Avec Jacqueline Eustache Brinio, sénatrice LR du Val d'Oise
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NewsTranscription
00:00Folle, est-ce que je sors Arbus, etc.
00:02Voilà, j'ai le droit d'avoir le genre que je veux.
00:05Hommes, femmes, hippopotames, tout ça, voilà.
00:09C'est parti, c'est parti, on le sait, on en a déjà parlé.
00:12Mais, mais, mais, un projet, un projet, c'est encore à l'état de projet et de recommandation.
00:17La Haute Autorité de Santé, ce qu'il a de plus officiel,
00:21eh bien écoutez, elle fait des recommandations,
00:25elle fait des recommandations intéressantes,
00:28et juste, je résume, on va en parler avec la sanatrice Jacqueline Eustache-Brignaud.
00:33Donc elle dit, voilà, par exemple, par exemple,
00:36l'identité de genre ne doit pas faire l'objet d'une évaluation psychiatrique spécifique.
00:40Voilà, si quelqu'un a des problèmes de genre,
00:43nous n'avons pas la peine de voir les psychiatres ou les psychologues,
00:45eh bien apparemment, ce n'est pas la peine, ça ne sert à rien.
00:48Deuxièmement, on recommande, touche la Haute Autorité de Santé,
00:52la mise sous hormones de personnes trans qui la demandent,
00:55après il y a une information éclairée, bien sûr, après il y a une information éclairée,
00:59mais il faut quand même sécuriser l'accès aux hormones d'affirmation de genre,
01:03rembourser la prescription et élargir la primo-description,
01:08c'est-à-dire, attention, la porte ouverte pour la mise sous hormones, etc.
01:12Troisièmement, les personnes trans qui le demandent
01:16doivent pouvoir accéder aux chirurgies d'affirmation de genre
01:20sans délai supplémentaire, délai de réflexion, tout ça,
01:24sans délai supplémentaire et formé d'un avantage de chirurgien, d'ailleurs,
01:29afin de proposer une offre de soin suffisante.
01:32La porte est ouverte, c'est open bar, quand vous voulez,
01:36évidemment on prendra les précautions, mais on y va.
01:39Quatrième chose, la Haute Autorité de Santé
01:43toujours recommande d'envisager les demandes mineures âgées de 16 à 18 ans
01:47ayant achevé leur puberté, hommes d'un même titre que les demandes des adultes.
01:51Donc voilà, des 16 ans, écoutez, il n'y a pas de problème,
01:55y compris les interventions chirurgicales, notamment la chirurgie du thorax,
01:59seule la chirurgie génitale est soumise à une légère réserve.
02:03Ah oui, voilà, ils ont quand même des réserves.
02:05Et enfin, s'agissant des mineurs, donc 16 à 18 ans,
02:09il est recommandé, dit la Haute Autorité de Santé,
02:13de mettre en place une médiation avec les parents pour les pousser,
02:17pour les pousser, écoutez-moi bien, il faut que t'aies les termes intéressants,
02:21à accepter les décisions de leur enfant mineur.
02:24Mais, ajoute toujours, en projet, en recommandation de la Haute Autorité de Santé,
02:30si les parents persistaient à refuser la demande de leur enfant,
02:33la Haute Autorité préconise alors, écoutez-moi bien,
02:37un signalement pouvant aller jusqu'à une délégation partielle d'autorité parentale,
02:43voire, voire, n'économisons rien, une déchéance de l'autorité parentale
02:49ou une émancipation.
02:51Écoutez, tout ça est vraiment intéressant.
02:54Bonjour Jacqueline Eustache-Brignaud.
02:56Bonjour.
02:57Bonjour madame la sénatrice.
02:59Alors, écoutez, quand on entend ça, vous avez fait d'ailleurs un communiqué de presse vous-même,
03:05mais qu'est-ce que ça vous inspire ?
03:08D'abord, ça m'inspire beaucoup d'inquiétude sur toutes ces autorités
03:13et la manière dont elles travaillent.
