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00:00sur la décision du Conseil d'Etat de fermer ses vitres et ce matin sur France Inter, le génie d'Eckhard Pate, Patrick Cohen qui a tout raté dans sa vie.
00:09Hier, il a remplacé Anne-Elisabeth Lemoyne, qui est un petit peu souffrante sur ses tavous, l'émission a perdu je ne sais plus combien de téléspectateurs.
00:16Ils n'ont jamais fait un record à la baisse comme ça.
00:18Non mais c'est vrai, lui, c'est quand même lui, il les met tout à côté mais il donne des leçons.
00:21Il faut mettre la musique du changement de joueur là.
00:23Non mais c'est vrai, Patrick Cohen, il donne des leçons à tout le monde, il n'a jamais fait un truc qui a marché.
00:28C'est quand même le troisième couteau, le mec, ce n'est pas Guy Degrain, c'est le troisième couteau.
00:35C'est le troisième couteau partout, il va et il donne des leçons à tout le monde, Patrick Cohen.
00:38Franchement, Patrick Cohen, ça fait des années qu'il est à la télé, franchement c'est le père fourrat de la télé sauf qu'il n'a jamais résolu une énigme lui.
00:44C'est un truc de fou.
00:47Alors ce matin, parce qu'on va écouter Patrick Cohen qui a, sur la fermeture de ses vitres, et là bien entendu, ils y sont allés,
00:54forcément ils ont sorti tous les arguments habituels sur France Inter.
00:58Et sur France Inter, ils sont tellement culottés qu'ils m'ont demandé de faire un reportage sur moi.
01:01Ah oui ? Arrêtez.
01:02Non mais les mecs, pour vous dire, c'est pas possible.
01:04Eux, ils sont tranquilles.
01:06Il n'y a aucune face, les mecs.
01:09Ils m'appellent, on veut faire un reportage, tout ça sur la dernière, on voudrait venir.
01:13Mais bien sûr, je vais dire à France Inter, venez, je vais vous servir.
01:16Qui veut un oasis ?
01:18Merci, prenez un oasis pomme cassée, c'est mes préférés, c'est pour moi, c'est cadeau.
01:21Faites attention, c'est plein de sucre.
01:22Faites attention au cholestérol.
01:23Ils osent tout, quand même.
01:24Ils osent tout, ils osent tout.
01:26Mais eux, c'est des fous.
01:27Peut-être, je ne m'attendais pas à des larmes venant de France Inter sur la fermeture de C8,
01:31ni à des mots de compassion.
01:32Je ne m'attendais pas à des larmes, mais je ne m'attendais pas à de la bêtise.
01:36Je pensais qu'un silence décent serait au moins de mise.
01:40Mais là, non, même pas de silence.
01:42Parce que des larmes de la compassion, de la confraternité, Valérie,
01:45avec ton cœur pur, on peut attendre encore longtemps.
01:47Il n'y aura pas de confraternité pour les 400 salariés, employés de C8, ça c'est sûr.
01:52France Inter qui est une radio de gauche et qui devrait, évidemment, se soucier de l'avenir des salariés.
01:57Mais il n'y a pas un mot dans l'édito de Patrick Cohen sur les salariés.
01:59Ils s'en fichent, il n'y a pas un mot.
02:01Je le dis tout de suite aux auditeurs d'Europe 1, ça va être un petit peu difficile pour vos oreilles.
02:05Bédaïm, pour enlever votre appareil, il ne sert à rien que vous écoutiez.
02:10Merci, non mais c'est vrai.
02:12Bédaïm, tu peux enlever ton appareil, c'est bon.
02:14Elle n'entendra rien comme d'habitude, ça sera beaucoup mieux.
02:18Je vous dis, restez dans le silence, c'est ce qui vous va le mieux.
02:20Merci, écoutez.
02:22Hier soir, Éric Ciotti est venu en soutien sur le plateau,
02:25pendant que Marine Le Pen fustigeait les ayatollahs de la pensée unique
02:28et que Laurent Wauquiez promettait de supprimer l'ARCOM, autorité obscure.
02:33Même son rival pour la présidence de LR, Bruno Retailleau,
02:36qui comme ministre devrait défendre l'autorité de la chose jugée,
02:39et donc la décision du Conseil d'État, est allé de sa déploration.
02:43Le soutien n'était pas aussi large en juillet dernier,
02:46quand l'ARCOM a pris sa décision, sans doute un mouvement d'allégeance
02:50à celui qui apparaît comme le parrain de toutes les droites,
02:53Vincent Bolloré.
