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Lundi 5 juin 2023, SMART BOURSE reçoit Alexandre Baradez (Chef analyste, IG)

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00:00 Identifier, analyser, planifier, trader. Votre rendez-vous avec IG. Investissez avec les Turbo 24.
00:07 Le plan de trading de la semaine pour débuter chaque semaine avec les équipes d'IG.
00:22 Alexandre Baradez est avec nous en plateau, chef analyste chez IG. Bonjour et bienvenue Alexandre.
00:26 Bonjour Édouard.
00:27 Je suis ravi de vous retrouver. Ce qui est assez fascinant, c'est que si on regarde les actions mondiales dans leur ensemble,
00:31 alors il y a des spécificités locales ici et là, mais on voit quand même que les actions mondiales continuent non seulement de bien tenir,
00:37 mais même de progresser, tirées par un groupe de valeurs qui est un groupe de valeurs de croissance,
00:44 avec les niveaux de valorisation parmi les plus élevés, quand dans le même temps, on observe un dollar qui sera fermé
00:52 et des marchés obligataires qui corrigent à nouveau avec des taux qui sont quand même repartis très nettement à la hausse.
00:57 Oui, c'est vrai que le paysage entre marchés est très divergent. En fait, on n'a pas les mêmes signaux d'un marché à l'autre.
01:02 Et c'est vrai que vous avez des marchés comme le marché actions qui lui, déjà dans l'étape d'après, dans l'étape du "la pause est là",
01:08 "la pause est annonciatrice à quelques mois d'un pivot de la Fed", etc. Donc on est déjà dans la partie en bélie de la situation moyen terme.
01:16 Pas que les techs, d'ailleurs on voit que la semaine dernière, fin de semaine, les valeurs plus cycliques,
01:20 le Dow Jones a bien rebondi, tous les indices ont aimé finalement ce qu'ils ont vu.
01:24 Mais c'est vrai que le message quand même qui a boosté un peu tout ça, c'est le message qu'on a eu en milieu de semaine dernière.
01:29 Il y a eu plusieurs membres de la Fed, mais celui qui a retenu l'attention des marchés, c'est évidemment le vice-président Jefferson.
01:34 Qui est nouveau dans le paysage, il était à la Fed depuis quelques temps, mais il vient d'être nommé comme vice-président de la réserve fédérale américaine par Joe Biden,
01:41 Philip Jefferson, qui est un économiste.
01:43 Qui est un économiste et qui dit très clairement, en gros, qu'il est favorable à une pause sur les taux au mois de juin
01:48 pour avoir le temps d'évaluer la situation et voir s'il est nécessaire, c'est toujours le terme qui revient,
01:52 s'il est nécessaire de relever encore les taux, de poursuivre le durcissement en juillet.
01:56 Donc c'est vrai que pour le marché ça a fait tilt et pour montrer à quel point ça a fait tilt rapidement,
02:00 c'est qu'on avait eu juste avant son intervention les chiffres jeules, donc de l'emploi vacant aux Etats-Unis,
02:04 qui a fortement rebondi, un peu plus de 600 000 emplois vacants par rapport au mois précédent,
02:07 on est repassé au-dessus de 10 millions, avec une série de chiffres avant le rapport sur l'emploi, sur l'inscription au chômage,
02:13 sur l'enquête ADP également, à près de 300 000, enfin 280 000.
02:16 Et donc il a réussi à infléchir ce sentiment que les probabilités étaient à 70% pour pas de pause en juin,
02:21 après son speech on est passé à 30% de probabilité de pas de pause en juin.
02:25 Donc le marché, Action, a été convaincu de ça, mais dans le même temps,
02:29 d'autres marchés ne sont pas d'accord avec ça, le marché obligataire par exemple,
02:33 vous allez voir en graphique dans quelques instants...
02:34 - On regarde donc la pente, la courbe entre le 2 ans et le 10 ans, c'est ça qui est un des indicateurs de référence ?
02:40 - Un des repères, voilà. Grosso modo ça dit quoi ?
