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00:00Justement, qu'est-ce qu'on en parle ? Qu'est-ce qu'on dit ? Qu'est-ce qu'on se dit ?
00:06C'est scandaleux. D'abord, un, anti-vax. Je pense qu'il met dans l'eau les gens qui, comme moi, comme beaucoup, ont défendu les libertés.
00:15Moi, je n'ai pas fait le tour des plateaux en disant « vous ne vaccinez pas ». J'ai dit « on veut la liberté ».
00:19Votre histoire de pass sanitaire, de pass vaccinal et d'obligation pour les soignants qui se sont retrouvés à la rue parce qu'ils n'avaient plus de boulot suspendu, c'est une honte absolue.
00:27Deux, M. Rousseau. Désolé. Qui est responsable des morts ? Moi, je vais être clair. Tous ceux qui nous ont dit « ça fait 95 % d'efficacité », c'était faux.
00:37Tous ceux qui nous ont dit « ça protège de la transmission », c'était faux. Tous ceux qui nous ont expliqué qu'il fallait le mettre pour les gamins, qu'il fallait que les enfants se vaccinent, les jeunes, etc.,
00:46parce que le Covid était très grave chez eux, c'était faux. M. Rousseau, il était responsable de l'Agence régionale de santé d'Île-de-France pendant le Covid qui a fermé des lits à l'hôpital.
00:56Qu'est-ce qui, à votre avis, fait des morts ? C'est quand il n'y a plus de lits. En ce moment, on n'arrête pas de parler des gens qui ne sont pas soignés aux urgences parce qu'il n'y a pas de personnel, parce qu'il n'y a pas de lits.
01:03M. Rousseau, il était responsable de l'ARS d'Île-de-France. Il était ministre de la santé. Donc sous son mandat, en quelque sorte, les lits ont continué d'être fermés.
01:12Les soignants ont continué d'être suspendus, mal payés, pas au boulot. Donc résultat que moi, je n'ai aucune leçon à recevoir.
01:19En revanche, lui et d'autres, M. Véran, on peut en reparler, Mme Buzyn et au-dessus, le président de la commission européenne, Ursula von der Leyen, etc., ces gens-là devront un jour rendre des comptes.
01:32Parce que c'est eux qui doivent rendre des comptes. Aux États-Unis, il y a un vrai boulot qui a été fait par les parlementaires.
01:37– Je sais, j'y vais le 18 février. – J'espère que vous avez lu Cyril.
01:41– Je n'ai pas payé. Parce que j'ai encore vu ce mal de Jean-Michel Apathy qui a dit que j'avais payé. Mais je n'ai pas payé, Jean-Michel Apathy.
01:48Jean-Michel Apathy, arrête d'avoir le seum, je ne paierai jamais rien. Même l'avion, je ne vais pas le payer. On me l'offre. Il ne comprend pas, lui. Il croit que je vais payer.
01:56Il y a même un mec qui va m'amener en avion, qui m'a payé l'avion. Voilà. Il ne comprend rien. Il y a un seum. Il est un seumeur. Merci.
02:04– Alors les États-Unis ont publié un rapport du Congrès américain en décembre dernier, 550 pages, sur toute la gestion du Covid,
02:10et qui démontre que tout ce qu'ont préconisé les Aurélien Rousseau, les Véran, les Salomon, les Macron, etc. équivalents aux États-Unis, c'était bidon et c'était dangereux.
02:20Et ça, c'est le Congrès américain, le Parlement américain qui l'a écrit. Alors en France, vous n'risquez pas d'avoir ce travail parce qu'en France, on n'a pas d'opposition.
02:27Au Parlement, ils dorment. Il n'y a pas d'opposition. Personne n'a fait ce genre de commission d'enquête.
02:31Enfin, j'ajoute juste une chose. Pas de leçon, surtout de la part d'Aurélien Rousseau, qui a déclaré le 3 octobre 2023 sur France Inter.
