• il y a 10 mois

Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui il revient sur le classement des personnalités préférées dans le JDD.

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Transcription
00:00 11h-13h, Pascal Praud sur Europe 1.
00:04 Je marche seul, dans les rues qui se dorment, et la nuit me passe dans le temps.
00:13 Dans ce classement des personnalités préférées des Français,
00:16 Jean-Jacques Goldman est toujours à la première place pour la 7ème année consécutive,
00:19 alors qu'on ne l'entend jamais, on ne le voit jamais, il ne chante jamais.
00:22 On entend ses chansons, mais lui il ne chante plus.
00:24 Florian, Florent Pagny et l'astronaute Thomas Pesquet complètent le podium.
00:29 L'acteur Omar Sy arrive à la 4ème place, suivi par le chanteur Vianney.
00:33 Kylian Mbappé connaît une sacrée chute, il passe de la 4ème à la 22ème place.
00:37 Comment l'expliquer ? Peut-être ses prises de position, notamment au moment de l'affaire Nahel,
00:41 qui ont divisé, forcément.
00:43 Et puis, première personnalité politique, c'est le président du Rassemblement National,
00:47 Jordan Bardella, il est à la 30ème place du classement,
00:50 et je crois que c'est la seule personnalité politique de ce classement,
00:55 c'est ce qui faisait effectivement sens.
00:58 - Nous sommes avec qui ? - Alexandre.
01:00 - Alexandre le Grand. Bonjour Alexandre.
01:04 - Bonjour monsieur Pro et Meilleur Vœu.
01:06 - Ah c'est gentil. Qu'est-ce qu'on peut vous souhaiter à vous, Alexandre, pour la nouvelle année ?
01:11 - Bah écoutez, moi je suis en Belgique,
01:13 et si je pouvais être candidat aux élections locales dans ma commune, j'en serais heureux.
01:17 Donc on verra bien.
01:18 - Bon, vous avez quel âge, Alexandre ?
01:20 - 30 ans.
01:21 - Bon, et qu'est-ce que vous faites dans la vie ?
01:23 - Je suis enseignant.
01:25 - Ah, ça c'est un beau métier. Vous enseignez quoi ?
01:28 - J'enseigne le français justement, puisque je suis belge francophone,
01:32 donc forcément le français.
01:34 - Mais quand vous dites "on enseigne le français", les Belges parlent français,
01:38 vous enseignez la culture française, l'histoire française ?
01:41 - Bah nous c'est plutôt au niveau de la langue,
01:44 parce que moi j'ai 12-15 ans, et c'est vrai qu'à partir de l'âge de 15 ans jusqu'à 18 ans,
01:47 ils ciblent plutôt la littérature dans les programmes,
01:50 mais tous les Belges ne parlent pas français.
01:52 Si vous êtes en Chambre, on parle néerlandais.
01:54 - Non, on parle français, parce que je travaille côté francophone,
01:56 et je suis francophone.
01:58 La spécificité de la Belgique, c'est compliqué.
02:01 - Bon, vous êtes où exactement, en Belgique ?
02:05 - La région de Liège.
02:07 - Ah, Liège.
02:09 Où Simonon est né.
02:11 - Voilà, une ville très francophile, d'ailleurs.
02:13 - Georges Simonon, que Olivier Guenec connaît bien.
02:17 - Olivier Boubouc, nous n'en avions pas l'occasion.
02:20 - Simonon, c'est sans doute un des écrivains les plus prolifiques de la langue française.
02:25 - Maintenant je le connais, voilà.
02:27 - Ah, vous ne connaissiez pas Simonon avant, quand on en parle à l'instant ?
02:30 - Non, désolé.
02:32 - Il a juste écrit notamment "Tous les maigrés".
02:35 - Ah, ça je ne savais pas.
02:37 - Le commissaire Maigret.
02:39 - Très bien, je remets.
02:41 - Et puis, ce qu'on appelait des romans durs, parfois.
02:44 - Des romans durs ?
