Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd’hui à l'occasion de la sortie du film « Nouveau départ » avec Franck Dubosc et Karine Viard, Pascal Praud s'intéresse au syndrome du nid vide, quand les enfants quittent le domicile familial. Vous nous faites part de votre expérience dans ce moment de vie charnière.
Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d’Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Retrouvez "Pascal Praud et vous" sur : http://www.europe1.fr/emissions/pascal-praud-et-vous
Category
🗞
NewsTranscription
00:00 Nous sommes avec Caroline. Bonjour Caroline.
00:03 - Bonjour.
00:05 - On va changer de sujet à l'instant.
00:07 D'abord je remercie vraiment Véronique d'être intervenue.
00:11 On va parler du film avec vous,
00:13 "Le Nouveau Départ" avec Franck Dubosc et Karine Viard
00:15 qui est sorti mercredi au cinéma.
00:17 C'est un sujet qui peut tous nous concerner, nous les parents,
00:19 puisque le syndrome du nid vide
00:21 quand les enfants quittent le domicile familial
00:23 pour faire leurs études, parce qu'ils partent vivre
00:25 avec ou leur fiancé,
00:27 ou qu'ils partent tout simplement
00:29 pour faire leurs études.
00:31 Ce syndrome est un mélange de tristesse, de solitude.
00:33 Les parents se retrouvent à deux, comme au départ de la relation
00:35 et le couple peut en souffrir.
00:37 Caroline, vous avez quel âge ?
00:39 - Alors j'ai 43 ans.
00:41 - Vous êtes jeune encore.
00:43 - Oui, oui, tout à fait.
00:45 Tout dépend du regard de la personne,
00:47 mais oui, on est jeune.
00:49 Nous avons quatre enfants qui vont de 9 ans
00:51 à bientôt 18 ans.
00:53 Et donc l'aîné est en terminale.
00:55 Donc autant vous dire que la question se pose
00:57 et on peut se projeter.
00:59 Écoutez, moi c'est une période,
01:01 j'avoue sincèrement, qui ne me réjouit pas.
01:03 Voilà.
01:05 Je suis très maman, je suis très heureuse
01:07 d'avoir mes enfants à la maison,
01:09 j'aime les entendre rire,
01:11 discuter, mais aussi, je ne vous le cache pas,
01:13 se chamailler, parce que forcément quand on est quatre,
01:15 à cet âge-là, il y a des moments,
01:17 il y a même des bonnes scènes de dispute.
01:19 - Parce que vous avez quatre enfants, l'aîné à 18 ans.
01:21 Mais le but de l'éducation,
01:23 c'est de rendre ses enfants indépendants,
01:25 de les rendre qui évoluent sans vous.
01:27 Autrement,
01:29 parce qu'en fait, si vous avez peur,
01:31 moi je comprends d'ailleurs que vous ayez peur
01:33 du nid vide, bien évidemment,
01:35 mais c'est leur vie,
01:37 c'est vous, vous avez quitté vos parents.
01:39 - Alors je suis tout à fait d'accord avec vous.
01:41 - Vous avez quitté quand vos parents ?
01:43 - Moi j'ai quitté mes parents,
01:45 j'avais une vingtaine d'années, puisque j'étais à l'école de commerce après bac.
01:47 - Vous étiez jeune.
01:49 Et c'était sans doute mieux pour vous
01:51 de vous émanciper, de prendre de la distance,
01:53 parce qu'on connaît parfois
01:55 ces enfants qui sont toujours
01:57 avec leurs parents, je ne suis pas sûr que ce soit une
01:59 bonne chose, ni pour les parents, ni pour les enfants.
02:01 - Alors j'allais vous le dire,
02:03 justement, je n'ai pas l'intention d'avoir des tanguys,
02:05 je vous rassure, c'est pas du tout
02:07 mon objectif non plus,
02:09 mais ce que je voulais vous dire, c'est que voilà,
02:11 ce sont 20 ans finalement qui sont passés très vite
02:13 quelque part, c'est aussi
02:15 toute une période de vie où on a
02:17 orienté notre vie, que ce soit professionnelle,
02:19 de couple, autour de nos enfants,
02:21 et c'est vrai que c'est un nouvel équilibre
02:23 à retrouver, puisque nos petits
02:25 vont s'envoler, et alors
02:27 je tiens à vous le préciser, je serai la plus heureuse
02:29 des mamans, surtout qu'ils s'épanouissent,
02:31 et qu'ils soient heureux dans ce qu'ils font, dans ce qu'ils vont faire.
