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Une pluie d’interpellations parlementaires allant du meurtre de Soopramanien Kistnen à la délinquance juvénile, en passant par la responsabilité fiscale des compagnies gouvernementales ainsi que l’introduction réclamée d’une Freedom of Information Act, sans oublier les écoutes des appels téléphoniques, seront évoquées ce mardi. Parleman Lepep avec Jimmy Jean-Louis et Linley Appadoo. Décryptage des deux nouvelles législations qui y seront introduites en première lecture, notamment : (i) Le Bail Amendment Bill et (ii) La Finance and Audit (Amendment) Bill. À suivre également, l’analyse de la Private Notice Question. Vos questions au 213 7777, 213 7777. Émission en direct à suivre également sur notre application TOPFM TV et sur Parabole, chaîne 10.

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00:00:00volume d'eau dans nos banques de réservoirs. Alors l'IFINI aussi demande le nombre de familles qui finissent bénéficiées de nos water tanks depuis décembre 2024 à ce jour.
00:00:12Alors, si vous pouvez, nous écouter un premier extrait de sa pièce, là. Après, là, nous pourrons aller dans les détails.
00:00:17Bien sûr.
00:00:30Madame la Présidente, comme je l'ai dit dans le passé, si, éventuellement, nous ne recevons pas la pluie d'été qui, chaque année, remplit nos réservoirs,
00:00:54à la fin d'avril de cette année-ci, nous serons dans une situation encore plus catastrophique parce que, même si nos réservoirs ont 40% à ce jour, autour de 40% à ce jour,
00:01:15bien en dessous de 15%, nous allons devoir arrêter les pompages parce qu'il y a de la boue un peu plus bas. Donc, pour répondre à la question du leader de l'opposition,
00:01:28fin avril, nous serons dans une situation difficile. Mais, entre-temps, je peux dire que nous avons commencé à avoir des drains, des bore-holes, simplement pour limiter la casse.
00:01:42Mais, pour répondre à la question du leader de l'opposition, ce sera fin avril, début mai.
00:02:12Je dois préciser, Madame la Présidente, que nous gérons cette crise au quotidien.
00:02:32Je préside personnellement une réunion de crise chaque matin à mon ministère et je dois dire que, cette réunion de crise, la gestion de l'eau au quotidien me prend presque toute la journée de travail.
00:02:57En ce qui concerne un plan pour gérer la situation et après, je dois dire que, d'abord, nous avons hérité d'une situation qui nous met aujourd'hui, la population dans son ensemble,
00:03:22dans une situation difficile. Nous avons un plan qui se fait annuellement, pour gérer la situation annuellement. Nous avons aussi un comité de crise qui gère la situation au quotidien.
00:03:45Nous avons aussi pris la décision d'avoir un plan pour après avril. Ce plan d'après avril consiste aussi à utiliser à fond les bore-holes, à utiliser à fond l'eau du CEB, les dents du CEB qui se sert pour l'électricité.
00:04:16Nous avons aussi pris la décision de prendre les dents qui appartiennent au secteur privé et cela a été fait dans une coopération patriotique.
00:04:36Pour répondre à la question du leader de l'opposition, je vais déposer le Water Crisis Committee qui gère d'une façon quotidienne ce que nous a été légué par l'ancien gouvernement.
00:04:55Mais je dois aussi dire, puisque la question est venue de l'ancien ministre, je suis obligé, malheureusement, Madame la Présidente, de revenir à comment on est arrivé à cette situation.
00:05:16Comment on est arrivé à cette situation que le leader de l'opposition, qui a été, si je me rappelle bien, l'ancien ministre responsable de ce dossier, me pose la question, en trois mois, comment je vais faire pour gérer les gabzis et les scandales de dix ans.
00:05:39Permettez-moi, Madame la Présidente, de parler du fameux projet de rivière des Anguidammes.
00:05:48Un projet de barrage, puisque vous voulez avoir les renseignements, je vous donne les renseignements, un projet de barrage de rivière des Anguidammes annoncé depuis 2015.
00:06:10Madame la Présidente, vous ne m'avez pas posé une question spécifique.
00:06:23Madame la Présidente, j'ai posé une question spécifique sur le projet de rivière des Anguidammes.
00:06:35La réponse est oui ou non. Et si c'est oui, j'ai demandé au ministre de tabler le plan de contingence.
00:06:44Permettez-moi d'aller à une autre question, Madame la Présidente.
00:06:47Permettez-moi d'aller à une autre question.
00:06:49Si il n'a pas ce plan.
00:06:51Non, mais il ne l'a pas terminé.
00:06:53Mais il parle de la rivière des Anguidammes, le plan de contingence.
00:06:58Madame la Présidente.
00:07:02Permettez-moi de décider.
00:07:05Honorable leader of the opposition, you may ask a supplementary question. That is your right.
00:07:12But the minister also has the right to reply the way that he thinks he should reply.
00:07:19Voilà donc, Dumy, la réponse, une partie de la réponse.
00:07:23Une partie de la réponse du ministre Patrick Assia-Valdez, le ministre des énergies.
00:07:28Ce qui est important pour noter l'idée, c'est que la PNQ finit de donner l'occasion au ministre de répondre aux scandales et gafgistes sous l'ancien régime
00:07:35durant les dix dernières années, c'est ce qu'il a appelé.
00:07:38Notamment sur le projet de remplacement de tuyaux de 700 millions de roupies,
00:07:42envers l'ancien directeur de la CWA qui, selon Patrick Assia-Valdez,
00:07:46n'a pas avec le ministre de tutelle qui se trouve être le leader de l'opposition actuelle.
00:07:52Le ministre Assia-Valdez finit aussi de dire qu'il a 25 fissures dedans et qu'il voulait détruire celles-là.
00:08:02Selon lui, il n'y a pas de fautif pour répondre dans ces affaires-là, il n'y a pas de niveau autour.
00:08:07Tandis qu'il insiste pour gagner le rapport technique qui recommande la démolition de ces structures-là, de ces nouvelles réserves-là.
00:08:15C'est une des affaires qui ne peut pas continuer.
00:08:17Absolument. Dans l'extrait que nous avons choisi, le ministre a raconté et dit qu'il y a un plan,
00:08:26si jamais il n'y a pas d'appel, après avril.
00:08:29Un plan qui peut servir les CECB, les dames privées, pour mettre à la disposition de la CWA.
00:08:37Mais bon, d'ici-là, nous espérons que l'appel va tomber et que la situation va améliorer.
00:08:43Parce que ce qui l'indique, c'est que dans les 41% des lieux qu'il y a actuellement, il y en a 15% là-bas.
00:08:48Oui, absolument.
00:08:49Donc on arrive à ce niveau de 15%-là.
00:08:52Il faut bien certainement, à ce moment, trouver une solution.
00:08:56Espérons, prions pour le pays entier, pour qu'il gagne de l'eau.
00:09:00Nous passons à la séance de PMQT.
00:09:03Absolument. Alors, nous avons choisi deux extraits pour ça.
00:09:07Le premier extrait, il concerne...
00:09:09Alors, laisse-moi retrouver dans ma note, si c'est possible.
00:09:12Voilà, exactement.
00:09:14Donc, le premier extrait, il concerne la question de Franco Quirin,
00:09:19qui paye deal avec, justement, le décès de Soubramanian Kisnen.
00:09:28L'affaire Kisnen, bien sûr, qui finit d'être prise ce matin au niveau du Parlement,
00:09:32durant la PMQT.
00:09:34Allez, à nous, écoute l'extrait.
00:09:36Ah, voilà.
00:10:14L'extrait.
00:11:14Je devrais dire, à ce moment-là, Madame la Présidente,
00:11:39que la PMQT demandait cela.
00:11:41N'oubliez pas ce qui se passait à la PMQT, à ce moment-là.
00:11:44Ils ignoreaient ce que la PMQT disait.
00:11:46Complètement.
00:11:47Comme si elle n'existait pas.
00:11:50En disant cela, depuis que le meurtre allégeé a été rapporté,
00:11:53nous, de ce côté de la Maison,
00:11:56avons vehement protesté contre la manière dont les enquêtes
00:12:00ont été menées sous la direction de la police commissaire précédente.
00:12:05Après 4 ans, 4 ans maintenant,
00:12:08il est clair qu'il n'y avait pas de volonté,
00:12:11de la partie du gouvernement précédent,
00:12:13d'élucider un crime si atroce,
00:12:16même si c'était l'agent du précieux Premier ministre.
00:12:19Au contraire, ils l'ont recouvert.
00:12:22Ils ont dit que c'était un cas de suicide.
00:12:25Les citoyens de ce pays,
00:12:28en particulier les familles affectées,
00:12:30attendent toujours la justice.
00:12:33Je l'ai dit avant, Madame la Présidente,
00:12:35et je le dis encore aujourd'hui en tant que Premier ministre,
00:12:37je souhaite réitérer
00:12:39que je ne suis pas du tout satisfait
00:12:41de la manière dont les enquêtes ont été menées dans ce cas.
00:12:44Ce cas est d'utile priorité pour la police,
00:12:48et la nouvelle commission de la police
00:12:50a créé un équipe dédiée au CID central
00:12:52pour conduire une enquête de mort
00:12:54avec des instructions claires
00:12:56pour revoir tous les rapports enregistrés,
00:12:58qui sont en train de se faire maintenant.
00:13:01Madame la Présidente,
00:13:03je suis encore informé par la commission de la police
00:13:05qu'un policier dédié,
00:13:07avec de l'expertise extérieure
00:13:09dans l'enquête criminelle,
00:13:11a été appelé en tant que conseiller
00:13:13au CID central
00:13:15pour revoir toute l'enquête.
00:13:17Avec de l'expérience extérieure
00:13:19dans l'enquête criminelle,
00:13:21il jouera un rôle crucial au CID central
00:13:23et assistera le département
00:13:25en apportant sa vaste expérience
00:13:27pour élucider ce cas.
00:13:29Madame la Présidente,
00:13:31je l'ai dit publiquement,
00:13:33nous allons enregistrer
00:13:35les services d'enquête
00:13:37d'officiers à l'étranger.
00:13:39Nous pensons que c'est essentiel.
00:13:41Nous l'avons déjà fait.
