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00:0018h19 sur CNews et Europe 1, Punchline, Laurence Ferrari.
00:2018h17 de retour dans Punchline sur CNews et sur Europe 1.
00:24Pendant ce temps-là, pendant que tous les partis étaient reçus à l'Elysée par Emmanuel Macron en personne,
00:29Marine Le Pen n'était pas, elle, invitée à l'Assemblée.
00:33Elle a assuré faire son miel du mépris d'Emmanuel Macron.
00:38Nous n'avons pas été invitées. En même temps, il n'est pas question pour nous de participer à un gouvernement.
00:43Emmanuel Macron a invité l'ensemble des partis qui pourraient potentiellement participer à un gouvernement.
00:51Il nous donne en quelque sorte la médaille de l'opposition.
00:57Je leur remercie en ne nous invitant pas.
01:00Il y a une forme de mépris, mais de ce mépris, moi, je fais mon miel.
01:04Vous voyez, en ce sens que ça ne m'atteint pas, je ne suis pas sûre que ça atteigne d'ailleurs nos électeurs.
01:10Ça ne démontre qu'une chose, c'est qu'Emmanuel Macron considère la démocratie à géométrie variable.
01:17Elle a raison, Françoise Lévy-Gisbert, Marine Le Pen.
01:20Évidemment. Enfin, je suis désolé de le dire, moi, je ne vote pas pour Marine Le Pen, mais elle a absolument raison.
01:25Regardez, il y a un ministre macroniste du gouvernement Barnier-Sortan, qui s'appelle Guillaume Gasparian,
01:33qui a fait une interview ce week-end dans le journal du dimanche,
01:37où il dit que ce serait quand même bien d'essayer de voir ce qu'on ne pourrait pas faire avec le RN.
01:41De toute façon, la France est dans un tel état.
01:43Si on pense l'intérêt supérieur de la nation, à mon avis, ce n'est pas dans la tête d'Emmanuel Macron.
01:47Si on pense à l'intérêt national, oui, parce que c'est un gouvernement d'intérêt général, j'ai vu ça.
01:53GIG, c'est le sigle, GIG.
01:56Que c'est GIG ? Grand invalide de guerre, ça veut dire.
01:59Oui, évidemment.
02:00Il a toujours le génie des sigles.
02:03Mais c'est vrai qu'il donne à Marine Le Pen le brevet de meilleure opposante de France.
02:12On ne peut pas faire mieux pour elle, c'est tout, évidemment.
02:15Donc, en fait, Louis de Raguenel, ce n'est pas une bonne chose de ne pas la recevoir et de mépriser ses électeurs.
02:21D'autant plus que cette réunion ne sert à rien.
02:23Absolument.
02:24La réunion de l'après-midi.
02:26Je pense que tout le monde s'y est plus ou moins ennuyé.
02:29Tout le monde savait ce qu'allait dire l'autre.
02:31Il faut imaginer cette espèce de pièce de théâtre et à la fin, tout le monde en randonnée, en attendant de parler.
02:37Oui, il y en a quand même deux ou trois qui ont très envie d'être ministre.
02:40Marine Tondelier, secrétaire d'État d'ailleurs.
02:42Marine Tondelier et Olivier Faure.
02:44Vous avez raison, c'est une espèce d'acte de candidature pour certains.
02:48En fait, Emmanuel Macron est en train de construire un peu le scénario, je trouve, de Marine Le Pen.
02:55L'acte 1, c'est la dissolution.
02:57L'acte 2, c'est la motion de censure qui a été votée par Marine Le Pen.
03:02Là, ils font leur truc sans elle.
03:04Donc, elle est la candidate un peu hors système.
03:07Et tous ces gens sont dans le marécage, en train d'essayer de négocier.
03:11Absence de motion de censure contre je ne sais pas quoi.
03:15Et in fine, il y en a un qui a bien compris ce qui était en train de se jouer avec Marine Le Pen.
03:20C'est Jean-Luc Mélenchon.