02:39Il a dit qu'il n'y a pas d'effet secondaire à l'injection au vaccin Covid.
02:43– Il a changé d'avis, là, d'ailleurs. – Il n'y a pas. Alors que même son administration…
02:47– Là, il a dit l'inverse. Là, maintenant, il nuance en disant que c'est vrai que sur une injection de millions de personnes, il peut y avoir des effets.
02:53– Le problème, c'est que quand on vous dit qu'il n'y en a pas, vous poussez les gens qui entendent le ministre dire qu'il n'y en a pas.
02:58Ils disent donc je peux le faire, ou je peux le faire faire à mon gamin. Sauf que c'est faux.
03:01Même son administration dit qu'il y en a. Et d'autres disent même qu'il y en a des très lourds, des très graves et très fréquents.
03:07– Est-ce qu'on va lancer Valérie Benhaim, qui est un détaillé, qui ne font qu'un ?
03:13Dans les « oui », est-ce qu'il y en a qui veulent absolument parler ?
03:15Parce qu'on va surtout prendre des noms, après, forcément. Dans les « oui », Kélin…
03:19– Moi, j'ai mis « oui », mais je suis vaccinée, quatre fois.
03:21– Oui, oui, mais on s'en fout. – Ben non, je suis là, je suis encore là.
03:24– Géraldine. – Non, non, je vous entends, effectivement.
03:27Moi, je suis d'accord avec vous, c'est l'appellation de « anti-vax ».
03:30Je trouve qu'elle est un peu globale et un peu générale.
03:32Et dans « anti-vax », en fait, aujourd'hui, on met tout et n'importe quoi.
03:35Ça peut être « anti-vax », parce qu'on ne veut pas se vacciner.
03:38Ça peut être « anti-ce vaccin », contre le Covid.
03:40Ça peut être « anti-Macron », parce qu'il y a eu beaucoup aussi de gens
03:44qui ont surfé pendant cette crise sanitaire sur une sorte de « anti-Macron primaire ».
03:48Et de toute façon, comme ça venait de Macron, en fait, on a juste déboulé.
03:51On a voulu faire le beurre sur la crise sanitaire et sur le dos de Macron.
03:55D'abord, je trouve que c'est plutôt bien, cette formule, parce qu'elle est un peu costaud.
03:59Elle est un peu spectaculaire.
04:01Et je trouve qu'on est pour la liberté d'expression.
04:03Donc, je ne vois pas pourquoi il n'aurait pas le droit de dire ça.
04:05– Il n'a pas le droit. – Il n'a pas dit qu'il n'avait pas le droit.
04:07– Il n'a pas dit qu'il n'avait pas le droit. – Il n'a pas le droit de faire un débat ensuite.
04:09– C'est le premier truc. Donc, voilà, moi, j'aime bien le débat.
04:11Ensuite, deuxièmement, là où je trouve qu'il a raison,
04:13c'est peut-être la petite musique que vous avez, vous, infusée pendant cette crise sanitaire,
04:15où vous avez fait finalement émettre Divizio et le professeur Raoult.
04:19Et vous, un peu votre beurre, votre notoriété, vos followers sur Twitter.
04:23– Non, mais arrêtez. Vous n'allez pas me redire.
04:25Je me disais tout à l'heure, ça y est, elle est quand même plus calme.
04:29– Elle n'a pas donné 20 ans.
04:31– Non, mais ça, je n'accepte pas.
04:33Moi, en faisant toutes les manifs que j'ai faites,
04:35j'ai fait également, je suis au tribunal, moi, contre Ursula von der Leyen.
04:37– Mais vous, vous faites des manifs tout le temps.
04:39– Oui, mais je suis obligé.
04:41– Vous en déconnez, c'est un truc de fou.
04:43– C'est quand même l'expression populaire.
04:45Et si on ne le fait pas, nous, il n'y a personne qui le fait.
04:47– Il part 90% de son temps en manif.
