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00:00Et ceux qui ne veulent pas s'arachnafo, s'assimiler, ceux qui sont dans la haine de la France et pourtant ils sont français depuis deux ou trois générations, même parfois plus que moi.
00:09Comment on fait, ou vous, effectivement, donc c'est intéressant cette conversation, comment on fait par rapport à ces jeunes français aujourd'hui ?
00:15Moi je crois qu'aujourd'hui il va falloir tenter ce qu'en fait personne n'a jamais tenté, c'est-à-dire un véritable plan d'assimilation qui selon moi doit reposer sur plusieurs piliers.
00:23Le premier, c'est la tolérance zéro. La tolérance zéro vis-à-vis de, notamment, la justice. C'est-à-dire qu'on doit dire à des gens, si vous comptez vivre à côté de nous, en parallèle, dans une économie parallèle,
00:34si vous comptez réussir à vivre en France sans travailler dans les entreprises françaises, mais par exemple en trafiquant des stupéfiants, vous voyez que c'est un grand sujet d'actualité aussi, nous ne vous laisserons plus faire.
00:44Une tolérance zéro, vous serez en prison. Je crois à la force de l'exemple. Quand on se dit, mon cousin ou celui que je connaissais n'arrive plus à seulement vivre de son trafic de stup', je pense que ça pourrait...
00:55Mais l'aspect culturel, ça ne se décrète pas, l'amour de la France ?
00:57D'abord, l'aspect culturel, en France, c'est beaucoup vu par le travail. Quand vous avez eu des générations de Polonais ou d'Espagnols, alors c'est différent, je vous l'accorde, ils se sont beaucoup intégrés à l'usine.
01:06Parce qu'il y a une force assimilatrice du lieu de travail. Quand vous avez des gens qui sont totalement déconnectés de nous, qui quittent l'école très tôt, qui vivent de trafic, comment voulez-vous qu'à un quelconque moment, ils aient accès à cette force assimilationniste ?
01:21Ensuite, je pense, et c'est plutôt même la base, le béaba, qu'il faut fermer la porte. Il faut fermer la porte. Parce que quand vous continuez d'accueillir des flux qui forment l'équivalent de la ville de Paris à l'échelle d'un quinquennat, donc 2 millions de personnes tous les 5 ans, comment voulez-vous que ceux qui sont déjà là s'assimilent ?
01:37Donc la justice, arrêter les flux migratoires ?
01:40Je pense qu'il y a, dans cette optique de justice, vous avez effectivement la justice pénale, vous avez également la justice sociale. Il ne faut plus que les gens viennent en France en se disant seulement que c'est un eldorado social. Il faut que ceux qui sont dans notre pays se disent qu'on vient pour apporter quelque chose.
01:55Nos parents, les miens, mes grands-parents ont été fiers d'apporter quelque chose à la France, de travailler, de ne jamais bénéficier d'aide sociale, de se dire, si je suis ici, je dois quelque chose à la France, et donc je travaille, j'offre quelque chose, j'offre mon travail, mon savoir, mon inventivité.
02:09Des générations entières de gens se sont dit la même chose. Aujourd'hui, vous avez en France des Libanais, des Asiatiques qui sont chez nous et qui se disent, je veux apporter quelque chose au pays qui m'a accueilli.
02:18Donc, le deuxième pilier, je vous ai dit justice pénale en premier, le deuxième, arrêter cette attractivité sociale, arrêter cette assistanat. Que les gens qui sont là pour profiter de nous et de notre générosité n'aient plus aucun intérêt à rester.

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