témoignage de l'équipe du lycée Béjuit de Bron sur l'expérience Neurosup (3)
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00:00 Guillaume sur les BI, ça a été le premier à faire des cartes mentales.
00:05 C'est lui qui a commencé.
00:07 C'est le premier à faire des cartes mentales.
00:10 Parce qu'il avait des longues séances, 8h, donc il avait la possibilité de passer une heure.
00:15 Il attendait la fin de la journée et il dégageait la dernière lumière.
00:20 C'est vrai que la différence entre quelqu'un qui a 8h de cours et quelqu'un qui n'en a qu'une,
00:26 c'est pas grave parce que moi j'utilise plus le vrai faux parce que j'ai qu'une heure.
00:32 La carte mentale je l'ai fait une ou deux fois dans l'année, je suis honnête.
00:36 Mais le vrai faux, moi ça correspond complètement.
00:39 Les résumés, le relance en début de cours, moi ça correspond complètement.
00:44 C'est pas gênant d'avoir qu'une heure, mais il faut s'adapter.
00:47 Il y a certaines méthodes et moins d'autres.
00:51 Ce qui est important dans ce que tu dis, c'est que c'était la réflexion qu'on s'était faite.
00:54 Il y avait des méthodes qui nous allaient mieux ou pas.
00:59 Et par rapport à nos matières, on se laissait plus ou moins au paillet
01:02 parce que ça correspondait à des séquences et tout.
01:04 Et en fait on se complète, tout le monde s'est complété, à l'atelier, au sport.
01:09 Ce qui fait que même s'il y en a une qui a un peu plus tendance à faire du vrai faux
01:12 ou l'autre un peu plus des cartes mentales, de cette manière les élèves, ils ont brassé,
01:16 on avait à peu près calculé 6, 7 des méthodes.
01:20 L'indice récupérateur de mémoire, les procédés mnémotechniques, ils en trouvent, les croque-notes.
01:26 C'est vrai que ça a permis aussi à des élèves assez faibles de s'exprimer à travers des textes.
01:31 Le croque-note, ça aide bien les élèves le plus individuels qui ont les facultés à dessiner.