04:49– Oui, et vous croyez que ça me fait plaisir ?
04:51– Si on ne le fait pas, personne ne le fait.
04:53– Pourquoi vous n'êtes pas élu, pourquoi vous n'arrivez pas à parler bon ?
04:55– Il a fait son record d'adhérents.
04:57– D'abord, on a un nombre d'adhérents considérable.
04:59Et on verra la suite, quand les Français se rendront compte
05:01qu'ils sont mal représentés par les gens actuels.
05:03– Elle est méchante.
05:05– Mais non, ce n'est pas une question de méchante.
05:07– Elle est méchante.
05:09– Elle est méchante Florian, va manifester contre elle.
05:11– J'ai pris des risques considérables.
05:13Non mais je la connais bien, on a eu des débats.
05:15J'ai pris des risques considérables à faire tout ça.
05:17On a pris du temps, on a fait des choses qui n'étaient pas populaires.
05:19On s'est privé.
05:21Vous savez, on parlait tout à l'heure de l'ARCOM.
05:23Non mais je reviens au sujet de la liberté d'expression.
05:25La position que j'avais de liberté sur le Covid,
05:27m'a valu l'exclusion de plateaux de télévision.
05:29– Je sais, on t'a exclu.
05:31– Encore maintenant, parce qu'on me dit,
05:33vous que vous avez dit ça, on ne peut plus.
05:35– Exactement, on ne peut pas, il n'y a que chez nous.
05:37– Vous voyez le niveau de dinguerie du pseudo-débat démocratique français.
05:39Donc ne croyez pas que moi j'en ai profité.
05:41Nous on a pris tous les risques.
05:43Il se trouve qu'on a été les seuls quasiment,
05:45en tout cas dans le champ politique, à bouger.
05:47– Et pourquoi ça ne prend pas alors ?
05:49Puisque les gens sont aussi anti-vaccin.
05:51– J'aurais dit de mailler s'il vous plaît.
05:53– C'est votre idéologie qui ne prend plus.
05:55– Florian Philippot, elle déplace le débat.
05:57Ça n'a rien à voir.
05:59Le débat ce n'est pas Florian Philippot et les Patriotes.
06:01Le débat, c'est ce qu'a dit Aurélien Roussel.
06:03J'invite tout le monde à adhérer, à nous rejoindre.
06:05S'ils veulent une vraie résistance, ils adhèrent aux Patriotes.
06:07Mais ce n'est pas une question de prendre ou ne pas prendre.
06:09C'est de dire la vérité et de se battre pour ses convictions.
06:11Moi je me bats pour les convictions.
06:13– Jean-Claude Beaumont, le professionnel,
06:15qui est sur C8 ce soir, un bébel.
06:17Merci à l'ORI. Non, non, on a déjà maillé, c'est bon.
06:19On ne va donc plus avoir les deux.
06:21– Moi, Aurélien Roussel, je ne sais pas qui c'est.
06:23– C'est le douanier, non ?
06:25– Oui, c'est le douanier, je ne sais pas qui c'est, effectivement.
06:27– Gilette, vous avez dit l'éphémère ministre de la Santé.
06:29En fait, il est éphémère.
06:31C'est ça qu'il est.
06:33Ce qu'il caractérise assez bien, c'est d'être éphémère.
06:35Donc commenter les propos d'un éphémère,
06:37c'est quand même lui donner une persistance
06:39et une constance qui ne me va pas très bien.
06:41Ça, c'est le premier point.
06:43Deuxième point, la notion d'antivax.
06:45Je ne sais pas ce que c'est, moi.
06:47Mais peu importe.
06:49Moi, je veux bien qu'on l'engage, ce débat.
06:51Il l'a dit, engageons-le.
06:53Moi, je le poursuis en diffamation.
06:55Alors, effectivement, j'y pose deux plaintes.
06:57Une en diffamation.
06:59Et le deuxième point, une plainte contre X pour mise en danger de la vie d'autrui.