02:42 Ça dit que les taux courts, le 2 ans, c'est un taux plutôt court, est largement plus du 10 ans,
02:46 ça, ça fait déjà des mois que c'est le cas, mais on remarque depuis quelques jours que l'écart s'est accentué,
02:51 c'est-à-dire qu'en gros le taux 2 ans est resté bien perché, il a même rebondi,
02:54 alors que le taux 10 ans n'a pas suivi la même trajectoire.
02:56 Et pourquoi on a des taux comme ça, 2 ans qui sont tournés ?
02:58 Le taux 2 ans, il vous dit quoi ? Il vous dit, à 4 et quel ? 4,60, il y aura encore de l'inflation sur nos ans moyens intermes,
03:03 il y aura de la croissance, mais il y aura quand même de l'inflation,
03:05 et la Fed va devoir garder ses taux élevés pendant quelque temps.
03:08 Si ce message avait percuté aux oreilles du marché obligataire, le message de Jefferson,
03:11 on aurait eu le schéma inverse, c'est-à-dire une repentification de la courbe,
03:14 la partie courte qui tombe, enfin qui tombe, qui baisse, et puis la partie longue qui se maintient,
03:18 repentification, en tout cas, petit rebond.
03:20 Ce n'est pas le cas, le dollar également, le dollar index n'a pas beaucoup bougé,
03:23 donc il n'y a réellement que le marché à action qui garde cette politique-là.
03:26 Et c'est pour ça qu'aujourd'hui, je pense qu'on doit, non pas, il ne faut pas être contrarian,
03:30 pour être contrarian, on doit se devoir d'être, on se doit, pardon, d'avoir un esprit quand même critique,
03:36 parce qu'il faut se rappeler que Powell, dans ses différentes déclarations,
03:39 pendant les conférences de presse, les journalistes lui demandent,
03:41 ils l'ont déjà demandé à plusieurs reprises, mais est-ce que le temps n'est pas venu de faire une pause vocalement ?
03:45 Et il a répété à plusieurs reprises qu'il ne voulait pas de cheminement erratique de la politique monétaire.
03:49 En gros, ce qu'il veut, c'est ce qu'on a depuis le début, quelque chose de très très linéaire,
03:52 alors plus ou moins intense, mais très linéaire, sans pause,
03:54 arriver au taux, il a dit, qui soit suffisamment restrictif, et y rester.
03:59 Donc, se dire "je fais une pause pour relever le taux en juin ensuite",
04:03 pour moi, ça n'a de logique que si les membres de la Fed ont voulu dire
04:06 "on fait une pause, mais c'est un message qui reste un peu haut quiche,
04:09 sachant qu'on fera pas de hausse en juillet, on fait croire qu'on garde l'option juillet ouverte,
04:14 ça nous laissera le temps de nous confirmer que l'inflation est bien en train de s'infléchir".
04:16 Je vois que ça comme hypothèse. L'hypothèse "pause" et "hausse en juillet" me paraît dangereuse déjà.
04:21 C'est la période estivale, remontée et tourne.
04:23 C'est 26 juillet, la réunion suivante pour la France.
04:25 Exactement, et puis il y a Jackson Hole après, fin août.
04:27 Je trouve que c'est une période dangereuse pour recalibrer la politique monétaire,
04:29 alors qu'il suffirait d'impulser ce qu'il faut au mois de juin,
04:32 puis de laisser après l'été filer tranquillement.
04:34 D'autant que certains estiment, c'est un avis émis par Larry Summers,
04:38 ce qui paie la hausse de taux de juin, c'est se retrouver face à un risque
04:43 de devoir faire peut-être non pas 25, mais 50 en juillet.
04:47 Oui, c'est ça, il y a des échos.
04:49 Quel est le degré du règlement de compte, parfois, entre membres de la Fed ?
04:52 On sait qu'il y a Dudley aussi, qui est l'ancien président de la Fed de New York,
04:55 et qui est devenu colonne ministre pour Bloomberg.
04:57 Oui, ils sont tous pourvoyeurs d'opinion maintenant.