03:21Et donc, Jean-Luc Mélenchon, il dit une chose, là, aujourd'hui.
03:24Qu'est-ce qu'il dit ?
03:25Il dit préparons la campagne présidentielle.
03:27Parce qu'il voit bien que Marine Le Pen, à elle, a déjà commencé.
03:30Et d'ici 6-8 mois, qui sera prêt pour la campagne présidentielle ?
03:33Eh bien, il n'y aura que deux candidats, Mélenchon et Marine Le Pen.
03:36Il est en train d'imposer, à l'insu de son plein gré, le président de la République,
03:40le duel Mélenchon-Marine Le Pen.
03:42C'est assez reveillant, cette analyse.
03:44C'est assez reveillant, si elle arrive à sortir des griffes des juges.
03:48Puis, j'ajoute une chose, quand même.
03:50C'est qu'il y a quelques mois, le président de la République,
03:52qui conviait bien à Saint-Denis l'ensemble de ce qu'il faisait.
03:57Mais c'est dingue !
03:58C'est dingue !
03:59C'est-à-dire, il fait le compteur de ce qu'il faisait, quelques mois avant,
04:02et il pense que personne ne s'en rappelle.
04:04Il nous prend un peu pour des imbéciles, je pense.
04:06Il joue à l'apprenti sorcier, d'ailleurs.
04:08Il faut quand même souligner l'ironie.
04:09Maintenant, les deux flotteurs qu'il essaie de remettre en lice,
04:13c'est-à-dire le PSL et LR,
04:15c'est ceux qu'il a flingués depuis le début et affaiblis.
04:17Donc, maintenant, c'est ceux qu'il lui sert.
04:19Donc, il y a vraiment un côté apprenti sorcier, lui.
04:21Et puis, plus récemment...
04:22Mais c'est la parole.
04:23C'est la parole, effectivement.
04:24A terme, c'est complètement improductif.
04:25Encore une fois, on citait l'Italie.
04:27Si on regarde ce qui est arrivé au gouvernement Draghi, à la coalition,
04:31c'est de faire gagner Giorgia Melloni, le coup de suivant.
04:34Oui, parce que Mario Draghi était peut-être aussi pour quelque chose.
04:38Ne nous égarons pas en Italie.
04:40Maintenant, il y a 25 % à 26 %.
04:43Et c'est évident que ça, ça va faire monter le RN.
04:46Mais la grande question, quand même, c'est,
04:48c'est actuellement pour Marine Le Pen de ne pas perdre la main à l'Assemblée nationale.
04:51Et donc, il y a quand même une friction, quand même,
04:53parce qu'elle ne doit pas être démanétisée, et Jean-Luc Mélenchon non plus.
04:56Et elle a un agenda, elle, qui n'est pas celui du RN, forcément.
04:59Monsieur Revelle, vous rajoutez un mot ?
05:00Oui, oui, je rajoute un mot,
05:01parce que là, on parlait de Saint-Denis, ça remonte un peu à loin.
05:03Mais là, il y a plus récent, chez le chef de l'État,
05:06son adresse à la nation,
05:07où il traite les irresponsables, ceux qui ont voté la censure.
05:10Mais il n'y avait pas des gens du PS qui ont voté la censure.
05:13Et donc, ils sont plus responsables.
05:17Alors, écoutons Jean-Luc Mélenchon,
05:19parce que lui, il a un plan très précis, effectivement.
05:21Lui, il dit, nous ferons partir Emmanuel Macron.
05:24Écoutons Jean-Luc Mélenchon.
05:26Hier, je crois que c'était en Bretagne, à Redon.
05:29Nous allons faire partir M. Macron.
05:33Et il s'en ira, ou bien parce qu'il aura compris
05:35qu'il y va de sa dignité et de sa responsabilité
05:38dans l'histoire du peuple français,
05:39ou bien parce que le vote l'y obligera,
05:42parce que la motion de destitution,
05:44elle est toujours là-bas, et elle arrive.
