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Avec Abdellak, Richard et Jacques

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##LES_AUDITEURS_ONT_LA_PAROLE-2025-01-14##

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Transcription
00:00— Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
00:04— Vous êtes là. Merci d'être là. 0826-300-300. On est bien avec vous. Vous le savez. Nous allons... Bah tiens.
00:12Nous commençons avec notre gagnant ou pas ?
00:14— Non. — Oui, si vous voulez.
00:15— Non, non. Allez. Non. D'abord, je vais donner... Non, non. Gagnant ou gagnante, d'ailleurs.
00:19— Oui, bah oui. Tout à l'heure.
00:21— Bon. Mais... Allez. Je vais donner la parole tout de suite à tous nos auditeurs.
00:24Et ils sont là, Jacques Abdelak et Richard. Jacques, pour commencer, à Castres-dans-le-Tarn. Bonjour, Jacques.
00:29— Bonjour, Jean-Jacques.
00:31— Et tous mes vœux. Tous mes vœux.
00:33— Tous mes vœux pour 2025.
00:35— Alors réforme des retraites, suspension ou pas, budget... Faut-il un budget maintenant pour la France ?
00:41Est-ce que les partis politiques divers et variés doivent trouver des solutions pour donner un budget à la France ?
00:46Quel est votre avis, Jacques ?
00:48— Oui, bien sûr. Il faut qu'ils fassent preuve de responsabilité un petit peu.
00:54Et sur la retraite, je pense que moi, Bayrou va faire du gel, parce qu'il va gagner du temps.
00:59Ça va lui permettre de faire gagner du temps. C'est pas une abrogation, c'est du gel.
01:02Il pourra arriver dans quelques mois au même système.
01:06— Est-ce que vous pensez... Il va y avoir... Moi, je sais pas. Je veux pas préjuger de ce qu'il va dire ce soir.
01:12On verra bien. On va pas faire de politique fiction. Simplement, il y aura...
01:16Évidemment, ça, ça a été annoncé, une rediscussion autour de la réforme des retraites.
01:20Est-ce qu'on ira jusqu'à changer le système et engager la réforme par points ? Je ne sais pas.
01:26Jacques, je ne sais pas si vous êtes favorable ou pas.
01:29— Jean-Jacques, la réforme des retraites, les gens, ils voient que 64 ans, point, avec 43 annuités.
01:36Mais c'est pas ça, en fait, la retraite. La retraite, c'est la valeur que vous avez misée à chaque trimestre.
01:42Donc on n'explique pas bien en français ce que c'est que d'obtenir une retraite.
01:48Moi, je suis en pendant. Alors donc j'ai fait mon apprentissage. Je m'en ai validé un trimestre sur une année,
01:53parce que la valeur du trimestre n'était pas... Je gagnais 3 000 francs à la veille, alors qu'à l'époque, en 1918,
02:02c'est 3 000 francs au trimestre. Je m'en ai validé un trimestre. Vous voyez ce que je veux dire ?
02:06— Oui, bien sûr. — Il faut dire la vérité aux gens, je pense, qu'il faut arrêter de dire 64 ans.
02:09Ça veut absolument rien dire, en fait. Pour moi, ça veut absolument rien dire, 43 annuités...
02:14— Mais chacun a fait un totem de ses 64 ans. — ...pour expliquer aux gens ce que c'est que la retraite.
02:18— Oui. Non, mais je suis d'accord. Vous attendez quoi du discours de Bayrou, là, Jacques ?
02:23— Pas grand-chose. Moi, j'attends Bayrou. Déjà, c'est bizarre de le voir là. François, vous représentez, si vous voulez,
02:31de français, puisque vous avez le pouvoir en ce moment. Donc je suis pas trop d'accord avec cette...
02:36Même si je n'aime pas les extrêmes. Attention, moi, je suis pas extrémiste. Je suis pas à gauche ni à droite.
02:41Je suis plutôt centriste, justement. Mais François Bayrou ne représente plus rien aujourd'hui.
02:45Donc il peut parler, il peut faire ce qu'il veut. Je pense qu'il n'y a pas grand monde qui l'écoute, pour moi.
02:49— Bon. Jacques Abdelhak, vous êtes d'accord avec ce que dit... Bonjour d'abord, Abdelhak, et tous mes voeux.
02:55Abdelhak, vous êtes là ? — Oui, Jean-Jacques, je suis là. Bienvenue.
02:59— Ah, mon marchand ! Et oui, je sais bien. Et tous mes voeux, hein, Abdelhak, tous mes voeux.
03:05— Vous avez écouté Jacques. Que dites-vous ? — Oui. — Que dites-vous ?
03:11— Bah écoutez, la moralité de son temps, je crois que c'est juste. Moi, j'y apporterai. Je suis un peu plus dur que ça.
03:20J'en vois encore... De toute façon, la faute, là, le problème où on en est aujourd'hui, c'est à cause de la dissolution qui s'est passée.
03:26Aujourd'hui, de devoir gérer une assemblée avec une majorité qui appartient aux extrêmes, qu'elle soit de droite ou de gauche...
03:33D'abord, ça ressemble pas à la France. Et pour moi, c'est ça, le boxon tout le temps. Ça va être compliqué pour quoi que ce soit.
03:41L'informe de retraite, il y en avait besoin. Bon, il commençait toujours par la réforme des retraites.
03:47Vous savez, Macron, il avait commencé par ça. Il avait commencé par baisser par 1 ou 1,5%.
