Retrouvez l'édito politique d'Arlette Chabot
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
———————————————————————
▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75yzts
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
———————————————————————
Nous suivre sur les réseaux sociaux
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
##L_EDITO_POLITIQUE-2024-12-13##
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
———————————————————————
▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75yzts
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
———————————————————————
Nous suivre sur les réseaux sociaux
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
##L_EDITO_POLITIQUE-2024-12-13##
Category
🗞
NewsTranscription
00:00— Arlette. — Oui, parce que je ne sais pas non plus s'il faut une loi spéciale. En tout cas, le Parlement va bientôt être en vacances.
00:05— Oui. — Ça, peut-être qu'il faudrait trouver une solution pour que les parlementaires... — Oui. Il faut... On est en urgence.
00:11— Oui, oui, en urgence absolue, oui. Absolument. — Et pendant ce temps, on se débat les partis politiques. Non, franchement.
00:17Il arrivera un moment où les Français, on aura assez des partis politiques. — Je crois que c'est déjà fait. Non, un peu. Non.
00:22— Mais on en a assez de ces partis qui, chacun, tire de son côté. Non mais... Et François Bayrou qui se démène tant bien que mal...
00:32Enfin pas très bien pour l'instant. Mais enfin il se démène. Il n'y arrive pas. — Alors en tout cas... — Et pourtant, il fait des propositions.
00:39— Voilà. On peut s'interroger. On peut se demander si François Bayrou n'a pas été trop optimiste en imaginant que le choc de la censure
00:47allait effectivement conduire les partis dits de gouvernement à se montrer beaucoup plus constructifs. C'est pas le cas.
00:54Il s'est dit aussi, lui, le centriste qui avait choisi François Hollande, on s'en souvient, en 2012, plutôt que Nicolas Sarkozy,
01:01que les socialistes, notamment, allaient se montrer un peu plus indulgents à son égard. Pour l'instant, effectivement, ça n'est pas le cas.
01:10On l'a vu hier. Toutes les discussions, d'ailleurs, qui se sont engagées à Matignon depuis le début de la semaine n'ont pas permis de débloquer la situation.
01:20Alors oui, vous l'avez dit, hier soir, après l'échec de la réunion à Matignon, il a fait d'autres propositions.
01:28François Bayrou, il a mis sur la table notamment des précisions sur la réforme des retraites qui pourraient être non pas suspendues
01:36mais en tout cas bien rediscutées avec les partenaires sociaux et les partis politiques. Sans tabou, pour la première fois, il dit même qu'on pourrait trouver
01:47une autre possibilité que le report de l'âge de départ à 64 ans. Ça, c'est la première fois que quelqu'un ose le dire.
01:56Emmanuel Macron est au loin. Peut-être qu'il n'a pas entendu.
01:59– Vous êtes persuadé que les syndicats sont d'accord ? Vous avez vu la lettre des syndicats ?
02:03– Absolument. – Elle est très importante, cette lettre, dans la semaine.
02:06– Les partenaires sociaux sont prêts à reprendre les discussions, peut-être jusqu'à la fin de l'année.
02:10– Mais reprenons les discussions !
02:12– Don François Bayrou, et puis deuxièmement aussi sur le 49.3, petite garantie, il serait réservé juste sur les textes budgétaires en cas de blocage.
02:22Alors, pour l'instant, on verra si ça marche. Pour l'instant, ça ne marche pas.
02:27Et ce matin, François Bayrou se retrouve dans la même situation que Michel Barnier.
02:31Eh bien, il a pour gouverner un socle dit de soutien avec l'ex-majorité, c'est-à-dire les amis de Gabriel Attal, et les Républicains.
02:42Ça, c'est le fait le plus important. – Les Républicains, pas officiellement encore.
02:45– Oui, mais ils ont quand même décidé hier soir, Laurent Wauquiez, les conditions sont réunies. Pourquoi ?
02:49Parce que Bruno Rattaillot reste au ministère de l'Intérieur, et ça, c'était la condition signée de Quannon.
02:55Et pour terminer, juste d'un mot quand même, François Bayrou doit démontrer très vite, peut-être en annonçant,
03:00comme il le dit son gouvernement avant Noël, qu'il était vraiment prêt à gouverner comme il le disait.
03:06Maintenant, il y a un doute qui s'est installé.
03:08– Oui, ça c'est vrai, Arlette. Et tout à l'heure, François-Xavier Bellamy sera mon invité, il est l'un des dirigeants DLR.
03:16– Il a tout entendu, François Bayrou. – Il était là-bas, il était à Matignon.
03:21Il est 7h55, nos auditeurs, un peu de pub.