02:33 - Oui, c'est toujours pareil,
02:35 mais je comprends, c'est aussi la vie qui passe,
02:37 c'est-à-dire qu'on a des
02:39 sentiments ambivalents, puisque
02:41 je comprends que la période
02:43 d'élever ses enfants, pour vous, c'est une période
02:45 merveilleuse, et quand un enfant s'en va,
02:47 c'est une page qui se tourne.
02:49 - Tout à fait, et pour tout
02:51 vous dire, cette rentrée scolaire,
02:53 c'est ma fille qui est en première,
02:55 et qui a 18 mois d'écart avec son frère aîné, donc vous voyez,
02:57 ils sont assez proches au niveau des potentiels
02:59 départs, c'est elle qui m'a dit
03:01 "Tu sais maman, cette rentrée, c'est super
03:03 dur, parce que c'est la dernière année
03:05 où on va être tous les quatre à la maison."
03:07 - Oui, ben oui, je suis
03:09 d'accord avec vous, c'est un peu...
03:11 Il y a un peu comme ça
03:13 de tristesse, forcément.
03:15 - Elle me l'a dit, elle m'a dit,
03:17 tu sais, quelque part, le jour où
03:19 notre fils aîné s'appelle Maxence,
03:21 dans un an, si Maxence part,
03:23 après moi je peux suivre, bon après on aura une petite pause,
03:25 parce que le troisième a 12 ans, et le dernier
03:27 a 9 ans, donc ils vont peut-être pas partir tout de suite,
03:29 mais elle m'a dit "C'est la fin de notre
03:31 enfance." - Ben je sais, je sais,
03:33 j'ai un témoignage comme ça, très
03:35 proche de moi,
03:37 d'un garçon qui est en terminale,
03:39 et l'année prochaine, ben il va
03:41 sans doute partir,
03:43 et évidemment, c'est un changement
03:45 de vie, parce que, surtout quand
03:47 on est en province, parce que quand on est à Paris,
03:49 les enfants partent pas, il y a des écoles à Paris,
03:51 mais quand on est en province,
03:53 souvent on quitte, pour aller
03:55 très souvent à Paris d'ailleurs. Bon, on marque une pause,
03:57 vous restez avec nous, Caroline, restez avec nous,
03:59 parce que c'est vraiment intéressant de vous écouter, à tout de suite.
04:01 - Et pour témoigner, vous vous composez le 01-80-20-39-21,
04:03 vous écoutez Pascal Praud,
04:05 il est bientôt une an moins de quart.
04:07 - Pascal Praud, sur Europe 1.
04:09 - À l'éternelle jeunesse de la rue,
04:11 tu m'as donné de
04:13 beaux enfants.
04:15 Tu as le droit
04:19 de reposer. - Les vieux mariés,
04:21 effectivement, c'est le soir d'un mariage,
04:23 où les
04:25 enfants s'en vont.
04:27 Et ce sera le lit vide.
04:31 Et c'est ce sujet
04:35 qui nous intéresse avec Caroline, qui a
04:37 quatre enfants, et qui a peur,
04:39 peut-être, et en même temps,
04:41 forcément, ce moment est
04:43 important dans la vie, lorsqu'on voit
04:45 les enfants quitter
04:47 la maison, parce qu'on sait
04:49 qu'en fait, on a réussi
04:51 son éducation, s'ils s'en vont.
04:53 C'est aussi cela, le paradoxe.