02:56Le mot parrain, pardon, mais moi je voudrais revenir sur ce mot, Cyril.
03:00Parce qu'on sait ce que c'est.
03:01Le parrain, le sous-texte, c'est mafieux, quoi.
03:06Les mots ont un sens, il faut faire attention,
03:08surtout Patrick Cohen connaît le temps des mots.
03:10Valérie Benalim, deux petites secondes, s'il vous plaît.
03:12Patrick Cohen, vous croyez vraiment ?
03:15Il y a Vincent Bolloré, vous voyez le T de Toblerone ?
03:19Vincent Bolloré, il est sur le T, voilà.
03:22Et Patrick Cohen, il n'est même pas sur le E,
03:24il est sur les Toblerones, au pluriel, il serait sur le S des Toblerones.
03:27Mais les mecs, vous croyez vraiment que Vincent Bolloré,
03:29franchement, Vincent Bolloré, à un moment,
03:32il va penser à Patrick Cohen ?
03:33Mais Patrick Cohen, il n'est même pas dans son champ de vision, les mecs.
03:36Vous savez, sans rigoler, les mecs, vous croyez quoi ?
03:39Patrick Cohen, il parle de qui ?
03:41Parce que si j'appelle Vincent Bolloré, je dis Patrick Cohen,
03:43il me dit c'est qui, l'opticien ?
03:44Non mais franchement, c'est vrai !
03:45Non mais les mecs, on ne sait pas qui c'est,
03:46il ne sait même pas qui c'est, je vous jure que c'est vrai.
03:48Il ne sait pas qui est cette personne.
03:49Les mecs, il faut parler avec des mecs,
03:52Patrick Cohen, les mecs, Patrick Cohen,
03:54mais qui est ce mec ?
03:55Qui est Patrick Cohen ?
03:56Non mais c'est vrai.
03:57Il donne des leçons à tout le monde depuis des années.
03:59Il y a lui et Jean-Michel Apatou.
04:01Exactement.
04:02Jean-Michel Apatou.
04:03C'est les mêmes.
04:04Qu'on salue.
04:05Qu'on salue, il doit être en train de nous écouter.
04:06Bien sûr, il va faire un petit tweet un moment, j'imagine, sur nous.
04:08Il va dire, étonnant, non ?
04:09Non mais c'est vrai.
04:11Lui, tu lui dis n'importe quoi, il va dire étonnant, non ?
04:15On dirait la marionnette de Jeff Panaclock.
04:17Non mais sans déconner.
04:18Mais dans quelle psychologie il faut être pour se réjouir,
04:20comme l'a fait Patrick Cohen ce matin, de la fermeture d'une chaîne ?
04:23Il faut être dans une psychologie…
04:24On n'aime pas un animateur, on n'aime pas une émission.
04:26On se réjouit de l'entièreté de la fermeture d'une chaîne,
04:29de cette quotidienne, cet hebdo qui vont s'arrêter ?
04:33Il ferait mieux de s'occuper de ses audiences et de se dire,
04:35je vais vous dire, comment ça se fait que ça ne marche pas
04:38et que ça marche très bien.
04:39À un moment, il faut se poser les bonnes questions.
04:41À un moment, les mecs, les seuls…
04:43Moi, je vous le dis, j'ai toujours pris le parti du peuple.
04:46Je vous le dis.
04:47Que ce soit à gauche, à droite, on le sait.
04:49Les Gilets jaunes, c'était pas à droite, c'était pas à gauche.
04:51Les Gilets jaunes, c'est moi qui…
04:52J'ai voulu leur donner la parole.
04:53Je prendrai toujours le parti du peuple et je donnerai toujours la parole au peuple.
04:57Regardez.
04:58Tiens, regardez d'ailleurs.
04:59Il y a un tweet qui vient de tomber.
05:01Ils ne sont pas les bons médias.
05:02Je n'étais pas la bonne victime.
05:04Claire Gironimi.
05:06Quand j'ai voulu témoigner de mon viol commis par un OQTF,
05:08peu de médias ont accepté de m'écouter.
05:10C8 via TPMP a été l'un des seuls à me donner la parole.
05:13Aujourd'hui, on les fait taire.
05:15Voilà, oui.
05:16Vous vous rendez compte ?
05:17C'est très fort ce que dit Claire.
05:18Écoutez, je lis.
05:19C'est incroyable.
05:20Aujourd'hui, on les fait taire parce qu'ils dérangent, comme j'ai dérangé.
05:22Pourtant, nous voulions seulement dire la vérité aux Français.