07:01– Contre X ? – Parce qu'il y a des morts.
07:03Il le dit, il y a des morts.
07:05Allons ouvrir le débat de pourquoi il y a des morts.
07:07– J'espère que vous allez gagner un procès.
07:09Avec le professeur Raoult, il ne gagne rien, le professeur Raoult.
07:11– Elle est méchante. – Je vais répondre à ça.
07:13Si vous voulez bien, on va répondre à ça.
07:15– Professeur Raoult, il a été gardé de l'ordre des mépris.
07:17– Excusez-moi.
07:19– L'hydroxychloroquine, elle a été balayée
07:21parce qu'il y avait plein de vis de forme.
07:23– Elle est aigreur. – Le gourou.
07:25– Elle prend du malox.
07:27– Non mais c'est bon, ils n'ont pas besoin de...
07:29– Alors, soit vous entrez dans un monologue ennuyeux,
07:33comme vous savez les faire,
07:35soit vous faites ce que vous aimez le plus,
07:41vous écoutez parler, soit vous écoutez les autres.
07:43Mais entre les deux, il n'y a pas vraiment d'intermédiaire.
07:45– Non mais vous êtes d'accord.
07:47– Alors, quant au procès que je gagne ou pas,
07:49ma première...
07:51– C'est un bon signe pour lui.
07:53– Je vais répondre là-dessus.
07:55– Que le professeur Raoult soit attaqué par l'ordre des médecins,
07:57c'est un super bon signe.
07:59– Les questions d'études sur l'hydroxychloroquine...
08:01– Vous préférez le docteur Marty qui vient vous expliquer
08:07qu'on a des milliards d'années de recul sur...
08:09– On peut revenir au débat.
08:11– Moi je préfère Raoult qui a fait des études sérieuses
08:13que des pseudo-médecins de plateau
08:15qui viennent vous expliquer qu'on a des milliers d'années de recul.
08:17– Il est super, j'espère qu'il va gagner un point.
08:19– Oh, c'est au point du droit.
08:21– Sans vouloir vous enfoncer, l'avis de Géraldine Maillet
08:23et son professeur Raoult, on s'en passe volontiers.
08:25– Par ailleurs.
08:27– Et on s'en tamponne.
08:29– Tu peux le dire, on s'en tamponne.
08:31– On s'en tamponne complètement.
08:33À un moment, je veux dire, l'avis de Géraldine Maillet,
08:35il n'intéresse que Géraldine Maillet.
08:37– Et encore.
08:39– Il n'en parle pas sûr.
08:41Je vais répondre sur un autre point.
08:43– On va le trouver meilleur en tout cas.
08:45– C'est bon, on ne parle pas sur les autres.
08:47On n'est pas chez RMC.
08:49– Ce que je dis, c'est que manifestement, il y a des morts.
08:51Mais il y a des morts, et on se pose la question
08:53de savoir d'où viennent ces morts.
08:55Ça ne vient pas du tout du système de santé français.
08:57Pas du tout.
08:59Finalement, dans ce pays, on passe 3 jours, 4 jours aux urgences.
09:03En été, on ne peut plus accéder aux urgences.
09:05En hiver, aujourd'hui, c'est pire que pendant le Covid,
09:07disent les médecins, mais on ne meurt pas.
09:09C'est les antivax qui font mourir les gens.
09:11Eh bien, donc, acte.
09:13– Je n'ai rien demandé au passage.
09:15Merci de me laisser finir.
09:17Ce n'était pas une question, c'était juste un propos que je développe.
09:19Le fait est qu'à un moment, puisqu'il s'agit d'entrer dans un débat public,
09:25allons voir où sont les morts.
09:27Et allons voir quelle est l'origine des morts.
09:29Allons voir combien le retard de prise en charge
09:31et le défaut de prise en charge
09:33a occasionné comme mort,
09:35et occasionne comme mort encore aujourd'hui.
