• il y a 5 mois
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##LES_PERLES_DU_JOUR-2024-05-06##

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News
Transcription
00:00 *Musique*
00:14 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
00:17 *Musique*
00:18 Eh bien moi j'aime les perles, surtout quand elles sont prononcées de manière sincère,
00:23 brutes de décoffrage et tellement révélatrices de tout.
00:28 *Musique*
00:30 Sud Radio Bercov dans tous ses états, les perles du...
00:34 Eh oui Alain Barrière, je suis sûr que si vous aviez entendu avant-hier Valérie Hayer,
00:39 vous seriez tombé amoureux d'elle.
00:42 C'est évident, moi quand j'ai écouté ça j'ai dit "mais voilà, c'est tellement ça,
00:47 elle a tout compris, elle nous dévoile le réel".
00:50 Et c'est pour ça que c'est très important les gens qui dévoilent le réel.
00:54 J'ai écouté, elle était face à Jordan Bardella je crois, et voici ce qu'elle disait.
01:01 "Les punaisses de Lille même, ça peut prêter à sourire, mais c'est aussi l'ingérence du Kremlin".
01:07 Alors ça, ça c'est vrai.
01:09 On avait discuté de ça, mais on n'avait pas la sûreté,
01:15 on n'était pas sûr que les punaisses de Lille étaient l'ingérence du Kremlin.
01:19 Mais voilà, Valérie Hayer, je rappelle tête de liste,
01:22 Renaissance aux élections européennes, nous l'affirme.
01:25 Et comment douter de la parole de Valérie Hayer ? Bien sûr !
01:27 D'ailleurs, Valérie Hayer, pourquoi vous ?
01:30 Les rats, c'est l'ingérence du Kremlin, bien sûr.
01:33 Les barrages dans Paris, c'est l'ingérence du Kremlin, bien sûr.
01:38 Le prochain virus, d'ailleurs dans "Virus", il y a "Russe", nous ne l'oublions pas.
01:44 Donc là aussi, là aussi, là aussi, c'est l'ingérence du Kremlin.
01:48 C'est sûr, mais c'est très important de dire les choses,
01:52 de dire les choses surtout quand on sait, quand on a la preuve
01:55 que ces choses-là sont effectivement causées par tel ou tel ennemi
02:00 de l'intérieur ou de l'extérieur, voilà.
02:02 Donc aujourd'hui, les punaisses de Lille sont envoyées par le KGB.
02:07 D'ailleurs, elles portent un signe.
02:09 Moi j'ai vu ça il y a cinq ans, les punaisses de Lille, il y a cinq ans,
02:14 oui c'était avant l'invasion effectivement de l'Ukraine,
02:16 mais j'ai vu qu'elles portaient un signe.
02:18 Et maintenant, galas, à Valérie, je sais que ce signe est poutinien.
02:24 - Moi je voudrais vous dire merci. Merci pour ce que vous faites,
02:26 merci pour visibiliser comme ça les combats que vous menez,
02:30 merci de percuter aussi une société qui est très hétéronormée,
02:38 très calibrée sur des réflexes et sur des impensées.
02:44 Et vraiment, le travail que vous faites, toutes les dragues,
02:48 tout ce travail-là, c'est un travail de transformation de la société en profondeur.
02:53 Et merci pour ça, parce que vous êtes un signe de libération, d'émancipation,
02:58 et je suis sûre que vous êtes un modèle pour bien des gens et des jeunes.
03:01 Et vraiment, aux homophobes, aux LGBTQIA+phobes,
03:06 vraiment, passez votre chemin.
03:07 - Je veux juste vous voir la pareille.
03:09 Merci beaucoup, je suis ultra honoré d'être sur ce plateau avec vous,
03:11 que vous soyez sur le plateau, Sandrine Rousseau, c'est un propre honneur.
03:15 - Là, c'est Sandrine Rousseau, ce n'est plus Valérie Ayer,
03:18 c'est Sandrine Rousseau qui remercie effectivement la personne,
03:23 la drag queen qui va porter la flamme olympique bientôt à Paris.
03:28 Et voilà, elle les remercie, et c'est bien, encore une fois, là aussi,
03:31 le réel, encore, comment elle les remercie ?
03:33 C'est-à-dire que vous vous rappelez, c'était Aragon chanté par Jean Ferrat,
03:37 qui disait "La femme est l'avenir de l'homme".
03:39 Non, non, non, Jean Ferrat, c'est fini ça,
03:41 ça c'est vieux, c'est démodé, c'est ringard, on sait.
03:44 Non, non, non, c'est la drag qui est l'avenir de l'homme,
03:47 c'est la trans qui est l'avenir de mort,
03:50 ou le trans qui est l'avenir de l'homme,
03:52 ou d'ailleurs de la femme, donc c'est fini.
03:53 Les hommes et les femmes, il faut bien comprendre, c'est terminé.
03:56 Aujourd'hui, c'est terminé, c'est le mélange des genres.