05:46M. Macron ne peut pas rester 30 mois au pouvoir
05:52sur la base d'un Premier ministre tous les deux mois.
05:55Et nous ne nous engageons qu'à une chose,
05:57nous déposerons des motions de censure
05:59chaque fois qu'on nous fera un 49.3,
06:01chaque fois qu'on ne nous demandera pas notre avis
06:03sur la confiance.
06:04Vous m'entendez, mes amis ?
06:06Nous ne ferons pas autre chose que ce pour quoi
06:09vous nous avez demandé d'aller là-bas.
06:12Voilà pour Jean-Luc Mélenchon.
06:13François-Lévi-Gisbert ?
06:14Ça y est, la campagne est lancée.
06:16Lui, il veut que Emmanuel Macron parte.
06:18Vous avez vu, il y a du monde dans la salle.
06:21On voit que maintenant, c'est le nouveau slogan.
06:23Si ça marche, parce que Mélenchon est un très grand politique,
06:26quand ça marche, il continue.
06:28Là, si ça rend un peu, et il va le voir très vite,
06:31vous allez voir, ça va être son seul argument politique.
06:34Il va martyrer là-dessus.
06:35Faire tomber Macron.
06:37C'est assez grave.
06:38Quand on y pense, c'est assez grave.
06:39C'est grave du point de vue du pays.
06:41C'est extrêmement grave.
06:42Pendant ce temps-là, il y a des gens qui jouent
06:44à monter des trucs, s'amuser.
06:46J'étais très sévère pour Emmanuel Macron,
06:49je le serai également pour les clowns
06:51qui sont allés discuter avec lui.
06:53Mais chacun cherche son chat.
06:54C'est vrai que Jean-Luc Mélenchon,
06:56il a quand même un agenda.
06:57Il est âgé.
06:58Il a peur aussi, d'ici 2027,
07:00de se faire doubler par d'autres...
07:03On ne parle pas beaucoup de l'âge.
07:05C'est un peu tabou, l'âge.
07:07C'est vrai.
07:08C'est la fraîcheur de la Suisse.
07:11On parle de l'augmentation des retraites,
07:13mais on ne parle pas de l'âge.
07:14Pour le rassurer, je suis plus vieux que lui.
07:182027, c'est peut-être un peu loin.
07:21Plus ça arrive vite, mieux c'est pour Jean-Luc Mélenchon.
07:25Là où c'est extrêmement grave institutionnellement,
07:28ce qui est en train d'être dit indirectement,
07:30c'est la remise en question du vote des Français.
07:32Même ou qu'on n'aime pas Emmanuel Macron,
07:34le président de la République est élu pour 5 ans.
07:37L'élection présidentielle, en France en tout cas,
07:39c'est la clé de voûte de la Ve République.
07:41Si vous remettez en question le principe
07:43de l'élection présidentielle,
07:44il y a tout qui s'effondre.
07:45Et on ne sait pas du tout vers où on va.
07:47Jean-Luc Mélenchon, lui, veut une 6e République.
07:49Avec des conséquences extrêmement graves.
07:51Il faut bien en avoir en tête,
07:53même chez les politiques,
07:55qui ne sont pas à la France insoumise.
07:57D'ailleurs, souvent, j'ai cette conversation avec eux.
07:59Je leur dis, si c'est votre candidat ou votre candidate
08:01qui est élu en 2027, ou peut-être avant.
08:03Si deux mois après, les gens disent
08:05« Non, finalement, on n'en veut plus.
08:07Il faut que cette personne parte. »
08:11Il y a un responsable dans tout ça.
08:13C'est Emmanuel Macron qui a forcé les institutions.
08:15C'est Emmanuel Macron qui a parlé lui-même de ça.
08:17Qui s'est justifié en disant qu'il déclenchait une réforme.
08:19Après avoir été très sévère pour Emmanuel Macron,
08:23je suis évidemment totalement d'accord
08:25avec ce que vient de dire Louis de Greignel,
08:27qui est absolument fondamental.
08:29La démocratie, ça consiste à élire
08:31les présidents pour un certain temps.
