que ce soit, de ce point de vue-là ? Qui ? Non, mais on pose la question.
10:25Je ne dis pas que c'est facile. C'est facile. Nous, nous avons le ministère de la Parole. Il est facile, le ministère de la Parole.
10:30Mais quand même, il y a des gens qu'on paye pour qu'ils agissent. Est-ce qu'ils agissent ou pas ? Voilà. C'est posé.
10:36Encore une fois, on le repose à Grenoble ou ailleurs. Qui nous protège et comment on nous protège ?
10:47Ce que Georges Brassens, effectivement, a dit ça, les jeunes cons, les vieux cons, ce n'est plus le temps de faire rien à l'affaire.
10:53Et combien il a raison. On va vous donner deux exemples tirés, effectivement, du palais Bourbon.
11:00Alors, encore une fois, ça n'a rien à faire avec ce que dit Sandrine Rousseau quand elle dit « Ah, il y en a pas mal qui se droguent ».
11:06Non, non, non, ça n'a rien à faire. La connerie et la drogue ne sont pas forcément liés. Mais, mais, mais, mais, voilà.
11:11Proposition de loi du Rassemblement national pour amener l'âge de la retraite à 62 ans.
11:16Vous savez qu'il est fixé à 64 ans d'ici 2030. Le passage progressif et tout le monde sera à 64 ans d'ici 2030.
11:24Ça veut dire dans 5 ans. Dans 5, voilà. Et simplement, donc, beaucoup sont contre, à gauche ou à droite.
11:32Et le Rassemblement national veut ramener l'âge de la retraite à 62 ans.
11:37Et donc, aujourd'hui, la proposition de loi du Rassemblement national est examinée à l'Assemblée en commission
11:43avant de passer en séance plénière lors de la journée réservée au texte du groupe RN le 31 octobre prochain.
11:51C'est-à-dire dans quelques jours. Alors, voilà. Âge légal de départ à 62 ans, etc.
11:56Donc, la droite et les macronistes ne disent pas question. On a fixé à 64 ans.
12:01Ça suffit comme ça. Vous savez très bien dans quel état la France erre.
12:05Vous savez très bien l'état de la dette. Vous savez très bien tout ce qu'on voit.
12:08On ne peut pas continuer quand même comme ça. Il faut que les gens travaillent. Voilà.
12:13Donc, si vous voulez, 23 sièges en commission pour le Bloc central contre 17 à l'extrême droite.
12:18La gauche et ses 25 représentants se retrouvent en position d'arbitre.
12:22Ça veut dire que si la gauche accepte de voter, la gauche ou l'ultra-gauche, de voter la proposition de loi du Rassemblement national,
12:30effectivement, elle la ramène. Elles deux, elles ont la majorité.
12:35Mais c'est là où c'est intéressant. Il n'est pas question de voter avec ces fascistes.
12:43Il n'est pas question d'accepter. Mais attendez. Est-ce que sur le fond, vous êtes d'accord ?
12:47Est-ce que vous êtes d'accord ? Encore une fois, ça n'a rien à voir avec la gauche et la droite.
12:50Est-ce que vous êtes d'accord pour ramener la retraite à 62 ans ? Je ne parle pas sur le fond.
12:56Vous avez raison, vous avez tort. Je dis est-ce que vous êtes d'accord ?
12:58Oui, nous sommes d'accord. Enfin, oui, nous voulons tous les deux la retraite à 62 ans.
13:02Oui, mais alors si c'est le Rassemblement national qui... Ah non ! Ah non ! Parce que c'est une mesure fasciste.
13:08C'est-à-dire, il faut bien comprendre le raisonnement.
13:11Si, par exemple, Marine Le Pen aime la tarte à la crème ou la crème brûlée.
13:18Si moi, j'aime la crème brûlée, je suis le péniste ? C'est ça ? C'est ça que vous êtes en train de me dire ?
13:24Si, par exemple, Jean-Luc Mélenchon pense qu'il arrive d'avoir la lune à minuit.
13:31Si je dis que je suis d'accord à ce que la lune pleine à minuit, je suis mélenchoniste ?
13:36Non, mais est-ce qu'on arrive à quel degré d'encéphale plat en disant ça ?
13:42S'il y a quelque chose qui vous paraît, je veux dire, souhaitable.
13:47Ah oui, mais on ne peut pas le faire ça. Alors, pour le moment, voilà ce qui se passe.
13:51Donc, l'imposture d'une proposition de loi, donc on ne va pas voter avec eux.
13:56Et le groupe Elfie, la France insoumise, a décidé de ne pas dévoiler sa stratégie de vote
14:02quand le groupe écologiste, la gauche, LFP, Nouveau Front Populaire, a choisi d'organiser en interne un vote électronique
14:09mardi soir pour décider de la marche à suivre, constatant que le groupe est partagé.
14:14Les communistes étaient partagés entre 50-50, entre ceux qui souhaitent ne pas faire sauter la digue avec l'extrême droite,
14:22et oui, l'arc républicain, l'arc républicain, et ceux qui pensent qu'on ne peut pas ne pas voter ce texte,
14:28ce texte comme Chassagne, qui est prêt à assumer le vote en disant, écoutez, on est pour la retraite à 62 ans,
14:34et voilà, et on pense qu'il faut le faire. Ce n'est pas fabuleux ça. Ce n'est pas beau ça.
14:39Ce n'est pas beau comme l'antique. Voilà, ils sont là, on va voter, mais on ne sait pas,
14:44et on se tortille, et on va voir. Mais attendez, je ne comprends pas, vous êtes d'accord sur le fond ?
14:48Ah ben oui, mais on ne peut pas voter avec ces gens-là, ce n'est pas possible.
14:53Voilà qui nous gouverne, voilà qui nous représente, voilà les gens qu'on va, et on va aussi en parler,
15:00effectivement, vous savez, il y a eu aussi aujourd'hui, la gauche a décroché une nouvelle vice-présidente
15:05de l'Assemblée Nationale avec l'élection ce mardi du député écologiste Jérémy Jordanoff,
15:11il y avait effectivement la vote avec Virginie Dubé-Muller, les Républicains et ONG, les Rassemblements Nationaux,
15:18et bien c'est une troisième vice-présidence de commission qui est donnée, pourquoi ?
15:25Parce que LR et Le Modem n'ont pas été fichus de faire socle commun.
15:30Voilà, voilà, voilà vos représentants à l'Assemblée, ah oui oui, mais moi je ne vote pas avec lui,
15:35moi je ne fais pas socle commun, moi c'est ceci, moi c'est cela.
15:39Ces gens-là ont oublié le collectif, ont oublié le fond du problème,
15:43ils ne pensent qu'à leur petite, leur petite, une petite igloo, leur petite auberge, leur petite soupe,
15:50leur petit pot, comme en parlait un certain général qui s'appelait Charles de Gaulle.
15:57– Et puis si vous souhaitez réagir à ce que vous avez entendu, un seul numéro le 0 826 300 300
16:02et puis dans un instant André, vous recevez Patrice Huban, professeur d'économie de la défense à Sciences Po
16:07et haut fonctionnaire pour son livre « Vers un nouvel essor français », à tout de suite.
16:11– Sous-titrage Société Radio-Canada