02:46 - Oui, c'était des romans, "Les anneaux de Bicêtre",
02:48 des romans comme ça, qui sont des romans magnifiques.
02:51 Simonon, c'était à l'époque, tout le monde le prenait pour un écrivain de seconde zone,
02:55 ou un écrivain populaire, et puis à l'arrivée, aujourd'hui, on parle de Simonon comme un génie.
02:59 - Faites un peu les tests du côté de Géraldine aussi, vous verrez.
03:02 - Bon, mais non, mais bon, il nous parlait de Liège.
03:05 Bon, alors...
03:07 - Liège est une ville très francophile, M. Pro, on célèbre le 14 juillet à Liège,
03:11 donc il faut le savoir ça.
03:13 Si jamais un jour vous êtes de passage, il faut venir, le 14 juillet à Liège.
03:15 - Vous connaissez le maigret de Canard.
03:17 - Oui, c'est ça que vous avez reçu, par SMS.
03:21 - C'est celui que vous préférez.
03:23 - Qui vous a envoyé ça.
03:25 - Le célèbre maigret de Canard, le bienvenu, évidemment.
03:28 Bon, Jordan Bardella, qu'est-ce que ça vous inspire, Alexandre ?
03:32 - Eh bien, écoutez, moi, ça ne m'étonne pas du tout, en fait, parce qu'il est jeune,
03:36 d'ailleurs plus jeune que moi, puisqu'il est né en 97.
03:39 Il est très populaire, puisqu'il a ce don d'être très compétent dans son domaine,
03:45 qui est la politique, mais d'être proche du citoyen,
03:49 de pouvoir adapter au langage et de parler au citoyen.
03:52 Et je pense que c'est ça qui, pour moi, fait qu'il est bien classé,
03:55 puisqu'il parle aux gens.
03:57 Aujourd'hui, le monde politique a un décalage,
03:59 que ce soit chez vous en France ou chez nous en Belgique.
04:02 On a une vision un peu, voilà, des institutions,
04:05 et on a l'impression qu'elles sont à côté de la plaque.
04:07 Or, M. Bardella, de par sa politique des derniers mois, des dernières semaines,
04:12 démontre aux Français qu'il est capable, pour moi, je vous le dis, vu de Belgique,
04:16 de peut-être un jour gérer la maison franche, d'une manière ou d'une autre,
04:21 mais tout en s'adaptant aux réalités des citoyens.
04:24 Et ça, je pense que ça manque un peu.
04:26 Vous avez parlé un peu de M. Macron précédemment,
04:28 qui est également très intelligent,
04:30 mais qui est parfois énormément en décalage avec les réalités des citoyens français.
04:36 Et on le voit, la popularité d'un homme politique,
04:38 aujourd'hui, sans pour autant rentrer dans la pipolisation de la politique,
04:42 il est quand même important de montrer qu'on est, voilà,
04:46 en corrélation avec les réalités des citoyens,
04:48 et pas dans des grandes théories qui ne parlent pas aux citoyens.
04:51 Donc je pense que c'est en partie pour ça qu'il est bien classé.
04:54 - Est-ce que vous êtes sensible également à la forme ?
04:56 Parce que c'est vrai que c'est quelqu'un qui jouit d'un physique assez agréable, M. Bardella.
05:02 Il est grand, il est beau garçon, il a du charme, disons-le.
05:07 Et puis il paraît assez...
05:10 Il ne paraît pas animé, ni de colère, ni de passion triste,
05:14 ni de morgue, ni d'ironie.
05:17 Alors, je ne parle pas du tout sur le fond, là.
05:19 Je parle uniquement sur la forme.
05:20 Est-ce que vous pensez que ces qualités-là,
05:23 qui sont des qualités tout simplement de personnalité,
05:25 qualités humaines, est-ce qu'elles jouent dans votre choix ?
05:28 - Je pense que ça peut jouer aussi.
05:31 On le voit en politique, même en Belgique.
05:34 On a un classement chez nous aussi qui est fait par un journal belge.
05:38 On voit que les personnalités politiques, côté belge notamment,
05:41 c'est souvent l'argument des gens, c'est de dire...