09:37Intéressons-nous au vrai problème.
09:39Les vax, antivax, c'est peut-être bon pour vous.
09:41Effectivement, ça vous permet de dire quelques trucs
09:43sur un sujet que vous maîtrisez un tout petit peu.
09:45– Oh, super !
09:47– Mais la question n'est absolument jamais celle-là.
09:49Les antivax font mourir des gens.
09:51Mais vous rigolez, c'est qui les antivax ?
09:53– C'est la petite musique, en fait,
09:55Maître Divizio, qu'on a entendue pendant la crise.
09:57En gros, en fait, c'est la science
09:59qui a été quand même mise à rue d'épreuve.
10:01– La science ?
10:03– Oui.
10:05– La même science qui vous expliquait
10:07que le vaccin protégeait de la transmission ?
10:09– Est-ce que c'est cette science-là dont on parle ?
10:11– Est-ce que c'est cette science-là dont on parle ?
10:13– Est-ce que c'est cette science-là dont on parle ?
10:15– Est-ce que c'est de la science ?
10:17– J'ai des acouphènes à moi, là.
10:19– Est-ce que c'est de la science-là dont on parle ?
10:21– C'est une question importante.
10:23Est-ce que c'est de la science-là dont on parle ?
10:25– It is this science that we're speaking.
10:27– Non, mais moi…
10:29– Il faudra s'entraîner un peu plus.
10:31– Personnellement, tous les médecins que j'ai interviewés,
10:33tous les immunologues…
10:35– Personnellement, on s'en fout.
10:37– C'est ça qui protège d'être pris sur.
10:39– Elle commence une phrase par personnellement.
10:41– Non, je ne la laisserais pas parler.
10:43– Quand elle commence une phrase par personnellement,
10:45je ne la laisserai pas parler. Personnellement, on s'en fout.
10:47– Elle aura donné son avis.
10:49– Personnellement, on s'en fout de son avis.
10:51– Non, non, non.
10:53– Eh, les gars, rendez-moi.
10:55Je suis venu ici pendant deux ans
10:57pour vous dire que mon avis on s'en foutait.
10:59Alors j'espère que si mon avis on s'en fout,
11:01le sien aussi.
11:03Et qu'elle m'incarne pas la science.
11:05Les médecins que j'ai interviewés, qui ne sont pas encore radiés de l'Ordre des médecins, m'ont tous dit qu'on était sortis de cette pandémie grâce aussi à la vaccination contre le Covid.
11:15Alors je sais bien que ça vous percute.
11:17Comment ils ont fait dans les pays où ils ne sont pas vaccinés ? Comment se fait-il que dans les pays non vaccinés, ce soit également la fin ?
11:24Tout ça n'a aucun sens.
11:25On ne va pas refaire ce débat.
11:26Est-ce que je peux redire juste une chose ?
11:27Allez-y.
11:28Je dis une chose.
11:29Je suis choqué par le retard du débat médiatique en France.
11:34Dans tous les pays, vous allez en Allemagne, aux États-Unis, au Royaume-Uni, etc., au Japon, vous avez, depuis longtemps, on sait qu'il y a énormément de gens qui sont victimes de ce produit qu'on a appelé vaccin, ARN messager.
11:46Il y a des associations de victimes.
11:47Il y a des morts.
11:48Il y a des enfants qui sont morts de tout ça, etc.
11:50Il y a des membres du Congrès, des membres du Parlement, des commissions d'enquête, des juges qui ont rendu des avis, des décisions de justice qui sont accablantes pour ceux que vous appelez la science.
12:00Il n'y a qu'en France où on vit encore dans une bulle, une espèce de bulle avec Aurélien Rousseau, tous ces petits médias qui vous expliquent qu'on est comme il y a 4 ans, mais on n'est pas comme il y a 4 ans.
12:09Posez-vous la question pourquoi aujourd'hui, dans cette campagne vaccinale, l'automne 2024, personne ne s'est fait vacciner Covid, à votre avis.