08:33Hélas, maintenant, c'est 5 ans.
08:35Moi, j'étais partisan du mandat de 7 ans.
08:37Hélas, maintenant, c'est 5 ans.
08:39Simplement, évidemment,
08:41le problème, si vous voulez,
08:43c'est qu'il ne faut pas, quand on est président,
08:45donner des armes aux adversaires.
08:47C'est vrai que là, aujourd'hui,
08:49et depuis un certain nombre de temps,
08:51il donne des armes.
08:53Il donne des armes avec la procrastination.
08:55C'est-à-dire qu'il n'arrive pas à se mettre
08:57d'accord dans sa tête sur un nom.
08:59Franchement, il y en a...
09:01Là, on n'en aura dit que 1 ou 2.
09:03Il y en a partout, on ne va pas en trouver.
09:05Et puis, surtout,
09:07là, il devient une sorte de chef de parti
09:09essayant d'aménager...
09:11Ses prédécesseurs
09:13n'auraient pas fait comme ça ?
09:15Jamais.
09:17C'est des politiques, ce n'est pas nécessairement.
09:19Moi, ce qui me préoccupe dans cette affaire,
09:21et ça, c'est... Mais attention,
09:23je suis pour...
09:25Je veux bien faire un grand mouvement
09:27pour que le président finisse son mandat.
09:29C'est absolument fondamental.
09:31Sinon, c'est la 5e.
09:33Il faut qu'il fasse des petits efforts.
09:35Le problème, c'est que...
09:37Je suis d'accord.
09:39On a l'impression, si vous voulez,
09:41moi, j'ai vu,
09:43tant que je suis dans le journalisme,
09:45j'ai vu des crises importantes.
09:47J'ai vu des présidents au milieu de la crise.
09:49Je me souviens de Mitterrand, je me souviens de Chirac,
09:51je me souviens de Sarkozy,
09:53je me souviens de Hollande.
09:55Jusqu'à...
09:57Quand même, ces gens-là, si vous voulez,
09:59ils prenaient ça au sérieux.
10:01Ça les affectait.
10:03On a l'impression qu'ils s'en foutent.
10:05C'est la réalité.
10:07Comme si ça l'amusait.
10:09Mais c'est grave.
10:11La crise politique se surajoute à d'autres crises.
10:13Elle peut pousser d'autres crises.
10:15Encourager d'autres crises.
10:17Jusqu'au jour où on aura peut-être
10:19la crise systémique
10:21qu'attend d'ailleurs,
10:23qu'attend surtout Jean-Luc Mélenchon.
10:25Juste quand même.
10:27Votre conclusion est éclairante.
10:29Il ne faut pas menacer la 5e.
10:31Je vais vous dire une chose quand même.
10:33On ne peut pas reprocher à Mélenchon
10:35d'être fidèle à ses propres convictions.
10:37Tous ici, on est en train de dire
10:39que Mélenchon se tient quand même sur sa ligne.
10:41Alors peut-être que la chute est dramatique.
10:43Mais lui il dit, moi je ne serai pas un social-traître
10:45qui ira, alors qu'on vous a élus
10:47vous députés socialistes,
10:49sur l'idée qu'on abrogerait la réforme des retraites.
10:51Moi je ne mangerai pas de ce pain-là.
10:53Donc la conclusion est peut-être dramatique
10:55de faire tomber le président de la République
10:57avant la fin de son mandat. Je partage.
10:59Mais vous allez faire le reproche au leader Maximo
11:01d'être fidèle à ses convictions.
11:03C'est pas possible.
11:05On a le droit de désapprouver.
11:07Éric, là,
11:09il s'amuse à défendre l'indépendable
11:11pour une raison très simple.
11:13Jean-Luc Mélenchon, qui est un grand politique,
11:15lui il n'a pas hésité à faire une alliance
11:17avec le macronisme entre les deux tours des législatives.