05:00 Exactement, et il dit quoi ? Il dit que la Fed n'a pas assez fait,
05:04 que le marché de l'immobilier est en train de repartir, etc.
05:06 Donc, ça donne quand même une vision où les stats macro-hard,
05:09 les plus critiques pour la Fed, sont encore bonnes, solides.
05:14 L'inflation, l'emploi, il n'y a pas vraiment de signaux de craquage
05:17 qui peuvent être en train de dire "on fait une pause définitivement".
05:20 Un mot quand même de la situation des actions, effectivement.
05:23 Alors, déconnecté de certaines autres considérations,
05:26 notamment celle de politique monétaire.
05:29 25 points de base, de plus ou de moins, pour un investisseur actions.
05:33 Qu'est-ce que ça change ? Pas grand-chose.
05:35 D'autant que l'investisseur actions, il a un nouvel os à ranger aujourd'hui
05:39 qui s'appelle l'intelligence artificielle générative.
05:41 Non, mais c'est quand même fascinant de voir ce thème
05:44 qui est en train de mettre un coup de boost à certains indices,
05:48 à certaines valeurs spécifiques.
05:50 Ce n'est pas un thème qui embarque évidemment tout le marché,
05:53 mais ça semble être suffisant pour l'instant
05:56 pour permettre aux investisseurs de se projeter sur un thème de moyen-long terme.
05:59 Oui, complètement. Et on voit qu'aux Etats-Unis,
06:01 celles qui ont bénéficié de ce thème là aussi,
06:03 c'est les classiques GAFAM, GAFTA, ça comment on veut maintenant,
06:06 mais les 5 plus grosses, le chiffre qui est passé l'autre jour m'a percuté,
06:09 la concentration de capitalisation boursière des 5 plus grosses
06:12 est au plus haut depuis 1972.
06:14 Alors, c'est du 25 ou 26%, mais on n'a jamais eu une telle concentration
06:17 de capitalisation sur 5, non seulement, depuis 1972.
06:20 Donc, évidemment, on connaît leur rentabilité ou autre,
06:23 mais il y a quand même un petit phénomène qui se produit.
06:26 Si vous regardez le CAC 40 par exemple,
06:28 le CAC 40 depuis quelques jours est quand même comme ça,
06:30 le Nasdaq il est comme ça, donc il y a quand même un thème,
06:32 tech, AI, qui s'emparent du marché.
06:34 Sur le CAC spécifique, et effectivement,
06:36 l'Europe a plutôt sous-performé au mois de mai,
06:39 le Nasdaq, le marché américain, a été emmené par le thème de l'IA,
06:43 la fusée Nikkei aussi, de l'autre côté du globe,
06:46 qui est venue poursuivre son envolée spectaculaire.
06:49 C'est vrai que sur l'Europe et sur le CAC,
06:51 il y a eu quelques gaps à la baisse au cours des dernières séances.
06:54 Il y a eu une séance assez lourde, qui était la séance de fin de mois,
06:56 le 31 mai, je crois, il y a eu beaucoup de volume.
06:58 Qu'est-ce qu'on peut dire de la situation technique d'un indice comme le CAC ?
07:01 Elle est plutôt appréciable parce qu'on avait la correction de mars,
07:03 qui était un premier signal de volonté de consolider.
07:05 Ça a reparti un peu vite après, à 7006,
07:07 besoin de réellement consolider, donc on lâche à nouveau 6% de plus de sommet.
07:10 Donc, moi j'ai passé une consolidation qui est certes un peu oblique quand même,
07:14 mais dans l'amplitude des mouvements, c'est ce que l'on pensait voir à ce stade du cycle
07:18 par rapport à des anticipations sur la Chine qui avaient été bien gonflées, etc.
07:21 Le vent de luxe qui rend, les plus grosses qui rendent 5, 6, 7, 8, 10% parfois.
07:25 C'est plutôt sain, ça entraîne le CAC à consolider.
07:28 Je trouve que la position est juste et bonne du CAC 40.