05:25Dans le pays qui s'est toujours présenté comme le défenseur ultime de la liberté d'expression,
05:28certains discours valent plus que d'autres.
05:31Regardez ce qu'elle dit.
05:32Quand j'ai voulu témoigner de mon vol commis par un OQTF,
05:35aucune chaîne, aucune radio, aucun média n'a voulu lui donner la parole.
05:40Seule C8 m'a écouté via TPMP.
05:43Merci à elle.
05:44Merci Claire, qui est exceptionnelle.
05:46Claire, que j'embrasse fort et qui a un énorme courage.
05:49Aujourd'hui, on les fait taire.
05:51Vous vous rendez compte ?
05:52Parce qu'ils dérangent, comme j'ai dérangé.
05:53Pourtant, nous voulions seulement dire la vérité aux Français.
05:56Bravo Claire.
05:57Parce que des Français qui pensent comme elle,
05:59il y en a des millions.
06:00Pourquoi sommes-nous aujourd'hui les plus écoutés, les plus regardés ?
06:04Tout simplement pour ça.
06:05Parce qu'aujourd'hui, les Français en ont marre qu'on leur cache des choses.
06:08Je le pense vraiment.
06:10Mais dans le même principe Cyril, sur les Gilets jaunes,
06:12ils sont venus à vous, et vous les avez écoutés, vous avez ouvert votre plateau.
06:16J'imagine qu'avant vous, ils ont été voir aussi d'autres plateaux.
06:19Et ce n'est qu'après coup, quand les autres télés, les autres émissions ont vu que chez vous,
06:24il se passait quelque chose, qu'ils se sont dit tiens...
06:26Je vais te dire pourquoi Valérie.
06:27Parce qu'à l'amorce des Gilets jaunes,
06:29moi je suis allé direct les voir de suite à peau.
06:31Et certains copains m'ont dit non, il ne va pas, c'est du populisme, je ne sens pas le truc.
06:35Il y avait une méfiance terrible, alors que les personnes qui étaient là,
06:39elles avaient leur fier.
06:40Je vais vous dire la vérité.
06:41Il y avait ce regard-là, tu sais.
06:43Je me méfie beaucoup plus des médias, des autres médias, que du peuple.
06:48Croyez-moi.
06:49Et je me méfierai toujours plus des médias et de certains journalistes que du peuple.
06:52Voilà.
06:53Et aujourd'hui, je pense que ça m'a réussi.
06:55Excusez-moi, donc je continuerai dans ce sillon.
06:58Voilà.
06:59Il est essentiel le tweet de Claire Géronimy,
07:01parce qu'il pointe pourquoi C8 est fermé aujourd'hui,
07:05et pourquoi des journalistes comme Patrick Cohen et Jean-Michel Apathy
07:09sont autant agressifs avec notre groupe et se réjouissent de cette fermeture.
07:13Parce qu'ils n'ont plus le monopole du récit.
07:15Avant, Patrick Cohen, qui a été mis pour ce fait en demeure par l'ARCOM,
07:19pouvait tranquillement raconter que Crépole,
07:21où Thomas a trouvé la mort et a été tué à coups de couteau,
07:25c'était une Rix, et il y avait des couteaux des deux côtés.
07:27Ben non, ce n'était pas une Rix.
07:28Il y avait un groupe de jeunes qui passaient tranquillement
07:30une soirée dans leur village à Crépole,
07:32et il y a une bande de romans sur Isère qui est venue les massacrer
07:35parce qu'ils n'avaient pas accès au bal de Crépole.
07:37Sur Jean-Michel Apathy, il nous expliquait qu'à Maurice Ravel,
07:40là où le proviseur avait été menacé
07:42parce qu'il avait refusé l'entrée à une jeune femme voilée,
07:45tout s'était bien passé, l'État avait fait son job.
07:47Ben non, l'État n'a pas fait son job puisqu'il a dû être exfiltré.
07:49Et Claire, c'est pareil.
07:50Sans C8, elle n'aurait pas été reçue.
07:52Et elle l'a été ensuite.
07:54Elle l'a été sur CNews et elle l'a été sur d'autres chaînes infos.
07:56Et la première question qu'on lui posait,
07:58après l'avoir fait parler pendant 5 secondes de son viol horrible,
08:00c'est « Vous ne seriez pas un peu d'extrême droite ?
08:02Vous n'êtes pas alliés avec Reconquête ou avec le Rassemblement National ?
08:05Pourquoi vous pointez comme ça l'OQTF de votre violeur ? »
08:08C'est ça qui est dingue.