04:00 Et c'est ça qui est beau, et qui nous la proclame,
04:02 et c'est magnifique parce qu'elle remercie Sandrine Rousseau,
04:05 elle le dit, elle le dit, voyez, vous busculez la société,
04:08 vous nous annoncez l'avenir, vous nous annoncez l'avenir,
04:11 et c'est bien, plus de papa, plus de maman, plus de tout cela,
04:14 plus de ces espèces de biologie qui nous encombrent,
04:17 qui ne sert à rien, vivre, rappelez-vous,
04:20 Sandrine Rousseau nous avait dit,
04:21 "Demain, demain, ce sera les hommes déconstruits,
04:24 je vis avec un homme déconstruit, j'en suis très heureuse".
04:27 Eh oui, mais n'arrêtons pas à la déconstruction,
04:30 allons à la démolition, voilà.
04:33 Sandrine Rousseau, il y a deux siècles,
04:36 et plus de deux siècles, Jean-Jacques Rousseau
04:38 écrivait de l'éducation, eh bien Sandrine Rousseau,
04:41 qui peut être une lointaine, lointaine, arrière, arrière, arrière,
04:46 petite fille, écrit quoi ?
04:48 La démolition, la transformation.
04:51 Eh oui, c'est ça qui est beau.
04:54 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
04:57 Les Restos du Coeur, hein ?
04:59 Les Restos du Coeur, oui, on parle de cela juste
05:03 parce qu'il y avait une réunion, il fallait une prise de parole,
05:07 au... du Rassemblement National,
05:11 et il y avait une dame, une femme, qui s'appelle Colombe,
05:15 et qui a répondu aux questions du journaliste Paul Laruturu,
05:18 de TF1, qui l'interrogeait à l'entrée du meeting de Jordan Bardella,
05:24 c'était à Perpignan, hein ?
05:26 Et voici, alors il l'interrogeait, et voici ce qu'a dit Colombe.
05:30 - Qu'est-ce que vous faites là aujourd'hui, madame ?
05:32 - Eh bien, écoutez, je viens écouter quelqu'un qui a ses convictions,
05:37 et je vais essayer de trouver les miennes,
05:39 et ça fait des années que je la suis,
05:43 et je trouve que c'est une dame qui a une grande prestance et qui est compative.
05:47 - Vous voulez enlever vos lunettes ? - Oui.
05:49 - Ah oui, non, vous pleurez ? - Oui.
05:51 - Qu'est-ce qui vous fait pleurer ? - Qu'est-ce qui me fait pleurer ?
05:53 Parce qu'on est arrivé dans un monde de fous,
05:55 et il faut absolument qu'on trouve des solutions.
05:58 Parce que, regardez, moi je suis un RSA,
06:02 et on a du mal à vivre.
06:05 On a du mal à vivre, on ne peut pas payer les factures,
06:07 on a les huissiers, on a les menaces de tout,
06:09 et donc aujourd'hui, c'est vrai qu'il y a quelqu'un qui ressort sur ce système de dire
06:15 "Allez, suivez-moi et on va combattre".
06:17 Ici, on a quand même un taux énorme du RN,
06:21 et on est tous en colère, on a tous du mal.
06:24 Il n'y a pas de travail, il n'y a pas d'usine,
06:26 il y a des combats à mener, que ce soit pour la santé ou que ce soit pour le travail.
06:31 Je suis conseillère en insertion professionnelle,
06:34 et au jour d'aujourd'hui, je ne trouve pas de travail,
06:36 mais je suis bénévole au Resto du Coeur et j'aide les gens de la rue.
06:39 Voilà, un résumé, un miroir d'une certaine France.
06:44 Il est là.
06:45 Pas une question au-delà du RN, etc. Pourquoi elle est là ?
06:48 Attendez, elle est bénévole au Resto du Coeur,
06:52 elle vit du RSA, elle en peut plus, comme des millions de Français
06:56 qui sont dans ce cas. En tout cas, ils sont très très très nombreux.
07:00 Et qu'est-ce qui s'est passé ?
07:02 Eh bien, il paraît, on a essayé de les avoir, mais on ne les a pas eus,
07:04 les directions du Resto du Coeur,
07:06 elle a été écartée du Resto du Coeur, alors que RSA,
07:09 elle est bénévole pour distribuer de l'alimentaire par les Restos du Coeur.
07:14 On ne va pas faire parler Coluche,
07:15 mais on se demande ce que dirait Coluche aujourd'hui,
07:18 quand il voit ça.
07:19 Colombe au RSA, Colombe qui n'a plus de quoi vivre, ou presque,
07:23 et qui pleure parce qu'il ne trouve plus rien.
07:26 C'est normal, ça ? C'est normal ?
07:27 Non, ce n'est pas normal.
07:29 Ce n'est pas normal, c'est un cri, c'est plus qu'un cri, ça.
07:32 C'est un cri qui devrait interpeller tout le monde,
07:35 à gauche, à droite, en haut et en bas.
07:38 Et arrêter cet enseignement du mépris,
07:41 sous les bons sentiments du politiquement correct,
07:45 de l'éthiquement correct.