00:13:43J'ai déjà initié des actions
00:13:45pour enregistrer les services
00:13:47d'un corps d'enquête étranger
00:13:49pour aider la police dans ses recherches
00:13:51afin d'assurer
00:13:53qu'il y ait de la lumière
00:13:55sur ce cas,
00:13:57ainsi que sur les autres cas
00:13:59sans résolution,
00:14:01tout cela sera investigé.
00:14:31Le premier ministre a annoncé
00:14:33qu'il y avait beaucoup d'étrangers
00:14:35dans l'enquête,
00:14:37non seulement pour ce cas,
00:14:39mais aussi pour les autres
00:14:41qui apparaissent.
00:14:43Nous avons trouvé
00:14:45le travail de la magistrate
00:14:47Vidia-Bembrou-Djokornat
00:14:49au niveau de la cour de Mokar.
00:14:51Elle est très critique
00:14:53envers la police.
00:14:55C'est un nul.
00:14:57C'est un nul.
00:14:59C'est un niveau
00:15:01d'incompétence.
00:15:03Un nouveau niveau
00:15:05d'incompétence.
00:15:07C'est-à-dire le rapport d'autopsie
00:15:09concocté à l'époque
00:15:11pour faire
00:15:13un suicide.
00:15:15Là, je trouve ça très
00:15:17difficile,
00:15:19comment dire,
00:15:21très anormal,
00:15:23rare plutôt, mais
00:15:25c'est le nom de la police.
00:15:27Normalement, pas un droit d'emploi.
00:15:29D'autant plus qu'il me rappelle
00:15:31qu'il y a déjà eu un cas
00:15:33de cadresse pilée
00:15:35qui venait avec une motion
00:15:37pour tirer le nom d'un docteur.
00:15:39Je ne vais pas vous citer le nom
00:15:41parce qu'il est décédé maintenant
00:15:43d'un gynécologue dans le Hansard
00:15:45basé sur l'anonymité
00:15:47de ce qu'ils appellent la civil service.
00:15:49Pour vous dire
00:15:51à quel point
00:15:53cette affaire
00:15:55et le gouvernement...
00:15:57Tu tiens ça à coeur parce qu'ils ont dit
00:15:59qu'ils n'ont pas agi rapidement et c'est ce qu'ils ont fait en fin de compte.
00:16:01Donc...
00:16:03Mais ils ont aussi dit
00:16:05plusieurs autres cas.
00:16:07Ils ont mentionné le cas
00:16:09de suicide
00:16:11à Grégoire.
00:16:13Et aussi
00:16:15la dame qui
00:16:17normalement se suicidait depuis le bâtiment
00:16:19de la NPF. Je ne vais pas rappeler
00:16:21le nom de la personne.
00:16:23C'est une réponse aussi.
00:16:25Donc
00:16:27le mine business
00:16:29permet un groupe d'enquêteurs
00:16:31dédié pour s'abattre à l'enquête.
00:16:33Nous espérons qu'ils trouvent un résultat.
00:16:35Voilà.
00:16:37Donc ça c'est au niveau de la question
00:16:39qui finit posée
00:16:41justement l'affaire
00:16:43de Supramaniam.
00:16:45La question posée par Franco Quirain
00:16:47nous a rappelé.
00:16:49Il a supplémenté sa question là
00:16:51Très bien. Alors nous passons
00:16:53justement à la question qui
00:16:55finit posée juste avant par le député Rukni
00:16:57qui demande justement
00:16:59au niveau de la
00:17:01statistique, est-ce qu'il y a
00:17:03un cas de falsification de la
00:17:05statistique
00:17:07surtout qui finit
00:17:09soulevé dans le rapport
00:17:11du State of the Economy
00:17:13que le Premier ministre a fait préparer.
00:17:15Est-ce qu'il y a une action qui vous prend
00:17:17contre Benjamin qui donne
00:17:19une action sans ce rapport-là
00:17:21ou Benjamin qui compile
00:17:23ce rapport-là lui-même
00:17:25et les mesures que le gouvernement
00:17:27peut mettre en place
00:17:29pour empêcher ça d'arriver encore.
00:17:31Nous écoutons un petit peu
00:17:33un extrait
00:17:35justement de la réponse du Premier ministre.
00:17:49It was an illusion, a mirage.
00:17:51GDP at market prices
00:17:53was overstated by around
00:17:5522 billion
00:17:57rupees for 2023
00:17:59and more than
00:18:0136 billion rupees
00:18:03for 2024.
00:18:05The budget deficit was understated
00:18:07in the budget document by
00:18:091.8% GDP
00:18:11for fiscal year 2023-24
00:18:13and by 3.3%
00:18:15of GDP for the fiscal
00:18:17year 2024-2025.
00:18:19We have amply demonstrated
00:18:21that the falsification
00:18:23of data was the only way
00:18:25for the previous government to conceal
00:18:27its economic and
00:18:29fiscal mismanagement
00:18:31and the resulting
00:18:33disastrous situation.
00:18:35But the truth
00:18:37always finally has
00:18:39come out. Madame Speaker, with regard
00:18:41to part A of the question, the real
00:18:43culprits and the masterminds
00:18:45behind the falsification of
00:18:47data have already been booted
00:18:49out of office.
00:18:51Game over for them.
00:18:53But we are looking
00:18:55very closely
00:18:57to take further appropriate actions
00:18:59if needed.
00:19:01Madame Speaker, we are rebuilding
00:19:03our institutions to ensure that
00:19:05their independence, their good
00:19:07governance and effective functioning
00:19:09is a reality. One example
00:19:11is the Bank of Mauritius,
00:19:13which has regained total independence
00:19:15to carry out its functions and its roles.
00:19:17We will also carry out a fundamental
00:19:19review of the governance structure
00:19:21across key public sector institutions,
00:19:23including the Economic Development
00:19:25Board and Statistics Mauritius.
00:19:27With regard to part B of the
00:19:29question, government has already secured
00:19:31technical assistance from the IMF
00:19:33to review and strengthen
00:19:35our institutions and statistical
00:19:37system so as to prevent the recurrence
00:19:39of this terrible
00:19:41mismanipulation that has
00:19:43taken place. The IMF
00:19:45will carry out a comprehensive assessment
00:19:47of the extent to which our institutions,
00:19:49including the Ministry of Finance,
00:19:51Statistics Mauritius and the Bank of
00:19:53Mauritius, are observing international
00:19:55statistical standards
00:19:57and codes while complying
00:19:59and disseminating statistics.
00:20:01The assessment will cover all
00:20:03statistical sectors, namely
00:20:05the national accounts, price indices,
00:20:07monetary and fiscal statistics,
00:20:09government finance statistics
00:20:11and the balance of payments.
00:20:13At the end of the assessment, the IMF
00:20:15will submit a report on
00:20:17the observance of standards and codes
00:20:19together with the appropriate
00:20:21recommendations. This assessment by
00:20:23the IMF, long overdue
00:20:25since the last one was carried out
00:20:27in
00:20:292002.
00:20:31Madam Speaker, the IMF, as a matter
00:20:33of priority, agreed to
00:20:35devote the first part of the exercise
00:20:37to reviewing the
00:20:39organisation structure of Statistics
00:20:41Mauritius and its data collection
00:20:43and dissemination process
00:20:45to prevent again such
00:20:47interference in the future.
00:20:49We act in force to restore the integrity
00:20:51and quality of our statistics
00:20:53after 10 years of abuse.
00:20:55A steering committee is being set
00:20:57up under the Ministry of Finance to
00:20:59coordinate the assessment of the IMF
00:21:01and ensure effective
00:21:03implementation of its recommendations.
00:21:05Madam Speaker, we will shortly
00:21:07reconstitute the statistics board
00:21:09and appoint an independent
00:21:11and fully qualified chairperson
00:21:13and that board will be given full
00:21:15independence in the exercise of its
00:21:17responsibilities. With the
00:21:19implementation of the recommendations of the
00:21:21IMF, we will ensure that
00:21:23in future, no government will be
00:21:25able to manipulate data
00:21:27ever again.
00:21:29Voilà, justement,
00:21:31après sa réponse
00:21:33du Dr Naveen Ramgoulam
00:21:35au député Kaviraj Rukni, nous finirons
00:21:37là une question supplémentaire
00:21:39du député de l'opposition,
00:21:41Adrien Duval, qui justement est avec nous
00:21:43au téléphone. Adrien, bon après-midi.
00:21:45Bon après-midi,
00:21:47bienvenue à tous nos auditeurs.
00:21:49Oui, il y a également mon collègue Léa Paduc
00:21:51qui est avec moi. Quand même, cette question
00:21:53de statistiques,
00:21:55on finit par dire
00:21:57que si
00:21:59on pose la question, si on fait une action
00:22:01dans ces affaires-là, comment on précise
00:22:03le fil de vos pensées par rapport
00:22:05aux interventions?
00:22:07Oui, bien sûr.
00:22:09Donc, comment on le tout connaît,
00:22:11le gouvernement
00:22:13à l'heure du changement
00:22:15fait une première
00:22:17d'ailleurs, action
00:22:19qui vient avec un status
00:22:21économique du pot,
00:22:23qui vient expliquer que
00:22:25d'après eux, le chiffre est
00:22:27falsifié, un chiffre
00:22:29qui est fourni par Statistics
00:22:31Mauritius. Comment vous le connaissez?
00:22:33Statistics Mauritius, c'est une
00:22:35organisation gouvernementale
00:22:37qui a créé
00:22:39la loi et qui son rôle,
00:22:41c'est d'occuper
00:22:43toutes les statistiques officielles
00:22:45du pays. Donc,
00:22:47le State of the Economy report dit
00:22:49que les statistiques, le chiffre de croissance,
00:22:51etc. sont
00:22:53manipulées dans le but
00:22:55de donner
00:22:57une image qui n'est pas vraie.
00:22:59Donc,
00:23:01toute sa politique aujourd'hui
00:23:03du gouvernement d'ailleurs,
00:23:05c'est un rapport du
00:23:07State of the Economy
00:23:09et son politique fiscale, tout pour baser
00:23:11l'eau, dépenses
00:23:13budgétaires, etc.