08:10C'est ça qui est dingue.
08:11Exactement, mais ils m'y rendent fou.
08:13Ce sont des fous, excusez-moi.
08:14Ils sont extrêmement dangereux et je le dis aux auditeurs d'Europe 1.
08:17Mais je n'ai même pas besoin de le dire puisque je le vois bien.
08:20Les Français l'ont compris.
08:22Les Français s'en rendent compte.
08:24Il y a quelqu'un qui me dit « Les agriculteurs »
08:26qui, le premier, leur a ouvert la porte.
08:28Et je continuerai à ouvrir ma porte aux agriculteurs.
08:30D'ailleurs, je voudrais qu'on ait des agriculteurs, tiens,
08:33parce que c'est le Salon de l'Agriculture.
08:35J'aimerais bien qu'on ait un ou deux agriculteurs demain
08:37qui viennent nous parler de leurs difficultés.
08:38Et sachez que je me rendrai au Salon de l'Agriculture ce week-end
08:41pour une visite.
08:43J'irai le samedi, le même jour que, je crois que...
08:46Emmanuel Macron.
08:47Président, tout à fait.
08:49J'irai ce jour-là, j'irai au Salon de l'Agriculture.
08:5201-80-20-39-21.
08:54Réagissez à tout cela.
08:55Faudrait pas que vous me croisiez ?
08:57Pourquoi pas ?
08:58C'est intéressant.
08:59Je vous aime beaucoup.
09:00C'est par hangar.
09:01Deux hangars, deux ambiances.
09:03Je vais vous dire, vous savez moi,
09:05j'aime toujours croiser les gens.
09:06C'est les gens qui n'aiment pas me croiser.
09:09Ça vous fuit, paraît-il.
09:13Qu'est-ce que vous voulez dire sur tout ça ?
09:15Vous avez vu tout ce qu'on dit ?
09:16On reviendra sur un truc tout à l'heure.
09:19Mais sur Patrick Cohen, qu'est-ce que vous vouliez dire ?
09:21Très précisément, je le vois à l'aune du tweet que j'ai fait hier.
09:26Où j'ai fait le tweet en disant un peu ma réaction.
09:29Parce qu'on le fait avec notre sensibilité.
09:32J'ai eu beaucoup de réactions à ce tweet.
09:35Et il y a des gens de gauche, bien sûr, qui me tapent les flancs.
09:40Mais qui n'ont pas réagi à la question de l'emploi.
09:45Qui n'ont pas réagi à la question que je pose en début de tweet.
09:48On ne juge pas deux fois les mêmes faits.
09:50Alors que normalement ces personnes sont des défenseurs du pluralisme,
09:55de la démocratie, d'une justice juste et de l'emploi.
09:58Par contre, il y a beaucoup de personnes qui réagissent.
10:01Et qui me disent, nous on est de cette gauche que vous représentez.
10:05Vous avez raison, il ne faut pas se laisser intimider par d'autres.
10:08C'est intéressant les réactions.
10:09On voit bien qu'il y a véritablement un séparatisme aujourd'hui.
10:13J'emploie le mot à bon escient.
10:16Entre les élites.
10:18Et y compris au sein des élites, des gens qui ont eu un itinéraire à gauche.
10:22Et un électorat.
10:24Une conscience populaire qui voit bien qu'on leur a enlevé une chaîne.
10:31Et que c'était leur chaîne.
10:33Et donc là-dessus, je pense que des éditorialistes,
10:37Cohen en fait partie, ont perdu ce contact.
10:41Ont totalement perdu ce lien avec les personnes telles qu'elles ressentent les choses.
10:47Parce qu'ils seraient un peu à l'écoute, ne serait-ce que des réactions populaires.
10:51Ils le glisseraient dans son billet.
10:53En disant, mais pour autant, il y a aussi des gens qui n'en parlent absolument pas.
10:57Parce que nos téléspectateurs sont de toutes les couleurs politiques.
10:59Quand il dit déconnecté, c'est vraiment déconnecté.
11:01Il y a Jean-Michel Apathie aussi qui a dit, j'ai regardé tes PMP hier.
11:04Lui je crois que c'est mon plus grand fan.
11:06800 000 d'écarts.
11:08Ça va continuer, c'est un gouffre.
11:11Je vous jure que c'est vrai.
11:12Vous savez que vous vous additionnez quotidien et c'est à vous.
11:16Il faut additionner quotidien et c'est à vous pour faire l'audience de tes PMP.
11:19C'est pas incroyable ?
11:20C'est pas incroyable, mais même sur toutes les parties.
