Le régime de propriété intellectuelle de l’OMC a bénéficié surtout aux transnationales qui monopolisent les brevets, renchérissent le prix des médicaments et encouragent la privatisation de la vie notamment via les brevets sur les plantes, les animaux et même les gènes humains.
Dans le domaine alimentaire, des études de la FAO montrent l’existence d’une capacité de production capable de nourrir 12 milliards de personnes.
Pourtant, on assiste à une crise car on produit en fonction de la spéculation et de la rentabilité des multinationales. Pour faire face à la crise alimentaire, il faudrait renforcer l’agriculture familiale, paysanne et communautaire. Dans la partie la plus pauvre de la planète, des millions d’êtres humains meurent de faim tous les ans, alors que dans le Nord on gaspille des milliards pour combattre l’obésité. Nous gaspillons les ressources naturelles, et produisons des déchets qui polluent la "Pachamama" : notre Terre-Mère.
Nous devons consommer ce que nous produisons localement. Un produit importé qui traverse la moitié de la planète est en apparence moins cher. Mais, si l’on intègre les coûts environnementaux, de transport, d’énergie et les émissions de carbone, il est plus coûteux.
Pour les pays du Nord, il y a un seul modèle de développement, le leur. Le capitalisme veut nous uniformiser et nous transformer en simple consommateur. Les modèles uniques sur le plan économique s’accompagnent de processus d’acculturation généralisée qui nous impose une seule culture, une seule mode, une seule façon de penser et de voir les choses. Détruire une culture, porter atteinte à l’identité d’un peuple, est le dommage le plus grave que l’on peut faire à l’humanité.
Le respect et la complémentarité pacifique et harmonieuse des cultures et économies sont essentiels pour sauver la planète, l’humanité et la vie.
Cette vidéo a été conçue et réalisée par les intermittents du spectacle, en "copyleft" (libre de droit)... à méditer...
Dans le domaine alimentaire, des études de la FAO montrent l’existence d’une capacité de production capable de nourrir 12 milliards de personnes.
Pourtant, on assiste à une crise car on produit en fonction de la spéculation et de la rentabilité des multinationales. Pour faire face à la crise alimentaire, il faudrait renforcer l’agriculture familiale, paysanne et communautaire. Dans la partie la plus pauvre de la planète, des millions d’êtres humains meurent de faim tous les ans, alors que dans le Nord on gaspille des milliards pour combattre l’obésité. Nous gaspillons les ressources naturelles, et produisons des déchets qui polluent la "Pachamama" : notre Terre-Mère.
Nous devons consommer ce que nous produisons localement. Un produit importé qui traverse la moitié de la planète est en apparence moins cher. Mais, si l’on intègre les coûts environnementaux, de transport, d’énergie et les émissions de carbone, il est plus coûteux.
Pour les pays du Nord, il y a un seul modèle de développement, le leur. Le capitalisme veut nous uniformiser et nous transformer en simple consommateur. Les modèles uniques sur le plan économique s’accompagnent de processus d’acculturation généralisée qui nous impose une seule culture, une seule mode, une seule façon de penser et de voir les choses. Détruire une culture, porter atteinte à l’identité d’un peuple, est le dommage le plus grave que l’on peut faire à l’humanité.
Le respect et la complémentarité pacifique et harmonieuse des cultures et économies sont essentiels pour sauver la planète, l’humanité et la vie.
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