• il y a 6 mois

Chaque jour, découvrez la pépite du jour dans la France Bouge avec Elisabeth Assayag.
Retrouvez "La pépite" sur : http://www.europe1.fr/emissions/la-france-bouge-academie

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00:00Europe 1, la France bouge, la pépite.
00:04Arthur, vous avez 32 ans, vous, l'entreprise est née il y a 4 ans.
00:08C'est ça, exactement.
00:09Et vous aussi, vous avez travaillé à la Banque de France.
00:12Qui est l'incubateur de start-up.
00:13Franchement, ça vous donne des idées.
00:15Vous vous connaissiez ?
00:17Pas à la Banque de France, on s'est connus après.
00:19Non, après, dans le secteur, dans le milieu de la Civic Tech.
00:21Vous étiez au sein du pôle FinTech Innovation, vous avez travaillé sur pas mal d'innovations
00:27et vous avez fait ça pendant environ 4 ans.
00:29D'où vient, vous aussi, cette idée de passer le pas et de fonder votre entreprise autour de la Civic Tech,
00:37ce qui n'est pas commun.
00:38Alors, nous, on est vraiment au croisement de la Civic Tech et de la FinTech.
00:42Et c'est aussi pour ça, lorsque j'en avais discuté avec mon cofondateur Sylvain Perron,
00:47qui était également à la Banque de France,
00:49il y avait cette envie de réussir à passer à l'échelle de l'impact.
00:53Passer à l'échelle de l'impact, ça voulait dire construire une structure
00:55qui puisse scaler, comme on dit dans le jargon des startupers,
00:58donc passer à l'échelle et permettre quelque chose qui n'était pas réalisable avant.
01:03Et en l'occurrence, on n'avait pas la possibilité avant d'investir directement,
01:07de manière fléchée, dans du service public local.
01:09Mais je trouve ça extraordinaire.
01:10Vous allez expliquer aux auditeurs d'Europe ce que c'est.
01:13VILIZ, ça s'écrit V I 2 L Y Z, c'est ça ?
01:18Le Y, c'est la localité.
01:20Très bien.
01:21Allons-y, ça veut dire qu'on va quelque part.
01:23Vous avez une minute, Arthur Moraglia, on vous écoute.
01:27Écoutez, vous nous écoutez aujourd'hui de Transports en commun,
01:31vous êtes allés chercher vos enfants à l'école,
01:33vous avez probablement eu recours au système de santé,
01:36en fait vous êtes des usagers du système de santé.
01:38Et nous, ce qu'on vous propose, c'est d'en devenir des acteurs.
01:40Pas n'importe comment, des acteurs, avec une chose qu'on partage tous,
01:43c'est de l'épargne.
01:45Grâce à l'épargne, en investissant des 1€,
01:47d'une manière transparente, fléchée,
01:49dans des projets d'intérêt général qui sont proposés par vos communes,
01:52vos départements, vos régions,
01:54par des centres hospitaliers, par des sociétés publiques,
01:56vous pouvez avoir un impact,
01:58tout en faisant fructifier votre patrimoine.
02:01Mais vous n'êtes pas seul quand vous faites ça.
02:03Les entreprises sont à vos côtés parce qu'elles peuvent réaliser du mécénat,
02:06défiscaliser, engager leurs collaborateurs.
02:08Et comment est-ce qu'on arrive à avoir toutes ces forces vives ?
02:10Nous, Vilize, on les outille avec une plateforme et de l'expertise.
02:14Une commission transparente et un accompagnement sur mesure
02:17pour que chaque projet devienne une réussite.
02:19Alors que vous soyez un citoyen, une entreprise, un élu, des agents territoriaux,
02:23rejoignez la révolution.
02:25Merci pour votre pitch, ça donne envie.
02:27Merci Arthur Moragliac au fondateur et président de Vilize.
02:30Comment vous sélectionnez les projets ?
02:32Parce qu'il y a plein de projets.
02:34On peut financer tout quand on est citoyen.
02:37On peut financer un pont, un inde-tram.
02:40Comment vous les sélectionnez ?
02:43Il y a la question des citoyens,
02:45et on a parfois des citoyens qui veulent financer
02:47des projets de mobilité durable.