00:23:15Le problème
00:23:17qui me finit à moi aujourd'hui,
00:23:19avec la réponse qui est finie de l'année par le Premier
00:23:21ministre, c'est que
00:23:23malgré que
00:23:25la statistique mauritieuse
00:23:27donc, bien sûr, sous
00:23:29l'égide de ce directeur et de
00:23:31toute une équipe,
00:23:33d'après ce
00:23:35qu'il peut dire,
00:23:37d'une manière ou d'une autre pas insuffisamment
00:23:39chiffre, il n'y a aucune action qui peut
00:23:41être prise. Aucune action
00:23:43disciplinaire
00:23:45et aucune action, bien sûr,
00:23:47au niveau
00:23:49pénal. Et le
00:23:51problème c'est que,
00:23:53dans le Statistics Act,
00:23:55le directeur
00:23:57de statistiques mauritieuse
00:23:59est dans l'obligation d'agir
00:24:01de manière indépendante. Il n'est pas
00:24:03capable d'instructionner qui que ce soit.
00:24:05Donc, il est dans l'indépendance
00:24:07qui est garantie de passer la loi
00:24:09même. C'est pour ça
00:24:11qu'il est d'autant plus grave
00:24:13qu'ici, ce qu'il
00:24:15le State of the Economy report
00:24:17peut dire, peut prétendre qu'il finit
00:24:19de manipuler, sous
00:24:21l'instruction d'un membre du gouvernement
00:24:23de l'époque, mais bien il n'a
00:24:25son choix. Il n'est pas capable
00:24:27de quantifier le
00:24:29Saban même du monde. Là, qu'il peut dire aujourd'hui
00:24:31statistiques, comment est-ce qu'il ne peut pas faire confiance
00:24:33aujourd'hui dans les statistiques
00:24:35dans le chiffre qu'il peut dire, nous,
00:24:37si ce sont les mêmes personnes qui, visiblement,
00:24:39d'après le State of the Economy report,
00:24:41disent qu'il ne faut pas
00:24:43quantifier dans le chiffre, alors qu'ils
00:24:45étaient dans le devoir d'indépendance
00:24:47et qu'ils
00:24:49ont des affaires, bien sûr, des affaires
00:24:51illégales. Donc, comment est-ce qu'il
00:24:53est capable de continuer
00:24:55de garder confiance, comment est-ce qu'il est capable de continuer
00:24:57de garder crédibilité, si aucun
00:24:59action n'a pas été prise,
00:25:01ni disciplinaire, ni autre,
00:25:03et trois mois finissent de passer, et c'est ça
00:25:05même, l'équipe
00:25:07là, aujourd'hui, qui peut dire dans le chiffre qu'il peut fournir
00:25:09dans le nouveau statistique du
00:25:11GPB, donc
00:25:13c'était un peu le but de la question.
00:25:15Ils m'ont regretté
00:25:17parce qu'ils n'ont pas signé
00:25:19ce qu'ils avaient.
00:25:21Est-ce que vous pouvez contrevenir à la charge au Parlement
00:25:23là?
00:25:25Est-ce que vous pouvez contrevenir à la charge au Parlement
00:25:27l'aspect ou l'inquiétude
00:25:29là?
00:25:31Oui, bien sûr, mais ce n'est pas la première fois
00:25:33que je filme pendant mon discours,
00:25:35mon court discours,
00:25:37le discours-programme.
00:25:39Je filme ça et je suis là pour dire
00:25:41que, premièrement, ce n'est pas normal
00:25:43qu'ils n'y aient pas signé aucune action,
00:25:45et puis, c'est ça,
00:25:47même des moulins qui, visiblement,
00:25:49de manière péagée encore,
00:25:51impunément,
00:25:53impunément.
00:25:55Ces personnes qui ont pédié là,
00:25:57ce sont des fonctionnaires?
00:25:59Non, vous ne connaissez pas
00:26:01après la loi, il y a un responsable,
00:26:03le directeur, après le reste,
00:26:05on ne peut pas, moi je ne suis pas un connu qui
00:26:07sait même faire quoi, mais seulement
00:26:09si c'est un
00:26:11un
00:26:13une
00:26:15organisation aussi importante
00:26:17qui fournit, qui est la seule
00:26:19organisation à fournir les statistiques officielles,
00:26:21les chiffres officiels
00:26:23à Maurice,
00:26:25s'il n'est pas capable de
00:26:27contravention de ce propre débat
00:26:29de l'indépendance, et en plus de ça,
00:26:31il fait banne-chiffre, et qui
00:26:33n'a aucun sens, qui est pris contre qui que ce soit,
00:26:35et qui nous continue comme un
00:26:37business as usual,
00:26:39je trouve ça normal, moi, je trouve ça normal.
00:26:41Donc, vous, quelque part,
00:26:43vous pouvez demander qu'il y ait besoin
00:26:45d'une sanction contre banne-chiffre, si jamais
00:26:47il n'y a pas de disponibilité de voter?
00:26:49Mais, vous connaissez,
00:26:51ce n'est pas une question de si là,
00:26:53le premier ministre peut répondre,
00:26:55il n'a pas la fraie attitude d'y faire une banne-chiffre.
00:26:57C'est établi
00:26:59d'après ce qu'il nous comprend
00:27:01dans le spectre de l'économie.
00:27:03C'est des bonnes affaires
00:27:05à ce qu'il nous peut comprendre,
00:27:07s'il n'est pas établi ça.
00:27:09Ils suivent ce qu'ils disent,
00:27:11ils n'ont même pas suivi, ils ne sont pas capables
00:27:13d'oublier, ok,
00:27:15on fait un erreur et on continue comme ça.
00:27:17Il ne faut pas oublier qu'il y a
00:27:19une statistique là.
00:27:21C'est une statistique qui après finit
00:27:23d'être entérinée par le directeur de l'audit.
00:27:27Alors, tout ça m'indique
00:27:29finalement que
00:27:31je n'ai aucun compte à rendre
00:27:33sur cette question-là.
00:27:35– D'accord. Vous tenez aussi trois autres
00:27:37interventions.
00:27:39Donc, trois autres interpellations parlementaires.
00:27:41Bon, il me manque un coup de pause publicitaire.
00:27:43Et mon ruban verrou, Adrien, restez en ligne,
00:27:45nous causer avec vous juste après ceci.
00:27:49Parlement les peuples,
00:27:51bizarres rencontres.
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00:35:59Merci. On finit aussi par mettre l'accent sur cette interpellation qui vous tient là, juste après, sur la question des clauses de confidentialité et du Freedom of Information Act.
00:36:09Pourquoi, d'après vous, vous avez retiré cette clause de confidentialité-là d'un ban contrat ? Je crois qu'on y suit un peu aux premières questions, mais pourquoi vous avez retiré cette question de clause de confidentialité ?
00:36:21Exactement, elle est reliée au Public Procurement, parce qu'il n'est non seulement en contrôle du Public Procurement Act, mais en plus de ça, souvent on a trouvé l'utilisation qu'on peut donner au ban contrat quand l'État peut engager un ban contrat, peut rendre un ban contrat avec un seul pays, un seul pays, etc.
00:36:42qui met une clause de confidentialité dans ce contrat-là pour qui, après, n'est pas capable de faire une pause question dans le Parlement et n'est pas capable de rendre public ce ban contrat-là.
00:36:53Ça nous fait une troublée, encore une fois, sous différents régimes, que ce soit sous Jingfei à l'époque, sous le régime 2010-2014, ou que ce soit sous l'ancien régime, finalement, de plus en plus une pratique de servir par une clause de confidentialité.
00:37:12Donc, par ce fait, par être une question dans le Parlement, donc le Parlement n'est pas capable d'exercer ce droit de oversight, mais aussi, c'est une manière qu'il est capable de rendre un contrat complètement en-dehors de la vue du public secret.
00:37:32Et quand on a un contrat comme ça, qui engage les fonds publics et qui, en plus, ne passe pas le public procurement, on a un risque d'abus et c'est contraint, bien sûr, à tous les principes de la gouvernance.
00:37:47Donc, encore une fois, moi, je peux interpeller le Premier ministre sur la nécessité de donner un engagement à un règle servi par une clause de confidentialité, par un contrat qui engage l'État ou par une compagnie d'État.
00:38:05Sauf, bien sûr, dans mannexception. Mannexception, il n'y a pour autant que ceux-ci. Mais c'est dans mannecas de défense, dans une question de défense, d'une sécurité nationale.
00:38:15Parce qu'au moins, on comprend qu'il n'y a pas vraiment de public parce qu'il y a un élément secret qui doit être secret. Mais dans tous les autres scénarios, il doit arrêter de servir.
00:38:28Donc, encore une fois, le Premier ministre, il répond qu'il n'y a pas de public au cas par cas. Donc, finalement, il va finir par gagner l'engagement qu'il nous a souhaité, qu'il nous pourra arrêter de servir ça complètement.
00:38:42Parce que c'est une affaire qui finit par être critiquée souvent des deux côtés de la chambre, depuis que sa pratique commence à exister.
00:38:53Donc, voilà.
00:38:55Oui, alors, la question, elle englobe non seulement les motos qui n'ont pas été modifiées,
00:39:24mais aussi les conseils aux motos qui mettent la musique bien fou dans les endroits publics ou pré-habitations résidentielles,
00:39:31les gens qui ont la plage aussi, les gens qui n'ont pas respecté les voisins et qui mettent la musique fou.
00:39:39Donc, c'était un peu des petits conseils à trois affaires.
00:39:42Moi, ce que M. Vicconé sait, c'est combien qu'on s'en fait intéresser depuis novembre.
00:39:49Depuis que le gouvernement prend une guerre des échanges à aujourd'hui, premièrement.
00:39:54Deuxièmement, M. Vicconé, parce qu'il met au courant qu'il y a très peu de policiers affectés à l'environnement à travers Maurice.
00:40:02Et lui, il confirme, il y a 33 policiers à Maurice.
00:40:06Et 33 policiers, nous, c'est-à-dire qu'on pense que ça travaille nos trois chiffres.
00:40:10Donc, si on ne divise pas cette district, on ne divise pas trois chiffres.
00:40:14Nous, on est là, dans une district, mais il y a trois policiers de l'environnement qui font le travail.
00:40:19Donc, nous comprenons qu'il fait dans l'espace de trois mois.