05:44 Il y a des gens qui raisonnent en disant que c'est quelqu'un de sympathique, etc.
05:48 Moi, je pense que ça joue aussi, oui.
05:50 Sa personnalité joue aussi, en effet.
05:52 Pas forcément uniquement au niveau du programme politique.
05:54 Je suis d'accord avec vous sur ce point-là.
05:56 - Et vous-même, vous êtes plutôt enclin...
05:59 Vous votez en Belgique, forcément ?
06:02 - Nous, en Belgique, c'est un grand scrutin, ici.
06:04 Parce que nous, en Belgique, on fait tout d'un coup.
06:06 Donc on vote... On va tout renouveler ici au mois de juin.
06:09 Régional, national, européenne.
06:12 Et deuxième ronde en octobre pour les élections locales et provinciales.
06:15 Donc c'est l'équivalent des départements.
06:17 Donc pour nous, en Belgique, c'est une année...
06:19 Un scrutin électoral, cette année.
06:21 Donc voilà. Moi, je me positionne plutôt à droite.
06:24 Mais je trouve regrettable qu'en Belgique...
06:26 En tout cas, côté francophone,
06:28 puisqu'en Belgique, c'est assez régionalisé et communautarisé, la politique.
06:32 Regrettable qu'on n'ait pas un parti politique comparable à celui de M. Bardella.
06:36 Nous, côté belge-francophone. C'est plus en flanc.
06:38 - Bon, Alexandre, vous êtes en vacances en ce moment ?
06:41 - Exactement. Je recommence lundi.
06:43 Toujours en congé scolaire.
06:44 - Les vacances scolaires en Belgique sont les mêmes qu'en France ?
06:47 - Parfois, oui.
06:49 Ici, pour le congé de Noël, oui.
06:51 Mais pas toujours.
06:52 - L'été, il y a autant de vacances ou il y en a un peu moins en Belgique ?
06:56 - Alors, bienvenue en Belgique, M. Prot.
06:58 Ce n'est pas la même chose côté francophone que néerlandophone.
07:02 Donc moi, côté francophone, les vacances, c'est aux alentours du 7 juillet.
07:06 Et on recommence aux alentours du 25 août.
07:09 Alors que côté flamand, ils n'ont pas encore réformé.
07:11 C'est du 1er juillet au 31 août chez eux, les vacances d'été.
07:14 - J'ai tenu les vacances du 15 juin au 15 septembre.
07:22 - Oui, oui.
07:23 - Dans le temps, on rentrait le 15 septembre dans les années 70.
07:25 On rentrait le 1er octobre.
07:26 Vous savez pourquoi on rentrait le 1er octobre ?
07:28 - Non.
07:29 - Parce qu'on faisait les foins.
07:30 Les enfants faisaient les foins.
07:32 - Ah oui, non, ce n'est pas une vanne.
07:33 - Non, non.
07:34 - Parce que souvent avec vous, j'ai peur maintenant.
07:36 - Mais le monde était rural.
07:38 Jusque dans les années 50-60, le monde était rural.
07:41 Donc les enfants, effectivement, aidaient les parents à la ferme ou à la campagne.
07:46 Et tant que les foins n'étaient pas rentrés, l'école commençait.
07:50 Alors, il faudrait vérifier le calendrier.
07:52 Dans les années 30-40, peut-être encore 50, on rentrait le 1er octobre.
07:56 - C'est ça.
07:57 - Évidemment.
07:58 - Ma grand-mère se levait très tôt pour traire les vaches, elle me racontait, avant d'aller à l'école.
08:02 - Ce qui n'a pas de rapport avec Spourdula.
08:04 - Ah bon ?
08:05 - Mais, mais, mais...
08:06 - C'est pas lié aux vacances ?
08:08 - J'essaie de dire un truc intelligent.
08:09 - Non, non, mais, ah oui, votre grand-mère, très...
08:11 Ah oui, non, mais c'est parce qu'elle était...
08:13 D'abord parce qu'elle avait des vaches.
