• l’année dernière
Élisabeth Borne a dénoncé "une union sacrée" entre la NUPES et l'extrême droite, au lendemain du rejet du projet de loi sur l'immigration à l'Assemblée nationale. En Conseil des ministres, Emmanuel Macron a aussi critiqué "le jeu du pire" des oppositions qui voudraient "bloquer le pays".

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Transcription
00:00 Le climat, c'est effectivement, il y a eu cette surprise, ou en tout cas ce coup sur la tête de voir que nous n'allions pas débattre alors que nous étions pour la plupart prêts à pouvoir le faire pendant une quinzaine de jours.
00:10 Donc en fait, on change les plans bien sûr, mais par contre on est vraiment résolus à pouvoir faire que cette CMP soit conclusive et qu'on puisse...
00:19 Mais est-ce qu'il y a quoi ? Donc il y a beaucoup de déception parmi vos collègues ? Il y a de l'inquiétude ?
00:25 Il y a forcément de la déception de ne pas pouvoir vraiment avoir ce débat, ça c'est le premier motif de déception.
00:32 Il y a surtout une attention à ce qu'on puisse bien préparer la CMP. La CMP, on aura sept sénateurs, sept députés.
00:39 Pour la majorité, on aura cinq représentants et l'idée est de pouvoir voir quelles sont nos lignes rouges, quels sont ce que l'on veut voir garder dans ce texte
00:48 ou ce que l'on veut voir enlever de ce texte parce qu'on le rappelle et c'est très important de le souligner, c'est que le texte de départ de la CMP,
00:55 contrairement aux autres CMP où on a en général deux textes qu'on doit comparer, là on n'en aura qu'un, c'est celui du Sénat.
01:01 Et le Sénat s'est éloigné de l'idée première du projet de loi qui était présentée et donc il va falloir qu'on puisse aussi donner des marqueurs
01:11 pour que nous puissions faire que cette CMP soit conclusive et votable.

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