00:40:22Nous, il y a seulement 180 contraventions, 190 contraventions.
00:40:27Que ce soit pour les motociclettes qui pènent à l'échappement, qui brûlent.
00:40:31Vous le constatez tous les jours, si vous prenez la route, vous trouvez énormément de motociclettes comme ça.
00:40:37Que ce soit encore pour la pollution sonore, pour les véhicules d'amnésie qu'il faut dans les endroits résidentiels, dans la plage, etc.
00:40:45Et là, mon regret, c'est qu'encore une fois, on finit tous avec la question de la politique.
00:40:50Alors que la question, c'est qui perd, et puis qui peut proposer, qui peut envisager pour faire, pour tacler ce problème-là.
00:41:04Parce que beaucoup de gens, que ce soit dans la circonscription, que ce soit dans les zones,
00:41:10beaucoup de gens aujourd'hui pleurent que la qualité de la vie peut diminuer avec ce genre de nuisance sonore-là.
00:41:20La qualité de vie peut diminuer.
00:41:22C'est ce que dit Mauritien.
00:41:24Il n'y a pas que les touristes qui peuvent, je ne sais pas combien d'années,
00:41:27faire une visite au pays, faire une visite au pays, faire une visite au pays.
00:41:30Au Mauritien même, la qualité de vie peut diminuer.
00:41:32Et donc, bien dresser ce problème-là.
00:41:34Et on fait ressortir qu'il y a la police dans les stations locales,
00:41:40qui n'est pas capable, effectivement, de contrôler ces motocyclistes-là,
00:41:45et ces gens qui font des nuisances-là, pour plusieurs raisons.
00:41:49Manque d'équipement, manque d'effectifs, etc.
00:41:52Et donc, on propose au gouvernement, on suggère au ministre Bagouane,
00:41:58qu'il mette en place une source, ce ministère, la police de l'environnement,
00:42:03et les autres unités de police, pour pouvoir faire un crackdown,
00:42:08une opération interpartie, pour assurer qu'ils contrôlent ces motocyclistes
00:42:18et autres qui font des nuisances sonores.
00:42:21Très bien. Merci beaucoup, Adrien Duval,
00:42:23pour l'intervention dans notre émission aujourd'hui.
00:42:26J'imagine qu'à l'occasion, on reprendra dans un futur l'émission.
00:42:30Mais, justement, peut-être nous nous hallons directement, justement,
00:42:34dans ce qu'Adrien Duval nous a dit au niveau de la police.
00:42:37Il n'a très peu d'effectifs.
00:42:39Et il y a une question de Francisco François.
00:42:42L'exercice de recrutement des policiers.
00:42:45Quand le premier ministre, il annonce quelque chose,
00:42:47qui n'est peut-être pas très au courant,
00:42:50de moins en moins de personnes jeunes,
00:42:53rentrent dans la force policière aujourd'hui.
00:42:56La force policière ne peut pas attirer la jeunesse.
00:42:59Et je crois qu'il faut mettre le point là-dessus.
00:43:02La question qu'il nous faut poser,
00:43:04après l'interpellation du député Francisco François,
00:43:06c'est de nous apprendre que le dernier exercice de recrutement,
00:43:09les 1 000 policiers qu'il nous faut recruter,
00:43:12parce qu'il n'a pas beaucoup à faire à la retraite,
00:43:14il n'en fait pas aussi, il n'en fait tout,
00:43:17486, c'est mon constat.
00:43:20Même pas la moitié.
00:43:22Et là-dedans, 45, ils finissent de démissionner.
00:43:2445, ils finissent d'y aller.
00:43:26Ils finissent de quitter le service.
00:43:28Le premier ministre finit d'intégrer des candidats qualifiés.
00:43:32Je pense que c'est ce qu'il faut faire.
00:43:34Les policiers doivent être dans l'hôtel.
00:43:36Parfois, il faut commencer par une plongée.
00:43:38Après, il faut finir par un chef d'hôtel ou un maître d'hôtel.
00:43:40Les policiers doivent avoir un système de recrutement.
00:43:43Sinon, nous ne pourrions pas gagner.
00:43:45Absolument, si un jeune n'était pas intéressé,
00:43:47pour rentrer comme un policier,
00:43:49il y a des raisons derrière.
00:43:51Ça, c'est une question qui me vient.
00:43:53Il cause victimisation politique dans la police.
00:43:55Absolument, absolument.
00:43:57Il y a aussi des autres réponses à ça.
00:43:59Si par exemple, aujourd'hui,
00:44:01on a une famille qui travaille dans la police
00:44:03et qu'ils travaillent dans une station, par exemple.
00:44:05Quand ils viennent raconter, nous écoutons beaucoup les policiers.
00:44:07Si on prend sa maman et son petit garçon,
00:44:09qui sont là-dessous,
00:44:11il n'est pas d'accord
00:44:13parce que c'est une unité trop dangereuse
00:44:15dans laquelle ce garçon finale.
00:44:17Absolument, oui.
00:44:19Mais, je reviens à sa question.
00:44:21Parce que Francisco François,
00:44:23il soulève le cas par rapport à Rodrigue.
00:44:25Quand il dit à Penard, c'est la police de l'administration.
00:44:27Mais le Premier ministre,
00:44:29il dit qu'il y a 236 policiers
00:44:31pour les six postes de police de Rodrigue.
00:44:33Il répond aux réactions
00:44:35d'un policier pour 188 personnes.
00:44:37Mais Francisco François,
00:44:39il est beaucoup plus loin
00:44:41de ce qu'il dit.
00:44:43Il dit qu'il y a une présence de policiers
00:44:45accrue sur la route
00:44:47à Rodrigue en raison du nombre
00:44:49de véhicules.
00:44:51Pourquoi Rodrigue va entendre cela
00:44:53et Rodrigue voit les autres dire
00:44:55que ce n'est pas la même chose.
00:44:57Mais, en même temps, nous devons faire un parallèle avec Maurice.
00:44:59Parce que le nombre de policiers
00:45:01qui nous sont retrouvés sur la route,
00:45:03ce n'est pas seulement de la pollution sonore.
00:45:05C'est quelque chose
00:45:07que nous vivons tous les jours.
00:45:09Si vous voulez rouler,
00:45:11il y a des motos qui mettent la musique
00:45:13extrêmement fort.
00:45:15Il y a aussi des motos
00:45:17qui font des chimpanzés
00:45:19qui triquent un petit peu.
00:45:21Sur la plage,
00:45:23certainement, nous trouvons cela.
00:45:25Donc, quelle serait la solution ?
00:45:27Est-ce que la solution
00:45:29doit être de mettre plus la police
00:45:31partout dans Maurice
00:45:33ou une inconscientisation
00:45:35ferme de la population ?
00:45:37Si les gens restent dans l'environnement
00:45:39à côté de la plage,
00:45:41il ne faut pas les perdre.
00:45:43Il y a aussi les gens qui restent là-bas.
00:45:45Il ne faut pas
00:45:47penser qu'ils sont capables
00:45:49de le faire impunément.
00:45:51Il y a tout cela qui est un grand enjeu.
00:45:53Mais nous retournons un petit peu avec les policiers.
00:45:55Je ne travaille pas facilement avec les policiers.
00:45:57Ce n'est pas évident.
00:45:59Les jeunes qui peuvent être policiers aujourd'hui
00:46:01peuvent faire face à des crimes
00:46:03qui sont de plus en plus violents.
00:46:05La maman du policier
00:46:07qui a été tuée
00:46:09est extrêmement dangereuse.
00:46:11Cela ne peut attirer personne.
00:46:13Il faut avoir une passion
00:46:15pour ce métier-là pour rentrer dedans.
00:46:17Il y a aussi l'avenir
00:46:19de ce qu'on appelle les centres de réhabilitation.
00:46:21Le centre de réhabilitation
00:46:23et le centre de correction.
00:46:25Annabelle Savabadi
00:46:27pose une question au Premier ministre
00:46:29sur cette situation
00:46:31et sur le transfert
00:46:33d'un officier du RYC
00:46:35envers un CYC.
00:46:37Il dit qu'il y a un mismatch.
00:46:39Dans le premier cas,
00:46:41RYC tombe sous PSC
00:46:43tandis que CYC tombe
00:46:45sous l'IFSC.
00:46:47Quand on transfère un officier,
00:46:49avec le nouveau Children's Act de 2020,
00:46:51on n'a plus le droit de faire mal aux enfants
00:46:53avant 14 ans.
00:46:55Deuxièmement, quand on a 18 ans,
00:46:57on transfère dans la prison.
00:46:59Donc, dans RYC, il n'y a plus
00:47:01un pensionnaire et tout un staff
00:47:03qui le fait.
00:47:05Pour vous dire aussi,
00:47:07nous, à Top FM,
00:47:09on amène ce sujet-là dans l'actualité
00:47:11en premier lieu parce qu'on a
00:47:13un officier de la RYC
00:47:15qui nous dit qu'on est dans une flotte totale
00:47:17parce qu'on a l'impression
00:47:19qu'on est sortis d'un poste
00:47:21qualifié pour le faire
00:47:23et qu'on est dans un autre poste
00:47:25qui non seulement n'est pas qualifié
00:47:27mais qui utilise les paladins.
00:47:29Le Premier ministre nous répond
00:47:31qu'il dit que tout cela pour être
00:47:33adressé globalement.
00:47:35Annabelle Asababadi nous dit aussi
00:47:37qu'il n'y a pas besoin de révéler
00:47:39ce concept de RYC.
00:47:41Absolument.
00:47:43Nous nous inquiétons un petit peu
00:47:45sur comment ça se passe à l'avenir
00:47:47mais pour l'instant, les officiers sont
00:47:49toujours dans une certaine flotte
00:47:51qui ne peut pas arriver exactement.
00:47:53Une autre question peut-être
00:47:55qu'il y a une question
00:47:57du député
00:47:59à la ministre
00:48:01des services financiers
00:48:03Mme Jyoti Jiten
00:48:05qui évoque le cas
00:48:07de récrutement de 51
00:48:09politiquement exposés
00:48:11à la FSI à la veille des élections
00:48:13et qui demande une enquête.