02:49Ça, je l'ai entendu il y a trois jours.
02:50J'avais un citoyen au téléphone qui me disait
02:52« Moi, j'attends d'autres projets de mobilité durable.
02:54Je vais financer des tramways, des bus à haut niveau de service
02:56et un ensemble de mobilité douce. »
02:59Mais lui, ça lui rapporte quoi d'investir là-dedans ?
03:02Il place son argent avec un taux fixe,
03:04qui va être, à titre d'exemple,
03:06le dernier projet était un taux à 4% dans la Brut.
03:09Pour quel projet ?
03:12Pour un projet de tramway dans la métropole de Brest.
03:14Ça correspond, peu ou prou,
03:16à une rentabilité nette de livraire.
03:18Ça veut dire que quelque part...
03:19Et ça a un sens.
03:21Et puis ça donne du sens.
03:22On sait où on place notre argent.
03:24Le livraire a un sens également,
03:25parce que c'est notamment ce qui sera financé.
03:27Ce que je veux dire, c'est que c'est très concret.
03:28Bien sûr, et c'est 100% fléché.
03:30Ça veut dire que vous choisissez à 100%.
03:32Vous en pensez quoi autour de la table de la France Bouge ?
03:35Moi, c'est un coup de cœur.
03:37Je ne connaissais pas le projet,
03:38donc je l'ai découvert grâce à vous.
03:40J'ai travaillé le projet Découvert-Villise.
03:43Et franchement, je trouve ça génial.
03:45Vraiment.
03:46Je connaissais toutes les plateformes de crowdfunding,
03:48de crowd equity, de crowd lending.
03:50Mosa, par exemple, qui est spécialisé pour l'agriculture en France.
03:53Et je trouve ça vraiment super.
03:55Le concept, aujourd'hui, on a besoin de se réengager.
03:58Moi, la première dans la France.
04:01Et je trouve que le concept est très, très pertinent.
04:03Hyper pertinent.
04:04Cyril, là, je vous en pensez quoi ?
04:05Président de Cap Collectif, vous le connaissiez aussi ?
04:07Oui, je le connais.
04:08C'est la même bande.
04:09Il le sait. Moi, je suis fan aussi de son projet.
04:11On a d'ailleurs essayé de monter un petit partenariat ensemble,
04:13il y a quelques temps,
04:14dans le cadre d'une levée de fonds que j'étais en train de réaliser
04:16qui n'a pas abouti,
04:17donc qui a mis les choses en pause.
04:18Mais je pense qu'on y reviendra,
04:19parce que ce qu'il fait est vraiment top.
04:21C'est extraordinaire.
04:22Comme c'est public,
04:23il y a beaucoup d'informations financières qui sont disponibles.
04:25Nous, les citoyens, on ne s'y connaît pas forcément.
04:27Est-ce que vous, vous avez un rôle aussi
04:29d'explication, de pédagogie par rapport à ça ?
04:32Oui, complètement.
04:33En fait, une collectivité,
04:34ça fonctionne très différemment d'une entreprise.
04:36On ne regarde pas les mêmes ratios,
04:38on n'a pas la même manière
04:39d'évaluer une bonne santé financière, quelque part.
04:41Et c'est aussi à nous, en tant que plateforme,
04:43d'être très pédagogiques,
04:45d'outiller les citoyens,
04:46et d'expliquer pourquoi on a choisi ce projet.
04:48Parce que tous les projets ne seront pas retenus.
04:50Alors, pourquoi,
04:51je reviens sur ma question initiale,
04:53pourquoi vous choisissez un projet et pas un autre ?
04:55C'est quoi le critère ?
04:57En fait, c'est la collectivité qui va choisir un projet.
05:00Et nous, on va évaluer si financièrement,
05:02elle est en capacité de le faire,
05:03ou si au contraire,
05:04elle a des finances trop dégradées.
05:05C'est très peu le cas en France, en général.
05:07D'où votre expertise de la Banque de France.
05:09Exactement.
05:10C'est vrai, il y a une expertise financière forte.
05:12Parce qu'on ne va pas enfoncer la tête sous l'eau
05:14de quelqu'un qui se noie.
05:16Vous restez parmi nous,
05:17autour de la table de la France Bouche.