04:55 - Oui, moi je suis d'accord avec vous à ce niveau-là,
04:57 parce que si vous voulez, l'objectif,
04:59 si on veut parler d'objectif avec mon mari,
05:01 c'est que nos enfants soient heureux,
05:03 qu'ils épanouissent, qu'ils fassent leur vie, et c'est ce qu'on dit,
05:05 d'ailleurs, pourvu qu'ils choisissent, qu'ils trouvent une
05:07 voie qui les intéresse, derrière, qu'ils fassent
05:09 leur vie, que ce soit avec une famille,
05:11 on sera d'autant plus heureux de les accueillir dans quelques
05:13 années, alors on n'est pas pressés, mettez conjoints,
05:15 des petits-enfants, etc., si c'est leur
05:17 choix. Et puis nous, d'une autre
05:19 façon, c'est aussi une étape pour apprendre
05:21 à, je ne veux pas vous dire, revivre ensemble,
05:23 mais vivre différemment,
05:25 recentrer, peut-être, nos centres d'intérêt sur des
05:27 activités communes. Moi, personnellement,
05:29 c'est aussi l'occasion, et c'est pour ça que j'y travaille en ce
05:31 moment, de redonner aussi un
05:33 nouvel élan, si je veux dire, à ma carrière, parce que
05:35 je l'ai clairement mise, entre parenthèses, pendant quelques
05:37 années, pour les élever, et aujourd'hui,
05:39 je me dis, ils vont partir, il faut que je le prépare,
05:41 en fait. Je ne veux pas leur donner
05:43 l'impression que je suis un poids parce qu'ils sont partis,
05:45 au contraire, vivez, soyez heureux, quoi.
05:47 Voilà. Tu sais, ce que je peux leur dire,
05:49 c'est "soyez heureux". - Exactement.
05:51 "Soyez heureux", c'est une...
05:53 finalement, une bonne
05:55 façon de dire cela
05:57 à ses enfants.
05:59 Que se passe-t-il, monsieur Boubouk ?
06:01 - Eh bien, je viens vous soutenir. Vous pouvez
06:03 prendre Marine, Pascal. - Marine ?
06:05 - Marine ! - Marine est avec nous.
06:07 Bonjour, Marine. Je n'avais pas vu, effectivement,
06:09 cette fiche. Marine,
06:11 bonjour. - Bonjour, Pascal.
06:13 - Vous êtes une maman de trois enfants.
06:15 - C'est ça, exactement, dont deux qui ont
06:17 quitté la maison. - Et alors, comment
06:19 vous avez vécu ce moment ?
06:21 - Alors, la première, qui va
06:23 avoir 23 ans, je n'ai pas vu
06:25 la chose arriver, je pensais être prête.
06:27 Mon entourage m'avait dit "tu l'iras, ça fait
06:29 quelque chose", et j'ai pris vraiment...
06:31 excusez-moi l'expression, mais une grosse
06:33 plaque. Ce n'est pas tout de suite, c'est
06:35 quand on rentre le soir et qu'on rentre dans la chambre
06:37 de sa fille et qu'on la voit vide,
06:39 ça fait vraiment quelque chose. C'est quelque
06:41 chose dans les tripes, c'est inexplicable. Ça a été
06:43 pareil pour mon mari, on a un vide viscéral,
06:45 on n'est plus cinq
06:47 à table, mais on est quatre.
06:49 C'est quelque chose. Surtout que moi, elle était partie au
06:51 Canada, donc on ne peut pas se dire "va prendre
06:53 un train, on va aller la voir".
06:55 Elle est partie... d'ailleurs, je
06:57 savais qu'elle ne reviendrait pas à la maison.
06:59 Elle est partie pendant trois ans pour ses études.
07:01 Elle est revenue en France, mais
07:03 elle n'est pas revenue à la maison. Et mon fils est parti
07:05 l'année dernière, au mois de septembre aussi,
07:07 juste après sa terminale. Donc sur trois enfants,
07:09 j'en ai deux qui ont quitté la maison.
07:11 - Et comment vous vivez ce moment ?
07:13 - Alors maintenant, ça va beaucoup mieux.
07:15 Ça va beaucoup mieux, et on a des relations tellement
07:17 fortes, parce qu'on a beaucoup de choses à se dire, forcément,
07:19 quand on se voit. Mais
07:21 mon fils, le départ, ça a été
07:23 parce que ma fille avait déjà fait le chemin,
07:25 mais
07:27 aujourd'hui, ça va beaucoup mieux, puis je suis tellement
07:29 heureuse de les voir heureux, et je les
07:31 sens tellement bien, je me dis qu'on a bien fait notre
07:33 "travail" entre guillemets de parents.