00:48:15J'ai demandé
00:48:17de prendre de l'argent pour
00:48:19mettre ça à la porte parce qu'il y a un
00:48:21officier qui nous a recruté.
00:48:23Je lui ai donné le nom au niveau du Parlement
00:48:25parce qu'il est en région du
00:48:27Protection Act et qu'il n'a pas
00:48:29le droit.
00:48:31Mais aussi il nous a dit qu'il
00:48:33prend une requête de
00:48:35Kaviraj Rukni et d'Echan Juman
00:48:37pour l'enquête.
00:48:41C'est la manière dont
00:48:43il a été recruté.
00:48:45Mais il est finitin aussi
00:48:47dans le giron.
00:48:49Juste avant les élections, il y a eu
00:48:51une coopérative
00:48:53du gouvernement qui fait une recrute.
00:48:55Qu'en est-il de ce
00:48:57personnel ? C'est une autre question.
00:48:59Ce n'est pas juste
00:49:01sa élection qui nous fait trop plaisir.
00:49:03A chaque fois qu'il y a une élection, il nous pose
00:49:05le même problème.
00:49:07Et aussi,
00:49:09l'année dernière, quand je suis
00:49:11arrivé pour faire l'émission
00:49:13dans Côte d'Ivoire, il y a eu
00:49:15toute cette question de
00:49:17qui donne ses avis,
00:49:19qui supposent
00:49:21des services publics.
00:49:23Il y a un cas.
00:49:25Il y a un cas, mais il ne peut pas fournir des services.
00:49:27Et là, le ministre
00:49:29est très satisfait de ce que
00:49:31le ministre Ousmane Mouhammed a dit aujourd'hui.
00:49:33Parce qu'il a dit qu'il ne peut plus
00:49:35un système de base de voyage.
00:49:37Il ne peut plus
00:49:39un système de base de voyage.
00:49:41C'est-à-dire, quand vous voyagez,
00:49:43quand vous souffrez, vous n'avez pas de cas.
00:49:45Il a dit que plutôt que d'être payé
00:49:47comme il est actuellement,
00:49:49il a dit que ce n'est pas normal de continuer.
00:49:51Il a souligné plusieurs cas.
00:49:53Il a souligné le cas
00:49:55de la route 45 Rosy-Lalbion.
00:49:57Il est très en colère
00:49:59contre UBS qui, d'après lui, ne peut pas
00:50:01faire le nombre de
00:50:03voyages.
00:50:05On a même l'information qu'il y a dans
00:50:07le passé, quand on évoque le cas
00:50:09de Mopep, c'est qu'UBS
00:50:11a beaucoup d'insultes dans
00:50:13le garage et qu'il ne peut pas sortir.
00:50:15Il ne peut pas faire ça.
00:50:17Mais il a donné l'assurance qu'il pourrait faire tout cela.
00:50:19Aussi, au niveau de Kevin Lockeram
00:50:21et de Tony Apollon,
00:50:23quand ils ont souligné les problèmes qu'ils avaient
00:50:25dans le numéro 12,
00:50:27ils ont dit aussi qu'il y avait
00:50:29des bus individuels.
00:50:31Ils n'avaient pas d'attente, ils n'avaient pas de permis
00:50:33pour servir dans la route,
00:50:35mais ils ne pouvaient pas le faire.
00:50:37Et là, ils l'ont dit, ils l'ont donné à l'autre.
00:50:39Ils ont recontacté ce type qui avait un permis.
00:50:41S'il n'avait pas servi,
00:50:43ils l'ont donné à l'autre.
00:50:45Ils l'ont donné à l'autre.
00:50:47Et je trouve ça très bien.
00:50:49C'est ce type de système-là.
00:50:51C'est vraiment une partie du problème.
00:50:53Il y a une partie du problème.
00:50:55Une partie bien plus importante aussi,
00:50:57c'est que, par exemple, aujourd'hui,
00:50:59quand certaines personnes voyagent gratuitement,
00:51:01souvent, nous recevons l'appel
00:51:03dans l'auto-PFM
00:51:05qu'une vieille personne nous dit qu'elle n'a pas arrêté du tout.
00:51:07Au contraire, elle nous fait quelques reportages
00:51:09récemment là-dessus.
00:51:11C'est un cauchemar pour la vieille personne.
00:51:13C'est un absolument cauchemar pour la vieille personne.
00:51:15Et c'est pourquoi, parfois,
00:51:17s'il y a un taxi marron
00:51:19qui fait un service là,
00:51:21on peut dire qu'on va pas trouver un théâtre
00:51:23et arrêter et prendre ça.
00:51:25Mais s'il y a ça maintenant,
00:51:27la vieille personne arrête aux autres.
00:51:29Bien, bien, bien.
00:51:31C'est embarrassant.
00:51:33De toute façon, peut-être que le ministre
00:51:35Ousmane Mahomet
00:51:37finit par donner une idée
00:51:39de ce qui peut arriver
00:51:41devant, parce qu'il ne nous paie que
00:51:43une promesse électorale
00:51:45du transport gratuit complètement.
00:51:47Et donc là, quand il dit un trip-based,
00:51:49ça veut dire qu'on pense que ce qui peut arriver
00:51:51c'est qu'il ne peut pas rouler
00:51:53dans la gare après avoir vu une route cassée au gouvernement.
00:51:55Il ne peut pas rouler.
00:51:57Il ne peut pas rouler.
00:51:59Il n'est pas dans sa formule
00:52:01où on fait trois voyages.
00:52:03Il n'a pas besoin d'un système scanner
00:52:05ou un passcode.
00:52:07Je ne sais pas si vous connaissez exactement
00:52:09combien de voyages, combien de choses
00:52:11ont fait l'Indé.
00:52:13Je pense que c'est une affaire très importante.
00:52:15Peut-être que je peux souligner un autre cas,
00:52:17parce qu'il l'a souligné dans le journal.
00:52:19C'est par rapport à l'affaire
00:52:21de l'étude notoriée de Kavi Armano,
00:52:23qui a été soulevée par Stéphanie Antille,
00:52:25et que le ministre
00:52:27Rajesh Bhagwan
00:52:29a dit qu'il y a une enquête en cours.
00:52:31L'affaire pourrait être référée
00:52:33à Financial Crime Commission.
00:52:35Mais Stéphanie Antille aussi a demandé
00:52:37l'autre cas qu'elle trouve absolument
00:52:39inacceptable.
00:52:41Elle a dit qu'elle referait ça également
00:52:43à la Chambre des notaires.
00:52:45Pour nous dire, parce que nous
00:52:47nous tenons sur ce plateau-même,
00:52:49le ministre Dallaud, le ministre Kavi Armano,
00:52:51expliquent cette position,
00:52:53cette situation-là.
00:52:55Lui dit qu'il n'a aucun moment
00:52:57fait de fautes dans le sens
00:52:59où il a fait respecter la loi.
00:53:01Et donc,
00:53:03c'était sauvation des faits.
00:53:05Aujourd'hui, quand nous pétannes
00:53:07les autres,
00:53:09les membres du gouvernement d'aujourd'hui,
00:53:11on peut dire qu'effectivement
00:53:13ils pensaient qu'il y avait
00:53:15une infraction.
00:53:17Et donc, c'est à voir
00:53:19comment ça peut passer,
00:53:21et quel sera le résultat.
00:53:23Parce que Rajesh Bhagwan, quand le ministre
00:53:25est en poste, il est servi sur la position du ministre
00:53:27pour faire ses activités notoriales.
00:53:29On dirait que Kavi Armano,
00:53:31je ne l'ai pas vécu, mais je me rappelle aussi
00:53:33qu'il était dans la campagne électorale aussi,
00:53:35il est venu. On a un petit peu débattu,
00:53:37on a un petit peu oublié.
00:53:39Il est en cours.
00:53:41Et il reflète son système-là.
00:53:45Tout le débat, la controverse
00:53:47autour de ses activités
00:53:49de notaire.
00:53:51Alors,
00:53:53Jimmy, si vous permettez-moi,
00:53:55avant, nous n'avons encore
00:53:57d'intervenants qui peuvent intervenir.
00:53:59C'est à 18h40
00:54:01pour Morclay,
00:54:03et aussi pour...
00:54:05mais nous causons un petit peu
00:54:07la semaine dernière dans le Parlement,
00:54:09le créole au Parlement.
00:54:11Vous croyez qu'il est important
00:54:13qu'il fasse un débat là-dessus?
00:54:15Il y a surtout deux personnes
00:54:17qui finissent avec ça.
00:54:19Dans l'avant-plan, c'est la speaker
00:54:21elle-même qui finit avec ça en premier.
00:54:23Donc, nous demandons
00:54:25à la régie, est-ce qu'elle est capable
00:54:27de faire l'intervention
00:54:29de la speaker, Shereen Omeroudi-Shifra,
00:54:31la langue créole au Parlement?
00:54:58Tout à fait.
00:55:00C'est la prochaine vidéo,
00:55:02justement, la régie.
00:55:04Les peuples, Shereen.
00:55:06Voilà.
00:55:28Je décide de ne pas dire créole
00:55:30après m'oublier que nous avons
00:55:32une langue internationale
00:55:34qui est déjà dans le Parlement
00:55:36et qui est extrêmement importante pour le pays.
00:55:38Donc, moi, je veux le multilinguisme
00:55:40et en même temps, je dis que le créole
00:55:42ne se place pas tout de sa part
00:55:44au Parlement, c'est la maison du peuple.
00:55:52Les équipements d'équité aussi,
00:55:54je pense que la majorité d'équité
00:55:57certainement pensent comme moi,
00:55:59mais de toute manière, c'est
00:56:01une fonction pour promouvoir
00:56:03la langue créole,
00:56:05y compris au Parlement, bien sûr.
00:56:07Mais moi, je l'appelle aussi
00:56:09parce que quand je vis
00:56:11une réalité, je parfois
00:56:13je suis capable d'être créole
00:56:15comme j'étais une fois
00:56:17quand je n'avais pas d'identité,
00:56:19comme j'étais juste pour...
00:56:21Je ne suis pas vraiment créole,
00:56:23c'est un peu dur,
00:56:25mais je suis créole,
00:56:27il me faut une langue,
00:56:29une langue qui nous servira
00:56:31dans le Parlement, y compris
00:56:33l'anglais et le français.