05:18Si vous êtes ici ce soir, Arthur,
05:19c'est aussi parce que vous avez des besoins.
05:21L'entreprise est récente.
05:23Parmi les premiers besoins,
05:27la chose la plus importante à réaliser aujourd'hui,
05:30c'est quoi pour vous ?
05:32Nous, on est sur un marché qui est complètement nouveau.
05:35On fait face à des clients qui sont très intéressés,
05:38qui veulent innover,
05:40et qui ont en même temps besoin d'avoir une assurance
05:42sur le fait que ça va bien se passer,
05:43que les objectifs vont être atteints,
05:45que quelque part, ils peuvent nous faire confiance.
05:48Au fur et à mesure du développement de Villis,
05:50c'est de plus en plus le cas,
05:51on a besoin de pouvoir généraliser
05:53le plus possible ce principe
05:55dans toutes les collectivités françaises.
05:57Ce principe de confiance,
05:58je vais vous laisser travailler là-dessus,
06:00Floreignel,
06:01on va faire une petite pause
06:03encore en musique sur Europe 1.
06:05On va écouter ensuite les précieux conseils de Flore,
06:07juste après Alain Bachung,
06:09Osé, Joséphine.
06:10A tout de suite.
06:12Europe 1, la France bouge.
06:1421h, 22h, Elisabeth Asaga.
06:16Mais oui, elle bouge cette France,
06:18elle vote aussi,
06:19parce qu'à quelques jours des élections européennes,
06:22gros plan, éclairage ce soir
06:24sur ces entreprises qu'on appelle des civic tech,
06:26qui utilisent la technologie au service des citoyens,
06:31au service pour le développement de la citoyenneté.
06:33Pour en parler, nous sommes avec Cyril Hage,
06:35le président de Cap Collectif,
06:37Cap Collectif à 10 ans,
06:39Adrien Duguay, le cofondateur de Citipo,
06:41qui lui travaille davantage avec les partis politiques,
06:44les ONG, les campagnes,
06:45et Arthur Moraglia,
06:47le cofondateur et le président de Villis.
06:49La coach de ce soir, c'est Floreignel,
06:51la déléguée générale de Ouilla,
06:53et nous sommes toujours avec vous, Clara Léger.
06:55Justement, on est en train de discuter,
06:58pendant qu'il y avait Alain Bachu,
07:00on discutait de l'intérêt de Villis.
07:03L'intérêt premier, Arthur,
07:06c'est que ce sont des projets d'intérêt général,
07:09c'est important de le préciser.
07:11Racontez-nous, quel genre de projet ?
07:13Par exemple, en territoire rural,
07:16en Haute-Vienne, au sud de Limoges,
07:18on a financé un centre de santé,
07:19qui était une ancienne poste qui se délitait,
07:22et donc on a remplacé un service public
07:24par un autre service.
07:25Et si vous nous rejoignez,
07:27Villis, c'est que vous pouvez investir
07:29pour ce centre de santé, par exemple.
07:30Tout à fait.
07:31Et là, ça fait quelques jours qu'il a été inauguré,
07:33donc on est très fiers.
07:34Quoi d'autre ?
07:35En quoi, nous ?
07:36Des mobilités durables.
07:37À partir de 1€ ?
07:38À partir de 1€ d'investissement, exactement.
07:41On peut investir sur des projets
07:43qui concernent notre ville, notre région,
07:46notre territoire.
07:47A noter que c'est complètement défiscalisé,
07:49parce qu'on était en train de le comparer
07:50avec le Livret A, tout à l'heure.
07:51Alors en fait, malheureusement,
07:52c'est le Livret A qui est complètement défiscalisé.
07:54Et c'est ça le problème,
07:55c'est que le Livret A finance en partie,
07:57notamment la construction des nouveaux HLM,
07:59mais pas uniquement.
08:01Alors que nous,
08:02quand vous investissez sur la plateforme,
08:04100% de l'argent est investi
08:06dans des projets d'intérêt général,
08:07de service public.
08:09Et malheureusement,
08:10aujourd'hui, c'est pas défiscalisé.
08:11Et c'est complètement absurde.
08:12On prélève un impôt,
08:13alors qu'en fait,
08:14on est en train de faire un vase communiquant
08:16entre l'État et l'État.