07:31 Par contre, à très courte terme, on appelle ça plan de trading, donc bien sûr, à court terme,
07:35 moi je ne serais pas, je suis évidemment bullish moyen terme,
07:38 je pense que le CAC va aller à 8000 sans problème,
07:40 et même j'ai fait des projections sur plusieurs années à 11000 et quelques,
07:42 je pense qu'il ne faut pas s'opposer au CAC.
07:45 Simplement, à court terme, pour revenir bullish, moi j'attendrais quand même 7550, 7600.
07:49 J'attendrais le vrai retour sur le sommet, et idéalement, si par exemple,
07:52 vous avez quelques stats américaines qui vont dans le sens de la pause de la fête,
07:55 des stats un peu moins bonnes, ou des propos de la garde, par exemple cet après-midi,
07:58 qui irait dans le sens un peu plus doviche, ou moins agressif que ce qu'on a entendu en tout cas.
08:02 Il faut des signaux quand même techniques, mais pas avant.
08:05 Pour l'instant, je reste prudent, parce que vous voyez qu'on a ce qu'on appelle un pull back,
08:07 on a cassé une zone et on vient la retester.
08:09 Si après ce test, vous revoyez les 7100, là par contre, je pense que ça ne sera pas sans le concours des marchés américains aussi.
08:15 Donc je pense que ce sera une invitation à aller à 6800.
08:17 Donc voilà, 7100 revues, c'est un risque d'arrière de 300 points de baisse.
08:20 Donc voilà les deux zones à surveiller.
08:22 Qu'est-ce qu'on peut dire du retracement qu'on a observé sur l'euro/dollar,
08:25 avec notamment un dollar qui sera fermé face à un ensemble de devises ?
08:28 Est-ce que du point de vue du dollar, c'est juste une correction du mouvement de baisse
08:32 qu'on observe depuis des mois et des trimestres sur le dollar,
08:35 ou est-ce que c'est une tendance qui est en train de s'infirmer peut-être ?
08:38 Non, je ne pense pas justement. Je pense que ce que vous disiez en première hypothèse,
08:40 c'est plutôt une... On voit toute la phase d'affaiblissement, là,
08:43 tout le rallye, en gros, fin de l'année dernière et une partie de l'année.
08:46 Je pense que le point bas a été marqué dans cette zone de l'année dernière.
08:50 Je ne pense pas qu'on y revienne, hormis les scénarios catastrophiques sur l'inflation qui pousserait,
08:54 ou une crise en dollars qui entraînerait... de liquidité en dollars,
08:58 qui amènerait le dollar sur des niveaux à nouveau très élevés.
09:00 Mais aujourd'hui, on n'a pas les bases pour ça, pour le scénario de base.
09:03 Donc l'idée, c'est plutôt un scénario médian de consolidation, ce qu'on est en train de voir.
09:07 Pousser sur l'euro, ça consolide en deux vagues.
09:09 Ça peut peut-être aller chercher, avec cette question de la réunion,
09:13 s'il y avait des sources qui s'exprimaient avant la fête.
09:15 Les membres de la fête, on le rappelle, ne peuvent plus parler avant cette période.
09:18 Une semaine avant, normalement, c'est une quinquennate de périodes.
09:20 Donc, s'ils ont un truc à dire, c'est des sources.
09:21 Remplir les médias, faire passer un message, ça c'est toujours possible.
09:24 Je ne dis pas que c'est ce qu'il faut attendre, mais il me semble que le risque à court terme, quand même,
09:27 c'est que ça aille peut-être un peu plus bas, vers du 1,05,
09:29 toujours cette idée qu'on ne sait pas encore définir si précisément il y aura pause ou pas.
09:33 Ça peut encore porter le dollar, sauf s'il y a cet après-midi un ISM catastrophique.
09:36 Le dollar faiblirait d'un coup et le problème de la pause serait réglé.
09:39 Pour l'instant, je suis encore à penser que ça peut encore monter sur le dollar,
09:43 mais de manière très tactique, court terme.