00:56:35Quand il y a un comité
00:56:37de l'entreprise de finances
00:56:39créoles, il y a l'autorisation
00:56:41de l'équipement, recrutement
00:56:43d'assistants, recrutement
00:56:45de programmes artistiques,
00:56:47qui peut faire le travail
00:56:49que nous ne pouvons pas faire.
00:56:51Nous ne pouvons pas faire le travail
00:56:53d'assistants, recrutement
00:56:55de monde.
00:56:57Donc, il faut que ça soit là
00:56:59et il faut que ça soit là tout de suite.
00:57:01Voilà, nous prenons les interventions
00:57:03de Dr Hanno Kaporan
00:57:05et de la Speaker, Mme Chirine
00:57:07Omirudu-Ziffra. Alors, cette question,
00:57:09Lénais, nous pourrons...
00:57:11On prend une pause et puis nous retrouverons
00:57:13l'intervention de Johanna Béranger
00:57:15à l'Assemblée Nationale la semaine dernière.
00:57:24Sortez et chargez
00:57:26notre application Top FM Radio
00:57:28sur App Store, Play Store
00:57:30et sur aussi
00:57:32Huawei App Gallery.
00:57:34Top FM Live TV, une grande première.
00:57:36Vivez en temps réel.
00:57:38La première radio-TV
00:57:40de Maurice.
00:57:42Découvrez notre studio,
00:57:44nos animateurs,
00:57:46vos hits musiques préférés
00:57:48en clip et l'info
00:57:50complète, factuelle
00:57:52et crédible.
00:58:22Guernard. Ma chai, my time.
00:58:53Voilà donc, de retour
00:58:55dans l'émission Parlement les Peps
00:58:57et là, je vais vous présenter
00:58:59l'émission d'aujourd'hui,
00:59:01l'émission d'aujourd'hui,
00:59:03l'émission d'aujourd'hui,
00:59:05l'émission d'aujourd'hui,
00:59:07l'émission d'aujourd'hui,
00:59:09l'émission d'aujourd'hui,
00:59:11l'émission d'aujourd'hui,
00:59:13l'émission d'aujourd'hui,
00:59:15l'émission d'aujourd'hui,
00:59:17l'émission d'aujourd'hui,
00:59:19l'émission d'aujourd'hui,
00:59:21l'émission d'aujourd'hui,
00:59:23l'émission d'aujourd'hui,
00:59:25l'émission d'aujourd'hui,
00:59:27l'émission d'aujourd'hui,
00:59:29l'émission d'aujourd'hui,
00:59:31l'émission d'aujourd'hui,
00:59:33l'émission d'aujourd'hui,
00:59:35l'émission d'aujourd'hui,
00:59:37l'émission d'aujourd'hui,
00:59:39l'émission d'aujourd'hui,
00:59:41l'émission d'aujourd'hui,
00:59:43l'émission d'aujourd'hui,
00:59:45l'émission d'aujourd'hui,
00:59:47l'émission d'aujourd'hui,
00:59:49l'émission d'aujourd'hui,
00:59:51l'émission d'aujourd'hui,
00:59:53l'émission d'aujourd'hui,
00:59:55l'émission d'aujourd'hui,
00:59:57l'émission d'aujourd'hui,
00:59:59l'émission d'aujourd'hui,
01:00:01l'émission d'aujourd'hui,
01:00:03l'émission d'aujourd'hui,
01:00:05l'émission d'aujourd'hui,
01:00:07l'émission d'aujourd'hui,
01:00:09l'émission d'aujourd'hui,
01:00:11l'émission d'aujourd'hui,
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01:00:19l'émission d'aujourd'hui,
01:00:21l'émission d'aujourd'hui,
01:00:23l'émission d'aujourd'hui,
01:00:25l'émission d'aujourd'hui,
01:00:27l'émission d'aujourd'hui,
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01:00:31l'émission d'aujourd'hui,
01:00:33l'émission d'aujourd'hui,
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01:01:05l'émission d'aujourd'hui,
01:01:07l'émission d'aujourd'hui,
01:01:09l'émission d'aujourd'hui,
01:01:11l'émission d'aujourd'hui,
01:01:13Voilà, Jimmy, donc...
01:01:15Message, on ne peut être plus clair
01:01:17de Johanna Béranger.
01:01:19Et là, tout de suite,
01:01:21je me rappelle,
01:01:23c'était dans la question 213-77-77,
01:01:25je me rappelle, c'était dans la question 213-77-77,
01:01:27213-77-77,
01:01:29et dans le bill, bien sûr,
01:01:31qui est présenté en première lecture
01:01:33qui est présenté en première lecture
01:01:35cet après-midi, tout comme le
01:01:37Finance and Audit Amendment Bill,
01:01:39et le Bill,
01:01:41le Finance and Audit Amendment Bill,
01:01:43bien sûr,
01:01:45nous pouvons tous avoir la loi là,
01:01:47venez au téléphone
01:01:49l'avocat Stephen Saubois
01:01:51qui est avec nous. Stephen Saubois,
01:01:53bon après-midi.
01:01:55Bon après-midi, Jimmy.
01:01:57Et comment vous trouvez ces amendements qui permettent
01:01:59maintenant de clarifier la position
01:02:01du DPP et la position du commissaire de police
01:02:03l'aux banques de libération sous caution?
01:02:05l'aux banques de libération sous caution?
01:02:07Bon, Jimmy,
01:02:09moi, mon opinion personnelle,
01:02:11c'est que, je vais vous en dire
01:02:13beaucoup plus, mais je
01:02:15quand même comprends
01:02:17la décision de la tournée générale
01:02:19pour amener la loi
01:02:21pour essayer de clarifier
01:02:23le rôle de chacun.
01:02:25Nous, il y a
01:02:27pendant,
01:02:29disons, deux ans, trois ans de cela,
01:02:31un débat qui peut dérouler devant la Cour,
01:02:33je pense que ce dernier débat
01:02:35va se dérouler, je n'ai pas besoin
01:02:37que le commissaire de police
01:02:39fasse un débat devant le DPP
01:02:41et le DPP défend, bien sûr,
01:02:43le commissaire de police
01:02:45peut dire qu'il y a
01:02:47quelque part un droit
01:02:49exclusif pour
01:02:51résister
01:02:53à la décision de la Cour
01:02:55sans passeport DPP.
01:02:57Mais quand même,
01:02:59maintenant, mon conseil
01:03:01à la tournée générale,
01:03:03c'est raisonnable pour
01:03:05définir quand même,
01:03:07si c'est une pratique courante,
01:03:09avant de dire que ça prend
01:03:11dans la Cour,
01:03:13c'est une pratique courante que c'est le DPP
01:03:15tout le temps que tu peux prendre la décision
01:03:19«ultimate decision»
01:03:21pour prendre
01:03:23une décision, soit fait appel, soit fait appel.
01:03:25D'accord ? Bon.
01:03:27Moi, moi, il y a
01:03:29quand même une petite réserve
01:03:31de la loi là, dans le sens
01:03:33que, quand je vois
01:03:35cette bille-là, je trouve, par exemple,
01:03:37dire que «notwithstanding an order
01:03:39for a civil execution having
01:03:41been sought under section 1A,
01:03:43the DPP may not later
01:03:45than 7 days
01:03:47apply to the Supreme Court for an order
01:03:49setting aside the determination. »
01:03:51Donc, comment ça a été, normalement,
01:03:53Jimmy ? C'est que quand un du moins il y a un quotient,
01:03:55même jour, le DPP
01:03:57fait une motion
01:03:59pour qui
01:04:01la Cour
01:04:03par l'occasion du moins là,
01:04:05la Cour par l'occasion du moins là,
01:04:07pendant 7 jours au moins,
01:04:09c'est-à-dire la Cour
01:04:11donne l'occasion à DPP
01:04:13pour prendre une décision
01:04:15pendant 7 jours
01:04:17pour décider
01:04:19s'il peut faire un appel,
01:04:21s'il peut faire une «review» ou pas.
01:04:23Ça, normalement,
01:04:25arriver le même jour
01:04:27qu'il y a un quotient, ou
01:04:29si DPP
01:04:31n'a pas eu l'occasion pour faire
01:04:33la motion le même jour,
01:04:35DPP est capable,
01:04:37normalement avant le 21e jour,
01:04:39décider pour faire une demande
01:04:41de «review» de la décision,
01:04:43sans qu'il soit capable de demander
01:04:45une institution d'exécution. Mais par contre,
01:04:47malgré que
01:04:49énormément de collègues disent
01:04:51que le pouvoir de DPP pour
01:04:53demander une institution d'exécution à n'importe qui
01:04:55se pose devant la Cour Suprême qui
01:04:57n'est pas si clair.
01:05:01Là, les filles
01:05:03quand même légifèrent
01:05:05le fait que
01:05:07le DPP est capable
01:05:09de gagner
01:05:11sa liberté et sa place
01:05:13dans sa famille, comment il travaille,
01:05:15comment il s'occupe de sa vie.
01:05:17DPP ne s'est pas sacrifié une décision
01:05:19pour l'occasion.
01:05:21Il est allé, il a dit «ok, je peux faire
01:05:23une «challenge» de cette décision-là,
01:05:25je peux demander à la Cour
01:05:27d'arrêter cette décision-là, je vais me mettre en prison».
01:05:29Et
01:05:31je pensais que ça allait trop vague
01:05:33comment l'DPP, même pas qu'il
01:05:35mentionne le fameux
01:05:3721e jour qui est né là.
01:05:39Et il aussi
01:05:41allait de l'avant, allait dire que
01:05:43la demande
01:05:45qu'il va faire pour avoir
01:05:47une motion devant la Cour Suprême,
01:05:49sans qu'il définisse quel est le droit
01:05:51d'un acquisé,
01:05:53c'est une circonstance pareille.
01:05:55Donc, pour moi,
01:05:57la salariale
01:05:59vient essayer de définir
01:06:01le pouvoir du DPP
01:06:03et du commissaire de police,
01:06:05pas lui-même, son passeport
01:06:07de DPP prendre une décision
01:06:09pour «challenge» cette décision de la Cour,
01:06:11surtout en cas de bail.
01:06:13Mais il est quand même défini avec
01:06:15un élément assez vague.