08:14 - Oui, bah forcément pour les traire.
08:16 - Et parce qu'elle était en Savoie, mais bien sûr, la France.
08:19 On était, on est tous des enfants de...
08:22 À une, bah allez, à trois générations, je dirais à trois générations,
08:28 trois, quatre générations,
08:30 nous avons des grands-parents qui étaient des ruraux.
08:34 - La France était à 90% rurale.
08:36 En 1910, la France est 90% rurale, il n'y a que des paysans en France.
08:41 Vérifiez.
08:43 Bon Géraldine, merci Alexandre, bonne année.
08:45 Qu'est-ce qu'on vous souhaite Alexandre ?
08:47 Une vache ?
08:48 - Bah, l'eau.
08:49 - Non, je ne sais pas, c'est dupe.
08:51 - J'habite à la campagne, moi, donc pourquoi pas une vache ?
08:53 - Ça serait bien, qu'est-ce que t'as eu comme cadeau de Noël ?
08:55 - Oh, c'est un bruit qui m'est familier, moi j'habite en zone rurale,
08:59 donc c'est gentil quand même.
09:01 - Bon, allez.
09:02 - Ce qui paraît d'avoir une vache, c'est bon pour le moral, j'ai vu un reportage dessus.
09:06 - Oui, puis c'est pratique pour la faire monter dans l'ascenseur quand t'habites à Paris, c'est bien.
09:09 - Mais c'est vrai, j'ai vu un reportage, il y a deux jours sur...
09:12 - J'ai vu ce que c'était, donc une vache...
09:14 - Vous saviez. On a fait l'âne, maintenant on va faire la vache.
09:17 - Ah oui ? Pour le salon de l'agriculture, vous êtes capable de faire entrer une vache ici ?
09:21 - Ici ?
09:22 - Je sais pas, on va pas au salon de l'agriculture à Europe.
09:24 - Alors est-ce qu'on y va, est-ce qu'on y va pas ? On regarde ?
09:26 - Ça dépend des années, on a parfois un stand sur place.
09:28 - Bref, j'aimais bien aller au salon de l'agriculture, ça ça serait pas mal, je sais pas.
09:31 - Je peux lancer l'appel.
09:32 - Laissez-moi y aller au salon.
09:33 - Ah ouais ?
09:34 - J'aimerais bien.
09:35 - Carrément, on le prend en studio et on amène au salon.
09:37 - Il est 12h43, on marque une pause et j'avais une idée de chanson mais je l'ai oubliée.
09:43 - Ah, ben on va reprendre la pause.
09:45 - Ça va vous ?
09:47 - C'est la reprise, amis.
09:49 - J'en avais une à vous proposer.
09:51 - Ah oui, dis.
09:52 - J'en avais une à proposer.
09:53 - Ah non, c'était la bananée que je voulais réentendre.
09:55 - Parce qu'aujourd'hui, Vivien Savage, peut-être c'est 69 ans.
09:59 - Alors ça, je peux vous dire que...
10:01 - Vous savez, une chanson, c'est ça le problème d'une chanson.
10:08 Ça te rappelle toujours une époque.
10:11 - Un momenté.
10:12 - Et ça, c'est 84 ?
10:14 - 84, oui.
10:15 - Bon, vous voyez, donc il y a 40 ans.
10:17 En plus, les années en quatre, pour moi, elles sont importantes.
10:20 - Alors qu'est-ce que ça vous évoque ?
10:22 - Ça m'évoque les soirées de liberté, ça évoque...
10:27 T'es en boîte de nuit, parce qu'il y avait des boîtes à cette époque-là.
10:30 - Il y en a toujours, quelques-unes.
10:32 - Oui, on a 10 fois moins, mais tout le monde allait en boîte.
10:34 C'est le top 50, qui était Europe.
10:38 Voilà ce que ça m'évoque.
10:39 Ça m'évoque des jeunes années, les étudiants, parfois les étudiantes.
10:42 Ça m'étonne.
10:43 Bonjour mademoiselle, au revoir madame.