09:45 L'idée, c'est plutôt en range, depuis quelques mois, entre 1,05 et 1,10,
09:49 pour ensuite aller chercher 1,15, 1,20 à moyen terme.
09:52 Qu'est-ce qu'on peut en dire du pétrole ?
09:54 On continuera d'en parler dans un instant avec Irina Topasseri
09:57 pour décrypter la décision difficile de l'OPEP+ ce week-end.
10:01 C'est même, surtout et avant tout, une décision de l'Arabie Saoudite.
10:04 Oui, qui prend à son compte, Irina en parlera plus que moi,
10:06 à son compte toute la baisse, d'ailleurs.
10:08 Ce qui est intéressant de voir, c'est que ça intervient quand même,
10:11 successivement, on a plusieurs annonces maintenant,
10:13 on voit quand même que la zone est sous 70 dollars.
10:15 Déjà pour les États-Unis, ils nous ont donné intérêt pour commencer à refaire les stocks.
10:18 Ça, on en avait parlé, c'était ce qu'il faisait dire.
10:20 Il y a eu quelques premiers achats, je crois.
10:21 Exactement, 3 millions, c'est pas énorme, il y a eu des frais pour août, je crois.
10:23 Donc voilà, c'est des petits montants, il faut encore refaire 200, 300 millions,
10:25 donc il y a largement de quoi faire.
10:26 Mais souvenez-vous que le gap qu'on avait eu, la précédente coupe au mois d'avril,
10:31 Russie + Arabie Saoudite, c'est ce gros gap qui nous a amené à 83 dollars.
10:35 Et on disait, attention, les États-Unis, eux, veulent un retour à la 70.
10:38 Ils les ont eu, ce retour, même un petit peu en dessous.
10:40 Donc je trouve qu'on est dans la zone cohérente pour les États-Unis,
10:42 65-70, c'est cohérent pour la stratégie.
10:44 L'Arabie Saoudite vient de nous montrer, enfin,
10:46 vient de nous montrer que c'est une zone qu'ils veulent défendre.
10:48 Donc pour essayer d'être plus baissier que ça, on ne peut pas le faire au stade actuel.
10:53 Il faut vraiment qu'il y ait des alertes globales macro et marché, en fait.
10:56 Pour aller chercher un 60 et un peu plus bas,
10:58 il faudrait que les marchés actions dévisent de 5-10 %, que le pétrole tape 67 dollars.
11:02 Là, pourquoi pas ?
11:03 Mais pour l'instant, à 73, on ne va pas être baissier sur ces niveaux-là.
11:06 Et je dirais même plus que si on commençait à avoir 75,
11:08 parce que le marché action, pour sûr, peut se rebondir,
11:10 parce que les messages monétaires continuent d'être moins agressifs,
11:14 dans ce cas-là, on viserait, au-delà de 75,
11:16 on viserait un retour à 80-83, horizon plusieurs semaines.
11:19 Mais on commence à parler un peu de formation de bottom,
11:21 vous voyez, un creux comme ça qui s'est formé depuis les 130,
11:23 qui atterrit doucement, pour repartir progressivement à 80.
11:26 Mais voilà, on a dans l'attente de 6 mois, qu'on n'a pas,
11:28 mais pour être défensif, il faut vraiment le faire sur des questions d'environnement de marché global.
11:32 À ce stade, il n'y a pas les éléments pour ça.
11:34 Les Saoudiens avaient déjà prévenu quelques jours avant la décision,
11:37 arrêter de shorter le baril.
11:39 Arrêter de shorter, parce que les positions spéculatives short sur le baril
11:42 atteignaient quand même des montants monstrueux.
11:44 Ziz Blanc, c'est Belos qui le dit.
11:46 Merci beaucoup Alexandre.
11:47 IG avec nous chaque lundi pour le plan de trading de Smart Bourse,
11:50 et c'est Alexandre Baradès qui est avec nous en plateau en ce début de semaine.
11:54 Identifier. Analyser. Planifier. Trader.
11:58 Votre rendez-vous avec IG. Investissez avec les Turbo 24.

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