01:06:17Alors, Steven, me permette-moi
01:06:19un coup de pouce,
01:06:21parce qu'il nous prend
01:06:23une pause pour nous permettre
01:06:25à nos bonnes citoyens
01:06:27de foi musulmane
01:06:29de faire ce qu'il dit
01:06:31juste après.
01:06:33L'heure de l'Iftar
01:06:35vous est proposée par Top FM en association.
01:07:21Abonnez-vous !
01:09:17Voilà, de retour dans le studio
01:09:19avec le bon Karim,
01:09:21Ramadan Karim,
01:09:23à tous nos compatriotes
01:09:25de foi islamique
01:09:27qui nous écoutent,
01:09:29bien sûr à tous les musulmans.
01:09:31Nous avons toujours avec nous
01:09:33Steven Saubois, Maitre Saubois.
01:09:35Maitre Saubois, on soulève un point très important,
01:09:37c'est de dire à nos bandes d'auditeurs
01:09:39qu'il y a une affaire trop vague
01:09:41dans le bail qu'il peut proposer,
01:09:43dans le bail qu'il peut proposer,
01:09:45quelque chose qui, d'après vous,
01:09:47sera plus clé, plus précis.
01:09:49Bon,
01:09:51mon pensée, dans la bonne volonté,
01:09:53c'est d'amener une clarté
01:09:55entre le pouvoir
01:09:57du DPP
01:09:59et le pouvoir du commissaire de police.
01:10:01Le bureau
01:10:03de la tournée générale
01:10:05a décidé d'amener de l'avant
01:10:07une bille
01:10:09qui
01:10:11vient avec
01:10:13quand même une explication
01:10:15de qui le pouvoir de chacun était.
01:10:17Mon pensée,
01:10:19je vous rappelle la fameuse
01:10:21affaire de Bruno Lorette,
01:10:23quand il y a eu une confusion
01:10:25quand la police
01:10:27sans l'aval du DPP
01:10:29débute et vient objecter
01:10:31contre la liberté
01:10:33de M. Bruno Lorette.
01:10:35Là, ça tient les challenges
01:10:37dans la cour, etc.
01:10:39Personnellement, moi, mon pensée
01:10:41c'est que
01:10:43il faut se concentrer là-haut.
01:10:45Mais quand même, mon pensée,
01:10:47le DPP,
01:10:49c'est un bureau,
01:10:51il n'est pas une personne
01:10:53comme le DPP,
01:10:55directeur public prosecution,
01:10:57mais il doit quand même
01:10:59agir
01:11:01d'une façon qui est correcte,
01:11:03qui est légale, qui est justifiable,
01:11:05qui est raisonnable.
01:11:07Et dans une situation pareille,
01:11:09quand on donne un pouvoir
01:11:11qui est trop vague,
01:11:13il n'est pas aidé.
01:11:15Vous connaissez
01:11:17beaucoup de gens qui disent
01:11:19sinon, que le DPP challenge ça,
01:11:21ou bien que le DPP agit d'une façon
01:11:23qui n'est pas raisonnable,
01:11:25qu'il avale devant la cour,
01:11:27à travers une lecture, une revue, etc.
01:11:29Mais nous avons l'occasion maintenant
01:11:31de nous légiférer
01:11:33sur le BELAC,
01:11:35pour amender le BELAC.
01:11:37Nous faisons service à l'occasion,
01:11:39pour être plus clair
01:11:41sur la limitation
01:11:43du DPP,
01:11:45et sur le droit
01:11:47d'un accusé,
01:11:49qui me pensait manqué.
01:11:51Parce que pour moi,
01:11:53c'est une affaire que le DPP
01:11:55n'a pas fini de faire un appel
01:11:57après sept jours.
01:11:59Il est venu
01:12:01et il a dit,
01:12:03mais il m'a demandé une suite d'exécution
01:12:05d'une décision de la cour
01:12:07après trois semaines.
01:12:09Quand l'accusé a fini
01:12:11de gagner sa liberté,
01:12:13il a dit qu'il voulait faire un appel
01:12:15pour faire une revue.
01:12:17Il voulait que la cour
01:12:19revoie sa décision.
01:12:21Il voulait que la cour suprême
01:12:23revoie la décision
01:12:25de sa lower court,
01:12:27parce que sa décision n'est pas correcte.
01:12:29Il n'est pas d'accord avec sa décision.
01:12:31Il m'a aussi demandé
01:12:33qu'il gagne l'ordre
01:12:35pour qu'il gagne sa liberté.
01:12:37C'est l'accusé qui dit ça.
01:12:39C'est le citoyen qui dit ça.
01:12:41Il a dit qu'il allait se ramasser
01:12:43et qu'il allait aller en prison.
01:12:45Mais il n'a pas défini
01:12:47quel est le droit de l'accusé
01:12:49devant sa faillite.
01:12:51Ce qu'il peut demander quelque part
01:12:53c'est qu'il retienne toute l'ambiguïté
01:12:55de la loi existante.
01:12:57Il faisait clair
01:12:59le pouvoir d'un citoyen
01:13:01aussi bien qu'il est DPP.
01:13:03Nous ne trouvons aucun problème
01:13:05en DPP comme ici.
01:13:07Nous essayons de trouver une façon
01:13:09de redéfinir notre rôle.
01:13:11Mais qui peut être la victime ?
01:13:13C'est le citoyen.
01:13:15C'est lui qui va devant la cour
01:13:17défendre
01:13:19contre la motion du DPP.
01:13:21Parce que le DPP
01:13:23n'essaie pas de faire une vue
01:13:25et demande qu'il referme.
01:13:27Malgré que la cour suprême
01:13:29n'a pas refusé.
01:13:31Mais
01:13:33le défendant a été
01:13:35relancé dans la cour
01:13:37et ne s'est pas
01:13:39soulevé
01:13:41sur la motion.
01:14:01Est-ce qu'il y a une certaine
01:14:03la loi qui fait une votée
01:14:05pour vraiment clarifier
01:14:07qui se relie quand
01:14:09il y a une motion comme ça
01:14:11faite devant la cour suprême ?
01:14:13Comment est-ce qu'on est capable de challenger ça ?
01:14:15Est-ce qu'il y a besoin d'une
01:14:17certaine période pour faire une motion
01:14:19pour cette affaire ?
01:14:21Pas définir. Et ça vient pour autant.
01:14:23D'accord. Merci
01:14:25pour toutes ces précisions.
01:14:27On a un autre
01:14:29député du débat qui nous partie.
01:14:31M. Arun Binda
01:14:33qui est avec nous au téléphone.
01:14:35M. Binda ?
01:14:37Oui, bonsoir.
01:14:39Bonsoir M. Arun Binda.
01:14:41Qu'est-ce que vous pensez
01:14:43de l'amendement de Bill ?
01:14:45Je pense
01:14:47que
01:14:49c'est une
01:14:51loi
01:14:53qui a
01:14:55besoin
01:14:57d'une
01:14:59qualité d'interprétation
01:15:01surtout
01:15:03section 61
01:15:05et section 71
01:15:07et 72 de la Constitution.
01:15:09Qui cause
01:15:11banne prérogative et les pouvoirs
01:15:13du DPP et aussi
01:15:15le commissaire de police.
01:15:17Le pourquoi
01:15:19de ce Bill ?
01:15:21Premièrement, moi je le trouve
01:15:23favorablement
01:15:25parce que
01:15:27ce Bill là
01:15:29il vient définir
01:15:31dans
01:15:33tous les paramètres
01:15:35banne prérogative
01:15:37du DPP et aussi
01:15:39du commissaire de police
01:15:41en ce qui concerne
01:15:43la liberté d'un citoyen
01:15:45quand il est arrêté.
01:15:47D'accord.
01:15:49Et surtout
01:15:51nous devons avoir
01:15:53en cours
01:15:55finir
01:15:57tous les débats. Moi je pense
01:15:59bien que le gouvernement
01:16:01et surtout
01:16:03le gouvernement, non pas juste le gouvernement
01:16:05mais aussi
01:16:09mais aussi
01:16:11pour éviter qu'il y ait
01:16:13déjà un
01:16:15un jugement de la Cour
01:16:17qui est capable, contradictoire,
01:16:19le gouvernement a envie déjà
01:16:21de définir les prérogatives
01:16:23qu'il a envie de donner au DPP
01:16:25et aussi les droits
01:16:27que les commissaires de police ont.
01:16:29D'ordinairement, l'état nous guette
01:16:31ce Bill là
01:16:33c'était déjà
01:16:35la pratique
01:16:37qu'il y avait auparavant.
01:16:39Mais juste, c'était la pratique
01:16:41comme on le dit aujourd'hui.
01:16:43Lorsque l'état nous guette le commissaire de police,
01:16:45il a envie d'appliquer la loi
01:16:47comme elle l'était.
01:16:49Si on a le droit d'appliquer les prérogatives
01:16:51qui la constituent
01:16:53de moi,
01:16:55c'est ça qu'il vient définir plutôt.
01:16:57Donc est-ce que
01:16:59est-ce qu'il vient
01:17:01clarifier
01:17:03le rôle du DPP
01:17:05et le rôle du commissaire de police
01:17:07sur cet amendement là?
01:17:09Non, clarifier le rôle du
01:17:11commissaire de police et du DPP
01:17:13en ce qui concerne la liberté
01:17:15la liberté provisoire
01:17:17la liberté provisoire qui est donnée
01:17:19quand un accusé est arrêté
01:17:21bien sûr.
01:17:23Parce que comme on le dit,
01:17:25le commissaire de police, tu peux dire
01:17:27moi je n'ai pas ce pouvoir là,
01:17:29il n'est pas nécessaire de consulter
01:17:31le bureau du DPP.
01:17:33Et on connait le problème
01:17:35qui vient là-dedans.
01:17:37Des fois on le dit juste en termes légaux
01:17:39mais le problème vient un peu plus gros
01:17:41surtout pour les avocats qui pratiquent
01:17:43dans le criminel
01:17:45Je prends l'exemple de moi-même, des fois
01:17:47il y a un policier
01:17:49qui même si on demande
01:17:51un avis du bureau du DPP
01:17:53je dis non, on ne peut pas envoyer un dossier
01:17:55au bureau du DPP, on peut prendre une décision là
01:17:57nous-mêmes on peut prendre une décision là au niveau de la police.