03:15D'abord, vous savez que nous avons travaillé sur ce sujet au Sénat du mois de janvier
03:19et au mois de juin de cette année, et nous avons fait voter une loi,
03:23justement, pour essayer de limiter les dégâts, j'ai envie de dire, sur ce sujet.
03:29Quand on lit les préconisations, alors c'est un groupe de travail qui préconise cela,
03:35la haute autorité ne les a pas encore validées, mais c'est de la folie.
03:39C'est de la folie.
03:40D'abord, c'est à contre-courant de tout ce que font les pays aujourd'hui.
03:44Tous les pays qui étaient un peu plus avancés que nous sur le sujet reculent.
03:48Le Royaume-Uni, cette semaine, a confirmé l'interdiction de l'utilisation des bloqueurs de liberté
03:54sur ce sujet-là, donc on voit bien que tout le monde recule.
03:58Et nous, la France, totalement illuminée sur le sujet,
04:02on va aller plus loin, plus vite et n'importe comment.
04:05Sincèrement, je trouve assez grave ces préconisations,
04:10parce que la haute autorité, en tout cas dans ce qu'elle fait là,
04:14en tout cas dans ses préconisations du groupe de travail,
04:16elle ne protège pas les mineurs, elle les expose à des dangers.
04:20Pourquoi je dis cela ?
04:22C'est que d'abord, nous on s'était interrogé d'ailleurs sur pourquoi à partir de 16 ans,
04:29d'abord, les mineurs c'est moins de 18 ans,
04:32et nous le travail que nous avions mené, c'est sur les mineurs.
04:35Donc on peut se demander.
04:37Et puis on voit bien, dans tout ce qui est écrit, vous en avez fait la lecture,
04:43on voit bien le wokisme qui s'est infiltré dans ce groupe de travail,
04:49parce qu'on aurait pu l'écrire nous d'ailleurs,
04:53parce qu'on a entendu, on a interrogé, on a auditionné un certain nombre de médecins,
04:58un certain nombre d'associations pro trans,
05:01et c'est exactement ce qu'ils réclament.
05:02Ils réclament quoi ?
05:03L'autodétermination du sexe, y compris pour les mineurs, ça c'est quelque chose, voilà.
05:08L'absence effectivement de psy pour effectivement poser le questionnement de genre de certains adolescents.
05:17Et donc on voit bien que ce qui est écrit là,
05:20ce sont les revendications de minorités transactivistes,
05:24vraiment je le dis, clairement, des minorités,
05:27mais qui entraînent des choses graves pour notre société et les adolescents.
05:31L'adolescence, par définition, c'est un moment de la vie très particulier,
05:35où les adolescents se posent des questions.
05:37Bien sûr.
05:38Ça interroge, où même les parents sont exposés aux difficultés de leur enfance.
05:42Oui, même à 7 ans, à 8 ans, à 4 ans, on se pose des questions, bien sûr.
05:46Bien sûr, bien sûr.
05:47Mais les parents sont là pour protéger et la société, elle est là pour protéger.
05:51Elle n'est pas là pour juger et dire c'est bien, c'est mal,
05:53mais elle est là pour donner du temps au temps et ne pas aller trop vite.
05:56Et là, aujourd'hui, ce qui est écrit là, c'est de la pure folie.
06:00J'ose espérer que la Haute Autorité ne validera pas ces recommandations,
06:05parce que pour moi, elles sont très graves. Vraiment.
06:08Et quand je dis...
06:09Oui ?
06:10Allégez, pardon.
06:11Oui, madame la sénatrice.
06:12Justement, comment, même si, encore une fois, c'est un projet
06:16et que ça n'a pas été validé, bien sûr,
06:18mais comment ça a pu faire son chemin,
06:20de façon à ce que des journaux, que le FIA ou d'autres,
06:23vous-même, vous le savez,
06:25comment la Haute Autorité de Santé, sans valider, bien sûr, on n'en est pas là,
06:29mais vous dites vous-même, et on le sait,
06:32ce sont des minorités, très actives, certes, mais ce sont des minorités.