11:19Oui, on s'est fait des petits échanges,
11:21on s'est appelés, et puis finalement
11:23les macronistes ont voté LFI,
11:25les LFIs ont voté Macron.
11:27C'est ça la réalité.
11:29Les seuls qui sont vraiment dans l'opposition,
11:31c'est le Rassemblement National. C'est les seuls qui ne font jamais
11:33d'alliances, quelles que soient les circonstances.
11:35Pour faire barrage au RN,
11:37s'il faut s'allier entre eux, même s'ils n'ont rien à voir,
11:39ils nous font le Nouveau Front Populaire,
11:41ils s'allient avec les macronistes, ils n'ont aucun problème à le faire.
11:43Là, si on garantit un poste à chacun,
11:45croyez-moi, ils sont tous d'accord.
11:47Le LR, c'est un peu plus compliqué.
11:49Non, LR, c'est ma part.
11:51J'ai dit Macronie et Nouveau Front Populaire.
11:53Oui, parce qu'il faut citer quand même LR.
11:55Ils veulent continuer à exister
11:57et ils savent que pour continuer à exister,
11:59il faut qu'ils tiennent une ligne droite.
12:01Franck, qui est l'homme fort des LR aujourd'hui ?
12:03Laurent Wauquiez ou Bruno Rotailleau ?
12:05Bruno Rotailleau.
12:07Les deux, parce que c'est évident...
12:09Non, c'est pas ça, je sais pas.
12:11Je vous ai connu depuis le Ténéraire.
12:13Mais non.
12:15Bruno Rotailleau, laissez-le répondre.
12:17Je vais vous dire, LR,
12:19si on regarde les choses avec un peu de hauteur,
12:21c'est fascinant.
12:23C'est la plus grosse réserve de présidentiables
12:25en France aujourd'hui.
12:27C'est-à-dire, vous avez effectivement Laurent Wauquiez,
12:29président du groupe.
12:31Clairement, Bruno Rotailleau,
12:33qui est très populaire.
12:35Vous avez d'autres personnages
12:37moins populaires, mais par exemple,
12:39je pense à David Listan,
12:41François-Xavier Bellamy,
12:43Valéry Pécresse, etc.
12:45Ils ont une écurie.
12:47Ils pourraient en filer un peu
12:49au Rassemblement national, d'ailleurs,
12:51ou aux socialistes.
12:53Ils se détestent tous et se flinguent
12:55à longueur de temps.
12:57Oui, mais ça c'est normal, parce qu'ils sont
12:59une concentration de talent.
13:01C'est l'inverse de la gauche.
13:03Il y a presque plus de candidats
13:05que de députés à l'Assemblée nationale.
13:07Généralement, il y a quand même une discipline.
13:09Et c'est vrai que c'est culturel.
13:11Là, on fait une comparaison avec la Suisse.
13:13On a ce qu'on appelle le PLR et pas les LR.
13:15Et c'est la même chose. On a beaucoup de talent.
13:17Ils passent leur temps à se canarder entre eux
13:19et à s'affaiblir.
13:21Je ne pense pas qu'ils s'affaiblissent en se combattant.
13:23Vous avez des partis qui sont arrivés au pouvoir,
13:25justement, peut-être parce que tout le monde
13:27s'est affaibli.
13:29Ils sont ravis de questions de discours.
13:31C'est assez juste ce que vous dites.
13:33LR, globalement, c'est assez marrant.
13:35La culture, c'est de dire qu'on veut de la discipline.
13:37Mais en réalité, c'est une ZAD.
13:39À la gauche, ils sont pour les ZAD.
13:41Et en réalité, c'est la dictature militaire.
13:43C'est assez impressionnant.
13:45L'absence totale de démocratie
13:47aux partis socialistes comme chez les français.
13:49Zéro démocratie.
13:51Et les escrologistes, alors ça...
13:53Comment vous dites les escrologistes ?
13:55C'est les tontons-flingueurs
13:57ce soir dans Paul Schein.
13:59Tout de suite, on rappelle les titres de l'actualité avec Maureen Vidal.

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