01:17:59Et c'est pour cela
01:18:01que moi j'accueille ça très favorablement
01:18:03parce que
01:18:05le bureau du DPP il y en a
01:18:07le know-how, il y en a
01:18:09légal, le bagage légal
01:18:11qu'on est capable de mieux
01:18:13et donner une décision
01:18:15à la cour et à Majestat pour prendre
01:18:17concernant les droits d'un accusé.
01:18:19Au contraire,
01:18:21il y a une crainte
01:18:23qu'il peut dire qu'il y a
01:18:25des trois petites choses qui vaguent
01:18:27par exemple, qu'arrive le droit
01:18:29d'un accusé
01:18:31qui n'est pas un cochon mais qui après 7 jours
01:18:33le DPP
01:18:35fait un motion pour
01:18:37s'éteindre avec le jeune, il le ramasse
01:18:39alors qu'il est capable de recommencer sa vie
01:18:41Qu'en pensez-vous?
01:18:43Moi j'ai une autre crainte
01:18:45qui est plus de l'avant
01:18:47si vous demandez moi.
01:18:49Moi, l'état de Pévin avec sa belle amendement
01:18:51je crois qu'il m'accueille
01:18:53très favorablement
01:18:55surtout nous avons un attendant général
01:18:57qui connait bien
01:18:59les criminels
01:19:01que Pévin propose.
01:19:03Moi je parle un peu plus de l'avant
01:19:05pour dire qu'il ne fait en même temps
01:19:07pas ce qu'il est capable de dire
01:19:09le Provisional Judge
01:19:11parce que vous connaissez combien de débats
01:19:13nous avons gagné le Provisional Judge
01:19:15la quantité de débats dans tous
01:19:17les aspects légaux
01:19:19dans l'avocat, dans
01:19:21même le plateau, même on vient beaucoup
01:19:23plus gérer, concernant
01:19:25c'est quoi le Provisional Judge
01:19:27et même l'ancien gouvernement
01:19:29qui a mis ça dans ce programme
01:19:31qui finit réellement pour abolir
01:19:33le Provisional Judge. Moi je pense
01:19:35qu'il tient l'occasion
01:19:37aussi de revoir
01:19:39ce qu'il appelle le Provisional Judge
01:19:41parce que des fois
01:19:43il y a
01:19:45des policiers, il y a
01:19:47des modélistes
01:19:49il y a des gens qui ont servi ça dans une mauvaise
01:19:51émission, sans qu'ils fassent l'enquête
01:19:53et qu'il n'y ait pas d'allégations, il y a vraiment
01:19:55des gens, quoi qu'il n'y ait pas prouvé, il n'y en a pas
01:19:57après, il y a d'autres gens
01:19:59il y a un résident, 6 mois
01:20:01un homme, il y a même un client
01:20:03qui ne reste
01:20:05il vient tout le temps, il n'y a pas
01:20:07de participation d'une importation de la drogue
01:20:09il y a encore 3 ans, après qu'elle se fasse
01:20:11elle vient dire, oh mais ce n'est pas la drogue ça
01:20:13on a été 3 ans dessus la vie
01:20:15oui, il y a aussi cette qui
01:20:17est-ce qu'il est
01:20:19assez facile pour
01:20:21inclure ces groupés d'hier là au niveau
01:20:23de la charge provisoire
01:20:25dans un amendement à la loi là, ou est-ce qu'il lui demande
01:20:27quelque chose de plus travaillé pour
01:20:29lui demander quelque chose
01:20:31de plus travaillé, bien sûr
01:20:33et aussi
01:20:35il y en a une autre affaire qui
01:20:37les gens prennent à la légère, c'est ce qu'ils
01:20:39nous appellent, tout le monde qu'on m'a arrêté
01:20:41amène devant la cour
01:20:43il y en a qui disent, ok, je peux faire
01:20:45ce qu'ils appellent un PIO, un Prohibition Order
01:20:47vous savez, tant que ça n'a pas fini
01:20:49ou pas gagné le droit de payer
01:20:51les gens qui m'ont dit ça
01:20:53passent une lettre à la poche
01:20:55mais c'est en vérité, c'est pas comme ça
01:20:57le BELAC qu'on m'a envoyé là, actuellement
01:20:59il fait mention qu'il s'appelait
01:21:01Justin devant la cour
01:21:03mais les gens, tous les jours
01:21:05nous, à la cour, nous trouvons
01:21:07mais non, ça ne passe pas comme ça, moi je pensais
01:21:09je suis capable
01:21:11de régler cet aspect là aussi
01:21:13parce qu'il cause beaucoup
01:21:15d'inconvénients à certains
01:21:17artisans
01:21:19qui sont
01:21:21parfois arrêtés
01:21:23pour des raisons non fondées
01:21:25après avoir fait l'enquête, je trouve
01:21:27c'est pas des artisans, c'est des gens
01:21:29qui sont mal arrêtés
01:21:31tout ça là, vous inquiétez, et moi je viens de me conférer
01:21:33ce revoir
01:21:35quand il y a eu
01:21:37une appréhension concernant
01:21:39ce qui est arrivé
01:21:41sur le
01:21:43the power to review
01:21:45of the DPP
01:21:47où est le droit de l'artiser
01:21:49moi je pensais que
01:21:51tu devais travailler un petit peu plus tôt
01:21:53ça ne veut pas dire que ça
01:21:55paye l'amendement et que c'est pas bon
01:21:57je vois qu'il y a dit très très favorablement
01:21:59pour mettre un lot
01:22:01dans tout
01:22:03en ce qui concerne
01:22:05si ça n'a qu'un droit
01:22:07à main case et d'une seule opinion
01:22:09dans la cour concernant l'état
01:22:11d'artiser peut être relacé
01:22:13sous caution
01:22:15mais concernant sa review
01:22:17là, moi je pensais que
01:22:19la cour suprême, quoi que ce soit
01:22:21actuellement, la cour suprême peut être très
01:22:23vigilante
01:22:25même s'il y a des pépés
01:22:27qui vont être relacés
01:22:29c'est bien de les ramasser
01:22:31je ne crois pas que la cour suprême
01:22:33puisse prendre ça avec la légèreté
01:22:35pour ne pas demander de ramasser ça
01:22:37qui est là
01:22:39j'ai peut être, comme mon collègue finit de dire
01:22:41c'est peut être important pour
01:22:43clarifier et mettre clairement dans la loi
01:22:45moi je pensais oui
01:22:47parce que dans le bill
01:22:49et après qu'on écoute
01:22:51l'intervention aussi
01:22:53de l'honorable attorney general
01:22:55un de nos confrères
01:22:57hier
01:22:59lui a dit que quand la loi
01:23:01n'a pas défini quelque chose
01:23:03c'est pour cela
01:23:07pour définir
01:23:09l'economie sur le droit
01:23:11parce que comme on le connait
01:23:13les règles sont là
01:23:15mais elles sont là pour être réglées
01:23:17de la façon dont vous voulez les régler
01:23:19nous même comme avocat
01:23:21nous l'avantage
01:23:23au niveau du DPP
01:23:25c'est pour cela
01:23:27qu'il n'a pas d'inclarité
01:23:29dans les prérogatives
01:23:31du commissaire de police
01:23:33il est là pour faire l'enquête
01:23:35mais le dernier mot en ce qui concerne
01:23:37pour donner l'avis
01:23:39est-ce qu'il faut objecter
01:23:41ou pas objecter à une motion
01:23:43au sein de la remise en liberté
01:23:45c'est le pouvoir du DPP
01:23:47là nous ne le mettons pas clair
01:23:49mais toujours
01:23:51avec les expliqueurs
01:23:53nous n'avons toujours pas d'explication
01:23:55comment dire
01:23:57le DPP donne le pouvoir pour review
01:23:59après 7 jours du DPP
01:24:01aussi c'est quoi
01:24:03le pouvoir de l'artiste
01:24:05qui est lié là
01:24:07peut-être qu'il n'est pas trop tôt aussi
01:24:09parce que c'est la première lecture
01:24:11déjà aujourd'hui
01:24:13moi je pensais
01:24:15que le bureau de la télé
01:24:17et surtout la télé-générale lui-même
01:24:19l'honorable Gavin Glover
01:24:21il a l'écoute de tout ce qu'il fait
01:24:23même moi je suis au courant
01:24:25que c'est un moment confrès
01:24:27je fais une interview
01:24:29sur ce qu'il pense
01:24:31sur ce qu'il dit
01:24:33et moi je pensais
01:24:35qu'il pourrait avoir une écoute favorable
01:24:37concernant
01:24:39qu'il pourrait avoir
01:24:41certains changements avant
01:24:43qu'il élimine le nouveau BELAC
01:24:45Très bien, merci beaucoup
01:24:47M. Arun Binda pour commenter
01:24:49là-dessus
01:24:51Très bien, nous avons deux versions
01:24:53de M. Arun Binda et M. Stephen
01:24:55Saubois
01:24:57il m'a dit aussi qu'il y a plusieurs
01:24:59élus qui bannent l'égis au Parlement
01:25:01qui peuvent amener une contribution
01:25:03dans ce débat-là
01:25:05comment Arun Binda peut-il nous
01:25:07donner une mémoire à la tournée générale
01:25:09pour cette question
01:25:11et bien sûr nous poursuivre le débat
01:25:13ce sera après l'indépendance
01:25:15parce que je ne pense pas qu'il peut y avoir
01:25:17un Parlement la semaine prochaine
01:25:19d'autant plus qu'il peut y avoir la visite
01:25:21de M. Amodi à Maurice
01:25:23merci pour toutes ces bonnes
01:25:25contributions-là
01:25:27je me rappelle que nous poursuivrons
01:25:29le Finance and Audit Amendment
01:25:31qui a été présenté en première lecture
01:25:33cet après-midi
01:25:35Très bien, merci beaucoup
01:25:37je me retrouve demain après-midi
01:25:39demain soir pour une émission
01:25:41avec le ministre du Commerce
01:25:43Michael CQN
01:25:45donc jusque-là je vous souhaite une très bonne soirée
01:25:47Merci

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