10:45 Voilà, c'est ça que ça m'évoque.
10:47 - Vous l'écoutiez dans votre camionnette ?
10:49 - "Allez, on y passe, sauvage !"
10:51 C'est ma petite camionnette, la fameuse camionnette Spinaz.
10:54 - Ça a résonné dans le jambon, comme ça.
10:56 - Mais les gens vont pas comprendre.
10:58 À chaque fois, vous m'obligez à reprendre ça.
11:00 - Elle va la raconter, Antoine.
11:01 - Quand j'étais étudiant, je le dis pour ceux qui ne s'écoutent pas tous les jours,
11:04 j'avais une quatre-aile fourgonnette.
11:07 Mais je l'avais achetée à un boucher.
11:09 Parce qu'on mettait les plans chavoyards dans les quatre-ailes fourgonnettes.
11:13 C'était pratique.
11:14 Bon, simplement, ça sentait un peu la viande.
11:17 Et ça sentait longtemps la viande dans cette quatre-aile fourgonnette.
11:21 Et comme c'était cher de la repeindre,
11:23 je me suis baladé à la fac pendant des mois avec boucherie Spinaz.
11:26 - Mais impossible de draguer quand c'est comme ça !
11:28 - Bah non.
11:29 Il fallait avoir effectivement d'autres qualités.
11:31 Non, Viviane, ça va, je sais bien, on écoute.
11:35 - C'est votre jeunesse, Abile !
11:52 Vous connaissiez ces gens-là ?
11:55 - Malheureusement non.
11:56 - Mais c'était son seul succès !
11:58 - Ces gens-là n'ont écrit qu'un tube, parfois.
12:13 - Vous savez ce que j'écoute le matin à cause de vous ?
12:15 - Non.
12:16 - "Star de la pub".
12:17 - Mais je l'écoute, mais au premier degré !
12:19 - On va le remettre.
12:20 - En non-europe.
12:21 - Non mais vous pourriez écouter Palestrina, également, la messe du pape Marcel.
12:25 - Ça motive, ça, le matin !
12:43 - Mais ça, c'est merveilleux.
12:46 Vous savez, les chansons, c'est une époque...
12:48 Évidemment que c'est une époque légère, pour vous dire autre chose, et ça se voit dans la variété.
12:53 Quand tu écoutes ces Jérômes, ces gens-là, effectivement, c'est de la variété légère, bien sûr.
12:57 Mais ça traduit une époque, et qu'aujourd'hui elle est un peu plus morose, l'époque, suivez mon regard.
13:03 - Et puisque nous parlions d'anniversaire de Viviane Savas, 69 ans aujourd'hui,
13:07 Basile Boli fête ses 57 ans, c'est l'occasion de le saluer, aujourd'hui.
13:10 - On devrait faire une émission 100% anniversaire, on souhaiterait que des anniversaires aux gens.
13:14 On est 5 concepts, on est 5 concepts !
13:16 - On pourrait faire le saint du jour, peut-être ?
13:18 - Comment ?
13:19 - On pourrait faire aussi le saint du jour, enfin voilà, on fait un concept.
13:21 - Le saint du jour...
13:22 - Eh ben, c'est-à-dire la bonne fête, oh !
13:24 - Ah, la bonne fête, oui, la bonne fête.
13:26 On n'a pas fait le marronnier, est-ce que vous préférez la galette ou le frangipane ?
13:30 - Ah ben, la frangipane, forcément !
13:32 - Donc ça, là, on a pris déjà 3 kilos pendant les fêtes, et on va se taper la frangipane.
13:37 Bon, il est 12h47...
13:39 - "La galette, savez-vous comment...
13:41 - Ça c'est René Latour, non ?
13:42 - Non, mais ça doit être un copain...
13:44 - Non, c'est bien.
13:46 - Alors, ce n'est plus qu'une émission musicale, il n'y a plus du tout d'actu dans cette émission.
13:49 Donc, je le dis pour les auditeurs, n'attendez plus aucune information.