06:36Comment on en arrive quand même à ce que, en tout cas,
06:39il y a eu des recommandations, ces recommandations ont été portées ?
06:44Et moi, ce qui me fascine dans ce qu'on a lu,
06:48c'est qu'au fond, c'est vraiment open bar.
06:50C'est-à-dire, écoutez, allez-y.
06:52Si les parents ne sont pas d'accord,
06:54eh bien, écoutez, on déchoira de l'autorité parentale.
06:57Il n'y a pas besoin de prendre son temps.
06:59Il faut qu'il y ait beaucoup plus de chirurgiens
07:02qui soient prêts à opérer, etc., etc., quand même.
07:06– Alors, d'abord, ce groupe de travail,
07:09on n'en a pas officiellement la composition,
07:12parce que même nous, au Sénat, on n'en a jamais vu.
07:15– On ne sait pas, on ne connaît pas ce groupe de travail.
07:19Donc, je crains que dans ce groupe de travail,
07:21il y ait essentiellement des associations,
07:25qu'on connaît, qui ont pignon sur rue,
07:27et des médecins qui sont relativement pro-trans, j'ai envie de dire.
07:32Donc, je crains que dans ce groupe de travail,
07:34il n'y ait pas eu, à la limite, moitié-moitié.
07:36Moitié de gens qui s'interrogent et qui se questionnent en disant,
07:38nous n'allons pas si vite, et puis,
07:40moitié de gens qui trouvent que tout est normal et open bar,
07:42comme vous le dites.
07:43Donc, déjà, la constitution du groupe de travail nous interroge,
07:45parce qu'on ne la connaît pas officiellement.
07:47Mais parce que dans notre pays, depuis de nombreuses années,
07:51on a cette espèce de diktat des minorités, auxquelles on laisse des places,
07:55parce qu'on le veut bien politiquement.
07:57Et donc, ils ont intégré toutes les institutions,
07:59les ministères, les hautes autorités, comme là.
08:03Et donc, cette voix-là, on lui donne une place qui, à mon avis,
08:07et à mon sens, n'est pas la bonne.
08:09Il n'est pas question de remettre en cause les minorités
08:11qui sont dans nos pays, quelles qu'elles soient,
08:13sauf qu'elles doivent rester à leur place de minorité.
08:16Et une minorité n'impose pas à une majorité ce qu'elle pense et ce qu'elle veut.
08:19Voilà.
08:20Donc, on voit bien qu'aujourd'hui, on a toutes ces minorités,
08:23celles-ci comme d'autres, qui ont pris une place dans nos institutions,
08:27et il serait grand temps qu'on les remette en cause.
08:29Oui, comme vous dites, et pas seulement au domaine de la santé,
08:33dans beaucoup d'autres domaines, effectivement.
08:35Il y a beaucoup d'autres domaines, des minorités qu'on entend,
08:38avec cette culpabilisation permanente qu'on veut nous mettre dans notre cerveau,
08:42parce qu'on n'entend pas ces minorités.
08:44Mais je pense que, d'ailleurs, vous savez,
08:46vous parliez tout à l'heure, j'ai pris en cours votre émission,
08:49vous parliez de Trump.
08:50Si Trump a été élu, c'est que ce sujet-là,
08:54ce sujet de société-là, il a été au cœur de la campagne,
08:57et que les Américains ont dit stop à la folie.
08:59Alors, en France, il faut dire stop à la folie aussi.
09:01Bien sûr.
09:02Merci beaucoup, madame la sénatrice.
09:04Merci, on va suivre ça avec vous.
09:06Et on espère effectivement que tous les désespoirs ne seront pas permis.
09:12On verra bien.
09:13Tout à fait.
09:14Je l'espère aussi.
09:15Merci.
09:16Merci à vous.
09:17Et vous voulez réagir sur ce sujet ?
09:18Vous avez une question ou même un témoignage ?
09:20Vous pouvez nous appeler au 0 826 300 300 tout de suite.
09:24André revient avec une bonne nouvelle.