07:35 Mais c'est une étape dans la vie, même pour le couple, c'est quand même
07:37 assez... Je crois qu'en fait, on croit qu'on est
07:39 prêts, mais on n'est pas forcément prêts.
07:41 - On n'est jamais prêts. En fait, la vérité,
07:43 c'est qu'on n'est jamais prêts à rien,
07:45 tant qu'on n'a pas vécu l'expérience. On n'est pas
07:47 prêts à être malade, on n'est pas prêts à perdre quelqu'un,
07:49 même s'il perd...
07:51 précisément, cette période peut être
07:53 malade. En fait,
07:55 se préparer, c'est
07:57 toujours un concept qui est...
07:59 C'est lorsqu'on... L'épreuve du feu
08:01 arrive, qu'on voit comment on la passe.
08:03 Avant, c'était très
08:05 difficile, bien évidemment. - C'est quelque chose.
08:07 En tant que parent, c'est quelque chose dans le couple aussi,
08:09 et puis pour le petit ou la petite
08:11 dernière, c'est le cas de ma fille Romane,
08:13 qui a 13 ans, on sous-estime, on ne fait pas
08:15 trop attention, on est tellement dans le
08:17 départ de l'enfant, que l'enfant qui reste,
08:19 elle est déstabilisée aussi, parce que
08:21 il n'y a plus le grand frère, il n'y a plus la grande soeur. - Bien sûr, bien évidemment,
08:23 c'est toute la famille qui est déstabilisée. On fait
08:25 une pause, il est 12h50, à tout de suite. - Oui,
08:27 notez que tous les week-ends sur Europe 1, le samedi
08:29 et dimanche à 6h10, dans
08:31 Europe 1 matin, week-end avec Anaïck Monnier, vous retrouvez
08:33 les pronostics de Thierry Léger.
08:35 Thierry Léger vous donne ses pronostics pour
08:37 le quintet des plus grandes courses hippiques.
08:39 Et des pronostics aussi disponibles, aussi
08:41 en replay, sur europe1.fr
08:43 ou l'application Europe 1.
08:45 On en parle. - L'insuffisance
08:51 cardiaque est une maladie invisible
08:53 qui touche plus d'un million et demi de personnes
08:55 en France. Reconnaître les signaux d'alerte est
08:57 essentiel pour la détecter et la prendre en charge.
08:59 On en parle avec Isabelle. Bonjour.
09:01 - Bonjour. - Alors dans votre cas, quel a été le
09:03 premier signe qui vous a alerté ?
09:05 - Eh bien un matin, en m'habillant, j'ai remarqué que mes pieds
09:07 et mes chevilles étaient anormalement gonflés.
09:09 Alors j'ai tout de suite pris rendez-vous chez mon médecin généraliste.
09:11 - Et qu'est-ce qu'il vous a dit ? - Alors il m'a
09:13 appris que ça pouvait être un signe d'insuffisance
09:15 cardiaque. Tout comme le fait de
09:17 ressentir une fatigue excessive, de prendre
09:19 du poids rapidement, ou d'avoir un essoufflement
09:21 inhabituel. Et en fait, après
09:23 un examen, on m'a diagnostiqué une insuffisance
09:25 cardiaque. - Si je comprends bien, il est donc important
09:27 de consulter dès que l'on constate l'un de ces
09:29 quatre signes. - Ah bah évidemment ! D'autant plus
09:31 que ces symptômes peuvent passer inaperçus.
09:33 Et puis, j'en avais aussi parlé
09:35 avec mon entourage. Et j'ai eu le bon réflexe
09:37 d'en parler à mon médecin. - Et aujourd'hui ? - Aujourd'hui,
09:39 je suis prise en charge et je vis mieux au quotidien.
09:41 - Merci Isabelle.