12:16Pourquoi ?
12:17Parce qu'aujourd'hui, le Covid ne tue pas ?
12:19Parce que non, parce que les gens savent que cette affaire est une arnaque et qu'elle est très dangereuse.
12:26Et nous ne sommes pas arrivés au bout en France.
12:28On n'a même pas encore bien commencé ce travail de vérité et de justice.
12:32Et nous ferons ce travail, et vous savez ce travail de vérité et de justice, même si ça dort au Parlement français.
12:37Mais oui, nous le ferons.
12:38Donc ne nous sortez pas à la science.
12:40Votre science, elle s'appelle Pfizer.
12:42Elle s'appelle Frick.
12:43Elle s'appelle AstraZeneca.
12:45Ou Moderna, ou AstraZeneca, comme vous voulez.
12:47Je vais vacciner AstraZeneca, je te le dis. Ne le dis à personne, je t'en supplie.
12:49Je ne suis pas, moi je suis d'origine.
12:51Cache-toi, cache-toi.
12:55On va essayer de rationaliser le débat.
12:58S'il te plaît, ne le dis à personne.
13:00Je crois que là où vous trompez, Géraldine, j'aurais pensé quand même mériter un tout petit peu plus d'estime en ce qui me concerne.
13:04Parce que j'ai passé ma vie sur ce plateau à vous expliquer que le débat, ce n'était pas la vaccination.
13:08Bien sûr, bébé.
13:09Ce n'était pas ça, le débat.
13:10Le débat, c'était les prélibertés publiques.
13:12Et effectivement, la manière dont on l'a imposé, cette vaccination.
13:14Vous avez quand même beaucoup parlé aussi de la vaccination.
13:17Parce qu'elle a été imposée.
13:18Non, je vous ai parlé des vertus que l'on prête à la vaccination qui n'étaient pas justes.
13:22Et j'avais raison depuis le départ.
13:24La vaccination évite les formes graves.
13:25Et c'était ça qui nous a empoisonnés depuis la crise.
13:27Et heureusement qu'il y a eu la vaccination.
13:29Mais de quoi vous me parlez ?
13:30Vous voulez vraiment qu'on l'engage sur ce débat-là ?
13:34Non mais, attendez, excusez-moi.
13:35Vous vous rendez compte que les formes graves, comme vous dites.
13:38Je veux dire, je ne vais pas revenir sur ce débat.
13:40Mais les formes graves, elles étaient concentrées sur une catégorie particulière de personnes sur laquelle on aurait pu se concentrer.
13:45Rappelez-moi qu'un gamin de 5 ans se fait une forme grave, vous ?
13:48Un gamin de 10 ans se fait une forme grave ?
13:49Il a raison, il a raison.
13:50Vous arrêtez encore là ?
13:51Franchement, il a raison là-dessus.
13:52Non, arrêtez. Un peu sérieux.
13:53Il a raison là-dessus.
13:54J'ai suffisamment investi pour vous.
13:55Il a raison là-dessus.
13:56Il ne faut pas vous prêter sur le propos.
13:57Je suis désolé Géraldine.
13:58Deuxième point.
13:59Il faut aller plus loin.
14:00Aujourd'hui, Géraldine, ce qu'il faut que vous compreniez, c'est qu'une vulgaire grippe,
14:03on n'est plus en mesure de l'accueillir dans le système de santé français.
14:05Je sais, mais il a raison.
14:06On n'a plus de place dans le système de santé.
14:08On est à la ramasse.
14:09On n'a plus de place pour rien.
14:10Nous sommes un pays qui dépense.
14:12On est endetté à milliards.
14:13On dépense.
14:14On a une dette colossale et on n'est pas foutu d'accueillir les gens dans les hôpitaux.
14:18Et qu'est-ce qu'on vous propose ?
14:19De vous vacciner contre la grippe ?
14:20Avec un débat des anti-vax ?
