En séance de dédicaces en Moselle, Jordan Bardella, président du Rassemblement national, a décrété qu'il ne croyait pas "aux miracles" et qu'il ne restait que "quelques heures" au gouvernement pour éviter une censure de la part de son parti.
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00:00Le scénario à la grecque, effectivement, on se dirige vers ça, oui.
00:04Si le déficit public continue d'être aussi important,
00:06si le déficit commercial continue d'augmenter ce qu'il avait fait dire au commissariat au plan,
00:12qu'on a une économie d'un pays en voie de développement parce qu'on produit de moins en moins sur le territoire français
00:17et cette voie de tiermondisation quand on prend chiffre par chiffre sur les entreprises,
00:22sur la dette qui représentait 97% du PIB et qui est maintenant à 113% du PIB.
00:27Je disais, le déficit qui augmente constamment, oui, c'est ça qui est inquiétant
00:32et ce n'est pas l'instabilité politique comme je peux entendre ou je ne sais quoi
00:36ou parce qu'on refuserait ce budget qui serait problématique.
00:39C'est si on continue avec ce budget parce que si on n'avait rien dit
00:43et que les cotisations patronales et salariales augmentaient encore de 4 milliards d'euros,
00:48c'est ce qui allait encore plus tuer des entreprises alors qu'on a eu des fermetures d'entreprises inédites.
00:52Et derrière ça, c'est des gens, parfois des gens précaires qui travaillent, qui allaient perdre leur boulot
00:59et c'est une paupérisation générale du pays.