11:22Il faut additionner les deux audiences.
11:23Je sais.
11:24C'est incroyable, c'est incroyable.
11:25Emmanuel Macron, tiens le tweet du génie.
11:28Jean-Michel Apathie.
11:32Il a repris mon truc.
11:33Emmanuel Macron, on te laisse parler.
11:36Il a dit donc, bon voilà, mais on comprend rien.
11:39On voit pas le tweet là, c'est insupportable.
11:42On comprend rien sur la fiche.
11:43Bon, il a dit...
11:45Non, il l'a supprimé paraît-il.
11:46Oui, il l'a supprimé.
11:47Ça c'est pas bon déjà, quand tu supprimes.
11:49On comprend rien.
11:50Il a demandé dans un tweet si je n'étais pas le fils caché de Donald Trump.
11:53Moi je vais demander dans un tweet si c'est pas le fils caché de Bébert Le Frolon.
11:59Non mais franchement, il l'a retiré après.
12:02Je sais pas pourquoi.
12:03C'est pas bon.
12:04Quand on retire comme ça, c'est quoi ?
12:07C'est qu'on fait pas mouche.
12:08Ça fait pas mouche.
12:10Bon, il fait rarement mouche lui.
12:11À mon avis, il fait plus se retirer que...
12:13Voilà, je vous lis.
12:14Bon, c'est qu'on est monté au cocotier et qu'on préfère vite redescendre parce que...
12:17Exactement.
12:18Mais il est 16h23, il a toujours pas tweeté sur nous là.
12:20Ça y est, complot d'État, notre émission a dérangé.
12:22Macron n'y est pour rien, c'est Colère qui a monté le dossier,
12:24il veut contrôler les médias.
12:25Je me demande si Cyril Hanouna n'est pas le fils caché de Donald Trump.
12:28Étonnant, non.
12:29Macron n'y est pour rien.
12:30Alors, il fait des raccourcis.
12:32Il l'a su à un moment, voilà.
12:34Mais il l'a pas su au début.
12:35Et vous l'avez dit d'ailleurs.
12:36Il l'a pas su au début.
12:37Voilà, en tout cas, de ce que je sais.
12:38Je vous le dis, il l'a pas su au début.
12:39Il a pas géré le deuxième début.
12:40Après, voilà, après...
12:41Après, si vous prenez votre téléphone et vous dites...
12:43Écoutez, déconnez pas, c'est la première chaîne de la TNT.
12:45On est en démocratie, on supprime pas les chaînes en France.
12:48J'aurais bien aimé qu'il réagisse quand même à cette affaire.
12:50Parce que Bruno Rotaillou a réagi, on le voit à lui.
12:52Franchement, quel bonheur.
12:53Je me suis trompé hier.
12:54Quel bonheur ?
12:55Je me suis trompé.
12:56Je t'avais dit qu'il prend des libertés avec le président de la République assez souvent.
12:59Il réagit.
13:00Il le fait.
13:01Tous les ministres n'ont pas réagi.
13:02Et je vais vous dire, ça les embête que Marine Le Pen ait réagi hier à la fin d'un long tweet.
13:05Ça les embête tellement.
13:06Ils sont tellement énervés.
13:07Mais...
13:08Ils sont tellement énervés que Jordan...
13:09Ah ! D'ailleurs, Jordan Bardella sera avec moi à la télé ce soir.
13:12Ça va les emmerder.
13:13Il sera en duplex avec nous de Washington.
13:14La ministre de la Culture n'a pas réagi, par exemple.
13:16La ministre de la Culture...
13:18Elle n'a pas réagi.
13:19Exactement.
13:20C'est vrai.
13:21Rachida Dati n'a pas réagi.
13:22Et normalement, c'est de sa compétence.
13:23Comme certaines personnes du groupe.
13:24Tout le monde ne réagit pas.
13:25Non.
13:26C'est vrai.
13:27C'est fou.
13:28C'est dommage parce qu'elle vous aime beaucoup, Rachida Dati.
13:29Oui, oui.
13:30Mais moi aussi, j'aime les gens.
13:31Moi aussi, j'aime les gens.
13:32Vous savez, moi, je peux dire à tout le monde que je l'aime.
13:33Ça va rien dire.
13:34Il n'y a que des preuves d'amour.
13:35C'est comme l'amour.
13:36Il faut les paroles et les preuves.
13:37Et après, d'autres ont réagi une fois que ces huit ferment.
13:40C'est-à-dire qu'Eric Ciotti, je prends en exemple, il réagit depuis le départ.