09:43 - On en parle. Pour en savoir plus
09:45 sur l'insuffisance cardiaque, rendez-vous
09:47 sur amelie.fr. - Dans toutes les
09:49 civilisations, depuis la préhistoire jusqu'à
09:51 notre époque, le cristal de roche
09:53 fascine. Au musée de Cluny à
09:55 Paris, l'exposition Voyage dans le
09:57 cristal explore toutes les facettes de
09:59 ce matériau mystérieux. Plus de
10:01 200 chefs-d'oeuvre nous parlent d'art, de
10:03 science et de spiritualité. Voyage
10:05 dans le cristal, au musée de Cluny,
10:07 musée national du Moyen-Âge, jusqu'au 14
10:09 janvier, avec Europe 1.
10:11 - C'est parti pour la mission Rénovation avec
10:13 Caseo. Passez un hiver au chaud et
10:15 faites des économies d'énergie en rénovant votre
10:17 habitation. Profitez jusqu'à -30%
10:19 sur votre projet avec Caseo, sur
10:21 vos fenêtres, volets, portes d'entrée et
10:23 cuisine. Caseo,
10:25 vos projets bien encadrés. - Du 18
10:27 au 30 septembre. Conditions et plus d'infos
10:29 sur caseo.fr. - Vous êtes bien
10:31 là à profiter du buffet, du petit déjeuner
10:33 de votre hôtel Kyriad. Et vous vous rappelez que
10:35 ce matin, c'est le fameux marché dont parlait Lisa
10:37 votre hôtelière Kyriad. Hmm...
10:39 Vous êtes vraiment bien là avec
10:41 toutes ces spécialités locales à goûter.
10:43 - Prenez le temps de tout découvrir. Dès
10:45 le matin à la nuit, profitez de -20%
10:47 sur votre séjour dans votre hôtel Kyriad.
10:49 Chacun de nos 250 hôtels Kyriad
10:51 est une découverte. Offre soumise à condition,
10:53 modalité et réservation sur kyriad.com.
10:55 - Enfin, des lunettes françaises plus accessibles.
10:57 Chez Écoute & Voir, avec jusqu'à 60 euros
10:59 offerts sur nos collections Origines France
11:01 garanties, la qualité française est à la portée
11:03 de tous. Et avec plus de 100 modèles
11:05 fabriqués dans le bassin du Jura, acheter ces lunettes
11:07 chez Écoute & Voir, c'est soutenir l'économie locale.
11:09 Rendez-vous en magasin ? Écoute & Voir.
11:11 Optique et auditions ? Mutualis !
11:13 Dispositif médical. Demandez conseil à votre
11:15 opticien. Point de vente soumis au code de la mutualité.
11:17 Valable jusqu'au 31 décembre 2023. Condition
11:19 sur Écoute & Voir.fr.
11:21 - Europain. - Pascal Praud et vous.
11:23 Pascal Praud est avec vous jusqu'à 13h
11:25 sur Europain. - Nous sommes
11:27 effectivement jusqu'à 13h ensemble.
11:29 Caroline, quel sera le...
11:31 Vous êtes toujours avec nous, Caroline ?
11:33 - Oui, oui, tout à fait. - Avec ses 4 enfants.
11:35 Caroline, on va vous souhaiter un bon
11:37 week-end. Qu'est-ce que vous faites avec vos enfants
11:39 ce week-end ? - Alors,
11:41 écoutez, demain, quelques conduites entre
11:43 les anniversaires, le sport, les amis,
11:45 voilà, et puis après, certainement
11:47 une petite soirée familiale, parce qu'on
11:49 essaye d'en profiter aussi un maximum
11:51 avec eux demain soir.
11:53 - Eh ben merci, merci beaucoup.
11:55 Et le week-end, il va nous intéresser
11:57 également avec Olivier Guinec.
11:59 - Ah, même pas pour les réseaux sociaux, là, on y va direct.
12:01 Ah si, les réseaux, allez, rapidement.
12:03 On a Anna qui nous écrit "Les enfants,
12:05 c'est la vie. Quand ils partent, ça fait parfois
12:07 un vide que l'on n'arrive plus à combler."
12:09 Eric nous dit "Moi, je suis parti
12:11 à 29 ans de chez ma mère, je n'arrivais
12:13 pas à couper le cordon." Et on finit
12:15 avec Louise, rien à voir, qui nous écrit
12:17 "Ma grand-mère adore Pascal
12:19 Pro, elle s'appelle Marie, est-ce qu'il peut
12:21 lui faire une dédicace à l'antenne ?"
