Michel Barnier, Premier ministre sortant, lors de la passation de pouvoir avec François Bayrou : «Une telle dette, un tel déficit, ce sont des impôts pour nos enfants».
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00:00Nous avons lancé des chantiers et commencé à mettre en œuvre des engagements pris pour
00:07les agriculteurs, pour la sécurité, pour l'hôpital et la santé mentale, dont j'avais
00:14proposé, dont j'ai proposé qu'elle soit une grande cause nationale en 2025, pour la
00:20simplification administrative qui est tant attendue par tant d'entrepreneurs, pour l'environnement
00:29et la prévention des risques qui se multiplient, pour la maîtrise de l'immigration et pour
00:34tant d'autres chantiers encore.
00:36Des engagements qui pourront, je l'espère Monsieur le Premier ministre, être confirmés,
00:42poursuivis, consolidés.
00:44Nous avons proposé un budget, un budget difficile, où tout était difficile, pour réduire notre
00:52déficit.
00:53Et avec une majorité de parlementaires, en particulier au Sénat, nous étions proches
00:58d'un accord équilibré.
01:00Ce déficit n'a pas disparu, comme par enchantement d'une motion de censure.
01:08On aurait tort d'oublier ce déficit et la dette qui l'accompagne, faute de quoi ils
01:15se rappelleront brutalement à nous tous.
01:18Une telle dette, un tel déficit, ce sont des impôts pour nos enfants.