• il y a 3 mois
À moins de 48 heures de la fin officielle de la campagne d'entre-deux-tours des élections législatives, les partis jettent leurs dernières forces dans la bataille, avec comme espoir pour les adversaires du RN de priver la formation d'extrême droite d'une majorité absolue à l'Assemblée nationale.

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Transcription
00:00Combien de députés, sur les 62 députés LR, ont soutenu Éric Ciotti dans sa démarche personnelle ?
00:05Je crois un ou deux.
00:08Bravo, il y en a un qui suit.
00:10C'est une personne, sa voisine de palier des Alpes-Maritimes.
00:13Admettez qu'une seule personne, et nous, à l'unanimité...
00:17Non mais c'est sa voisine de palier au sens politique et sur l'articultaire.
00:21Moi je suis pour l'amitié, on n'est pas voisins.
00:23Vous étiez bien au soutien de M. Ciotti il y a deux ans, on est bien d'accord.
00:27Il avait dit qu'il souhaitait se retrouver avec le RN.
00:31Soyez rigoureux avec les faits.
00:32Est-ce que M. Ciotti, il y a deux ans, lorsqu'il a été élu président des Républicains,
00:36avait promis une alliance avec le RN ?
00:38Non.
00:38Et d'ailleurs, M. Calvi, il n'y a pas eu d'alliance avec le RN.
00:42Il y a eu la soumission d'un homme qui a voulu sauver sa circonscription,
00:46alors que nous, nous sommes des hommes et des femmes libres.
00:50C'est-à-dire que nous serons à l'Assemblée Nationale,
00:52et moi j'aimerais qu'il y ait une gauche républicaine qui ressurgisse.
00:55Et je veux qu'il y ait une droite républicaine qui s'impose
00:58et qui soit le pivot et l'arbitre à l'Assemblée Nationale.
01:01Vous voyez, en politique, on ne se soumet pas, on crée le rapport de force.
01:04Et je déplore effectivement que le parti d'Emmanuel Macron
01:07se soit soumis à la France Insoumise.

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