12:23 Pascal ? - Eh bien sûr qu'on peut faire
12:25 une dédicace. - Une petite dédicace pour Marie,
12:27 qui nous écoute et qui nous adore. - Et allons-y,
12:29 faites-la, la dédicace.
12:31 - DJ le pauvre, rapide.
12:33 - Tout le mal
12:35 que l'on me fait
12:37 Oh Marie
12:39 si je pouvais
12:41 dans tes bras nus
12:43 me poser
12:45 - Pas mal, je me sens ému
12:47 par la musique.
12:49 - Marie, mon innocence
12:51 tu étais
12:53 pour moi ma dernière chance
12:55 peu à peu
12:57 tu disparais
12:59 - C'est entendu,
13:01 c'est pour Marie.
13:03 - Marie qui vous écoute, qui vous adore,
13:05 une petite dédicace.
13:07 - J'ai bien compris.
13:09 - Je me sens ému par la musique.
13:11 Je sais que vous vous resituez un petit peu.
13:13 - J'ai bien compris, votre programme
13:15 ce week-end. - Non mais ne m'en parlez pas.
13:17 Pascal, freinez-le,
13:19 DJ le pauvre, non ?
13:21 Pascal ? - Oui. - Alors mon week-end,
13:23 c'est ça ? Vous le voulez ? Eh bien écoutez,
13:25 ça ne va pas vous faire plaisir Pascal,
13:27 mais ma maman revient.
13:29 Pascal, elle va me coller encore tout le week-end
13:31 tel un chwingo.
13:33 Elle revient, Pascal, c'est son come-back.
13:35 Vous m'avez toujours conseillé de
13:37 m'écarter d'elle, mais c'est elle qui vient vers moi.
13:39 - Et donc qu'est-ce que vous allez faire ce week-end ? - Je vais surtout essayer
13:41 de la divertir. Elle a le cœur
13:43 brisé. - Pourquoi elle a le cœur brisé ?
13:45 - Elle a quitté mon beau-père.
13:47 - C'est elle qui l'a quitté ?
13:49 - Oui, c'est un petit peu les deux. C'est plutôt elle quand même.
13:51 - Bon, alors elle n'a pas à avoir le cœur brisé.
13:53 - Oui, mais ça va être normal.
13:55 - Oui, c'est vrai.
13:57 - Avec tous mes conseils les plus
13:59 avancés. - Donc ce week-end, il ne se passera rien.
14:01 - Bon, merci à vous.
14:03 - Merci,
14:05 chère Céline. - Amour, gloire et beauté.
14:07 On est dedans, c'est magnifique.
14:09 Il se passe plein de choses chez vous.
14:11 On va prolonger le débat sur les punaises de l'île, parce que ça fait beaucoup réagir.
14:13 Évidemment, les élèves
14:15 de second qui vont devoir faire un stage de
14:17 deux semaines au mois de juin. Vous l'avez vu, la reconquête
14:19 du mois de juin annoncée par Atal.
14:21 Est-ce que c'est une bonne idée ? Remobiliser,
14:23 impliquer nos gamins qui sont souvent
14:25 désœuvrés durant ce mois de juin et en seconde
14:27 désormais. La galère aussi pour trouver un stage.
14:29 Enfin, la vidéo surveillance,
14:31 la solution contre l'insécurité, c'est notre thématique
14:33 du vendredi sur Europe 1.
14:35 On sera avec un journaliste d'investigation
14:37 spécialiste et on
14:39 brossera après toutes les nouvelles technologies
14:41 qui sont en cours dans nos villes de France.
14:43 - Merci beaucoup. Il est
14:45 12h56.
14:47 On va vous retrouver.
14:49 Évidemment, Céline, merci. - Bon week-end, Pascal.
14:51 - À lundi. - Et rendez-vous
14:53 lundi. - Et oui, c'était Pascal Praud
14:55 que vous pouvez retrouver aussi sur Europe 1.fr.
14:57 - Pascal Praud et vous,
14:59 en direct. - Du lundi au vendredi,
15:01 de 11h à 13h.
15:03 - Sur Europe 1.