13:54 - On peut rajouter que c'est la Saint-Basile aujourd'hui, et Grégoire, voilà, on leur souhaite une bonne fête.
13:57 - Non mais c'est la Saint-Basile, et c'est l'anniversaire de Boli ?
14:00 - Oui, mais c'est l'anniversaire, oui, effectivement.
14:02 - Bah, il s'appelle Basile, alors il fête sa fête et son anniversaire, c'est pas le faux.
14:06 - Absolument, c'est 2 janvier.
14:07 - Mais vous êtes sûr que ce n'est pas la Saint-Basile et qu'il est né vraiment un 2 janvier ?
14:11 - Non, non, il est né un 2 janvier, il fête ses 57 ans aujourd'hui.
14:13 - Donc, quand ils ont vu le calendrier, ils ont vu Basile ?
14:15 - Ils ont pas rendu dire "Tiens, Saint-Basile !"
14:17 - C'est ça.
14:18 - Non, mais c'est pratique.
14:19 - Il faut mettre la Saint-Casimir, ça aurait été mieux.
14:20 - Quoi ?
14:21 - Non, c'est pratique.
14:22 - Bah, c'est pratique, oui, quand t'as pas l'idée, tu regardes dans le calendrier.
14:25 - Oui, quand t'as des problèmes de mémoire, vous regroupez tous le même jour.
14:29 Ma fête, c'est quel jour ? Mon anniversaire, c'est quel jour ? Bah, c'est le même.
14:35 - Bon, allez.
14:36 - C'est pratique.
14:37 - La pause.
14:38 - Oui, la pause.
14:39 - 12h48, parce que, alors, on avait l'instant, on avait l'instant, on l'aura pu, on l'aura pu.
14:47 - Moi, ça me fait pleurer.
14:48 - Oui, ça me fait pleurer.
14:49 - Ça me remet pas.
14:50 - Et Céline, on va avoir Céline Giraud, là, qui va revenir.
14:52 - Oui, oui, non mais c'est bien.
14:53 - Elle est toujours là, Céline.
14:54 - Ah oui, elle est là.
14:55 - Bien sûr.
14:56 - Elle revient.
14:57 - Elle nous a bien écoutés.
14:58 - Je me demande ce qu'on va retrouver dans son journal, puisque, généralement, elle
15:01 nous écoutait un petit peu pour être influencée, forcément, pour avoir une suite.
15:06 - Non, moi, je blaguerai pas là-dessus.
15:08 Non, non, je suis pas puissant, moi.
15:10 - Pour avoir une suite.
15:12 Mais non, mais vous comprenez pas.
15:14 Bon, 12h48, du coup, on l'entend plus bien, Florian Carasou-Mayer est complètement déprimé.
15:20 - Il est plus concentré, vous voyez, Astercy.
15:21 - Il travaille, il travaille.
15:22 - Il travaille, enfin.
15:23 - Comment ça s'appelle ? Citrate de Boldine, je sais pas quoi.
15:25 - Citrate de Bétaine.
15:26 - Oui, bah, ça, il faut en prendre.
15:27 - Pas mal, hein ?
15:28 - Citrate de Bétaine.
15:29 - On en est pris trois pendant les vacances.
15:30 - Oui, bah, écoutez, vous devriez en prendre encore quelques-uns.
15:32 - Ça y est, c'est une émission d'info, là.
15:33 - Allez, à tout de suite.
15:34 - Avant la pause, je vous rappelle que tout à l'heure, entre 15h et 16h, vous retrouvez
15:37 Stéphane Bern avec "Historiquement Votre", "Historiquement Votre", Stéphane vient vous
15:41 faire le récit d'événements, de lieux, de personnages qui ont façonné l'histoire
15:44 et émission spéciale pré-Historiquement Votre, aujourd'hui, puisque Stéphane Bern
15:48 vous raconte l'histoire de l'homme de Néandertal.
15:51 C'est tout à l'heure, entre 15h et 16h, sur Europe 1, bien évidemment.
15:55 - Europe 1 vous souhaite une bonne année.

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