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Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national et député du Nord, est l'invité d'Apolline de Malherbe sur RMC et BFMTV, ce jeudi 14 novembre. Il réagit aux réquisitions du parquet à l'encontre de Marine Le Pen.

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Transcription
00:00Mais moi, je crois qu'à la fin, évidemment, les choses rentreront dans l'ordre.
00:03Marine Le Pen sera notre candidate en 2027.
00:05Mais les coups de boutoir du système, la volonté du système
00:08d'essayer de nous empêcher de faire notre mission politique,
00:12sont assez indignes. Ce sont des manœuvres, si vous voulez.
00:15Tout ça, ce sont des manœuvres.
00:16Vous dites, elle sera notre candidate.
00:18Si effectivement, le parquet est suivi, qu'elle est jugée inéligible,
00:24elle ne pourra tout simplement pas se présenter.
00:27Techniquement, administrativement, républicainement, je dirais.
00:30Oui, moi, je ne veux pas me mettre dans cette situation.
00:32Vous n'envisagez pas cette option ?
00:33Non, je n'envisage pas cette option.
00:35Je pense que, encore une fois, ces réquisitions sont excessives,
00:39sont sans nuance et ont pour vocation de salir Marine Le Pen,
00:43ont pour vocation non seulement de la démonétiser politiquement,
00:46mais de la salir aux yeux de l'opinion publique.
00:49Donc, je n'envisage pas cela à la fin.
00:51Et sinon, Jordan Bardet, la candidate ? Marine Le Pen, Premier ministre ?
00:55Non, mais on ne prépare pas l'après Marine Le Pen.
00:56Non, on prépare l'après Emmanuel Macron, et l'après Emmanuel Macron,
00:59il s'écrit avec Marine Le Pen et avec, évidemment,
01:02toute l'équipe du Rassemblement national, Jordan et tous les élus du Rassemblement national.

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