08:17Et ça, ça dissuade.
08:18Les citoyens ne sautaient le pas.
08:19Ça, c'est une première mesure
08:20qu'on pourrait prendre pour encourager
08:22et étendre le financement citoyen.
08:23Et la deuxième,
08:24c'est si on veut que ça devienne structurel.
08:26Il faut que dans les nouveaux appels d'offres
08:28et dans la logique de financement au niveau local,
08:30on pousse pour qu'il y ait ce type de financement
08:32qui implique plus les habitants.
08:34Quand on aura 10% des volumes
08:36d'investissement des projets
08:37qui seront financés par les habitants,
08:38je peux vous dire que là,
08:39directement, il y aura un lien très positif,
08:41très direct, très chernel
08:42qui se fera avec le territoire.
08:43Floreignel ?
08:44Eh bien, pour ça,
08:45je suis fan du projet,
08:46mais effectivement,
08:47ce n'est pas facile.
08:48Et il y a beaucoup d'enjeux à venir.
08:50Il y a aussi un autre enjeu, moi,
08:52que je voyais,
08:53c'est qu'il va falloir...
08:54Enfin, il faut.
08:55Depuis plusieurs années,
08:56il va falloir.
08:57Vous avez un objectif,
08:58une difficulté des deux côtés.
08:59C'est que d'un côté,
09:00il vous faut des projets
09:01et de l'autre,
09:02il vous faut aussi des financeurs particuliers.
09:04Donc ça, il y a un enjeu de communication.
09:06Et c'est ça aussi
09:07que moi, j'attendais à trouver
09:08sur Vili, sur le site
09:10ou sur les réseaux sociaux.
09:11C'était beaucoup plus de vidéos...
09:13Oui, pour donner cette confiance.
09:15Exactement.
09:16Vous parliez de la confiance tout à l'heure, Arthur.
09:18C'est ça, en fait,
09:19qu'on attend sur les réseaux.
09:20Oui, tout à fait.
09:21J'imagine.
09:22Mais en fait,
09:23comme un acteur de tête
09:24s'efface derrière son texte,
09:25nous, quelque part,
09:26on s'efface derrière la collectivité.
09:27C'est-à-dire que la meilleure entité
09:29pour porter un message
09:30et inciter les citoyens
09:31à s'engager pour,
09:32à voter,
09:33à financer un projet,
09:34c'est la collectivité.
09:35Donc nous, quelque part,
09:36on est derrière pour l'outiller,
09:38pour l'accompagner.
09:39Et c'est pour ça
09:40qu'on a, quelque part,
09:41relativement peu de sujets
09:42pour remplir les projets,
09:43pour les financer.
09:44Parce que les citoyens
09:45sont très demandeurs
09:46et il y en a énormément d'entre eux
09:47qui sont des primo-investisseurs.
09:48Et donc, quel âge
09:49de ces citoyens ?
09:50C'est quoi la tranche d'âge ?
09:51Alors,
09:52l'âge moyen
09:53n'est pas très loin
09:54de celui de la population française.
09:55Mais ce qui est intéressant,
09:56c'est qu'on a toutes les tranches d'âge.
09:57C'est ça ?
09:58Ça épouse très bien
09:59la courbe démographique,
10:00en fait,
10:01des zones dans lesquelles on opère.
10:02Parce que la plupart
10:03des financeurs
10:04sont des financeurs hyper locaux.
10:06Dans le dernier projet
10:07qu'on a fait,
10:08on avait 80% des financeurs
10:09qui étaient autour de la métropole.
10:11Et ça,
10:12alors qu'on fait
10:13une campagne extrêmement ciblée,
10:14mais que c'est ouvert.
10:15On peut être marseillais
10:16et financer le tramway de Brest.
10:19Et pourtant...
10:20Et est-ce que, justement,
10:21ce n'est pas contradictoire
10:22par rapport à ce qu'on peut penser ?
10:23C'est qu'aujourd'hui,
10:24les collectivités ont du mal
10:25à engager elles-mêmes
10:26leurs citoyens et leurs citoyennes.