03:53Sa première réforme qu'il avait faite par rapport aux retraites, c'est de baisser le revenu des retraités.
03:58Donc il avait pas très très bien commencé. Et là, M. Bayrou, il y avait des choses plus importantes. Il y a une économie à relancer.
04:06Il y a une confiance qui est grosso modo perdue. Il y a les taux d'intérêt qui sont énormes. Il y a l'immobilier qui plombe.
04:11Il y avait des trucs vachement plus intéressants qui intéressent plus les Français que l'informe de retraite.
04:16— Oui, mais les partis politiques, eux, ne parlent que de ça, hein. — Oui, mais parce qu'évidemment,
04:21quand ils n'ont pas de solution à apporter, ils vont parler d'un sujet dont tout le monde finira par se mettre d'accord à un moment donné.
04:28La réforme de retraite, c'est très courageux qu'ils la prennent en main. C'est M. Macron, d'ailleurs, qui l'a prise en main, le président Macron.
04:37Donc c'était très courageux de le faire. Bon, maintenant, on en parle. Ils peuvent décider s'ils veulent.
04:42Mais il y a des choses vachement plus importantes. La confiance, c'est sur ça que repose une économie tout entière. On le sait.
04:49— Abdelak, je vais donner la parole à Richard, parce que le temps presse. Et je voudrais que chacun puisse parler.
04:55Richard est à Toulouse. Bonjour, Richard. — Oui, bonjour à vous.
04:59— Si j'ai bien compris, vous êtes d'accord avec Abdelak. — Ah bah ouais. C'est un peu ça, en fait.
05:04Parce qu'Abdelak a raison. Parce que la réforme des retraites, les socialistes ne vont attendre qu'un geste pour recréer, on va dire,
05:13l'alliance sacrée qu'ils avaient avec la Macronie. On recrée la Macronie alors qu'elle nous a menés au tas.
05:19Et je pense que là où on attend, c'est Bayrou, c'est sur le budget. On n'attend pas. C'est important.
05:26— Oui, je suis d'accord. C'est le budget qui compte. Il faut un budget. Alors là, il faut un budget pour la France.
05:32— Ouais. La réforme des retraites, aujourd'hui, les gens l'ont avalée. Moi, je travaille avec une personne, là, qui s'est retrouvée
05:37à faire un an de plus avec une petite retraite. Et c'est une petite retraite, en plus. Et elle l'a avalée.
05:47Donc aujourd'hui, c'est même pas la peine de revenir dessus. C'est pour essayer de trouver un geste pour le socialiste.
05:53Et en plus, je pense que derrière, au coin du bois, il faut savoir que si les gens ont écouté Patrick Martin, le patron des patrons,
05:59Macroniste devant le créateur, il a annoncé que lui, il aurait bien la suppression des 10% d'abattement pour les retraités.
06:07Les 10% d'abattement, c'est un abattement fiscal, en fait. C'est pas des frais professionnels, puisque quand vous habitez à côté du boulot,
06:13vous les avez quand même. Et donc en fait, là, par contre, il plomberait les retraites moyennes.
06:20— Mais c'est ce que demande le MEDEF. C'est ce que demande le MEDEF. Mais je vois pas qui va accepter ça.
06:27— C'est pathétique, parce que quelqu'un du MEDEF qui propose une mesure comme ça, on se dit qu'il n'a que ça dans son sac,
06:33alors que la France doit complètement se réformer pour baisser ses déficits.
06:37— Et alors qu'on n'a jamais distribué autant de dividendes. Je voudrais quand même le remarquer.
06:42— Je suis d'accord avec vous aussi, M. Bourdin. C'est la seule réussite de M. Macron, puisqu'il a pu permettre
06:48aux 500 plus riches en France d'exploser, quasiment de doubler leur patrimoine de 15 ans.
06:55— Il faut dire la vérité. Merci, Richard. Merci, Abdelhak. Merci, Jacques.
07:01C'est un plaisir de vous savoir là, tous et toutes. Eh bien, notre gagnant ou notre gagnante ?
07:07— Notre gagnant, grand gagnant du grand jeu de Sud Radio. Oui, c'est Lilian, du côté d'Agin,
07:13qui gagne un bon cadeau d'une valeur de 1 200 € pour un séjour dans les clubs.
07:17Et Hôtel Belhambra, il est avec nous. Bonjour, Lilian. — Oui, bonjour.
07:20— Bonjour, Lilian. — Bonjour. — Tous nos voeux. — Merci. Vous aussi.
07:25— Alors, félicitations. Bon, vous avez gagné donc un bon cadeau d'une valeur de 1 200 €
07:30pour un séjour dans les clubs et hôtels Belhambra. C'est-à-dire que vous partez bien sûr avec qui vous voulez.
07:34Et vous choisissez parmi les 45 destinations possibles de clubs, hôtels de vacances Belhambra
07:39situés bien sûr dans les meilleurs endroits de France. — La mer ou la montagne ?
07:43— La montagne. — La montagne. Eh ben, Lilian, vous choisirez.
07:47— Eh ben, c'est parfait. Merci à vous. — Voilà. Je suis très heureux.
07:50Et merci de nous écouter et d'être avec nous le matin. — Merci beaucoup.
07:54— Merci. Bonne journée, Lilian. — Merci. Vous aussi.
07:56— Merci. Au revoir, Lilian. — Au revoir. — Au revoir. Il est 8 h.

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