07:46 Et occupez-vous de Colombe, au lieu de vous occuper
07:49 de choses dont vous n'avez que faire,
07:52 et sur lesquelles vous n'avez aucune prise.
07:56 Sud Radio Bercov, dans tous ses états, midi 14h.
07:59 André Bercov.
08:00 Avec Aper, la marque de vêtements qui respecte votre identité,
08:04 en vente exclusive sur aper-mod.com.
08:08 Ici Sud Radio.
08:12 Les Français parlent au français.
08:16 Les carottes sont cuites.
08:19 Les carottes sont cuites.
08:21 Sud Radio Bercov, dans tous ses états.
08:25 Et je crois que nous avons, Luciane, nous avons une auditrice
08:28 à propos des Restos du Coeur et de Colombe.
08:30 Oui, une auditrice qui a voulu réagir et qui a appelé le 0 826 300 300
08:34 et on accueille Clara de Paris.
08:36 Bonjour Clara.
08:37 Oui, bonjour Clara.
08:38 Bonjour André, merci pour votre émission.
08:41 C'est un souffle de liberté, merci beaucoup.
08:43 Donc je voulais juste vous dire à propos des Restos du Coeur,
08:47 je ne sais pas si vous savez qu'ils ont refusé l'aide aux soignants suspendus.
08:51 Ils ont, à l'époque où ils ne pouvaient plus travailler,
08:54 les soignants qui avaient refusé la vaccination obligatoire,
08:56 ou plutôt les injections obligatoires,
08:59 ils ont été contactés par l'association Blouse Blanche.
09:01 Sonia, la responsable, la directrice, les a contactés.
09:05 Ils ont refusé l'aide aux soignants suspendus
09:08 qui n'avaient plus, certains n'avaient même pas le droit au RSA.
09:11 Tout à fait.
09:12 Les Restos du Coeur ont refusé, ça vous sera confirmé par Sonia Blouse Blanche,
09:16 l'association Blouse Blanche.
09:18 Oui, c'est bien de le rappeler, c'est bien de le rappeler ça, Clara.
09:21 Vous avez tout à fait raison.
09:22 Oui, bien sûr que je le rappelle, parce que ça ne m'étonne pas.
09:25 C'est devenu, je ne sais pas ce que c'est devenu cette association,
09:27 mais Coluche doit se retourner dans sa tombe,
09:29 et j'ai infiniment de respect pour Coluche.
09:31 Ils ont refusé l'aide en disant, ils n'ont qu'à se faire vacciner.
09:35 Vous voyez où on en est dans ce pays ?
09:37 Vous voyez où on en est dans ce pays ?
09:38 Et heureusement qu'il y avait une autre association
09:41 qui s'appelle l'association Porteurs d'Espérance,
09:43 qui, elle, a aidé les soignants sans condition,
09:46 et qui continue de les aider, parce que pour certains, ce n'est pas réglé.
09:49 Ils sont en procès avec leurs employeurs,
09:51 parce que les employeurs, les hôpitaux, tout ça,
09:53 certains, même beaucoup,
09:56 savaient que c'était un vaccin dangereux,
09:57 qu'il risquait les myocardites et tout ça.
09:59 Et ils ont quand même, enfin le gouvernement, tout ça, on sait,
10:03 à force, les soignants se faire vacciner.
10:05 - Oui, ça c'est une question dont on discute souvent,
10:06 mais ce qui est tout à fait hallucinant dans ce que vous dites,
10:09 c'est que les Restos du Coeur ont refusé,
10:11 alors que cette personne, quel que soit leur choix,
10:14 et ils ont le droit évidemment à leur choix,
10:17 consentement libre et éclairé,
10:18 ces personnes n'avaient effectivement pas l'URSA,
10:20 pas d'indemnité, pas de sur...
10:22 Ils ont été virés sans aucun, sans un centime.
10:25 Il faut le rappeler ça, c'est clair.
10:27 - Et ils n'ont même pas eu la proposition de loi,
10:31 soi-disant, disait que les gens devaient être reclassés.
10:33 Ils n'ont eu aucune proposition de reclassement.
10:36 C'était des mensonges, c'est une vaste tromperie,
10:40 et grave, parce que des gens sont morts,
10:42 des gens se sont suicidés, des gens sont morts à cause de ces vaccins.
10:45 Je pense à une amie...
10:47 - Je ne voudrais pas entrer dans la polémique sur les vaccins, Clara.
10:49 - Excusez-moi, excusez-moi.
10:51 - Mais vous avez raison de réagir comme ça,
10:52 sur cette histoire du traitement des restos de reins du cœur,
10:56 et on se demande si le cœur joue encore un rôle.
10:58 J'espère que oui, je sais que oui,
11:00 parce qu'il y a beaucoup de gens qui travaillent très bien,
11:02 mais il faut faire très attention.
11:04 Et ce cas, la manière dont Colombe a réagi,
11:08 effectivement, cette femme qui est au RSA,
11:10 qui est bénévole au Restos du Cœur,
11:12 qui est bénévole au Restos du Cœur,
11:13 il a été viré parce qu'il a été dans un meeting politique.
11:16 Il y a quand même un petit problème.

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