14:22Mais vous vous rendez compte de la supercherie ?
14:24Mais vous êtes pour le vaccin contre la grippe ?
14:26Mais je m'en fous complètement de la grippe.
14:28Mais ça ne veut rien dire d'être pour ou être contre.
14:30Est-ce que vous êtes pour le vaccin contre la grippe ?
14:32Mais je suis pour, évidemment.
14:33Je suis pour tout.
14:35Est-ce que vous êtes pour, par exemple, le vaccin contre le papillomavirus ?
14:37Dans des cas déterminés, oui.
14:39Je m'en fous, en fait.
14:40Ils s'en foutent.
14:41Mais vous savez que c'est un gros problème parce qu'aujourd'hui, les gens ne se vaccinent plus contre la grippe, contre le papillomavirus, contre les...
14:46D'abord, vous savez, sur la chaîne YouTube, la Droite Parole, il y a une émission qui s'appelle « Il était une fois ».
14:51Sans « S ».
14:52Un dieu avec un dieu qui a une barbe.
14:54C'est un dessin animé, ça.
14:56Vous devriez effectivement venir parce que tout ce que vous dites, ça relève de la foi.
15:00C'est de la croyance.
15:01Vous parlez de science, mais vous opposez.
15:03Ce que vous revendiquez, c'est de la foi et de la croyance.
15:05Ici, vous avez de la foi.
15:07Vous vous êtes fiers.
15:08Comme il le dit, au dieu, vaccin, c'est votre affaire.
15:10La différence entre vous et moi, c'est que moi, je sais nuancer les choses.
15:14Et c'est ce que j'ai toujours fait ici.
15:16Je les ai nuancées.
15:17Je vous ai toujours dit ici que le vaccin n'empêchait pas la transmission.
15:20Combien de morts à cause de gens qui, comme vous, pardonnez-moi, mais vous vous êtes fait vacciner avec un totem d'impunité et d'immunité
15:27en pensant que vous alliez effectivement protéger la personne qui est autour de vous.
15:33Combien de fois ?
15:35Le débat est fort sérieux.
15:37Parce qu'avec ce pass sanitaire et ce pass vaccinal, combien de personnes est-ce qu'on a tuées
15:41en pensant que le vaccin protégeait alors qu'il ne protégeait pas ?
15:44Combien de personnes on a tuées ?
15:46On en a beaucoup sauvées aussi.
15:47On en a sauvées sans doute, mais combien on a tuées ?
15:49On en a beaucoup sauvées.
15:501 400 000 personnes.
15:51Non, alors le 1 400 000, ça ne marche pas.
15:53C'est important.
15:54Ces études, elles sont bidons.
15:55Ça ne marche pas, ça.
15:56On va voir, merci.
15:5783%, voilà.
15:58Êtes-vous choqués ?
15:59Bravo à eux.
16:00Bravo à eux.
16:0183%.
16:02C'était bon, Florian Philippot et Fabrice Viau.
16:04Et ne vous trompez pas d'ennemi.
16:05L'ennemi, il est là.
16:06Il est là, l'ennemi.
16:07Non, mais mollo quand même sur l'ennemi, parce qu'après, moi, je me fais menacer de mort.
16:10On va m'enculer par vos amis, là.
16:12Non, non, non.
16:13Ne commencez pas.
16:14Ne commencez pas avec ça.
16:15Elle a raison.
16:16Elle a raison de le dire.
16:17Non, non, non.
16:18Je vais vous dire.
16:19Les seuls qui ont dit pendant le Covid, il ne faudra pas prendre en charge et soigner les non-vaccinés,
16:24c'est votre temps.
16:25C'est votre temps.
16:27Merci.
16:28On se retrouve dans un instant.
16:30Merci.
16:31Merci de s'être resté avec nous.
16:32Peut-être que Pierre Palmat va sortir de prison.
16:34On va en parler dans un instant.
16:35A tout de suite sur C8.

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