10:28Donc vous,
10:29vous arrivez avec des outils
10:30pour les aider,
10:31mais vous ne communiquez pas vous
10:32directement auprès
10:33des citoyens et des citoyennes ?
10:35C'est les collectivités
10:36qui communiquent
10:37via notre plateforme
10:38et via les différents canaux, justement.
10:40Alors,
10:41comment faire
10:42pour redonner cette confiance ?
10:44Il faut qu'ils organisent
10:45des ateliers ?
10:46C'est exactement ce que je proposais,
10:47des webinaires,
10:48des ateliers,
10:49des événements de sensibilisation,
10:50des...
10:51Il y a des outils,
10:52mais je pense que l'humain
10:53est aussi important
10:54pour donner confiance
10:55à vos porteurs
10:56et porteuses de projets.
10:57Ou peut-être
10:58des ambassadeurs aussi ?
10:59Exactement,
11:00un réseau d'influenceurs,
11:01de micro-ambassadeurs
11:02au niveau local.
11:03Je ne sais pas si c'est déjà
11:04des choses que vous avez testées
11:05par le passé ?
11:06Si, si.
11:07Alors justement,
11:08nous, on est très preneurs
11:09d'ambassadrices ou d'ambassadeurs
11:10pour nous accompagner
11:11sur le territoire.
11:12Les premiers ambassadeurs,
11:13en fait,
11:14c'est les collectivités
11:15qu'on a déjà accompagnées.
11:16Parce que premièrement,
11:17ce qui est notre cas,
11:18c'est que les élus annoncent
11:19qu'ils vont décider
11:20de refaire des projets
11:21d'emprunts citoyens
11:22parce que c'est une demande
11:23de la population
11:24et qu'eux,
11:25ils souhaitent le réengager.
11:26Là, clairement,
11:27non seulement,
11:28on a l'impression
11:29qu'on a fait quelque chose
11:30d'utile,
11:31mais en plus,
11:32on a des ambassadeurs
11:33tout trouvés.
11:34Mais il va falloir
11:35qu'on continue
11:36à les développer
11:37et évidemment,
11:38si on peut le faire
11:39incarner au niveau local
11:40par des influenceuses,
11:41des influenceurs,
11:42ça c'est...
11:43Mais ça pourrait être même
11:44des citoyens ou des citoyennes
11:45qui choisissent,
11:46sélectionnent et...
11:47Ah mais bien sûr !
11:48Là, typiquement,
11:49aujourd'hui même,
11:50dans la newsletter,
11:51parce qu'on travaille beaucoup
11:52pour construire le produit
11:53avec notre communauté.
11:54Elle grandit
11:55et on essaie vraiment
11:56d'orienter le produit
11:57selon les besoins des citoyens.
11:58Qu'est-ce que vous trouvez
11:59si vous vous inscrivez
12:00à la newsletter ?
12:01En fait,
12:02des retours
12:03d'expériences de citoyens
12:04qui investissent
12:05qui expliquent pourquoi.
12:06Et à chaque fois,
12:07les motivations sont très différentes.
12:08Vous pourriez le faire venir
12:09chez Wheeler ?
12:10Flore ?
12:11Alors, il faudrait
12:12qu'il y ait une cofondatrice.
12:13Il n'y a pas de femme
12:14qui n'a pas de cofondatrice ?
12:15Là, aujourd'hui,
12:16il y a trois fondateurs
12:17qui travaillent
12:18dans la société.
12:19Mais je ne suis pas inquiet
12:20parce que moi,
12:21je connais plusieurs plateformes
12:22ou entreprises start-up
12:23qui travaillent
12:24au sein de Wheeler
12:25et c'est de très bonne qualité
12:26donc je pense que...
12:27C'était pas dans ce sens-là,
12:28c'était pour voir
12:29s'il n'y avait pas
12:30quelque chose à faire,
12:31rencontrer des experts
12:32chez Wheeler
12:33qui...
12:34Bien sûr,
12:35si vous avez des besoins
12:36et peut-être aussi
12:37au niveau du lobbying
12:38puisque vous devez pousser
12:39aussi un changement de loi
12:40sur la partie fiscalité,
12:41on peut aussi ouvrir, nous,
12:42notre réseau côté Wheeler
12:43pour potentiellement aider
12:44à faire bouger les choses.

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